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8/14/2019 La monnaie de Babylone http://slidepdf.com/reader/full/la-monnaie-de-babylone 1/25 L B  B L. C Parce que nous sommes les enfants de Yahweh, nous voulons savoir quelle est la volonté de notre Père. Ensuite, nous voulons vivre selon cette volonté. Vous savez déjà que nous avons atteint ce point particulier de l’Histoire, la n des temps,lesderniersjours.Nousensommesaupointoùnouspouvonsdéjàobserver l’approche rapide de l’eondrement total de notre civilisation. Je ne suis pas ici pour vous mentir, pour vous faire croire qu’il surait de fermer les yeux pour que les problèmes disparaissent, car ils ne disparaîtront pas. Nous avons fermé les yeux depuis bien trop de générations; nous devons maintenant les ouvrir et faire face aux faits. Nous sommes au bord de l’eondrement et de la destruction de notre civilisation parce qu’il n’existe aucune mauvaise chose à laquelle nous n’avons pas donné notre accord. Nos dirigeants nous ont trahis, et parmi les traîtres, les principaux sont ces gens dans nos églises. Ces faux hommes d’église ont été à la pointe de la trahison. Quelqu’un a une fois demandé à Satan : « Que vas-tu faire une fois confronté à la grande vérité? Cette vérité est tellement évidente et claire! Tu ne peux pas la réfuter ni la tordre ». Satan répondit : « Oh, c’est simple : je l’organiserai ». C’est ainsi que les choses se sont passées. Nous avons laissé Satan organiser les choses, et vous voyez où cela nous a conduits. Aujourd’hui, nous sommes nous- mêmes menacés; non par un seul mal, mais par beaucoup de maux. Ils arrivent tous à la fois, comme les rayons d’une roue. Ces maux commencent en diérents points de la jante et ils vont dans des directions diérentes. Cependant, ils se concentrent tous en un même point, au moyeu. Tous ces maux font partie du système babylonien, duquel le Christ nous a avertis de sortir : « Sortez du milieu d’elle, mon peuple, an que vous ne participiez pas à ses péchés et que vous ne receviez pas de ses plaies ». Aujourd’hui, jevoudraisvousparlerdel’argentdeBabylone.L’ennemi,lesenfants de Satan, a souvent essayé, dans le passé, de nous attaquer et de nous détruire par la force et des attaques militaires. Cela a toujours échoué parce que nous étions susamment nombreux à être dèles à Yahweh et qu’ainsi Yahweh est

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Parce que nous sommes les enfants de Yahweh, nous voulons savoir quelle estla volonté de notre Père. Ensuite, nous voulons vivre selon cette volonté. Vous

savez déjà que nous avons atteint ce point particulier de l’Histoire, la n destemps, les derniers jours. Nous en sommes au point où nous pouvons déjà observerl’approche rapide de l’eondrement total de notre civilisation.

Je ne suis pas ici pour vous mentir, pour vous faire croire qu’il surait de fermerles yeux pour que les problèmes disparaissent, car ils ne disparaîtront pas. Nousavons fermé les yeux depuis bien trop de générations ; nous devons maintenantles ouvrir et faire face aux faits. Nous sommes au bord de l’eondrement et dela destruction de notre civilisation parce qu’il n’existe aucune mauvaise chose àlaquelle nous n’avons pas donné notre accord. Nos dirigeants nous ont trahis, et

parmi les traîtres, les principaux sont ces gens dans nos églises. Ces faux hommesd’église ont été à la pointe de la trahison.

Quelqu’un a une fois demandé à Satan : « Que vas-tu faire une fois confronté àla grande vérité ? Cette vérité est tellement évidente et claire ! Tu ne peux pas laréfuter ni la tordre ». Satan répondit : « Oh, c’est simple : je l’organiserai ».

C’est ainsi que les choses se sont passées. Nous avons laissé Satan organiser leschoses, et vous voyez où cela nous a conduits. Aujourd’hui, nous sommes nous-mêmes menacés ; non par un seul mal, mais par beaucoup de maux. Ils arrivent

tous à la fois, comme les rayons d’une roue. Ces maux commencent en diérentspoints de la jante et ils vont dans des directions diérentes. Cependant, ils seconcentrent tous en un même point, au moyeu. Tous ces maux font partie dusystème babylonien, duquel le Christ nous a avertis de sortir :

« Sortez du milieu d’elle, mon peuple, an que vous ne participiez pasà ses péchés et que vous ne receviez pas de ses plaies ».

Aujourd’hui, je voudrais vous parler de l’argent de Babylone. L’ennemi, les enfantsde Satan, a souvent essayé, dans le passé, de nous attaquer et de nous détruire

par la force et des attaques militaires. Cela a toujours échoué parce que nousétions susamment nombreux à être dèles à Yahweh et qu’ainsi Yahweh est

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venu à notre secours pour détruire l’armée ennemie. Mais l’ennemi a appris ques’il peut contrôler notre système monétaire, il peut nous mettre en esclavage pluscomplètement qu’il ne le pourrait par la force des armes. De plus, il peut nousfaire payer le prix de notre propre esclavage, et pour cela, il n’a pas à sortir uncentime de sa poche.

Les libéraux nous ont prêché, depuis longtemps, que l’unique fonction d’un gou-vernement est de taxer ses infortunés citoyens jusqu’au point où ces derniers sontréduits à un état de destitution totale. Ils deviennent entièrement dépendantsdu gouvernement pour une aumône, pour leur simple survie. Ensuite, ces gensdestitués sont sévèrement avertis que, s’ils ne votent pas pour garder la mêmeadministration au pouvoir, leur chèque de n de mois disparaîtra. Cette arnaquea été mise au point an de perpétuer notre propre esclavage.

Une autre fonction du gouvernement, celle de maintenir la paix, devrait êtreabdiquée en faveur du droit d’émeute, car les émeutiers fournissent un de cesgroupes minoritaires qui aident à la direction de la société et à garder la majoritésous contrôle. Mais une autre fonction importante du gouvernement est celle del’émission de la monnaie.

Tout l’argent existant dans les treize colonies originelles ne surait pas à meneraujourd’hui les aaires journalières d’une ville comme Bellower, en Californie.Plus notre nation s’étend, avec de plus en plus de gens dans les aaires, et plus ildevient nécessaire d’avoir encore plus d’argent en circulation.

L’un des grands économistes d’aujourd’hui, F. W. Taussig de Harvard, déclare surla quantité théorique d’argent :

« Si la monnaie a pour fonction d’être un moyen d’échange, ce qu’elleest supposée être, il doit y avoir en existence, en circulation, un dollar-argent pour tout dollar en valeur de propriété de n’importe quelle sortepouvant être achetée avec de la monnaie ».

Si vous êtes un propriétaire, vous voudrez peut-être un jour vendre votre maison.

Cependant, vous ne pouvez la vendre à moins qu’il existe susamment d’argentavec lequel quelqu’un peut vous l’acheter. Si vous êtes un marchand possédantun gros magasin bien fourni, vous ne pouvez pas vendre un article à moins qu’ilexiste de la monnaie quelque part en circulation avec laquelle un acheteur puisseacheter votre produit. Je suis sûr que vous pouvez facilement comprendre cela.

Nous ne possédons qu’une fraction d’un pourcent de la monnaie nécessaire pources besoins. Cela nous a obligés, du fait du manque d’argent, à faire des aairesavec des crédits bancaires, qui nous coûtent des intérêts : l’usure.

Je ne suis pas en train d’attaquer votre banquier local. En permettant au sys-tème économique babylonien de s’emparer de notre émission de monnaie, nous

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avons rendu les banques nécessaires. Si nous étions sous les lois de Yahweh,nous n’aurions pas besoin d’une force de police comme celle que nous avonsaujourd’hui du fait que le manque d’argent force les gens à voler pour survivre.Nous devrions revenir aux lois de Yahweh, après quoi nous connaîtrions une li-berté économique.

Je ne suis pas en croisade pour licencier la moitié des forces de police. Je souhaiteque nous ayons plus de forces de police, pas moins, aussi longtemps que nousresterons sous ce système babylonien à la place des lois de Yahweh. Je ne conduispas non plus une croisade pour abolir le système bancaire local. Cela ne pourrapas être réalisé avant de remettre en place la totalité des lois économiques deYahweh.

Si vous possédez un dollar en argent, vous pouvez en dépenser cent cents, maissi vous devez emprunter de l’argent, vous ne pourrez probablement en dépenserqu’une partie, parce que vous devrez payer des intérêts. Aujourd’hui, les intérêtssont déduits à l’avance, avant même que le banquier vous prête l’argent. Cela si-gnie que nous ne pouvons mettre en circulation que de moins en moins d’argent.C’est la raison pour laquelle les lois de Yahweh nous interdisent tout intérêt surl’argent.

