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ב״הRéalisé par Yaacov Berrebi / Ashkelon : ‘054.700.73.67’. https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ * En Israël, nous lirons la paracha EMOR. Ce Chabat après Moussaf ou Minha nous lirons le chapitre « 3 » des Pirké-Avoth. Jusqu’ou va le respect aux parents ?? On interrogea Rabbi Elazar: « Jusqu’ou doit aller le respect aux parents ??? » Il répondit: « C’est à moi que vous posez la question ?! Demandez plutôt à Dama Ben Natina ! Il habite Ashkelon et il se trouve qu’il est le chef des armées; Un jour qu’il siégeait avec tous ses généraux, sa mère entra dans la salle de réunion et le gifla tout en lui criant dessus devant tous ses subordonnés. Dans la colère, elle perdit sa sandale, Dama Ben Natina la ramassa et la lui remit sans dire un seul mot de protestation a l’égard de sa mère ! » J’arrive, j’arrive !! On trouve dans le traité ‘Kidouchine’: Rabbi Abahou raconte que son fils Rav Avimi accomplissait la Mitsva du respect des parents de manière fort scrupuleuse. « Avimi, mon fils a cinq enfants; malgré tout, lorsque je frappait a la porte, il ne laissait jamais ses enfants aller ouvrir la porte, il se levait et venait lui-même ouvrir la porte en criant: « J’arrive, j’arrive, jusqu’à ce qu’il aie ouvert la porte ! » La raison principale pour laquelle nous devons respecter nos parents, c’est qu’ils nous ont donné la VIE !!! Chabat Aharé-Mot / Kédochim 13 Iyar 5775/ 2 Mai 2015 Entrée: Sortie: New-York: 7:33pm 8:38pm Paris: 20:47 22:01 Tel-Aviv: 18:51 20:01 Ce feuillet est dédié pour l’élévation de l’âme de ITSHAK ZAROUK BEN VICTOR et pour la Réfoua Chéléma de ITSHAK BEN YOHEVED 1 *Samedi soir Dimanche 14 Iyar, nous serons PESSAH CHENI. Nous ne dirons pas Tahanoun. Ce jour, il est une Mitsva de goûter de la matsa et en particulier, de la matsa chmoura. Pessah Chéni enseigne que « Rien n’est jamais définitivement perdu « . Il est encore possible, de ressentir et, de la sorte, de rectifier le passé. Le Rabbi -

Aharé-Mot-Kédochim 5775

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Houts Laarets!!

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Page 1: Aharé-Mot-Kédochim 5775

ב״ה

Réalisé par Yaacov Berrebi / Ashkelon : ‘054.700.73.67’. https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

* En Israël, nous lirons la paracha EMOR. •Ce Chabat après Moussaf ou Minha nous lirons le chapitre « 3 » des Pirké-Avoth.

Jusqu’ou va le respect aux parents ?? On interrogea Rabbi Elazar: « Jusqu’ou doit aller le respect aux parents ??? » Il répondit: « C’est à moi que vous posez la question ?! Demandez plutôt à Dama Ben Natina ! Il habite Ashkelon et il se trouve qu’il est le chef des armées; Un jour qu’il siégeait avec tous ses généraux, sa mère entra dans la salle de réunion et le gifla tout en lui criant dessus devant tous ses subordonnés. Dans la colère, elle perdit sa sandale, Dama Ben Natina la ramassa et la lui remit sans dire un seul mot de protestation a l’égard de sa mère ! »

J’arrive, j’arrive !! On trouve dans le traité ‘Kidouchine’: Rabbi Abahou raconte que son fils Rav Avimi accomplissait la Mitsva du respect des parents de manière fort scrupuleuse. « Avimi, mon fils a cinq enfants; malgré tout, lorsque je frappait a la porte, il ne laissait jamais ses enfants aller ouvrir la porte, il se levait et venait lui-même ouvrir la porte en criant: « J’arrive, j’arrive, jusqu’à ce qu’il aie ouvert la porte ! »

La raison principale pour laquelle nous devons respecter nos parents,

c’est qu’ils nous ont donné la VIE !!!

Chabat Aharé-Mot / Kédochim 13 Iyar 5775/ 2 Mai 2015

Entrée: Sortie: New-York: 7:33pm 8:38pm Paris: 20:47 22:01 Tel-Aviv: 18:51 20:01

Ce feuillet est dédié pour l’élévation de l’âme de

ITSHAK ZAROUK BEN VICTOR et pour la Réfoua Chéléma de

ITSHAK BEN YOHEVED

1

*Samedi soir – Dimanche 14 Iyar, nous serons PESSAH CHENI. Nous ne dirons pas Tahanoun. Ce jour, il est une Mitsva de goûter de la matsa et en particulier, de la matsa chmoura.

