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Posters / Transfusion Clinique
Réanimation pédiatrique, CHU de Kremlin-Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre,ranceRéanimation pédiatrique, CHU de Saint-Étienne, Saint-Étienne, FranceEFS Île-de-France, Inserm U955, UPEC, Créteil, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (N. Burin des Roziers)
ntroduction.– Le syndrome hémolytique et urémique associé aux infections àneumocoque (P SHU) est une forme rare et grave de SHU. Le mécanisme exact’est pas connu. Nous avons cherché si le P SHU était associé à des anomaliesarticulièrement sévères de la glycosylation par rapport aux même infectionson compliquées de SHU.atients.– Nous avons analysé globules rouges et plasma chez sept enfants âgése quatre à 21 mois souffrant d’infections invasives à pneumocoque. Il s’agissaite six méningites, dont quatre avec P SHU, et une pneumonie avec P SHU.ésultats.– Dans tous les P SHU, on retrouve une forte expression du crypto-ntigène T et une désialylation importante des glycoprotéines membranaires desématies. L’électrophorèse 2D des protéines du plasma montrait des anomaliesonstantes de la N-glycosylation. Le taux de galectine-3 plasmatique était aug-enté dans tous les cas. Dans les deux méningites à pneumocoque sans SHU,
’une présentait une faible réactivité avec Arachis hypogaea correspondant à uneolyagglutinabilité de type Th. La deuxième était comparable aux cas de P SHUar l’intensité de la désyalylation mais le taux de galectine-3 était normal.onclusions.– Cette étude confirme que le P SHU est associé à des taux très
mportants de neuraminidase. Un taux élevé de neuraminidase n’est cependantas suffisant comme le montre une des observations. Un autre facteur nécessaireu développement du P SHU pourrait être un taux élevé de galectine plasmatique.’agglutination par A. hypogaea apparaît comme un test diagnostique rapide etxtrêmement sensible. Sa spécificité peut être améliorée en le quantifiant ou enesurant l’acide sialique résiduel à la surface des hématies.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.03.081
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lloimmunisation anti-leucoplaquettaire chez les maladestteints d’hémoglobinopathies constitutionnelles. Chaabane a,∗, A. Sakhraoui a, M.H. Sellami a, H. Souissi a, A. Jeridi a,. Bellali a, G. Cherif a, A. Dridi a, B. Mediouni a, F. Mellouli b, H. Kaabi a,. Hmida a
Centre national de transfusion sanguine, unité de recherchemmunogénétique et thérapie cellulaire UR06SP04, Tunis, TunisieCentre de greffe de moelle osseuse (CNGMO), Tunis, TunisieAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (M. Chaabane)
ntroduction.– La transfusion sanguine, indiquée dans le traitement des hémo-lobinopathies, n’est pas dénuée de risques non encore totalement maîtrisésalgré les mesures préventives. Les complications immunologiques, certes lesoins connues mais les plus fréquentes, sont dominées par l’alloimmunisation
nti-érythrocytaire et anti-leucoplaquettaire.ous nous proposons :d’évaluer la fréquence de l’alloimmunisation anti-HLA chez les thalassé-iques et drépanocytaires polytransfusés ;d’identifier les principaux facteurs de risque d’alloimmunisation anti-HLAhez ces patients.atients et méthodes.– L’étude a porté sur 156 patients âgés d’un à 29 ans (âgeoyen = 11,6 ans, sex-ratio = 1,19) suivis au Centre national de greffe de moelle
sseuse. Cent trente-cinq patients sont atteints de �-thalassémie majeure et1 patients sont atteints de drépanocytose homozygote. La recherche d’anticorpsnti-HLA a été effectuée par la technique de microlymphocytotoxicité et/ou laechnique Elisa (One Lambda®). L’étude statistique a été réalisée par le logicielPSS V.17.ésultats.– La fréquence de l’alloimmunisation anti-HLA est de 12,2 %.otre étude confirme que la transfusion par des concentrés de globules
ouges non déleucocytés est un facteur de risque d’alloimmunisation anti-HLAp = 0,049 ; OR = 3 ; IC = 95 %). La splénectomie apparaît comme un autre fac-eur de risque d’alloimmunisation anti-HLA chez les patients polytransfusésp = 0,049 ; OR = 3 ; IC = 95 %).
