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PRO 2002-04 Yves Bellemare N’Golo Togola Cathy Lapointe 2002 Évaluation du potentiel en pierre architecturale et en granulat décoratif dans les régions de la Côte-Nord, de la Mauricie, du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie

Évaluation du potentiel en pierre architecturale et en granulat

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PRO 2002-04

Yves Bellemare N’Golo Togola

Cathy Lapointe

2002

Évaluation du potentiel en pierre architecturale et en granulat décoratif dans les régions de la Côte-Nord, de la Mauricie, du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie

1NOVEMBRE 2002

DOCUMENT PUBLIÉ PAR « GÉOLOGIE QUÉBEC »

DirecteurAlain Simard

Chef du service des minéraux industriels et de l’assistance à l’explorationChristian Morin

Responsable des documents promotionnelsChantal Dussault

Manuscrit accepté pour publication le 02/10/21

Lecture critiqueHenri-Louis Jacob

Édition et mise-en-pagesJean-Pierre Lalonde

Dessin assisté par ordinateurCharlotte Grenier

Supervision techniqueAndré Beaulé

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PRO 2002-04 : Évaluation du potentiel en pierre architecturale et engranulat décoratif dans les régions de la Côte-Nord, de la Mauricie, duBas-Saint-Laurent et de la Gaspésie

Yves BellemareN’Golo TogolaCathy Lapointe

carrières artisanales situées dans le lieu connu sous lenom de Crans Rouges, en bordure du fleuve Saint-Laurent.Les travaux d’évaluation ont permis de repérer trois ciblesà l’est du lac des Cèdres (tableau 1, sites 1, 2 et 3). Lesaffleurements, caractérisés par une succession de crêtesparallèles (planche 1, photo 2), possèdent un aspect mas-sif et l’espacement entre les diaclases d’une même familleest d’ordre métrique (planche 1, photos 3 et 4). La pré-sence occasionnelle d’amphibolite, de dykes de pegmatite,d’amas ou de veines de quartz et, en surface d’affleure-ments, de cavités millimétriques sont les principaux élé-ments nuisibles. Ces trois cibles mettent en évidence lepotentiel prometteur en pierre dimensionnelle de la partiesommitale de la Formation de Saint-Paul-du-Nord.

Dans le secteur de Havre-Saint-Pierre, des unités deroches sédimentaires ordoviciennes ont déjà été exploi-tées, de façon artisanale, pour la production de pierred’aménagement paysager (planche 1, photo 5). Certainesunités dolomitiques de la Formation de Romaine, se débi-tant en lits minces (5 à 20 cm), pourraient avantageuse-ment servir à la production de moellons bruts ou ébauchés(grossièrement équarris). Dans ce secteur, le principal obs-tacle pour une exploitation rentable demeure le volume depierre disponible en raison du faible dénivellement duterrain. L’envergure de l’exploitation envisagée, bien querestreinte, peut toutefois justifier la réalisation de travauxd’exploration.

MAURICIE

Depuis quelques années, la demande croissante de gra-nulat décoratif, utilisé pour les travaux d’aménagementpaysager, a justifié l’évaluation du potentiel d’unités litho-logiques inexploitées. Dans cette perspective, l’anorthosi-te de Langelier, au nord de La Tuque, répond à ce besoin.

L’anorthosite de Langelier (Rondot, 1978) est une rochegranoclastique, à grain fin, allant du blanc au gris blanchâ-tre. Elle possède une texture kélyphitique et une foliationmarquée par la concentration planaire de minéraux mafiques.La présence de ces minéraux mafiques est le principalélément nuisible observé. Toutefois, dans certains sites,leur pourcentage ne constitue qu’une fraction de 1 % de laroche (tableau 1, sites 4, 5 et 6). Récemment, un autre site

INTRODUCTION

Au cours de l’été 2002, nous avons réalisé une évalua-tion du potentiel en pierre architecturale et en granulatdécoratif dans les régions de la Côte-Nord, de la Mauricie,du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. Les travaux ontpermis de déterminer les caractéristiques physiques etesthétiques de certaines unités lithologiques et de repérerdes sites prometteurs pour la réalisation de travaux d’ex-ploration pour la pierre. Ces travaux répondent à une de-mande des intervenants de l’industrie de la pierre quicherchent à diversifier la gamme de leurs produits.

