Lehaim

Entrée: :

19:37 pm

Sortie:

20:41 pm

Velivraha

LES GENS BIEN,

PRESQUE TOUS CHERCHENT A S’EN ENTOURER,

TRES PEU CHERCHENT A LE DEVENIR !

ב״ה

Réalisé par Y.Berrebi 054.700.73.67

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MAZAL TOV MAZAL TOV SHMOUEL ET RIKA SEBAG

pour la naissance de DOV-BER

Qu’il grandisse comme un Hassid Yre Chamaiim ve Lamdan

Chabbath Nitsavim/Vayeleh 25 Elloul / 20 Septembre

N.280

MAZAL TOV MAZAL TOV Aux familles

AZOULAY ET BENHAMOU, à l'occasion du VORT de leurs enfants,

MENOUHA RAHEL ET YONA HAÏM.

RÉSUMÉ PARACHA NITSAVIM-VAYELEH

* Moche rappelle des principes fondamentaux de la foi juive: L’unité du peuple. * Moche avertit que l’exil et la désolation s’abattront sur le peuple s’il abandonne les commandements mais prophétise qu’a la fin des temps, « tu reviendras à l’Eternel ton ». * D… dit: « J’ai placé devant toi la Vie et le Bien » * Vayeleh nous relate les événements qui ont eu lieu le dernier jour de la vie de Moche. * Moche transfère le leadership à Yeochoua et conclut l’écriture du rouleau de la Thora qu’il confie aux Leviim. * Il transmet le commandement du « Hakhel » tous les sept ans, durant la fête de Souccot de l’année de la Chémita tous le peuple, hommes, femmes et enfants, devaient se rassembler dans le Temple de Jérusalem où le Roi leur lisait des versets de la Thora afin de renforcer leur foi. * La Paracha de Vayélekh se conclut avec la prédiction que le peuple d’Israël abandonnera l’alliance conclue avec Hachem. * Mais cette même prophétie promet que les mots de la Thora « ne seront jamais oubliés de la bouche de ses descendants. »

* La Paracha commence par l’ordre de Moche au peuple de se réunir afin de les faire entrer dans l’alliance.

* Cette alliance a fait que tous les Bne-Israël sont devenus depuis ce jour, responsables et garants les uns des autres. * Cela s’est fait le jour de la mort de Moche, le 7 Adar. * De cette alliance, va découler une Alaha; une personne peut acquitter une autre personne des Mitsvot; comme par exemple la Mitsva du Chofar. Cela provient de la responsabilité mutuelle des Bne-Israël les uns envers les autres. * Moche demande aux Bne-Israël de se réunir, tous ensemble, devant Hachem, depuis les têtes de peuple, les anciens, jusqu’aux coupeurs de bois et aux puiseurs d’eau. Question: Si Moche amène les Bne-Israël a une union parfaite ou ils sont « tous ensemble », sans distinction entre les membres de ce peuple, pourquoi il énumère les différentes catégories qui forment le peuple Juif, ce qui montre bien qu’il existe des différents niveaux ??? Le peuple d-Israël est compare a un corps humain. Or, dans le corps, il y a des parties vitales et d’autres qui le ne sont pas. Pour autant, chaque partie (même la plus petite) a un rôle a jouer qu’aucune autre ne peut réaliser. De ce fait, on ne peut pas réellement parler de grand et de petit, d’important et de secondaire. Car pour certaines choses, la tête sera plus importante que les pieds (réfléchir, apprendre, communiquer …), mais pour d’autres choses, ceux sont les pieds qui seront les plus importants (se déplacer par exemple). Il ressort de la que chaque partie a besoin de toutes les autres, et que s’il manque la moindre partie, c’est tout le corps qui est malade et affaibli ! Il en est exactement pareil pour le peuple d’Israël. Chacun apporte quelque chose a l’ensemble et l’absence de l’un d’entre nous provoque un manque dans l’ensemble (même s’il s’agit du plus petit ou plus mauvais d’entre nous.) Cela signifie qu’il y a effectivement des distinctions mais sans qu’il n’y aie de supérieur ou d’inferieur. L’union est donc préservée, parfaite.

