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    PUBlIGATIONS DE L'INSTITUT DE GlVILlSATION INDlENNE8 ~ R I E IN-So FASCICULE 6

    TUDES VEDIQUESET

    PANINENNESPAR

    LOUIS RENOUMEMBTIE DE L'INSTITUT

    PROFESSEUR A LA SORBONNE

    TOME IV

    PARISE. DE BOCCARD, DITEUR1, RU E DE MDICIS, 1

    1958

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    LES HYMNES AUX VISVEDEVAH

    Les hy(mnes) aux V(isve)D(eval,l) on t attir assez peu l'attentionjusqu'a prsent. Les auteurs qui on t eu affaire a la mythologievdique en parlent a peinel, sans doute parce qu'ils considerenttacitement que de tels hy. n'ajoutent rien a notre connaissancedes personnes divines prises individuellement, qu'ils ne font quedcrire la somme des dieux, un panthon pluriel, dnu de traitsspcifiques.Les VD. font l'objet de groupes plus ou moins compacts, quisont analogues a ceux des divinits singulieres (Agni ou Indra),jumel es (les Asvi n ou VaruIfafMit ra) , ou en fin collectiv es (lesMarut), et qui sediffrencient des hy. terminant chaque maw;lala,lesquels sont vous a des figures diverses, inorganiques, aux deval,l ll.Ainsi, au cours des maIf

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    - 2-des place s diverses des pieces aux VD., isoles ou jointes, a savoir,a l'intrieur des sous-groupes de Gotama (89-90), Kutsa (105-107),K a k ~ l v a n t (122), Parucchepa (139), DIrghatamas (164). De memeenfin au Livre 10 : Lusa (35-36), Gaupayana (57) ; puis les morceauxjumels 61-62,63-64, 65-66 qui marquent le dbut des groupesbinaires et fragmentent un ancen cycle unitaire aux VD. Enfindes hy. isols elans la elerniere portion elu mar,u;l., entre 92 et lEn.

    Il suit ele cette statistique que la plupart eles petites famillesele 1,8 et 10 ne prsentent pas el'hy. aux VD. : ce sont il est vraides sries localises, qui ne donnent chacune qu'un aspect particulierdu panthon. Il fallait, semble-t-il, des ressources de style et dematriel mythique, comme celles qu'offrent les grandes familles,pour dvelopper un cycle aux VD. Quant a la lacune que nousobservons, elle apparaitrait plus clairement ene ore si l'on dfalquaitdes hy. au x VD. ceux que la tradition (Sarvanukramar,d) donneil es t vrai pour tels, mais qui on t en ralit, comme nous verrons,un tout autre objet que de clbrer la totalit des dieux JJ. Larubrique VD. JJ a couvert en effet des marchandises fort diverses1.Quoi qu'il en soit, l'ordonnance des hy. aux VD. a l'intrieurde la Sal11hita montre dja, a elle seule, que nOus avons affaire aun groupe unitaire, non a une simple accumulation d'lmentsdisperss ; non plus a une sorte de rsum, de reprise sommairedes pieces alloues aux diffrentes divinits.

    L' expression meme v{sve d e v { ~ (devsaf:) est naturellementfrquente dans le RV. et pas seulement, ni meme principalement,dans les hy. aux VD. Les deux lments qui la composent sontsoit spars, soit juxtaposs, la sparation pouvant indiquerqu'on entend parler des dieux globalement, la juxtapositioninsistant su r la valeur technique JJ : mais ceUe eliffrence n'estnullement constante. Plus rarement, va est postpos a clevJ: (tresrarement en contigult). En cas de Vocatif, va tant accentuparee qu'initial, d e v { ~ demeure atone; va n'est jamais atone.Le terme va figure parfois seul, ainsi 1.14, 10 ; 43, 3 2.37, 6 8.27,4 TS. 3.2, 8 i (mais v{sve seu14.56, 4 est un eluel fm.). Plus souvent,va se rpercute dans la phrase qui suit, va ... vO ...vo ...1 a no devJ:10.45, 13 ; ou bien v { s v e ~ m ... devnm ...1 v{sve h{ visvmahasova ... 93, 3. Des composs comme v i s v v e d a s a ~ ne sont que laprojection ele l'ide des VD., meme s'ils s'appliquent - tresoccasionnellement - a des dieux distinds 2 La priphrase devsaJ:

    (1) Pour Sabara ad MLS. 12.1, 28, l'expression VD. dsigne, non un groupe dedivinits, comme l'enseigne le piiruapak9a, mais l'ensemble : ceci confirme qu'il y avaithsita ion.(2) Cf. aussi uisumallC/s prcit; u i s u c a r 9 a ~ l i et okNti, ojanya, 0mam/9 (pithtedes Marut), ainsi que uisutinara, d'ou drive l'p. d'Agni uaisunar, qui apparat

    -3 -sl'vay vis 1.39, 5 5.26, 9 8.28, 3 prsente un lment vis, celuimeme qui sert de base lointaine a v{sva.

    La forme thmatique visvao figure dans visvdeva qui d'ordinaireest un bahuvrIhi (( relatif aux VD. ))), mais qui, dans dev visvdeviiJ:7.35, 11 10.125, 1, n'est qu'une accidentelle normalisation deVD. ; ele meme visvadeviiJ: (atone) Voc. 6.51, 7. Sur ce compos(qu'on retrouve apres le RV., Minard Trois nigmes 2 453 a sefondent les ddvs visvclevya - qui signifie, au moins en partie, accompagn des VD. JJ -, visvdevyiivant - avec un suffixe-vant- figurant expltivement sur base en -yii- -, ainsi elansvisvlwI'mm,1ii visvdevyc7valii 10.170, 4 Visvakarmal,l joint auxVD. JJ, locution confirmant qu'il faut entendre de meme le visvlcC/l'IJ1c7 v i s v d e v a l ~ ele 8.98, 2 (et non Va Allgott JJ Glel.).Des substituts occasionnels de VD. sont vsve vasavaJ: 8.27, 2(et ailleurs), va amfliiJ: 1.59, 1, vO yjatl'c7J: 65, 1, et notammentVO mal'taJ: (a cot ele va c7dityJ: et VO rbhvaJ:) 7.51, 3 (et ailleurs)entrain pa r le voisinage ele VD. ; el'o va c7dityiiJ: 6. 51, 5 10.63,17 Berg. 3 p. 100. -Ans s i v{{;vebhiJ: ...agnbhiJ: 1.26,10 (et ailleurs).Mais les Marut sont simplement juxtaposs aux VD. 10.52, 2 1

    Le mo t v{sva, on le sait, note une totalit faite d'inelividus, parcontraste avec sl'va, globalit inelistincte. L' expression, fort rared'ailleurs elans le RV., devJ: sl've 6.75, 19, figure, comme il estnaturel, en valeur non technique; ele meme dans l'hy. semimagique 10.128, 2 2 Dans v{sva, il y a bien l'iele sous-jacente elela vis, de la tribu circonscrite ; ceci a d jouer un role elans l'affectation eles VD. a la Vi.5 (c'est-a-dire aux vaisyiiJ:) qui se fait jourdans le Rituel : ainsi SB. cit Eggeling 1 p. 371 les VD. sont lavs JJ (cf. dj a devsaJ: sl'vayii visti prcit). Sur cette quivalence,cf. Heesterman Royal Consecration p. 66 et par ex. JB . 1.69(Caland Auswahl na 8) Prajapati cra de son ventre (sur leventre JJ eles VD., d . TS. 3.2,3 p) les VD., les vaisya, les bCBUfs JJ.Dans BAu. 1.4, 12 il n' y a plus qu'un souvenir confus ele ceUeune fois en apposition aux VD. : ef. 8.30, 4 ci-apl'os. Sur un sens possible de cetteexpl'ession, Kuiper Nropi p. 20. - Fisudhyas est aussi, a l'occasion, un refletde VD. (et attest encare dans l'AV.). Enfin l'expression de base peut ga et lase trouver distendue pa r intercalation d'une p. banale, comme dans 2.37, 6 u{sun ...mah(l ... deutin. .

    (1) Visvi'ivasu, p. de Gandharva, repose sur un ancien ulSue usaua(l. - De memeque nous avions tout a I'beure la squence d e u s a ~ ...u{sue uaisunar ut 8. 30, 4,on trouve mnaUa(I ... usue .. de u i(l 1. 89, 7 qui semble indiquer une collectivit desdieux et des humains ensemble; u{sue deuso 11lC//W9a(1 (ces deux mots tant atones)10. 63, (, est ambigu, cf. Gld. et Old. ad loe.(2) La consolidation des VD. en entit distincte a aid a crer un Sarve D e v i ' i l ~dans quelques mantra tardifs, Vait. 17. 7 = GopB. Cf. encore les mantra ou y a j u ~AV. 11. 6, 19 TS .3. 2, 10, 1 Kaus. 56. 13 73. 5 74. 3.

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    association : il cra la vis, ces c l a s ~ e s de dieux qu'on dsigne pa rgroupes, les Vasu, les Rudra, les Aditya, les VD., les Marut :seule demeure la pluralit. M. Dumzil Tarpeia p. 56 eL 64 amontr que la relation VD./ vis remontaiL au RV. : du moinspeut-on en infrer l'existence en observant certains groupementsdivins.

    Il n'est pas malais, en principe, de distinguer les vritableshy. - ventuellement, les portions d'hy. - au x VD. et ceux quine doivent cette tiquette qu'a la traclition savante embarrassepoul' dnommer les bnficiaires d'une eulogie. Ainsi le recueilde clevinetLes cosmiques ou l'ituelles qui se sont coagules pourformer 1.164 est cit pa r la tradition, au moins pour la plus grandepart, comme un hy . aux VD. (la mention des VD. n' y figurequ'au v. 39) ; de meme, en plus petit, 10.114. L'hy. 10.31 est cosmogonique, nullement diffrent d'autres au ma1).? 10 qu i pourtantne l'egoivent pas cette meme attribution aux VD. ; 10.137 es t unmorceau de caractere atharva1).ique comme ceux de l'entourage ;1.105 est un fragment d'itihc7sa (( Trita au Puits, Gld.), qui necomporte d'adresse aux dieux qu'inciclente ; de meme 10.109,qui traite de la restitution a son propritaire de la Femme dubrahmane. Plus o.n avance a l'intrieur du Livre 10 (et, dans unemesure sensiblernent rnoindre, du Livre 1), plus on constate queles attributions sont arbitraires et que celles aux VD. se multiplient.Non que tous les po emes aberrants clu Rgv. y aient t sujets ;il s'en faut. Mais il semble bien que l'allocation d'un hy. a thernenon vident ait fourni une rubrique cornrnocle pour les classificateurs de l'Anukrarna1).P. Au reste, n'existait-il pas, des le Rgv.ancien, une indniable tendance a entourer de mystere la phrasologie relative aux VD. ? Si plusieurs de ces hy. sont fort simples,litaniques, platernent formulaires, d'autres en effet cornptentparmi les plus labors, les plus obscurs de la Sa111hita, en particulierla srie 5.41-51 (cf. l'introcluction liminaire de Gld. 2 p. 39). Lesallusions irnplicites y abonclent et, sur le plan linguistique, lesellipses, anacoluthes et autres artifices propres au x compositionssotriques. Gld. signale 5.41 cornme tant le poeme le pluselifficile du Rgv. , ce qui doit s'entenclre en ngligeant le clebreet intraeluisible hy. aux Asvin 10.106. La tendance cosrnogonique,si nette au Livre 10, est clairernent amorce clans un hy. au x VD.(et authentiquernent tel) du Rgv. ancien, a savoir 3.54, versets 5 a9.Le genre eles devinetLes rnythologiques trouvait un caelre tout

    (1) L'attrilmtion de 10.181 aux VD. repose sur la menton devd(l au verset final(qui souvent compte pour dcisif en pareille matire); 10.114, sur le devti(! duverset initial. Il n' y a que des mentions latl'ales (sans adresse directo) de certainsdieux dans 10.56 ou 109, etc.

    -5 -trac elans la phrasologie au x VD., la surtout ou, comrne iI aelvientsouvent, le norn ele la elivinit clbre es t Iaiss en suspens, ouses caracteres memes et ses activits sont elcrits ele fagon eltourne.Des hy. aux VD. a allure ele elevinettes sont 3.56 et 5.47 : elans ceseconel hy. il n' y a, sauf a la finale, aucun nom elivin expressrne ntinscrito De merne clans 8.29, ou elu reste les attributs ele chaquedieu sont forrnuls avec une parfaite clart.

