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HORAIRES DE CHABAT ב״הChabath Chemot 19 Teveth 5775 / 10 Janvier 2015 N.296 Entrée: Sortie: New-York: 4:28pm 5:32pm Paris: 16:54 18:08 Tel-Aviv: 16:35 17:34 Médecin ou cordonnier ??? Le Gaon Harav Yossef Haïm Zonnenfeld discutait un jour avec un homme qui avait sorti son fils de la Yechiva pour qu’il se dirige vers l’université. Il souhaitait que son fils devienne médecin. Le Tsadik tenta par tous les moyens de l’en dissuader, cherchant à savoir quelle était la raison d’une telle décision. « Rabbi, qu’y-a-t-il de mal à cela? Le monde a besoin de médecin! Que ferait le monde sans médecin? Vous-même avez sans doute eut recours à un médecin plus d’une fois, vous avez été bien content d’en trouver un, non ??? » Placidement, le Gaon lui répondit: « Le monde a aussi besoin de cordonniers !!! Ce n’est pas pour cela que tu vas enseigner à ton fils le métier de cordonnier !?!?!?!» 20 TEVETH HILLOULA DU RAMBAM *Rabbi Moché Ben Maïmone est né en Espagne mais il va rapidement s’installer en Egypte. * Là, il va étudier et devenir un maître et un guide pour son peuple. * Il est aussi un grand médecin et grand philosophe. * Il rédige entre autre le guide des égarés, la lettre du Témane et le Yad Hahazaka (recueil de lois). * Il finira par s’établir en Erets-Israël où il finira ses jours à Tvéria le 20 Teveth. * C’est là-bas qu’il est enterré. *Sur son tombeau figure la célèbre phrase: « DE MOCHE JUSQU’À MOCHE, IL N’Y EUT PERSONNE COMME MOCHE ! » 1 Réalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha /

Chemot 5775

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HORAIRES DE CHABAT

ב״ה

Chabath Chemot 19 Teveth 5775 / 10 Janvier 2015 N.296

Entrée: Sortie:New-York: 4:28pm 5:32pmParis: 16:54 18:08Tel-Aviv: 16:35 17:34

Médecin ou cordonnier ???

Le Gaon Harav Yossef Haïm Zonnenfeld discutait un jour avec un homme qui avait sorti son fils de la Yechiva pour qu’il se dirige vers l’université.Il souhaitait que son fils devienne médecin.Le Tsadik tenta par tous les moyens de l’en dissuader, cherchant à savoir quelle était la raison d’une telle décision. « Rabbi, qu’y-a-t-il de mal à cela? Le monde a besoin de médecin!Que ferait le monde sans médecin?Vous-même avez sans doute eut recours à un médecin plus d’une fois, vous avez été bien content d’en trouver un, non ??? »Placidement, le Gaon lui répondit: « Le monde a aussi besoin de cordonniers !!! Ce n’est pas pour cela que tu vas enseigner à ton fils le métier de cordonnier !?!?!?!»

20 TEVETHHILLOULA DU RAMBAM

*Rabbi Moché Ben Maïmone est né en Espagne mais il va rapidement s’installer en Egypte.

* Là, il va étudier et devenir un maître et un guide pour son peuple.

* Il est aussi un grand médecin et grand philosophe.

* Il rédige entre autre le guide des égarés, la lettre du Témane et le Yad Hahazaka(recueil de lois).

* Il finira par s’établir en Erets-Israël où il finira ses jours à Tvéria le 20 Teveth.

* C’est là-bas qu’il est enterré.

*Sur son tombeau figure la célèbre phrase: « DE MOCHE JUSQU’À MOCHE, IL N’Y EUT PERSONNE COMME MOCHE ! »

1Réalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

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Retrouvailles !!!