Ce n’est pas seulement que vos acquisitions diminuent mais, puisque vous nepouvez plus dépenser autant, le marchand ne peut plus vendre autant. À cause decela, le marchand ne peut pas embaucher plus d’employés, il ne peut pas payerplus de salaires. Tout cela devient un cercle vicieux, et encore, ce n’est qu’unepetite partie du problème.

La banque locale débute avec autant de millions de dollars en capital. Ces millionsont été obtenus par la vente d’actions bancaires ou par la possession de parts, etc’est donc cet argent qu’elle peut prêter. Puis les déposants placent leur argent à labanque, qui s’ajoute aux fonds pouvant être prêtés. Cependant, les banquiers ontdécouvert, avec l’expérience de bien des générations, qu’une banque peut prêterbeaucoup plus de dollars qu’elle n’en a enregistré sur ses livres.

Les banquiers prêtent dix dollars pour chaque dollar qu’ils possèdent. La raisonpour laquelle ils peuvent faire cela est que très peu de gens demandent leur argenten liquide.

Vous allez à la banque et empruntez mille dollars. Le banquier vous donne dixbillets de cent dollars. On vous donne un petit livret sur lequel est écrit 1.000$.Vous rédigez un chèque qui représente le payement d’une télévision, puis vousfaites un autre chèque pour un nouvel ensemble de pneus, et ainsi de suite. Lesmarchands ne prennent pas ces chèques pour en obtenir immédiatement du li-

quide ; ils ne font que déposer ces chèques à la banque. Tout ce que fait la banqueest d’ajouter des entrées dans sa comptabilité, de transférer le montant de votre

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compte au compte du marchand. Durant tout ce processus, la banque ne doit jamais payer le moindre liquide.

Une fois de temps en temps, vous allez à la banque pour retirer 25$, pour votre

argent de poche. Rappelez-vous qu’un dixième de ce que la banque possède dansses réserves est susant pour tenir compte de ces petits montants. Le point estnalement atteint où la banque a prêté dix dollars pour chaque dollar qu’ellepossède. Mais, comme vous allez bientôt le comprendre, il existe une entité bienplus sinistre à l’arrière-plan, observant tout cela.

La banque devrait être capable de faire un prêt hypothécaire sur votre maison,qui représente une garantie parfaitement valable, et de le vendre à quelqu’und’autre. Cela donnerait à la banque plus d’argent pour continuer à fonctionner entant que banque. C’est la théorie de base sous-tendant l’existence d’une grande

organisation, le système de la Réserve Fédérale. Mais le problème avec les théo-ries est que « Les chires ne mentent pas, mais les menteurs les manipulent ». Lesbanquiers ne dirigent pas les banques selon des théories. Cette énorme organisa-tion centrale est faussement nommée, car elle n’est pas fédérale du tout ; elle estpurement et simplement une institution bancaire privée.

Notre Congrès a donné à cette corporation bancaire privée le pouvoir absolu decréer des paniques et des dépressions à sa propre discrétion, à n’importe quel mo-ment qui lui convient, juste en coupant l’approvisionnement d’argent. La RéserveFédérale peut quand elle le désire faire cesser toute activité bancaire.

Comme vous le savez probablement, la plupart des marchands ne possèdent passusamment d’argent pour acheter de nouveaux stocks pour leur aaire. Ils -nancent ce nouveau stock au moyen des banques, en payant des intérêts. De nom-breux fermiers ont besoin d’un nouvel emprunt chaque année pouvant les soutenirnancièrement jusqu’à ce que leurs produits se retrouvent sur le marché.

Ces fermiers doivent obtenir du crédit des banques, à cause du système danslequel nous nous trouvons. Sous le système de la Réserve Fédérale, des désastresse sont déjà abattus sur nous de nombreuses fois dans le passé.

Beaucoup de fermiers furent ruinés nancièrement et de petites banques furentanéanties en 1921. Ces actes étaient délibérés de la part du système. Les banquiersde la Réserve Fédérale amenèrent le grand krach de 1929. Ce sont des exemplesde ce que peut donner ce grand pouvoir du contrôle sur l’approvisionnement dela monnaie. C’est un pouvoir qui ne devrait pas être mis entre les mains d’unhomme ou d’un groupe d’hommes. Ce pouvoir fut donné, par nos membres duCongrès et du Sénat, aux directeurs de cette institution bancaire privée.

Nous allons maintenant vers l’étape suivante, qui est la pire de toutes. Chaque

année, notre nation et les aaires qui y sont conduites doivent s’étendre. Avecplus d’aaires, nous avons besoin de plus d’argent. Mais quand vous n’avez pas

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assez d’argent pour conduire les aaires présentes et que le gouvernement ex-torque l’argent des malheureux contribuables, ce gouvernement ne fait rien pouraméliorer la situation, il ne fait qu’empirer les choses.

Le gouvernement, et non des banquiers privés, devrait émettre d’avantage d’argentan de rester au niveau des besoins grandissants de l’économie de la nation. Decette façon, le peuple serait bénéciaire et pas des banquiers privés internatio-naux. Si le gouvernement émettait la monnaie, il n’y aurait pas de dette nationaleni besoin d’imposition sur les revenus.

Pour ajouter l’insulte à l’injure, la Réserve Fédérale n’est même pas détenue pardes Américains ; elle est détenue par des banquiers internationaux Juifs.

Supposons maintenant, pour faire simple, qu’au lieu d’un budget de 180 milliardsde dollars pour l’année prochaine, comme le voulait le président Johnson, nousparlions de 100 milliards de dollars. Supposons encore que les experts du Dépar-tement du Commerce calculent que l’année prochaine, an de garder les aairesau niveau de la prospérité pour tous, il devrait y avoir 15 milliards de dollarssupplémentaires en nouvelle monnaie, que le gouvernement utiliserait alors ande payer ses dépenses. Cela laisserait seulement 85 milliards de dollars devantêtre levés par la taxation du peuple.

Le gouvernement, entre la nouvelle monnaie créée et les taxes reçues, obtiendrait

l’argent dont il a besoin. Mais, plutôt que d’avoir à payer 100 milliards en taxes,nous n’aurions à payer que 85 milliards, et donc les contribuables bénécieraientde 15 milliards qu’ils ne pourraient pas avoir autrement. Une partie de ce montantpourrait être placé sous forme d’épargne, de telle manière que nous ne serionspas pauvres et destitués de tout en vieillissant, dépendant des allocations gou-vernementales simplement pour manger. Dépenser cet argent mis en circulationcréerait des emplois et aiderait à la prospérité de la nation.

C’est de cette façon que les choses devraient aller, mais ce n’est pas de cette façonqu’elles vont. Cela est dû à ce que des hommes corrompus, ayant des objectifs cor-rompus, ont corrompu la loi. Personne n’a eu le courage de déer ce programmede mise en esclavage de notre nation, puisque la Réserve Fédérale a été créée parla ruse.

Je n’ai pas besoin de recommencer depuis le début et de vous expliquer qui sontles enfants du diable ; vous le savez déjà. L’un d’entre eux, qui vint aux États-Unisen 1902, était Paul M. Warburg, un « citoyen Allemand », membre d’une famille« Allemande » de banquiers, qui possédait la M. M. Warburg Company. C’est unegrosse rme bancaire allemande ayant ses quartiers-généraux à Hambourg et à

Amsterdam. Ils sont les représentants principaux de la rme bancaire de la maisonde Rothschild.

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Ce Juif, qui arriva ici, n’apprit jamais à bien parler anglais. Il vint ici pour nousdire comment organiser notre système monétaire, non pas pour notre prot maispour le sien. Il parvint à faire passer au Congrès le Federal Reserve Act de 1913.

En 1912, grâce à de l’argent prêté par les membres de la rme bancaire juiveKuhn Loeb and Company, un Juif marrane, appelé Woodrow Wilson, fut éluprésident des États-Unis. Lorsque la famille de Wilson vivait en Allemagne etétaient ouvertement Juifs, ils se faisaient appeler Wolfson. Quand ils partirentpour l’Angleterre, ils suivirent la coutume juive de changer de nom et ils de-vinrent les Wohlson. Quand cette famille vint nalement s’établir aux U.S.A., ilschangèrent de nouveau leur nom et devinrent les Wilson.

Comme la plupart des politiciens démocratiques, Wilson se t racoler pour deve-nir prétendûment un représentant du peuple contre les grands intérêts nanciers.

En réalité, Wilson était le larbin des banquiers ; ils le possédaient comme vouspossédez votre chien. Il était à leurs pieds exactement comme un chien et il aidaces banquiers internationaux Juifs à passer le Federal Reserve Bank Act par-dessusl’obstacle du Congrès.