    Comment se prsentent elonc les hy. que nous avons appels authentiquement adresss au x VD., ceux du Rgv. farnilial etune partie ele ceux elu Rgv. rcent? Ce sont eles i n : o ~ a t i o n sspares a certaines divinits, chacune occupant en prmClpe unverset entier. Il arrive qu'une triaele de vers soit rserve a unmeme destinataire, comrne 3.20, 2-4 ou 5.43, 13-15 a Agni, 5.45,9-11 a Surya ; ventuellement, une elyade, comme 1.186, 8-9 auxMarut . ou bien un lment plus long. Il arrive aussi qu'un memevers c ~ r n p o r t e plus d'un nom elivin cit a titre essentiel (ce quela liturgie appellera des linga) - ainsi le couple Vanl1).ajMitra, etmerne la triaele Varu1).ajMitrajAryama1)., qui comptent pour un - ;certains poernes prsentent une tendance visible a a c c u m u l ~ r lesnoms, a aligner eles nurnrations ou les noms sont souvent mterrompus pa r des lments elterminants, qualifiants, apposs.Ces nurnrations devaient meme constituer un facteur primordialde la littrature eles VD. : tout se passe en effet comrne si ces hy.dveloppaient, amplifiaient un noyau ele breves litanies, de nivid(cf. ci-apres p. 11). Avec le ternps, ces listes se s e r o ~ t a r t ~ c u l e sen poemes plus ou moins bien composs, ou toutefOls perslstent,comme les tmoins d'un age rvolu, eles enfilades de noms propresqu'on essaie el'ajuster au contexte1

    Nanmoins la cornposition-norme es t celle comportant unchangernent d'attribution achaque verso On peut consiclrer quel'hy. aux Armes 6.75 imite elirectement, a cet garel, structuredes hy. aux VD. Parrni les pieces les plus rgulieres, on Cltera 1.186qui, a part deux versets contigus aux Marut et une finale ( c o m r n ~souvent) anonyrne prsente un arrangernent sans elfaut. AUSSl6.49 et 50. Nous a ~ o n s dja voqu le cas de 8.29, qui ne diffrede l'usage habituel que par l'absence de nomination divine. Mais

    .(1) Parmi les assez nombreuses numrations qui sont en dsaccord avec le cadresyntaxique, autrement dit, en ellipse ou en anacoluthe, citons 1.14, 3; 186, 10 3.27,44.55, 10 7.97, 4 et surtout au Livre 10 : 36, 1 ; 63, 9; 65, 9; 66, 4; 72, 1. Parmihy. abondant en versets numratifs, 1.90 et 107 4.55 5,46 10.65; 66 et 141. eL aUSSlle's poemes a. cadre rigide, caraclriss par la .rptition de sm ou de svasff.

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    - G-

    les hy. les, plus r g ' u l ~ e r s ?nt. en gnral un verset terminal quir O l ~ p t l.a sequen?e, SOlt qu 11 Ign,0re toute appellation prcise, soitqu .I1 bnse le schema a t t e n d ~ l : c es t la un aspect de la d-structu-. ratIon propre aux fi?ales. BIen entendu les hy. au x VD. peuvent,

    c o m l ~ e le,s autres, s , a c h ~ ~ e r pa r une danastllli ou par un versetr e f r m ~ . L h o m m ~ g e a AchtI au terme de 1.89 s'apparie auxformulespanthmstes du LIvre 10 : ce n'est pas un hasarel s'il s'agre e a unhy. aux VD. plutot qu' un hy. quelconque 1 gQU:l1es sont les .elivinits de ces hy. ou ele ces numrations ?Certames y apparmssent rarement, ainsi Soma ou Usas ou surtoutRudra (cf. Glel. ad 5.41, 2) ; el'autres ele m a n i e r ~ a peu pres~ o n s t a n t e , c?mme Indra Agni d'une part, Varm;ajMitra ele1 u t ~ e . La sequence ne, se lImite : l ' ~ i 1 l e u r s aucunement aux granelsch.eux, pas davantage a ceux qm Jouent un role minent elans leRItuel. ~ l . l e . englobe aussi eles figures seconelaires ou occasionnelleI ~ 1 e n \ C h v l I ~ l s a b l ~ s : a i n ~ i eles ~ n t i t s naturelles)) (Montagnes,F lem es), hturgIques. (PI.erres a presser le soma, Louange ouH o m ~ ~ g e ) ; :les pro,]ectIons plurales comme les Agnayah lesR ~ e l n y a l ; , VOlre les Inelriyal; (1.107, 2). II Y a que lqu es ' I ~ o m squ on ne rencontre guere qu : clans les hy .aux VD., te l Ahi BudhnyaO l ~ , d a ~ s une _m.esure ~ O l n s frappante, Aja Ekapad, Pathya,Al amatI. Les Adltya, qm sont frquents, y attestent volontiersleur8 composants abstraits )), comme Bhaga ou Amsa. Parmi lesautres A roupes collectifs se trouvent les Vasu, a i n ~ i que les VD.eux-memes.

    , I ~ a mentio,n , v { ~ v , e devl; )) est en effet quivoque : tantot elleelesIgne la gene.rahte des elleux et est exempte, pour ainsi elirede valeur techmque : c'est le cas habitue1 hors des hy deel' ,VD T t A . . les au x. an ot elle VIse. une c1asse a part : ainsi 1.186, 2 o le tenuea c c ~ ~ p a g n e mentlOn de MitrajVaru:r;tajAryama:r;t; 7.39, 4 o ila v o ~ s l l 1 e Agm ; 1 0 . ~ 5 , 13, a cot eles lV!arut et d'Agni ; 36, 13, eleSavltr,.! ~ r u : r ; t a et M I ~ r a A ; 14, eles, DhiAet de Purarpelhi plnitueleeles d/u)) , 7.35, 11, a cote des devaJ: memes, les do et les V O do ))Dans 5.51, le tercet 8-10 fait suite a un quatrain a Agn i ' .tercet 'V - D 8 27 l' , a un. a ,ayu. , " .' numration elu v. 2. place les VD. ala smte el une sene el. entlts naturelles. L'hy. qui ele tous insistele plus sur cette mentlOn es t 6.52 o le vers 7 est adress au x VDqm valent aussi, sans eloute, pour 8 et 9 (facture en tercet), q l ~ i(1) Les VD. sont mentionns frquemment dans l'AV. mais il ne S'y trou 'e . a proprem t 1 d'h ' \ gu re,el: . pa r el', y. aux VD. du type construit. La tradition donne pourte1 3.22, poesle du genre varcasya qui contient tout juste une mention des VD.

    a.u v. 1, et au v. 2 la formule devdso uisudhayaSa{1 qui s'ajuste a ceHes que nous aVOllScJtes p. 2.

    -7 -sont repris au 10, puis aux 13 et 14, indirectement aussi au 15,enfin a la strophe terminale (17).Le contenu meme de ces squences est assez flottant. On rencontre souveut en tete le groupe Varu:r;tajMitra (jAryama:r;t); plusrarement, Vayu (5.43, 3) ; assez souvent, Agni. Les eli.vinitsfminines sont situes a a fin ou non loin ele la fin. La mentIon elesVD. eux-memes se place parfois aussi vers la fin, ainsi 10.65, 14 ;66 13 ct ~ u r t o u t 1.139, hy. a arrangement ritualisant (Berg.Liturgie p. 34 Olel. Noten aelloc. Dumzil Tarpeia p. 47), vo.lontiersen compagnie eles lments fminins :-ce trait est a retemr, nousen verrons la signification plus loin. .Telle ou telle elivinit peut avoir un role elommant, en sorte quel'hy. aux VD. ne fait qu'largir le caelre d'un hx. aAgni (1.14 7.39),a Varu:r;ta (2.29 7.40), a Indra (1:121), aux Aditya (8.83 10.63),au guide divin)) (sans doute SavItr) 5.50 1 , ,La mythologie des hy. aux VD. est, nous 1 v o ~ s rappele, peuexplicite : ainsi les portions relatives a Indra renselgnent fortsu r les luttes du dieu et sur ses conquetes. En revanche, I1sexploitent tout ce qui peut preter a spculation, le sY:nb,olismeritualiste en particulier. lIs prsentent en bref, de fagon emmente,les deux traits pa r lesquels M. Thieme ZDMG. 107 p . 195 r ~ s u m el'intention rgvelique en gnral : sous la forme facIle )). c est laGastmahlspoesie; sous la forme difficile )), la vVahrhmtsformu-lierung a tendances sotriques. "Nous aboutissons donc a ce rsultat : des hy. a caractere fortement numratif, qui font se s u c c ~ e r des a l l u s i o ~ s . ,eliv,ersesdivinits, strophe apres strophe : 1une de. ces d I v ~ m t e s etantprcisment les VD. Ceux-ci sont elonc a a fOIS la p a r ~ I e et le tout.Leur role comme tout )) tant assez naturel, ne requerant aucuneexplication, c'est leur role comme partie )) qui doit ~ ' e t e n i r l' t ~ e n ~tion. Les allusions faites aux VD. hors des hy. qm sont voues aces elieux vont permettre maintenant de le prciser quelque peu.

    II existe en effet dans la Sarphita plusieurs hy. adresss a desdivinits diverses et qui, tant composs en s u i ~ e ele t e r c e t ~ selonun mode d'arrangement archalque, rservent Justement 1un de.(1) Il arrive, au moins selon l'AnllluumaI;l, que des hy. aux VD. soient trllffsd'lments adventices, ainsi 7.34 et 10.63; dans ce second cas, c'est encore un lmentfminin qui vient en clausule, Pathy 8vasti la Route bnfique (qui mimeallxdieux) , le detJayana anticip. Dans 5.46 galement l'hy. aux VD. s'achve pa r unloge aux pouses (7 et 8).

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    - 8- ces tercets au x VD. Ceux-ci se trouvent encadrs parmi deshommages unitaires; ils n'ont a aucun gard un role de simplersum ou regroupement d'ensemble. C'est d'abord 1.3 qui forme(avec l'hy. prcdent) une srie de sept tercets O l'hommage au xVD. se situe dans la se conde moiti, a la suite des Asvin et avantSarasvatI. De meme dans 1.23, les VD. succedent aux Marut etprcedent P ~ a l ) . et les Eaux. Outre l'intret qu'il peut prsenterdu point de vue comparatif (Dumzil Janus 3 p. 48 Tarpeia p. 51),cet arrangement est typique du point de vue strictement vdique,tant a la base d'un schma liturgique important, le pl'agasastl'a(Hil!. Myth. 2 1 p. 494). Dans ce second hy., les VD. sont les reprsentants des Marut, association que nous avons dja rencontre.Un groupement analogue a lieu dans 2.41, O le tercet aux VD.se place galement apres les Asvin et avant Sarasvatl; commedans 1.3, la prsence d'Indra peut etre intruse. Un dernier exemplees t 8.25 O les VD., bien que non nomms, doivent se dissimulerau tercet numratif 13-15. C'est tout pour la composition entrcal . Dans la composition en versets indpendants, l'hy. a Agni5.26 dispose les VD. a la strophe final e : nou s retrouvons done icicette situabon privilgie. De meme l'hy. a Soma 9.67, au vers 27(les vers qui suivent ayant t secondairement ajouts a un hy.clos, Gld. ad loe.) : c'est, soit di t en passant, le seul hy. du Livre 9qui contienne une adresse directe au x VD. Dans 3.20 on a unealternance entre les vv. 1 et 5 adresss aux VD., les strophescentrales tant a Agni. Le verset 10.130, 5 illustre le caracterelimit, fonctionnel, des VD., quand il pose que la vil'iij a tattribue a Varul).a/Mitra, la t l ' i ~ t u b h a Indra, la jagatl (seul passagedu Rgv. dsignant la jagatl en tant que nom de metre) au x VD2.Sur le plan de la phrasologie, on ne peut videmment s'attendreque ces passages vous aux VD. prsentent des traits bien accuss.N e retrouve-t-on pas cette meme indiffrence dans les versetsrelatifs aux Vasu, aux Rudra, au x ditya ? Il n' y a de spcificitque pour les appellations au singulier, tout au plus au duel unitaire(type Asvin). Si nous prenons le tercet 1.3, 7-9, nous voyons que

    (1) Les squences fondes su r les (Hil!. 1 p. 496 Dumzil Tarpeia p. ,19 et 54Renou Arch. 01'. 18 p. 438) - ou Indra est galement intrus - ne comportent pasl'insertion des VD. Pas davantage, ceHes des Aprr, v. notamment Scheftelowitz ZDMG.73 p. 43 (ibid. p. 47 sur les I;\tu).(2) De meme qu'il existe des strophes numratives, nous l'avons rappel, dans lesliy. au x VD., de meme il y en a hors de ces hy., l 'un des membres de l'numrationtant les VD. eux-memes : ainsi dans l'hy. aAgni 7.9,5 (oil, au surplus, les VD . viennenten queue), dans celui au x Asvin 8.10, 2 et 35, 3. - L'hy. a Agni 2.1 qui accumule lesidentifications du dieu avec les entits divines les plus varies s'achve pa r une identification au x VD. "t u es les VD. ensemble I (15).

