7
Espace Bénévolat, Hall 4-2 Boite 25, 130 rue des poissonniers 75018 Paris [email protected] « Comment travailler la communication orale avec les migrants ? » Les 22, 23 et 28 mai 2013, Formation animée par deux formateurs de l’association ADAGE : Marie-Christine Kauffmann (Formatrice en linguistique auprès des apprenants et des formateurs) et Christophe Guichet (Comédien et intervenant en communication et accès à la parole auprès des apprenants et des formateurs). Compte-rendu de la formation BILAN QUALITATIF ET QUANTITATIF 13 participants 18 heures de formation sur 3 jours 11 associations, 3 départements représentés (75, 78, 94) Evaluation orale et bilan individuel écrit effectuée en fin de formation 12 évaluations recueillies, 100 % de satisfaction (voir détail évaluation en fin de compte rendu) SYNTHESE DES 2 JOURNEES D’INTERVENTIONS Public : Bénévoles ou salariés de la formation linguistique aux migrants Objectifs : Acquérir des outils pour travailler la phonétique S’initier au système phonologique du français et savoir repérer les difficultés phonétiques liées aux pays d’origine Travailler autour de la communication verbale et non verbale Travailler autour de l’animation d’ateliers sur les thèmes de société et de citoyenneté En transversal : posture, rôle et limites du formateur Soutien: Cette formation a pu être réalisée grâce au soutien de la fondation Areva. Programme de la formation : Jour 1 La phonétique : quand et comment ? Rythme de la langue, intonation, accentuation, lettres muettes, segmentation, continuité Présentation de méthodes Grands principes de communication Engagement physique du formateu dans un groupe d’apprenants Jour 2 Place de la parole Choix du vocabulaire Travail sur la voix Travail autour des codes sociaux Difficultés en lien avec la langue d’origine Quelles activités proposer en formation ? Discrimination auditive/articulation Jour 3 Animer des débats Autour des thèmes de société Travail autour des codes sociaux Passage de l’oral à l’écrit : - Elaboration de séquences sur l’étude d’un son - Propositions d’outils

Comment travailler la communication orale avec les … Bénévoles ou salariés de la formation ... puissent travailler avec leurs apprenants l’accès à la parole, ... on peut en

  • Upload
    vungoc

  • View
    213

  • Download
    1

Embed Size (px)

Citation preview

Espace Bénévolat, Hall 4-2 Boite 25, 130 rue des poissonniers 75018 Paris cœ[email protected]

«« CCoommmmeenntt ttrraavvaaiilllleerr llaa ccoommmmuunniiccaattiioonn oorraallee aavveecc lleess mmiiggrraannttss ?? »»

Les 22, 23 et 28 mai 2013,

Formation animée par deux formateurs de l’association ADAGE : Marie-Christine Kauffmann (Formatrice en

linguistique auprès des apprenants et des formateurs) et Christophe Guichet (Comédien et intervenant en

communication et accès à la parole auprès des apprenants et des formateurs).

Compte-rendu de la formation

BILAN QUALITATIF ET QUANTITATIF 13 participants 18 heures de formation sur 3 jours 11 associations, 3 départements représentés (75, 78, 94) Evaluation orale et bilan individuel écrit effectuée en fin de formation

12 évaluations recueillies, 100 % de satisfaction (voir détail évaluation en fin de compte rendu)

SYNTHESE DES 2 JOURNEES D’INTERVENTIONS

Public : Bénévoles ou salariés de la formation linguistique aux migrants

Objectifs : • Acquérir des outils pour travailler la phonétique

• S’initier au système phonologique du français et savoir repérer les difficultés phonétiques liées aux pays d’origine

• Travailler autour de la communication verbale et non verbale

• Travailler autour de l’animation d’ateliers sur les thèmes de société et de citoyenneté

• En transversal : posture, rôle et limites du formateur

Soutien:

Cette formation a pu être réalisée grâce au soutien de la fondation Areva.

Programme de la formation :

Jour 1

• La phonétique : quand et

comment ?