D’abord, ces Juifs tentèrent d’établir une seule banque centrale pour tout le pays ;cependant, nous avions déjà réussi à stopper ce genre de tentative plusieurs fois.Nous avions déjà combattu la banque centrale dès les débuts de notre République.Andrew Jackson avait réussi à la stopper et nous l’avons stoppée une fois encorelors de la Guerre Civile. Finalement, ces Juifs mirent au point un système de douze

banques situées dans douze villes principales des États-Unis. La seule à posséderbeaucoup d’argent est la New York Federal Reserve Bank. New York commandedonc notre système monétaire et, comme vous le savez, il y a plus de Juifs à NewYork City qu’il n’y en a dans toute la Palestine.

Il fut proclamé que la Federal Reserve Bank fortierait le système bancaire etque, par conséquent, il n’y aurait plus jamais de faillite bancaire. Mais la RéserveFédérale ne fut pas inventée du tout dans le but d’aider le système bancaire. Enfait, il y a eu plus de faillites bancaires depuis que nous avons adopté le systèmede la Réserve Fédérale qu’il n’y en eut dans toute notre histoire avant cela.

Entre décembre 1913, lorsque le Federal Reserve Act fut passé, et mai 1929,cinq mois avant le krash d’octobre 1929, il y eut 4.500 faillites bancaires auxÉtats-Unis. L’Histoire rapporte comment les banques rent faillite, sur une échellenationale, sous l’administration Roosevelt. Franklin D. Roosevelt était lui aussi unJuif marrane.

Les banquiers Juifs mirent au point ce système de la Réserve Fédérale an d’obtenirle droit d’émettre la monnaie des U.S.A. Il n’existe pas plus de raison pour qu’uneinstitution bancaire ait le droit d’émettre la monnaie qu’il n’y en a pour une quel-

conque institution privée de prendre le contrôle du Département de la Défenseet de décider si nous devons combattre pour notre liberté ou bien nous rendre

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et nous laisser charcuter. L’émission de la monnaie est une fonction gouverne-mentale, purement et simplement. Laisser cette fonction entre les mains d’uneorganisation privée est totalement indéfendable.

Vous demandez-vous ce que tout cela a à voir avec la religion et les lois de Yah-weh ? J’ai bien l’intention de vous apprendre les lois de Yahweh que nous avonsviolées. Je voudrais également que vous appreniez les conséquences de telles vio-lations.

Les Juifs sont des maîtres manipulateurs. Rappelez-vous que la majorité des psy-chanalystes sont Juifs et que le domaine de la publicité est principalement Juif. Ilsont réussi à convaincre les naïfs que si le gouvernement émet sa propre monnaie,exceptées les pièces qui trouvent leur valeur dans l’or ou l’argent qui les com-posent, cela résultera en de l’ination. Ces Juifs ont réalisé des campagnes depropagande an de convaincre le peuple de cette absurdité : il n’y aurait derrièrela monnaie en tant que garantie rien d’autre que la bonne foi du gouvernementet son pouvoir de taxation.

En d’autres termes, nous pourrions avoir à transformer nos billets en or ou enargent. Si nous désirons aller à l’étranger et acheter quelque chose, les gens àl’étranger pourraient ne pas accepter nos billets s’ils ne représentent que la bonnefoi de notre gouvernement et sa capacité à lever de l’argent par des taxationscomme garantie que ces billets puissent être rachetés. Ces Juifs prétendent quel’argent des banquiers est diérent : il n’est pas inationnaire parce qu’il est ga-ranti par des obligations gouvernementales.

Examinons cette situation d’un peu plus près. Considérons la façon dont cela de-vrait fonctionner selon la théorie de la Réserve Fédérale. Nous verrons que lesgens qui dirigent la Réserve Fédérale n’agissent même pas selon leur propre théo-rie. Supposons que le Département du Trésor possède un milliard de dollars enobligations gouvernementales U.S. et que la Réserve Fédérale possède un milliardde dollars en argent. La Réserve Fédérale transfère donc le milliard de dollars enargent vers le Département du Trésor. La Réserve Fédérale achète alors le mil-liard de dollars en obligations avec cet argent tout frais imprimé. Tout sembleéquilibré, non ?

Selon le Federal Reserve Act, la Réserve Fédérale possède maintenant un milliardde dollars en obligations, sur lesquels nous payons maintenant des intérêts. Cetteopération ne leur a rien coûté, à part l’impression des billets. Le gouvernementcharge la Réserve Fédérale de 1,25$ par millier de billets imprimés. S’il s’agit de1.000 billets d’un dollar, ils paient 1,25$. S’il s’agit de 1.000 billets de cent dollars,le coût pour ces 100.000$ est de 1,25$. Quel racket ! Quand un contrefacteurimprime de l’argent, au moins il ne nous demande pas des intérêts sur cet argent.

Ensuite, la Réserve Fédérale paie avec un chèque sur un compte qui n’existe mêmepas.

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La Réserve Fédérale ne prend pas ces obligations pour les placer dans ses cores,elle les laisse dans les cores du Département du Trésor comme garantie surl’argent de la Réserve Fédérale. Cela représente certainement plus une garantieque si notre gouvernement émettait la monnaie avec l’appui du gouvernement,ça c’est sûr !

Une obligation du gouvernement n’est appuyée par rien, exceptée la bonne foi dugouvernement et sa capacité à lever de la monnaie servant à payer ces obligationsen nous taxant, nous, pauvres idiots de contribuables. Ces banquiers internatio-naux Juifs nous expliquent que la bonne foi du gouvernement n’était pas su-sante pour garantir la valeur de l’argent des banquiers. Dès lors, l’argent émis parle gouvernement n’est pas plus inationnaire que l’argent émis par les banquiers.C’est une des raisons pour lesquelles le président Kennedy fut assassiné : il avaitcommencé à émettre de l’argent sans dette, sans payer d’intérêts aux banquiers

Juifs. Restez avec nous, ce n’est que le début.

La Réserve Fédérale possède maintenant ces obligations, qui ne leur coûtent rien,et nous payons des intérêts dessus. Finalement, ces obligations mûrissent, aprèsque les banquiers ont reçu un nombre incalculable de milliards en intérêts. En-suite, nous leur payons la valeur nominale de ces obligations.

En ce point, il semblerait que la Réserve Fédérale a au moins donné au gouver-nement U.S. un peu d’argent. Mais attendez, il y a une surprise! Certains d’entrevous se rappellent peut-être l’infâme époque du « New Deal » de l’administration

Roosevelt. Il y avait un homme important dans l’organisation du New Deal, nomméMariner Eccles. Entre autres choses, il avait été appointé comme membre duconseil des gouverneurs du système de la Réserve Fédérale. Se trouvant bienplacé, il savait ce qui se passait et, lorsqu’il témoigna sous serment devant unecomission d’enquête du Congrès, il savait de quoi il parlait.

M. Eccles déclara que la Banque de la Réserve Fédérale ne paie aucun argent augouvernement fédéral lors de l’achat des obligations. Il témoigna : « Nous créons

 juste cet argent par une entrée dans nos livres ». Tout ce que fait la Réserve Fédé-rale est d’ajouter une entrée de leurs registres, aux pages consacrées au gouver-

nement fédéral. Les quelques gouttes d’encre qui servent à rédiger cette entréereprésente l’entièreté de leur investissement dans l’achat de milliards de dollarsen obligations sur lesquels nous payons des intérêts à perpétuité. Et cela se passetoujours aujourd’hui comme cela.

Il est vrai que le gouvernement doit signer un chèque sur ce compte, juste commenous le ferions si nous empruntions de l’argent à la banque et qu’ils nous don-naient un livret contenant des chires. Cependant, le gouvernement ne retire pastout cet argent en une fois, il le retire petit à petit. Les banques gardent ainsi leurpouvoir d’utiliser cet argent pendant une grande partie de l’année jusqu’à ce que

le gouvernement en retire un peu, ce qui permet aux banques de réaliser encoreplus d’intérêts en prêtant cet argent ailleurs.

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Si les banquiers prêtent le même dollar à dix personnes diérentes en mêmetemps, ce qui est une pratique bancaire courante, alors elles gagnent 10 fois surles intérêts. Restez avec moi, les choses sont encore pires que cela. Ces banditssont encore plus avides que cela, le pire est à venir.

Ce qui suit représente la façon dont les transactions commerciales sont nancées.Disons que vous êtes un marchand et que vous commandez un chargement debiens chez un fabricant. Quelquefois, vous achetez sur un compte ouvert, vousne payez par à l’avance. Le fabricant vous envoie la marchandise et une note. Enrègle générale, un paiement endéans trente jours est regardé comme du liquide,et vous recevez une remise de 2%. Si vous ne payez pas dans les trente jours, vouspayez le montant total. Mais si vous payez après soixante jours, quatre-vingt-dix

 jours ou plus, vous commencez à payer des intérêts.

Peut-être que le fabricant veut son argent plus rapidement que cela ; vous signezalors un billet à ordre, ou contrat, au fabricant, pour le montant de votre achat.Si le fabricant l’endosse, de manière à garantir le paiement, il peut l’amener à labanque et lui vendre la note.