    -9-les VD. sont appels ma, C C l 1 ' ~ C / I . d h f t , aptlI', tI'I.1i, aSI'{dh, himiiya,adr lh: enfilade d'pithetes dont la plupart sont sans personnalit,d'autres se bornant a modifier phoniquement des formes plusconnues, ainsi ma substitu a l'usuel lma, ou himiiya a himiiya.Les VD. sont { n d r a j y e ~ t l l l ' j J : , m 1 ' U d g a ~ i ! [ , l n ~ a r i i t a y a J : 1.23, 82.41, 15, triade de qualificatifs dont Lders VarUl!a 1 p. 188 abien senti l'importance comme indices de classification . De fait,il est dit ailleurs que les VD. reconnaissent Indra pour chef 4.19, 1(et analogues) ; mais en un passage isol Indra est invoqu comme ayant coml)attu seul les VD. menagants 4.30, 5, souvenir d'uneancienne ambigu'it; de la, a l'tat attnu, ils ne (1') on t pascombattu , ibid. 3 ou bien Indra et VarUl).a les dpassent engrandeur 6.68, 4. Le lien avec les Marut (cf. 1.23, 10 v{sviindevtin haviimahe mal'ltaJ:) , qui dcoule de celui avec Indra, estdonn 1.19, 3 et 52, 15. Celui avec Agni s'exprime assez frquemment, mais non de maniere particulierement topique. Il n' y aguere de rapprochement avec les Asvin. Avec Varul).a/Mitra 6.67, 5et 10.36, 13, qui les montre sous la loi de Savitr et sous celle dece couple divino La connexion avec Prajapati reste naturellementconfin e a un texte rcent, 10.169, 4. Dans les pie ces atharval). isantes, on demande aux VD., comme on le fait pour d'autrespersonnages, de purifier l'homme 9.67, 27, de le protger 10.33, 1,de le garder du poison 7.50, 32.Plus caractristiques sont les passages O l'on distingue parmiles VD. ceux qui sont dans les airs, dans les eaux, sur terre 6.52,1510.65, 9 ; ou, ce qui revient au meme, ceux qui sont ns cl'Aditi,des eaux, de la terre 10.63,2. Une prcision numrique est inscrite1.139, 11 vous qui etes onze au ciel, onze su r terre, onze dans

    (1) Les pithtes sont volontiers cumulatives dans le contexte aux VD. : l'hy. 10.66donne cote a cote brhcchravas, juotiktt, adhvarsya prcetas, visvvedas, ndrajuetha,amtta, rtiivtdh dans leseul v. 1; {ndraprasfa et Vrlll,laprasia au v. 2. Ils formentun vrjna, un ({ groupe ferm ", caractris comme mardga(Ja (glos sgaT,lo m a r d b h i ~ I ) ,ibid. Dans 10.65, 11 on nous di t qu'ils on t engendr la Formule, la Vache, le Cheval,les Plantes, les Arhres, la Terre, les Montagnes, les Eaux, qll'ils on t fait monter leSoleil au ciel, qu'ils ont produit sur terre les t!rya vratt!. Ils se comportent ici commeune pluralisation anticipe de Prajpati.(2) Des liens entre les VD . et Brhaspati se prsentent dans l 'AB. trad. Keit!! p. 126,dans le SB. trad. Eggeling 4 p. 103. Avec Indra (

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    -10 -les eaux )). La notion des VD. terrestres )) ,des agnijihvJ: 6.52, 13. Un additif . est r e m p l a c e ~ pa r celIe vous dieux clestes terrestres , spatIa l est donne 6.50, 11eaux )); sur cette e ~ p r e s s i o n i n ~ ~ ~ t e d e _ a c h e , habitant lesBloomfield Repet. p. 316. C e s ' t 't ' goalaJ:, .v. l ~ o t a m m e n tfaire des VD. un groupement e f o ~ 1 lOns t ~ n d r m e n . t , 11 vrai,une simple apparence. En raITt tI, non C1rconscrrt .lVIms c' es tb1valent, a a fois total (sans limites :s YD: ~ e m e u r e ~ t Un groupememe avec d' autres dieux indo . ) 1 lrulllte pa r sa juxtaposition1V1C ue s Ja tendance ' l'U 't 'marque dans l'Ekam du v. 46 de l'h : , . . a m .e sement aussi 3 54 8 (cf . d ) y. a emgme s l.164 et poss1ble-" . C1- essous 1Des sous-groupes des VD .' A(cE. ci-d 2) . . parmssent etre les Vaisvanara 8.30 4essus p. ,e n tout cas les obs ( ) R - ' - '(d. encore AV 18 4 44 cur e s atI$ac et Abhisacdes Purogav 'soit' (; c e u ~ e n u : o n t , e ~ t e du culte des manes, a c6tpa r ex 10 65 ' 14 . bql 1 precedent)) et ceux qui suivent ))). . , ,q m sem en t des collections mineures ? a g , n ~ n t ) ) le groupe principal des VD I1 . t acco.m-mdemable, quoique malais a dfinir ' eX1S e en fin un hen .cf. l'ambigu mnavah va ,lo ta l ' entre les VD. et lVIanu ::,. ...... e v a O manusah ( ' t ' ") . .que Vlsve hi smel mnave 8 27 4 l .! : _ " , C1 e p. 0 , mns1

    fois les VD' " ,c. evaso II sma manave 14 ' plusieursI1 s bl . reg01vent le qualificatif m n o ~ yjatl'elh ainsi' 1065 14em e que, dans la hirarchie divin 1 VD'. ', .les dieux, ceux qui se ra ) )roch t 1 e, es .. ~ 1 e n t , de touson rejoint ici pa r un a ~ e ] . e? / p l u ~ d? la cond1tlOn humaine :vaisYelJ: .que n ~ u s . avons ) : ~ : ) e l : : s ~ ~ ~ : t ~ ~ ~ ~ ~ e s VD. a la vis etans le R1tuel s aihrme sou tI 'des VD.; en meme tem s ven ? caractere spcifique et limitRgv., la situation de l ' h o : ~ consohdant certaines tendances duDans la srie somique le t r o . a ? ~ auxtVD. volontiers terminale.au x VD f ,1Sleme e Cermer pressurage est dd" .la C h U . , ( ~ ~ ~ a r ex. K 9 B 8 ) t r ~ d . K e i t ~ p. 426 (Hill. lVIyth.21 p. 494)1:ssen p. s en SOUvIe t I1 ' ,des la SaIllh. un hy. au x VD (7 e n ~ o ~ e . , eXIste d ' ~ i 1 1 e u r svesprale. De maniere 1 . ' . qm 1eflete une rcItationd'numrations de n o m / ou moms caractristique, nombrefinale, ainsi VaitS. 1.18 14 7coJmBPortent les VD. en position. . . 2.102 TS. 1.4, 1 b . 10 b ., ,

    1) Cette situation a provoqu quel ue t. JI . ,le SB. (Eggeling 3 p 150) ,. q IOU) e dans la lrtteratul'e ultl'ieUl'e ou'. pose qu rls ne form t 'sont (5 p. 392) tous les dr'e ' en pas une classe de divinits qu'ils" - ux "; mars aussi (5 278) 1 'devana/TI yasasvtamlih . p. es plus fameux des dieux"Leur caractl'e SpCiftque est souli no il est question des dieux qui on t i n/a l ' un ::nantra de la yS . cit SB. 5.2, 4, 5Varuna/Mitra Soma ou enft . g pour cerl, de ceux qur ont pour ceil Yama. , , ll1 qur ont pour '1 1 VD ., ,ment la BAU. n'a plus que le souvenir du fait cer es . ", v l ~ v d e v a n e l l ' l i 1 ; . Inverse-3.1, 9 et 2, 12. Cf. enftn TS 31 6 3 t que les VD. sont mnombl'ables, anantdhfin d" . " , e parall. les VD (sal t) 1 d' . . . .une enumration fOl'mulail'e). . 1 a rvmrte)) (vel'S la

    -11-11 b ; 16 b; 26 c 3.2, 1, 3; 3 a ; 10 b-p ; dans ce dernier passagese trouve la scission curieuse visvdevebhyas tVel visvebhyas tvadevbhyaJ: a ous les dieux et aux Tout-dieux )) ; cf. aussi TS. 3.5,6 g h svSS. 5.1, 15 (nigada). Dans TS. 3.1, 6 c succedent auxVD. a) Indra (sans doute comme lment intrus), b) PrthivI (entitfminine !). Les VD. sont honors au terme de l'Agni$toma KeithRel. p. 327; du Rajasya p. 343 1 En tout cas, dans nombred'numrations, les VD. se comportent comme une dsignationunitaire, quivalant a un dieu unique : ainsi TS. 3.3, 2 a ; 2, 3 a ;1, 6 c, etc.Si l'on considere les nivid comme des tmoins d'une formulationparticulierement archa'ique, ainsi qu'on l' a parois suppos (Scheftelowitz ZDlVIG. 73 p. 30), on attachera un intret spcial a lanivid occupant l'avant-derniere place dans la suite des 14 rcitations qui forment le mahavaisvadeva-sastl'a (un exemple encorede VD. servant simultanment a dsigner le tout et la partie !).La litanie aux VD., telle que la donne SSS. 8.21 (cf. AB. trad.Haug p. 212 Caland-Henry L'Agnii?toma p. 360), es t une collectiond'pithetes, parmi lesquelles : vaisvanal'elJ: (ci-dessus p. 2), elskl'elJ:(qui remonte a l'hy. aux VD. 1.186, 2) ; puis des qualificatifssinguliers, attestant 1' humanit )) des VD., pakvannaJ: et pacalavahasaJ:, enfin nematilhvanaJ:, qui est a lire nemadhit[o ceux quiaiment la lutte ou : la partialit )), allusion au role des VD. comme partie d'un tout )). Suivent les domaines, poss couple pa r couple,auxquels s'tend leur empire. De nouveau des pithetes, valCil-manaJ:, qui rappelle le Cilmnam ... vdlam de l'hy. rgvd. aux VD.10.92, 13, et agnidtaJ:, qui s'inspire des types classificateurs.Enfin la sriation numrique qui va de 3, 11, 33 a303 et 3.003 ~donc, dveloppant le nombre 33 ou 3 x11 du Rgv. 2 ~ et quis'acheve pa r la mentian des pouses (patnl) et des Femmes (gna),des Abhi$ac et des Rati$ac. Une breve dprcation termine letout. Cette nivid rsume en somme, avec quelques apports nouveaux, toutes les tendances que marque la phrasologie du Rgv.relativement aux VD. : c'est un groupe a a fois singulier et global,qui condense ct parfois dgrade le niveau cammun de la dignitdivine 3.

