Portfolio christopher dubé UdeM

Christopher DubéPortfolio

Curriculum vitae

Christopher Dubé

éducation travail

5845 Place Decelles, apt. 9Montréal, Québec. H3S 1X6

514.409.6449

[email protected]

2015 Été 2015

2014-2015

2007-2012

2010-2014

2014

2011

2010

Ma. Sc. Architecture Ville de Longueuil

Tranz Dezign

Rocky Ledge Landscaping

Restaurent Elounda

Bac. Sc. Architecture

Bac. 120 - Année de transition

Diplôme d’études secondaires

- Université de Montréal



- North Hastings High School- Mérite Scolaire de l’Ontario

- Orientation Conservation en environnement bâti

- Département Service aux bâtiments - Dessinateur, relevé de bâtiments

- Paysagiste

- Paysagiste

prix

1ière place Projet Ibidem - Charrette du colloque Ouss qu’on s’en va

- Serveur - Participant Atelier Hors les Murs Paris

NiChe urbAiNe

La nouvelle École Baril cherche à créer un nouveau point de rassemblement pour le quartier, en offrant à la fois des activités académiques diverses pour les élèves en période scolaire, et des activités et services pour l’ensemble de la communauté en dehors de ces heures. Le programme est réparti en 4 pôles indépendants ; centre communautaire, centre culturel, centre sportif, et locaux typiques de l’école. Les espaces intérieurs de l’école sont aménagés avec divers espaces communs d’échelles variantes, permettant des échanges sociaux entre élèves et enseignants. Ces espaces varient d’échelles, pouvant rassembler quelques élèves à une classe entière. Les toits deviennent des lieux appropriables, offrant un jardin communautaire aux résidents, et une halte de biodiversité pour les élèves. L’école Baril utilise son implantation volumétrique afin de contrôler l’accès à l’intérieur de la cour pendant la période scolaire. La volumétrie ceinture le site, créant une cour intérieure accessible par trois portes-cochères. Deux sont alignées avec les ruelles du quartier, l’autre s’ouvre sur la rue Adam. Les pôles d’activités communes, communautaire, culturel, et sportif, se trouvent au niveau du sol, avec une fenestration importante donnant sur la rue afin d’inciter l’intérêt des passants. Trois atriums vitrés viennent lier ces différents programmes, offrant entrée, circulation verticale, et une vue dégagée vers la cour. La matérialité se distingue entre le volume de classes, en bois, de celui des pôles communs, en briques ou béton. La paroi du volume de l’école varie en épaisseur, offrant un jeu de lumière et des alcôves appropriables pour les enfants.

Cours: Projet finalprofesseur: Aliki economidessession: Automne 2015Durée: 12 semaines

Rétablissement de la ruelle Pôles communs Programmes extérieurs

Percements visuels Ajout des étages supérieurs Ajout de la résille Espaces verts sur la toiture

Bibliothèque

5e et 6e année

3e et 4e année

Maternelle et pré-maternelle

Arts plastiques

Danse

Musique

Cafétéria

Informatique Francisation

Anglais Laboratoire de science

1re et 2e année

Gymnase

Service de garde

Direction

Accès service

Sous-sol

Gymnase RangementSalle mécanique Vestiaire

Halte de biodiversité

Rue Adam

RangementVestiaire

Rez-de-chaussée

Centre communautaire

École

Centre culturelService de garde

Direction de l’écoleAccès de service

MusiqueDanseArt plastiqueBibliothèque

Rue de Chambly

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1er étage

Centre communautaire École Laboratoire scientifique 3e et 4e annéeFrancisation Maternelle et pré-maternelleAnglaisInformatique