Pessah Chéni enseigne que « Rien n’est jamais définitivement perdu « . Il est encore possible, de ressentir et, de la sorte, de rectifier le passé. – Le Rabbi -

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Résumé Aharé-Mot / Kédochim

Suite à la mort des d’enfants d’Aharon, Hachem établit des règles claires concernant l’entrée au Beth-Hamikdach. On trouve le rituel du bouc émissaire, qui sera jeté du haut de la falaise. Nous trouvons la Mitsva de recouvrir le sang de l’animal avec de la terre. La Thora nous rappelle que l’homosexualité est interdite ainsi que tout comportement immoral. Nous trouvons des Mitsvot positives comme « L’amour du prochain ». « Ne pas tromper l’étranger », ne pas tricher dans les poids et les mesures. La Paracha termine sur un rappel de toutes les relations interdites.

Commentaires sur la Paracha

« Après la mort des deux enfants d’Aharon» Le Midrach raconte que lorsque Iyov entendit ce qui arriva aux deux enfants d’Aharon, il prit peur. Nos maitres racontent que Iyov connut une vie de souffrances car lorsque Pharaon lui demanda son avis à propos de la punition à infliger à Moché, il garda le silence ! A propos de la mort des enfants d’Aharon, on raconte que « Moché et Aharon avançaient en chemin, suivis de Nadav et Aviou, puis, plus loin, tout le peuple d’Israël. Nadav dit alors à son frère: « Quand ces deux vieillards vont-ils mourir que nous prenions leur place ??? » Hachem leur répondit: « Nous verrons bien qui enterrera qui ?!? » Un point n’est pas clair ! Si Nadav fut puni à cause de ce qu’il avait dit, pourquoi Aviou fut-il puni ??? Il n’a pourtant rien dit !?! » Nous apprenons de là que celui qui garde le silence lorsqu’une offense est faite envers son prochain, il mérite aussi d’être puni ! Lorsque Iyov entendit que Aviou fut puni pour ne pas avoir réagi aux paroles blessantes adressées à Moché et Aharon, il comprit qu’il avait mal agi en gardant le silence vis-à-vis de Moché Rabbénou; c’est pourquoi il prit peur !!! Une des raisons avancées pour expliquer la mort des enfants d’Aharon, est, selon le Midrach, qu’ils ont servi dans le temple sans leur manteau. Ce qui est étonnant est que les enfants d’Aharon étaient de simples Cohanim et en tant que tel, ils n’avaient pas de manteau à porter (le manteau fait partie des vêtements du Cohen Gadol) !! Si les enfants d’Aharon ont désiré apporter des encens en offrande, c’est qu’ils se considéraient comme des Cohen Gadol ! Et en tant que tels, ils auraient donc du porter le manteau ! Mais pourquoi les sages ne mentionnent que le manteau qui leur manquait et pas les autres vêtements du Cohen Gadol ??? D’après le Midrach, les enfants d’Aharon furent punis pour avoir dit du Lachone-Hara sur Moché et Aharon; or le manteau avait la particularité d’apporter la Kappara sur la faute du Lachone-Hara. C’est donc bien à cause du manteau manquant (il leur manquait la Kapara pour le Lachone-Hara) qu’ils moururent !

Séfirat Aomère

« Pourquoi compte-t-on le Omère ? »

Lorsque les Bné-Israël quittèrent le pays d’Egypte, Hachem les réunit en un même endroit; il les faisait voyager vers une destination qu’ils ne connaissaient pas encore. Les Bné-Israël ne savaient donc pas quand ils allaient arriver à leur destination ! Le but est bien entendu de recevoir la Torah. Mais quand ils virent que la nuit arrivait et qu’ils n’étaient toujours pas arrivés, il demandèrent à Moché quand nous arriverons à destination ? Moché répondit: « Dans 50 jours ». Ils se mirent donc à compter pour exprimer leur impatience.

Pourquoi ne récite-t-on pas la bénédiction de

Cheehiyanou sur la Mitsva de compter le Omère ? La Mitsva du Omère est considérée par certains sages comme une Mitsva globale qui débute le premier jour du Omère et qui se termine le jour de Chavouot. Or, si nous ratons une seule journée, nous n’aurons pas accompli la Mitsva comme il se doit. Nous ne pouvons donc pas réciter Cheehiyanou car il existe un risque que l’on rate un jour et que cette bénédiction (Cheehiyanou) se trouve être une bénédiction en vain. D’autre part, le compte du Omère est une préparation à la fête de Chavouot, nous nous rendons donc quitte de cette bénédiction lorsque nous la récitons le soir de la fête.

