Carême 2015

A la découverte de Don Bosco

et de son œuvre

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Bonjour Jean ! Es-tu un saint ?

Oui, je suis le saint des enfants et des adolescents.

Peux-tu nous raconter ta vie ?

Je suis né à Turin en Italie, le 16 août 1815. Mes parents m’ont appelé : Giovanni Melchior Bosco.Ma famille était très pauvre et vivait à la campagne.Et je suis mort le 31 janvier 1888, à l’âge de 72 ans.

Pourquoi le pape a déclaré que tu étais un saint ?As-tu fait quelque chose d’extraordinaire quand tu étais un enfant ?

Non, j’étais un enfant comme les autres. Il paraît que j’avais des talents pour amuser les copains et que j’étais doué pour prier.Le dimanche, j’étais capable de répéter à mes amis les sermons que j’avais entendus à l’église.

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Tu avais une grande mémoire! Et quel métier as-tu choisi ?

Eh bien! Regarde comment je suis habillé ! Je suis devenu un prêtre !

Est-ce que tu étais obligé de devenir un prêtre ?

Non, je l’ai choisi au fond de mon cœur.J’ai senti que je serai heureux de travailler avec Dieu.

Est-ce que tu as fait des études pour devenir prêtre ?

Oui et non! Au début, j’étais trop pauvre mais j’ai travaillé fort et j’ai reçu de l’aide.

Une fois prêtre, qui as-tu aidé ?

D’abord, je me suis occupé des jeunes ouvriers qui étaient pauvres. Puis, j’ai décidé de faire quelque chose pour les jeunes abandonnés dans la rue.

Qu’as-tu créé pour ces jeunes ?

Je leur ai trouvé une maison, de la nourriture, des vêtements. Je leur ai donné des cours du soir. Je leur ai appris un métier. J’ai aussi créé une école secondaire et des camps de vacances.

Est-ce que d'autres ont continué ce que tu faisais ?

Oui, je suis devenu un très bon pédagogue. Alors je me suis entouré de personnes compétentes qui aimaient les jeunes et nous avons formé la grande famille des Salésiens. Il y a des Salésiens partout dans le monde.

Toi qui es au ciel maintenant avec Jésus, peux-tu nous dire un message ?

Fais-toi proche de celui que tu veux aider. À chaque soir, dis-lui un talent ou une qualité que tu vois en lui. Encourage-le !

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1) Appelé à aimer comme Dieu

Jean Bosco est âgé d'environ neuf ans lorsqu'il a un songe quiva imprimer une direction à toute sa vie:

il se voit au milieu d'une multitude d'enfants en furie, qui sebattent et s'insultent. Il essaie alors de les ramener à laraison à coup de poing. Soudain, un personnage mystérieuxs'avance: « Non, pas de violence ! », lui dit-il. « De ladouceur, si tu veux gagner leur amitié ! » Alors les enfantsqui s'étaient transformés en bêtes féroces, deviennent desagneaux et Jean entend une voix féminine lui dire: « Prendston bâton et mène-les paître ».

Peu après il dévoile à sa mère, Marguerite, le désirconsumant de son cœur: « Mère, si un jour je suis prêtre, jeconsacrerai ma vie aux enfants. Je les aimerai et m'en feraiaimer. Je leur donnerai de bons conseils, et me dépenseraisans mesure pour le salut de leurs âmes ».

Qui se lèvera pour les fils des hommes, qui les sortira du désert ?

Désert des défaites, des vies imparfaites, où est celui qui viendra ?

En tous temps, le Seigneur est grand, Dieu envoie ses prophètes

En tous temps, le Seigneur est grand,il sauve ses enfants

Qui se lèvera pour les fils des hommes, qui fera s'écarter la mer ?

Mer des solitudes, de nos habitudes, où est celui qui viendra ?

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Qui se lèvera pour les fils des hommes, qui les sortira du tombeau ?

la nuit qui avance, la désespérance, où est celui qui viendra ?

Qui se lèvera pour les fils des hommes, qui leur rendra la dignité ?

Les petits se traînent sous le poids des chaînes, où est celui qui viendra ?

Dès son enfance, Jean veut améliorer le monde. Il découvre que cene sera pas par la force qu'il pourra le faire, mais en aimant et en

faisant réfléchir. Il est prêt à se donner pour cela.

Écris autours du dessin ci-dessous, les prénoms de tous ceux qui sont en classe avec toi. Prie pour eux cette semaine.

Seigneur, rassemble-nous dans ton amour.