Halte de biodiversité

2e étage

École 5e et 6e année1e et 2e annéeHalte de biodiversité

Coupe AA

Coupe BB

hALte CitADiNe

Dans un projet de réhabilitation du Canada Malting, les éléments patrimoniaux à conserver ne sont pas que matériels; les ambiances sensorielles offrent une expérience architecturale inédite. Cette diversité d’ambiance témoigne de l’histoire du lieu, de par son passé industriel, son abandon, puis sa période de ruine et son appropriation illicite. L’usage du site inclus un programme diverse, tel que des espaces de travail, des logements pour familles, des commerces de proximité, un lieu de divertissement, et des espaces publics. Un axe central, traversant l’usine et les silos, de la rue au canal, invite les usagers à rentrer et explorer les lieux. Autour de cet axe sont distribués des programmes à caractères publics, les espaces communs et les circulations verticales. Des axes secondaires et tertiaires aménagent le site entier, rassemblant piste cyclable, trottoir, et passage piéton vers l’axe principal, et ainsi vers le cœur du bâtiment. Le bâtiment conserve divers éléments rappelant ses époques passées. Certains artefacts industriels, tels que les citernes ou les bassins de germination, sont conservés et transformés en espace de travail public. La végétation envahissante est intégrée dans l’espace, et les graffitis sont conservés comme témoignage de son appropriation clandestine. L’aspect monumental de l’immeuble, renforcé par ses façades aveugles, est maintenu par l’ajout d’une résille métallique perforée, masquant les nouvelles ouvertures.

Cours: Atelier Avancé 2 (Ceb)professeur: Jacques Lachapellesession: hiver 2015Durée: 12 semaines partenaire : Karl robert Javier Gonzales

Site actuel

Implantation au quartier

Disposition générale en 4 pôles

Traverse - Axe principal Captation - déviation du flux vers le centre Passages - Multiplication des traverses

Rez-de-chaussée 3e étage

Élévation St-Ambroise

Atrium - Espace de travail publicIntervention dans la malterie

Élévation St-Rémi

Centre communautaire et culturel Intervention dans les silos de béton

Parc linéaire du canal lachine

Unité familiale 1 - 3 chambres à coucher + cour Unité familiale 2 - 3 chambres à coucher + loggia

Atrium - Espace de travail publicPercée visuelle et circulation verticale

ibiDeM

Charrette: Colloque Ouss qu’on s’en vaorganisation: réAprix : 1ière place ex-aequosession: hiver 2015Durée: 4 jours partenaires : Karl robert hugo Duguay

Stratégie de démolition sélective Stratégie d’implantation structurale

L’intérêt patrimonial de l’institution ne réside pas que dans sa pierre la matérialisant, mais aussi et surtout dans la poursuite continue d’un objectif altruiste de bien-être commun. De sa fondation par Jeanne Mance en 1645 jusqu’à son état actuel, l’Hôtel-Dieu a su poursuivre son rôle dans la communauté, laissant derrière elle un héritage d’entraide social qui se doit de subsister.Cohabitat Montréal devient la reprise de cette valeur sociale par l’instigation d’une communauté de partage et d’entraide. En partenariat avec les Soeurs hospitalières, cette nouvelle communauté prend en charge le bien-être sociétal de la population. par le biais d’agriculture urbaine, d’éducation, de sensibilisation, d’autoconstruction et d’autodétermination.Les structures existantes en bon état offrent de larges surfaces intérieures protégées et intimes dont les cloisons intérieures peuvent être graduellement recyclées et reconfigurées selon les besoins en logement, espaces de bureau et espaces communs. Une nouvelle trame poursuivant l’organisation d’ailes et de cours, offre une structure flexible et ouverte sur l’environnement qui complimente les bâtiments existants. Les cours deviennent non seulement des espaces verts partagés, mais aussi des espaces de culture alimentaire, où tous peuvent travailler au bien commun. Ensemble, ces trois structures permettent une appropriation libre et modifiable des espaces par la communauté qui les habite suivant leurs besoins, leurs opportunités et leurs désirs.

