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1500 RAISONS de créer des livres ensemble cuisine culture voyage nature

Book stephanie boulay 2013

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1500 raisonsde créer

des livres

ensemble

cuisine

culture

voyage

nature

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Mon parcours

Mes clients

Mon expertise édition

Diplôme de communication visuelle et post-diplôme d’édition/presse de l’école Nationale Supérieure des

Conception et réalisation graphique.Le suivi de fabrication et l’iconographie.

3 ans d’expèrience en agence (1 an dans le studio graphique de la BnF et 2 ans dans l’agence Papous).

Arts décoratifs

depuis 10 ans

Freelance

aa éditionsChêneFleurusGlénatHachetteLarousseRusticaRue de l’échiquierSélection Reader’s DigestTana éditionsZulma…

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Nous avons une passion commune : le livre. Du pratiques aux beaux livres j’aime les imaginer et les réaliser.

Rigoureuse, autonome et dotée d’un bon relationnel, j’ai pu mettre à profit créativité et réactivité sur différents projets.

Je vous invite à découvrir dans ce catalogue quelques travaux réalisés en édition. Vous pourrez si vous le souhaitez consulter d’autres créations sur mon site www.stephanieboulay.fr.

Vous pouvez me faire part de votre projet au 06 83 32 92 30.

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Soupe de tomate au melon

4 Personnes Préparation 30 mn Cuisson 20 mn

• 1 kg de tomates mûres et parfumées• 2 oignons blancs• 1 gousse d’ail• 1 melon • 1 cuillerée à café de thym• 3 cuillerées à soupe d’huile d’olive• sel et poivre• un quart de pastèque

Portez une casserole d’eau à ébullition. Quand l’eau bout, plongez les tomates dedans et laissez-les dans l’eau frémissante pendant environ 30 secondes.

Puis retirez la casserole du feu, rafraîchissez les tomates sous le robinet d’eau froide. Pelez-les, coupez-les en deux, ôtez les pédoncules et les pépins.

Epluchez l’ail et les oignons, hachez-les.

Disposez-les tomates dans une casserole avec les oignons, l’ail, l’huile d’olive et le thym. Salez et poivrez à votre goût. Laissez cuire pendant 20 minutes.

Au bout de ce temps mixez le contenu de la casserole (à l’aide d’un mixer plongeant ou d’un blender).

Ajouter quelques billes de melon et de pastèque.

Couvrez cette soupe de tomates de film alimentaire et gardez-la au réfrigérateur pendant au moins 2 heures. Dégustez-la bien fraîche.

20 Entrée

Poitrine de veau aux petits légumes4 Personnes Préparation 30 mn Cuisson 40 mn

• 1 kg de poitrine de veau• 600 g de petits pois• 600 g de carottes• 600 g de navets• 500 g d’oignons blancs• 200 g de beurre• 50 cl d’eau• 1 tête d’ail• 1 fleur de thym• 1 cuillère à café de sucre• sel et poivre

Préchauffer le four à 210°C (thermostat 7).

Mettre 100 g beurre à fondre dans une cocotte et y faire revenir la poitrine de veau découpé en morceaux avec l’ail ciselé et la fleur de thym. Assaisonner et faire cuire à feu vif pendant 3 à 4 min.

Enfourner la cocotte pendant 20 min.

Porter le reste de beurre, l’eau et le sucre à ébullition dans une grande casserole, et assaisonner. Ajouter les carottes, les oignons et les petits pois, et continuer la cuisson pendant 5 min. Plonger les navets dans la préparation et terminer la cuisson pendant 20 min.

Incorporer la viande à la préparation et réchauffer le tout avant de servir.

20 Plat

Esprit bistrotNouveau livre aux éditions Tana.Principe graphique de la couverture et des pages intérieures.

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cuisine

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Tendance gourmandeNouvelle collection aux éditions Larousse.Principe graphique des pages intérieures et réalisation du titre Made in london, Made in Bretagne, Made in New-York.

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Une année en cuisinePrincipe graphique de la couverture et des pages intérieures pour les éditions Tana.

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Page 13: Book stephanie boulay 2013

Comme àNouvelle collection aux éditions Tana.Principe graphique des couvertures et des pages intérieures.

Le livre de cuisine à offrir àNouvelle collection aux éditions Tana.Principe graphique des couvertures et des pages intérieures.

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Les recettes de ma campagnePrincipe graphique et réalisation du livre pour les éditions Rustica.