Résumé de la Parachat Chemot

* Le livre de Chemot s’ouvre par l’énumération des enfants d’Israël descendus en Égypte. * Un nouveau roi se lève, qui n’a pas connu Yossef et, s’inquiète du nombre grandissant des Bné-Israël et fait tuer tous les enfants mâles à naître et fait des Bné-Israël, des esclaves.* Par miracle, Moché sera sauvé de ce décret et c’est Batya, la fille de Paro qui l’adoptera.* Moché voit un égyptien maltraiter un Juif, Moché le tue.* La chose se répand et Moche fuit à Midyane car Paro veut le tuer.* Moché épouse la fille de Ytro, Tsipora, et lui donne deux enfants, Guerchom et Eliézer.* Hachem se dévoile à Moché devant un buisson ardent et le délègue pour libérer son peuple.* Moché refuse mais à bout d’arguments, il acceptera la mission en étant accompagné de son frère Aharon.* Paro va tout d’abord refuser de laisser partir les Bné-Israël, il va même endurcir la servitude des Bné-Israël en leur retirant la paille qui servait à fabriquer les briques.* Moïse se lamente d’être la cause des souffrances de ses frères mais Hachem lui demande de lui faire confiance.

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«Et Moché eut peur».

* Lorsque Moché sépare les deux Juifs Datane et Aviram, ils lui reprochent de vouloir les tuer comme il a tué l’égyptien.Moché comprend que la chose a été divulguée et il eut peur.

Peu après, Pharaon veut tuer Moché.

En réalité, si Paro a voulu tuer Moché c’est parce que ce dernier a eu peur!En effet, nos maitres nous enseignent qu’une pensée positive a une force créatrice; lorsqu’on pense positivement, les choses se passent concrètement bien !Si Moché avait pensé bien, il n’aurait pas eu à fuir l’Egypte !Mais comme Moché a eu peur, cela a provoqué que Paro a voulu le tuer et qu’il a du fuir.

« Moche avait du mal à parler ».

* Moche était « Kaved Pé ». Cela signifie qu’il avait du mal à prononcer la lettre « P ».Or il se trouve justement que la formule censée prouver aux Bné-Israël que Moché était le vrai libérateur était « PAKOD IFKOD ELOKIM ETHEM ».En toute logique, Moché n’aurait pas pu prononcer le premier mot de cette phrase !Quand les Bné-Israël ont vu qu’il arrivait à prononcer les mots correctement, ils ont compris qu’ils avaient en face d’eux le libérateur !!!

* Pourquoi Hachem choisit pour libérer son peuple justement une

personne qui avait du mal à s’exprimer ???

Lorsqu’une personne a les capacités nécessaires pour assumer une mission, elle risque de se tromper et de penser que sa réussite est le fruit de ses qualités et de sa force !Or, quand cette même personne n’a pas du tout les qualités requises pour une telle mission, il est évident qu’elle ne fera pas l’erreur de croire qu’elle est à l’origine de la réussite; il sera clair que c’est Hachem et uniquement Hachem qui est à l’origine de cette réussite !Or ce sentiment de suffisance et de confiance en soit est la cause de l’échec, car quand un homme se sent « capable » alors Hachem l’abandonne et le laisse se débrouiller tout seul !Hachem choisit donc Moché justement pour son défaut qui était en fait la garantie d’une réussite absolue!

«Ils leur rendirent la vie amère».

* A propos de la difficulté de l’exil égyptien, nos maitres divergent sur le sens de « Ils leur rendirent la vie amère ».Pour certains, il s’agit de construire puis détruire les pyramides érigées par les Bné-Israël, ce qui représente une grande épreuve puisqu’il n’y a pas pire que de travailler sans aucune utilité!Pour d’autres, les égyptiens demandèrent aux hommes de faire de travail des femmes et inversement.

A ce propos, voici un extrait d’une lettre du Rabbi sur le rôle de la femme.

