doses au sein et la thyroïde des patients particulièrement radiosen- sibles (enfants et adulte jeune). - Mots clés : Radioprotection, technique d'exploration - Scanogra-

phie, mesure

explore la possibilité d'établir une telle corrélation et aborde les pos- sibilités d'optimisation de l'exposition des patients soumis à ce genre d'examen.

Mots clés : Radioprotection, iatrogénie - Angiographie, radiologie interventionnelle

15 h45 Durée : 7 minutes 16 ho5 Durée : 7 minutes

INCIDENCE DES RADIODERMITES SECONDAIRES A UN GESTE DE RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE C ROUDIER, J DONADIEU, P PIRARD SAIM- MAURICE - FRANCE

Objectifs : Réaliser une étude de faisabilité pour estimer le nombre de cas de radiodemites consécutifs à une procédure de radiologie intewentionnelle. Matériels et méthodes : Les dermatologues adhérents de la Société française de dermatologie ont reçu durant l'été 2004 un question- naire afin de signaler les cas de radiodermites diagnostiqués entre le 1/09/2003 et le 3 1/08/2004. Un recueil d'informations a été effec- tué sur chaque site par une monitrice d'étude clinique. Résultats : Sur les 1450 questionnaires adressés, 218 réponses ont été obtenues dont 10 cas de radiodermites rentrant dans les critères d'inclusion. II s'agissait de 3 femmes et de 7 hommes avec un âge de diagnostic médian de 56 ans. Un cas faisait suite à une procédure de neuroradiologie intewentionnelle, 1 cas à la pose d'un pace-maker, 1 cas à un acte de radiologie intewentionnelle abdominale et les 7 autres à un acte de cardiologie intewentionnelle. De nombreux biais existent dans cette étude, en faveur d'une sous déclaration des cas existants. Conclusion : En dépit de progrès dans le matériel radiologique, les procédures de radiologie intewentionnelle comportent toujours un risque de radiodermite. La déclaration systématique de cet événe- ment, représentatif du pic de la dose à la peau est souhaitable, comme tout effet indésirable d'une thérapeutique, dans une démarche visant à optimiser la dose délivrée. " Mots clés : Radioprotection, iatrogénie - Rayons X, radiologie intewentionnelle

IRRADIATION ET TOMODENSITOMETRIE INTERVENTIONNELLE T BOUZIANE (1), H BRAT (2). M BRICOULT (3) (1) TOURNAI - BELGIQUE, (2) HORNU - BELGIQUE, (3) BRUXELLES - BELGIQUE

Objectifs : Déterminer l'irradiation du radiologue intewentionnel lors de procédures réalisées sous CT-Fluoroscopie. Objectiver l'impact des diverses mesures de radioprotection en terme d'irradia- tion. Matériels et méthodes : Etude dosimétrique bicentrique réalisée sur le radiologue intewentionnel lors de procédures périrachidiennes en pratique courante sur quatre types de fluoro-CT (Siemens Emotion 6 et Sensation 64, Toshiba Asteion S4 et Aquilion 64), corrélant la dose perçue par l'opérateur au CTDI et au DLP en fonction du type de procédure. L'impact des diverses mesures de radioprotection est objectivé par un calcul de la dose perçue au niveau des mains, des avant-bras, bras, jambes et pieds ainsi qu'au niveau du torse (en des- sous et au dessus du tablier plombé) et du cristallin (lunettes plom- bées). Résultats : Les résultats de l'exposition des radiologues aux radia- tions ionisantes sont corrélés au type de fluoro-CT, à l'expérience du Radiologue, à la difficulté de la procédure évaluée et intégrés à la législation européenne. L'impact des différentes mesures de Radio- protection est évalué. Le nombre de procédures annuelles réalisables est calculé en fonction des données d'exposition et de radioprotection. Conclusion : L'exposition radique du radiologue intewentionnel est significative. L'emploi des différentes mesures de radioprotection est indispensable et permet le respect de la législation européenne contemporaine pour une activité soutenue. " Mots clés : Radioprotection, iatrogénie - Scanographie, mesure

15 h55 Durée : 7 minutes

ETUDE DES FACTEURS DETERMINANTS DE LA DOSE A LA PEAU DU PATIENT LORS DES PROCEDURES DE CARDIOLOGIE INTERVENTIONNELLE J DONADIEU (l), O BAR (2), C ROUDIER (1). P PIRARD (1). C MACCIA (3), M BENED~~NI (3) (1) SAIM-MAURICE - FRANCE, (2) TOURS - FRANCE, (3) BOURG-h-REINE - FRANCE

Objectifs : Evaluer l'importance des facteurs techniques et physiques associés à la pratique des examens de cardiologie intewentionnelle sur la dose reçue par le patient au niveau de la peau. Matériels et méthodes : Un ensemble d'examens de cardiologie intewentionnelle a été étudié en vue de déterminer le niveau de dose à la peau reçue par les patients. Les déterminants physiques liés à cette exposition ont été analysés à partir des paramètres techniques des examens considérés : 200 patients (50 coronographies diagnosti- ques, 150 procédures thérapeutiques réalisés dans l'unité d'hémody- namique de la Clinique St Gatien à Tours). Afin d'étudier la dose maximum reçue à la peau du patient à l'entrée du faisceau des films GafchromicTM ont été utilisés. Les caractéristiques du patient et les difficultés techniques de l'examen ont été recueillies. Résultats : A la date du 1/3/2005, environ 150 examens ont été réa- lisés, la fin du recueil de données est prévue pour mai 2005 et l'ana- lyse des données pour juin 2005. Conclusion : A ce jour, il est possible de connaître la valeur totale du PDS pour chaque examen, mais il n'existe pas de corrélation sim- ple entre cet indicateur enregistré lors de l'ensemble d'une procédure et la dose reçue à la peau par le patient. Cette étude de faisabilité,

16 h 15 : Pause

'** -i m r p.. ,. - . * .*.>. , . 2" partie : Contrale de ciualît6, d o s i ~ ~ + ~ ~ individuelle et collective

Modérateur : Bernard Aubert

16 h30 Durée : 7 minutes

CONTROLES DOSIMETRIQUES ET ANALYSES DE QUALITE D'IMAGE : UNE ROUTINE A L'HOPITAL LUXEMBOURGEOIS DU KIRCHBERG J HENRY, F MERSCH, M GRELOT-GÉNEAU LUXEMBOURG - LUXEMBOURG

Objectifs : La loi nous oblige à contrôler régulièrement nos installa- tions, pour le diagnostic précoce des dysfonctionnements et des déri- ves, afin d'assurer la sécurité des patients et une qualité d'image optimale. Matériels et méthodes : Cinq installations de radiologie numérisée dont 2 capteurs plans, 2 scanners, 7 amplificateurs de luminance, 2 mobiles, 1 salle d'angiographie et 1 mammographe. Deux ans de contrôles mensuels des salles conventionnelles et d'analyses hebdo- madaires d'un des deux scanners ont permis d'aff111er des protocoles