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Image radiologique trompeuse d’un kyste bronchogénique intrapulmonaire

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Page 1: Image radiologique trompeuse d’un kyste bronchogénique intrapulmonaire

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78 16e Congrès de pneumologie de la

84es tumeurs carcinoïdes bronchiques. Maidi a, H. Fenane a, L. Damsane a, O. Mbola a, F. Ouchen a,. Bouchikh a, A. Achir a, A. Benosman a, S. Kilali b, R. Yassine b,. Bouklata b

Service de chirurgie thoracique, hôpital Ibn-Sina, Rabat,arocService radiologie des urgences, hôpital Ibn-Sina, Rabat,aroc

ntroduction.— Les tumeurs carcinoïdes bronchiques représententà 2 % de l’ensemble des tumeurs bronchopulmonaires. Le but de

’étude est de rapporter notre expérience concernant les tumeursarcinoïdes bronchiques traitées chirurgicalement.atients et méthodes.— Il s’agit d’une étude rétrospective colli-eant 77 patients opérés pour tumeur carcinoïde bronchique entre987 et 2010. On a analysé les paramètres anthropométriques,liniques, radiologiques, et endoscopiques. On a précisé le type’intervention chirurgicale, le type histologique et le caractèrevolutif.ésultat.— L’âge moyen est de 38,4 ± 15,32 ans, avec des extrêmese 16 et 70 ans. On note une prédominance féminine (50 femmest 27 hommes). Les manifestations cliniques sont dominées par’hémoptysie, suivie de la bronchorrhée. Le syndrome carcinoïde

été retrouvé chez trois patients. Un patient était asympto-atique. Le traitement chirurgical réalisé se répartit comme

uit : 30 pneumonectomies, une pneumonectomie de totalisation,1 lobectomies, 13 bilobectomie, trois sleeve lobectomies et uneegmentectomie. L’analyse histologique a révélé une tumeur car-inoïde typique dans 74 cas (96,10 %) et atypique dans trois cas3,90 %). La Bronchoscopie a visualisé une tumeur centrale chezous les patients. Le diagnostic a été établi avant l’interventionhirurgicale dans 64,29 % des cas.onclusion.— Les tumeurs carcinoïdes bronchiques sont des tumeurse bas grade de malignité. La chirurgie représente le traitement dehoix.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.246

85mage radiologique trompeuse d’un kysteronchogénique intrapulmonaire. Rahmouni , H. Racil , A. Ben Amar , S. Cheikh Rouhou ,. Bacha , N. Chaouch , A. Chabbou

Service de pneumologie II, unité de recherche Irc Msp-Mesrst,ôpital A.-Mami, Ariana, Tunisie

ntroduction.— Les kystes bronchogéniques sont des dysembryomesystiques qui s’intègrent dans le spectre des malformationsronchopulmonaires et digestives. Le kyste bronchogénique pul-onaire est rare. Nous en rapportons ici un cas de révélation

typique.bservation.— Il s’agit de M. R.F., âgé de 44 ans, tabagique à 13 PAevré, ouvrier agricole, asthmatique sous traitement. Le patientapporte la notion de toux productive avec expectorations puru-entes évoluant de facon insidieuse dans un contexte d’altératione l’état général, sans douleur thoracique, ni hémoptysie, ni fièvre.’examen clinique à l’admission était sans anomalies. La radiogra-hie du thorax a montré une opacité occupant la quasi-totalitéu champ pulmonaire droit avec multiples niveaux hydro-aériquesont certains sont ondulées évoquant un kyste hydatique compli-ué. Le patient a alors bénéficié d’un traitement antibiotique àarge spectre. L’évolution était favorable sur le plan clinique etiologique et persistance du même aspect radiologique. Devant les

onnées de l’échographie thoracique, qui était aussi en faveur duyste hydatique compliqué avec réaction pleurale, le patient a étéonfié aux chirurgiens. En peropératoire, l’aspect n’était pas celui

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francaise, Lyon, vendredi 27 au dimanche 29 janvier 2012

’un kyste hydatique et l’examen anatomopathologique de la piècepératoire avait conclu à une formation excavée répondant à uneection bronchique dilatée et abrasée évoquant plutôt un kysteronchogénique.onclusion.— Les tableaux radio-cliniques réalisés par le kysteronchogénique pulmonaire communiquant ou pas avec l’arbrerachéo-bronchique sont très polymorphes posant souvent des pro-lèmes de diagnostic différentiel.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.247

O03 — Endoscopie

86raitement endoscopique des sténoses trachéalesdiopathiques.-M. Perotin a, T. Jeanfaivre b, Y. Thibout c, S. Jouneau d,. Lena d, H. Dutau e, P. Ramon f, C. Lorut g, M. Noppen h,.-M. Vergnon c, H. Vallerand a, J.C. Merol i, C.-H. Marquette j,. Lebargy a, G. Deslee a

Service des maladies respiratoires, CHU, Reims, FranceDépartement de pneumologie, CHU, Angers, FranceService de pneumologie, CHU, Saint-Étienne, FranceService de pneumologie, CHU, Rennes, FranceService de pneumologie, CHU, Marseille, FranceService de pneumologie, CHU, Lille, FranceService de pneumologie, AP—HP, Paris, FranceService des maladies pulmonaires, UZ Brussels, Brussels,elgiqueService d’oto-rhino-laryngologie, CHU, Reims, FranceService de pneumologie, CHU, Nice, France

a sténose trachéale idiopathique (STI) est une pathologie rare donta prise en charge est difficile. Le traitement endoscopique repré-ente une alternative au traitement chirurgical, mais ses résultatslong terme ne sont pas clairement établis. L’objectif de cette

tude rétrospective multicentrique était d’analyser l’évolution àong terme des STI traitées par voie endoscopique.euf centres hospitaliers universitaires pratiquant l’endoscopie

nterventionnelle ont inclus des cas de STI traités par voiendoscopique. Une fiche standardisée permettait le recueil desrincipales données clinico-démographiques, fonctionnelles etndoscopiques, ainsi que l’évolution à long terme des patientsraités.ingt-trois patients, 96 % de femmes, âgés de 45 ± 16 ans, onténéficié d’un traitement endoscopique de STI. Le délai entre lesremiers symptômes et le diagnostic était de 19 ± 18 mois. La bron-hoscopie montrait une sténose en diaphragme (61 %) ou complexe39 %), localisée dans la partie haute de la trachée, principalementans la région cricoïdienne. Le traitement endoscopique était uneilatation mécanique seule (52 %), un traitement par laser ou élec-rocoagulation (30 %), ou une pose de prothèse (18 %). Toutes lesrocédures endoscopiques étaient efficaces sans morbidité rappor-ée. Le suivi après traitement endoscopique était de 41 ± 34 mois.ne récidive de STI survenait dans 30 % des cas à six mois (n = 7/23),9 % à deux ans (n = 9/22) et 87 % à cinq ans (n = 13/15) avec un délaie 14 ± 16 mois. Le traitement de la récidive (n = 13) était endosco-ique dans 12 cas.e traitement endoscopique des STI constitue une alternative théra-eutique efficace. Les récidives fréquentes et tardives nécessitent

n suivi prolongé.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.248