–––– 1 Pensée positive 2.0 : activateur de réussite – Y.A. Thalmann

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INTRODUCTION Vous allez découvrir la pensée positive 2.0. Cette nou-velle méthode, conçue par Yves-Alexandre Thalmann, vient en complément de la pensée positive classique.

L’auteur a suivi le développement de la pensée positive et a trouvé intéressant d’en étayer les bienfaits par des recherches scientifiques. Ainsi est née la pensée positive de nouvelle génération.

La première partie de notre formation vous donne tous les éléments de définition nécessaires, ainsi que le posi-tionnement de la pensée positive 2.0 par rapport à sa grande sœur. Ensuite, vous comprendrez les bases de cette méthode, dont les trois piliers sont les émotions, les pensées et les comportements. La formation se termine sur deux outils de pensée positive à pratiquer selon les conseils de la vidéo.

PENSÉE POSITIVE 2.0 : ACTIVATEUR DE RÉUSSITE De l’intention à l’action efficace Y.A. Thalmann

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I. QU’EST-CE QUE LA PENSÉE POSITIVE 2.0 ?

La pensée positive s’inscrit dans le courant de la psy-chologie positive. Il s’agit d’une branche de la psycho-logie qui étudie le bien-être, plutôt que d’étudier le négatif et les troubles psychologiques. Comme toute psychologie, elle se base sur des expérimentations et un protocole scientifiques.

L’objectif de la pensée positive est, bien sûr, d’être plus heureux. C’est essayer de changer notre disposition d’esprit de manière à saisir le positif dans ce qui existe déjà dans nos vies.

II. POURQUOI UNE NOUVELLE GÉNÉRATION DE PENSÉES POSITIVES ? La pensée positive classique n’est étayée que par des témoignages. Des personnes, souvent inconnues, racon-tent qu’elles ont amélioré leur quotidien ou qu’elles ont obtenues ce qu’elles désiraient par la pensée.

Le problème de cette justification se trouve dans la sé-lection. En effet, on ne trouve que des témoignages positifs, car les témoignages en défaveur de la mé-thode ne sont pas retenus.

Le protocole scientifique propose justement le con-traire : considérer tous les évènements étudiés, et non plus une sélection.

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La pensée positive 2.0 n’est pas, comme son ainée, un acte de foi. Il n’y a pas besoin d’y croire pour qu’elle soit efficace.

Pour terminer, la pensée positive 2.0 ne ferme pas les yeux sur le négatif. En effet, elle se sert plutôt des pen-sées négatives comme un moteur pour se dépasser.

III. LA LOI D’ATTRACTION Conférer à la pensée le pouvoir d’influencer la réalité à distance, c’est la promesse de la loi d’attraction. Cette croyance postule qu’on attire à soi les évènements négatifs et positifs en fonction de sa manière de pen-sée.

La loi d’attraction à cela de dangereux, qu’elle va cul-pabiliser les personnes considérant que les malheurs rencontrés sont la conséquence de leurs « mauvaises » pensées.

Dans la pensée positive 2.0, le négatif est considéré comme motivant et moteur de l’action.

Pour résumer, voici les différences entre les deux mé-thodes :

Pensée positive classique Pensée positive 2.0

Nos pensées ont des pouvoirs ma-giques

Nos pensées ont une influence significative sur nous

Il faut croire Pas besoin d’acte de foi Crainte superstitieuse du négatif Le doute est fondateur

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IV. LES BASES DE LA PENSÉE POSITIVE 2.0

Les changements attendus ne s’obtiennent pas en les désirant, assis sur son canapé. L’influence de la pensée vient de l’incarnation de celle-ci dans notre réalité, qui amène des comportements nouveaux.

1. Les émotions

Les émotions négatives ont beaucoup été étudiées, car elles permettent de comprendre les réactions qui ont permis notre survie à travers l’histoire.

Ainsi, la colère, la peur et la tristesse sont des émotions qui vont réduire notre champ attentionnel. Celui-ci dé-termine notre capacité à saisir les opportunités.

Ainsi, cultiver les émotions positives va avoir pour consé-quence d’ouvrir notre champ attentionnel, nous per-mettant de détecter les opportunités que nous ne pou-vions pas voir auparavant.

La chance, du fait, n’est pas seulement aléatoire, mais peut être « stimulée » en ouvrant son champ attention-nel.

Influence totale du mental sur la réalité

Notre mental a une influence mo-dérée

Hypothèses faites à partir de té-moignages

Conclusions d’expériences faites avec un grand nombre de per-sonne

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Deux exercices sont ensuite proposés, le second portant sur la méditation de pleine conscience.

Cette forme de méditation vous permettra d’être da-vantage focalisé sur votre corps plutôt que sur vos pen-sées. Ces exercices ont aussi pour objectif d’ouvrir votre champ attentionnel.

2. Les pensées

Nos pensées influencent nos comportements. Ce fait est prouvé par les nombreuses expériences de psychologie montrant comment des participants réagissent à l’activation de stéréotypes.