CÔTE-NORD

Dans le secteur de Saint-Paul-du-Nord, des travaux ontété réalisés pour rechercher de la pierre dimensionnelle quipourrait être utilisée dans la production de panneaux, detuiles ou de monuments. Des travaux ont également étéeffectués, dans le secteur de Havre-Saint-Pierre, pour re-chercher de la pierre qui pourrait servir à la production demoellons ébauchés pour l’aménagement paysager.

Dans le secteur de Saint-Paul-du-Nord, les travaux ontpermis d’évaluer les unités de méta-arkose (leptynite) etde gneiss granitique du membre supérieur de la Formationde Saint-Paul-du-Nord et du membre inférieur de la Forma-tion de Moulin à Baude. La limite entre ces deux formationsest parfois difficile à préciser sur le terrain (Rondot, 1986).Le membre supérieur de la Formation de Saint-Paul-du-Nordpossède une bonne stratification et se compose principa-lement de méta-arkose, pauvre en biotite (< 5 %), et degneiss granitique contenant 5 à 15 % de biotite. Ces unitésforment des bancs homogènes de plusieurs mètres d’épais-seur mais peuvent aussi présenter un rubanement centi-métrique. La roche est massive, à grains variant de fins àmoyens, gris orangé, orange brunâtre, rose ou rose rou-geâtre (planche 1, photo 1), mais elle peut aussi posséderune stratification fine et régulière.

En 1904, la méta-arkose et le gneiss granitique ont étéutilisés comme pierre à bâtir dans la construction de l’églisede Saint-Paul-du-Nord. La pierre a été extraite de trois

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(tableau 1, site 7) a été exploité pour la production depierre concassée et de blocaille (planche 1, photo 6). Lapierre a été utilisée pour la réfection de la route 155. Lacouleur de la roche et sa granulométrie fine sont ses prin-cipaux attraits pour la production de granulat décoratif.

BAS-SAINT-LAURENT

Les travaux dans cette région ont permis de préciser lepotentiel en pierre dimensionnelle et en granulat décoratifdes grès de la Formation de Val-Brillant et de la Formationd’Indian Cove. Le projet portait sur l’évaluation de laqualité des grès blanc crème ou blanc rosé et, dans unemoindre mesure, des grès blanc grisâtre de ces formations.Les caractéristiques de ces grès sont intéressantes. Ils ontune résistance élevée en compression et un faible tauxd’absorption d’eau. De plus, ces grès présentent, en sur-face sciée ou polie, des couleurs attrayantes et rares sur lemarché de la pierre. Finalement, ils possèdent une grandedureté, résultant de la composition siliceuse du cimentliant les grains.

Formation de Val-Brillant

La Formation de Val-Brillant, d’âge Silurien moyen, faitpartie du Groupe de Chaleurs. « Elle est composée essen-tiellement de grès quartzeux à ciment siliceux, à grains

variant de fins à moyens, dont le tri et l’arrondi sont trèsbons... Le grès se présente habituellement en bancs de30 cm à 1 m d’épaisseur pouvant atteindre parfois 5 md’épaisseur. » (Lachambre, 1987).

Les travaux ont été effectués principalement dans lessecteurs de Saint-Jean-Baptiste-Vianney et deSaint-Gabriel-de-Rimouski. Cinq autres secteurs ont étéévalués mais la qualité de la pierre observée ne mérite pasune description détaillée dans le cadre de ce documentsynthèse. La pierre sur ces sites est de teinte plutôt griseet elle contient des veines millimétriques à centimétriquesde quartz. En outre, les diaclases d’une même famillesont trop rapprochées pour y extraire des blocs detaille commerciale.