Commentaires

« Si vous vous trouviez expulses au fin fond des cieux … » Si on regarde de plus près le texte originel, on verra que le texte emploie le singulier ! Comment peut on parler de dispersion au singulier ?!? Il faut être plusieurs pour être disperses les uns par rapport aux autres !! L’Admour-Hazaken explique dans un de ses discours que le début et la cause de la dispersion entre les hommes, ou les différents membres d’un même groupe, provient en réalité d’une dispersion a l’intérieur de l’homme lui-même. En effet, celui qui est en harmonie avec lui-même le sera aussi avec les autres !

« Vous vous tenez debout, aujourd’hui, tous ensembles, depuis …… » Ce verset parle de Roch-Hachana. Il nous explique comment faire pour passer ce cap haut la main. ATEM NITSAVIM: Vous vous tenez debout: Nitsavim signifie se tenir debout fermement. (sans avoir peur du jugement divin). HAYOM: Aujourd’hui: le jour de Roch-Hachana. Comment ne pas craindre la sentence a Roch-Hachana ? KOULHEM: Tous ensembles: L’unité au sein du peuple nous garantie une issue favorable du jugement de Roch-Hachana. Comment atteindre cette utilité si précieuse ??? LIFNE HACHEM ELOKEHEM: Devant Hachem votre D…: Lorsqu’on a devant les yeux la Thora et que notre désir est d’accomplir la volonté d’Hachem, cela nous aide a nous entendre et a nous aimer les uns les autres. « Depuis le coupeur de bois jusqu’au puiseur d’eau » Ces deux niveaux ont une correspondance dans le service d’Hachem. Couper du bois signifie en réalité mettre fin a nos pensées, cesser de s’imaginer des choses car au final c’est la volonté d’Hachem qui finira par se réaliser ! Puiser de l’eau signifie cesser de poursuivre les plaisirs du monde (l’eau correspond aux plaisirs !)

Le 26 août 2014 eu lieu la réouverture du Beth-Habad de Bombay. Ce centre avait été criblé de balles et le Rav Gavriel Holtzberg et son épouse Rivka, tués pendant le siège avec quatre autres personnes. Dans le cadre de son action pour le rétablissement du Beth-Habad à Bombay, Rav Avraham Berkowitz a pris contact avec les autorités municipales, la communauté et, bien sûr, le consulat israélien. C’est ainsi qu’il a rencontré Roni qui lui a raconté combien il avait aimé se rendre au Beth-Habad et discuter avec les regrettés Rav Gabriel Noah Holtzberg et son épouse – que leur sang soit vengé. «J’étais pratiquement un membre de la famille Holtzberg, j’appréciais chaque moment passé en leur compagnie, je tenais en haute estime ce qu’ils représentaient. Mais il se passa un jour un événement qui me fit les apprécier encore davantage. Un jour, un officier israélien de haut rang se rendit à Bombay, sans doute pour acheter des armes et pour d’autres missions qu’il vaut mieux garder secrètes. En tant que fonctionnaire au consulat, je fus affecté à son service afin de l’aider dans ses déplacements et ses contacts. A la fin de la semaine, je l’informai qu’avec mon épouse, nous avions l’habitude de passer le vendredi soir au Beth-Habad pour la prière d’accueil du Chabbat, le Kidouch et le repas traditionnel – dans une ambiance sympathique que je regrette tant. J’ai invité cet officier à se joindre à nous. Il a hésité puis a finalement accepté de nous accompagner. Le Beth-Habad était conçu de telle sorte qu’au premier étage se trouvait l’accueil et le restaurant tandis qu’au second étage se trouvait la synagogue. Nous avions déjà l’habitude de monter directement au second étage pour la prière et seulement après, de redescendre dans la salle à manger. Mais notre invité préféra rester au premier étage : «En Israël je ne fréquente pas la synagogue, je ne le ferai pas non plus ici !» expliqua-t-il d’un ton décidé, sans le moindre mot d’excuse. Nous sommes donc montés sans lui. Comme d’habitude, Rav Gabi nous a accueilli avec un grand sourire. D’autres hommes sont arrivés. Finalement nous étions huit, neuf avec Rav Gabi. Il nous en manquait donc un pour avoir Minyane. Il se faisait tard. Rav Gabi se tourna vers nous et demanda : «Peut-être l’un d’entre vous connaît un autre Juif à qui on pourrait demander de compléter le Minyane ?» « Tout à fait ! » me hâtai-je de répondre. « Il y a quelqu’un qui se trouve juste à l’étage en dessous, je vais l’appeler ! » Je suis descendu : l’officier était affalé sur un des fauteuils, très à l’aise, serein. Je lui ai expliqué qu’il nous manquait juste un homme pour pouvoir commencer la prière en commun : pouvait-il monter nous rendre service ? « Pas question! s’écria-t-il d’un ton ferme. En Israël je n’ai pas l’habitude de prier, encore moins dans une synagogue et je ne suis pas venu ici pour prier ! » Un peu déçu de son manque de coopération, je suis remonté et je racontai à Rav Holtzberg que j’avais échoué dans ma mission.

