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Lehaim Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK 347-627-9209 Entrée: : 6:52 pm Sortie: 7:49 pm Velivraha DANS UNE CONFRONTATION L’IMPORTANT N’ERST PAS D’ETRE LE PLUS FORT, MAIS QUE L’AUTRE PENSE QUE L’ON EST LE PUS FORT ! ב״הRéalisé par Y.Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ Durant le mois d’Elloul LE ROI EST DANS LES CHAMPS Nous pouvons faire Techouva avec beaucoup plus de facilite que durant le reste de l’année ! J-22 Chabbath Ki-Tavo 18 Elloul / 13 Septembre N.278

Ki tavo 5774

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Lehaim

Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK

347-627-9209

Entrée: :

6:52 pm

Sortie:

7:49 pm

Velivraha

DANS UNE CONFRONTATION

L’IMPORTANT N’ERST PAS D’ETRE LE PLUS FORT,

MAIS QUE L’AUTRE PENSE QUE L’ON EST LE PUS FORT !

ב״ה

Réalisé par Y.Berrebi 054.700.73.67

https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

Durant le mois d’Elloul LE ROI EST DANS LES CHAMPS Nous pouvons faire Techouva avec beaucoup plus de facilite

que durant le reste de l’année !

J-22

Chabbath Ki-Tavo 18 Elloul / 13 Septembre N.278

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RÉSUMÉ PARACHAT KI-TAVO

* Moche prescrit aux Bne-Israël d’offrir les prémices de leurs récoltes une fois par an. * Cette Mitsva sera réalisée a partir de 14 ans, lorsque tous les Bne-Israël seront installes en Erets-Israël. Il s’agit des premiers fruits qui bourgeonnent, parmi 5 des 7 espèces d’Israël (datte figue raisin olive grenade). * Durant cette cérémonie, il fallait faire une déclaration qui résume l'histoire du peuple. * Une partie des tribus devra ensuite monter sur le mont Eval, l'autre sur le mont Guerizim afin d'y entendre les malédictions en cas de non-respect de la Torah, et les bénédictions dont ils bénéficieront lorsqu’ils obéissent à Hachem.

* La Paracha commence par la Mitsva d’apporter les prémices des fruits en cadeau au Beth-Hamikdach. Cette Mitsva devait s’effectuer « dans la joie ». Cela implique qu’l a fallut attendre 14 années supplémentaires après l’entrée en terre sainte, le temps que tous reçoivent leur part de terrain et qu’ils s’y installent. En effet, tant que l’un des Bne-Israël n’était pas installe, ses frères juifs ne pouvaient pas ressentir de la joie. * Les Bne-Israël méritèrent de renter en Erets-Israël par le mérite de cette Mitsva des Bikourim qu’ils acceptèrent. Et bien que cette Mitsva ne s’effectuera que lors du partage du territoire, le simple fait d’avoir accepte de réaliser cette Mitsva leur est compte comme s’il l’avait déjà faite. * Dans le traite Kidouchine, il est enseigne que, lorsqu’une personne donne un cadeau a un personnage important, cela est considéré comme s’il avait reçu de lui et non comme s’il lui avait donne; car le fait que ce personnage aie accepte de recevoir de lui est en soit un honneur ! C’est pourquoi en parlant de la Mitsva d’apporter les Bikourim, le texte emploie le mot: « Velakahta » (et tu prendras). Car lorsqu’on donne a Hachem, on reçoit un plaisir et un honneur.

Lorsqu’une personne reçoit un cadeau du roi, il se réjouit certainement; mais il se réjouit plus du fait que c’est le roi qui lui a fait ce cadeau que de la valeur marchande du cadeau !! C’est pour cela que le verset déclare: « Tu te réjouiras de tout le bien qu’Hachem t’a donne », ta joie viendra du fait que c’est Hachem qui t’a donne tout cela !!! *Lorsqu’Hachem prononce les bénédictions et les …………………., il prononce les bénédictions justement en direction de la montagne la moins jolie des deux ! Alors qu’on se serait attendu a ce que les bénédictions soient attachées a la beauté de l’endroit, au contraire, Hachem sépare totalement la beauté (de l’endroit) de la beauté (de la Mitsva)! Ceci vient nous enseigner une chose fondamentale; Il serait faux de penser que tout celui qui respecte la Thora aura forcement une vie facile et agréable ! Si c’était le cas, tout le monde souhaiterait être « religieux » et cela n’aurait plus de sens !! Nous devons respecter la Thora parce que telle est la volonté d’Hachem, peut importe les conséquences !