Les banques ne paient en général pas la note à sa valeur nominale. Sur une notede 1.000$, la banque va peut-être payer 85% ou 90%. Le fabricant est prêt à unecertaine réduction s’il peut obtenir son argent directement. De ce fait, il récupèrela perte dûe à la ristourne en vous faisant payer plus cher sur la marchandise qu’ilvous vend. La banque perçoit les intérêts pour le montant total de la note mêmesi elle n’en paie pas le montant nominal. Cependant, la banque ne prend aucunrisque sur la solvabilité de l’acheteur ; elle a la signature du fabricant sur la note,garantissant le paiement.

Ce papier est appelé « acceptation commerciale », et les banques en achètent ungrand nombre. La loi de la Réserve Fédérale stipule que si la banque de la Ré-serve Fédérale utilise des obligations du gouvernement comme garantie, elle leurretourne des notes de la Réserve Fédérale à hauteur de cent cents pour un dol-lar. Si elle utilise des acceptations commerciales, elle leur retourne des notes dela Réserve Fédérale à hauteur d’un maximum de quatre-vingt-dix cents pour undollar. Peut-être ces acceptations seront payées, peut-être pas. En attendant, labanque de la Réserve Fédérale récupère son argent, qu’elle peut alors prêter dixfois, avec intérêts. Pendant tout ce temps, ces banques touchent des intérêts dugouvernement fédéral sur des obligations qui ne leur ont absolument pas coûtéquoi que ce soit.

Considérez le contrôle complet sur notre vie économique toute entière que pos-sède cette Réserve Fédérale. Cette corporation juive privée peut donner un coupd’arrêt à toute aaire bancaire locale quand elle le désire, à tout moment. Vous

souvenez-vous avoir lu dans les journaux, il y a quelques temps de cela, que lesdirecteurs de la Réserve Fédérale pensaient que nous devenions un tout petit peu

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trop prospères et qu’il était temps de ralentir l’économie ? La Réserve Fédéraleaugmenta donc le taux de réescompte.

Les banques locales, an de garder une réserve susante d’argent disponible,

doivent être à même d’encaisser ces hypothèques, prêts, etc, qu’elles ont accu-mulés. La banque locale envoie ces diérents instruments de dette à la RéserveFédérale et la Réserve Fédérale les achète, mais elle charge les petites banques dece taux d’escompte. En augmentant le taux d’escompte jusqu’au point où votrebanque locale ne peut plus payer mais est toujours à même de vous prêter del’argent à un taux que vous pouvez payer, la Réserve Fédérale, en fait, ferme lerobinet de réserve monétaire. Sans cet argent, les aaires de la communauté nepeuvent plus être conduites.

La Réserve Fédérale peut absolument refuser d’émettre de la monnaie, mais ellen’a pas besoin de faire cela. Il lui sut de faire ce qu’elle a fait quelquefois dansle passé : juste augmenter le taux d’escompte jusqu’à un montant impossible.

En 1920, les banquiers de la Réserve Fédérale décidèrent de ruiner les fermiers.Pendant la Première Guerre Mondiale, on encouragea les fermiers à cultiver lemaximum de blé et à acheter plus de terres dans ce but. Le gouvernement conti-nuait à armer à ces fermiers que c’était leur devoir de patriotes de faire cela.Nous vous montrerons à quel point l’emprunt d’argent pour l’achat de terres futrendu facile. Les fermiers hypothéquèrent les terres qu’ils possédaient déjà ainsique les terres qu’ils allaient acheter. An d’obtenir de l’argent pour l’achat de cesterres, ils empruntèrent dans leurs petites banques locales. Ces banques n’étaientpas sous le contrôle de la Réserve Fédérale, elles étaient des banques indépen-dantes.

Durant la Première Guerre Mondiale, les usines avaient été tellement actives etles ouvriers avaient reçu de si haut salaires qu’il y avait beaucoup d’argent en cir-culation. Deux fois seulement dans son existence, la Réserve Fédérale permit uneaugmentation de la réserve monétaire an que la communauté puisse prospérer.Ce fut durant les deux guerres mondiales. Mais excepté pendant ces deux guerres,la Réserve Fédérale prit soin de baisser la réserve monétaire de telle façon que,non pas l’argent, mais le crédit avec ses intérêts, était la seule possibilité de fairedes aaires. Cela leur permit de nous étrangler complètement.

Le temps vint pour ces bandits de reprendre tout l’argent qu’ils avaient mis encirculation. Il était temps de chasser les fermiers de leurs terres. De plus, le travaildans les villes devenait assez indépendant. Les syndicats étaient devenus forts etil était temps de les briser, eux aussi. Ce fut accompli par ces fermiers désespérésqui avaient été chassés de leurs terres et qui avaient migré vers les villes dansleur recherche de travail. Ces fermiers déplacés étaient prêts à travailler dans

n’importe quelles conditions, pour n’importe quel salaire, car ils devaient nourrirleurs familles.

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La Réserve Fédérale amena la dépression de 1921 tout simplement en coupantl’arrivée d’argent destiné aux opérations agricoles et aux emprunts fermiers. Cequi t aussi tomber en faillite la plupart des petites banques locales, laissant ainsile système bancaire du pays largement aux mains de cette énorme corporationsinistre, le système bancaire de la Réserve Fédérale.

Pourquoi avons-nous ce système de la Réserve Fédérale, en premier lieu ? Nouspouvons retourner au début du vingtième siècle en lisant les magazines de l’époqueet y lire exactement ce que je suis en train de vous dire. Certaines personnes setracassaient de la possibilité d’une guerre à grande échelle en Europe, parce quede nombreuses nations maintenaient de grandes armées et de grandes ottes. Ilexistait une amère rivalité entre l’Angleterre et l’Allemagne, toutes deux domi-nées par les Juifs. Les gens avaient peur que cette rivalité se développe en uneguerre réelle. Tous les économistes renommés armaient que c’était impossible,

parce que les nations d’Europe ne pourraient pas nancer une guerre.

An d’obtenir que les nations Blanches Chrétiennes s’anéantissent l’une l’autre,que chaque nation détruise sa voisine au bénéce des Juifs, et an de remplirles cores des grosses maisons bancaires juives, il était nécessaire d’amener uneguerre et de trouver des moyens pour la nancer. Les branches européennes de laMaison de Rothschild étaient à même de nancer un côté d’un tel conit, mais nonles deux côtés. En conséquence, les banquiers devaient mobiliser les ressourcesnancières des États-Unis an de nancer l’autre côté, autrement il ne pouvaitpas y avoir de guerre avec de gigantesques prots pour ces banquiers Juifs.

La guerre fut remise jusqu’à ce qu’ils aient mis en place le système de la RéserveFédérale dans notre pays, en 1913, ensuite de quoi ils commencèrent leur guerreen 1914. Parmi les grosses maisons bancaires aliées à la Maison Rothschild, ily avait J. P. Morgan et Kuhn Loeb and Company. Ces maisons bancaires amé-ricaines achetèrent d’énormes quantités d’obligations britanniques et françaises.Elles purent obtenir l’argent nécessaire à l’achat de ces obligations grâce à la Ré-serve Fédérale. Il devint vite évident que la Grande-Bretagne et la France allaientperdre la guerre et ne seraient pas capables de rembourser les banques juives surces obligations. Il n’y avait aucune possibilité de faire payer les États-Unis pour

ces obligations anglaises et françaises, à moins de faire entrer les U.S.A. dans laguerre.

Woodrow Wilson (Wohlson) basa sa campagne électorale pour son second mandatsur le slogan : « Il nous évitera la guerre ». C’était en 1916. Wilson s’était déjàengagé avec les banquiers internationaux pour nous emmener dans la guerre.Cette promesse de Wilson constituait son engagement auprès des banquiers juifs,qui avaient fourni l’argent pour son élection et qui le possédaient. Oui, c’est lacaractéristique de ces sauveurs du peuple démocrates.

Franklin D. Roosevelt promit : « Che tétéste la kerre. Che fous promets, gomme chel’ai téchà tit soufent, fos ls ne seront chamais enfoyés outre-mer pour kompattre

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tans une kerre étranchère ». Ces discours avaient lieu alors qu’il nous avait déjàvendus et s’était déjà engagé pour nous emmener dans la guerre. Est-ce qu’il existeun seul politicien disant la vérité ?

Eh bien, ces banquiers juifs nous rent entrer dans cette guerre. Nous nancionstout le côté « allié » et les grosses maisons bancaires juives rent des milliards deprot. De ces prots, Jacob Schi envoya quelques vingt millions de dollars auxJuifs Bolcheviques an de nancer la révolution juive communiste en Russie. CesJuifs découvrirent qu’ils n’avaient pas entièrement détruit les pouvoirs Chrétiens ;ils devaient amener une Deuxième Guerre Mondiale à cette n.