Plan d’implantation

Plan d’aménagement typique - Volumes bâtis patrimoniaux Démontage de l’existant, entreposage des matériaux, et reconstruction

Coupe - Volumes bâtis patrimoniaux & construction neuve

Époque 1 - Soeurs et système de santé intégrés - Altruisme, communauté

Époque 2 - Étatisation du système de santé - Perte de communautarisme

Époque 3 - Réintégration des domaines charitables - Retour vers l’altruisme

LA strip

Le Quartier DIX30 est basé sur un modèle de développement universel dont les principales caractéristiques peuvent être reproduites partout dans le monde. Ce modèle commercial homogénéise les ensembles périurbains en banalisant l’expérience des usagers. Cette approche est légitime, les banlieues concentrent une grande partie de la population et constituent un bassin économique profitable pour les entreprises voulant se rapprocher de leur clientèle. À cet effet, les artères économiques plus anciennes que l’on retrouve dans les centres urbains ont tendance à se dévitaliser. La richesse de ces rues commerciales repose sur la diversité et l’hétérogénéité. Les espaces publics et privés se chevauchent, les réseaux piétonniers se mêlent aux rues et aux systèmes souterrains. Les rues anciennes ont été façonnées par une commercialisation progressive suivant les moeurs et les besoins d’une population en évolution. L’avenir de la rue Sainte-Catherine ne repose pas sur une imitation du modèle DIX30, mais plutôt dans l’affirmation de sa diversité et de sa flexibilité. Sa configuration doit permettre une appropriation diversifiée par les usagers et les commerçants. Cette nouvelle surface permet à la rue Sainte-Catherine de se libérer des contraintes de circulation qui l’affligent. Ce tissu hybride recouvre la surface de la rue pour permettre une flexibilité saisonnière et événementielle. La fluidité est induite par la strip qui est un support adaptable aux scénarios d’appropriation. Plutôt que de nier l’hétérogénéité de la ville, l’intervention cherche à révéler l’entropie du système urbain.

PullingPliage

LA STRIP

01

Le Quartier DIX30 est basé sur un modèle de développement universel dont les principales caractéristiques peuvent être reproduites partout dans le monde. Ce modèle commercial homogénéise les ensembles périurbains en banalisant l’expérience des usagers. Cette approche est légitime, les banlieues concentrent une grande partie de la population et constituent un bassin économique profitable pour les entreprises voulant se rapprocher de leur clientèle. À cet effet, les artères économiques plus anciennes que l’on retrouve dans les centres urbains ont tendance à se dévitaliser. La richesse de ces rues commerciales repose sur la diversité et l’hétérogénéité. Les espaces publics et privés se chevauchent, les réseaux piétonniers se mêlent aux rues et aux systèmes souterrains. Les rues anciennes ont été façonnées par une commercialisation progressive suivant les moeurs et les besoins d’une population en évolution. L’avenir de la rue Sainte-Catherine ne repose pas sur une imitation du modèle DIX30, mais plutôt dans l’affirmation de sa diversité et de sa flexibilité. Sa configuration doit permettre une appropriation diversifiée par les usagers et les commerçants. Cette nouvelle surface permet à la rue Sainte-Catherine de se libérer des contraintes de circulation qui l’affligent. Ce tissu hybride recouvre la surface de la rue pour permettre une flexibilité saisonnière et événementielle. La fluidité est induite par la strip qui est un support adaptable aux scénarios d’appropriation. Plutôt que de nier l’hétérogénéité de la ville, l’intervention cherche à révéler l’entropie du système urbain.

Ouverture du souterrain

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Élévation vers le Mont Royal

Ouverture du souterrain

Bouffe de rue

Bouffe de rue

Projection

Espace de repos

Espace de repos

Intervention

La rue Ste-Catherine, la ville souterraine, et la strip

Aménagement hybride Aménagement piéton Aménagement événementiel

Charrette: rue ste-Catherine organisation: réAsession: Automne 2014Durée: 4 jours partenaires : bernard-Félix Chénier hugo Duguay Karl robert Nathaniel proulx Joanisse

Pliage transversale Pliage longitudinale Déformation

Stand de nourriture ou brevage extérieur Banc public

Stand de nourriture ou brevage extérieur Projection extérieure Banc public, porte-vélo Accès à la ville souterraine

