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ב״הRéalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ Chabat Mikets 28 Kislev 5775 / 20 Décembre 2014 N.293 * Entrée: Sortie: New-York: 16:13 PM 17:16 PM Paris: 16H36 17H51 Tel-Aviv: 16H21 17H19

Mikets 5775 hanoucah !

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Page 1: Mikets 5775 hanoucah !

ב״ה

Réalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

Chabat Mikets 28 Kislev 5775 / 20 Décembre 2014 N.293

*

Entrée: Sortie:New-York: 16:13 PM 17:16 PMParis: 16H36 17H51 Tel-Aviv: 16H21 17H19

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« Heureux l’homme qui a confiance en Hachem, c’est Yossef »

Ce Midrach semble incompréhensible; d’un coté il cite Yossef comme le symbole de la confiance en Hachem, et d’un autre coté, il explique que Yossef dut passer deux années supplémentaires en prison pour avoir demandé de l’aide a un homme au lieu de s’en remettre a Hachem !

En réalité, Hachem nous demande d’agir selon les voies naturelles, bien que nous avons confiance en lui.Mais Yossef avait un tel niveau que pour lui, même cela était interdit.

C’est justement pour cela qu’il fut puni et qu’il dut passer deux ans en prison.

Pour n’importe lequel d’entre nous, c’est exactement comme cela que l’on doit se comporter, avoir confiance en Hachem et agir selon les lois de la nature.

C’est précisément cette punition qui nous montre combien Yossefpossédait une immense confiance en Hachem.D’ailleurs, on voit que le ministre a qui Yossef demanda de l’aide l’a oublie, mais dans le texte il est écrit: « Le ministre ne s’en souvint pas, et il l’a fait oublier ».

Cela semble être une répétition inutile !En réalité, c’est Yossef qui a réalisé qu’il n’avait pas agi comme il le fallait, regretta son geste et ne souhaita pas profiter de cette faiblesse, il pris donc immédiatement Hachem de faire oublier le ministre.

« On fit monter Yossef du puits et on le rasa »

* Rachi explique que c’est par respect pour le roi que Yossef se rasa.Si ce n’était pas pour le roi, il ne se serait pas rasé ???

Comment un homme qui a passé plusieurs années en prison n’a-t-il pas besoin de se raser ??

En fait, Yossef est sorti de prison le jour de Roch-Hachana; or ce jour il est évidemment interdit de se raser, mais le Chah’ tranche qu’il est permis de se raser pour une Mitsva !

Retrouvailles !!!

Résumé de la Parachat Mikets*Yehouda s’avance vers Yossef pour tenter coute que coute de libérer Binyamine.*Voyant que ses frères ont fait Techouva Yossef n’en peut plus et il se dévoile a ses frères.*Il demande a ses frères de ramener rapidement son vieux père.*Yaacov apprend que Yossef est vivant grâce a Serah fille de Acher.*Yaacov et sa famille arrivent en Egypte au nombre de 70.*Yaacov envoie Yehouda en avant-garde afin d’y installer une maison d’ étude.*Yossef installe sa famille dans les terres de Gochen afin qu’ils ne se mélangent pas a la civilisation égyptienne.*Yaacov et Yossef se retrouvent après 22 ans de séparation.*Yossef présente Yaacov son père a Pharaon et Yaacov bénit le roi.*Yossef vend le blé aux égyptiens, au début contre de l’argent, ensuite contre leur bétail et enfin contre leur terre. Lorsqu’ils n’ont plus rien a donner en échange, ils se vendent comme esclave a Yossef.* Yossef demande aux égyptiens de se circoncire.

« Paro raconta son rêve mais il n’y avait personne pour le lui interpréter ! »

1- Lorsque Yossef interprète les rêves de Paro, il ne se contente pas de lui donner l’interprétation, il lui donne aussi un conseil.Or personne ne lui avait demande une telle chose !

2- De plus, l’interprétation que donne Yossef semble toute simple, au point que le Abrabanel (célèbre commentateur de la Thora) déclare que « le plus simple parmi les simples aurait donne la même interprétation ! »

Pourquoi et comment se fait il qu’aucun des sages égyptiens n’y aie pense ???