• Rythme de la langue, intonation,

accentuation, lettres muettes,

segmentation, continuité

• Présentation de méthodes

• Grands principes de communication

• Engagement physique du formateur

dans un groupe d’apprenants

Jour 2

• Place de la parole

• Choix du vocabulaire

• Travail sur la voix

• Travail autour des codes sociaux

• Difficultés en lien avec la langue

d’origine

• Quelles activités proposer en

formation ?

• Discrimination

auditive/articulation

Jour 3

• Animer des débats

• Autour des thèmes de société

• Travail autour des codes sociaux

• Passage de l’oral à l’écrit :

- Elaboration de séquences sur l’étude

d’un son

- Propositions d’outils

Espace Bénévolat, Hall 4-2 Boite 25, 130 rue des poissonniers 75018 Paris cœ[email protected]

DEROULE DE LA FORMATION

La partie animée par cette intervenante est consacrée au travail de la phonétique et du passage à l’écrit.

• Tour de table

• Brainstorming : qu’est ce que la phonétique pour vous ?

Deux grandes parties à travailler avec les apprenants pour faire de la phonétique :

1/ Le rythme de la phrase et l’intonation sont porteur de sens. La maîtrise de la musicalité est essentielle

pour se faire comprendre.

2/ L’articulation et la prononciation sont essentiels pour arriver à produire les sons. Il s’agit d’entendre et

de reproduire

NB : Il est recommandé de travailler la phonétique à petite dose, pas plus de 20/30 minutes par séance et

avec un seul objectif à chaque fois. Tout ce qui est présenté par la formatrice est un concentré mais le

travail doit être extrêmement progressif et se faire sur de nombreuses séances.

• Quelques pistes pour travailler le rythme et l’intonation

Avant tout, proposer un outil déclencheur avec l’écoute d’un enregistrement pour faire entendre rythme,

intonation et accent.

L’apprenant, grâce à l’écoute, la répétition, l’analogie et la comparaison doit prendre conscience des

caractéristiques de la langue française :

1-la syllabe est l’élément de base du groupe rythmique : chaque syllabe est égale. La forme la plus courante

est consonne-voyelle (CV) mais il existe d’autres cas, source de difficultés pour les apprenants.

2-le groupe rythmique (de sens) comprend un certain nombre de syllabes non accentuées et se termine

par une syllabe accentuée. Il ne fait jamais plus de 7 syllabes. Chaque groupe est séparé de pauses.

3- l’accentuation se traduit par l’allongement de la dernière syllabe du groupe rythmique. Il n’existe pas d’accent de mot mais un accent de groupe en fonction du sens. Cet allongement se déplace, ex : un café,

un petit café, un petit café noir. L’accent d’insistance est un accent supplémentaire qui permet d’exprimer

des sentiments. Ex. « j’adore ! » ou étonnement « encore ! »

4- les intonations sont porteuses de sens : Pour les débutants, l’intonation montante correspond à une

interrogation ; descendante à une affirmation. Ces intonations sont utilisées pour garder la parole.

5- L’usage des enchaînements et des liaisons témoigne de la tendance du français parlé à la syllabation CV. Faire prendre conscience à l’apprenant de la différence entre le découpage oral et le découpage écrit.

• Propositions d’applications

1/Ecouter un enregistrement et faire le geste de « taper au pilon » à chaque syllabe orale ou bien « taper

dans les mains » à chaque fin de groupe de sens.

Proposez d’abord un mot, puis deux, trois etc. Demander aux apprenants combien de syllabes ont été

prononcées.

2/A l’inverse, proposer un nombre de syllabes et demander aux apprenants de trouver un mot ou groupe

de mot correspondant

3/Pour faire repérer les syllabes allongées, utiliser des « contextes favorables » ou l’allongement sera plus

prononcé : interpeller de loin, (ex : madame ! madame Legrand ! c’est pour vous !) ou bien en énonçant

des listes (ex : des tomates, des carottes, du chocolat etc.)