Dans le secteur de Saint-Jean-Baptiste-Vianney, le grès(arénite quartzitique) est bien exposé dans deux carrières(tableau 1, sites 8 et 9). Dans la carrière principale (site 8),le grès, à grains variant de fins à moyens, est blanc rosédans la partie sommitale et blanc crème (planche 2, photo 7)dans les niveaux inférieurs. L’épaisseur des bancs varie de10 cm à 3,5 m et la stratification, à pendage relativementfaible, est définie par des concentrations d’hématite deteinte rose rougeâtre, à la base et au sommet de certainslits. Des nodules sphériques, rouges d’hématite, parfoiscentimétriques, ont été observés dans un secteur de lacarrière. La roche est coupée par trois familles dominantesde diaclases. Les parois de la carrière principale, altéréespar un dynamitage effectué lors de la production de pierreconcassée, rendent difficile, dans l’état actuel, une évalua-tion du taux de récupération de la roche. La présence de

TABLEAU 1 - Principaux sites visités en 2002 lors du projet d’évaluation en pierre architecturale et en granulatdécoratif. Les coordonnées sont en UTM (nad 83).

Site Région Secteur SNRC Zone

UTM

Estant Nordant

1 Côte-Nord Saint-Paul-du-Nord 22C/11 19 479841 5382672

2 Côte-Nord Saint-Paul-du-Nord 22C/11 19 480061 5383197

3 Côte-Nord Saint-Paul-du-Nord 22C/11 19 479546 5383220

4 Mauricie Nord de La Tuque 31P/10 18 685126 5288035

5 Mauricie Nord de La Tuque 31P/10 18 685119 5291135

6 Mauricie Nord de La Tuque 31P/16 18 688329 5293606

7 Mauricie Nord de La Tuque 31P/10 18 687180 5290375

8 Bas-Saint-Laurent Saint-Jean-Baptiste-Vianney 22B/11 19 622864 5387092

9 Bas-Saint-Laurent Saint-Jean-Baptiste-Vianney 22B/11 19 624282 5387902

10 Bas-Saint-Laurent Saint-Jean-Baptiste-Vianney 22B/11 19 629965 5387083

11 Bas-Saint-Laurent Saint-Jean-Baptiste-Vianney 22B/11 19 619877 5385635

12 Bas-Saint-Laurent Saint-Gabriel-de-Rimouski 22C/08 19 568086 5367336

13 Bas-Saint-Laurent Saint-Cléophas 22B/05 19 592221 5362326

14 Bas-Saint-Laurent Amqui 22B/11 19 617324 5375488

15 Gaspésie Maria 22A/04 20 283450 5346820

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blocs de dimensions métriques, en bordure de la carrière,nous permet d’envisager l’obtention de blocs de qualitécommerciale dans les bancs les plus épais. Ces blocspourraient être, entre autres, utilisés à la production depanneaux, de tuiles et de monuments. Toutefois, il apparaîtque la majorité des bancs possède les qualités requisespour produire, par exemple, des placages ou des moellonssciés et calibrés et des socles sciés et polis. Une telletransformation en produits à valeur ajoutée devra êtrefavorisée dans le but de répondre aux nouvelles demandesdu marché. Le grès possède aussi les qualités exigées pourproduire du granulat décoratif blanc ou blanc rosé (plan-che 2, photo 8). Il existe également une possibilité que legranulat blanc puisse convenir à la confection de produitsen pierre modifiée, servant à fabriquer des revêtements desol et d’autres revêtements décoratifs. Dans le secteur deSaint-Jean-Baptiste-Vianney, deux autres sites ont aussiété examinés sommairement (tableau 1, sites 10 et 11).