    (1) Cf. ellfin la position des VD. dans Av. 1.9, 1 6.85,2; 11,47.38,311.119.39,5.Dans le Khila, Scheftelowitz p. 102. Dans les pllI'01'l lC, meme auteur ZDMG. 73 p. 204.Encare dans un texte tal'dif te1 que la NrsiI)lU. (Deussen p. 772).(2) Sur ce nombre 33 et ses dveloppements, v. notamment BAU. 3.9 (se l'frantpl'cismcnt a la nivid du SSS.) et SB. 11.6, 3; Dumzil Hritage p. 216.(3) Le Nil'. 12.40 fait cette remarque inattendue qu'il n' y aurait qu'un hy. du1}gv. qui sel'ait,adl'ess aux VD., a savoil', un hy. en gyatrI a trois str., ce qui visele tercet aux VD. de 1'hy. a divers dieux lJ 1.3. Mais, ajoute-t-il aussitt, a la place

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    Ce qui suit ne reprsente a aUCun elegr un commentaire eles hy.au x VD. Dans la majorit des passages, nous ne serions en effet pasen mesure de nous carter valablement du point o sont arrivsOldenberg et Geldner. Rien ne sert de formuler un dsaccord,voire un doute, si ro n n'amorce pas de dmonstration. Notre taches'est borne, d'une part, a suggrer des amenclements ele eltail ala traeluction ele Glel. ; de l'autre (et surtout) aelgager ele nombreuxfaits ele smantique, choisis a mesure que se prsentaient a nousles mots ele ce groupe el'hymnes. On ne trouvera pas ici ele traeluction, comme celIe qu'il nous avait t facile el'tablir pour les hy.a u :las; les conelitions taient absolument diffrentes. Enfin,

    nous nous sommes limit aux hy. qui on t chance el'etre authentiquement ddis au x VD. (ci-elessus p. 4).1.3. lIymne consislanl en tel'cets a Divers (ci-dessus p. 8) , typed'invile au sacrifice. Le tercet 7-9 (avant-de1'lliel') est ddi al/X VD.7a. ma, hapax, eloublet el' 11ma: singularit des p. au x VD.,

    comme himaya 9, done la restitution d 11mc7saJ: (d prverbe antieipant Sur d gata b ?), approuve Olel., n'est pas ncessaire, etd'ailleurs no n elonnc pa r le pdp. ; un theme ma est soutenu pa rle groupe man (omn) omyao, su r lequel v. Old. ad 1.112, 7 Glelael 1.34, 6 6.50, 7 N. (ubi alia) Berg. Qu. Hy. p. 43 : l'attache aav- (-) favoriser es t ineliscutable, la nuance ou co-nuance de froid n es t a carter. - c a l ' ~ a ~ d , peuple, tribu est indiqu, ieet ailleurs, d. v i s v c a l ' ~ a ~ 1 = k r ~ t i (lVIeillet BSL. 22 p. 18). Laelifficult commence avee l'aeljeetif c a l ' ~ a ~ d , rare el 'ailleurs mais

    que semble confirmer RV. v { c a l ' ~ a ~ z ' , AV. pl'o (Olel. ad 1.109, 5) :aeljeetivation spontane au sens ele favorable au x peuples )) ?7c. dc7svd,!1S0 d c 7 h ~ a J : : rciprocit eles actes vel., les VD. sont dodes hy. aux VD. on uLilise eles hy. a elivinits multiples. Cette inelication (relev eeljit pa r Roth p. 167, :;oa9gurusi9ya ad 1.1:39) situe le Nir. SUl' un autre plan quel'Anukram., laquelle c,onna1t en granel nombre les affectations au x VD. Le Nir. noteenfln que, selon Sakaplll)i, on appelle hy. allX VD. tout hy. (ou lment d'hy. ?)a ~ ' a l l t le mo t u{iva po m liliga.

    La Brhaelelev. 2.127 sqq., apres avoir rappol ces opinions et cit une srie el'h)'.au x VD., indique que le terme VD. a valeur collective (visva = sal'vrlvrlpti) 1:34;que tout hy. ou lrnent el'hy. adress it elivers est en fait aelress au x VD. 1:3:3;qu'j] y a c!'ailleurs certaines elivergenees el'interprtation (vipl'([vrlda) 1:31; enfinque les by. au x VD. sont ele trois sortes, a) sryaSa1!ls/ava, b) visuaZiliga, e) pr/haksluti.Ce texte marque la tenelanee englobante et annexante, pa r contraste avec le Nir.ainsi se rilte jusque elans la Iittraturc dielactique la bivalenec de ces hymlles.

    - 13-. t l' s comme les autrcs' f id 'le l'est et ll1versemen , es unarce que eur 1 e'tant possesseurs d'un hommage/elon.

    e " l' rt au sacrifice (sut), ele l' auLre8a. Sur aptl', aSSOCle ( .une PN GI l 1 9 58 l' 61 13 ' 68, 8't (il1nll) ve. c . , , , ,a 'ide de VI esse )) . 'd'" 'TI' lne \XTo1'tkunele p. 7 tra-1 23t: n er111er 1levLders VaruIfa p. D: e a h 1 105 11 etc.Il s'agit d'unversant les eaux ), d. tClT'antct/;l: t p . e l : v a ~ t dA modele, aptztl'yafait caractristique, d:un. are 1,e 'ype GI(l ) J. t ' ntOlre deCISIVe)) ( . . ,3.12 8 q1-11vaU a . 1 rltrl 7 eomme gatam/ 11' . t lnexpreSSlVC (e gu Lo ,8b. ganta, vanan e "- d erbe Degr plein, influencet 6 60 8/9 et souvent ans ce V .ac 1Cl am . ,possible d,e yanta (yam-). EVP" 4) el'o vache )) (sy mbole de8c. USI'I1, .({ a ~ l r ~ r e ~ N . ,

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    no n lypiquemenl, puis au u. 9)' .ailleurs ce son! les dieux)' l'numralion abruple da u. 3 est un sIgne de la facture des hy. aa x VD. _Su r quelques rptitions de formules de cel hy. dans d'allires, u. Bl .Repel. p. 45 et suiu.

    la . Les VD. sont ici tous les dieux ll, non les Tout-dieux ll,d. 2c : il s'agit des personnages qui vont etl'e numrsau v. 3.De la la dissociation visuebhilJ .. deubhi!l. - Eifer Gld. ici etailleurs pour duas (meme avec les implications donnes Gld.Nachtrage ad 1.4, 5) es t malaisment acceptable. Gld. lui-memerapproche avec raison de duo g{ralJ le duuasyaia .. n l ~ s ~ z i de 6.15, 6qui signifie videmment gratifiez (Agni d'une buche), chantez(le) ; ibi d. d dzuas rpercute ul'ya et signifie don . Donc icidon (consistant en) chant ou don (et) chant ll, asyndete connue,surtout propre au x mots brefs de structure quipollente. I1 est vraiqu'en d'autres passages, duas se rendra plus commodment pa rhommage OU bienfaits ll, ainsi 6.15, 6 7.22, 4, duuasyati tant il rcompense 3.51, 3. L'ambiguYt relative du mo t vient de cequ'il s'applique tantot aux dieux, tantot aux humains dans leurrapport avec les dieux. En dpit du to n radical, le mo t est un nt. sg.(non un abregement de *duuasas) ; le ton suffixal 1.168,3 marquela valeur agentis donateur ou bien (1.165, 14) la tendanceinfinitive en vue de donner . Cf. N. (sous dlluas), Hill. Liederp. 69 n.

    lb . y k ~ i , Old. ZDMG. 55 p. 314; rciprocit des actes, yaj- sedisant ici de l'homme, ailleurs du dieu. On peut entendre techniquement rcite (en hotar) la ycijyci ll, sens qui conviendrait ad'autres passages encore ou figure cette forme archai'que en -si.2b. Les penses que tu formes au bnfice des hommes et queceux-ci traduisent en poemes (dh).3. numration en anacoluthe, comme souvent dans ce grouped'hy. (ci-dessus p. 5 n.), avec dbut typique en (indra)uciYZl et

    finale collective (les Aditya, les Marut).4a. ualJ, Datif, en fait semi-expltif ; cf. EVP. 3 p. 69, a quoiajouter OId. ZDMG. 55 p. 309, 59 p. 360, 362. Simple soulignementde la seconde place du pada (initial).4b. Jeu sur le theme mad-: m c i d a y i ~ ~ H jouant le role d'unfactitif a cot de matsCll', ramen pour la circonstance a mdatien face de mcidyati)' maisal'a Kav. goi'sme pa r sentiment dupronom mad.4c. c a m i l ~ d rsume la locution canwJ:, ou c a m z ~ u -sad- (caractere abrg des composs d'origine verbale, avec chute normaledu prverbe). Sur camzl, OId. ZDMG. 62 p. 459 et ad 1.28 Gld. 3

    -15 -1 bl .el et terre ll, ne tH111. Myth. 2 1 p. 417. Le C ou e sens c \p t lI s qu une implication:69, 5; 71, 1 (etc.), n'est ici tou au p 1lointaine. .

    5a. Retour a Agni apres l'excursus 3-4, reprise de la mentlOndes KaJ;tva. t d' t' t de stZmo cf 1.142 5 ou figurent5b vl'kt es t sans dou e lS mc .,. ' . ., '. ' strncincisah .. a l ' h i ~ et vf11j (qui s'applique aUSS1, au m o m ~fOlS , . .bal'his) L'ide d' abattre est proche 1.63,? 'md1rectement, au '. . t l' obJ' et (implicite) du verbe, qm ad e vers 1' ennClnl es ')ans c " ' ,! donc tu renversas (1'ennem1 comm,epour second) b C l l ~ ~ ~ , locution authentique doit etre b a l ' h i ~(on r e . n v e r ~ e e 72 4 ' 39 2 (hy. aux VD.) prsenterpl'-ul']- (scll. : agnau), cf, . , d ' f ' ) d'ou vl'ktbal'his pa r1, " 't II (en bonne et ue orme ll, , , ,la ltIere-n ue, e . , * ravl'ktao Il est vrai qu'on trouve aUSSlabregement d un ~ a l m s e ) p " lltot la 011 il Y a double sens.Vl'j- seul (sans preverbe '. mms p 1 72S'ur bal'his en deruier, Thwme ZDMG. 107 P 'n . 995c. ClI'c;'!1kft, Gonda Comm. Vol. F. 'iV. lomas p. qmrafraichit ou renforce .

    h typiclue pour le sentiment dub. vhanti vhnaya., passagemOL vhni (ci-dessus 1.3, 9). 1 VD avecd t co mmun dans les ly. au x .,c. Forte ellipse, e ype 1 t d1 ' l'ide d' amener est aten e ansn verbe modal a supp ertout l'hy. "7a. Les dieux, dont yjatl'a ( y a j a ~ , y a j l l i y ~ ) est une e p ' t c i ~ ~ ~ ~ -, . "van se dlsent de 1homme. - l , ,tante, alors que yayu, ya , le Rt a ? 1 es formules 1.23, 5. o' t le Rta ou accru pa r , '-'. . qU1 accr 1 o" t 1 t dance passive des noms-racmes9 108 8 et plus generalemen a en S 'dh., , , . l' t vers ce second sens. ur V[ette IJOsltIon nous 1nc lnen " t d 1en d 3 43 3. V. p. artaval'diya est a ecar el' e aem1-suffixal, Gld. a, . , 66

    comparaiso? Benvemste B S L . 4 ~ 1 p. 286 = Kl. Schr. p. 271.7b. p , i d n v a ~ i , dY c l ( ~ l t I ~ ' a n t ! ~ e c mdholJ 8 et mdhunalJ), un7c. ma wa., en . , _ b' q e l'Acc. : celui-ci figure au1 n apres pa - Olre U ,peu p us ~ o m f m,ult , l' l'adJ' ectif pithete. _ sujihva exphqu pa r10 maIS aCI1e pa8' : V ~ c , prmonitoire. ,

    . 'aira et de mots prcdemment poses.8a . Repnse, de y 'd J)I'al prlude au w m u l du sk t8 'rztkl'fr nt sO' a ve r , " , ,c, v a ~ u . '. ' . ",. *1 -, lf 'iin'est d'ailleurs usIte qu apresultrieur, qm dOlme1rmt 1 wlamb}unakl'ti. ler- dans l'emploi conmlun invariant, sauf C ans ,e r ~ r e I " .de noncer une interJectIon. . . , . A (indirectement voque lCl pa r l ~ a r b u d h )9a. L'Aurore elle-meme , 14 9 1 ldm (lment ldm expltifes t dite .maner du rocana . , .

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    -lG-Waek.-Dcbrunner 3 p. 559), hapax, eontient un d, soit prverhe(cf. 1.1, 2 s devdd lz v a k ~ a t i ) , soit prpositionnel, soit enfinadverhial (nuanee de ee qui est approximativement le domainedu roean JJ). La premire valeur est la plus probaJJle.

    9h. u ~ a r b d h , p. ici de circonstance : eeux des VD. qui sont _eomme Agni 1ui-meme, 1eque1 est UO de maniere attitre _ des uO ;le mot se dit des dieux en gnral 1.14, 1 el 9 (hy. Aguij, po"ihlement des prMr" 1.92, 18 (by. l'Aurore), des animaox tirantle chal' des Asvin, dieux matinaux, 8.5, 36.

    lOa. "ii" " , t l;"e av ce d,,bh "n "-eut.eu do (el. lb e)plutt qu'a, , , dMman Janert Dh{;.