Rav Gabi décida alors de descendre tenter de le convaincre. Quelques minutes plus tard, il remonta, seul. L’officier n’avait eu aucun scrupule de refuser une seconde fois et avait même ironisé : «On voit que tu n’as jamais rencontré un Israélien têtu !» C’est ainsi qu’il n’y eut pas de prière en communauté ce vendredi soir. Nous avons prié chacun pour soi, regrettant silencieusement de n’avoir pas eu la possibilité de louer Hachem autant qu’il se doit le Chabbat. Puis nous sommes descendus a la salle a manger. Le repas fut très agréable, comme d’habitude; la Rabbanit Rivkie avait préparé des mets copieux et délicieux, nous avons chanté et l’atmosphère était particulièrement joyeuse. Après le Birkat Hamazone, la prière après le repas, nous avons pris congé des Holtzberg en les remerciant chaleureusement mais, pour eux, c’était normal d’accueillir ainsi des invités même imprévus. Quelques semaines plus tard, des terroristes faisaient irruption dans ce même Beth-Habad, ou Rav Gabi et son épouse ainsi que quatre autres Juifs furent assassinés. Comme tous les membres du consulat israélien, comme tous les Juifs de par le monde, je ressentis un choc terrible: j’avais perdu des amis chers; le judaïsme avait perdu un couple extraordinaire. Durant les Chiva, les sept jours de deuil, je reçus un appel de l’officier haut gradé qui avait refusé de compléter le Minyane. Lui, l’officier si fier et condescendant, pleurait au téléphone comme un enfant: «Depuis que j’ai entendu cette terrible nouvelle, je ne peux penser à autre chose ! Te souviens-tu de ma conduite si peu courtoise ? Alors tu te souviens sûrement de la façon dont Rav Gabi a réagi. Et si tu n’as pas vraiment fait attention, je vais te le rappeler. Il n’a pas montré le moindre signe d’agacement, il ne m’a adressé aucun reproche, même pas une allusion au fait que sa prière de Chabbat n’avait pas été aussi réussie qu’il l’aurait désiré. Bien au contraire, L’ambiance générale était exceptionnellement chaleureuse et il a fait de moi la star de la soirée. Son discours était remplis de citations du Rabbi concernant l’importance des soldats de l’armée de défense d’Israël: comment ils protègent la Terre d’Israël et combien j'ai du mérite d’occuper de hautes fonctions au sein de l’armée qui assure la sécurité du peuple juif. Je suis sorti du Beth-Habad avec un moral gonflé à bloc et une fierté renouvelée. Mais j’avais aussi appris beaucoup sur les relations humaines: pas un mot de rancune, pas une seule pensée de revanche, que de l’amour gratuit pour un frère juif, même si celui-ci n’avait pas été à la hauteur… Mais je voulais te dire autre chose: l’assassinat dans ces conditions atroces du couple d’émissaires du Rabbi m’a bouleversé, traumatisé : j’ignore si je peux agir à ce sujet mais je te promets au moins une chose: à partir d’aujourd’hui, à toute occasion et en tout endroit – en Israël ou ailleurs – si on me demande de compléter un Minyane, je n’aurais qu’une seule réponse : Bien sur !