JeAN-tALoN

Situé a la rencontre de trois quartiers différents, le site du projet d’habitat collectif dans l’arrondissement Parc-Extension se voit dépourvu d’identité définie. Dans cet éclectisme, le quartier peut cependant être caractérisé par deux facettes retentissantes, soit l’installation accrue des compagnies créatives dans les anciens bâtiments industriels ainsi que la culture autour de la nourriture. Un programme particulier d’urbanisme pourrait donner lieu à des ruelles interactives et des endroits où les deux pôles économiques, les industries créatives du Mile-Ex et la gastronomie de la petite Italie et du Marché Jean-Talon, pourraient se réunir. Le tissage relève également la notion de réseaux. La favorisation des rencontres, d’autant plus insolites, se fait par une organisation non usuelle des programmes et les interactions spontanées ainsi créées. L’étalement des programmes sur le site ainsi que la juxtaposition des ensembles, autrement autonomes, produisent des lieux évènementiels qui rejoignent les gens de différents milieux. Dans le but d’assurer une meilleure appropriation du projet, les espaces extérieurs et les logements sont traités de façon versatile. Les volumes de bureau transpercent celui des logements, créant ainsi un vide provoquant des croisements insolites entre les divers programmes. Conséquente de l’idée de tissage, ce geste propose un prototype urbain qui aborde les espaces de bureaux en tant que parti intégré à une communauté plutôt qu’isolée. Les volumes qui s’emboitent engendrent des superpositions et du vide; ces espaces agissent en tant que condensateurs sociaux. Chaque programme a sa logique constructive et matérielle.

Tracé générateur / ruelle créative Urban infill Site actuel

Tissage Noeud et hybridité

Plan d’implantation et économie locale

Pollinisation

Cours: Atelier Avancé 1professeur: Gilles prud’hommesession: Automne 2014Durée: 12 semaines

Urban infill Volume de bureau Volume résidentiel Coursive Espaces communs

Résidentiel

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Rez-de-chaussée 3e étage 5e étage

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Coupe C-C

Typologie 1 - 125 m2 Unité de base

3 chambres à coucher - option 1

2 chambres à coucher + grand salon

3 chambres à coucher - option 2

2 chambres à coucher + bureau

Typologie 2 - 127 m2

Typologie 3 - 92 m2

Typologie de logementLe projet est composé de 6 typologies; 3 pour le côté ouest, et 3 pour le côté est. Ces logements furent conçus avec une double orientation afin de permettre ventilation et vue vers la ville et la cour intérieure. Chaque unité est accessible par une coursive extérieure donnant sur une loggia, offrant ainsi des échanges sociaux entre les résidents. Les unités supérieures sont percées d’une courette, amenant davantage de lumière naturelle. Les façades donnant sur la rue sont percées davantage, donnant des opportunités de vue sur la ville, tandis que les façades intérieures sont moins percées, offrant plus d’intimité dans les pièces non communes du logement. La cuisine est positionnée directement à l’entrée du logement, avec un comptoir qui s’étend sur la loggia extérieure, renforçant le lien entre la nourriture et le quartier. Cette cuisine extérieure encourage les rencontres insolites entre résidents. L’unité de base est composée de la cuisine, d’une salle de bain, d’un mur central et de deux loggias. Des murs amovibles permettent aux résidents de choisir le nombre de chambres et leurs dispositions, répondant aux besoins actuels de la famille.

