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48 SFE Toulouse 2012 / Annales d
. Desforges-Bullet a, C. Collet-Gaudillat a, G. Petit-Aubert a, F. Mignon b,. Bertagna c, J.-P. Beressi a
Service d’endocrinologie-diabétologie, centre hospitalier de Versailles, Lehesnay, FranceService de radiologie, centre hospitalier de Versailles, Le Chesnay, FranceService d’endocrinologie, hôpital Cochin, Paris, France
ous rapportons le cas d’une patiente de 38 ans, sans antécédent, enceinte de4 SA, présentant des douleurs brutales de l’hypochondre droit, permettant deévéler à l’échographie une volumineuse masse surrénalienne droite.’IRM surrénalienne confirme la présence d’un processus surrénalien droitesurant 48 × 27 × 45 mm en hypersignal T2 franc au centre. Les contours
e la masse sont flous, le centre est essentiellement liquidien, et il existene infiltration de la graisse périsurrénalienne et rétropéritonéale adjacentear un processus œdémateux, indiquant que cette image est vraisemblable-ent à l’origine de la symptomatologie douloureuse abdominale. L’absence
’hypersignal T1 n’est pas en faveur d’une hémorragie récente. La surré-ale controlatérale est normale. Le scanner surrénalien réalisé sans injectionetrouve le nodule surrénalien droit de 49 × 28 mm de densité spontanée17UH.
l n’y a pas de syndrome inflammatoire, pas d’insuffisance surrénaliennei d’hypercortisolisme. Les androgènes, la chromogranine A et les dérivéséthoxylés urinaires sont normaux.ne indication chirurgicale est retenue après l’accouchement, qui se déroule
ans problème par voie basse à 39 SA.n nouveau bilan est réalisé à quatre mois post-partum. Le bilan hormonal resteormal. L’IRM surrénalienne ne retrouve pas de syndrome de masse surrénalienroit. Le PET scan au FDG ne met pas en évidence de foyer hypermétaboliquenormal.algré l’aspect IRM initial, l’évolution est donc en faveur d’un hématome sur-
énalien droit survenue pendant la grossesse, s’étant spontanément résorbé àmois post-partum. Le seul facteur déclenchant retrouvé dans cette observationst la grossesse, mais peu de cas similaires ont été rapportés.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2012.07.824
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erformances du scanner dans l’évaluation desncidentalomes surrénaliens. Jahanpur a, A. Tabarin a,∗, C. Auder a, D. Gaye a, S. Reich a, D. Collet a,. Cogne b, F. Favier b, A. Rault a, T. Wagner a
CHU de Bordeaux, Bordeaux, FranceGHSR, Saint-Pierre, FranceAuteur correspondant.
bjectif.– Les performances du scanner pour le diagnostic étiologique des inci-entalomes surrénaliens recrutés dans un environnement autre que chirurgicalu oncologique sont inconnues.éthodes.– Étude rétrospective unicentrique de 182 incidentalomes recrutés en
ndocrinologie.es seuils de taille, densité spontanée (DS), wash-out relatif (WR) et wash-outbsolu (WA) ont été évalués par analyse ROC. Quatre-vingt-deux inci-entalomes ont été opérés (dont 35 adénomes, 16 corticosurrénalomes,3 phéochromocytomes et un métastase). Cent incidentalomes nonpérés sont considérés comme adénomes bénins (taille ≤ 40 mm,S ≤ 10UH, pas de croissance après 3,6 ans de suivi). Cent cinquante-
ix scanners anonymisés ont été relus indépendamment par deuxadiologues.ésultats.– Les sensibilités et spécificités pour le diagnostic d’adénome cor-
ical sont 79,6 % et 91,5 % pour une taille ≤ 30 mm ; 78,7 % et 93,5 % pourne DS ≤ 20UH ; 80,9 % et 95,0 % pour un WR ≥ 40 % ; 85,9 % et 78,9 %our un WA ≥ 45 % Le critère composite taille ≤ 40 mm ET DS ≤ 20UH ane sensibilité de 78,6 % et spécificité de 100 %. Dans les cas douteuxour l’un des deux critères, un WR ≥ 45 % augmente la sensibilité à 88,5 %
vec une spécificité maintenue à 100 %. La spécificité du WA est médiocre62,5 %).e coefficient Kappa inter-observateur était satisfaisant pour la taille, DS et leR (80 à 86 %) mais médiocre pour le WA (66 %).éaul
crinologie 73 (2012) 336–353
onclusion.– Les critères taille ≤ 40 mm, DS ≤ 20HU et WR ≥ 40 % combinésont les plus reproductibles et performants pour l’évaluation des incidentalomesais méconnaissent 10 à 20 % d’adénomes corticaux.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2012.07.825
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volution radiologique surprenante d’une insuffisanceurrénalienne primitive d’origine auto-immune. El Latifi ∗, G. El Mghari , N. El Ansari
Service d’éndocrinologie-diabétologie, Marrakech, MarocAuteur correspondant.