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2) Ton talent au service des autres

Quand il accompagne sa mère au marché, Jean va toujours admirer les forains et tout seul il s’exerce à les imiter : il jongle, il fait le funambule, le clown et l’équilibriste. Alors, le dimanche il organise des spectacles qu’il ne fait pas payer mais il demande à tous d’écouter l’évangile et de prier avec lui.

Le vrai talent de Jean, c'était d'avoir envie d'apprendre. Il retenait aussi bien des techniques de travail, ce qui concerne la foi ou des techniques de cirque. Lorsqu'il faisait l'équilibriste, ce n'était pas juste pour s'amuser, mais pour créer un climat de confiance et transmettre ses connaissances.

Selon lui, tout le monde est capable de faire quelque chose. Tout lemonde à un talent.

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Et toi, quel est ton talent ? Qu'est-ce que tu fais le mieux ?

Le Saltimbanque du Seigneur

Mes frères, mes amis, d’une seule âme et d’un seul cœur.Votre vie est un habit à offrir au Seigneur.Dieu marchera près de vous au milieu du chemin Et ainsi jusqu’à la fin des temps.

1. Tu étais fils de laboureur,Le saltimbanque du Seigneur ;Enfant de la terre, des saisons,Fils des semailles et des moissons.Celui qui n’a jamais souffertReste fermé à la misère.Pour récolter, il faut semer.Jean Bosco, tu as tout donné.

2. Sous le soleil, dans la poussière,Confiant dans la bonté du Père

Pilier au milieu des petits,Des orphelins, des démunis,

Quand les blés sont morts,desséchés,

Tu as prié l’Immaculée.Avec deux grains pour quatre épis

Dieu a donné sens à ta vie.

3. Entre les mains de la Madonne,Mère des pauvres qui pardonne,

Tu as confié ton avenir :Tu es le bois de son navire.

Collines du Pays d'Asti, Souvenez-vous longtemps de lui,Les pieds dans les sabots de bois,

le cœur rempli de grande joie.

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3) Donner le sourire

Le sourire est contagieux,tu l'attrapes comme le rhume ! Quand quelqu'un m'a souri aujourd'hui, j'ai commencé à sourire aussi. J'ai tourné le coin et quelqu'un a vu mon sourire... Quand il a souri, j'ai réalisé que je venais de le lui passer. J'ai réfléchi à ce sourire et j'ai réalisé sa valeur : un simple sourire, comme le mien, peut faire le tour du monde. Alors, si vous avez envie de sourire, ne le retenez pas, montrez-le : débutons une épidémie et infectons le monde ! Continuez de faire voyager ce sourire en l'envoyant à un ami. TOUTLE MONDE A BESOIN D'UN SOURIRE

Avec un sourire

Y a des gens qui croient que pour être pris au sérieux, Il faut avoir une tête d'enterrement.

ma recette à moi est plus facile et c'est tant mieux, T'as qu'à l'essayer avant longtemps.

Avec un sourire, et puis un peu de joie pour deux,

On peut aller loin,même encore plus loin.

Un petit sourire qui fait plisser le coin des yeux Et le monde changera en bien.

Y a ceux qui se lèvent du pied gauche le matin Un grand verre de vinaigre à la main.

L'avalant d'un trait, disant que c'est bon pour le teint Ca nous fait des tristes paroissiens.

Y a ceux qui proclament qu'il faut vivre dans la joie Avec un visage à t'effrayer ...

On dirait qu'ils ont été cloués sur une croix Et oublié de ressusciter.

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Y a ceux qui affirment qu'au jour du jugement dernier, Le sérieux d'un pape est de rigueur. Le sel de la vie

C'est la joie qui peut le donner, La clef de la porte du bonheur.

Dimanche prochain, ce sera la mi-carême, le dimanche de la joie. C'est pour cette raison qu'une fête sera organisée sur la grand place de Frasnes. Nous en profiterons pour mettre Don Bosco à l'honneur par un spectacle, à 16h, dans l'église.

Osons le sourire.

Dessine ci-dessous un visage avec un magnifique sourire.

Seigneur, mets sur nos visages, ton sourire.

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4) Accueillir l'autre

La pluie tombe. Soudain, on frappe à la porte. Dans l'entrebâillement, apparaît la figure d'un garçon d'une quinzaine d'années.

"Je suis un orphelin venu du Val de Sesia pour chercher du travail. j'avais trois francs, ils ont été dépensés avant que je puisse en gagner d'autres. Maintenant, je n'ai plus rien, et je ne suis rien pour personne. Par charité, permettez-moi de passer la nuit dans un coin de la maison." A ces mots, le jeune adolescent éclate en sanglots.