3- Pourquoi Paro semble impressionné par l’interprétation de Yossef qui répétons n’avait rien d’exceptionnelle ???

En réalité, les sages égyptiens ont pensé a cette explication en premier, mais il y avait un détail dans les rêves qui les dérangeaient et a quoi ils n’avaient pas de réponse !

Puisque les vaches correspondent a 7 années d’abondance et 7 années de sècheresse, comment se fait il que les vaches maigres aie cohabiter avec les vaches grasses ???

1-C’est pour cette raison que Yossef, en plus de l’interprétation apporta aussi un conseil, car le conseil répond a cette interrogation.

En effet, le fait que les égyptiens mettent du blé de cote pendant les années d’abondance pour les années de famine, c’est cela l’explication de la cohabitation entre les vaches.

2- C’est pour cela que Paro trouva l’explication géniale, car il répondait aussi a ce détail dérangeant !

Durant tout le temps de la famine, c’est Yossef lui-même qui s’occupait (malgré son rang élevé) de distribuer des vivre aux égyptiens.

Le Midrach raconte aussi que durant toute cette période, Yossef jeunait du matin au soir et il ne mangeait qu’après que le dernier des égyptiens soit venu chercher a manger; ce n’est qu’a se moment qu’il se permettait de manger !

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Belinda continua d’étudier; elle avait compris l’importance du

Chabbat et de la Cacherout. Mais comme ces deux commandements lui semblaient difficiles ! Elle repoussait la décision et finalement plongea: elle téléphona au responsable du Beth ‘Habad pour que l’on vienne «cachériser» sa cuisine. Une fois que cela serait fait, elle s’engageait aussi à observer le Chabbat.Mais, pour des raisons indépendantes de sa volonté, le processus de cachérisation s’interrompit au milieu : «Tant pis, Chabbat et la Cacherout attendront un petit peu !»Cette semaine-là, elle apprit les différentes bénédictions, en particulier celle de «Mezonot» que l’on récite avant de manger des aliments à base de farine ou de semoule: gâteau, pâtes, couscous… Au moment du repas, elle enfourna dans son micro-onde une portion de pâtes non-cachères.Il y eut un sifflement, puis un léger «boum» et le four à micro-ondes s’éteignit : «C’est étrange ! Je viens d’apprendre la bénédiction Mezonot que j’aurais récitée sur ce plat de pâtes s’il avait été cachère et mon four à micro-ondes rend l’âme. Après tout, ce n’est qu’une coïncidence…»Vendredi, Belinda alla acheter un nouveau four à micro-ondes. Elle rentra après le coucher du soleil : «J’observerai le Chabbat quand ma cuisine sera cachère!» se promit-elle. Elle ouvrit la porte, appuya sur l’interrupteur pour allumer la lumière. Celle-ci émit un son sec et refusa d’obéir.L’ampoule était hors d’usage. Chabbat matin, Belinda se dirigea vers l’ordinateur pour vérifier ses emails. Dès qu’elle toucha la souris, l’écran devint noir, impossible de faire démarrer un programme. Elle leva les mains au ciel: «Ok ! J’ai compris! Plus de délais ! J’arrête de repousser Chabbat!»Peu de temps après, on lui présenta celui qui allait devenir son futur mari.

Quand il mentionna qu’il avait fait partie de la chorale qui avait

agrémenté l’allumage public de Hanouccah, Belinda ne put s’empêcher de sourire.Et quand il lui proposa le mariage la cinquième nuit de Hanouccah, elle ressentit que la boucle était enfin bouclée.

Ou étiez vous l’année dernière ?!?!

Hanouccah ici, en bas (en Australie), est un peu différent de celui que

vous passez dans l’hémisphère nord. Le soleil se couche bien plus tard et les vagues de chaleur sont plus à l’honneur que les tempêtes de neige… Mais le message de Hanouccah reste le même. Les Ménorots géantes érigées sur les places publiques par les représentants du mouvement Loubavitch affirment que, même si la nuit est obscure, même si les temps sont rudes, la lumière du judaïsme continue de briller.