A notre époque où les gens prennent la lumière pour l’obscurité et la douceur pour de l’amertume, nous devons regarder dans la Thora pour garder nos repères.Certaines personnes prétendent que le statut de la femme dans la Thora est négligé. Ils avancent pour cela « Ahavat Israel » et le fait que tous ont été créés à l’image d’Hachem et qu’il faut donc préserver cette égalité voulue par Hachem.Ils ont donc créé le « mouvement de libération de la femme ».Mais en réalité, ce qu’ils ont apporté est contraire à la Thora et va à l’encontre de l’intérêt de la Femme.Les conséquences de leurs propositions font encore plus de mal à la Femme et la dégradent encore plus.En effet, ils prétendent défendre les intérêts de la femme mais, y-a-t-il un plus grand mépris pour une personne que d’être privée de son droit a être elle-même ???Peut-on supposer un instant que ce soit une libération que d’obliger la Femme à tout faire pour ressembler …… à un Homme ???La Thora interdit à la femme de porter l’armure d’un homme comme elle interdit à l’homme de se maquiller comme une femme !Chacun est différent et il est donc aussi inutile qu’impossible de tenter de comparer les deux. Chacun a une mission différente à assurer et il a pour cela reçu des qualités différentes qui lui permettront de mener à bien sa mission.La femme a reçu l’immense responsabilité d’éduquer la prochaine génération et c’est elle (ne l’oublions pas) qui transmet la religion à l’enfant !Chacun devra donc s’efforcer d’être lui-même et ce n’est que dans ce cas qu’il lui sera possible de réaliser la mission pour laquelle il est descendu sur terre !

( Les mots sont les miens, pas ceux du Rabbi.Seule l’ide est du Rabbi.)

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3 Questions pour le Rambam ?!?!

Rabbénou Moché ben Maïmone, connu de son surnom RaMbaM, fut, au début de sa vie, l'objet d'une grave suspicion. Parmi les livres qu'il avait écrits, certains furent considérés comme dangereux pour les étudiants dont le jugement n'avait pas encore suffisamment mûri.Les ouvrages talmudiques du Rambam étaient reconnus par l'ensemble des rabbins et des érudits de son temps et des époques ultérieures comme véritablement marquants, et même comme l'œuvre d'un géant de l'érudition religieuse. Mais le Rambam fut aussi un grand médecin, un homme de science et un penseur éminent ; et il écrivit un ouvrage intitulé le « Guide des Égarés » dont il espérait qu'il serait accueilli avec une faveur égale à celle de ses autres œuvres.Ceux qui étaient « égarés », et dans l'esprit desquels régnait la confusion relativement aux vraies croyances de la foi juive, trouvèrent, en effet, dans ce livre, un guide pour le véritable mode de vie judaïque. Mais il y avait les autres. Quelques rabbins en conçurent des craintes : les étudiants, nullement « égarés », qui le liraient ne risquaient-ils pas de voir la confusion envahir leur esprit ? Certains en arrivèrent même à douter que l'auteur de Michneh Torah (l'œuvre de Halakhah de Maïmonide) et celui du « Guide des Égarés » fussent une seule et même personne.Aussi les rabbins d'Allemagne décidèrent-ils d'envoyer un de leurs collègues à Cordoue (où le Rambam résidait alors), afin de prendre une mesure plus exacte de cet homme.L'émissaire, Rabbi Meïr, accompagné d'un de ses étudiants les plus brillants, fit le long et difficile voyage jusqu'en Espagne. Ayant atteint les faubourgs de la ville, les deux hommes décidèrent de prendre un repos au bord du fleuve dont les eaux étaient à cette époque particulièrement limpides. Ils en profitèrent pour se désaltérer. Puis Rabbi Meïr tira un livre de ses bagages et se plongea dans l'étude. Une fois reposés, les deux voyageurs reprirent leur chemin. Mais aucun d'eux ne s'aperçut que le livre avait été oublié au bord de l'eau.Arrivés à la maison de Rambam, Rabbi Meïr frappa à la porte. Un serviteur vint ouvrir et pria le visiteur d'entrer.– Mon maître est en train de déjeuner. Qui dois-je annoncer ? – Dites seulement que le visiteur lui présente ses respects et lui souhaite de manger de bon appétit les œufs qu'il a sur sa table, répondit Rabbi Meïr.Quelques instants après, le serviteur revint.– Mon maître vous souhaite la bienvenue, dit-il. Et il profite de l'occasion pour vous rappeler que vous avez laissé un livre au bord du fleuve.Rabbi Meïr fouilla dans ses bagages. Le livre manquait, en effet. À ce moment, le Rambam entra et accueillit chaleureusement le rabbin d'Allemagne. Il l'invita à partager son repas. Un repas bizarre qui ressemblait fort à une main d'homme ! Rabbi Meïr en fut stupéfait. « Est-il possible, pensa-t-il, que le Rambam soit un cannibale et qu'il mange de la chair humaine ? » Il refusa de se servir, prétextant qu'il n'avait pas faim.« Alors, peut-être accepterez-vous un verre de bon vin ? Petrus, apporte-nous donc un cruchon de vin de la cave ». Autre surprise pour Rabbi Meïr ! Était-il possible que le Rambam bût du vin qu'un non-juif avait touché ? N'était-ce pas contraire à la loi juive ? Poliment, il refusa encore une fois.Se sentant fatigué et l'esprit fort troublé, Rabbi Meïr accepta la suggestion de son hôte d'aller se reposer et se retira dans sa chambre.« Nous remettrons à demain notre banquet, dit le Rambam ; et se tournant vers son serviteur : « Petrus, demain tu égorgeras le veau pour le banquet préparé en l'honneur de notre invité. »