Dans la prière du Omère, nous disons: « Le lendemain

du Chabat vous compterez 7 semaines entières …. » Quand est-ce que les 7 semaines sont entières ? Lorsque le Omère débute un Samedi soir. Car le compte du Omère commence au début de la semaine pour se terminer à la fin de la semaine. Et cela ne se passe que quand Pessah tombe un Erev-Chabbath (comme cette année). Lorsque le texte dit: « Le lendemain du Chabbath », c’est en réalité le lendemain du premier Yom-Tov de Pessah.

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Bien vite, leur nombre fut multiplié par deux, trois, dix… et ce furent des centaines de milliers de Juifs qui purent quitter enfin le «paradis soviétique». Après la fin de son mandat, le Président Reagan et son épouse me rendirent visite aux Bahamas où je vivais depuis déjà quelques années. En effet, j’avais été nommé ambassadeur du Commonwealth dans cette région.

Ils m’invitèrent avec mon épouse à une petite réception qu’ils

réservaient à quelques amis. J’en profitai pour remercier le Président en insistant sur le formidable service qu’il avait rendu au peuple juif en plaidant la cause de ces Juifs soviétiques ; je lui demandai alors pourquoi il n’avait jamais évoqué cet épisode en public. Madame Reagan expliqua que M. Gorbatchev les avait avertis qu’autour de lui, de nombreux apparatchiks n’étaient pas d’accord que les Juifs quittent le pays. Si le sujet avait été rendu public, cet exode aurait immédiatement été stoppé. Le Président Reagan avait utilisé la «diplomatie discrète» avec M. Gorbatchev.

L’histoire ne s’arrête pas là. Mon frère Marty eut un jour des

problèmes au pied. En Californie, on l’adressa à un médecin qui l’envoya chez un spécialiste. Celui-ci l’examina puis lui demanda : «Vous vous appelez Hecht. Etes-vous en famille avec le sénateur Hecht?» - Oui, c’est mon frère ! Le médecin était très ému et expliqua que j’avais sauvé la vie de sa famille et de ses beaux-parents. Leurs noms avaient figuré sur la liste. On leur avait juste demandé de se trouver à l’aéroport à une certaine heure. Ils n’avaient aucune idée de ce qui les attendait. Ils étaient montés dans un avion et avaient atterri à Vienne. Avec le peu d’argent dont ils disposaient, ils avaient envoyé un télégramme de remerciement au Président Reagan. Par la suite, je rencontrai de nombreux autres Juifs qui s’étaient trouvés sur cette liste. Le conseil du Rabbi - faire appel à une «diplomatie discrète» - s’était prouvé fructueux : des centaines de milliers de Juifs avaient été sauvés et l’état d’Israël s’était renforcé avec l’arrivée de nombreux savants soviétiques.

Chic Hecht fut sénateur du Nevada de 1983 à 1989 puis ambassadeur aux Bahamas de 1989 à 1994. Il décéda en 2006 à l’âge de 77 ans.

Le récit de la semaine

La diplomatie discrète !!!

Je m’appelle Chic Hecht et j’ai été élu au Sénat américain en 1982.

Quelques années plus tard, mon frère Marty Hecht et mon neveu, le Dr Haïm Hecht, étaient de passage a New-York et ils m’emmenèrent à Brooklyn pour rencontrer le Rabbi lors d’un Farbrengen (réunion hassidique). Le Rabbi me dit, entre autres: «Votre mission prioritaire doit être de faire sortir des Juifs d’Union Soviétique!» Je mentionnai alors que ma mère – de mémoire bénie – avait émigré de Russie au début du siècle : sa famille avait ainsi échappé aux persécutions et aux massacres perpétrés par les Cosaques. «La clé de cette mission, continua le Rabbi, est la diplomatie discrète!» Il faut se rappeler qu’à l’époque, la guerre froide faisait encore rage entre l’Union Soviétique et les Etats-Unis. Trois ans plus tard, le Sénat américain devait se prononcer pour une élection importante. Le Président Ronald Reagan avait besoin de ma voix pour assurer sa majorité. J’avais toujours été un de ses plus ardents partisans car je trouvais qu’il était le meilleur ami qu’Israël avait jamais eu à la Maison Blanche.

Je rencontrai personnellement le Président et, après avoir longuement

discuté avec lui, je l’assurai de mon soutien. Puis j’ajoutai que j’avais une requête personnelle à formuler: je rappelai au Président que ma mère avait émigré de Russie et que c’était uniquement grâce à cet acte que j’étais né aux Etats-Unis et que je le représentais au Sénat américain. J’insistai pour qu’il évoque la liberté de quitter le pays pour les Juifs soviétiques lors de la prochaine conférence au sommet : «Par ailleurs, ajoutai-je, ceux qui seront autorisés à quitter l’Union Soviétique ne devront pas être seulement des personnes âgées ou malades mais aussi des enfants, des adolescents, des médecins et des savants. Chacun d’entre eux devrait pouvoir jouir du droit élémentaire à la liberté de mouvement!» Le Président Reagan m’écouta attentivement et accepta ma suggestion. De fait, je fus la dernière personne à qui il avait accordé un rendez-vous avant le départ pour Reykjavik, en Islande, pour la conférence qui eut lieu au début d’octobre 1986. Lors de cette réunion, je présentai au Président une liste de 1200 noms de Juifs soviétiques; tous avaient formulé une demande afin de pouvoir quitter la Russie. Je fis remarquer qu’en fait, il faudrait y ajouter des millions d’autres noms, mais que cela représentait déjà un bon début. A cette occasion, j’agis avec «diplomatie discrète» puisque seul le Président, son aide de camp et moi-même nous trouvions dans le bureau ovale.