Voici l’histoire de Belinda, telle qu’elle me l’a racontée il y a peu.

Bien qu’élevée dans une famille peu pratiquante, elle avait toujours pensé qu’il était évident qu’elle épouserait un brave garçon juif. Mais, le moment voulu, elle découvrit que ce n’était pas si simple. Après plusieurs déceptions, elle accepta de fréquenter un non-juif.«C’était en décembre 2005. Nous déambulions sur «Le Boulevard», dans la banlieue d’Ivanhoe, afin d’admirer les illuminations des fêtes de fin d’année. Je remarquai un groupe de maisons sans décorations et me demandai pourquoi elles n’avaient pas sacrifié à la mode ambiante. Du haut de la colline, j’aperçus un spectacle dont je me souviendrai toujours: au loin, se dressait une haute Ménorah dont les lumières brillaient fièrement dans la nuit. Je regardai, comme fascinée. Je ne pouvais en détacher mes yeux.

Le jeune homme qui m’accompagnait me demanda pourquoi je ne

bougeais pas :Il n’y a pas de décoration festive ici ! remarquait-il indifférent.Regarde ! Que vois-tu là, en bas ? Il jeta un long regard jusqu’à ce qu’il comprit ce que je désignais.- Oh, tu veux dire cela ! C’est pour une fête juive, n’est-ce pas ?- C’est une Ménorah de ‘Hanouccah ! J’étais toute excitée.Il haussa les épaules et ne partageait pas mon enthousiasme.Ce fut la fin de notre relation.J’y réfléchis longuement. Moi, au moins je savais qu’il existait une fête

du nom de ‘Hanouccah. Je savais ce qu’était une Ménorah. Si j’épousais ce jeune homme, est-ce que mes enfants connaîtraient au moins cela? J’en avais discuté récemment avec Rav Motty Liberow de Elsternwick, je lui avais parlé de mon ami. Je compris tout à coup qu’il avait eu raison de me décourager d’épouser ce jeune homme.Belinda décida instantanément d’en apprendre plus sur le judaïsme. Qui sait ? Peut-être le fait d’élever son niveau de connaissances serait le catalyseur qui l’aiderait à trouver ce fameux «gentil garçon juif». Elle se mit en contact avec Luba Kornhauser, à Melbourne, qui lui arrangea un programme d’études juives à son niveau et à sa convenance.

Belinda était enchantée, appréciait les cours et, petit à petit, se mit à

pratiquer les commandements, les un après les autres.Hanouccah 2006, le mari de Luba, Rav Eliézer Kornhauser, donna une conférence : «Réfléchissez où vous étiez à Hanouccah l’année dernière et où vous êtes cette année !» Ces mots marquèrent profondément Belinda. Elle comprit que l’expérience qu’elle avait vécue le Hanouccah précédent avait marqué un tournant dans sa vie. Cette année, elle participerait aux préparatifs pour l’allumage public, elle verrait les flammes de près, écouterait les discours et les chants de la chorale qui avait répété pendant des semaines. Quel contraste avec le ‘Hanouccah de l’année dernière qu’elle n’avait aperçu que de loin !

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La Tefila

* La quatrième bénédiction du Chimone Esre est « HONENE HADAAT » (Qui donne la sagesse).

* Elle est en même temps la première bénédiction de la deuxième catégories; les demandes.

* Il est naturel de demander en premier lieu la sagesse car sans elle, tout devient inutile et ridicule.Ce n’est que grâce a la sagesse que l’utilisation et le résultat sont a leur maximum.

* Lorsque Yossef devait de présenter devant Paro, un ange lui a enseigne les 70 langues en une seule nuit.C’est a cette occasion que les anges chantèrent cette louange a Hachem.

* Lorsque Chlomo Hameleh accédait au trône, Hachem lui demanda ce qu’il désirait, en mentionnant qu’il n’avait droit a une seule requête.