4/ Pour travailler les enchainements et liaisons, proposer des consignes « écoutez-répétez 2 ou 3 fois » ex :

il a faim, elle a faim, notre adresse, notre hôtel, quatre enfants, l’autre immeuble, il parle avec elle en russe

etc… Le formateur est toujours la référence.

5/ Une fois que le principe des syllabes et syllabes allongées est compris, il est possible de faire utiliser des

phrases qui permettent d’enchaîner plusieurs groupes de sens (groupe sujet, groupe verbal, groupe

complément), et donc plusieurs « coupures » et « allongements ». Dans tous les cas, l’écoute et la

répétition sont la méthode la plus naturelle pour intégrer ces notions.

• Découverte d’une bibliographie

La formatrice commente les ouvrages (voir bibliographie en annexe)

Contenus

Proposés

par

M-Christine

Kauffmann

Espace Bénévolat, Hall 4-2 Boite 25, 130 rue des poissonniers 75018 Paris cœ[email protected]

• Quelques pistes pour travailler l’articulation et la prononciation

>Découverte de l’alphabet international de phonétique (API),

>L’analyse du schéma articulatoire (système vocalique et tableau articulatoire des consonnes) permet de

travailler sur des pistes de correction phonétique, correction des voyelles et des consonnes.

>Explication des « contextes facilitants » permettant de favoriser la prononciation (ex : utiliser une

consonne « grave » avec une voyelle « aigue », registre bas, débit lent, intonation montante etc.)

>Exemples d’exercices :

1/ dans quelle syllabe entendez-vous le son [y]

2/ entendez-vous le son [y] ou [i] ?

3/ dans lequel des trois mots entendez-vous le son [y] ?

5/ dans une phrase, combien de fois entendez-vous le son [y] ?

6/ les mots suivants sont-ils identiques ou différents ? (exemple : ride/rude, pile/pull etc.)

7/ Utilisation d’un miroir pour prendre conscience de l’articulation.

• Présentation de la méthode Borel-Maisonny

Cette méthode associe chaque son à un geste avec l’objectif de soutenir la compréhension du son (un

document est distribué pour présenter les gestes). L’idée est de mémoriser avec le corps.

• Quelques pistes pour passer de l’oral à l’écrit

Présentation de la méthode utilisée dans les cours municipaux de la ville de Paris pour passer du son à

l’écrit. Cette méthode associe toutes les caractéristiques des lettres pour favoriser la mémorisation.

Caractéristiques de chaque lettre :

1 nom (ex : le « L »)

1 son (ex : « lll »)

1 geste ( cf méthode Borel

1 mot clef (ex : « télé » pour le « L » )

3 graphies (cursive, majuscule, script)

Etape 1 : écrire les nouvelles graphies au tableau. Présenter toutes les caractéristiques de la lettre

Etape 2 : lecture en éventail en associant une consonne et une voyelle. Insister sur le geste pour faire

comprendre la combinatoire (Plan vertical)

Etape 3 : lecture active avec l’utilisation de lettres mobiles : cet outil libère l’apprenant de la graphie ; il

s’approprie la combinatoire en la construisant, la lecture est intériorisée. (Passage à un plan horizontal)

Etape 4 : retour au tableau, lecture de syllabes, mots, phrases

Etape5 : lecture sur feuille de syllabes, mots, phrases.

Etape 6 : travailler la graphie progressivement pour s’approprier le geste: dans l’espace, sur la table avec le

doigt, puis avec le crayon

�Distribution d’un ductus pour travailler la graphie.

L’apprentissage est progressif et reprend à chaque séance ce qui a déjà été appris.

• Positionnement : comment identifier le niveau d’un apprenant ?

A partir d’écrits d’apprenants, les stagiaires sont invités à identifier leur niveau et à proposer des éléments

sur lesquels ils devront les faire travailler.

Contenus

Proposés

par

M-Christine

Kauffmann

Espace Bénévolat, Hall 4-2 Boite 25, 130 rue des poissonniers 75018 Paris cœ[email protected]

La partie animée par cet intervenant s’attache à donner des outils pour que les formateurs puissent travailler avec leurs apprenants l’accès à la parole, et favoriser l’oralité. Sont également abordées les règles de communication, la prise de parole devant un groupe et la posture à adopter avec les apprenants.