Ils arrivèrent donc à faire éclater cette Deuxième Guerre Mondiale qui complétaleur contrôle. Ils sont maintenant prêts pour une Troisième Guerre Mondiale, quinira leur travail. Voilà en quoi consiste la pieuvre qui étrangle notre système

nancier.

En 1913, la Réserve Fédérale débuta avec 143 millions de dollars ; c’est ce quepayèrent les actionnaires. Ses actifs aujourd’hui se montent à des centaines demilliards, ou peut-être même des trillions de dollars, et ils n’ont jamais produitune seule chose. Tout cet argent vient directement ou indirectement des pigeons,des pauvres citoyens qui travaillent dur dans ce pays. Examinons maintenant àquoi cette pieuvre nous a conduits.

Yahweh nous a promis que nous connaîtrions la prospérité si nous obéissons à

Ses lois. Durant les 100 dernières années, le taux d’imposition fédéral par tête, etceci inclut les nouveaux-nés aussi, était de 8,49$ par an. Aujourd’hui, les taxesfédérales se montent à plus de 32% des revenus, juste pour les taxes fédérales. Il ya bien entendu aussi les taxes locales et des divers états. Il n’existe aucun exempledans l’Histoire où une nation quelconque a survécu très longtemps après que lemontant total des taxes ait dépassé la marque des 30%. Nos taxes fédérales, àelles seules, dépassent ce pourcentage.

Si vous pensez que vos impôts sur les revenus ne sont pas si élevés que ça, le faitest que cet impôt sur le revenu ne représente qu’une petite partie du tableau. Une

grande partie du système de taxation fédérale consiste en contributions indirectesprélevées chez les fabricants. Ces taxes font partie du prix des biens que vousachetez. Lorsque vous achetez un pain, vous payez non seulement pour le coûtde la farine et pour le travail des meuniers et des boulangers, mais vous payezégalement de nombreuses taxes cachées ayant été prélevées sur le produit. Cestaxes commencent dès l’instant où le blé pousse et s’additionnent lors des diversesmanipulations faites par les divers intermédiaires.

Nous payons plus de quatorze sortes de taxes diérentes sur un pain, prélevéesdès l’instant où le blé est coupé chez le fermier jusqu’à l’instant où nous l’achetons

chez le boulanger. Ceci n’inclut pas les coûts supplémentaires des taxes que lesgens produisant ce pain paient eux aussi. Toutes ces taxes s’additionnent et font

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que le montant total des taxes fédérales est tellement élevé. Ces taxes ne sont pasévidentes, ce qui fait que nous ne les percevons pas comme taxes, et nous sommesdès lors inconscients du montant réel des taxes que nous payons.

Nous nous plaignons du fait que le coût de la vie ne cesse d’augmenter à cause descharges que le marchand retient sur tout ce qu’il vend. Les prix semblent montertout le temps. Le marchand augmente le prix de sa marchandise an de pouvoiracheter les biens de consommation qu’il place sur ses étagères. Le marchand dedétail doit payer le prix des biens plus le montant de toutes les taxes indirectesaccumulées ayant été prélevées tout au long du chemin. Ensuite, en plus de toutcela, il y a les diverses taxes locales et de chaque état qui doivent être payées.

Examinons où nous a mené ce système pernicieux consistant à conduire touteaaire avec de l’argent emprunté, avec des intérêts continuellement siphonnés

dans les cores des banques. Ce système fut mis au point an de nous tondrepar des milliards de dollars de taxes servant à payer les intérêts de tout cet ar-gent emprunté. Il n’existe aucun moyen par lequel cet argent puisse jamais êtreremboursé, à moins que le gouvernement se déclare en faillite. Il y a cependantun autre moyen : que les banques de la Réserve Fédérale soient rachetées. Ceciéliminerait pratiquement toutes les dettes.

À la n des années 1930, la dette publique des États-Unis était de 16 milliards185 millions de dollars, et cela incluait le solde impayé de notre dette provenantde la Première Guerre Mondiale. À la n des années 40, après les deux termes duprésident Roosevelt et plusieurs années d’achats erénés de matériel de guerre, ladette était montée à 48 milliards 497 millions de dollars. Les Juifs se préparaientà nous emmener dans la Seconde Guerre Mondiale an d’accroître nos dettes etd’augmenter les intérêts que nous leur payons.

À la n de 1945, après avoir payé toutes nos dépenses, plus pratiquement toutesles dépenses des Alliés contre l’Allemagne, le total de la dette du gouvernementfédéral était de 259 milliards 115 millions de dollars. Comme les Juifs ont bienréussi à nous faire emprunter notre propre argent chez eux! À la n de 1948,sous Harry Truman, la dette fur réduite à 252 milliards 366 millions. Il ne fallaitpas que la dette puisse être payée, et donc vint la Guerre de Corée, guerre qui ne

fut jamais déclarée. À la n de cette dernière guerre, la dette nationale remontaà 286 milliards 471 millions.

À la n 1967, le Congrès xa le plafond de la dette à 358 milliards. Cependant,à chaque fois que le besoin d’argent se faisait sentir, quelle que soit la raison, leCongrès ne faisait que relever le plafond. La Réserve Fédérale n’est pas la seule àdétenir des obligations du gouvernement et à en tirer des intérêts, mais la RéserveFédérale est la seule qui puisse obtenir ces obligations pour rien et en tirer desbénéces.

Examinons maintenant le budget du gouvernement ; il s’agit de ce que le gou-vernement fédéral paye. En 1915, le budget était de 746 millions de dollars. Ce

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montant incluait les très lourdes dépenses voulues par Woodrow Wilson pour ar-mer le pays en vue de la Première Guerre Mondiale. Jusqu’à cette époque, le paysn’avait jamais eu de budget atteignant le milliard de dollars.

En 1935, en pleine folie dépensière de l’administration Roosevelt, le budget montaà 6 milliards 497 millions. Comme les banksters appréciaient Roosevelt (Rosen-felt) ! En 1940, le budget fédéral était de 9 milliards 55 millions de dollars. Cettesomme représentait toutes les dépenses fédérales, en général. Elle incluait égale-ment les dépenses d’armement acharné, armement destiné à nous tenir prêts pourentrer dans la Deuxième Guerre Mondiale.

Ce montant de 9 milliards 55 millions devrait nous rester à l’esprit. Nous enétions à moins de 10 milliards de dollars pour le total général des dépenses gou-vernementales, y compris l’établissement d’une énorme armée et d’une otte. Je

voudrais que vous compariez cette somme avec le fait que l’année dernière, nousavons payé 13,5 milliards de dollars, juste pour les intérêts (aujourd’hui, les seulsintérêts se montent à plus de 200 milliards de dollars. Les banquiers Juifs ont trèsbien fait leur travail). Le président Johnson a déclaré que notre budget annueldevrait se monter à 186 milliards.

En combattant dans la Deuxième Guerre Mondiale pour détruire la civilisationChrétienne en Europe, nous n’avons pas retenu nos coups ; nous n’avons pas ditque nous ne voulions pas gagner cette guerre. Nous n’avons pas déclaré que nousvoulions juste amener les Allemands à la table de négociations. Quand nous avonscombattu les Allemands, nous n’avons pas sorti de pieuses platitudes sur le besoinde ne pas bombarder les usines ennemies parce qu’elles se trouvaient dans desvilles habitées par des civils innocents et que ces pauvres gens pouvaient être tuésinjustement.

Les pires choses dont Hitler a été accusé, qui ne sont que mensonges, ne repré-sentent rien à côté de ce que nous avons fait avec nos politiques gouvernemen-tales. Nous avons annoncé que le seul but de nos actions était la reddition incon-ditionnelle de l’Allemagne.

Notre gouvernement a délibérément ordonné le bombardement de zones résiden-

tielles dans des villes allemandes. Il n’y avait là-bas aucune usine, aucune batterieanti-aérienne ni quoi que ce soit pouvant constituer une cible légitime. À Ham-bourg et à Dresde, nos bombardiers transformèrent des villes entières en boules defeu géantes, assassinant délibérément par le feu une population de vieillards, defemmes et d’enfants. Dresde avait été déclarée ville ouverte et elle était par consé-quent bourrée de réfugiés. Cette ville était également l’un des plus grands centresartistiques d’Europe, comparable à Paris. Mais évidemment, nous sommes tropnobles pour bombarder Hanoï, de peur que quelques communistes soient blessésdans le processus. Qu’est-ce qui fait cette diérence ?