Chlomo demanda du temps afin de réfléchir a la question puis il parvint a la conclusion que:« Si je demande la richesse, je n’aurai que la richesse!Si je demande le respect, je n’aurai que le respect !Et ainsi de suite……Mais si je demande la sagesse, elle me permettra de tout obtenir ! »C’est ce qu’il fit et Hachem le félicita pour ce choix judicieux.

* De la même manière qu’il existe une bénédiction dans la nourriture, permettant d’être rassasie avec une petite quantité, de la même manière, l’étude nécessite une braha afin qu’elle amene a un resautât.

* L’admour-Hazaken dans le Tanya déclare que « celui qui pratique la Tsedaka, son cerveau se raffine 1000 fois ».

* Le Rabbi précisa qu’il ne s’agissait pas, la d’une exagération mais que réellement 1000 fois, pas une de moins ou de plus !

* Nous avons déjà vu que dans les époques précédentes, les Hahamim se préparaient longuement a la Tefila, et que chacune des 3 prières journalières leur prenait 3 heures, au total, 9 heures.Comment ont-ils pu devenir des Hahamim en « perdant » tellement de temps a la prière ???

Nos sages répondent qu’une telle Tefila leur apportait la Braha dans leur étude !!!

Iguerot Kodesh N.4576

Je vous salue et vous bénis,

Par la grâce de D.ieu,29 Tamouz 5716,Brooklyn,

A mon proche parent, distingué Hassid qui craint D… et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Avraham David,

Je vous salue et vous bénis,

J’ai lu avec plaisir, dans votre lettre, que vous avez récité des discours hassidiques, à différentes reprises. Puisse D…. faire que s’accomplisse en vous la parole de la Michna selon laquelle “ une Mitsva en attire une autre ”, même s’il ne s’agit, en tout et pour tout, que d’une seule Mitsva et, a fortiori, si celle-ci est répétée de nombreuses fois. Dès lors, on attire beaucoup plus de Mitsvot que celles qui ont été faites.

Le Chaar Ha Ihoud Ve Ha Emouna, au début du chapitre 12 explique tout cela et dit: “ Autre point, surpassant tout ce qui a été dit… ”, montrant la puissance que représente la combinaison de quelques lettres ( Les mots qui constituent la parole).

Je veux dire, très simplement, que vous devez intensifier largement votre diffusion de la Hassidout. A n’en pas douter, vous connaîtrez le succès. Puisse D… faire que vous accomplissiez tout cela avec le calme moral, dans la largesse matérielle et la largesse de l’esprit.

Avec ma bénédiction,

Un très grand MAZAL TOV

aux familles

Azoulay et Benhamoupour le MARIAGE de

Menou’ha-Rahel & Haïm-Yona !

Le 27 Kislev 5775/18 Décembre 2014

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* Une des différence entre les lumières de Hanoukka et celles de la Menora dans le temple est que dans le temple la Menora était allumée le matin alors que celles de Hanoukka sont justement allumées a la tombée de la nuit.

Cette différence s’explique par le fait que la lumiere de la Menora n’avait pas pour but d’eclairer, mais juste d’embellir l’endroit ou elle se trouvait.Les bougies de Hanouka, par contre, ont pour but de repousser l’obscurité, matérielle mais surtout spirituelle.

* Le nombre de bougies sur la Menora était de 7.Aujourd’hui, bien que nous allumons la Hanoukia en souvenir de la Menora du Beth-Hamikdach, malgre cela, elle contient 8 bougies et non 7.

Pourquoi cette difference ??En quelque sorte, la huitieme bougie vient compenser les nombreux jours ou les Juifs ne purent allumer la Hanoukia.C’est un petit peu comme lors d’un examen, celui qui a 10 / 20 dans chaque matiere peut avoir 10 aussi a son dernier test, mais s’il a perdu 2 points a un des controles, il lui faudra « rattraper » ce retard en obtenant au minimum 12 au dernier test !