Pour la troisième fois, Rabbi Meïr fut choqué. « Le Rambam n'envoie pas chercher le chohet ! Rabbi Meïr ne ferma pas l'œil de la nuit; il arpenta de long en large sa chambre. Qui eût cru possibles de telles choses de la part d'un si grand homme ! Le jour suivant, de bonne heure, le serviteur vint frapper à sa porte et l’informa que son maître désirait lui parler.Le Rambam accueillit Rabbi Meïr avec un sourire plein d'amitié ; et, sans lui laisser la possibilité de poser de questions, il lui dit :« Mon cher ami, je sais pourquoi vous avez fait ce voyage. Vous avez été chargé de voir quelle sorte d'homme je suis. Permettez-moi maintenant de vous expliquer toutes ces choses étranges.Voyez-vous, le plat bizarre d'hier soir n'est autre qu'un légume qui pousse dans ce pays, mais il est inconnu chez vous. C'est un aliment très sain. Vous savez que je suis médecin, j'attache donc une grande importance à l'alimentation... »À ces mots, Rabbi Meïr sentit la rougeur de la honte lui monter au visage. Il avait, à tort, soupçonné de tant de choses terribles le Rambam ! Mais, s'il ne doutait plus de ce dernier, il restait deux points demeurés obscurs pour lui.« Vous avez pourtant donné l'ordre à votre serviteur non juif de monter un cruchon de vin de la cave ? dit-il à son hôte. »« D…. me garde de faire une pareille chose ! Voyez-vous, mon serviteur Petrus est un Juif de naissance, et rigoureusement pratiquant. Petrus fut aussi le nom du père de l'un de nos Sages : Rabbi Joseph bar Petrus et selon le Talmud Yérouchalmi Rabbi José bar Petrus fut le beau-père du grand Sage Rabbi Josué ben Lévi.L'embarras de Rabbi Meïr était grand. « Quant à l’abatage du veau, cela est aussi simple que le reste, fit le Rambam. On eût dit qu'il lisait dans les pensées de Rabbi Meïr. Vous n'êtes pas sans savoir que lorsqu'un veau est extrait du ventre de la vache par le moyen d'une césarienne, après que la mère a été saignée conformément à la loi, ce veau, ayant bénéficié de la chehitah de celle-ci, n'a plus besoin, lui, de la chehitah.Les larmes vinrent aux yeux de Rabbi Meïr. Il prit Rambam dans ses bras et le supplia de lui pardonner. Rambam le fit sans difficulté. Les deux érudits passèrent les quelques jours qui suivirent à étudier et discuter, à la grande joie de chacun d'eux.