Notre gouvernement laissa la Guerre de Corée continuer année après année, alorsmême que nous avions la capacité de la gagner en moins d’un mois. Après leur re-

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tour, chaque général ayant commandé en Corée témoigna devant le Congrès qu’ilaurait pu gagner de manière écrasante, en une brève période, mais qu’on ne luiavait pas permis de le faire. Ce n’était pas juste le Général MacArthur : tous ceuxqui avaient commandé en Corée témoignèrent dans le même sens. Regardez cetteguerre qui se déroule maintenant au Vietnam ; elle dure depuis des années. Nousenvoyons la meilleure jeunesse de notre nation comme chair à canon, détruisantainsi la meilleure descendance que nous aurions pu avoir.

Notre propre gouvernement a ociellement déclaré qu’il n’y a aucun espoir devoir cette guerre se terminer avant vingt-cinq ans. Ce ne sont pas seulement nosls qui vont être assassinés par la traîtrise et la trahison de notre gouvernement,ce sont également nos petits-enfants. Ils n’auront même pas besoin d’inventer unenouvelle guerre pour décimer notre descendance : les Communistes les assassi-neront dans cette même bonne vieille guerre du Vietnam. Nous pourrions gagner

cette guerre, et aucun Communiste n’oserait élever la voix pour s’opposer à cettevictoire. Nous pourrions gagner cette guerre en trois semaines, avec les armesque notre pays a développées.

Rappelez-vous : par les voix de Johnson et Dean Rusk, le gouvernement a déclaré :« Ce n’est pas notre politique de gagner au Vietnam ». Par les voix de nos ambas-sadeurs, nous avons dit : « Nous ne désirons pas gagner la guerre, nous voulons

 juste les amener à la table de négociations ». À cette n ils charcutent nos enfantslà-bas, leur interdisant de gagner la guerre.

Après cela, nous avons déclaré au peuple du Sud-Vietnam : « Nous pourrions ga-gner cette guerre pour vous en trois semaines, mais nous dévasterions votre paysavec d’incessantes batailles, et vos ls seraient tués avec les nôtres pendant vingt-cinq ans ». Est-il si surprenant que les Sud-Vietnamiens commencent à maugréer :« Nous pourrions obtenir mieux des Communistes » ?

Retournons une fois de plus au système de la Réserve Fédérale. Nous avons dé-pensé plus d’argent pour la Guerre de Corée, année après année, que nous enavons dépensé pour l’entièreté de la Deuxième Guerre Mondiale. Comment allons-nous pouvoir dépenser tout cet argent sans obtenir le moindre résultat constitue

l’inexplicable mystère de cet âge. Nos soldats n’ont même pas susamment demunitions ou autres équipements nécessaires.

Les dirigeants de notre gouvernement nous ont expliqué que, puisque nous nepossédons pas assez de bombes pour charger nos avions à plein, nous devons lesenvoyer là-bas chargés à 25%. Ce qui fait que nos pilotes doivent passer à traversles défenses anti-aériennes par quatre fois an de pouvoir délivrer l’équivalentd’un chargement normal en bombes.

Notre gouvernement récupère les matériels de défenses que nous avons déployés

en Europe prétendûment pour la défense des Européens. Nous avons pratique-ment vidé l’Europe de nos hélicoptères an de les envoyer au Vietnam, parce que

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M. McNamara a pris soin que nous n’en ayons pas assez. Nous sommes tombés àcourt de bombes, et nous avons donc du aller en chercher en Europe.

Nous avons entendu parler des problèmes que nous avons à obtenir juste assez

d’équipement de base pour nos troupes au Vietnam. Nous avons entendu parlerde nos soldats au Vietnam écrivant des lettres désespérées chez eux, demandantà leurs parents et à leurs amis ici de leur acheter du matériel pour leurs armes,parce que le gouvernement n’avait rien à leur fournir. Oh oui, c’est le triomphede M. McNamara. Comme le président Roosevelt avait l’habitude de dire : « Nousl’avons planié comme ça ». Rien n’arrive par accident.

Cependant, d’une façon ou d’une autre, l’argent est dépensé, et personne ne sait oùva cet argent. Du fait que nous dépensions tellement plus d’argent que ce que lestaxes ne pouvaient fournir, nous avons du continuer à émettre des obligations et à

demander à la Réserve Fédérale d’en acheter. Ensuite de quoi nous avons donnéà la Réserve Fédérale l’argent pour les acheter. Nous ne vendrons pas autantd’obligations – ou plutôt, nous ne donnerons pas autant d’obligations à la RéserveFédérale – lorsque la guerre sera nie. Pouvez-vous additionner deux et deux etarriver à un nombre légèrement inférieur à onze comme total ? Voilà ce qui arrivelorsque nous tournons le dos à Yahweh.

Les lois de Yahweh sont des lois naturelles, tout autant que la loi de la gravita-tion, et elles sont absolument auto-applicables. Si vous sautez d’une fenêtre d’uneconstruction de huit étages, vous ne violez pas la loi de la gravitation : vous y

obéissez. Vous tombez, mais vous obéissez à la loi de la gravitation de la manièrela plus désagréable, et vous en payez la pénalité. Si, par contre, vous descen-dez par l’ascenseur, vous obéissez à la loi de la gravitation de la manière la plusagréable, et vous bénéciez du résultat. Chaque loi de Yahweh : Ses lois écono-miques, Ses lois alimentaires et toutes les autres sont autant des lois naturellesque la loi de la gravitation. Si vous violez ces lois, elles s’appliquent d’elle-mêmes,avec les mêmes pénalités désagréables.

Le salaire du péché est la mort. Nos ls meurent là-bas, dans les boues du Vietnam,parce que, ici dans ce pays, nous laissons violer les lois de Yahweh. Souvenez-vous

que Yahweh a dit que si nous obéissons à Ses lois, cinq d’entre nous chasseronscent ennemis, et cent d’entre nous en feront fuir dix mille. Nous gagnerions nosguerres de façon écrasante, pratiquement sans la moindre perte de notre côté.

Yahweh dit aussi :

« Tu es ma hache de guerre et mes armes de guerre, car avec toi jerenverserai des nations, et avec toi je détruirai des royaumes ».

Cela signie que nous avons une tâche à remplir. nous avons le choix : soit ac-

complir cette tâche dans l’obéissance aux lois de Yahweh, et le faire avec un coûtmonétaire peu élevé et très peu de pertes en vies, soit nous faisons le boulot de

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façon à violer les lois de Yahweh, et nous en payons le prix très élevé; et nousdevrons faire le sale travail de toute façon.

Vous savez ce que les Juifs veulent faire à la civilisation Chrétienne, je n’ai pas

besoin de vous faire un sermon d’une heure sur ce sujet, vous devez déjà connaîtreles faits. Nous avons laissé ces Juifs prendre le pouvoir sur nous. Yahweh nousavait avertis de ne jamais laisser un Juif vivre parmi nous sur nos terres. Je diraiceci sur Hitler, à supposer qu’il ait fait ce dont on l’accuse : il ne faisait absolu-ment rien de mal ; il ne faisait qu’obéir aux lois de Yahweh quand il commença ànettoyer l’Allemagne de ces parasites suceurs de sang.

Savez-vous pourquoi nous sommes partis en guerre contre l’Allemagne ? Ce n’étaitpas à cause d’atrocités de ction ; ces fables furent utilisées comme propagandepour justier notre implication. Hitler ne mit pas de Juifs dans des camps de

concentration avant que la guerre soit commencée. Il permettait aux Juifs désirantpartir de s’en aller. Après que la guerre ait débuté, Hitler rassembla ces Juifscommunistes et les mit dans des camps de concentration.

Si ce que t Hitler en mettant ses ennemis dans des camps de concentration étaittellement terrible, demandez-vous ce que nous fîmes nous-mêmes des Japonais enCalifornie et de beaucoup d’Allemands partout aux États-Unis dès que la guerrefut commencée? Nous avons fait la même chose, et ces actions n’étaient riend’autre que du sens commun.

Pendant tout ce temps, certains Juifs étaient parfaitement libres d’aller où ilsvoulaient en Allemagne; les autres fuyaient le pays. Ils se demandaient déjà àcette époque s’ils devaient plus tard accuser Hitler d’avoir mis à mort dix foisplus de Juifs qu’il y en avait dans toute l’Europe ou bien seulement dix fois plusqu’il y en avait en Allemagne. Les Juifs nous emmenèrent dans cette guerre etRoosevelt leur avait juré que nous y entrerions aux côtés des Alliés.

La seule raison pour laquelle les Juifs haïssent Hitler est que celui-ci avait comprisce que l’économie et les systèmes bancaires juifs avaient fait à l’Allemagne. Il étaitdéterminé à briser ce pouvoir juif, et les Juifs devaient dès lors se débarrasser de

lui. À cette époque, les Juifs communistes avaient le contrôle d’environ 50% del’Allemagne.

L’Allemagne est une nation qui, comme l’Angleterre, ne possède pas à l’intérieurde ses propres frontières tous les matériaux de base dont elle a besoin. L’Allemagnedevait importer ces matériaux de base, et pour les acheter, elle devait exportercertains produits nis. L’Angleterre faisait la même chose depuis un siècle et demi,et l’Allemagne devait en faire autant an de pouvoir survivre.

