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Projet Final du cours de français Niveau Débutant. Niveau du troisième semestre, Projeto Quintas do Saber
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Quand j’étais petit...
Projeto Quintas do Saber
Centro Interescolar de Línguas II
Cours de français – M3
Professeur Karina Fernandes
Brasília, décembre 2011
Préface
____ C’est la vie... elle n’est pas toujours en rose! Mais, elle pourrait
l’être?
Et juste au moment de sortir de salle en admettant sa derrota, il a
envisagé une petite fille qui le regardait . Soudain, après un souris timide, la fille
lui a parlé:
_____ Je me suis toujours posée la question à propos des gens qui
s’interrogent sur la vie. D’où on est venu? Où on va? Pour moi, il serait plus
intéressant et profitable la question: Pourquoi on y est?
____ C’ est bon de t’écouter ma petite, mais tu es si jeune pour penser
au sens de l’existence. Principalement pour avoir des réponses…
_____ Moi, pardon Monsieur, je pourrais aussi penser que vous êtes si
agé pour vous poser tas de questions. Et vous qui existe ça fait longtemps, vous
vous posez des questions à propos de la vie. Donc, être plus ou moins âge ne
determine pas le droit d’avoir des inquietations... et des opinions... En fait, la vie
ne pourrait pas être en rose. J’y réfléchis. Puisque nous avons besoin de nous
manquer de quelque chose pour avoir l’envie d’avancer. Si on était plein,
l’existence n’aurait que le sens d’être bien créative pour nous distrair. La fille a dit
à un Monsieur qui se plaignait de ne pas avoir...
Silence...
_____ Mais non, pas possible! La créativité demande de la création
innovatrice. Donc, on ne pourrait pas vraiment être plein, car on n’aurait pas
besoin d’invention, d’imagination, d’essaie d’être meilleur.
_____ Être meilleur? Et quand on ne le réussit pas? Malgrè l’éffort et
toutes les bonnes intentions… on est rien. Le Monsieur a posé la question à fille..
______ Breuf… l’effort et l’intention… deux elements… un résultat.
Pardonnez-moi Monsieur. Mais, peut-être vous n’observiez pas... ce sont deux
élements, s’il sont vrais, ils ne peuvent pas résulter à zero.
par Karina Fernandes
Les droits d’impression et de reproduction
sont réservés
Tous les droits d’impression et de reproduction sont réservés
© Projeto Quintas do Saber
Quand j’étais petit....
par Alex Mendes Vasconcelos
Mon nom est Alex et je vais vous raconter une histoire qui
s'est passée il y a quelques années.
Une fois quand j'étais enfant , j'ai joué, avec ma cousine, la
guerre de pantoufle. Nous avons couru à jouer la pantoufle de l´autre.
Ce jeu a été joué aux pieds nus. Je ne savais pas ce jeu était
dangereux. Une fois je plaisantais quand un verre est entré dans mon
pied. J'ai commencé à hurler de douleur. Ma cousine était désespérée.
Je ne pouvais pas expliquer ce qui se passait.
J'ai juste pleuré et je parlais :.
Ces´t dedans
Ces´t dedans
Ces´t dedans
Les blessés n’avaient pas de sanigne et ma cousine ne croyait
pas que le verre était à l'intérieur de mon pied. . Pour finir, le verre est
sorti, bien sûr, l'autre jour et jusqu'aujourd'hui ma cousine ne croit pas
à moi. Quand elle veut me faire chier, dit-elle :,
C’est dedans
C’ est dedans
Grrrr
Mémoire de la enfance de Barbara Giles
par Barbara Consuelo Antunez de Mayolo
Est-ce que Barbara est heureuse ou triste d’évoquer ses
souvenirs d’enfance?
Oh mon Jésus, il est passé beaucoup de temps.
C’est difficile pour moi de parler de mon enfance... mon pays
c’est Pérou et mes parents sont péruviens, Guillermo et Consuelo. Je
suis née le 4 décembre dans une très jolie ville qui s`appelle
Lambayeque.
Je me souviens de ma maison: elle était très belle avec une
magnifique architecture spagnole peruvienne. Dans mon village il avait
des maisons anciennes. Aussi, au centre de la ville il abatí une vielle
église et une jolie fontaine. Je me souviens que dans la rue principale il
avait un petit café avec des chaises verts. A l’entrée il avait un parking
avec des arbres, de
fleures et des oiseaux.
Quand j’était petite
j’avais un chien et un
vélo. J ´ai toujours
aimé le père Noel, les
animaux, les voitures
et les poupées.
Préface
Mon enfance a été chouette! J’etudais, je dormais
et je mangeais. C’est ça! Je n’étais pas de
problème. Ma mère et ma père étaient avec mes
soeurs et moi toujours ensemble. Maintenant, je
sais que chaque jour a toujours été le jour de Noël.