• Le formateur parcourt les règles de communication à respecter en formation :

> Le premier avis sur une personne se fait en trois minutes et correspondent à 80% au langage non

verbal, 13% à la voix et tic de langage, 7% à ce qui est dit.

> Eviter les formes négatives dans les interventions orales. Garder la négation pour ce qui est

inacceptable ou non discutable.

> Utiliser le vouvoiement avec les apprenants : source de valorisation et effet d’entrainement (le

vous est spécifique à la langue française)

> Ne pas atténuer la complexité du langage en simplifiant le vocabulaire.

> Faire des phrases courtes et le maximum de coupures

> Individualiser la communication : temps consacré/ regard/ plexus tourné vers l’interlocuteur.

Ouverture qui favorise l’écoute.

> Eviter le « on » qui ne permet pas d’individualiser le rapport à la chose, et banalise le phrasé.

Préférer le « je » ou le « nous » qui imposent plus d’exigence

> Eviter d’utiliser le verbe « aimer », dont le sens est galvaudé et qui appartient aux codes de

l’affectif.

• Les codes sociaux

Les codes sociaux, c’est parler de TOUT, mais : pas n’importe comment, pas n’importe quand et

pas avec n’importe qui.

Il existe trois types de codes : privés (Langue et vocabulaire utilisé dans la sphère familiale/privée :

vie privée, religion, politique…), exceptionnels (protocoles utilisés lors de rencontres avec un

président, reine etc.), et USUELS (codes qui permettent le « vivre ensemble », nous définissent

comme appartenant à une même société)

Exemples de codes usuels : regarder dans les yeux, utilisation du « vous », tenue vestimentaire à

adapter au contexte, ponctualité, égalité homme-femme, parole donnée qui doit être écrite etc…

Les codes sociaux ne sont pas fixés dans le marbre, mais ne pas les connaitre peut être

véritablement pénalisants (une fois connu, on peut en revanche prendre la liberté, de les

contourner, en conscience et connaissance de cause). Une meilleure connaissance des codes

favorise l’intégration des personnes.

Dans les cours de français, il convient d’appliquer les codes sociaux usuels, de les travailler, et de

les expliquer comme tels (on apprend le français, et on apprend à vivre en France). Ainsi, la

ponctualité est par exemple considérée comme une obligation professionnelle.

EN première séance, il est utile de présenter les règles clairement et de les expliquer.

• Mise en pratique : comment favoriser l’écoute et l’expression orale en atelier de français ?

1/ travail sur la salutation (serre main avec chaque apprenant) : instaure un rapport individuel et

permet en plus de travailler sur un code usuel.

2/ travail sur les positions d’écoute/de réceptivité : sur les isquions, pieds au sol

3/Travail sur la position du corps du formateur, l’usage des mains, la tonalité etc.

Contenus

Proposés

par

Christophe

Guichet

Espace Bénévolat, Hall 4-2 Boite 25, 130 rue des poissonniers 75018 Paris cœ[email protected]

4/Exercices pour préparer à l’expression orale, favoriser l’oralité et la fluidité du langage

>Transformer l’espace en retirant les tables ( chaises libérées des manteaux et sacs)

>Etirements des bras

> Exercices pour « assouplir » la bouche (mime du chewing gum, « fleur », « X-U »,

« langue dans prison »

>Exercices de respiration (position de réceptivité, inspiration/expiration de plus en plus

longs)

>Jeu de résonnance « ma me mi mo mu » (en changeant les consonnes)

>Chanson, s’amuser avec les sons : (choisir si possible des phrase avec « je », par

exemple, « le Brésilien » de « La vie parisienne » d’Offenbach)

>Répétition d’alexandrins (« je suis jeune, beau etc. » du Misanthrope)

>Mise en scène de courts dialogues de théâtre, en petits groupes (ex : Les caprices de