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j’aimej’aimeLA VIANDE

Hugo Desnoyer

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LA VIANDE BŒUF peut présenter des caractères très différents. Il s’agit de choisir une viande de bonne qualité et d’acheter

les morceaux convenant exactement aux préparations qu’on se propose de leur faire subir.

AloyAu

1 Rumsteak 2 Culotte 3 Gîte à la noix 4 Tranche 5 Gîte

6 Filet et faux filet 7 Bavette d’aloyau 8 Flanchet

9 Côtes première Côtes seconde Côtes découverte 10 Plates côtes 11 Poitrine

12 Collet 13 Épaule ou paleron 14 Poitrine 15 Tête 16 Jarret 17 Pied

cArré des côtes

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LA CôTE DE BŒUFUn classique incontournable que tout bon marmiton doit savoir faire ! Plus la cuisson est longue et lente,

meilleur sera le résultat....

JK

1 Dans une cocotte, faire fondre doucement 50g de beurre, y ajouter un filet d’huile d’olive.

2 Faites revenir le boeuf (un morceau à braiser : gite ou paleron) sur toutes ses faces. l faut chercher la coloration de la viande.

3 Faire blondir doucement les oignons avec la viande et ajouter le vin blanc. Saler, poivrer, et ajouter thym et laurier. Couvrir d’eau et porter à frémissement. Assaisonner.

4 Faire bouillir. Ajouter les carottes épluchées et coupées en rondelles.

5 Il ne vous reste plus qu’à faire mijoter deux à 3 heures environ. C’est cuit lorsque le boeuf est devenu tendre.

INGREDIENTS Pour 4 Personne(s)

• 50 g de beurre • 1 filet d’huile d’olive • 1 kg de boeuf à braiser (gite ou paleron) • 1 verre de vin blanc • 3 ou 4 oignons de taille moyenne • Sel • Poivre du moulin • Thym et laurier

J’aime la viandeNouveau livre aux éditions Tana.Principe graphique de la couverture et des pages intérieures.

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L’âme des plantesPrincipe graphique et réalisation du livre avec choix iconographique pour les éditions Rustica.

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nature

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Instants de jardinPrincipe graphique et réalisation du livre avec choix iconographique pour les éditions Rustica.

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Page 23: Book stephanie boulay 2013

Herbes folles et fleurs sauvages Roses de mon jardinPrincipe graphique et réalisation des coffrets et des livres pour les éditions Rustica.

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Le thé, Court ou Long ?Si vous laissez infuser brièvement votre boisson (moins de 3 minutes), c’est surtout la théine qui va agir : vous obtiendrez une infusion stimulante, idéale pour démarrer la journée. Au-delà de 3 minutes d’infusion, ce sont les tanins qui prendront le dessus, neutralisant la théine pour vous offrir un cocktail d’antioxydants.

Du CaLCium sans Le Lait

Pour ingérer du calcium en quantité suffisante et bien l’assimiler, ne comptez pas trop sur le lait de vache, riche en graisses allergisantes : privilégiez le sésame, les amandes, les noisettes, le parmesan, les algues, le soja, le chou, le persil et le fromage de chèvre.

Attention également aux séances de piscine, qui fragilisent les muqueuses. Oubliez le tabac, qui aggrave les symptômes ! Lorsque vous program-mez vos vacances, choisissez bien sûr la mer plutôt que la campagne… et évitez la montagne en été : le pollen s’y répand plus tard qu’en plaine, vers les mois de juillet et d’août.

NOTES dimanche 13Rolande

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vendredi 11Estelle

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samedi 12Achille

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Agenda Body NaturePrincipe graphique et réalisation de l’agenda 2012 pour la marque Body Nature fabriquant de produits écologiques et biologiques.

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Les bonnes plantes de nos grands mèresNouvelle collection aux éditions Rustica.Principe graphique des couvertures et des pages intérieures.

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Gradhiva, revue d’anthropologie et d’histoires des artsAppel d’offre Musée du quai Branly pour la refonte du magazine Gradhiva en collaboration avec Sara Prince.

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Dossier

Pièges à voir, pièges à penser. Présences cachées dans l’image.

Coordonné et présenté par Carlo severi

4 Présentation par Carlo Severi

8 L’espace chimérique. Perception et projection dans les actes de regard. Article de Carlo severi

48 Le masque de l’animiste. Chimères et poupées russes en Amérique indigène. Article de Carlos Fausto

68 Le graphisme sur les corps amérindiens. Des chimères abstraites ? Article de els Lagrou

94 Flûtes des hommes, chants des femmes. Images et relations sonores chez les Kuikuro du Haut-Xingu. Article de Bruna Franchetto et Tommaso Montagnani

112 Récursions chimériques. De l’anthropomorphisme des robots autonomes à l’ambiguïté de l’image du corps humain. Article de Joffrey Becker.