An d’étrangler l’Allemagne et de la détruire économiquement, les Juifs organi-

sèrent un boycott mondial des produits allemands. Comme vous devriez le savoirmaintenant, les Juifs contrôlent le commerce dans toutes les nations du monde.

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Ce boycott constituait une déclaration de guerre, comme le déclarait Samuel Un-termayer lui-même. Les Juifs déclarèrent une guerre sainte contre l’Allemagne. LaJuiverie organisée conduisait déjà cette guerre ici-même aux États-Unis, contrel’Allemagne, plusieurs années avant que la guerre réelle commence en Europe.

Hitler commençait à mettre en pratique certaines des lois de Yahweh, et il prou-vait que, en dépit du boycott des Juifs, l’Allemagne pouvait devenir prospère enretournant aux lois économiques de Yahweh. Les Juifs ne pouvaient pas laisserfaire cela, car d’autres nations pouvaient suivre cet exemple et briser la main-mise

 juive sur l’économie et les systèmes bancaires dans le monde.

Malgré tous les eorts des enfants du diable, les Juifs, pour l’étrangler et la dé-truire, l’Allemagne devenait prospère. Cela devait être absolument stoppé, quelquesoit le nombre de Chrétiens qui seraient charcutés dans l’accomplissement de cet

objectif. C’est la raison pour laquelle la Seconde Guerre Mondiale fut lancée etc’est pourquoi nous y fûmes emmenés.

Woodrow Wilson, en 1919, attesta devant une commission du Congrès que lacause de la Première Guerre Mondiale était une rivalité économique. On nousa armé que la cause en étaient ces fausses atrocités que les Allemands étaientsupposés avoir commises. Le Congrès demanda ensuite à Wilson : « Croyez-vousque, si les allemands n’avaient pas commis ces atrocités ou quoi que ce soit quenous pourrions appeler un acte de guerre contre nous, nous serions entrés enguerre contre l’Allemagne de tout façon ? ». La réponse de Wilson fut : « Oui, je

le crois ».

Si Franklin Roosevelt avait jamais énoncé la moindre parole vraie au cours detoute sa vie, il aurait pu déclarer exactement la même chose sur la Seconde GuerreMondiale.

Qu’aurions-nous du faire ? La prise d’intérêts, que la Bible appelle « usure », estinterdite par notre Père. Aujourd’hui, n’importe quel taux d’intérêt est accepté.Les prêteurs sur gages chargent 42% et plus, et vous savez qui ils sont en général.La signication du mot « usure » est celle-ci : toute chose payée pour l’utilisation

d’une autre chose ayant été empruntée. Même si l’intérêt est d’un milliardièmede pourcent par siècle, il s’agit toujours d’usure. Un centime emprunté à un tauxd’intérêt composé annuel de 6% à l’époque du Christ serait devenu une sommesupérieure à tout l’argent en circulation dans le monde aujourd’hui.

Exode 22:25 nous avertit :

« Si tu prêtes de l’argent à mon peuple, au pauvre qui est avec toi, tune seras pas avec lui comme un usurier ; vous ne lui imposerez pasd’intérêt ».

Lévitique 25:35–37 nous rappelle :

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« Et si ton frère est devenu pauvre, et que sa main devienne tremblanteà côté de toi, tu le soutiendras, étranger ou hôte, an qu’il vive à côtéde toi. Tu ne prendras de lui ni intérêt ni usure; et tu craindras tonDieu, an que ton frère vive à côté de toi. Tu ne lui donneras pas tonargent à intérêt, et tu ne lui donneras pas tes vivres à usure ».

Que vous lui prêtiez de la nourriture ou de l’argent, peu importe, vous ne pouvezpas lui demander d’intérêt pour un emprunt.

Ces lois économiques étaient faites pour les Israélites entre eux. Yahweh ne donna jamais ces lois aux autres races, qui nous haïssent, pour qu’elles viennent cheznous et s’enrichissent à nos dépends, en nous empruntant des choses sans avoir àrien payer. Deutéronome 23:19–20 nous dit :

« Tu ne prendras pas d’intérêt de ton frère, intérêt d’argent, intérêt devivres, intérêt de quelque chose que ce soit qu’on prête à intérêt. Tuprendras un intérêt de l’étranger [le mot ici est  nokriy , un étrangerd’une autre race], mais de ton frère tu ne prendras pas d’intérêt ».

Notre dette publique se monte ociellement à 358 milliards de dollars (la mesurede la profondeur du puits dans lequel nous sommes tombés). Depuis que ceci futécrit, notre dette a augmenté et se monte aujourd’hui à environ 5 mille milliardsde dollars. Certains estiment que la dette réelle se monte à 17 mille milliards dedollars. Cette dette uctue légèrement au-dessus ou en dessous de ce montant.

Mais il ne s’agit pas de l’entièreté de la dette publique; il ne s’agit que de lapartie en obligations. Nous ne parlons même pas des émissions d’obligations parles états, des émissions des obligations par le District de l’Irrigation ni du restedes émissions d’obligations, nous ne parlons que de la dette du gouvernementfédéral.

Il existe une vaste réserve d’employés de la fonction publique du gouvernementfédéral qui ont le droit de prendre leur retraite après un certain temps en béné-ciant de leur pension de fonctionnaire. Un certain montant est retiré de leursappointements en vue de cette pension ; une partie de cette somme va aussi au

gouvernement U.S. Le gouvernement a promis que quand ces fonctionnaires pren-dront leur retraite, ils recevront une pension du gouvernement fédéral pour le res-tant de leur vie. L’argent dépensé par le gouvernement pour ces retraites constitueune dette gouvernementale tout autant que la dette provenant de l’émission desobligations.

C’est la même chose pour les pensions des militaires. En ce qui concerne la sécuritésociale, le gouvernement doit aussi payer une grande partie de ce qu’une personnebénéciant de la sécurité sociale va recevoir durant le restant de ses jours. Lorsquenous additionnons l’argent de ces pensions et de la sécurité sociale à la dette

ocielle provenant des obligations et des bons du trésor, nous obtenons une dettefédérale d’un millier de milliards de dollars ou plus. Ce montant est évidemment

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impossible à rembourser (je me demande ce que M. Comparet penserait de ladette d’aujourd’hui).

Quand tout cela viendra à échéance et que nous ne pourrons pas payer, que va-

t-il arriver à notre système économique ? Rappelez-vous comment Yahweh nousavait avertis de ne pas tomber dans ce piège en tout premier lieu. Il nous a ditégalement de sortir de ce système babylonien, de peur que nous partagions sespéchés et que nous sourions de ses plaies. Nous pensons être plus malins queYahweh, mais nous ne le sommes pas ; nous sommes juste cupides, c’est tout.

La seule chose qui va piéger une souris dans un piège à souris est son avidité pourle morceau de fromage garnissant le piège. Nous ne sommes pas plus intelligentsqu’une souris ; il s’agit d’un trait que nous avons hérité d’Adam.

Sous les lois de Yahweh, le fardeau des dettes impayées doit être levé. Si vousempruntez quelque chose, vous êtes sous l’obligation morale de faire tout votrepossible pour rembourser. La loi ne doit pas être simplement un moyen d’éviterles créditeurs. Beaucoup de gens se trouvent dans une situation où leurs dettesdeviennent impayables. Les choses ne se sont pas très bien passées et le débiteurne peut payer ses dettes. C’est la raison pour laquelle tous les sept ans, le fardeaudes dettes impayables devait être levé.

Deutéronome 15:1–3 nous dit :

« Au bout de sept ans, tu feras relâche. Et c’est ici la manière du re-lâche : tout créancier relâchera sa main du prêt qu’il aura fait à son pro-chain ; il ne l’exigera pas de son prochain ou de son frère, car on auraproclamé le relâche de Yahweh. Tu l’exigeras de l’étranger [nokriy ,étranger de race] ; mais ta main relâchera ce que ton frère aura de cequi t’appartient ».

Yahweh a promis, en paraphrasant :

« Si tu fais ceci, je te donnerai une telle prospérité que tu te trouverasmieux, ayant annulé la dette, que tu aurais été si tu avais exigé unpayement de ces dettes ».

Nous n’avons pas voulu suivre cette loi volontairement, mais nous obéirons à cetteloi de Yahweh involontairement, en en payant les conséquences si nous refusonsd’y obéir volontairement et d’en recevoir les bénéces. Une dette impayable peutêtre annulée involontairement. Votre débiteur peut aller en faillite dans une courfédérale et obtenir le relâche de cette façon. Le débiteur est de toute façon ruiné,cela n’aurait aucun sens de jeter de l’argent par la fenêtre en intentant un procès

quand le débiteur ne possède plus rien que vous pourriez saisir et convertir enliquide.