Quand j’étais petite
par Gardênia Nogueira Lima
J’ai toujours été une fille calme. Je jouais avec mes souers, mais je
savais qui je devais faire mes exercices de l’école. J’ai trois soeurs et ma
mère a toujours été une belle mère. D'un autre côté, mon père a toujours été
très sérieux et mes soeurs et moi ne pouvions pas faire grand chose, comme
rester dehors la nuit et sortir avec notre amis dans la soirée. Ma père est un
bon père, mais nous ne pouvions jamais être un petit amie. “Mon Dieu, ça
était interdit!” Mais mon père ne nous parlait pas ça, il parlait pour ma mère
et elle nous parlait. En bref, nous avions une père très difficile.
Un jour, ma soeur et moi avons eu une classe d'éducation physique
différent parce qu’ elle était dans un autre lieu et non dans notre école. Ce
lieu était un peu loin de notre maison, dans le centre-ville. Nous avions dû
marcher près d'une heure pour y arriver. C’était un Samedi matin, notre père
nous avait permis d’aller à notre cours vers le centre. Et nous aimerions
trouver deux amis, qui étaient également sœurs, vers le centre. Depuis, nous
avons trouvé une autre amie et nous avons continué à marcher. Quand nous
avons arrivé au Caique, oú le cours aurait lieu, il n’y avait personne
responsable de l'école. Nous esperons beaucoup de temps, mais personne n’
a parut.
Nous avons parlé et une autre amie est venue. Elle nous a invité à la
ferme de sa tante. Mais nous avons preocupés parce qu’lle nous a expliqué
où sa tante était la maison, et pour moi et ma sœur et mon amie et sa sœur
n'aurait pas le temps de rentrer tôt, si nous irions à la ferme. Et dans le cas
de mon amie et sa sœur, leur père était comme le mien. Nous avons convenu
d'aller à la ferme parce que notre amie nous avait dit que la ferme était très
belle. Avant de partir, nous avons appelé un ami pour nous accompagner.
Ainsi, nous aurions un homme de notre côté en cas quelque chose allait mal...
Nous étions 7 personnes, moi et ma soeur, mon amie et sa sœur, un
autre amie, la nièce de la propriétaire de la ferme et le garçon qui nous
avons appelé à se joindre à nous. Nous avons commencé de marcher vers la
ferme et, au début, tout était une merveille. Nous jouions, nous rions, nous
parlions des événements qui ont eu lieu dans la notre classe, en bref, tout
était très agréable. Soudain, nous marchions, marchions et jamais nous
arrivions à la ferme. Et notre amie n'arrêtait pas de dire: “Nous arrivons!”
Mais cette ferme a été plus loin. Je n'ai jamais tant marché dans ma vie! Et
nous étions si affamés! Enfin, nous y sommes arrivé. C'était une place
magnifique et il y avait de nombreux types de fruits. Je me souviens juste de
manger beaucoup de manga, parce que j'aime manga! Mais après avoir
beaucoup mangé, beaucoup de manga... nous devions de penser à revenir.
Nous avons commencé à marcher et mon pied était douloureux. Nous
étions si fatigués que lorsque nous avons commencé à marcher, nous avons
convenu que nous devions faire de l'autostop. Sinon, nous n’arriverions pas
chez nous. Nous avons demandé pour un tour plusieurs fois, jusqu'à ce
qu'une voiture s'est arrêtée. Dans la voiture, deux hommes ont été très
gentils, mais seulement il avait une chambre pour trois personnes. Je n'irais
pas sans ma sœur et mon amie n’irait pas sans sa sœur. Ainsi, les deux
autres filles sont allées. Il y avait une place pour le garçon, mais il ne voulait
pas nous laisser seules sur la route. Puis il était avec nous.
Nous avons demandé à rouler souvent autre tour, jusqu'à un camion de
pastèques a arrêté. La première personne qui a grimpé dans le camion a été
le garçon et de là, il nous a appelé. En attendant, nous dit: “Oh mon Dieu, un
camion de pastèques. Et si quelqu'un qui nous connaît nous voyons dans ce
camion? Mais était plus tard et nous avions besoin de revenir. Alors, nous
sommes montés dans le camion, même en ayant de l’ honte. Et le voyage a
été très amusant! Quand
nous sommes arrivé
dans la notre ville, je suis
descendu du camion, en ayant
de l’ honte de quelqu'un qui
y pourrait me voir, et un
homme était là et m’a demandé
de jouer une pastèque pour lui.
"Oh mon Dieu, je dis.". Je
suis descendue et je
lui ai dit que les pastèques
n’étaient pas les miennes. Depuis, mon amie est descendue, mais elle a
glissé et est tombée avec le cul par-dessus d’une pastèque qui était coupé
de moitié. Mon Dieu! Cela a été mauvais pour elle, mais pour nous c'était si
amusant! rsrsrsrs! Nous avons ri tellement, que je me suis senti un liquide
sur les vêtements! rsrsrs! Cela a été sans doute l'un des jours que j'ai ri plus
dans ma vie!