Dans le secteur de Saint-Gabriel-de-Rimouski, on re-trouve une grande zone d’affleurements de grès de plus de300 m de longueur par 100 m de largeur. Les affleurementsse situent le long d’une crête escarpée (tableau 1, site 12).En 1987 et 1991, le secteur a été évalué pour son potentielen silice de haute pureté (Liboiron, 1991). La roche pos-sède les mêmes caractéristiques lithologiques que dans lesecteur de Saint-Jean-Baptiste-Vianney. Par contre, ellecontient des lamines hématitisées, rougeâtres et elle estcoupée de veines millimétriques à centimétriques de quartz.Les bancs de grès sont d’épaisseur décimétrique et lependage des strates est moyennement élevé, soit de 25 à30 degrés.

Les grès blanc crème ou blanc rosé de la Formation deVal-Brillant peuvent servir à de multiples usages et, enconséquence, le taux de récupération de la pierre pourraitêtre élevé. L’exploitation d’une carrière devra cependants’ajuster aux caractéristiques lithologiques et structuralesde chacun des bancs, ce qui est différent de l’exploitationhabituelle d’un gisement de granit.

Formation d’Indian Cove

La Formation d’Indian Cove, d’âge Dévonien inférieur,fait partie des Calcaires supérieurs de Gaspé. Dans lapartie orientale de la Gaspésie, la formation « est une suc-cession de calcaire silteux, en lits moyens, avec des conte-nus très variables de chert, d’argile et de dolomie. Certainsniveaux sont nodulaires. On rencontre, mais très rarement,de minces lits de calcarénites ou de calcaires gréseux... »(Globensky, 1993). Dans la Vallée-de-la-Matapédia, ces cal-caires sont accompagnés de grès (arénite quartzitique ouarkose) blanc grisâtre ou blanc rosé ressemblant beau-coup à ceux de la Formation de Val-Brillant. Autrefoisattribués à cette dernière formation, ces bancs de grèssont maintenant assignés à la Formation d’Indian Cove(Daniel Brisebois, communication personnelle).

Ces grès, dans deux secteurs examinés, sont légèrementplus foncés que ceux de la Formation de Val-Brillant. Dansle secteur de Saint-Cléophas (tableau 1, site 13), seule-

ment des blocs anguleux ont été repérés. Ils sont de di-mensions décimétriques à métriques et la roche est blancorangé ou rose rougeâtre. Dans le secteur d’Amqui(tableau 1, site 14), le grès exposé est de couleur blancgrisâtre (planche 2, photo 9) ou blanc rosé et il a servi depierre à bâtir pour la construction de l’église d’Amquidans les années 1930 (Gilbert et Gaucher, 1981). Ce siterenferme de nombreux blocs anguleux, de dimensions déci-métriques à métriques, et des affleurements s’étendant surplus de 100 mètres, le long des deux collines. Trois famillesde diaclases ont été répertoriées, mais l’importance ducouvert végétal n’a pas permis d’évaluer l’espacemententre les diaclases avec précision. Les grès de la Forma-tion d’Indian Cove, comme ceux de la Formation deVal-Brillant, peuvent aussi servir à de multiples usages,mais les travaux d’exploitation devront être guidés par lescaractéristiques lithologiques et structurales de chacundes bancs. La transformation en produits à valeur ajoutéedevra aussi être favorisée dans le but de répondre auxnouvelles demandes du marché.

GASPÉSIE

Les travaux ont été réalisés dans le secteur de Maria enGaspésie pour la recherche de pierre dimensionnelle pou-vant servir à la production de panneaux, de tuiles, demonuments ou d’objets décoratifs. Le conglomérat et lecalcaire de la Formation de Bonaventure ont été les princi-pales unités lithologiques examinées.

La Formation de Bonaventure, d’âge Carbonifère, com-prend une séquence de conglomérats, de grès, de micro-grès et de shales. Elle contient aussi des calcaires(Globensky, 1993). Les unités exposées dans une carrièreau nord-est de Maria (tableau 1, site 15) comprennent,entre autres, un conglomérat polygénique, à matrice gré-seuse et à ciment calcareux, rouge (planche 2, photo 10),un calcaire clastique, gris, à fragments rougeâtres (plan-che 2, photo 11) et une calcilutite gris pâle (planche 2,photo 12). Ces unités lithologiques sont massives et lesbancs sont généralement d’ordre métrique. La carrière sesitue à la base d’une colline et le volume de pierre estimportant. Devant la nature particulière de la pierre, lestechniques d’exploitation et de polissage devront respec-ter des critères similaires à ceux exigés pour l’exploitationet la transformation du marbre.