On se rend ainsi compte que nous agissons en fonction des cadres limitant formés par notre pensée. Ainsi, on comprend qu’il est nécessaire d’activer des représenta-tions positives de soi-même.

La première activité, les « comparaisons descen-dantes », propose de se comparer avec des personnes ou des situations en dessous des nôtres. Puisqu’il n’est pas possible de ne pas se comparer, alors autant le faire en notre faveur.

Le second exercice va développer notre capacité à interpréter positivement les situations.

L’attribution causale – notre manière de considérer un événement – peut être personnelle, stable ou encore généralisée :

Personnelle, ou notre degré de responsabilité dans la situation.

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Stable (dans le temps) ou au contraire, provi-soire.

Généralisée, quand on généralise un échec, par exemple, à toute notre vie.

3. Les comportements

En terme de réussite, plus nous observons de micro-succès au quotidien et plus notre confiance se renforce.

Ainsi, notre sentiment d’efficacité personnelle est nourri par nos réussites passées.

Nous constatons qu’il est possible d’agir sur soi-même. Mais peut-on influencer le comportement des autres ? C’est ce que R. Rosenthal a désigné sous le terme d’effet Pygmalion. Le mimétisme est à la base de cette théorie : nous avons tendance à copier le comporte-ment des autres.

Cela signifie que notre environnement réagit tendan-ciellement selon nos attentes et nos propres comporte-ments. Si je considère, par exemple, les personnes au-tour de moi comme étant bien attentionnées, il y a plus de chance qu’elles se comportent comme telles !

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V. QUEL EST LE MODE D’ACTION DE LA PENSÉE POSITIVE 2.0 ?

Comme nous l’avons vu, la pensée positive 2.0 ne re-pose pas seulement sur la pensée mais aussi sur les deux autres piliers que sont les émotions et les comporte-ments.

Ainsi, le mouvement du changement part de la pensée, traverse les émotions et se concrétise dans les compor-tements. Il s’agit bien d’activer les représentations posi-tives, optimistes et motivantes par rapport à nos projets de vie.

Le mode d’action de la pensée positive 2.0 peut se ré-sumer ainsi :

- Des émotions qui ouvrent le champ perceptif - Des pensées positives menant à la motivation - Des concrétisations qui amènent la réalisation avec

des influences sur les autres

VI. LES OUTILS DE LA PENSÉE POSITIVE 2.0

Dans la pensée positive classique, on emploie surtout la visualisation et l’autosuggestion.

La visualisation créatrice vise à se représenter, par l’imagination, nos désirs comme étant réalisés. L’autosuggestion, de son côté, est l’action de se répéter des phrases positives. On remarque que le négatif est exclu de ses deux techniques.

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Cependant, G. Oettingen a mis en évidence qu’il est plus judicieux d’intégrer le négatif à nos visualisations. C’est en cela que se démarque la pensée positive 2.0.

1. 1er outil – Le DROP

À la suite de ce constat, G. Oettingen a produit un outil, le DROP, qui permet de planifier le changement que l’on souhaite obtenir.

Il se présente sous la forme d’une carte de visite à 4 champs :

D comme Désir R comme Réalisation O comme Obstacle P comme Plan d’action

Cette méthode permet ainsi se représenter mentale-ment le cheminement envisagé. C’est en se préparant à la situation, et surtout en envisageant les obstacles po-tentiels que l’on pourra plus facilement parvenir à ses fins.

2. 2ème outil – Activer le relationnel

Comment les bienfaits entrent dans notre vie ? Principa-lement par l’intermédiaire des autres.

Ainsi, M. Granovetter a mis en évidence que nous pos-sédons des liens relationnels forts et faibles.

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Les liens « forts », se sont nos proches : amis ou famille. Les liens « faibles » représentent toutes les relations un peu plus distendues que l’on entretient.

Une bonne piste pour arriver à ses fins, est d’entretenir ce réseau de relation faible. En effet, c’est souvent en activant les relations dormantes que nous parvenons à trouver un emploi ou à rencontrer de nouvelles per-sonnes.

CONCLUSION Résumons les nouveautés apportées par la pensée posi-tive de nouvelle génération.

En premier lieu, cette méthode se base sur un protocole scientifique et ne se base sur aucun acte de foi. Ensuite, les pensées négatives ne sont pas exclues de la mé-thode. Elles sont prises en compte pour servir de moteur au changement.

L’objectif de la pensée positive est de modifier nos conditions d’existence. Les émotions et les comporte-ments viennent en renfort des pensées dans la réalisa-tion concrète du changement.

En définitive, les émotions ouvrent notre champ atten-tionnel, les pensées nous motivent à agir afin de concré-tiser ce processus par nos actions concrètes.

Ce livret ne peut être vendu séparément du coffret

Conception graphique : Frenetykdesign Conception vidéo : Amonet3

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