130 Jean-Hubert Martin et la pensée virtuelle. entretien entre Jean-Hubert Martin, Carlo severi et Julien Bonhomme.

148 Nubes cum figuris. L’interprétation des nuages comme paradigme moderne de la création et de la perception artistiques. Article de Dario Gamboni.

eTuDes eT essAis 162 La chorégraphie du bâton divinatoire

comme écriture sonore. (Afrique de l’Ouest) Article de Danouta Liberski-Bagnoud

186 Les métamorphoses d’Omai. Giordana Charuty

204 Images mémorables pour un texte immuable. Les catéchismes pictographiques testériens (Mexique, XVIème – XIXème siècles). Article de Bérénice Gaillemin

CoMpTe renDus 226 Alain Dierkens, Gil Bartholeyns

et Thomas Golsenne (éd.), La Performance des images Bruxelles, Éditions de l’université de Bruxelles, coll. « problèmes d’histoire des religions » 19, 2009, 258 p. présenté par Giordana Charuty

227 Daniel Fabre et Anna Iuso (éd.), Les monuments sont habitésparis, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, coll. « Cahiers d’ethnologie de la France » 24, 2009, 336 p.

présenté par David Berliner

228 Carlo Severi et Julien Bonhomme (dir.), Paroles en actes paris, L’Herne, coll. « Cahiers d’anthropologie sociale » 5, 2009, 188 p.

présenté par Valentina Vapnarsky

231 Lewis Henry Morgan, Le castor américain et ses ouvrages Dijon, les presses du réel, 2010, 333 p.

présenté par stéphane rennesson

234 Gilles Boëtsch, Dominique Chevé et Hélène Claudot-Hawad (dir.), Décors des corps paris, Cnrs éditions, 2010, 398 p. présenté par Jean-Baptiste eczet

235 Nicolas Menut, L’Homme blanc. Les représentations de l’Occidental dans les arts non européens paris, Éditions du Chêne, 2010, 256 p. présenté par Julien Bonhomme

Comité de directionDaniel Fabre, Yves Le Fur, Anne-Christine Taylor

Comité de rédaction Christine Barthe, David Berliner, Julien Bonhomme, Giordana Charuty, Michèle Coquet, Jean-Charles Depaule, emmanuel Grimaud, Christine Guillebaud, Monique Jeudy-Ballini, Anne Kerlan, Denis Laborde, Jean de Loisy, Carlo severi

secrétaires de rédaction olivier Allard, Maïra Muchnik et emeline philis

editionmusée du quai Branly

CouvertureKasena © Bernard Foubert, AFp imageForum.

Diffusion-Distribution : Flammarionn° issn : 0764-8928revue soutenue par l’institut des sciences Humaines et sociales du Cnrs et l’École des Hautes Études en sciences sociales.

Musée du quai Branlydépartement de la recherche et de l’enseignement222, rue de l’université - 75343 paris cedex 07Tél : 01-56-61-71-10 / 53-64Fax : [email protected]

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ni un vecteur du contrôle social. Son rôle, on le verra mieux plus loin, est celui d’un intercesseur : partageant désormais le même espace-corps que la puissance, il a la capacité d’inviter celle-ci à répondre aux questions du consultant, et de procurer ainsi à ce dernier l’accès à une parole jugée vraie — un statut qui puise sa garan-tie dans le montage de gestes et de discours, réitéré en début de chaque consultation, qui établit la maison de Soleil-Dieu comme lieu tiers d’où proviennent toutes les paroles de l’oracle.