Coupe technique - Section bureau Coupe technique - détail de soffite

Coupe technique - détail de mur-rideau

Coupe technique - détail de parapet

Coupe technique - détail de soffite

Coupe technique - détail de mur-rideau

Coupe technique - détail de parapet

LoGeMeNt étuDiANt

Le site se trouve dans le 10e arrondissement de Paris, dans un cadre bâti haussmannien. Le projet s’inspire des grands ilots parisiens avec leur cour intérieure. Le cadre bâti ceinture le site, créant une grande cour. L’insertion d’un centre culturel et communautaire vient diviser la cour en deux, offrant donc la possibilité d’avoir deux échelles d’intimité. Afin d’améliorer le quartier, une cour minérale est ouverte sur la rue, créant un lieu dynamique qui interagit avec le centre culturel. Afin de continuer avec le dynamisme commercial existant, le rez-de-chaussée offre des espaces commerciaux. Des failles pour la circulation offrent des percées visuelles à l’intérieur des cours. La deuxième cour, fermée au public et commune aux résidents, est de nature végétale. Les logements sont divisés en studio pour une personne, appartement pour deux ou quatre personnes en collocation. Les logements qui donnent sur le mur mitoyen sont moins longs, donc les studios et les appartements pour deux s’y trouvent. Les logements qui ont façades sur rue sont plus longs, permettant ainsi des logements pour quatre. Afin de permettre des logements traversants, la circulation est desservie par des coursives extérieures. Les logements pour quatre ont une possibilité d’avoir une loggia soit sur la rue ou vers la cour intérieure, ce qui vient animer la façade avec la présence ou l’absence de loggias.

Cours: projet d’Architecture 2professeure: Anne Cormiersession: été 2013Durée: 4 semainespartenaires: sarah benzine Louise M. boudreault

Cadre bâti du secteur, et les grandes cours intérieures des hôtels particuliers

Encadrement d’une cour centraleSite actuel Ouverture de la cour / Insertion centre culturel

Ouverture de la cour / Insertion centre culturel


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Faille de circulation

Plan rez-de-chaussée Plan 1er étage Plan 2e étage

Faille pour la lumière naturelle Intégration aux bâtiments existants Insertion volumétrique dans le secteur

Percées visuelles dans les deux cours

Cour publique / cour semi-privée

Espace culturel et communautaire

Studio 1 personne

Appartement 2 personnes

Coupe AA

Appartement 4 personnes

Vert : commercial Orange : commauntaire Bleu: résidentiel Rez-de-chausséePercée vers la cour et le centre culturel

Cour intérieure végétalisée

Ouverture de la cour / centre culturel

1er étage 2e étage

Accès verticalEspace public / semi -public Circulation 1er étage

résiLLe soLAire

Le projet de la résille solaire a débuté avec l’exploration d’un précédent, le Jewish Center, à Munich, de Wandel Hoefer Lorch + Hirsch. Après avoir étudié le précédent, quelques objectifs ont été mis en place afin d’améliorer la performance thermique d’une résille et sa contribution architecturale. Quelques itérations ont été effectuées afin d’explorer différentes caractéristiques d’une résille, comme la couleur, matériaux, forme, etc. D’abord, une gradation des ombres fut voulue afin d’uniformiser la luminosité à l’intérieur, plus d’ombre près de la résille, et moins en s’éloignant. La résille devait aussi permettre l’entrée de lumière en hiver pour des gains thermiques, et la bloquer en été pour éviter la surchauffe. Pour ce faire, le bas de la résille est beaucoup plus large que le haut, permettant aussi la réflexion de la lumière vers l’arrière. Le pliage permet à la fois diffusion de la lumière et un amincissement en hauteur en élévation. La triangulation permet des vues à différentes hauteurs, à la fois pour les enfants et les adultes. Certains panneaux horizontaux sont installés pour encore refléter la lumière vers l’arrière, et viennent ajouter un dynamisme à la résille. Une fine grille métallique est ajoutée en façade pour mieux uniformiser l’entrée de lumière. Pour la résille, le bois fut utilisé comme matériaux pour mieux s’intégrer dans un éventuel contexte plus rural, dans l’étape suivante du gite. ENSOLEILLEMENT HIVER_SUD-OUEST

ÉTAPE 1 : MOCK-UP EN TANT QUE FRAGMENTATELIER D’ARCHITECTURE 4 - ARC 2012 - 15 FÉVRIER 2013AUDREY BILODEAU, CHRISTOPHER DUBÉ, JULIE GUILLEMETTE