Oh, et quand nous sommes arrivés chez moi, mon père a accepté que
nous avons la classe d'éducation physique et ensuite on a joué au volley-
ball. Tout était merveilleux dans ma maison et depuis nous mangeons le
dîner fait par notre mère. Parce que nous méritions ce dîner après d’avoir
travaillé si dur ce jour-là!
Voyage a la ferme Pucará
Mémoire de l’enfance de Hector Antonio Giles Saez
par Hector Antonio Giles Saez
Je voudrais vous raconter une vive mémoire de l’enfance: le
voyage a la ferme Pucará.
Elle était située a sept km de la ville de Ayacucho, la dernière
ville en possession de la force de occupation colonial espagnole en
Amérique Latin durant le siècle XVI.
Voici les évènements: Le voyage commençait quand les
employés de Pucará portaient les chevaux le jour antérieur. Nous nous
préparions pour le voyage a quatre heurs du mâtin avec mes parentes
et mes q uatre frères.Après que les sept chevaux etait préparé par les
employés, ils nous appelaient pour initier le voyage. C’était très
intéressant de voir les gens partir, sept a cheval, ma famille,et quatre
employés a pied et notre brave chain Vol. Après 5 kms de campines
avec quelques petit montagne a l´entour nous pouvions voir les grande
montagnes de 5.000 metre d´altitude. Ce voyage était três intéressant
pour nous, mais le plus important c’était quand on arrivait au canion de
la Rivière "Huatatas" parce que c’était un des plus profonde de la
region qu´on puisses´imaginer! La rivière se cache a plus de trois cent
metre de profondeur. La route pourtant était três difficile pour le
chevaux, vraiment três dangereux, oh la, la... De cette façon, je me
rappele qu´on a continuer a pied jusqu'à la rivière et cette partie du
voyage durée deux heurs, mais, mes amis, était très émotionnant.
Et voilà, le plus difficile, était devant nous.. le terrible
passage de la rivière,
les eaux était
torrentueuse,
transparent que on
voyait les pierre
rouler, des veritable
eaux vives! Mais pour
notre chance les
quatre employés nous
traversaient sur ces
bras en lute contre la
torrentueuse riviere...
Finalment pour
marcher de nouveau
nous devions prendre
le chevaux et de
nouveaux trois cents
metre vers le haut de
la montagne!
Aventure et adrenaline
total!En résumé, je me souviens que le voyage était très excitant et la
meilleur partie s’était quando on arriva a la fin, parce que les chevaux
voyait la ferme Pacurá et comencaient a galoper jusque chez nous. Fin
de la aventure. Allé, vive le Pérou!!
Quand j’étais petit
par Jackson Yang
Quand j’étais petit, tout le monde m’appelait Pam-Pam. J’avais
nombreux amis à l’école et dans la rue où j’ai habité. Personne
n’appelait les autres amis pour le nom, mais nous nous appelions par
notre surnom. J’avais des amis que je les appelais Canard, Cafard,
Iranien, Petit Rose, La moitié du Kilo… Mon surnom a surgi quand ma
mère m’ a appelé de cette maniéré. Pam est l’abréviation de mon nom
en chinois. Les gens en Chine aiment appeler les autres par l
‘abréviation du nom. C’est l’origine de mon surnom: Pam-Pam.
Quand j’étais petit mon père n’avait pas beaucoup d’argent, mais
j’étais très content de mon enfance. Ma famille était invitée par des
amis de mon parent pour se promener. J’imaginais que le parc de
Brasilia était un club privé. Il était une fois que mon père m’a emmené
au parc, j’étais surpris parce que je pensais que mon père n’était pas
partenaire du « Club Parc de Brasilia ». À ce moment-là, mon père m’a
dit que le parc n’était pas un club, mais il était un parc public pour tout
le monde s’y promène. J’avais pensé : je suis très content, nous
pouvons nous promener dans le parc tout le jour ! Il n’avait pas besoin
de payer à promener dans le parc !
QUAND J'ETAIS PETITE
par Leiva Albuquerque Franco
Quand j'etais petite, j'habitais à la ferme. Mon enfance a été
merveilleuse.
Il y etait très de bon voir etde faire les même choses tous les
jours et même ainsi tout me semblais neuveau.
J'adorais regarder le soleil se coucher entre les palmiers de
babaçu, regarder la lune et jouer au cache-cache avec mes frères,
nous adorions écouter et raconter des histoires autour d'une bûcher
pendent on rôtissait des pommes de terre.