* Il y a un detail interressant quant a la Mitsva de Hakouka:C’est la seule Mitsva ou la majorite l’accomplie de la plus belle manière (MEHADRINE).La Mitsva est d’allumer une bougie chaque jour mais la plupart d’entre nous allume une bougie le premier jour, une seconde le lendemain, et huit bougies le huitieme jour de Hanouka !

* A propos de l’allumage de la Hanoukia, Beth-Chamaii pense qu’il faut allumer 8 bougies le premier jour, 7 le second jour et une seule bougie le huitieme jour, par rapport aux jours restants.Beth-Hillel, lui, pense qu’il faut allumer une seule bougie le premier jour, 2 le second jour pour arriver a 8 bougies le huitieme jour, par rapport aux jours passes.

Chacun des deux nous enseigne quelque chose pour notre service d’Hachem

Nous savons que Beth-Chamaii est plus strict et exigeant que son homologue; il est lie aux Mitsvot negatives, celles ou nous devons nous empecher de faire telle ou telle chose.Il s’agit donc de « SOUR MERA » ( ELOIGNE TOI DU MAL)C’est pourquoi, pour lui, le nombre de bougies va en diminuant tout au long de la fete, comme pour nous dire que dans le combat ou nous devons nous eloigner du mal, l’epreuve du premier jour (la force de la tentation) va naturellement en diminuant, et il n’y a donc pas lieu d’etre impressionne, voire defaitiste du fait de la forte tentation des premiers instants.Il suffit de repousser la chose de quelques instants pour constater qu’elle perd déjà de sa force !!!

Beth-Hillel, est connu pour sa plus grande souplesse et comprehension; il est, lui, lie aux Mitsvot positives, celles qui entrainent une action.Il s’agit donc de « VAASSE TOV » (FAIS LE BIEN).C’est pourquoi, le nombre de bougies va en augmentant tout au long de la fete, comme pour nous enseigner que dans l’action, il faut toujours aller en rajoutant.Ce qui était suffisant hier ne l’est plus aujourd’hui !

Nous faisons la fete de Hanouka durant 8 jours en souvenir du miracle de la fiole d’huile qui, au lieu de durer une seule journee, continua de bruler durant 8 jours, le temps de fabriquer de l’huile pure.

Pourtant, il est tout a fait permis d’allumer la Menora dans le Beth-Hamikdach avec de l’huile pas pure !

Pourquoi donc les Hachmonaiim insisterent pour allumer avec de l’huile pure uniquement ?Et pourquoi Hachem temoigna son appropbation puisqu’il a lui-meme contribue en faisant un miracle permettant d’attendre le tempsde fabriquer de l’huile pure ?

Les Juifs n’avaient pas eu la possibilite d’allumer la Menora dans le temple durant une longue periode, c’est pourquoi, des que cela leur fut possible, ils voulurent accomplir la Mitsva de la plus belle manière, bien que cela fut permis avec une autre huile.

Et Hachem a participe a ce projet pour enseigner aux generationsfutures l’importance d’accomplir les Mitsvot de la plus belles manieres et ne pas se contenter du minimum.

* Le total des lettres apparaissant sur les 4 cotes de la toupies נ ) ג ה פ ) est de 358, la meme valeur numerique que le mot « MACHIAH ».

Calendrier de Hannouca

*A partir de Mercredi soir nous allumons les bougies de Hannouca en récitant les 3 bénédictions:

1-Leadlik ner chel Hannouca.2-Cheassa nissim laavotenou bayamim hahem bizman

haze.3-Cheehiyanou vekiyemnanou veiguiyanou lizman

(lazman) haze.