Tout le monde peut se rendre auprès de l’oracle, sans considération de statut, d’âge ou de sexe. Les plus ex-périmentés dans le maniement du bâton (cf. infra) se rendent seuls chez le devin, les novices demandent à un proche parent, parfois un ami intime, de les y ac-compagner. On n’expose jamais les motifs pour lesquels on s’est rendu chez le devin ; le consultant introduit sa demande en la coulant dans une formule fixée par la tradition dont les premiers mots sont : « Je suis venu demander ta bouche pour que tu me dises quelle est la chose qui déloge qui m’a expulsé hors de chez moi. » Autrement dit, il demande à l’oracle de lui montrer ce qui l’a contraint à sortir de chez lui pour venir le questionner. Il est difficile de formuler de façon plus opaque le fond de la demande. Plantés face à face, le devin assis sur une banquette en terre, surplombant de peu le consultant qui est installé sur une peau de bœuf étalée au sol, ils tiennent, chacun, l’une des ex-trémités de la canne divinatoire — un simple bâton de bois patiné par l’usage qui s’achève, d’un côté, par une fourche que tient le devin et, de l’autre, par un embout ferré que le consultant retient entre le pouce et l’index. Comme soudés l’un à l’autre par cette canne, ils vont se livrer pendant toute la durée de la consultation à un étonnant ballet, coordonnant sans heurts leurs mou-vements, donnant à ceux qui les observent l’impression de suivre, et non de guider, les déplacements rapides et continus du bâton. Hors la canne et ses mouvements, la « matière oraculaire »6 est fournie par une collection hétéroclite d’objets fabriqués et de choses prélevées à fleur du monde dont le rassemblement dans une besace en peau constitue la somme de « tout ce qui existe sur terre ». Ces choses, ainsi extraites de la réalité qu’elles auront à signifier, composent un lexique rudimentaire au sein duquel le bâton va sélectionner les autres mots de l’oracle ; les objets choisis sont déplacés et laissés en un coin de la « table » de consultation — le morceau de sol où sont disposés certains des éléments de l’appa-reil divinatoire. Ils vont y constituer une sorte d’archi-vage temporaire des différentes « paroles » de l’oracle au cours d’une même séance et viendront soutenir la mémoire du consultant quand, en une ultime mise à l’épreuve de la véracité du « dit » oraculaire, il devra finalement récapituler l’ensemble des prédictions qui lui ont été dévoilées.

Les rares auteurs qui ont eu à répondre à la question de savoir comment « ça parle » se sont attachés, pour l’essentiel, à rendre compte de ce qui relève du code symbolique qui assigne à chaque objet un ou plusieurs signifiés7. Dans cette perspective, la divination est ap-préhendée comme une technique de communication entre les hommes et les dieux ; le devin est en position de déchiffreur et son client doit monnayer le sens mi-nimaliste et générique de la sentence oraculaire en une prescription détaillée de l’acte rituel qu’il aura à exécuter. Sans être inexacte ou erronée, cette approche a cepen-dant le défaut de réduire la consultation de l’oracle à un pur acte (mental) de décryptage, et manque du même coup un point essentiel de discrimination, à savoir qu’ici tant le corps du devin que celui du consultant sont im-pliqués dans le procès de fabrication de l’énoncé ora-culaire, qu’ils y sont tout entiers engagés. En faisant la part belle au code, tout en réduisant l’aléatoire à un jet de cauris en début de consultation, deux de ces auteurs butent par ailleurs sur ce qui semble constituer pour eux un embarras, à savoir le caractère « objectivement » arbitraire de la technique mise en œuvre — quoi que « subjectivement vécue par les protagonistes comme rationnelle » (Fortes 1987 : 18) ; ce qui les amène né-cessairement à faire planer sur ce mode de consulta-tion divinatoire, sous la forme d’une dénégation pour Fortes, d’une affirmation pour Mendonsa, l’ombre du trucage et de la tromperie8. Question, on en conviendra, qui n’a d’autre intérêt que de révéler la croyance de celui qui se la pose.

6 Meyer Fortes (1987), Robert Shutherland Rattray (1932) et Eugene Mendonsa (1982).

7 Rattray, plus préoccupé de rendre compte de la place essentielle qu’occupe ce type de divination dans la vie rituelle des peuples de l’arrière-pays Ashanti, ne s’engagera jamais sur cette pente.

8 La notion ne doit pas être confondue avec les « actes d’écriture » qu’analyse avec beaucoup de subtilité Béatrice Fraenkel (2007). La direction prise ici ne s’inscrit pas dans le domaine de l’anthropologie de l’écriture qu’elle promeut, bien que, forcément, des lieux de croisement ne peuvent manquer d’exister.

ÉTuDes eT essAisLa chorégraphie du bâton divinatoire comme écriture sonore

Fig.5 Devin Kasena du Nord du Ghana

© Ann Cassiman / IARA

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cultureet loisirs

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la salle Dorée débordant de fleurs du Musikverein de Vienne, qui permet d’entendre ce concert d’un bout à l’autre de la planète ou presque – depuis 1959 en Eurovision (première émission en couleurs, en 1967). La ville italienne de San Remo décore chaque année cette grande manifestation musicale en offrant jusqu’à 30 000 fleurs et plantes.Mais cet événement médiatique reste dominé par les œuvres de la dynastie Strauss (Johann Strauss père, Johann Strauss II, Eduard Strauss et Josef Strauss. Outre Le Beau Danube bleu et la Marche de Rodetzky, deux pivots du programme, on peut entendre des grands titres du répertoire aussi bien que des trouvailles de l’œuvre straussienne encore jamais enregistrées, ou rarement entendues – sans oublier, en complément, des œuvres du compositeur de l’année.