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    -18-pour nous ; su r le mot, EVP. 3 p. 26. - kl'tu (ibid. p. 59, a quoiajouter N., Silburn lnstant et Cause p. 24 et 120 lVIinard Troisnigmes 1 596b, 2 809 b) : iei, nettement, inspiration, ideforce)) (( force)) situe dans la tete selon 2.16, 2). Ailleurs kl'tuest el'ord. un terme assez gnral, qui se situe a l'intrieur despouvoirs et ve r tus exemplaires el'un personnage, en inelinant soitelu cot de la force )), soit elu cot ele l'intelligenee. Le kl'tu estle signe el'une eertaine elomination : en transfrant la fonctiond'Asura a Agni, les dieux on t agr son kl'tu 7.5, 6, et le mortelfavoris eles elieux habite)) (d k ~ e t i ) le kl'tu 1.64, 13. _ le lajuxtaposition bhadl'd1:t kl'tava1:t masque peut-etre un eompos* bhadl'kratava1:t puissent (les elieux elonneurs) de belles inspirations .. )). - visvtas rappelle le theme des VD.lb . udbldd.' apparemment, a 'origine, un terme ele jeu (ef. 8.79,1 10.116,9) Lelers Wrfe1. p. 50 ; p. elu poete 1.102, 9 (done, envoisinage avec notre passage iei) ; du soma jaillissant)) 1.139, 6(ci-apres); prminent 5.59, 6. ld-bhid- es t se signaler par))10.45, 10. Cf. encore TS. 4.3, 12, 1.

    2a. rjynt.' l'emploi du terme et le contexte sont en faveur elel'interprtation ele Glel. ; toutefois le v. voisin 90, 1 ci-apres indiqueun lien entre rj et le dieu.

    2c. lpa-sad- au parfait : possder J), comme a la suite d'un siege )) ; le sens de investissement)) n'est pas inconnu dans les Br.et es t peut-etre a la base de l'emploi elu mot dans le Rituel pourle nom-rae. upasad.

    3a. nivid (sur le mot, Scheftelowitz ZDlVIG. 73 p. 36, qui serfere anotre passage p. 37) : sorte d'invoeation, sous la forme el'uneliste qui comprenel surtout eles Aditya avee Bhaga en tete, puisVa UJ;ta , Som a, les Asvin et au terme, eomme souvent, une Entitfminine. C'est la matiere premiere des hy. aux VD. lei, en toutcas, le mo t s'applique bien plus topiquement a une semblablenumration qu'aux formules banales eles vv. 1-2 (Glel. hsiteeependant) : el'ou suit que pzl'va eloit signifier traditionnel)) etnon preelent )J. Analogue 1.96, 2 (avee la note ele Glel.) ; la nOimplique une eulogie (4.18, 7), mais elle est assez eonventionnellepour faire contraste avec les dits vridiques)) qu'on formule al'adresse des dieux (6.67, 10). Glel. 1.86, 4 et 162, 7 earte aveeraison eles emplois de mda ou mnman au sens de nO.

    3b. aSl'lh (ei-dessus 3, 9), p. naturelle ele dk}a russiteexeluant l'ehee J). Su r d k ~ a , Hauer Yogapraxis p. 144 Old.Weltanseh. p. 69 et 232 Noten 7.1, 2 (sur la rae. d a k ~ - ) DumzilDieux indo-e. p. 57 Desses latines p. 94 lVIinard Trois nigmes11. ce. Gonda Sorne Observations p. 5, etc. ; terme eomplmentaire

    -19 -. t' e la ralisation concreteele kl'tu et dsignant ~ ' e f f i C l e n ~ e ,ra IquNoter l'interruption queque con ere la possess.lOn elu l'r uh au x VD., pa r eles pithetessubissent ces num ratlOns, elans es y.

    ou eles e l ~ t e r m i n a n t s .. , .' , ele ehose bnfiee (yd ved sivl!l tn3el. mayas, mo t fige . llelee ore que agrable )); cf. EVP. 3't ' BR ) pus ene el'myah TB. CI e. t At elle el'une strueture )), une. el "r e est peu -e le e . .p. 104. L' i e premIe 1 t les smantiquement VOlsms force)) (rae. mi-) eomme elans es el nvyas et pl'yas. t

    . ( , aux entits naturelles )) : no el4a Suite ele la nlVld, e o n s a ~ r e e , k' t 3el Arehai:sme ele la. t ' onel a mayas Cl1a. )que mayobMl, a e . 'h Le verbe omis elans b (et e seformule mata PrthlDLjplla_ dyau('G' el) u s'antieipe ele snmtam el.ele vatu a . o el esdduit p a ~ ~ zeugma l' Toir l'ellipse ele donner)) ans eIl es t el'arlleurs eonstant e a,litanies au x VD. d A" (des dieux en gnral 3.22, 3,4d dhisnyii, p. stable es StVln loye' e pa r les Rsi eomme un. . . ) 1 blemen emp o 'tseeondairement ? , pro)a . Le eyele des Asvin en conbenterme traditionnel devenu l ~ e l 1 ~ 1 9 ,360 et ad 7,72, 3 Fest,plus d'un. Sur dh o, O ~ d . GG 2 1 P 430 Minard Trois mgmes.2Hillbrandt p. 144 HIll: l \ ~ 1 t ~ t r e s l!en avec h i ~ ~ 1 i i (qui toutefOlsR 67a Hill. constate apres a A' ' ) ce qui pourrait donner' . , 'alement aux svm, , dne s'apphque pas spee,l . t' oe'tique )) (sur dhisl)ii, el- essous' ( 't r) l'lnsI)ua IOn p , . ( te) ' propres a susel e (R't 1) d'ou el. marson)) e ,p, 54). Le sens ultrieur o y ~ r ):'t l l ~ e f ~ n d e sur des p. figura-t ' , '4 3 6 . termmologlC II ue est an IClpe " .t 'ves des mantra. 1 bl l ' ce qm appuie l'hypothese que a,5. Strueture ana ogue a 't 5ab est ncessairement a't dieux En tou eas, , t dess'adresserar aux '. t l dhiyamjinv.' maJora IOnPsan qui ailleurs aussI, es appel VD. " ., tnsant les 1y. au x ,qualits d l v m e ~ , earae ( ') seul ex, du mo t au pI.5e. vdas, nehesse acqmse )), _d

    '(' ' t) initial de ehaque pa aStructure avee svasti mvanan , dessous 10.35, 3-12 ;. , fl ' l ' ele 5d) eomme e1-faisant suite a svastz ee 11 '" 1 5e ce qui corrobore'" 1 b se rattaehe a veG as , t63, 3-14. Vlsvavecas "das richesse)) (ailleurs, on peul'appartenanee du eompose a v equis))); cf. Old. 2.17, 6).hsiter entre r i e h e s s ~ ) et , saVOll ad SSl vrdhe 5a. , l' 'pvl'ddh b repren au o, f 10 178 1 ou apparalt aUSS1 e .o 6e. T a r k ~ y a , eheval solarre, e , . 'h des Asvin ou d'Indra. . , l'que en propre au e al' . b d l'itaneml, qm s app 1, d t A ' tanemi un gl'iimm,1i, su 01' onn(3.53, 17). VS. 15,18 fart _e?ea Tarksya qui est un senam.

    , . 03 11 - vidiha, EVP. 3 p. 36.1. subhal!lyvan, el-dessus ,.

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    - 20-. 7c. Ces Manu sont-i1s les Rbhu codll'e des hommes elevenlls dtel ("" mm e le pense G1d., c'est-a-

    1.11O, 4)? JI semble p1utot s l ~ r a c a i " I ; ! a s .est p. eles IJ-bhuc?llective des elieux (Berg. 1 p 69) ' ~ 1 C l n a u a f " S ? l ~ une dsignationcl-eless.us p. 10 le 1ien entre ~ l u s preclsement des VD. (cf.cellX-Cl mamlsah 10 63 6 c' el . t Manu), comme on appel1e53, 6 (mnll1: bllau'a) '. (llg- ~ . S . S h O L ~ S (ele fagon, i1 est vrai, incertaine) .l" ) 1111 ua est auss' " ,eleux en gnra1 des VD '. 1 une ep. typique desdivines, les VD.' sone la p'l en pa l1tIcuher. Parmi les col1ectivits. us proc le des humains.8. Smte de la dprcatl'ollt . avec bhadl" .e. qm reprenel hadl'h 1 et ')' A T _ ,am qUl rappelle suast{ 6Vle elveloppe 2d et s ~ r a r e ; ~ ' i s pada cel, le theme de la longue-9b. kr- au sens l' . t' o , ' C lns ltuer 1ars (ton de jar) . le t " con;me chc7- dans deuhita _"". ,erme appel1e ayas (d t d' " 8 .on a ayur al'sam 1018 6" . ." e eJa el) commeconti . , arasam ayuh A V 1 30 3 'Irme que tamhih 8 est b' " ' , . tamnc7mnous A len avec des eo '-memes . tam est souvent (' .' . lPS, non aveecf. MhBh. 12.262 2 Poona o' 1 tmals non lel) corps mystique9 1 ' u e erlne s'oppo " - ,c. madhy .. gntoh ef k ' l h se a saril'a.

    r . l ' . . m al' o 1 115 4 ') 38iCll' uam 10.61 6 sis au In'l' 1 . . , 4, el'o 1110t . t i ' lleu c u travail (1es ' ll1 l l l . galement 3.54 18 ._ I ly . au x VD.) ; gntohyolontiers de la vie eomnde c ' t S ~ o u s . La base gnlu se clit, aUSSl ga [l .1? ~ ~ a r ~ e t e . r e tardif ele eette str. finale . /la generahsatlOll elu role d'Aditi et le . HIlI. f I ~ y t h . 2 2 p. 9o, vueles Vel., eette str. n' a rien 'l f' I falt que, a part la mentionhtro ' e aIre c ans l 'hv . b d 1gene, comme si souvent et no t .J " lp e e c ausuleNoter toutefois c[ue le n cl'Ad't' fi a m ~ e n t dans notre cye1e d'hv, . 1 1 !gurart 1"', J sm ce nom, Goncla Some 01 ' ceJa au v. 3. En dernierici 1" d ' f ~ " Jserv. p 76 et 83 O t.1l1 llerence du mo t dili au x clf' . . ' n veu marque!'matIcal (sexe) du clomal'l' 1 erenClatlOns du genre O'ram-" , spa la et tem '1 tlCllW,l, v. notamment HilI. ZI I 6 1 . P O l ~ . - Sur les pi:ca. p. 74 , Veche Index S.u.

    l. Relalions de dtail auec le r;" ,svastl, repris ici par mdhu 6-7 t ,P ec .. ,theme du uent, cadre en 'Facture nwnl'Cltiue L t' e sam .9. Tendances atltaruan iques1 o' " a men IOn collectzue des dieux figure u. 1:l a. 1 llmiL, Instr. rgime interne de f' ,c essus. n-; e . l'luyanl 89, 2 ei-

    lc. deuaf!l s a j ~ i h . c[uivaut 'a u{suebhir deubhih 2a: Les clieux en gnral _ . _ . .modlfie allitrativement . . v a s ~ l U : l 1 1 a , pseu do-particille C[lI i'll un anClen 'u o.ar eurs, le terme figure sans ro'ime asuo 'isc7nc7!l ou analogue'tl , eomme p. el'Inelra. '

    1IIf

    -- 21 - -

    2b. pmml'Cl, en apparenee su r mll'a, en fait sur mw'-: impossibles a sarsir pa r violenee (de mt- 1, Thieme ZDMG. 66 p. 232sur eette raeine) ; cf. abhipl'aml'.2c. u i , ~ u h c / , Old. ad 1.25, 12. Ie i le te!'me voque inelirecternentles VD.

    3b. amilc7 ml'tyebhya!, antithese connue.4a. ul...ciYnlu ds-empiler, d'o dgager (un chemin)),rnais aussi distinguer (d'o [re-Jchercher post-vd.), qui

    eonviendrait secondairement ici meme (avec j eu, ctttim citli/lcinauad v{ 4.2, 11). Terme usit au jeu (cf. 1.132, 1), sans doute dgager de la masse des ds celui qu i assure la victoire ;d. Lders Wrfel. p. 45 Caland ZDMG. 62 p. 127. Iei, eomme6.53, 4, le mo t p ( d h ~ est rgime et P ~ a l f est sujet ou tmoin.

