11 h 00 Durée: 7 minutes Durée: 7 minutes

CONTRIBUTION A L'ETABLISSEMENT DES NIVEAUXDE REFERENCE EN RADIOLOGIE VASCULAIREDIAGNOSTIQUE ET INTERVENTIONNELLEF Magnier, JL ReheL B AubertFontenay-Aux-Roses - FronceCorrespondance: jean-Iuc,rehel@jrsn,fr

COMPARAISON DE LA DOSE DELIVREEEN NEURORADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE ENTREAMPLIFICATEURS DE BRILLANCE ET CAPTEURS PLANSC Voguet-Brasier (1), A Kazemi (1), M Boutarbouch (2),SAho (1), F Ricolfi (1), D Ben Salem (1)(1) Dijon - Fronce, (2) Robot - MarocCorrespondance: d.ben-salem@laposte,net

Objectifs: Analyse comparative du Produit Dose x Surface (PDS)entre les salles biplans amplificateurs de brillance et les capteurs plansau cours de procédures neuroradiologiques diagnostiques et interven­tionnelles.Matériels et méthodes: Etude rétrospective de 2006 à 2008 du PDSdélivré à 765 patients, répartis entre des artériographies cérébrales(n = 427), des embolisations d'anévrismes ou de malformations arté­rioveineuses intra-crâniennes (n = 167), et des vertébroplasties(n = 157), avec des amplificateurs de brillance Philips biplansALLURA Integris (n = 398) et des capteurs plans Philips biplansALLURA XPER FD20 (n =367). Age moyen: 52 ans ± 15, sexeratio: 1,2. Une analyse statistique uni et multivariée a été réalisée.Résultats: L'analyse multivariée retrouve une corrélation statisti­quement significative (p < 10-3

) entre le PDS d'une part et le sexe,l'âge, le type de salle, le nombre de séries, la nature du geste d'autrepart. Les capteurs plans délivrent en moyenne 31,82 gy.cm2 (± 7,4)de plus par rapport aux amplificateurs de brillance.Conclusion: Le PDS délivré par les capteurs plans est statistique­ment supérieur à celui délivré par les amplificateurs de brillance,après appariement sur le nombre de séries effectuées par procédure.

Mots clés: Evaluation - Angiographie - Radioprotection

Durée: 7 minutes11 h 30

COMPARAISON DE LA DOSE DELIVREEPAR UN SCANNER 320 DETECTEURS EN MODEVOLUMIQUE VERSUS HELICOIDALA Gervaise (1), TBatch (1), D Lœuille (1),1 Valckenaere (1),A Noël (2), FGuillemin (1), A Blum (1)(1) Nancy - Fronce, (2) Vandœuvre-lès-Nancy - FronceCorrespondance: alban.gervaise@hotmaii.fr

Objectifs: Déterminer l'influence des paramètres d'acquisition et dereconstruction sur la dose et la qualité image en TDM multidétecteurpour optimisation des protocoles.Matériels et méthodes: L'étude a été réalisée sur TDM PhilipsBrillance 40. La qualité image a été mesurée sur fantômes tête et corpsen terme de bruit(s) et de résolution spatiale (FTM). L'indice de doseconstructeur a été utilisé (IDSPvol). Un indice de performanceglobale Q normalisé a été calculé pour compléter ces données:Q = 1/(s2.FTM-3

• S.IDSPvol) avec S : Epaisseur de coupe recons­truite. L'évaluation de l'influence des paramètres d'acquisition et dereconstruction (pour des gammes représentatives de courant / tension/ taille de foyer / collimation / taille du champ de vue / pitch / facteurde zoom / matrice de reconstruction / filtres de reconstruction) a étéévaluée pour l'ensemble des indices de qualités.Résultats: Stête varie de [5,3 à 41,6 UR] et IDSPvoltête de [12,7 à59,6 mGy], scorps varie de [15,4 à 124,1 UR] et IDSPvolcorps de[5,6 à 24,1 mGy], FTM varie de [9,4 à 23,8 pl/cm]. Qtête est comprisentre [18 et 581 %] et Qcorps entre [14 et 408 %]. Les performancesde chaque protocole clinique ont été confrontées aux gammes de per­formances obtenues pour en extraire des axes d'optimisation suivantles critère (s) de bruit, de résolution et/ou de dose.Conclusion: L'optimisation a permis de diminuer en moyennel'IDSPvol de 20 % via l'augmentation du pitch, l'utilisation d'unecollimation la plus large possible et/ou l'utilisation de reconstructionsa posteriori (zoom factor et/ou taille de matrice augmentés) sansdégrader les performances de bruit et/ou de résolution de plus de10%.

Mots clés : Scanographie - Evaluation - Dosimétrie

Objectifs: Comparer la dose délivrée et la qualité d'image entre lemode volumique et le mode hélicoïdal sur un scanner 320 détecteurslors de l'acquisition d'un scanner lombaire.Matériels et méthodes: Etude prospective chez 20 patients de plusde 45 ans (moyenne d'âge de 63 ans) ayant un scanner lombaire avecdeux acquisitions successives sur un scanner 320 détecteurs (AquilionOne®, Toshiba) en mode volumique (320 détecteurs) puis en modehélicoïdal (64 détecteurs) avec modulation automatique de la dose.La dose délivrée était fournie par le Produit-Dose-Longueur en mGy.cm. La qualité d'image a été évaluée par la mesure de la déviationstandard d'une région d'intérêt placée dans le muscle psoas à hauteurde L5. Les longueurs d'acquisition ont également été comparées.Résultats: Il existe une réduction significative de la dose délivrée de29,5 % (p < 0,0001) avec le mode volumique par rapport au modehélicoïdal pour une longueur d'acquisition identique. Aucune diffé­rence significative n'est observée entre les deux techniques concer­nant la qualité d'image.Conclusion: L'acquisition en mode volumique sur le scanner320 détecteurs permet de réduire la dose délivrée de façon significa­tive par rapport à l'acquisition héliocoïdale, tout en préservant unequalité d'image équivalente.

Mots clés : Scanographie - Dosimétrie - Evaluation

Durée: 7 minutes11 h 10

Objectifs: Explorer la possibilité d'établir des Niveaux de Référence(NR) pour les procédures de radiologie vasculaire diagnostique etinterventionnelle.Matériels et méthodes: Les indicateurs Produit Dose. Surface (enGy. cm2

), temps de radioscopie (en min) et nombre d'images de radio­graphie ont été relevés pour 2 943 procédures dans 5 établissementset pour 7 types de procédures. Le NR a été défini comme le 75e centiledes distributions des valeurs des indicateurs retenus.Résultats: Les NR sont respectivement pour la coronarographie avecet sans ventriculographie gauche de 55 Gy.cm2

, 5,5 min et 1000 ima­ges et de 50 Gy.cm2

, 5,0 min et 730 images, pour la corona rographieavec angioplastie de 135 Gy. cm2

, 17,5 min et 1680 images, pourl'artériographie des membres inférieurs avec et sans angioplastie de180 Gy.cm2

, 20,5 min et 290 images et de 130 Gy.cm2, 6,0 min, 190

images, pour l'embolisation utérine de 320 Gy.cm2, 28,5 min et 350

images et pour la vertébroplastie de 60 Gy.cm2, 10,0 min et 10 ima­

ges.Conclusion : Cette étude confirme la possibilité de mettre en placedes NR en radiologie vasculaire diagnostique et interventionnelle.Cette démarche doit conduire à harmoniser les paramètres techniquesdes ces procédures et ainsi contribuer à l'optimisation.

Mots clés: Cardiovasculaire - Radioprotection - Evaluation

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