De retour dans son pays, il parla de Rambam dans les termes les plus flatteurs partout où il eut l'occasion de passer. « Depuis Moché (Rabbénou) jusqu'à Moché (ben Maïmone), il n'y eut personne tel que Moché (ben Maïmone) », telle était la réputation de Maïmonide. Le rapport que fit Rabbi Meïr aux rabbins d'Allemagne, qui l'avaient envoyé dans ce but en Espagne, ne fit que confirmer cet adage.

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* Cette bénédiction est la quatrième de la série des demandes.« Béni sois-Tu …. Toi qui nous délivres ».

• C’est au moment de la sortie d’Egypte, lorsqu’Hachem libère son peuple que les anges entonnent cette louange qui se conclut par les mots: « Libérateur d’Israël ».

Lorsque nous parlons de libération il faut distinguer la libération d’une personne prisonniere d’une tièrce personne ou d’un groupe de personne, de la libération de celui qui est prisonnier de ses habitudes ou de ses limites. La seconde étant bien plus grave que la première!

* Cette bénédiction fait directement suite à « Selah Lanou » (pardonne nous) car c’est grâce à la Techouva que nous mériterons la délivrance définitive.

* Pourquoi devons-nous demander la délivrance ??Il existe différentes façons de hâter la delivrance, l’une d’elle est d’exprimer son besoin et sa souffrance d’être toujours en exil.Nous voyons d’ailleurs dans la Paracha qu’Hachem entendit les cris des Bné-Israël et que juste après cela il se souvint des Bné-Israël et envoya Moché pour les libérer !

Une personne demanda un jour au Rabbi : « Pourquoi est-il nécessaire de crier « WE WANT MACHIAH NOW » ?Le Rabbi répondit: « Quand on a mal, on crie ! »

* Ce passage commence par les mots: « Vois Hachem s’il te plait notre souffrance ».Le mot employé pour designer la souffrance est « ONIYENOU » qui se rapproche de « ONI » ou encore « ANAV », l’humilité.Car Hachem aime les personnes humbles et il a en horreur l’homme orgueilleux.

A propos de toutes les qualités (Midot) le Rambam demande de s’efforcer de garder toujours la juste mesure; sauf deux, la colère dont il faut s’éloigner le plus loin possible, et l’orgueil qu’il faut fuir jusqu’à l’autre extrémité.A celui qui s’inquièterait de ce qui pourrait advenir à celui qui est humble, ne risque-t-il pas de se faire marcher dessus ??Hachem a promis d’élever celui qui sera rabaissé et …… de rabaisser celui qui s’enorgueillit.D’ailleurs Hachem refuse tout simplement de s’associer et de se trouver dans l’environnement de l’homme orgueilleux !

Iguérot Kodesh N. 8687

Je vous bénis et vous salue

Je fais réponse à votre lettre du 5 Tichri, que je viens de recevoir. Vous me faites part de votre état de santé et vous me dites que vous n’êtes pas encore enceinte. De façon générale, en pareil cas, il faut se conformer à l’avis d’un médecin spécialiste en ce domaine. En effet, on doit faire son possible selon les voies de la nature. A Paris, on trouve effectivement plusieurs médecins spécialistes.

Néanmoins, et ceci est essentiel également, il peut arriver qu’une grossesse soit retardée du fait d’une connaissance et d’un respect imparfaits des règles et des lois de la pureté familiale. Il est donc nécessaire de vérifier tous les détails auprès d’un Ravtranchant la Alaha. Compte tenu de l’éducation que vous avez reçu au sein de notre école, vous savez surement tout ce qu’il est nécessaire de faire. Cependant, il est judicieux d’envisager une telle clarification. En effet, « il n’est pas de juste sur terre qui…. » (fait le bien et ne commet pas de faute).

Vous respectez surement l’usage positif des femmes vertueuses d’Israël, qui consiste à prélever de la Tsedaka avant l’allumage des bougies, à la veille du Chabbath et des fêtes.

Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnesnouvelles de tout cela.

Pour le Rabbi Chlita.

Ce feuillet est dédiéà l’élévation de l’âme de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV

La Tefila

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Nous nous associons

à la souffrance et à la peine

des familles des victimes du journal

« CHARLIE HEBDO »