Commentaires KI TAVO

« Parce que tu n’as pas servi Hachem dans la joie ! » Non seulement tu n’as pas respecte les commandements de la Thora, mais en plus tu l’as fait dans la joie !!! Le fait de ne pas respecter la Thora peut se justifier de différentes manières, mauvaises habitudes, faiblesse, manque de connaissances … Mais lorsque le non respect est accompagne d’un sentiment d’indifférence, voire de joie, cela devient indéfendable !!! Ce n’est pas tant la joie, déclare Reb Enih d’Alexander qui est le réel problème, c’est la chose qui a provoque ton indifférence envers les Mitsvot d’Hachem !!! Comment est il possible qu’un Juif ressente de la joie après avoir faute !?! Dans le même sujet, lorsqu’Hachem nous juge après 120 ans, il ne nous juge pas uniquement sur les bonnes et les moins bonnes actions réalisées tout au long de notre vie, il nous juge aussi sur le sentiment qui a accompagne cette action ! Ainsi, une personne qui fait une Mitsva mais avec un sentiment de fardeau, d’obligation et de contrainte, il est clair que sa Mitsva perd non pas de sa valeur mais de sa luminosité ! Un peu comme une belle photo mais un peu trop sombre, ce qui nous empêche d’apprécier la beauté et les traits de la personne en question !!! Et même si le cadrage est impeccable, que la prise est bonne, l’effet obtenu ne sera que moyen !!! De l’autre cote, une faute commise mais don la personne ressent immédiatement le regret d’avoir désobéi a Hachem, (non pas de la peur de la punition mais de la honte devant Hachem) la faute ne sera pas considérée de la même manière !!! Plus la personne est rapide a regretter son acte, et plus elle éprouve de la peine, voire de la souffrance en réalisant ce qu’elle a provoque par son action, et plus la faute sera amoindrie. Servir Hachem dans la joie n’est pas simplement une Mitsva en soi, cela doit accompagner toutes les Mitsva car alors, cette joie leur donne une dimension et une expression complètement différente.

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« Excusez-moi ! Puis-je vous parler quelques minutes ! » Pnina se tourna vers la femme aux cheveux argentés qui, visiblement, n’avait pas l’habitude de fréquenter la synagogue : «Oui, bien sûr, répondit-elle poliment. Mais, s’il vous plaît, attendons la fin de la prière !». La femme, rassurée, accepta. Elle avait de beaux yeux bleus, d’un bleu remarquable! «Je voudrais vous parler en privé». « Pourquoi justement moi ? » se dit Pnina. « Après tout, la synagogue est pleine de femmes qui me ressemblent… » Elle continua à prier tout en remarquant que la femme ne la quittait pas des yeux. Celle-ci avait trouvé un livre de prières traduit et tentait de prier elle aussi. Justement aujourd’hui ! Le dernier Chabbat de l’année ! Pnina avait réussi à habiller tous ses enfants pour qu’ils soient présentables à la synagogue, elle avait rangé la maison et avait presque couru pour ne pas être trop en retard. Quand elle avait enfin atteint le moment de la Amida et qu’elle s’était levée, le rabbin commença son discours. Celle-ci termina la Amida et se rassit tout en adressant un sourire à la dame qui la remercia silencieusement avec un visage rayonnant. Quand l’office s’acheva, la galerie des dames se vida lentement. Pnina invita la femme à s’asseoir près d’une table. « Je m’appelle Goldie, murmura-t-elle. C‘est bientôt Roch Hachana » Tous les enfants du Gan savaient que c’était bientôt Roch Hachana. « il faut absolument que je parle à mon frère et à ma voisine! continua Goldie. » Pnina attendit, mais Goldie dévisagea son interlocutrice avec ses yeux bleus si intenses, puis elle s’expliqua : «Cela fait cinq ans que je n’ai pas parlé à mon frère ! Et six mois que je ne parle plus à ma voisine !». Plusieurs femmes s’étaient approchées d’elles et s’intéressaient à leur conversation. « Cinq ans ? remarqua Pnina. Et les autres Roch Hachana, vous n’avez pas tenté de renouer les liens avec votre frère ? » « Oui, je sais, chaque Roch Hachana, je me dis que je devrais remédier à la situation mais cette année, j’ai décidé de demander conseil et c’est pourquoi je me suis rendue à la synagogue pour en discuter avec la personne qui me paraîtra la plus apte à m’aider. » Apparemment Goldie ne cherchait plus à parler en privé et ne se gênait pas devant les autres femmes qui écoutaient leur conversation. « Et pourquoi n’en discutez-vous pas avec le rabbin ? tenta encore Pnina. » « Non, non ! s’exclama Goldie. Jamais de ma vie je n’ai parlé avec un rabbin ! » « Alors, avec la femme du rabbin… ? » La femme du rabbin était encore assise non loin de là. Elle parlait avec Myriam. Pnina regretta ce qu’elle venait de proposer car cela faisait déjà quelques mois qu’elle était en froid avec Chochana, elle ne savait d’ailleurs plus très bien pourquoi… « Non ! Je préfère parler avec vous! Vous avez l’air très sympathique et pratiquante ! Je suis sûre que vous ne vous êtes jamais mise en colère contre quiconque, surtout pas contre un frère ou une voisine… Mais moi, j’en veux terriblement à mon frère et à ma voisine. Cependant, quand j’y réfléchis bien, ce qu’ils m’ont fait n’est pas très grave, mais je ne peux pas reprendre les relations à présent juste comme si de rien n’était… Je suis sûre que vous, cela ne vous arrive jamais ! »