ENSOLEILLEMENT ÉTÉ_SUD-OUEST

ENSOLEILLEMENT HIVER_SUD-OUEST




JEWISH CENTER, MUNICHRENA WANDEL-HOEFER AND WOLFGANG LORCH

ITÉRATIONS

GRADATION LUMINEUSE UNIFORMISATION LUMINEUSE

RÉFLEXION LUMINEUSE VUES À ÉCHELLES VARIÉES

ORIENTATION DE LA FAÇADE

ITÉRATION 01_GRADATION ITÉRATION 02_PLIAGE ITÉRATION 03_PLIAGE DOUBLE

SCHÉMAS D’INTENTIONS

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ACTIF

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ÉTAPE 1 : MOCK-UP EN TANT QUE FRAGMENTATELIER D’ARCHITECTURE 4 - ARC 2012 - 15 FÉVRIER 2013AUDREY BILODEAU, CHRISTOPHER DUBÉ, JULIE GUILLEMETTE






JEWISH CENTER, MUNICHRENA WANDEL-HOEFER AND WOLFGANG LORCH

ITÉRATIONS

GRADATION LUMINEUSE UNIFORMISATION LUMINEUSE

RÉFLEXION LUMINEUSE VUES À ÉCHELLES VARIÉES

ORIENTATION DE LA FAÇADE

ITÉRATION 01_GRADATION ITÉRATION 02_PLIAGE ITÉRATION 03_PLIAGE DOUBLE

SCHÉMAS D’INTENTIONS

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Cours: Atelier d’Architecture 4professeur: Maxime Gagnésession: hiver 2013Durée: 3 semainespartenaires: Audrey bilodeau Julie Guillemette

Répétition

Réflexion lumineuse Vues à échelles variées

RotationInclinaison Pliage Horizontaux

Orientation Sud-Ouest Gradation actif / passif Uniformisation lumineuse

Maquette / Échelle 1:10

Exploration en maquette Élévation

Maquette / Échelle 1:1

Gîte

Le projet du gîte s’inscrit sur un grand site naturel, dans un paysage marqué par l’agriculture. L’expérience offerte aux visiteurs est centrée sur la gastronomie locale; des ateliers de cuisine et la culture de produits frais du terroir font partie de la programmation. Pour l’implantation, le site fut divisé en deux ; une partie villégiature, et l’autre agriculture. Le gîte est séparé visuellement de la ferme par le hangar, qui cherche à créer une chicane entre les deux utilisations du site. L’automobile est laissée près du hangar, et l’usager, traversant le hangar, découvre le gîte. Le gîte, en forme de ‘L’, offre des vues différentes aux usagers. Les résidents ont une vue sur la ferme et les montagnes Owl’s Head, tandis que les invités ont une vue sur le lac Lovering et le mont Orford. Le volume de béton, d’une hauteur d’un étage, contient une résidence, les ateliers de cuisines, et l’accueil. Le volume de bois, qui contient 5 chambres pour le gîte, s’appuie sur le premier volume, créant un vide. Cet espace est utilisé comme espace commun pour le gîte, avec séjour et salle à manger. Les parois vitrées peuvent s’ouvrir sur une terrasse et une piscine extérieure.

Vue vers le hangar Découverte du gîte à partir du hangar

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Rez-de-chaussée


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Cours: Atelier d’Architecture 4professeur: Maxime Gagnésession: hiver 2013Durée: 10 semainespartenaire: Léah Martin-bockus

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Division de la maison et du gîte Orientation à 90o / vues Allongement Percée de l’espace commun du gîte Évidement

Programme - Espace gîte

1. Chambre à coucher #12. Chambre à coucher #23. Chambre à coucher #34. Chambre à coucher #45. Chambre à coucher #5 6. Séjour 7. Salle à manger8. Piscine extérieure9. Terrasse10. Potager11. Accueil12. Atelier de cuisine13. Congélateur14. Rangement