RRf
ologique 20 (2013) 295–369 315
onclusion.– Les anticorps anti-HLA sont impliqués dans les incidents trans-usionnels et dans le mauvais rendement transfusionnel plaquettaire. L’analysees causes de l’alloimmunisation anti-HLA permet d’entreprendre les mesuresdéquates afin de mieux la prévenir.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.03.082
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itrages d’alloanticorps anti-érythrocytaires : évaluation’une technique automatisée sur automate Néo® Immucor. Pellegrina ∗, N. Couprie , M. Challand , B. Chevalier
LABM Biomnis, Lyon, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (L. Pellegrina)
bjectif.– L’objectif de notre étude était d’évaluer une technique automatiséee titrage en microplaque sur automate Néo® Immucor.éthode.–
echnique : automate Néo®, plaque Capture-select, hématies Diamed et Panocellmmucor.épétabilité : deux séries de 15 répétitions (CQI anti-RH1 Immucor, anti-EL1 J.Boy).inéarité : titrages itératifs sur hématies Diamed et Panocell de l’étalon anti-RH1
niveaux 0,104, 0,052 et 0,026 UI/ml) et des CQI anti-RH1 Immucor (niveaux,1, 0,05 et 0,025 UI/ml).ontamination : anti-RH1 de titre > 128 puis anti-RH1 de titre 1.orrélation 1 versus technique de routine en tube : 68 prélèvements (huit spéci-cités) de titres de 1 à 256.orrélation 2 versus CNRHP : 85 prélèvements (anti-RH, anti-KEL1) de titrese 1 à > 128.ésultats.–épétabilité : résultats identiques (≤ 1dilution d’écart).inéarité : avec hématies hétérozygotes, titre = 1 (concentration 0,1 UI/ml),
itre = 2 (concentration 0,05) et titre = 4 (concentration 0,025). Avec les hématiesomozygotes, les titres sont respectivement de 2, 4 et 8.ontamination : absence.orrélation 1 : 58 résultats similaires (≤ 1dilution d’écart), huit résultats aveceux dilutions d’écart (plus haut pour Immucor) et un résultat discordant avecrois dilutions d’écart (anti-RH1 titre 8 sur Néo et 1 en tube).orrélation 2 : 65 résultats similaires (≤ 1dilution d’écart), 18 résultats aveceux dilutions d’écart, deux résultats avec trois dilutions d’écart (plus élevésur automate).onclusion.– L’évaluation des titrages automatisés est satisfaisante avec cepen-ant une tendance plus élevée par rapport à la technique en tube.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.03.083
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éaction transfusionnelle hémolytique retardée (RTHR)uite à une transfusion massive de concentrésrythrocytaires ABO-incompatibles. Monfort ∗, C. Orlowski , I. Lhoest , C. Gerard
CHU de Liège, Liège, BelgiqueAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (M. Monfort)
ontexte.– Mise en évidence d’une RTH retardée chez une patiente âgée deroupe A à distance d’une transfusion de quatre poches de concentrés érythro-ytaires B en postopératoire d’une intervention chirurgicale urgente (fracture duol du fémur).éthodes.– L’accident ABO a été décelé à j3 par la mise en évidence d’une
ouble population de globules A et B avec contre-épreuve négative lors d’uneouvelle commande de sang. Le suivi biologique de l’hémolyse (LDH, Hp,gb, Bili, taux sérique d’anti-B. . .) et la surveillance clinique ont confirmé une
HTR.ésultats.– Absence de RT et de signes cliniques immédiats lors de la trans-usion ABO-incompatible, RTHR à j5 : hémoglobine à 5,4 g/dL, Hp effondrée