*Ce n’est qu’apres la bénédiction que l’on allume la bougie avec le Chamach. *Vendredi soir nous allumons la Hanoukia avant les bougies de Chabbat.*Samedi soir a la maison nous allumons en premier la bougie de la Havdalla puis les bougies de Hannouca.*Les bougies doivent bruler au moins 30 minutes après la tombée de la nuit.*Les bougies doivent être allumées devant une porte et face a la Mezouza*Mais si nous habitons en bas étage nous l’allumerons devant une fenêtre qui donne sur l’exterieur. (Séfarade)*Nous avons l’habitude de manger des mets frits (beignets, latkes …)

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!!!Il y a de cela plus de 2000 ans, la terre d'Israël faisait partie de l'Empire syrien. Commençons avec Antiochus III, le roi de Syrie, qui régna de 222-186 avant l'ère commune. Il avait mené une guerre contre le roi d'Égypte Ptolémée et Antiochus III en était sorti victorieux, la terre d'Israël fut annexée à son empire. Au début de son règne, il fut favorable à l'égard des Juifs et leur accorda certains privilèges. Plus tard, toutefois, quand il fut battu par les Romains et contraint de leur verser de lourdes taxes, la charge en tomba sur les différents peuples de son empire qui durent fournir l'or massif impose. À la mort d'Antiochus, son fils Seleucus IV lui succéda et opprima encore plus les Juifs. Outre les ennuis qui venaient de l'extérieur, de graves périls menaçaient le Judaïsme de l'intérieur. L'influence des Hellénistes (qui acceptaient l'idolâtrie et le mode de vie syrien) ne cessait de croître. Yohanane, le Grand Prêtre pressentit le danger qui menaçait le Judaïsme devant la pénétration de l'influence gréco-syrienne en Terre Sainte. Car, à l'opposé de l'idéal de beauté physique qui était celui des Grecs et des Syriens, le Judaïsme met l'accent sur la vérité et la pureté morale, comme D…. le demande. Le peuple juif ne pouvait abandonner sa foi en D… et accepter l'idolâtrie des Syriens.C'est la raison pour laquelle Yohanane s'opposa à toute tentative de la part des Hellénistes juifs pour introduire les coutumes grecques et syriennes sur la terre d'Israël. L'un d'eux rapporta au commissionnaire du Roi que dans le trésor du Temple se trouvait une immense fortune.Seleucus avait besoin d'argent pour payer les Romains. Il envoya Helyodros s'emparer de l'argent du Temple et il pénétra dans l'enceinte du Temple, mais soudain, il pâlit de terreur et il n'osa pas rentrer dans le Temple.Peu de temps après, Seleucus fut assassiné et son frère Antiochus IV reigna. C'était un tyran d'une nature irréfléchie et impulsive, méprisant la religion et les sentiments d'autrui. On l'appelait « Épiphane », qui signifie « aimé par les dieux » mais un historien, Polebius, lui attribua l'épithète d’Épimanes, « le fou », un titre plus approprié au caractère de ce roi dur et cruel.Désirant unifier son royaume par le biais d'une culture et d'une religion commune, Antiochus tenta de déraciner l'individualisme des Juifs en supprimant toutes les lois juives. Il démit le juste Grand-Prêtre Yohanane de ses fonctions dans le Temple de Jérusalem et installa à sa place son frère Yeochouah qui aimait se faire appeler par son nom grec Jason. C'était un helléniste qui utilisa sa nouvelle charge pour disséminer de plus en plus de coutumes grecques parmi les membres de la prêtrise. Jason fut remplacé plus tard par Menelaus, qui avait promis au roi qu'il lui apporterait plus d'argent que Jason. Quand Yohanane protesta contre la dissémination de l'influence grecque dans le Saint Temple, le Grand Prêtre en poste engagea des hommes pour l'assassiner.À cette époque, Antiochus était engagé clans une guerre qu'il remportait contre l'Égypte. Mais des messagers de Rome lui ordonnèrent d'arrêter la guerre. Il fut obligé de se soumettre. Pendant ce temps, à Jérusalem, la rumeur se répandit qu'Antiochusavait été victime d'un accident sérieux. Le croyant mort, le peuple se révolta contre Menelaus. Le Grand Prêtre traître s'enfuit avec ses amis. Antiochus revint d'Égypte enragé par l'interférence romaine dans ses projets ambitieux. Quand il apprit ce qui avait eu lieu à Jérusalem, il ordonna à son armée de se déchaîner contre les Juifs. Des milliers d'entre eux furent tués. Puis Antiochus émit une série de décrets terribles contre eux. La pratique de leur religion leur était désormais interdite, les rouleaux de la Torah furent confisqués et brûlés. Le repos du Chabbat, la circoncision et les lois alimentaires furent interdits sous peine de mort.

