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BadetrLiorcddtMmLidTdsMullRePltCiLtatruction pouvant ainsi se faire dans le même temps que l’exérèsetumorale, alors que l’utilisation de CSM aurait nécessité deux tempschirurgicaux.
http://dx.doi.org/10.1016/j.aforl.2012.07.402
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evenues inutiles. Normalement, l’activité de MYB est suppriméeans la plupart des cellules matures (MYB est commun à plusieursoies de signalisation de cancer). Cette régulation n’est plus pré-ente lors de la fusion avec le gène NFIB et va induire l’oncogenèse.’étude plus approfondie semble être une piste intéressante poures thérapies ciblées qui ont prouvées leurs efficacité pour d’autreancer (LAM, cancer de la prostate).
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.aforl.2012.07.400
158tude de modifications de méthylation commeiomarqueur pronostic dans les carcinomespidermoïdes de stade avancés traité paradiochimiothérapie séquentielle. Lallemant a,∗, N. Fakry b, R. Garrel c, P. Ceruse d, J. Prades e,. Brouillet f, R. Shaw g
CHU de Nîmes, Nîmes, FranceService d’ORL et chirurgie cervico-faciale, CHU de Marseille,arseille, FranceDépartement d’ORL et chirurgie cervico-faciale, CHU deontpellier, Montpellier, FranceService d’ORL otoneurochirurgie et chirurgie cervico-faciale,HU de Lyon-Sud, Lyon, FranceService d’ORL et chirurgie cervico-faciale, Saint-Étienne, FranceLaboratoire de biochimie, Nîmes, FranceDepartment of molecular medicine, University of Liverpool,iverpool, Royaume-UniAuteur correspondant.
ut de la présentation.— Malgré le développement de traitementsgressifs comme la radiochimiothérapie séquentielle (TPF + RT/CT),a survie des patients atteints de carcinomes épidermoïdes desADS de stade avancés reste faible. Près d’un tiers des patientsécèdent du fait d’une évolution de la maladie et il n’existe à’heure actuelle aucun biomarqueur capable de prédire cette évo-ution. De tels outils seraient particulièrement intéressants afin deieux cibler les patients de bon pronostic susceptible de bénéficier’une radiochimiothérapie séquentielle et de proposer des solutionshérapeutiques alternatives aux patients de mauvais pronostique.atériels et méthodes.— On note que 59 patients présentant uner carcinome épidermoïde des VADS de Stade T3-T4, M0 tout Nnt été inclus dans l’étude multicentrique PREDICTION TPF entreuillet 2007 et juillet 2010. Parmi le patients ayant bénéficiés d’uneadiochimiothérapie séquentielle complète, nous avons réalisée unenalyse comparative du méthylome du tissu tumoral de six patientsyant présenté une évolution fatale de la maladie (mauvais pro-ostic) et de 12 patients n’ayant présenté aucune récidive avec unecul de 36 mois (bon pronostic).ésultats.— On note que 788 sites CpG de la région promotricee 205 gènes étaient différentiellement méthylés entre les deuxroupes (bêta différence > 0,14). Aucun de ces sites n’atteignaitne sensibilité de 100 % et une spécificité de 100 % pour distin-uer les deux groupes. Chez les patients de mauvais pronostic35 gènes étaient hypermethylés et 69 hypomethylés par rapportux patients de bon pronostic. Parmi cette liste de gènes, nous avonsélectionné un panel de huit candidates (CLAU10, CNTP2A, CHFR,ATA4, GSTT1, HOXA6, MMP23, SRMM4) pour lesquels une analysee la méthylation par pyroséquencage (PMA) a permis de valideres résultats obtenus sur micro-puce. Malheureusement, l’intérête l’analyse du niveau de méthylation de ces huit gènes candidatsar PMA n’a pas était confirmé lors de l’étape de validation sur’ensemble de la cohorte des patients de l’étude PREDICTION TPF.
onclusion.— Malgré une méthodologie visant à limiter les facteurse confusion les huit biomarqueurs pronostics identifiés au moyen’une analyse par micro-puce du méthylome n’ont pas pu êtrealidés. Le nombre limité de patients analysés semble le facteurxplicatif le plus pertinent de cet échec et souligne la nécessité deêler la recherche de biomarqueurs prédictifs de la réponse et/ouu pronostic aux études cliniques d’efficacité afin de tester desypothèses biologiques sur des cohortes de patients les plus largesossibles.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.aforl.2012.07.401
159pport de cellules souches mésenchymateuses à
’association biomatériau phosphocalcique—moellesseuse pour la reconstruction osseuse enerritoire irradié. Espitalier a,∗, P. Bléry a, P. Corre a, J. Guicheux b, P. Weiss b,. Malard a
Hôtel Dieu, Nantes, FranceInserm U791, LIOAD, Nantes, FranceAuteur correspondant.
ut de la présentation.— Les résections osseuses mandibulairesprès traitement par radiothérapie des carcinomes des voies aéro-igestives supérieures entraînent des conséquences esthétiquest fonctionnelles sévères. La technique de référence de recons-ruction osseuse (lambeau libre) étant lourde et pas toujourséalisable, une alternative est proposée par l’ingénierie tissulaire.es précédentes études réalisées chez l’animal en territoire osseuxrradié ont montré l’intérêt de l’association d’une greffe de moellesseuse (MO) à un biomatériau phosphocalcique pour améliorer laepousse osseuse. Cependant, l’apport de cellules souches mésen-hymateuses (CSM) issues de la MO au biomatériau n’a pas permis’améliorer la reconstruction osseuse. Le but de cette étude a été’observer la reconstruction osseuse en territoire irradié en appor-ant des CSM à l’association biomatériau—MO.atériels et méthodes.— Le biomatériau utilisé était une céra-ique phosphocalcique biphasée (BCP) sous forme de granules.
es animaux étaient des rats consanguins autorisant des allogreffesnterindividuelles sans rejet. Les rats ont subi une dose équivalente’irradiation de 60 Grays au niveau de leurs membres postérieurs.rois semaines après l’irradiation, 22 rats ont été implantés. Quatreéfauts osseux ont été réalisés par rat et comblés soit avec du BCPeul, soit avec une association MO—BCP, soit avec une associationO—BCP—CSM non différenciées dans la voie ostogénique, soit avecne association MO—BCP—CSM différenciées. Trois semaines après’implantation, la repousse osseuse a été observée de manière qua-itative et quantitative.ésultats.— La repousse osseuse était faible pour le BCP seult pour les associations MO—BCP—CSM, différenciées ou non.ar contre, elle était significativement plus importante pour’association MO—BCP par rapport à l’ensemble des autres implan-ations (p < 0,05).onclusion.— L’apport de CSM à l’association MO—BCP en terrain
rradié chez le rat n’a pas permis d’augmenter la repousse osseuse.’association MO—BCP reste donc la seule efficace pour la recons-ruction osseuse en terrain irradié, ce qui laisse envisager unepplication clinique plus simple, le prélèvement de MO et la recons-