La popularité de cet événement unique doit évidemment beaucoup à une remarquable opération marketing et à une excellente maîtrise technique de l’image et du son – mais, en dernière analyse, c’est la musique d’une époque inoubliable et de ses créateurs qui permet chaque année l’éclatante résurrection du concert du Nouvel An à Vienne – un événement acclamé, mais aussi critiqué. Un mélange de délire musical, de danse au bord d’un volcan dont on ne peut qu’espérer qu’il n’entrera pas en éruption au cours de la nouvelle année, inaugurée par des valses grisantes – voilà probablement ce qui suscite cet enchantement toujours renouvelé, auquel nul sans doute ne peut et ne veut se dérober !

Franz Joseph Wallensteiner(en se référant à un texte de N. A. Weinberger)Traduction : Odile Demange

Herbert von Karajan

Carlos Keliber

Zubin Metha

À gauche : Carlos Kleiber

À droite : Zubin Mehta lors du concert du Nouvel An 2007.

Le concert du

Nouvel An à Vienne

Les débuts du Wiener Neujahrskonzert, le traditionnel concert du Nouvel An viennois, remontent au 31 décembre 1939. À l’époque, il se tenait donc le dernier jour de l’année. C’est en 1941 que les Wiener Philharmoniker ont commencé à donner leur concert de Nouvel An à la date qui s’est maintenue jusqu’à aujourd’hui. Clemens Krauss – alors directeur du festival de Salzbourg et intendant général des Opéras de Munich – dirigea ces concerts jusqu’à sa mort en 1954 – douze fois au total, faisant ainsi figure de fondateur de tous les Concerts philharmoniques du Nouvel An régulièrement organisés depuis. Dans l’immédiat après-guerre, Krauss dut cependant abandonner le pupitre deux années de suite – en 1946 et en 1947 – en raison de l’interdiction de diriger qui pesait sur lui. En ces deux occasions, ce fut Josef Krips qui prit la baguette.

Pour succéder à Krauss, les Wiener Philharmoniker élurent démocra-tiquement un musicien issu de leurs propres rangs, Willi Boskovsky,

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Petit texte de 4eme pour prendr connaissance du contenu. Les dé-buts du Wiener Neujahrskonzert, le traditionnel concert du Nou-vel An viennois, remontent au 31 décembre 1939. À l’époque, il se tenait donc le dernier jour de l’année. C’est en 1941 que les Wiener Philharmoniker ont commencé à donner leur concert de Nouvel An à la date qui s’est maintenue jusqu’à aujourd’hui. Clemens Krauss – alors directeur du festival de Salzbourg et intendant général des Opéras de Munich – dirigea ces concerts jusqu’à sa mort en 1954 – douze fois au total, faisant ainsi figure de fondateur de tous les Concerts philharmoniques du Nouvel An régulièrement organisés depuis. Le concert du

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Le concert du Nouvel An à ViennePrincipe graphique et réalisation du coffret pour les éditions Sélection Reader’s Digest.

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Mariage en robe blanche

En mai 1952, Jacques Pills revenait des États-Unis. « J’ai une chanson pour toi », dit-il à Édith. Ac-compagné par un inconnu qui s’appelait Gilbert Bécaud, Pills a alors chanté Je t’ai dans la peau.

La chanson plut à Édith. Pendant quinze jours, sous prétexte de la lui faire répéter, Pills passait toutes les après-midi chez Piaf. Au lieu de travailler, ils parlaient... et se regardaient. Piaf était amoureuse, Jacques aussi. Mais il était trop timide pour se déclarer. Enfin, au bout des quinze jours que durèrent les fameuses répétitions, Jacques murmura : « Je t’aime. » Édith répondit :

« Si je te demandais de m’épouser, est-ce que tu le ferais ?

– Quand tu veux, où tu veux », balbutia Pills en serrant Édith dans ses bras.

Le mariage eut lieu un an plus tard à New York. Le matin de la cérémonie, Pills avait l’air gêné : « Je t’ai menti, avoua-t-il. Je t’ai dit que j’avais trente-neuf ans, j’en ai quarante-six. » Il s’était rajeuni pour séduire celle qu’il aimait.