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Le temps passe jusqu’à ce que le statut de limitation eace la dette, et par aprèsvous ne pouvez plus lui intenter un procès, car le délai est passé. Sa dette est dèslors tout aussi eectivement eacée que s’il avait été en banqueroute.

Il y a quelques temps, à chaque fois que les banquiers précipitaient un désastre enfermant le robinet de la circulation d’argent, rendant impossible tout crédit, nousappelions cela une « panique ». Ensuite, après que ces banquiers aient organiséles choses de telle façon que cet état devienne perpétuel, du fait que vous nepouvez pas rester dans un état de panique pour une génération entière ou plus,ils changèrent le nom et on parla de « dépression ». Mais c’est exactement la mêmechose.

Je n’ai pas pris la peine de retracer ces paniques ou dépressions sur les quelquesmillénaires du passé, mais retournons à l’époque la plus ancienne que les plus

vieux d’entre nous peuvent se rappeler. Notez la synchronisation : 1893, 1900,1907. La panique suivante devait avoir lieu en 1914, et des symptômes prélimi-naires de cette panique se faisaient déjà sentir en 1913. 1914 était l’année prévuepour la prochaine guerre juive. Ils devaient donc éviter de nous entraîner dansun désastre s’ils voulaient pouvoir nancer la guerre prévue pour détruire la ci-vilisation Chrétienne.

Et donc, en vendant des fournitures de guerre aux Britanniques à des prix trèsgonés, ils évitèrent la panique prévue en 1914. Ces ventes fournirent d’énormesprots aux grosses corporations juives. Ils pouvaient payer de gros salaires aux

hommes travaillant dans les usines de guerre, et nous connûmes donc une certaineprospérité. Vous pouvez devenir très riche en tuant des gens et en détruisant desvilles.

Toujours selon ce cycle de sept ans, la panique suivante devait survenir en 1921,et elle arriva comme prévue. Entre parenthèses, la Réserve Fédérale l’organisa.La panique suivante devait venir en 1928 et elle avait déjà frappé l’Europe cetteannée-là, mais ici en Amérique, nous avons fait semblant de ne pas la voir jusqu’en1929. Nous étions déjà dans les troubles, le taux de chômage était déjà très élevéet tous les signaux étaient dans le rouge. Mais regardez toutes les actions de

corporations que nous avions achetées, les payant cinq fois le prix qu’elles valaienten réalité. Il y aurait forcément des pigeons pour nous les acheter dix fois leurprix. Nous devenions des hommes riches, n’est-ce pas ? Puis le krach vint et nousn’étions pas riches du tout ; soudainement, nous étions pauvres.

1935 devait être la prochaine crise nancière selon le cycle de sept ans. En pleinmilieu de la dépression sous Roosevelt, on atteignit un point encore plus bas,en 1935. Ensuite, 1942. Rappelez-vous que les Juifs devaient garder l’Amériqueprospère an que nous puissions détruire la civilisation Chrétienne. Ils voulaientêtre certains que les lois de Yahweh ne puissent jamais être suivies par aucune

nation, de peur qu’elle ne serve d’exemple pour le reste du monde. Ce qui était lecas de l’Allemagne. Nous connûmes donc une période de prospérité articielle.

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Vous vous souvenez à quel point nous étions riches alors, en émettant toutesces obligations pour les Juifs, qui ne devaient rien payer pour les avoir ? En fait,étions-nous vraiment riches ? Nous devons maintenant rembourser ces obligationspar notre sueur et notre sang.

Une autre dépression devait survenir en 1949, et nous connûmes eectivementun minimum cette année-là ; la même chose se produisit en 1956 puis en 1963.Et cela continue.

Les lois de Yahweh fonctionnent-elles ou pas? Ne serait-il pas possible que leCréateur de l’univers et de tout ce qui s’y trouve sache ce que Ses propres loisferont ? N’est-il pas temps que nous comprenions cela et que nous commencionsà suivre ces lois ? Il est plus que temps d’obéir à ces lois monétaires comme auxautres, maintenant que nous pouvons observer ce qui arrive à l’argent de Baby-

lone. Il n’existe pas d’argent gouvernemental sous la forme d’un dollar ou plus ;toute cette monnaie est empruntée pour être mise en circulation. La seule mon-naie produite aujourd’hui par le gouvernement sont les pièces de monnaie. Mêmefabriquer des pièces d’un cent avec du cuivre est maintenant trop cher, c’est pour-quoi ils ne font que recouvrir les pièces avec du cuivre. Il n’existe plus aucuneforme de monnaie mise en circulation aujourd’hui qui possède une valeur intrin-sèque, et la grande majorité est empruntée.

Aucune nation dans l’Histoire n’a pu déprécier ainsi sa monnaie et échapper auxconséquences. La monnaie a de moins en moins de valeur, et ce phénomène est

appelé « ination ».Nous ne pouvons obtenir des dollars en papiers qui ne soient pas cette monnaiede Babylone, ces billets de la Réserve Fédérale. Ce n’est pas du papier-monnaiegouvernemental, c’est de la monnaie bancaire. Il est impossible de rembourser cetargent « emprunté ». Par exemple, il y a un milliard de dollars emprunté et misen circulation sur lequel nous devons payer 6% d’intérêts. D’où pourra provenirl’argent de l’intérêt, sinon d’encore plus d’emprunt?

Quand se fait sentir le besoin de plus d’argent en circulation pour le bon fonc-tionnement de l’économie, le gouvernement ne peut pas l’émettre. Le gouver-

nement s’endette encore plus envers la Réserve Fédérale et la Réserve Fédéraleémet l’argent pour son propre prot. À tout moment, ces Juifs peuvent fermer lerobinet et notre économie s’assèchera. Tout ce qu’ils ont à faire est de diminuerla réserve monétaire. Ils le savent et cela fera partie de leur attaque générale. Ilsutiliseront cette méthode juste avant de lancer une attaque militaire contre nous.

Aujourd’hui, en 1998, tous les gens haut-placés dans notre Département de laDéfense et dans nos Aaires Étrangères sont des Juifs. Le dégénéré Clinton a plusappointé de Juifs que tout autre président avant lui dans l’Histoire.

Une désastre nancier amènera la fermeture des usines et jettera dans les rues desmillions de gens au chômage. Ces gens peuvent facilement être conduits dans des

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émeutes et des révolutions, comme les Noirs. Ces banquiers Juifs peuvent nousdire de nancer nous-mêmes notre propre défense parce que nous sommes ruinéset dans une dépression.

D’abord, ces gangsters ont pris tout notre or, et maintenant ils ont pris égalementtout notre argent. Ils nous ont laissés avec du papier sans valeur et ils rigolentde nous. On nous fera savoir que notre papier-monnaie ne vaut strictement rienet qu’il ne représente que de la dette envers une corporation bancaire privée.Nous n’avons rien pour vous payer excepté encore plus de papier-dette ; à quoiallez-vous pouvoir les dépenser ? Qui va accepter ce papier sans valeur ? Ce seraexactement comme en Allemagne, quand ils devaient remplir une brouette entièrede papier-monnaie juste pour pouvoir acheter un pain.

Ensuite de quoi, ces banquiers Juifs jubileront en nous faisant savoir qu’ils pos-

sèdent tout notre or et tout notre argent et que c’est là la seule monnaie possédantune valeur intrinsèque.

Ézéchiel 7:19 promet :

« Ils jetteront leur argent dans les rues, et leur or sera rejeté commeune impureté; leur argent ni leur or ne pourra les délivrer au jour de lafureur de Yahweh ; ils ne rassasieront pas leurs âmes, et ne remplirontpas leurs entrailles, car c’est ce qui a été la pierre d’achoppement deleur iniquité ».

Jacques 5:3 dit :« Votre or et votre argent sont rouillés, et leur rouille sera en témoi-gnage contre vous et dévorera votre chair comme le feu ; vous avezamassé un trésor dans les derniers jours ».

Quelque chose que l’on utilise ne rouille pas, ce sont les choses qui sont misesde côté et qui ne servent pas qui rouillent. Ces banquiers cananéens nous volentnotre argent et notre or pour qu’ils ne puissent nous servir de monnaie. Ils vontau contraire utiliser cet argent et cet or pour nous détruire. Yahweh nous a avertisen Jacques 5:3.

Oui, la Bible révèle que ces enfants du diable vont connaître leur ruine nalepour nous avoir fait cela. Cependant, vous devez vous rappeler que si nous noustrouvons dans le même bateau qu’eux, le naufrage de ce bateau nous fera sourirégalement. Ne serait-il pas temps de sortir de ce système babylonien ? Nous nepourrons pas nous dépêtrer de tous ces problèmes avant de sortir du systèmemonétaire de Babylone.

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Traduction : Bahrmanou

© 1er novembre 2013