    5a. ut es t d'aborcl eonneetif (Gr. vVB. ; aussi adversatif, ut ... ut1.153,4 j'admets que .. mais pourtant ), mais il figure avec un efaveur particuliere clans les phrases optatives (cf. lato utinam). -gagl'Cl, liU. propre a aboutir (eomme point eulminant) aun donde vaches, expression conventionnelle de la richesse. Repris1.92,7 en opposition avee svabudhya (EVP. 3 ad loe.), qu i prcisele sens de gl'a (cf. gl'a(budhn, passim) ; mais simplement aveesvapesas 2.1, 16 {;vivant 1.53, 5 (o Gld. suggere une autreinterprtation). Ces formules semblent devanee!' les eompossclassificatoires cl. en c7di, anta, etc. (aussi V 1 ' U l 1 a S e ~ a s qu i sevoue exclusivement aVarulfa ?) ; nanmoins on peut se demanderdans queHe mesure on a le droit d'introduire eette eatgorie elansle RV .

    5b. Deux Voc. eontigus de noms di'vins, fait rareo - evayual1:le membre initial ost neessairement va marche (sur le mot,N., Venkatasubbiah Ved. Stud. p. 280), di t de prfrenee d'unemarche l' ai:Jide d'une eourse : ainsi des Marut (5.41, [) ei-dessous),ici du dieu aux vastes enjambes Vii?lfu. I l n'existe pas de vaadjectif ou agentis, d. Gld. Mais le termo s'omploie aussi au fig., eomportement (( intenLi on Glcl. 10.73, 2 est sans doute troppreis), notamment clans l'Instr. fig uaif" clausule semi-inerteeomme dvitd, imn, svadhyi (cf. vai!l. .. v ( [ d h b h i ~ 7.104, 9) etautres; sua{1' u a i ~ ipsa sponte 1.62, 8 8.18, 13. Sur la locutionCll'y vai{L 4.2, 12 (o ua estli adbhuta), Olel. ZDMG. 54 p. 179 n.Thieme Fremdl. p. 40. Meme valem fig. dans evthc7 N. (autre,Old. 8.24, 15), dUl'va, *sveva altr eIl Mva d'apres Siu (cf. sLlsvauaif, 5.41, 5 ci-dessous). Quant uayi (van) - Goncla Vii?lfUismp. 57e t 109 -, le sens est galement figur 6.48, 12, que Gld.traduit librement pa r complaisante avee ses faveurs. ua adisparu apres le RV. ; clans l'AV" yavayvan masque un ancien

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    - 22 -evaydvan d'apres le contexte en yva. evaydmarl/t 6.48, 12 queGlel. traeluit (( ( V i ~ 1 ! u ) avec qui les Marut vont volontiers signifieplutt (( avec qui sont les Marut (, euxqu'on nomme) evayd(van) .5d. svastf,' l'emploi marque le lien avec 89, 5 et 6 ci-elessus.

    6. Appel aux lments (vdta comme 89, 4 ci-elessus), poursuivi 7et 8 (7c tant analogue a89, 4b). Dans ab il y a un zeugma paral1ele(et inverse) a celui qu'on trouve 89, 4. mdhl/ en fonction semiadverbiale, comme svastf 89, 6 : (( bnfique comme du miel soit... ;mdllll varie d'ailleurs avec les drivs mdhll1nant et mddhvllJ(ce dernier, fait su r l' analogie ele ndrl, type Debrunner Suffixep. 415, (( faites de mdhl/ ).

    7a. llktam et l / ~ s a l l ne sont pas eles Nomino (fonction inconnuepOur nkta elans le RV., VVack.-Debrunner 3 p. 233), mais elesaelverbes avec elsharmonie casuel1e elu type nktam/d{vc7, frquenteelans les localisations tempore lles. Done, mdhului-meme aelverbialinterjectif.9. Reprise ele noms elja cits 1, 4 et 5. I1 s'agit sans elouteel'une conclusion valant pour les deux poemes jumels 89 et 90.1.105. Hymne d'Uihc7sa ((( TrUa au Puits), travesti par l 'Anukram.en hy. al/X VD., en raison de l'invocation rpte faite pa r TrUa,soit au x dieux collectivement (3, 5, 12, 14, 16, 17), soit a elle divinit.1\1ais les VD. ne sont ni nomms, ni impliqus.1. 106. Lien avec le prcdent (6b), mais nettement du type (( VD. ,comme le mOlltre l'nwnralion iniliale' el la srie des noms divillS

    sommairement dcrits. Le refrain final n'apparlient pas a l'hy.(EVP. 2 p. 40) J' le refrain intriel/r scande le theme des vsu et dessuelnu. ,

    lab. numration ave e lnelra en tete (eJivinit principale eJespoemes voisins), coupe pa r le Dat. tye. Entit fm. en finale (b).lel. On a ineliffremment f!1haso pr - ou ,!lha ti pr - J' pipartin'est pas (( aieJer, mais (( faire passer, f. traverser; sur qlhas,Gonela l. ir. J. nO 1 p. 33.2a. Sur les Aelitya (qui, ventuel1ement, sont les Marut), Hill.Myth. 2 2 p. 290 se rfrant a ce passage ici. _ sarvtc7taye, (( pour(nous assurer) l'intgrit, srva (sur quoi V. Gonela ChatterjiVol. p. 53) au sens ele lato saluos. Meme valeur elans ari#tc7ti, r i ~ t a voisinant avec srva 1.49, 2 ; elans quelques autres mots elesens analogue, a nuance bnelictive, apres le RV. DebrunnerSuffixe p. 621. Meme emploi ele sarvtc7li ci-dessous 3.54, 11 10.36,

    - 23-Au contraire, sal'vtctt (elont l'unique4 et 100 1 Gonda p. 57 sqq. ., 'voque entre une base' -t - t' l est vral eqmforme atteste, en -t_a a, es Olld ZDMG. 55 p. 302) signifie (( pour

    -tc7ti- et une base. -tat-, ~ f . . . 6 3 ou plus simplement (( touscomplter une srre numerrque 4i2 , ntexte elcide. Il existe uneau complet 7.18, 9 ; 57, 7 etc. 't e clo 'tm et devtmi, ci-dessous' 'alement en re Geva " ,variation de sens eg. . les loups = (( ele mamere ap. 101. Le Loc., vrktcth est (( P : ~ ~ n e l i c t i v e inverse) ; le Loc.etre la proie des loups (nua.nc 74 8 3 (1.151 5 douteux);Llpal'tmi (( parmi les a d v e ~ s a r r e s la' vrit Gld.') peut reposerla forme satytcttct 10.111, ,( ~ t S . U l 1 122 5 ci-dessous. Seul estaussi bien sur - a r-,. 1 ffi' ale hanale statiift m (( el _-r Sur vasuta r v. ., '( ) H 'msans amhigu'it et de va eur su IXstatte . t b au1915 915 (( a qui convien un e3a. supl'avclcan, Old. GN. p.:;; On prferera (( qu'il y a. , t d a un beau PI .pro ou (( qm s en en el des mots en suo+-ana-.I)rofit El acclamer, selon le sens usu e quasiment (( rclame " a est (( annonc , "n tout cas pravacan "1 05 10 et }Jl'avacya,10 35 8 ' } J r a v a c y am . , "t36 1 et ci-dessous . " _ '/11 (( chose digne d e re. , 1 't ' . sLl}Jravacana , 1formulaires-parent le lques, 3 ( . ous a fait de la rec ame' 'b'd 12 et 4. 36, (( ceCl vroclamee 1 1 . )aupres de .. , El s a ~ o i r V O ~ S ~ ~ l duel pour le couple Ciel-!erre,3b. Le geme fem. ~ r ~ v a u . l'ailleurs, pitl'cl, forme qm e l l e ~qui est d n o m ~ m ~ t ~ 1 ' a ( a ~ : l , .c I'dasl (ci-dessous p. 39) es t ~ U S S lmeme es t parfOls trartee en fe t) " cienne appartenance a 1'0das ,devenu un fm., abandonnan o u ~ : u t a n t qu'on puisse dceler m;et les autres noms du couple, p -t ' ,_ 1 140 3 est accompagnegeme, s,ont. fm. I n v e r s e m ~ : ~ ~ r : ~ ~ t ~ ~ ~ u r ' le du , c i ~ l d { ~ / ( ~ y J'd'un adJecbf mase. !l y a fl d lel fm. dyavaprthwL. _. 1 l" 4 56 5 resserre un 1 _...la forme ISO ee Gyam ., ( ' . mme hahuvrilll, amSl quedevputra, . terme h ~ ~ r ~ t i q u ~ t l i ~ ~ l l : ~ u r e kUi?a1!a S. Lvi JAs. 19344.56, 2) qm sera repllS a ns a1 p. 1. 4 49 GN. 1915 p. 210 Noten4a. Narasalpsa, Old . ZnMG ' ~ o n p. 164 Hill. Myth.2 1 p. 1081 7 2 2 10.182 2 Kerth Rel. g . p. l'fi te adresse pa r lesac ., . ' 19 RCltatlOn-qua 1 lan dDumzil ServlUs p. 2, . aturellement ambigue, cf. Gl .I1l ou El leur adresse : exyresslOn ,nharmonie numrique frquente'd ') 16 4 - vcljyan .. rmahe, des . t 011 ZDMG 55 1). 308 ;a u. , . 't au sUJe c. .avec un participe presen a ~ o : t un aspect spcial de l ' a n ~ c o h - : t h etudes de gr. skte 1 p. 44. e t au cours des numeratlOns1 VD notammen , d' t' g'uerhere qUX 1y. ., , t rimaire en -y-, es t a lS m(ci-dessus p. 5). vcl]y,ant, p r e ~ : n . p d'un prix (pour la victo re ) ,du dnomin. vcljayft (( f a r r ~ Cl1eu l'un a l 'autre emploi Gld. acl"1 a eu deR confuslOns ears 1 y . '

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    - u ~4.1?, 16 O1d. ZDlVIG. 50 p. 443 55 L Aet lf}ay-, etc. ' p. 294. De meme entre if}y-

    4b. kf}aydo se elit ailleurs d'Inelra (1on pourrait aelmettre iei auss. "1 ' '. ~ ; ) , 3) ou de Rudra;',. 1 qu 1 s aglsse ele Rud' 1 t 1nom, .luge On1ll1eux est lJa rfo' 11' , la , e on enigmes 2 870a) f a ~ e u ' j' . IS e I p S ~ . - sumn (Minard Trois , l' e IVme ou aebyits 11 .eeUe faveur, terme rei Jroe umames provoquantMot de mantra. _ malze1el 'U;} '_ ~ m ~ e l S ~ l l n n a y - e t, analogues..' y a - ~ , Cl lmc l lF . 62 p. 219.,?R . . ; , q , ~ n t i t h s e de dUI'[J le.ab. sa,?l yok, amplification 1 ' ,Nauk 1957 p. '6') relie a ' . e e ; ~ a m (que Bailey Polska Ale. a 1 aeme SClm- en lJartant d .pms mettre en ceuyre fi . e convenIr )). )), en In se fabo' uer t 'Optunum)) Dumzil RHR 194748 )) e se reposer)))el'aprs Gld a' CIUOI' 1'on . 'f ' - l P. 9;) ; antcdent de ud., e pre ereracomme ailleurs pour notre sal t . t e sens purement adverbial- mnul'hita (d . ei-dessus 14 u11) n O f i t r ~ bonheur )) ; d. sambllll 2,avee Glel. ce qui a t fix p'a ]\/0 xe M a n u ( ~ ) )), mais iei,

    1 ' . 1 . , nous l11nplorons de toi ))6ab. Cf. l'introeluetion de Glel a 1 10 ' . . .kc7t n { b ( 7 I l z a ~ , d. hip 'vahitah 105 17 t l l : s ~ q u ' O I ~ l . 1 p. lOO, -logise. - allUad lltye ef l' t ' t .' C ~ l e . lel ; a11wllon d-mytho-, . lClva a 11 aye, blel.7 a. Tra tr (abonelanee des entit ' 1"au x ,vD.) n'est autre que Bhaga ' ~ ~ v m e s en -tr- e l ~ n s les hy. qm eles dieux est To ? )) ele ' cl . 1;;) ,64.55,5 (e t 7 Cl-dessous) ;'t . mance auteur el 45 5 1 1 'e an t elonne au v. 5. Le voisinage TOjAd 't ' , : . a. reponse7eel. Refrain eles hy. de Kutsa . V ' 1 1 x s t ~ aUSSI lbld., v. 7.eles Entits naturelles s'aeh t ' all UI,la et MItra en tete, puise\an pa r e eouple (fm. !) Ciel-Terre.1. 107. Fl'agmenl a ten 1 ' ,.' , . ' [, ances el1umel'allVes' les VDlOnnes, l 7 ~ a l s selllement les dieu;l'. (1 t 2) "1) . a', non men-avec l'etl'Cll11 idenlique. e . " ppel1dlCe l'hy. 106,

    " 1e. a l ' ~ ( T l c reprenel et souligne en in t . ,a. - V lsinage ele slllnaf{ et el ' ,entlOn loeale )), le prevel'be, . e swnl1Cl analog'e s ' t'pas neee.ssalrement mOI'lJh olo . , .' man 1que, non1l ' glque.e. QUl, (partant) ele l'troit me '.procure au mieux le large)) . (anguslzae), Slt eelle quieomme ai11eurs entre amh o p p ~ s ~ t , I O n , e n ~ ' e a,?lll et vl'ivas,?lllCls (d . 106 1 el'-el' t ' am I w a ~ 1 C l 10;),17) et un; entre. . \ , essus) e lll'USy- et J fi 1 'mnSI due a eelle d'un le 1 t fi' e; -Ja ma e el amh estS ' 110 ne 19urant el' a'll " 1;UI' ces formules et sur 1 t' 1 1 em s qu a Ab. sg.N a no IOn c u large)) GI l d 9 96 3umen 3 p. 63 I. ir. J. nO 1, 33 V. .' Te. a . , Gonelat t p. , IsnUlsm 1J 61 et . ,.es sen 1 elnme le nom d ' a e t ' i' , '. . SUlV. val'lvassubstitution _ plus frquente' re1;nc a uru ( ~ l l : s i 6.50, 3), ene val as et de v a l ' l m a ~ l / v a l ' i m ~ 1 .