Pnina rougit. « Que s’est-il passé exactement ? » demanda Pnina. « Heu… mon frère m’a blessée… Du moins, sur le coup. A y réfléchir, ce n’était pas si grave … Lui, il a tenté de me téléphoner plusieurs fois, mais chaque fois que j’entendais sa voix, je raccroche. Il m‘a écrit des lettres, mais je les ai jetées au panier sans même les ouvrir. Quant à la voisine, je lui avais demandé de me prêter un mixeur mais elle m’avait répondu qu’il était endommagé. J’ai cru qu’elle m’accusait de l’avoir cassé la dernière fois que je l’avais emprunté. Mais au fond, peut-être voulait-elle dire que c’était elle qui l’avait abîmé… Toujours est-il que je ne lui parle plus, bien qu’elle ait tenté plusieurs fois de m’inviter pour les repas du vendredi soir… » « Que comptez-vous faire alors ? » « Justement ! Je viens vous demander conseil ! » « Téléphonez-leur et expliquez que vous vous excusez… » « Non ! C’est terrible ! Jamais je ne pourrais dire cela ! De plus, avec mon frère, je ne me souviens même plus pourquoi exactement je suis fâchée… » Toutes les femmes se mêlaient maintenant de la conversation. « Attendez encore quelques jours et vous y verrez plus clair ! » suggéra Esther. « Quelques jours ? Mais cette semaine, c’est Roch Hachana ! soupira Goldie, angoissée. Je ne suis peut-être pas aussi pratiquante que vous, je ne fréquente que très rarement la synagogue mais l’année dernière, le rabbin avait recommandé dans son discours de régler avant Roch Hachana les différends entre un homme et son prochain. Il avait expliqué que les ressentiments à l’intérieur des familles ou entre les voisins causent une séparation entre D.ieu et Son peuple et gênent la prière. Je n’ai peut-être pas tout compris dans son sermon, mais je sais qu’avant Roch Hachana, je dois arranger tout cela ! » Chacune des femmes présentes réfléchissait et se sentait… mal à l’aise en pensant qu’elle aussi, peut-être, un jour... « Peut-être une lettre ? » suggéra Pnina. « Oui, exactement ! Mais comment la commencer ? » « Heu… Ecrivez d’abord que… vous avez envie de les revoir, que les liens se sont relâchés mais que vous êtes prête à les renouer… Goldie avait les larmes aux yeux : «Vous êtes formidables ! J’avais raison de venir vous parler ! Dès ce soir, j’écrirai ces lettres !». Le même soir, ce sont dix-huit femmes qui envoyèrent des lettres commençant à peu près de la même façon, Pnina à Chochana, Esther à sa sœur, Yehoudit à son amie… À Roch Hachana, la synagogue était pleine à craquer. Et cette année, la prière fut différente, plus vivante ; on pourrait presque dire plus souriante car chacune souriait à l’autre, même à celle avec laquelle elle n’avait pas échangé un mot l’année passée… Goldie priait elle aussi et les larmes coulaient sur son livre de prières traduit. Avait-elle conscience que, grâce à elle… ? Quelqu’un attendait Goldie à la sortie de la synagogue, un monsieur aux tempes argentées et aux yeux bleus, d’un bleu indescriptible… ! Tous deux se dirigèrent dans la rue de Goldie : ils étaient invités pour le repas de fête chez sa voisine… Attendries, les dames de la synagogue suivaient Goldie des yeux : celle-ci pouvait-elle seulement s’imaginer tous les problèmes que sa conversation de Chabbat dernier avait contribué à résoudre dans cette communauté ?

LA LETTRE !!!

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* Le 18 Elloul 1698 : Naissance du Baal-Chem-Tov. * Le 18 Elloul 1734 : Le Baal-Chem-Tov se dévoile (contre son gré)

Ce dévoilement fut une sorte de réparation de son âme. * Le 18 Elloul 1758 : Naissance du Admour-Hazaken.