QUE DE L’AMOUR !!

Rav Gabriel Noah et Rivka Holtzberg

Emissaires du Rabbi a Bombay.

LA TECHOUVA

* Lorsqu’une personne fait Techouva sincèrement, si c’est une Techouva par crainte, ses fautes seront annulées, mais si cette Techouva est basée sur l’amour d’Hachem, ses fautes seront transformées en mérites !!!

* La Techouva provient d’un niveau du cœur tellement profond, que la faute ne le tache pas ! C’est pourquoi, lorsque le cœur est en éveil et qu’il fait Techouva, cela a la force d’effacer toute trace de la faute !!! * D’après certains commentateurs, la Techouva ne fait pas partie intégrante des 613 Mitsvot. En effet, les 248 Mitsvot positives ainsi que les 365 Mitsvot négatives correspondent aux 248 membres du corps ainsi que les 365 nerfs et tendons. Le médicament contre la faute est la Techouva. Mais cette Techouva provient du plus profond de l’être! A un niveau que la faute ne peut atteindre. De ce fait, la Techouva ne peut être le fruit d’un commandement! Car une chose faite a cause d’un ordre ne peut être que extérieure et superficiel ! Une chose réelle et profonde ne peut provenir que d’un choix personnel, pas d’un ordre. * Une Techouva sincère peut faire acquérir a l’homme sa part dans le monde futur en un instant ! Comme l’histoire de Dourdaya qui était un des plus grands fauteurs, et qui réalisa un jour quelle était sa situation morale et spirituelle, il en éprouva un tel regret que cette souffrance lui causa la mort. Il arriva devant le tribunal céleste et sa place fut accordée prés des maitres de la Thora. Plus encore, il est appelé Rabbi Dourdaya !!!

LE YETSER-HARA

Le Yetser-Hara, le Satane et l’ange de la mort ne sont qu’une seule et même « personne ». Il s’agit d’une ange d’Hachem ayant reçu pour mission de donner du mérite aux fils du roi (le Juif) en le mettant a l’épreuve. Lui-même ne souhaite pas la chute des Bne-Israël, et il souffre chaque fois que l’on tombe dans la faute. Le mot Satane vient du mot hébreu « Sato » qui signifie s’écarter du droit chemin. 1-Du fait qu’il cherche a tout instant a nous inciter a nous écarter du chemin de la Thora. 2-Parce que, une fois qu’il a fait copain-copain pour nous attirer vers la faute, et que la personne a trébuché, il se lève de son siège pour s’installer dans le siège de l’accusateur et réclame la punition du fauteur ! Le Yetser-Hara ne vient pas de prime abord proposer a un Tsadik de transgresser la Thora, il propose d’abord de tenter la personne dans des choses permises, puis doucement il va proposer des choses « pas trop graves » pour ensuite convaincre de faire Avoda-Zarah !!! Chaque fois que l’âme animale se renforce, l’âme Divine s’affaiblie automatiquement. Les plaisirs (qu’ils soient permis ou non), augmentent la grossièreté de l’âme animale, la rendant insensible a la spiritualité. En d’autres termes, répondre a ses tentations, même si elles sont permises, est le premier pas qui conduit vers la faute.

Ce feuillet est dédié A l’élévation de l’âme de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV

QUI SUIS-JE ? On m'aime ou pas J'essaye de vous aider mais vous ne me laissez pas toujours ma chance. C'est justement pendant cette période que je suis le plus célèbre! En espérant l 'être toute l'année!

Réponse de la semaine dernière: LA MEZOUZA

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