J'aimais laver mes pieds au buée qui tombait sur l’herbe la
nuit,me balancer sur les branches d'un manguier, marcher au cheval et
prendre du bain de rivière jusqu'a devenir fébrile.J’adorais aussi dormir
en écouter le bruit de la pluie.
Mais de toutes les choses que j'aimais plus il etait d’ arriver
chez moi et sentir l'arôme de la cusine de ma mère.
Toutes ces choses je garde bien dans mon coer, c’est de très
bon souvenir.
Quand j’etais petite...
par
Marcia Souza Mendes Vasconcelos
Je suis née à Recife et je suis
venue à Brasilia avec mes parents
quand j’avais deux ans.
Ma mère a pris soin de moi,
elle a joué à la poupée, a cousu de
belles robes, ele m’a encouragé la
lecture, ele m’a raconté des
histoires avant que je dormais et
mon père travaillait pendant toute
la journée. J’ai été une enfant
unique jusqu’à l’âge de 9 ans et j’ai
eu une enfance très heureuse !
A cette époque-là on a voyagé
à Rio de Janeiro, à São Paulo, à
Espirito Santo, à Minas Gerais, à
Recife et nous y avons rencontré
des amis et parentes. J’allais au
club le samedi et le dimanche
j’allais à l’église.
Un jour, une forte pluie est
tombée et je suis sortie avec mon
cousin et il n’y avait pas de temps
de rentrer chez moi. Beaucoup de
tonnerre et de foudre et j’étais
terrifiée ! Je ne pouvais pas quitter la place et j’etais à l’agonie, parce
que ma mère ne savait pas où j’étais. Mais soudain elle est apparue, à
la recherche de moi et... nerveuse, même combattue, parce que j’étais
sur un jour de pluie ...
J’ai eu une enfance privilégiée, parce que mes parentes m’ont
toujours fait preuve d’amour, d’affection et les soins qu’ils avaient pour
moi.
Quand j'etais petite...
par Maria Cristina Lins
Le Noël je gagnais un vélo et je lai aimé, moi et ma copine
qui s'appelé Monica. Nous jouions pendant toute la journnée, et aussi
dans la nuit mon vélo était inubliable.
Je me ressemblais de mon enfance, J'ai vraiment aimé jouer
aux poupées aussi. J'ai eu une poupée qui s'appelait Martinha. , Vous
vous souvenez du temps de la “Jovem Guarda à cause de grâce à
cela j’ai nommé ma poupée Martinha e et ma soeur avait une poupée
qui s’appelait Vanderleia. ma soeur était quatre ans plus âgée que
moi.
Mais nous avons beaucoup joué pendant notre enfance, moi
et ma soeur. Et je peux dire, moi, que m'enfance eté merveilleuse.
PRÉFACE
J´ai des beaux souvenirs de mon
enfance. J´aimais faire du vélo, je jouais
beaucoup avec mes amis et mes
cousins, je jouais à la poupée et
j`adorais manger de l`éclairs du
chocolat. J´étais une enfant heureuse.
QUAND J´ÉTAIS PÉTITE
par Aparecida Solange Pinto Olivetti
J´étais une sage fille, mais des fois j´étais três espiègle. J´étais três
aimeé par mes parents, mes oncles et mes grand-parents, mais je me
plaignais: je n´avais pas um frère non plus une soeur. J´étais heureuse quand
j´allais à l´école, je trouvais mes amis et je pouvais jouer. Dans les week
ends je pouvais trouver mes cousins et les petits voisins aussi. Quand j´avais
six ans, un jour, je suis allée visiter ma tante, j´ai trouvé un beau stylo dans
un tiroir . C´était un cher stylo, je l´ai démonté puis il ne fonctionnait plus.
J´étais nerveuse, après je l´ai gardé sur la même place.
Queleques jours plus tard, ma tante a découvert que le stylo était
cassé. Ma tante m´a excusé, mais je me suis fait gronder par ma mère.
Quand j´avais sept ans, je suis allée à l´école et j`habitais à Sao Paulo. Je
pense qu´aller à l´école était une periode pleine d´apprentissage et de joie.
J´aimais jouer, courir à la récréation dans l´école. Quand j´avait huit ans, um
jour le professeur faisait la correction des exercices, j´ai eu une mauvaise
question et je l´ai effacé et j´ai mis la bonne réponse. Un copain qui était
assis prés, il l´a vu et il a raconté au professeur. Ensuite l e professeur m´a
grondé. J´étais triste et honteuse, mais j´ai appris que nous devons être
honnêtes. Pour finir, j´ai eu une enfance tranquille et j´ai de bons souvenirs.
Impression
le 09 décembre 2011
Dépôt legal: décembre 2011
1 er dépôt legal dans La collection: décembre 2011
Numéro d’imprimeur
*ISBN 040309122011
*Numéro fictionnel