ntroduction.– L’insuffisance surrénalienne est un déficit plus ou moins complete production de sécrétion des hormones du cortex surrénalien. L’atteinte auto-mmune est la cause la plus fréquente d’IS primitive acquise. Nous rapportonsne observation de maladie d’Addison auto-immune dont l’évolution de l’imagecanographique est peu commune.bservation.– R.T., âgée de 24 ans, sans antécédents, admise dans un tableau’ISL fait de mélanodermie généralisée évoluant dans un contexte d’AEG avecéshydratation, des vomissements, douleurs abdominales, hypoglycémie, etypotention. La cortisolémie de 8 h était à 237 nmol/L. Le bilan de tubercu-ose était négatif. Les anticorps anti 21 hydroxylase élevés à 5232 U/mL. Lesutres atteintes de PEAI non retrouvées. La TDM surrénalienne a objectivé unodule surrénalien droit de 42 mm × 17 mm associé à une infiltration de la logeurrénalienne gauche. La patiente a été mise sous hydrocortisone avec bonnevolution. La TDM de contrôle réalisé avant une ponction scannoguidée pro-rammée deux mois après le diagnostic et le début de traitement a montré laisparition des lésions précédentes.iscussion.– La maladie d’Addison se traduit initialement par une infiltration
ymphocytaire importante de la corticosurrénale conduisant à une destructionu parenchyme et à une fibrose de la capsule. L’IS se manifeste cliniquementorsque la rétraction corticale intéresse plus de 90 % du cortex, et se traduitadiologiquement par une atrophie des glandes. Chez notre patiente, l’imageadiologique peut être expliquée par une ISL qui s’est manifestée au stade de’infiltration lymphoplasmocytaire de la glande, ce qui est rare, avec passage eneux mois à la fibrose et l’atrophie.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2012.07.826
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exualité des femmes ayant un syndrome des ovairesolykystiques : étude cas–témoins. Charfi a,∗, Z. Bouaziz a, M. Kamoun a, N. Halwani b, J. Aloulou b,. Amami b, M. Abid a
Service de diabétologie-endocrinologie, CHU Hédi Chaker, université Sfaxunisie, Sfax, TunisieService psychiatrie B, CHU Hédi Chaker, Université Sfax Tunisie, Sfax,unisieAuteur correspondant.
ut.– Étudier la sexualité des femmes atteintes de syndrome des ovaires poly-ystiques (SOPK) selon l’échelle Female Sexual Function Index (FSFI) etéterminer le retentissement psychologique selon l’échelle Hospital Anxietyepression Scale (HADS) sur leur sexualité comparativement à un échantillone la population générale.atients et méthodes.– Étude transversale type cas–témoins réalisée entrectobre et novembre 2011 concernant 30 femmes atteintes de SOPK suivies auervice d’endocrinologie CHU Hédi Chaker Sfax.ésultats.– L’âge moyen de nos patientes était de 32,3 ± 5,1 ans. 43,3 % desatientes n’avaient pas d’enfants au moment de l’étude versus 10 % pour lesémoins. La grossesse était spontanée dans 33,3 % des cas, suite à un traite-
ent hormonal dans 63,3 % des cas et par procréation médicalement assistéeans 3,3 % des cas. La fréquence moyenne des rapports sexuels par semaine
tait de 1,6 ± 0,5 pour nos patientes versus 2,1 ± 0,9. Le score FSFI global étaitltéré chez 90 % des patientes ayant un SOPK versus 40 % des témoins avecne différence significative (p = 0,03). Le désir sexuel et la satisfaction étaientes domaines les plus perturbés avec une différence statistiquement significa-