On fut très surpris lorsqu’on apprit qu’Édith Piaf s’était mariée en blanc. Pour elle, cette robe blanche remplaçait celle qu’elle n’avait pas eue le jour de sa première communion. C’était aussi le symbole de tout un passé qu’elle reniait. Autour du cou, elle portait une petite croix en or et en rubis que Marlene Dietrich, témoin de son mariage, venait de lui offrir.

Le porte-bonheur fut efficace pendant deux ans. Deux années où Pills fut le plus compré-hensif des époux. Il veillait sur Édith comme un frère, passant tous ses caprices. Il entreprit aussi de la guérir de l’alcool et de la drogue. Mais une fois, à Lyon, il se laissa entraîner à boire plus que de raison. Édith et Jacques étaient entrés dans un bistrot décidés à ne boire qu’une bière. Toute la nuit, ils ont fait des mélanges effroyables et quittèrent le café à huit heures du matin, devant le patron et les garçons abrutis de sommeil.

Malgré sa douceur et sa gentillesse, Jacques Pills se montrait ferme comme un roc. Il dépis-tait toutes les bouteilles qu’Édith dissimulait. Elle cachait même des canettes de bière sous son lit. Elle était à ce point imbibée d’alcool qu’un seul verre de bière la terrassait.

Pills n’était pas assez fort pour lutter. En plus de cela, il ne supportait pas les nuits d’insom-nie et, tandis qu’Édith chahutait avec des amis, Jacques s’endormait, affalé sur un tabouret de cuisine. Il n’en pouvait plus, mais s’était juré de désintoxiquer Piaf. Trois fois, il l’obligea à partir en clinique faire une cure. Trois fois, pendant ces deux années, il la crut sauvée. Mais à chaque retour, cela recommençait. En 1955, à Vichy, Pills faisait son tour de chant et Édith était venue le rejoindre. Au moment d’entrer sur le plateau, l’habilleuse dit à Jacques : « N’oubliez pas de reti-rer votre alliance, monsieur Pills. » Le jour de leur mariage, Jacques avait juré de ne jamais quitter cet anneau. Édith avait compris. Leur bonheur était terminé.

En juillet 1952, à New York, mariage d’Édith Piaf et de Jacques Pills, entourés de leurs témoins, dont Marlene Dietrich.

7978

1 Griffonné à l’envers en haut à gauche de la lettre.

2 Il s’agit de Rachel Breton, surnommée la Marquise dans le milieu artistique, et de son époux Raoul Breton.

Pense qu’il y a toi,qu’il n’y aura que toiet toujours TOI.1

Vendredi 27 mai 1949

Édith adorée,

Hier, pas de lettre, ce matin non plus mais cet après-midi, j’espère que oui. Quelle joie de te lire et ces belles phrases que tu sais me faire, tu es un ange. Ici [c’est] toujours la même chose, footing, écriture, ping-pong, déjeuner, jacquet, entraînement, rami et sleeping vers dix heures et demie. Voilà, chérie, ma vie au camp d’Evans qui est vide jusqu’à présent mais demain sûrement qu’il y aura du monde pour le week-end. Pour ma part, ça va à part que je pense de trop, j’en parle aussi de trop, ça devient une maladie. Tu te marrerais si tu nous écoutais parler avec Jo de vous deux : et alors, elle me dit ceci, à ce moment, je ferais cela, je prendrais ça, elle doit faire ceci à cette heure-là. Enfin [on] se bourre le crâne nous-mêmes et le plus drôle, c’est qu’on est heureux quand on se raconte tout ça.

Je t’aime, chérie, et je me demande où ça va aller. Remarque que c’est un peu trop tard pour penser à cela, mais je deviens mauvais, jaloux, vraiment un sale type. Je vais empoisonner ton existence, chérie. Tu n’aurais jamais dû venir à la campagne, tant pis pour toi. Oh chérie, quoi te dire de plus sinon que je suis fou, ça, tu le sais, et que je pense à ce beau retour. Comme il va être bon le moment où on va se revoir et tomber dans les bras l’un de l’autre. Sentir ta peau contre moi, te serrer bien fort et sentir ton cœur et ta poitrine contre la mienne. Je m’arrête parce que je vais être malade tout à l’heure.

Donne une grosse bise à Simone, j’ai mis son pull, il est vraiment beau, tout le monde l’admire, et je fais un boum terrible avec mes blousons. Il paraît que je ne suis pas si mal que ça, mais c’est à toi, tout moi t’appartient. Demande à Loulou qu’il te donne l’adresse pour acheter des films et fais-lui mes amitiés. Une bise à la Marquise et à Raoul2, et toi, chérie, je te serre dans mes bras autant que je t’aime. Moi.