CONCLUSION

Les travaux d’évaluation du potentiel en pierre, effec-tués dans quatre régions du Québec, nous ont permis derepérer dans sept secteurs des pierres possédant les qua-lités exigées par l’industrie. La recherche de pierre

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dimensionnelle pourrait être effectuée dans les secteurs deSaint-Paul-du-Nord, de Saint-Jean-Baptiste-Vianney, deSaint-Gabriel-de-Rimouski, d’Amqui et de Maria. Les tra-vaux orientés pour la recherche de pierre d’aménagementpaysager et de granulat décoratif, quant à eux, pourraientêtre entrepris dans les secteurs de Havre-Saint-Pierre, deSaint-Jean-Baptiste-Vianney, d’Amqui et au nord deLa Tuque.

RÉFÉRENCES

GILBERT, F. D. - GAUCHER, E., 1981 – Evaluation report ofsilica exploitation in the Amqui area with 6 D D H logs.Ministère des Ressources naturelles, Québec; GM 39826,34 pages.

GLOBENSKY, Y., 1993 – Lexique stratigraphique canadien –volume V-B – Région des Appalaches, des Basses-Terres duSaint-Laurent et des Îles-de-la-Madeleine. Ministère des Res-sources naturelles, Québec; DV 91-23, 333 pages.

LACHAMBRE, G., 1987 – Le Silurien et le Dévonien basal dunord de la Gaspésie. Ministère des Ressources naturelles,Québec; ET 84-06, 88 pages.

LIBOIRON, A., 1991 – Rapport d’un programme de sondage audiamant relativement à l’évaluation d’un gisement de quartziteavec 4 journaux des trous 91-01 à 91-04, projet Silice Fleuriau.Ministère des Ressources naturelles, Québec; GM 50965,53 pages.

RONDOT, J., 1978 – Région du Saint-Maurice. Ministère desRessources naturelles, Québec; DPV 594, 91 pages.

RONDOT, J., 1986 – Géologie de la région de Forestville - LesEscoumins. Ministère des Ressources naturelles, Québec; ET85-05, 52 pages.

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Photo 1 - Méta-arkose rose rougeâtre de la Formation de Saint-Paul-du-Nord.

Photo 2 - Succession de crêtes parallèles à l’est du lac des Cèdres.

Photo 3 - Espacement métrique entre les diaclases d’une mêmefamille à l’est du lac des Cèdres.

Photo 4 - Aspect massif d’un affleurement à l’est du lac des Cèdres.

Photo 5 - Galets plats de dolomie de la Formation de Romaineutilisés pour la construction de murets de pierre.

Photo 6 - Pierre concassée produite pour la réfection de la route155 au nord de La Tuque.

Planche 1 - Régions de la Côte-Nord et de la Mauricie.(échelle en centimètres)

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Photo 7 - Arénite quartzitique blanc crème de la Formation deVal-Brillant.

Photo 8 - Granulats blanc et blanc rosé produits à la carrièreprincipale dans le secteur de Saint-Jean-Baptiste-Vianney.

Photo 9 - Arénite quartzitique blanc grisâtre de la Formationd’Indian Cove.

Photo 10 - Conglomérat polygénique, à matrice gréseuse et àciment calcareux, rouge de la Formation de Bonaventure.

Photo 11 - Calcaire clastique, gris, à fragments rougeâtres de laFormation de Bonaventure.

Photo 12 - Calcilutite gris pâle de la Formation de Bonaventure.

Planche 2 - Régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie.

(échelle en centimètres)