Rabbi Eliézer, un homme de quatre-vingt-dix ans fut force a manger du porc mais il refusa. Ils lui suggérèrent de mettre cette viande à ses lèvres pour faire semblant de la consommer. Mais bien entendu, Rabbi Eliézer refusa et il fut mis à mort. Il y eut des milliers d'hommes qui, de la même façon, sacrifièrent leur vie. La célèbre histoire de Hanna et de ses sept fils eut lieu à cette époque. Les hommes d'Antiochus allaient de village et village pour forcer les habitants à servir des dieux païens. Il ne resta plus qu'une région où tenait la résistance: les collines de Judée avec leurs nombreuses grottes. Mais même là, les Syriens poursuivirent les Juifs fidèles et de nombreux parmi eux moururent en martyrs.Un jour, les hommes d'armes d'Antiochus arrivèrent au village de Modiine où vivait Matityahou, le vieux prêtre. L'officier syrien construisit un autel sur la place du marché et demanda que Matityahou offre des sacrifices aux dieux grecs. Matityahou répliqua : « Moi, mes fils et mes frères sommes déterminés à rester loyaux à l'alliance que notre D…. a faite avec nos ancêtres ! »À ce moment, un Juif helléniste s'approcha de l'autel pour y offrir un sacrifice. Matityahou s'empara de son épée, le tua et ses fils et lui attaquèrent les soldats syriens. Ils en tuèrent bon nombre et chassèrent les autres. Matityahou prit la fuite avec ses fils et ses amis et se réfugia dans les collines de Judée.Tous les Juifs loyaux et courageux se joignirent à eux. Ils formèrent des légions et de temps à autre, ils abandonnaient leurs cachettes pour frapper des détachements et des garnisons ennemis.Sentant sa fin proche, Matityahou enjoignit a ses fils de continuer de défendre la Torah. Il leur demanda de suivre les conseils de leur frère Simon le Sage. Pour leur bien-être, leur dirigeant devrait être Yehouda le Fort. Yehouda était appelé « Macabi », un mot composé des lettres initiales des quatre mots : « Mi Kamokha Baélim Hachem » : Qui est comme Toi parmi les puissants, ô D.ieu.Antiochus envoya son général Apolonius écraser les Maccabées. Bien que plus importants par le nombre et l'équipement, les Syriens essuyèrent une défaite cuisante. Une armée de plus de 40 000 hommes balaya le pays menée par deux généraux, Nicanor et Gorgiach. Quand Yehouda et ses frères apprirent cette nouvelle, ils s'exclamèrent : « Combattons jusqu'à la mort pour défendre notre âme et notre Temple ! » Le peuple s'assembla à Mitspah. Après de durs combats, la victoire fut remportée.Les Maccabées se dirigèrent alors à Jérusalem pour la libérer. Ils pénétrèrent dans le Temple et le purifièrent de toutes les idoles placées par les syriens. Yéhouda et ses hommes construisirent un nouvel autel que Yehouda inaugura le 25 Kislev de l'année 3622.Puisque le Candélabre d'or avait été volé par les Syriens, les Maccabées en fabriquèrent un nouveau dans un métal moins riche. Quand ils voulurent l'allumer, ils ne trouvèrent qu'une petite cruche d'huile d'olive pure, portant le sceau du Grand Prêtre Yohanane. Cette petite fiole ne suffirait que pour l'allumage d'un seul jour. Mais par un miracle, elle continua à brûler huit jours, jusqu'à ce qu'on ait pu fabriquer de la nouvelle huile. Ce miracle prouva que D…avait à nouveau pris Son peuple sous Sa protection. C'est en souvenir de ces événements que nos Sages ont désigné ces huit jours pour que nous en fassions la commémoration de 'Hanouka