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Les Xiongnu vainquirent à plusieurs reprises les Han aux alentours de l'an 200 av. J.-C., ce qui entraîna la négociation d'une alliance scellée par des mariages politiques, dans laquelle les Han étaient de facto considérés comme partenaires inférieurs.

Dynastie han, Chine

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Les Xiongnu vainquirent à plusieurs reprises les Han aux alentours de l'an 200 av. J.-C., ce qui entraîna la négociation d'une alliance scellée par des mariages politiques, dans laquelle les Han étaient de facto considérés comme partenaires inférieurs.

Les Xiongnu vainquirent à plusieurs reprises les Han aux alentours de l'an 200 av. J.-C., ce qui entraîna la négociation d'une alliance scellée par des mariages politiques, dans laquelle les Han étaient de facto considérés comme partenaires inférieurs.

Les Xiongnu vainquirent à plusieurs reprises les Han aux alentours de l'an 200 av. J.-C., ce qui entraîna la négociation d'une alliance scellée par des mariages politiques, dans laquelle les Han étaient de facto considérés comme partenaires inférieurs.

Les Xiongnu poursuivirent leurs raids sur la frontière des Han malgré les traités, ce qui déclencha les campagnes de l'empereur Wudi, à l'issue desquelles les Xiongnu furent contraints d'accepter le statut de vassaux et de tributaires de l'empire Han.

Les Xiongnu poursuivirent leurs raids sur la frontière des Han malgré les traités, ce qui déclencha les campagnes de l'empereur Wudi, à l'issue desquelles les Xiongnu furent contraints d'accepter le statut de vassaux et de tributaires de l'empire Han.

Les Xiongnu poursuivirent leurs raids sur la frontière des Han malgré les traités, ce qui déclencha les campagnes de l'empereur Wudi, à l'issue desquelles les Xiongnu furent contraints d'accepter le statut de vassaux et de tributaires de l'empire Han.

Les Xiongnu se divisèrent bientôt en deux royaumes ennemis, au nord et au sud, les Xiongnu septentrionaux hostiles aux Han se voyant forcés de se replier au-delà de l'Ili, mais les territoires au nord du domaine des Han furent bientôt conquis par une autre confédération nomade, les Xianbei.

Les Xiongnu se divisèrent bientôt en deux royaumes ennemis, au nord et au sud, les Xiongnu septentrionaux hostiles aux Han se voyant forcés de se replier au-delà de l'Ili, mais les territoires au nord du domaine des Han furent bientôt conquis par une autre confédération nomade, les Xianbei.

Les Xiongnu se divisèrent bientôt en deux royaumes ennemis, au nord et au sud, les Xiongnu septentrionaux hostiles aux Han se voyant forcés de se replier au-delà de l'Ili, mais les territoires au nord du domaine des Han furent bientôt conquis par une autre confédération nomade, les Xianbei.

Ces campagnes virent l'expansion des Han vers le bassin du Tarim en Asie centrale, et les missions d'exploration de Zhang Qian permirent la mise en place du vaste réseau de routes commerciales qui sera connu comme la Route de la soie, reliant la Chine au monde Méditerranéen.

Ces campagnes virent l'expansion des Han vers le bassin du Tarim en Asie centrale, et les missions d'exploration de Zhang Qian permirent la mise en place du vaste réseau de routes commerciales qui sera connu comme la Route de la soie, reliant la Chine au monde Méditerranéen.

Ces campagnes virent l'expansion des Han vers le bassin du Tarim en Asie centrale, et les missions d'exploration de Zhang Qian permirent la mise en place du vaste réseau de routes commerciales qui sera connu comme la Route de la soie, reliant la Chine au monde Méditerranéen.

Sous Han Mingdi et Han Zhangdi, le général Ban Chao étend l’influence chinoise dans le bassin du Tarim et poursuit l’ouverture de l’extrémité orientale de la route de la soie entamée par Zhang Qian.

Sous Han Mingdi et Han Zhangdi, le général Ban Chao étend l’influence chinoise dans le bassin du Tarim et poursuit l’ouverture de l’extrémité orientale de la route de la soie entamée par Zhang Qian.

Sous Han Mingdi et Han Zhangdi, le général Ban Chao étend l’influence chinoise dans le bassin du Tarim et poursuit l’ouverture de l’extrémité orientale de la route de la soie entamée par Zhang Qian.

Mais à partir de la fin du Ier siècle, les eunuques du palais s'impliquent de plus en plus dans la politique de la cour, se mêlant aux violentes luttes de pouvoir. L'autorité impériale est aussi remise en cause par des sociétés religieuses taoïstes qui sont à l'origine de la rébellion des Turbans jaunes et du soulèvement de l'École des cinq boisseaux de riz.

Mais à partir de la fin du Ier siècle, les eunuques du palais s'impliquent de plus en plus dans la politique de la cour, se mêlant aux violentes luttes de pouvoir. L'autorité impériale est aussi remise en cause par des sociétés religieuses taoïstes qui sont à l'origine de la rébellion des Turbans jaunes et du soulèvement de l'École des cinq boisseaux de riz.

Mais à partir de la fin du Ier siècle, les eunuques du palais s'impliquent de plus en plus dans la politique de la cour, se mêlant aux violentes luttes de pouvoir. L'autorité impériale est aussi remise en cause par des sociétés religieuses taoïstes qui sont à l'origine de la rébellion des Turbans jaunes et du soulèvement de l'École des cinq boisseaux de riz.

À la mort de l'empereur Ling en 189, les eunuques du palais sont tous massacrés par des officiers militaires, ouvrant la voie au partage de l'empire par des seigneurs de guerre. Lorsque Cao Pi, roi de Wei, usurpe le trône de l'empereur Xian, la dynastie Han prend officiellement fin.

À la mort de l'empereur Ling en 189, les eunuques du palais sont tous massacrés par des officiers militaires, ouvrant la voie au partage de l'empire par des seigneurs de guerre. Lorsque Cao Pi, roi de Wei, usurpe le trône de l'empereur Xian, la dynastie Han prend officiellement fin.

À la mort de l'empereur Ling en 189, les eunuques du palais sont tous massacrés par des officiers militaires, ouvrant la voie au partage de l'empire par des seigneurs de guerre. Lorsque Cao Pi, roi de Wei, usurpe le trône de l'empereur Xian, la dynastie Han prend officiellement fin.