Il tint parole et tendit discrètement la liste au Président Mikhaïl

Gorbatchev lors de la conférence de Reykjavik. Il expliqua que cela lui tenait à cœur. En quelques semaines, plusieurs familles juives furent autorisées à quitter la Russie. 3

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Michna 2 Chapitre 3

« Prie pour la paix dans le pays car sans

cette crainte, les hommes vivraient dans

une « Jungle ». Lorsqu’une personne ne vole pas ou ne frappe pas son prochain, ce n’est pas toujours par piété ou parce que c’est une personne bien, bien souvent, ce n’est que la crainte de la punition qui l’empêche de commettre ces méfaits ! En d’autres termes, la différence entre celui qui vole et celui qui ne vole pas peut se résumer à une question de courage (bien évidemment ce n’est pas toujours le cas heureusement). Le plus courageux osera prendre le risque de se faire attraper quant au second, ce n’est pas l’envie qui lui manque mais il n’en a pas le courage. De la même manière, celui qui se comporte en accord avec le Choulhan-Arouh peut agir soit par choix, soit par faiblesse (faiblesse qui dans ce cas lui rend un énorme service). Il ne suffit donc pas de bien se comporter selon les chemins de la Thora, il est indispensable de le faire par choix et par amour pour Hachem. Il faudra prendre un moment afin de se poser sincèrement la question. Ce n’est que de cette manière que l’on peut réellement s’élever spirituellement. En effet, une personne qui n’est pas courageuse, risque de se mentir à elle-même et de se convaincre que c’est un Tsadik alors qu’en réalité, son penchant pour la faute est toujours aussi présent et aussi fort. Il suffit qu’il se trouve dans une situation ou il n’y a aucun risque de se faire attraper pour que son Yetser-Hara lui fasse faire des choses graves. Connaitre sa vraie situation est le meilleur moyen d’espérer corriger ce qui doit l’être.

Iguérot Kodesh n°77 Par la grâce de D…., Vendredi 8 Sivan 5703, Au Hassid sâge et élevé, le Rav Yaacov Hacohen Kats, Je vous salue et vous bénis, Vous avez sans doute consulté quelques fois les conversations avec les jeunes, que nous vous avons adressées, conformément à l'abonnement que vous aviez souscris, lorsque vous étiez ici. En outre, vous vous êtes sûrement efforcé de les diffuser, dans tous les endroits où cela était utile. Il est assurément inutile de vous expliquer à quel point il est important de rechercher le bien des autres. Nous avons donc bon espoir que vous orienterez votre action dans ce sens et l'élargirez même, au fur et à mesure, en attirant d'autres personnes, qui vous viendront en aide. Mon beau-père, le Rabbi Chlita, m'a rapporté les propos suivants de l'Admour Hazaken. La Torah est divine et spirituelle. Comment la première Mitsva qu'elle édicte peut-elle être celle de procréer? C'est qu'il est dit: "Ses voies sont des voies agréables" et il en est de même pour l'ordre dans lequel elle est énoncée. Telle est donc la signification de cette première Mitsva. Un Juif doit ressentir le désir de former un autre Juif. C'est ce que m'a dit mon beau-père. En vous souhaitant une fête joyeuse et une réception profonde de la Torah, Avec ma bénédiction de Techouva immédiate, et délivrance immédiate, Rav Menahem Schneerson, Directeur du comité exécutif(2)

Ce feuillet est dédié pour l’élévation de l’âme de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV

14 Iyar

Hilloula de

« Rabbi Meir Baal Haness »

* Ils fûrent les élèves de Rabbi Akiva. * Rabbi Meir était le camarade de Rabbi Chimone Bar Yohaï. * Rabbi Meïr était tellement puissant dans ses raisonnements que personnes n’arrivait à le suivre, c’est pourquoi la Ala’ha ne fut pas tranchée selon ses enseignements. * Nos maitres disent qu’il était si puissant qu’il pouvait apporter des preuves que le serpent était Kacher !!! * Son vrai nom est Rabbi Nehoraï (signifie qu'il éclaire ses amis dans la Thora: venant du nom « Meïr »). * Son épouse se nomme Brourya.

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