Don Bosco et sa maman, Marguerite, sont émus. Celle-ci lui explique qu'elle l'accueillerait bien , mais que, la dernière fois qu'elle avait eu pitié de garçons comme lui, ils étaient partis avec toutes ses couvertures. Le garçon agite sa tignasse en signe de dénégation: "Oh, non! Je suis pauvre mais je n'ai jamais rien volé!"La mine est sincère. c'est décidé, on se serrera un peu plus. Maman Marguerite installe le garçon dans la cuisine. Avec quelques briques, une planche et une paillasse, elle dresse ce qui sera le premier lit du premier pensionnaire de l'oratoire. Don Bosco écrira: "Ce fut le premier garçon de notre internat. Un autre vint bientôt se joindre à lui, puis d'autres..." Mais il faudra toujours plus de place. C'est ainsi que, petit à petit, Don Bosco loue toutes les chambres de la maison Pinardi, les transformant en dortoirs.

Du pain, du travail et le paradis pour tous les préférés de Dieu.

(bis)

1. Ils ne sont que des enfantsPartageant des peines d’hommesSans famille, sans joie, sans maison.Froid dehors, faim en dedans.Les souliers cloutés résonnent, Les pavés, c’est pour les vagabonds.

2. Ils s’en viennent des montagnes, Des campagnes alentour,

Une vie meilleure au fond du cœur.Ils vont jouer à Qui perd Gagne.

Levés bien avant le jour,Embauchés pour quelque dur labeur.

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3. Qui leur a dit que là-basOn peut vivre sans combat,La terre promise est à portée.Tant de refus, d’abandons,Et les portes des prisons,Quand on n’est pas de la société…

4. Une lumière a jailli Du plus profond de la nuit,

Et s’envoleront toutes les peurs.Debout, sur un fil tendu,Heureux celui qui a cru,

Droit devant, l’esprit vers leSeigneur.

Imaginons que quelqu'un, que nous ne connaissons pas, va arriver.Nous voulons l'accueillir en décorant l'entrée de l'école. Qu'est-ce

que tu vas dessiner ou écrire ?

Fais le maintenant réellement... que ce soit pour l'entrée de ta classe, ton école ou de ta chambre.

Seigneur, donne nous aussi les gestes et les paroles quiaccueillent.

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5) Vivre en frère

– Don Bosco ! Vous me connaissez ?

– Oui, que je te connais, répondis-je.

– Et vous vous souvenez de moi ? Poursuivit cet homme.

– De toi et de tous les autres. Tu es Valfrè, et tu étais à l’Oratoire avant 1870.

– Dites, continua l’homme, vous voulez voir les garçons qui étaient de mon temps à l’Oratoire ?

– Oui, montre-les moi, répondis-je ; cela me fera grand plaisir.

Alors Valfrè me montra les garçons, tous avec le visage, la taille et l’âge de cette époque. Il me semblait être à l’Oratoire d’autrefois pendant la récréation. Tout était vie dans ce que je voyais, tout était mouvement, tout était joie. Qui courait, qui sautait, qui faisait sauter. Ici on jouait à la grenouille, là aux barres et au ballon. Ici un groupe de garçons s’était formé, pendu aux lèvres d’un prêtre qui racontait une histoire. Ailleurs un éducateur jouait avec d’autres à pigeon vole et aux métiers. Partout des chants et des rires ; partout des professeurs et des prêtres, et autour d’eux les garçons qui criaient joyeusement. La plus grande cordialité et la plus grande confiance régnaient visiblement entre les garçons et leurs supérieurs. J’étais ravi par ce spectacle.

Ouvrez vos mains, tendez vos mainsPrenez vos mains, chantez

Si nous sommes arrivés de tous les horizons

C'est pour nous partager le pain et les chansonsvous qui passez par là, vous qui nous regardez

notre repas de joie, venez le partager

Allez, les endormis, il faut vous réveillersortez de cette nuit qui vous tient prisonnier

voyez le jour nouveau, si tout le monde s'y metle monde sera beau car on peut le changer

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Jésus qui nous appelle à partager ce painsans cesse nous rappelle qu'il faut ouvrir nos mainsqu'il faut ouvrir nos cœurs, ne pas garder pour soi

la vie et le bonheur et le don de la joie

Nous pouvons tous nous reconnaître comme des frère et des sœurs, parce que Jésus est venu nous annoncer que nous sommes tous « enfants de Dieu ».

