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A la recherche de I 'EBV | I'lmmunoquick ~ EBV M est le premier test rapide per- mettant de d~tecter en pri- mo-infection le virus d'Eps- tein-Barr (EBV). II repose sur la d6tection des IgM ,- diriges contre la prot~ine o virale Zebra (BamH1 Z Epstein-Barr repl icat ion activator). Cette prot~ine est un lEA ( immedia te ear ly ant igen), qui suscite une forte r~ponse IgM tr~s pr6coce. La detection de ces IgM est permise ici pres de deux semaines avant celle obtenue avec les autres tests utilisant des antigenes pr6coces, selon AIIDiag. Le test a 6te developpe en col- laboration avec I'Universit~ Joseph-Fourier de Grenoble, & partir des travaux sur Zebra, et avec Biosynex, soci~t~ sp~cialisee dans les tests immuno-chromatographiques. Le test se presente en bandelettes utilisant un anticorps de capture anti-lgM et un peptide synthetique marque par des microparticules color~es. II est r6alisable sur s6rum avec un r~sultat en moins de 10 min. La lecture est directe, elle est positive avec I'apparition d'une bande-test de couleur grise. Disponible en 25 unit6s, avec peremption sup~rieure & 12 mois ~. temperature ambiante, l l l l

D( tection des tox ines Clostridium

. ....... Avec Vidas ® C. difficileToxin A&B, les ..... Labm hospitaliers disposeront d'un

+.~-~ ..... test de d6tection simultan~e automa- - tique des deux toxines produites par

. . . . . . " Clostr id ium difficile, agent bact~rien hautement responsable d'infections

.... ~ ' nosocomiales potentiellement letales. Ce test binaire permet de lire le r~sultat de I'analyse en 75 minutes seulement, contre 24 & 48 heures pour la m~thode de r~f~rence (culture). Sur le plan de I'hygiene hospitali~re, ce gain de temps est essentiel, il permet par exemple de pren- dre rapidement des mesures d'isolement du patient contami- nant. Sa r6alisation sur Vidas ® apporte aux Labm la premiere solution automatis~e et standardis~e. II ~tait essentiel aussi de d~tecter simultan~ment les deux toxines. I'infection & C. diff ici le est de plus en plus souvent d~tect~e, ce qui serait la ran?on d'un m~susage des antibiotiques, y compris & I'hSpital. La bacterie est responsable de colites pseudomembraneuses graves et invalidantes. Elle est tr~s contagieuse en raison de sa r~manence sur les surfaces inertes (biofilms) et necessite par ailleurs des mesures de d~sinfection. I l l

un ; ~ m e b~nin (polype) puis au cancer in situ.

les toute proto-on_ _

connue de TP53 du fait de la perte de contr61e de la croissance et de I'apoptose cellulaires. Les mutations les plus fr~quentes concernent APC (70 %) et TP53 (60 %). I l l

B 24 / /REVUE FRANCOPHONE DES LABORATOIRES - NOVEMBRE 2007 - N ° 3 9 6