Marianne de Musset)

>Utilisation et répétition de virelangues (« si six scies scient six citrons, six cents six scies

scieront six cents six citrons »/ « la pie niche haut, l’oie niche bas, ou niche l’hibou ?

l’hibou niche ni haut ni bas, l’hibou niche là »

5/ prévoir des exercices qui permettent de relancer l’écoute, des activités participatives :

>Enigmes (le formateur raconte une histoire et les apprenants doivent proposer des

solutions)

>chansons (exemple : Charles Aznavour ou Jeanne Moreau qui ont une très bonne

diction)

> Découverte des insultes : en précisant qu’ils appartiennent à la sphère privée.

>Connaissance du pays (ex: combien de français ? combien de musulmans en France ?

etc…)

>Les jours féries

NB : Ces exercices peuvent aussi être l’occasion d’aller vers la culture de l’autre dans une

démarche interculturelle.

• Le dernier jour est consacré à la mise en pratique et en situation :

> présenter le règlement

>prendre la parole et animer sa séance

>favoriser l’oralité des apprenants

> favoriser l’écoute et la compréhension des apprenants

Contenus

Proposés

par

Christophe

Guichet

Espace Bénévolat, Hall 4-2 Boite 25, 130 rue des poissonniers 75018 Paris cœ[email protected]

Annexes

BIBLIOGRAPHIE

OUVRAGES CHAMPAGNE-MUZAR C., BOURDAGES J.S. (2011), Le point sur la phonétique, Coll. Didactiques des langues

étrangères, CLE International.

GUIMBRETIERE E., (2012), Phonétique et enseignement de l’oral, Coll. Didactique du français, Didier / HATIER.

LAURET B., (2011), Enseigner la prononciation du français : questions et outils, Hachette.

WIOLAND F., (1991), Prononcer les mots du français, Coll. F autoformation, Hachette.

RANCIERE J., (2004), Le maître ignorant : cinq leçons sur l’émancipation intellectuelle, 10/18 Faits et Causes.

MATERIEL PÉDAGOGIQUE ABRY D ., CHALARON M.L. , (2009), Les 500 exercices de phonétique - Niveau A1/A2, Hachette.

ABRY D ., VELDEMAN-ABRY J., (2010), La phonétique – audition, prononciation, correction, Coll. Technique de classe,

CLE International.

CHANTREL N., DILIS M.A., MARCHESE P., SACHET O., (2000) Mélodie – FLE Phonétique, Service de formation de la

Cimade. www.lacimade.org

CHARLIAC L., LE BOUGNEC J.T., (2003), Phonétique progressive du français – Niveau débutant, CLE International.

KANEMAN-POUGATCH M., PEDOYA-GUIMBRETIERE E., (2009), Plaisir des sons, Coll. Phonétique du français, HATIER /

Didier.

MARTINS C., MABILAT J.-J., (2009), Sons et intonation – Exercices de prononciation, Didier.

SIREJOLS E., TEMPESTA G., (1994), Bien entendu ! – FLE débutant – Intermédiaire, HATIER / Didier.

LECTURES CONSEILLEES BERARD E., CANIER Y., LAVENNE C., (1997), Tempo 1, Guide pédagogiques, HATIER / Didier.

Pages 191 à 199 : Fiches pédagogiques de phonétique.

CHARLIAC L., MOTRON A.C., (2000), Phonétique progressive du français avec 600 exercices, p. 7 à 21, CLE

International.

MERIEUX R., LOISEAU Y., (2008), LATITUDES 1 – A1/A2, Méthode de français, Didier, pages 153 à 157 : Précis de

phonétique.

De l’oral à l’écrit MATERIEL PÉDAGOGIQUE ANGER,B., FLOQUET, J.P., GRIGORIEFF, J. (2009), Alphabétisation pour adultes : lire et écrire, Collection

Trait d’union - Clé international.