Marcel Cerdan

6e lettre

Piaf, à la vie, à l’amourPrincipe graphique et réalisation du livre coffret pour les éditions Sélection Reader’s Digest.

1. Les Mômes de la cloche 2. Mon Légionnaire 3. C’est lui que mon cœur a choisi 4. Je n’en connais pas la fin 5. L’Accordéoniste 6. C’était une histoire d’amour

7. Le Disque usé 8. Y’a pas d’printemps 9. De l’autre côté de la rue 10. La Vie en rose 11. Les Trois Cloches, avec Les Compagnons de la Chanson 12. J’men fous pas mal

13. C’est merveilleux 14. Les Amants de Paris 15. Hymne à l’amour 16. L’Orgue des amoureux 17. Le Prisonnier de la tour

18. Bal dans ma rue 19. Jézébel 20. Plus bleu que tes yeux 21. Je hais les dimanches 22. Padam, padam

23. Une enfant

Chansons éternelles

CD 116.570.3/1

Tous droits du producteur de l’œuvre phonographique et du propriétaire de l’œuvre enregistrée réservés . Sauf autorisation, la duplication, le prêt, l’u

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Couverture de l’hebdomadaire Voilà de novembre 1939. Édith Piaf fait partie des artistes partant pour le front afin de divertir les soldats au début de la guerre.

C’est lui que mon cœur a choisi, disque enregistré en 1938.

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Couverture de l’hebdomadaire Voilà de novembre 1939. Édith Piaf fait partie des artistes partant pour le front afin de divertir les soldats au début de la guerre.

C’est lui que mon cœur a choisi, disque enregistré en 1938.

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Rue de l’échiquierDirection artistique de la maison d’édition Rue de l’échiquier. Conception du logo, de la charte graphique des collections, du site web…

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H

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MMH

MILLER MARILYNNée Mary Ellen Reynolds, en 1898, dans l’Indiana, elle devint, sous le pseudo-nyme de Marilyn Miller, une vedette des comédies musicales de Broadway, sous la direction de Florenz Ziegfeld, à partir de 1918. Elle apparut, au cinéma, dans trois films : Sally (1929), Sunny (1930) et Her Majesty Love (1931). Elle mourut pré-maturément le 7 avril 1936, des suites d’une opération des sinus, et après une période de dépression et de maladie. Elle avait trente-sept ans. Cette actrice, chanteuse et danseuse était, selon Ben Lyon découvreur de talents et casting director à la 20th Century Fox, celle à qui Norma Jeane Baker ressemblait le plus, après Jean Harlow. C’est la raison pour laquelle, en juillet 1946, tandis que l’aspirante comédienne, qui venait de signer son premier contrat, proposait de prendre le nom de jeune fille de sa mère, Ben lui souffla le prénom Marilyn. Quelques années plus tard, Marilyn Monroe devint, pour un peu plus de quatre ans, Marilyn Miller en épousant Arthur, le 29 juin 1956.

ESSAIS, FOX, MARIS, MILLER ARTHUR, SOSIES…

«HAPPY BIRTHDAY (MISTER PRESIDENT)»Au Madison Square Garden, le 19 mai 1962, Marilyn arrive en retard, après que le présentateur l’ait annoncée par deux fois et ait fini par la nommer «The «late» Marilyn Monroe» (ce qui allait être la vérité quelques mois plus tard, puisque «the late MM» signifie, certes «M M qui est en retard», mais également «la regrettée MM». Elle porte, sous une veste de fourrure blanche négligemment jetée sur les épaules, une robe pailletée claire et transparente cousue sur elle, une robe à 6000 dollars qui entrave ses pas. Elle trottine jusqu’au pupitre, donne une pichenette au micro avant de l’empoigner et de se pencher en avant, pour susurrer plus qu’elle ne chante «Happy Birthday to you». Les vœux d’anniver-saire les plus sensuels et sexuels que l’on ait vus, avant comme après. Ce qui mit fin à sa liaison avec le président des Etats-Unis, John Fitzgerald Kennedy.

CONJECTURES, KENNEDY BOB, KENNEDY JOHN FITZGERALD, SUICIDE PROBABLE…

Légende photo : Obisci cuptatu riossuntiae mintibus qui ut porum que volorenis quo ex earia. Légende photo : Obisci cuptatu riossuntiae mintibus qui ut porum que volorenis quo ex earia.