Prions cette semaine comme Jésus nous l'a enseigné :

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6) Oser la confiance

En 1845, sur la route de Stupingi tout proche de Turin, on a ouvert un centrede redressement pour les jeunes délinquants : La Générale. Don Bosco fréquente régulièrement l’établissement et se fait l'ami des garçons qui y sont enfermés.

Pendant le carême de 1855, Don Bosco leur fait un sérieux cours de catéchisme et des Exercices spirituels. « Il est frappé, par la bonne volonté de tous et il leur promet quelque, chose d'exceptionnel : une belle promenade au domaine royal de Stupingi. Mais il faut l'autorisation du Ministre Ratazzi :

− D'accord, Don Bosco. Une promenade fera certainement du bien aux jeunes prisonniers. Je donnerai les ordres nécessaires pour que sur le parcours se trouvent des carabiniers en civil.

− Ah ! non. La seule condition que je mets, c'est qu'aucun garde ne nous protège et vous devez me donner votre parole d'honneur. Le risque c'est moiqui le prends. Si quelqu'un s'échappe, c'est moi que vous mettrez en prison.

Les deux hommes rient ensemble puis Ratazzi devient sérieux :

− Don Bosco, soyez raisonnable. Sans, les carabiniers, vous n'en ramènerez pas un seul à la prison.

− Et moi je vous dis au contraire que je les ramènerai tous.

Ratazzi réfléchit quelques secondes puis :

− Ca va, j'accepte. Je fais confiance ...

Don Bosco retourne à la Générale et annonce la promenade : ‘J’ai donné maparole que du premier au dernier vous vous comporterez bien et que vous ne chercherez pas à vous évader. Le Ministre m'a donné sa parole qu'il n'enverrait aucun garde. Vous aussi vous devez me donner votre parole...

− Nous reviendrons tous et nous nous comporterons correctement’.

Le lendemain est une journée magnifique. Don Bosco, au milieu de la petitebande plaisante et raconte des histoires. A Stupingi, on assiste à la messe, onmange sur l'herbe, on se déchaîne en compétitions et en jeux, on visite le parc et le château royal. C'est le goûter puis le retour au coucher du soleil ... Ils sont tous là... Le Ministre est transporté de joie ...

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Une mère ne donne-t-elle pas à ses enfants le meilleur d’elle-même ?

Tu es femme de parole - de présence / - de lumière / - de partage.

Tu es femme de parole, la fidélité au cœur.Tu es celle qui console, le refuge des pêcheurs

Tu es femme de présence, quand la fête est terminée.Tu es femme de silence dans ta grande humilité.

Tu es femme de lumière, toi l’aurore après la nuit.Tu es femme de prière à l’écoute des petits

Tu es femme de partage, toi qui donnes sans compter.Tu demeures d'âge en âge la Madone des affligés.

Lorsque l'on parle de la confiance, on peut penser à la maman de Jésus : Marie. Lorsqu'elle a accueilli Dieu dans sa vie, elle lui a entièrement fait confiance. Don Bosco la considérait comme celle qui avait toute la confiance de Dieu et c'est pourquoi il la priait beaucoup. Alors nous aussi, redisons chaque jour :

Je te salue Marie, comblée de grâce, Le Seigneur est avec toi.

Tu es bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de tes entrailles est béni.

Sainte Marie, Mère de Dieu, prie pour nous pauvres pécheurs,maintenant et à l’heure de notre mort.

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Prière de Don Bosco

Seigneur, donne-moi des jeunes à conduire vers toi. Et enlève-moi tout le reste.

Ma vie, c'est à vous que je la dois. Mais soyez-en persuadés: à partir d'aujourd'hui je la dépenserai entièrement pour vous.

Je t'aime tellement que si un jour je n'avais plus qu'une bouchée de pain, c'est avec toi que je la partagerais.

Sta allegro. Sois joyeux. Sache qu'ici nous faisons consister la sainteté à vivre joyeux.

Je n'ai qu'un seul désir, celui de vous voir heureux dans ce monde et dans l'éternité.

Que non seulement les jeunes soient aimés, mais qu'ils se sentent aimés. Qu'ils soient aimés en ce qui leur plaît et qu'ils apprennent ainsi à découvrir l'amour en toutes choses.

Tous ceux qui me voyaient avancer disaient: Don Bosco marche toujours sur des roses. Ils ne voyaient pas que les épines me déchiraient.

Depuis quelques temps il se répand le bruit que Don Bosco fait des miracles. Je n'ai rien fait d'autre que de prier.

Faites ce que vous pouvez: Dieu fera ce que nous, nous ne pouvons pas faire.

Promettez-moi de vous aimer comme des frères.

C'est elle, Marie, qui a tout fait.

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