Programme - Espace résidence

15. Entrée / Rangement16. Cuisine / Salle à manger17. Bureau18. Salon 19. Chambre à coucher20. Chambre des maîtres

Coupe AA

Espace résidence

Accueil / Atelier de cuisine

Chambres à coucher du gîte

Espace commun du gîte

Élévation AA

LoGeMeNt CoLLeCtiF

«LE 21E SOCLE» est un édifice résidentiel qui s’insère tant dans son contexte que dans son époque; son intégration se lit dans le respect du milieu bâti, l’adaptation des principes établis pour innover sans choquer, le souci de l’habitabilité des espaces ainsi que les espaces communs planifiés pour prôner l’échange entre les habitants. Le podium, qui comprend un rez-de-chaussée commercial, est disposé en angle selon des tracés basés sur les bâtiments adjacents et leur recul. Les studios se situent au deuxième étage du même socle. Le bloc d’ateliers et d’appartements est pour sa part parallèle à la rue et orthogonal pour rappeler les orientations de l’environnement bâti. Ceux-ci sont séparés par la circulation verticale en deux volumes différents pour minimiser l’effet de masse du bâtiment. La grande superficie des espaces communs aux résidents reflète le désir de collectivité tout en conservant la liberté de pouvoir se retirer dans sa vie privée. La matérialité de ce projet cherche à s’intégrer dans son contexte tout en gardant l’esprit contemporain. Le podium est composé de briques grises foncées, s’inspirant des immeubles à faibles hauteurs en brique dans le quartier. Le bloc supérieur est recouvert de panneaux préfabriqués de béton lisse et gris, rappelant les grands immeubles en béton dans le quartier.

Implantation volumétrique avec le quartier

Implantation au quartier Élévation nord

Cours: Atelier d’Architecture 3professeure: Cécile bairdsession: Automne 2012Durée: 10 semaines partenaire: Winsane s. Lim v

Lien volumétrique entre bâtiments existantsLien entre bâtiments existants

Volume d’habitation Division du volume / espace circulation Création des loggias

Logement - 110m2 Atelier d’artiste - 90m2 Studio - 50m2

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Systèm dalle / poutre

Programmation / Typologie

Espaces communs

Circulation

Coupe AA - Programmation / Typologie

Coupe BB - Circulation verticale & horizontale


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Plan rez-de-chaussée Plan 6e étage

Plan 7e étage Plan 8e étage

Maison du Collectionneur

La maison se décompose en 3 volumes; un volume central rectangulaire, et les deux volumes aux extrémités en ruban. Le volume central sert à la circulation verticale, et est un espace servant (salle de bains, walk-in). Une hiérarchisation des espaces publics et privés est clairement définie; les espaces au niveau du sol et qui donnent façade sur la rue sont les plus publiques, tandis que les espace vers l’arrière et aux étages sont plus privés. Du coup, au rez-de-chaussée se trouve l’espace d’exposition qui sert de transition entre le trottoir et l’espace familial. La cuisine et salle à manger donnent sur la cour arrière, avec la possibilité d’ouvrir le mur vitré sur la cour. Au premier étage se trouve un salon, une salle d’eau, un espace séjour avec bibliothèque et un espace extérieur. Et au deuxième étage se trouvent les chambres à coucher et une salle de bain. Une cour au centre offre une entrée intime, en offrant une transition du domaine public, le trottoir et la rue, vers le domaine privé, la résidence. Cette cour apporte aussi de la lumière naturelle à l’intérieur du logement. Pour ce qui est de la matérialité, le volume central se distingue grâce à sa matérialité blanche, tandis que les espaces de vie accentuent le mouvement en ‘S’ par l’utilisation du bois. Les façades donnant sur la cour arrière et la rue sont vitrées afin de maximiser la lumière naturelle.

Cours: Atelier d’Architecture 3professeure: Cécile bairdsession: Automne 2012Durée: 3 semaines

Transition espace public / privé Espace de vie

Coupe AA

1er étageRez-de-chaussée 2e étage

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Bloc servant / circulation

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Portfolio christopher dubé UdeM