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MCCALENDRIER

En 1948, Marilyn est sans le sou. Elle ne peut plus se payer à manger et doit quatre semaine de loyer en retard. Elle a déjà posé pour des publici-tés sous l’œil du photographe Tom Kelly, et l’épouse de ce dernier, Nathalie, lui suggère de poser nue pour un calendrier, arguant du fait que le salaire est tout ce qu’il y a de correct (50 dollars) et qu’il n’y a aucun mal à cela. Marilyn exige que la séance se passe de nuit, et que personne n’assiste à la prise de vues, en-dehors du couple Kelly. Elle prend, en outre, un pseudonyme Mana Monroe pour ce qu’elle considère comme un «travail» comme un autre. Le calendrier, ne sortira que quatre ans plus tard, alors que la carrière de l’ac-trice connaît un véritable essor, et qu’elle tourne Niagara de Henry Hathaway. On ne peut pas la rater, Marilyn est la première dans le calendrier, étendue sur un velours rouge, les jambes repliées, la tête à moitié cachée dans son bras droit, elle est Miss Golden Dreams de Janvier 1953. Panique au ser-vice de presse de la 20th Century Fox, qui lui demande de nier qu’il s’agit de son corps. Ce à quoi elle aurait répondu : «Puis-je admettre qu’il s’agit bien de mon visage ?» Sans rire, son interlocuteur lui conseille de nier en bloc. Au lieu de ça, elle répond avec sang froid, et une bonne dose d’humour, aux questions, qui ne manquent pas de fuser :- «Pourquoi avoir posé nue ?- C’est le genre de photos qu’ils voulaient- Vous n’aviez vraiment rien mis ?- Si… J’avais mis la radio ! Oh ! Vous voyez bien ce que je veux dire ? Si vous voulez dire que je ne portais rien sur moi, c’est faux je portais quelque chose - Quoi ? - Du Chanel n°5. » (3)

Plus tard, elle commentera encore : «Les gens sont drôles, ils vous posent de ces questions ! Et si vous êtes franche, ils sont choqués ! On me de-mande : «Qu’est-ce que vous mettez pour vous coucher ? Un haut de pyjama ? Le bas ? Une chemise de nuit ? » Je réponds «Une goutte de Chanel N°5» et l’on croit que c’est encore un bon mot, alors que j’essaie de répondre avec tact à une question grossière et indiscrète. Et puis, c’est vrai ! Mais on ne le croit pas !» (2)

5, NU, PEAU, POUPOUPIDOU

Légende photo Obisci cuptatu riossuntiae mintibus qui ut porum que volorenis quo ex eariate ea nonsedion pre dolorist rerero con pe non .

Marilyn de A à ZNouveau livre aux éditions Tana.Principe graphique de la couverture et des pages intérieures.

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1 patron 5 créationsNouvelle collection aux éditions Tana.Principe graphique de la couverture et des pages intérieures.

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Carrefour MagAppel d’offre Euro RSCG pour la création d’un magazine Carrefour en collaboration avec Charlotte Merle.

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Île de Ré, secrète et insolitePrincipe graphique et réalisation du livre avec choix iconographique pour les éditions Glénat.

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voyage

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La TransorientalePrincipe graphique et réalisation du livre pour les éditions E/P/A.

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Inventaire sentimental des côtes de FranceNouveau livre aux éditions Tana.Principe graphique et réalisation des pages intérieures.

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Maquereau au vin blanc

Préparation : 20 min - Cuisson : 50 min

4 petits maquereaux - 50 cl de vin blanc sec - 20 cl de vinaigre blanc

- 2 carottes - 1 citron - 1 oignon émincé - 6 clous de girofl - thym

- laurier - sel et poivre

Videz, étêtez et salez 4 petits maquereaux. Versez dans une cocotte 50 cl

de vin blanc sec, ajoutez 2 carottes coupées en rondelles, 1 oignon émincé,

6 clous de girofle, du thym, du poivre, une feuille de laurier. Portez à

ébullition pendant 10 mn. Ajoutez 1 citron coupé en rondelles et 20 cl de

vinaigre blanc. Portez de nouveau à ébullition, pendant 5 mn. Essuyez les

poissons. Déposez-les dans la cocotte, maintenez l’ébullition pendant 8 mn.

Placez-les dans une terrine avec la marinade, laissez refroidir.

Dégustez le lendemain.

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inventaire sentimental des côtes de France

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Stéphanie Boulay163 rue Saint denis 75002 Paris

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