    - 25 ~2e. Ailleurs indl'iy est substantif (nt.) nature el'Inelra )) ee rareau pI. lei, e'est une projection plurale du eoneept el' Indra, eommeon a, plus frquemment, les Rudra ou Rudriya, les Agni, les Soma,les Mitra (7.38, 4), les VarUl,la (? AV. 3.4, 6), Brhaspati avee les1}kval,l 7.10, 4, Bharatl avee les BharatI... Sarasvatl avee lesSarasvata )) 3.4, 8 (dbut eles elrivs majol'atifs )) que dveloppel'AV., EVP. 3 p. 116). La eOl'rlation voisine man'[o mardbhi!zconfirme eette interprtation, mandbhi!z tant un pluriel)) de111C11''fa!z serti eomme eolleetif. De fagon plus banale, on a krlubhi!zsuk/'tu!z et analogues 1.91, 2.:2d. Bl. Repet. p. 117.3b. cno (eneore un thme fig en -as-) dhcli, satisfaire)) (nwUbhis cnohila!z 9.75, 4), cl'o gratif ier)) et, eomme tant cl'autrestermes, eonfrer, clonner)); substitut de can- rarissime. earterla traduetion frquente ele Gld. pa r clsirer)) (aussi pour canasy-).l. 121. L'Anukl'Clm. hsile su/' l'attribution de cet hy. Clssez obscu/',que Gld. considere C0111me indl'a'ique. IndrCl esl nomm de 11 a 14,postul ailleurs 1](/1' les allusions mylhirues. L' aflectatiol1 aux VD.

    repose [out cm plus sur un irCl[lestissemenl, el les VD. ne sont pasnomms.l. 122. Dbut des hy. difficiles )). La sqwmce des noms divins,marque ele maniere ingale el lroullle, pl'cede une longue danasluti

    (7-15), peul-etre seconelail'ement Cllnplifie. Les VD. sont cits cmv. 3 (el aL! COW'S ele la danasluti, v. 14). Varw.w(Nlitl'Cl enclwlnenl 6el 7-9, 1)[1is reprennent cnz;l'. vv. (11 el) 15.

    la . v a ~ , semi-expltif (d. 14,4 ei-dessus, en eontexte analogue) ;votre breuvage)) est une version illusoire. - pdnta(m) (d. Old.),Aee. mase. destin avant tout aviter un *pdt nt., type morphologique inattest, Lanman p. 507 vVaek.-Debrunner 3 p. 262 ; tuelesde gr. skte p. 28. Toutefois le sens indique un emploi de substantif breuvage)) (Jitt. ehose propre a etre bue))), en asynelte aveenelhas breuvage (somique) )) (ndhas plus tarel sera nourriture )),l'asyndte pdntam(nelhas ayant t eomprise su r le plan ele panabhojana ou analogue). Ainsi serait a elemi justifie la finale thmatique -lam. En tout eas pdnta (que eonfirment pdnlam U[/r111 le breuvage fort)) 7.33, 2, pdntam .. n d h a s a ~ le breuvage elesoma)) 8.92, 1) s'appuie sur le eluel pdnia 4, [/mnia 11, et d.dpc7ntamanyu qui (elonne) la Fureur a qui (en) boit)), eomme ona iei meme pdnlam .. m a l 1 y a v a ~ . - Sur le moyen bhal'adhvam,Olel. ZDMG. 59 p. 372.leel. Au x interprtations cl'Olcl. et ele Gld. sur eet hmistiehe

    a r

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    - 26-diffieiIe, on ajoutera (sans eonvietion) j'ai lou (= je loue encet instant : ponctuel) les Marut en qualit de hros de I'Asuradu Ciel (= de Rudra, Berg. 3 p. 34)), lnstr. de caraetrisation.Cette louange a lieu en termes emphatiques : comme si je prtendais (ainsi qu'eux-memes font) a (I'empire sur) les Deux Mondes )).Su r i}udhy- (isudhyli tant un hapax), N., Lommel {Z. 67 p. 16.Le sens de revendiquer)) convient 8.69, 2 et d. ci-dessous 5.41, 6et 50, 1. Appartenance probable a i}- (i}ati, {}yati) , a sparer dei} lclh , simple largissement de t} prosprit)) comme prk}dhlargit pik} , synonyme de t} (on a i}{dh a cOt de pik} 6.63, 7).

    2a. plnlva: le genre fm. prvaut dans U}lisankla (et, de1a,dans nkla isol) a cause de nkto}lisa; les noms de la nuit sontd'aiIIeurs du fm. - vavrdhdhyai, infin. a emploi impratif, propreaux passages de style implexe ; la valeur transitive rpond a eeHedu moyen vavrdhanla 10.93, 12.2b. v{dana, connu )) Gld., cf. vid}l 5.41, 7 ci-dessous ; slIrement

    pa s sage )) Valeur du parf. p. 158, mais on pourrait hsiter quanta l'ventualit de traduire se trouvant, attest )). Sur cetteforme, en soi banale, en liaison avec ay. vaedamna, Schmidt 1. ir. J.nO 2 p. 165 et notamment p. 175 Lommel GN. 1935 p. 149 HumhaehlF . 63 p. 102 n.

    2e. Le vetement vyta de la Nui t est celui qu i se distingue))(de l'usage normal, ainsi un vetement noir), d. pathi vyle 3.54, 9ci-dessous. On est tent de rapprocher des lors viyoli (4.55, 2ci-apres) avec GId. Toutefois, avec un nom de vetement (tli'Cl, surquoi Redard Fest. Dehrunner p. 360), on attend plutot tiss ))(d. vyoman), donc serti d'toiles )), eomme on a vyakta di t de lanuit 10.127, 7, ou pepist des tnehres, ihid. L'eIIipse de kc7...karenforce l'aIIure sotrique.

    3ah. II y aurait donc ici a la fois Vayu , die u qu i est dit aiIIeurspl'ijman, et Vata eomme 10.92, 13 ci-dessous ? Ou simplementvlila, lequel est aussi prijman 7.40, 6 : mixture de noms divins etd'entits natureIIes (d . prvata e). Sur prijman, Gld. ad 1.17, 22Old. ad 8.68, 3 Berg. 1 p. 181, 2 p. 505,3 p. 107 n. ; aussi 10.92,5 ei-dessous. Le Loc. adverhial signifie en (son) lan )), avecrfrence implicite au vento - vasarhli, hapax; qui frappe aumatin )) ? (de han-; mieux en tout eas que laissant derriere luile printemps)) de HiIl. Myth. 2 2 p. 294 n.), vasar tant un douhletde u}al'jvasan (l) dans leur aceeption premiere de matin )) EVP. 3p. 5. AIIusion au role matiilal et primordial)) du Vento On peutimaginer aussi une formule de hase *usrf prahli ou uddhli quisurgit au matin )). - v i } a ~ w a n t est ailIeurs attel d'talons));ici quivalent de eocher )), avec rgime au Gn. ? On prfrerasous-entendre npil, d. 4c et ei-dessous 5.42, 5h.

    I

    - 27-. ahoutl'ssent pareillement a. . t val'lvasy- .3cd. si- mgmser)) e d'hy _ prvata, dleut t dans notre groupe. 1 d donner )), sur . '1" de former dvandva avee nra .. 'ma i s qm a le pl'lVI egemmem, . . . fl pour. 5' d ssus - svetanliya1, semI-m m. 4a. ut hortabf, 90, e ~ - r b l ~ n c h i s s e m e n t (de la nuit) )) . .

    clairer )) = pour marqu A . 1 en t qui viennent hOlre ))4h. vynti! pnti e.st p e u t - e ~ r e s l m P l ~ ~ d i ) comme vltm pilm(( qui invitent a bOlre ))d s e r ~ l t ~ r o ! o t a m m e ~ t Gld. ad 1.77, 2)rapproch GId. L; s e ~ s e V1-, ;. uMj est un nom propre en VOlepartieulierement e v ~ s l f . - a u s 1 l ~ . sieurs autres (Berg. 1 p. 57, 2de devenir appellabf, c o ~ ~ e ; Burrow Centeno Univ. Madras,p. 322 et 347 Gld. ad 1.60, l ' ,'dl yai en liaison avec le frquentS. p., Vedic Index S. u.). -: - n l V ~ S o ~ r i ~ u e ) ) : je les appelle, et, enhuv, dont c'est un suh.sbtut l' par moi (me). Su r lmv, Old.meme temps : qu'ils SOlent appe esZDMG. 59 p. 3.55. . . hert (EVP. 3 p. 69) cite ce V. p. 9.4e. vaJ., la e l - d e ~ s u s , Lle 4. _ raspin, bruyant)) !3erg.4d. Les deux Meres, Berg. 2 F' est ermis de rapprocher ll'ClSy-1 P 60 ' plutot bomllant )), s Il p f 10 93 3 ei-dessous). _. , -' jil'Cljy et analogues, e . . , - . h d' ,(eomme on a. l'Cll.- -t' 1114 8 m na aya .. l'I'l}a., ouay (yul,. ~ l f f i e I l , e (. man ' . 88 Pisani BSOS. 8 p. 700 Benvey dans 1'11'1}1}ta yuJ. el-Edessdous,. PI' Bailey BSOAS. 20 p. 41.. t BSL 38 p 105). n ernle,nlS e . . 1 ' 1 ?