* Les lettres qui ont une valeur numérique égale a 18 sont le Heth et le Youd; ces deux lettres forment le mot HAY qui signifie la vie, la vitalité. Cette vitalité reflète la joie qui doit accompagner la Techouva. * Dans la tradition Hassidique il existe un diction qui dit que: « Le 18 Elloul est le jour qui a introduit et qui rajoute de la vitalité dans le mois d’Elloul. * A partir de cette date, et jusqu’à Roch-Hachana, il y a 12 jours. Ces 12 jours correspondent aux 12 mois de l’année. Chaque jour, nous ferons Techouva sur le mois en question. En effet, on raconte qu’un homme simple mais pur habitait Tsfat; Un jour, on frappa a sa porte, c’était Eliyahou Hanavy qui lui expliqua que, suite a une décision du tribunal céleste, il fut décidé qu’il aurait le mérite d’étudier avec Eliyahou Hanavy en personne, par le mérite de la Mitsva qu’il avait faite le jour de sa Bar-Mitsva, et qui provoqua un grand tumulte dans les cieux. L’homme fut ravi mais Eliyahou Hanavy lui fixa une condition; il fallait qu’il lui dise quelle était cette fameuse Mitsva !? L’homme se tut, baissa les yeux et déclara qu’il n’avait pas l’intention de dévoiler cette Mitsva. En effet, son père lui avait toujours enseigne qu’ « une Mitsva devait être connue que de toi et d’Hachem !! » Eliyahou n’eut pas d’autre choix que de s’en aller. Mais le lendemain, il se représenta et annonça a l’homme que, puisqu’il avait été prêt a perdre cette chance d’étudier avec Eliyahou Hanavy, pour respecter ce principe enseigne par son père, il aurait le mérite d’étudier avec le prophète sans aucune condition. C’est ainsi qu’il étudia jusqu’à la fin de sa vie avec le Tsadik et parvint a un niveau très élevé de connaissances. Mais au jour du jugement, on décida que, puisqu’il avait été un juste cache durant toute sa vie, il devrait revenir afin de se dévoiler et éclairer le monde par sa lumière. Cette âme redescendit dans le corps du Baal-Chem-Tov !

LE CHOFFAR

* Le Chofar est une corne de bélier, mais il peut tout aussi bien provenir d’une corne de tout animal Cacher. * Il a une forme étroite d’un cote et large de l’autre, en allusion du verset: « Mine Hametsar Kerati Ka, Anani Bamerhav Ka » (de l’etroitesse je t’implorerai, Hachem, réponds moi dans la largesse.) * Le mot Chofar vient du mot « CHIPOUR » qui signifie améliorer car il est la pour nous inciter au réveil et a la Techouva. * Pendant le mois d’Elloul, nous sonnons du Chofar tous les jours sauf le Chabbath et la veille de Roch-Hachana, afin de différencier les sonneries de Elloul qui sont facultatives et celles de Roch-Hachana qui sont obligatoires. D’ailleurs nous faisons la Beraha sur la sonnerie de Roch-Hachana mais pas sur celles de Elloul ! * En Elloul nous sonnons 10 sons distincts alors qu’a Roch-Hachana nous en sonnons 100. Cela correspond aux 10 forces de l’âme que l’on doit raffiner; alors qu’a Roch-Hachana, il faut raffiner les 10 force de l’âme combinées de chacune d’elles !!! (10 x 10 = 100). * Les sons du Chofar représentent les pleurent d’un enfant qui appelle son père au secours; de la même manière, nous implorons Hachem notre père de nous secourir durant ces jours de jugement ! * Pourquoi sonne-t-on du Chofar a Roch-Hachana ??? 1-Le jour ou l’homme fut crée, le 1er Tichri, Hachem devint roi sur la terre. Lors de la proclamation du roi, on sonne des trompettes ! 2-En souvenir du don de la Thora sur le mont Sinai, afin de nous rappeler la promesse de respecter les Mitsvot. Or lors du don de la Thora, Hachem a sonne du Chofar. 3-Pour nous souvenir de la destruction du Beth-Hamikdach, ainsi que le son des trompettes que l’on fait retentir lors d’une guerre. 4-Le Chofar rappelle le sacrifice d’Ytshak par Avraham Avinou, et afin que cet acte de bravoure apporte la protection au peuple Juif lors du jugement. 5-Le son du Chofar a la particularité d’éveiller crainte et peur. Cela amène la soumission envers Hachem. 6-Le Chofar a pour but de nous rappeler le jour du jugement dernier et de nous amener a la Techouva.

Ce feuillet est dédié A l’élévation de l’âme de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV

QUI SUIS-JE ? Vous me mettez toujours au même endroit. Il faut absolument qu'on me voit. Le plus important chez moi, c'est mon intérieur. Je suis le chouchou des bisous.

Réponse de la semaine dernière: LA KIPPA

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ח״י אלול