Matériel – Lettres mobiles : www.oppa-montessori.net/

QUELQUES SITES : Mairie de PARIS :

www.paris.fr/politiques/citoyennete/citoyennete-et-integration/l-apprentissage-du-francais

• Mon livret de l’apprentissage du français – Paris sur le français

• Mon livret de l’apprentissage du français – Paris sur le français

Guide de l’utilisateur

Méthode Borel-Maisonny : www.coquelicot.asso.fr/borel/

Mots croisés : www.puzzlemaker.discoveryeducation.com/CrissCrossSetupForm.asp

Polices d’écriture : www.dafont.com/fr/theme.php?cat=602

rubrique script/ scolaire

Phonétique : www.phonetique.free.fr

Virelangues : www.tv5.org/TV5Site/publication/galerie-39-1-Les_virelangues.htm

Espace Bénévolat, Hall 4-2 Boite 25, 130 rue des poissonniers 75018 Paris cœ[email protected]

Evaluations des participants

12 participants sur 13 ont rempli une grille d’évaluation de la formation

1/ Par quel moyen avez-vous été au courant de cette formation ? "Par mon association" (x4)

"Par la lettre d'information de Cœurs à Lire" (x5)

"Par un mail de Cœurs à Lire"(x3)

2/Avez-vous trouvé la formation intéressante ? 100% Oui Un point que vous avez trouvé particulièrement intéressant "Posture et attitude du formateur / Attitude pour s'adresser au groupe" (x2)

"Passage de l'oral à l'écrit"

"La phonétique (apprentissage, intégration dans une séquence, exercices pratiques, outils) (x4)

"Tout!" (x2)

"La respiration, la présentation du formateur"

"Surtout le volet communication orale" (x2)

3/ Pensez-vous que cette formation vous sera utile à l’avenir ? 100% Oui Un point que vous pensez pouvoir transférer dans vos pratiques : "Techniques orales pour mobiliser l'attention" (x2)

"Mise en place de la pratique de la phonétique" (x2)

"La respiration comme entrée en matière, la façon de se présenter, s'échauffer…"

"Le rapport du formateur avec chaque apprenant"

"J'ai appris à plus oser. Ainsi utiliser des mouvements, recourir à des chants, des rimes…"

"Passage de l'oral à l'écrit"

"Les codes sociaux"

"Les "protocoles" de séances, leur organisation"

4/ Les apports de l’intervenant vous ont-ils semblé pertinents ? 100% Oui "J'ai beaucoup appris sur le rapport graphie/phonie et sur la pratique orale"

5/ Pensez-vous partager les connaissances acquises lors de cette formation ? A d’autres bénévoles ? 100% Oui A Vos responsables associatifs ? 91% Oui Comment ? "A mon binôme" (x4)

"Dans une réunion spécifique car je suis responsable"

"Transmission de mes notes"

"Par un compte rendu / En réunion d'équipe" (x6)

6/Un point sur lequel vous aimeriez aller plus loin ? "Attitude du formateur"

"Assister à une animation"

"Pratiques théâtrales"

"Aide à la perception des sons"

"Davantage de pratique de l'alphabétisation"

"Communication non-verbale"

"Une plus grande variété d'exercices, par exemple les jeux de rôle"

7/ Souhaitez-vous qu’Espace Bénévolat organise d’autres formations ? 91% Oui Sur quels thèmes ? "MLNE"

"Les codes sociaux, les valeurs citoyennes"

"Gestion des groupes hétérogènes" (x3)

"Non, le programme des formateurs est déjà fort complet. J'aimerais, mais quand j'aurais fait plus de formations"

"Les ASL"

"Emmener les apprenants aux spectacles vivants"

"Tout est intéressant"

8/ Etes-vous satisfait des démarches d'inscription aux formations ? 100% Oui "La confirmation d'inscription à la formation a été difficile à obtenir"

9/ Etes-vous satisfait du format des formations ? (1 session = 2 à 3 jours) 91% Oui "J'aime que ce soit étalé sur 2 semaines à des jours différents"

"Je préfère 2 jours : 1 jour par semaine sur 2 semaines"

"Je préférerais 3 jours consécutifs"