    A e 5e - I'Uvany, p. e e saf!ISG.a vah ei-dessus 4e ; de mem " . ah' 8 96 12 le chantre. . , At dans ma T'LlVany . , ,Un sens dfavorahle a p p ~ r a I ( "t lt ) M i e ~ x vaut done riger., d ' s erler en reeI al . 1 . dtant pl'le e ne pa d' divin sous-entendu, ce m enlVany (hapax) en p. . un n O ~ e s hruits et rumeurs. Type enBrha'spati pa r exemple, .sergneur 1953 35o L 37 32 Bmley Tran",. p.. t-anyu- BS . p. , 'P _ n ou mieux : mettez en ava.n5e. En(tonnez 1 hy.) )) POlt1:t ud9a ~ t r e louange de votre litame)4 plaeez en e e e , Z- 'ne(pl' comme e ,. Te attraetion d'un p } ~ w l ! 1 cava

    Psan pour qu Il donne ), a\ e t xt e infinitif. Le terme. .' souvent en con een p ~ ~ l . do, comme 'a r sim le eommodit, eompte t e n ~ Id' attraebon) es t e m p l o Y ~ A S 2 0 ~ . 279. Su r davn, b a s ~ t ~ P I des remarques de G o n d ~ B d' . eut affuble ca et la d un. fl T (mms secon mrem , oquement m ,1m Ive 472 n. ; ef. y .. snl i ,davne ceuxrgime au gen.), BSOAS. 2Q P'4 7qui sont prets a o n ~ e r 1 O . ~ " , . gnrosit Gld. On prfrera5d vastati(m), nehesse, l'oU d'un Vasu) (Old. : Vasu-. . d der essenee A fait pour Agm e poss 1 tes t repris 12e avee eette memeseh'aft), d'autant plus .q;le eSmol lois du driv, a cot ded " oSIte ) eu s emp . . 'fl'valeur (Gl . gene r . ' G l d 6 1 13) qu i dOlt SIgm Ielvaslta (pour -lata) (( par t a l ' t ~ o n l t e asu;) ' D ~ n s l' ensemble, il est. t al' ta qu a 1 e ee, .areIllemen p 3

    , a . S11

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    - 28 -malais de traeer une dmareation entre Vasu nom propre (e'esta-dire un dieu du type de la c1asse des Vasu, d'ou dieu engnral) et vsu bon, s'inc1inant vers gnreux, d'ou VSll nt . bien , s'inc1inant vers riehesses . En tout eas VSll lumineux ,mis en videnee pa r Rertel, n'apparat tout au plus qu'au voisinagede termes de lumiere, eomme dYll1nnni 12e ei-dessous ; il n'estnulle part neessaire, bien que reeonnu pa r les lexiques et remisen honneur dans le livya,

    6. Cf. Bl. Repet, p. 125 Lders VarUlJa 1 p, 129, _ b. visvtas,allusion indireete aux VD,6e. SllSl'tll (jeu avee Sl'tll et SrtllO) , qui coute volontiersGld. ou qu'il est favorable d'eouter. I l serait imprudent dedduire de tul'Iiti l'existenee d'un type stable, qui serait lepreurseur de el. sl'otukc/ma ou manas (Suffixe -tu- p. 23).7a, S h l ~ (aussi 8) est indifrremment des trois pers. du sg., maisla 3e sg. de sens passif ne semble atteste qu'iei (et 8) ; plur, 8.5, 4.

    Liste Delbrek Ai. Verbum p. 181 ;emploi Old. ZDMG. 55 p. 307(ubi alia). - /'C/U eneha'nant avee 0l'litiJ: 6.7d. p u ~ f { , riehesse agrieole ou d'levage (a cot de gya 5,10, 3),ef. p l l ~ y a s i 3.45, 3 et ai11eurs.8a, s t l l ~ e pourrait etre je loue, mais le paralllisme avee 7a,dbut de la danastuti, eommande (( es t lou .8b. N a h u ~ , patron aetuel ou plutot lgendaire, prototype (surle mot, BSOAS. 20 p. 478 Berg. 2 p. 324 n., Vedie lndex), de ce

    fait meme ambigu et tendant vers un emploi dfavorable, cf. 10 eidessous ((( en eomparaison [meme] ave e le violent N a h u ~ , vl'dhantappartenant a la zone dfavorable du voeabulaire) et 10.49, 8,rapproeh Old. le i le sens (( amieal de No n'est aequis qu'au prixd'une rude ellipse.

    8e. L'emploi, du reste banal, de mots tels que svclvant au sensde (( possession de chevaux a lieu au sg" non au pI. ; l'interprtation d'Old. serait done a prfrer, si SI'{ avee un rgime Gn.pouvait a eoup sur signifier c( riehe en .. , ce qui es t tout de memedouteux. I'athin (au lieu de I'thavant) figure 10.47, 5 a cot deSvclvant eomme p, de vja (ef. aussi I'athin/I' ( ~ a ! ~ 1.9, 8) ; enrevanehe, il n'existe pas de I'athin nt . (( possession de chars (nianalogues) .

    9. Trad. Berg'. 3 p. 190. b. a k ~ l } a y { j o est plus que (( hinterlistig :exergant le mal de maniere artifieieuse (1itt. (( d'un regard biais ?).v i ~ u d l ' h pa r eontre est favorahle,

    ge. hidaya: iei eomme en plusieurs autres passages le termeavoisine la notion du rflehi.

    I

    "

    !%!,iJ?!M!rg!JrIJ,EIII,IIiI

    ~ 20 ~. ,t ut et est ncessaire dans la9d. hira (( saerlfice suffit par o, dispensera de hil'a 2en sorte qu on se .plupart des passages, , tant dans hot1'Clbhzh (( au moyenAnrufung de Gr. ( d e m e ; : t l ~ e Ptour MhBh 334 67 Poona).d" 't e de paroles eone1 an es .., .m V 1 , ~ . _ dmsu c( effieaeement, di t l'aetlOn

    lOa. Cf. 8b e1-dessus. 11' d'A . 1 141 4 lei c( mu pa r (le1 134 4 de ce e gm , , ., . .des Aurores . , , , dam c( maitriser (qm aurmt' ) m . '1 On peut penser a - ' t ,d1eu e leace . ) ' ams- qui nous Orlen e ver spour paraUeIe 1'Cl/?ISUo, de mln- . O ~ l .a9c, T h i ~ m e ZDMG. 107 p. 71l'ide de (( miracle, cf. 1.62,6, , ', l{ t. d wunderbare uns.end d/lIsas par (c we1se o . .Nahus favorable eL c( proeham .la . De nouveau .

    lIb. Sl'W, entraln pa r Sl'tu fi 't'fs au Datif c( pour que let t 'que des semI-m 1m 111 d. Syn axe yp1 'A ) 1 ) clebre avee puissance.bnficiaire du chal' (= mOl-me me e ", d'm ile pa r Old. est supr1eure a12. La traductlOn, ,de ce v. 113 le 'mse souligne le lien de laeeUe de Gld. Sur dasataya, v. } . na ,t 1 corps de l'hy. (ob). , t ' d'danastu 1 avee e. _ l 't ' de Vasu c es -a- 1re't -i ' f 1 dessus b (( qua 1 e , , .12e. vasu a z, e . e - V' Cluivalent de dywnnam. 'd' le ceBe des asu, .(( quahte 19ne": 21) uel que soit le sens premIe:,*vsnam. - vaJa \EVP. Pt', '. qdans vaJ'apya (Minard TrOls. 'fi pn x de V1C Olre , t' dne slgm le que c( " 306) "' a s'explique en fone IOn u' ' 1 233a 2 a , va] ,e m g m ~ s , 't!t'f qui dfinit eette ermome,earactere (( compe 1 1

    i rer au rayon-de-breuvage (= au13a. (( Nous voulons nousb en (_ les dix doigts de l'officiant) soma) earactris par le nom re IX -J anert Dhisi p. 6, "( oigts) viennent portant les13b. (c Quand les deux !o;s 'ral Janert passim et (simplinourritures , ibid. Sur dhasl ,en g ~ ~ e '190fiant a l'exces) ,Seh,lerath ~ r ~ ~ ~ s , 6 4 ~ i g n i f i e (c pour la suprl ~ d , t r , u ~ a d J e c t ~ f ? Ma1s 3 : ~ r c c l ~ ~ o u v o i r (des di,eux)), donemabe, tal'u?as (Gen.) 3,2, d'une foree-trlOmphante.d 't t d ire ' (( possesseurs ( f 1iei on 01 ra u , ' I'ii 'ate mo t difficile; Gld, e . acLe nom d'agent est i C l 1 ' u ~ a , - o J1" la premiere place ou'formment (( msser d1.143, 7) propose um , . le sens transitif s'aeeommo ecc se mettre en videnee, se s l g n a l ~ , ~ , ' vaut sembJe-t-il, en resterd 1 'moyenne lu1eux , .assez ma l e a V O l ~ . ers as irer a, cf. N. (sm-l'Jaux traductions ane1ennes (( t : ~ , d r e vOld' ZbMG. 55 p. 306 et 311.1 6 9 (( eonfiuer vers ), Sur 111Jase, ' . 1

    ' , 'd sse es t bizarre, malgr sk t p. e .14a, l ' ~ w S c( dIe ~ v o g e n ,e ~ ( ~ u J t i t u d e . Aurait-on affaire a unogha c( flot aboutIssant a m ossessif -nas-o Un te lmas 2 c( richesse ? N oter, le su ~ e ' l p Trans 1956 p. 101 n. l ' ~ w S a t identifi, de fmt, par. al ey .

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    - 30 -Burrow Centeno Univ. Madras S. p. (qui traduit prize of cattleet se fonde sur ce passage ici). Mais il es t difficile de sparer lesemplois oil l'on aurait ce t rlJas 2 et ceux oil suffit l ' ~ 1 a s 1, d'autantplus que des dveloppements de sens analogues se prsentent pourarlJav et udadhi, cf. Gld. 1.112, 18 10.67, 5. Nous restons dansles limites de la mtaphore vdique en maintenant flot, massemouvante comme base gnrale. g a r ~ 1 a S a 1 ? 1 ray{m 10.38, 2, quisignifie, en traduction libre, richesse consistant en, vachesmontre la jointul'e entre le sens authentique (( masse mouvante)et le sens fictif (( richesse ).14b. varivasyantu et le contexte : repris de 3d. La danastuti,comme souvent, s'appuie sur la phrasologie du corps de l'hy.14c. ary g{raJ:, Thieme Fremdl. p. 31 l'appel louangeur del'tranger : arl comme personnalit gnrique, en quelque sorteexemplaire, qui chappe au commun des jan.14d. usrJ:, 3, 8 ci-dessus. - cakantu, non de la base ka- (quifournit cake et cakan, formes purement moyennes, et cf. la structure de dhantu, panta), mais de kan- avec un phnomene de resserrement syllabique comme celui qu'on a possiblement dans ranta1.61, 1 7.39, 3 (ci-dessous, N. sous ar-), vanta 1.139, 10 ci-dessous,raranta 5.54, 13 ; le sg. raranta 3.42, 8, de sens analogue acakantu,a pu agir. La forme pleine caknanta est atteste aussi.15e. psas est d'ordinaire avant-corps, poitrine (net 8.45, 5lutter comme avec sa poitrine eontre une montagne ), di t surtout

    d ' U ~ a s , la jeune femme qui dvoile son corps. Sens admissible icia cot de gabhasti main ), en posant une mtonymie a tendancepersonnifiante. Mais psas a pris une valeur neutre dans l'p. dusoma sahasrpsas aux mille formes, sens qui, en tout tat decause, ne conviendrait pas ici. Sur le mot, O1d. GGA. 1890 p. 408et N.15d. syumagabhasti, qui a des mains pour renes Old. 1 p. 55.Toutefois les deux lments du compos voquent les rayonssolaires et concordent avec suro ndyaat qui suit : a) syzlman(ef. Gld. ad 3.61, 4) comme rasm{, abhisa (JAs. 1939 p. 342 LommelZDMG. 99 p. 230 : quivalence connue entre renes et rayons) ;b) gbhasti comme post-vd. wra (JAs. ibid. p. 345). gbhasti(sur le mot, Duchesne-Guillemin BSL. 39 p. 219 O1d. ad 1.54, 45.43, 4; 86, 3, N., Vedic Index) es t d'ailleurs ici le brancard .Autre emploi ventuellement mtonymique 5.43, 4 ci-dessous.Au sens propre de main , gO d signe la main qui tient avec force(ainsi, les rEmes de l'attelage 1.82,6). Il se di t aussi, plus figurment,de la main (qui forme) protection) vnzthe gbhastau 2.18, 8.[Jo n' a plus que le sens de rayon) apres l'poque vd.

    - 31-. . osition assez troable eles noms divins.1 139. ct el-dessas p. 7. P1StP . dieax done virtuellement lesLe 'verset final donne les ~ r O l s . OlS ~ ~ z ~ e r o u ~ e ne soil pas nommVD. sous l' aspect collecht, blCthl q t y a ~ i qui souli gne le caractered l' hy Sur le ry ,ne a . / , P h adans le corps e 42 47 51 Fi n du corpus de aruCC ep .emphatique, V. EVP. 2 p. 33, , , . . (Minard1 prise en tant que y a J u ~la . ashz srau?af, formu e red' s textcs ici en tete du padaTrois nigmes 1 282c) dans ;ver 1 RV ~ dhiy: pa r la forceinitial ; seule ent.re de ce type ans e .de mon inspiratIon. (V andtschaft) Gld. De fait, les hy.Id . krilJ, geschlossene . e r ~ t un emploi adjectif de ce mot,voisins a Parucchepa c o n n a l s s ~ b au sens de efficacement qui ailleurs est plus souvent a ve r ~ ' a t i o n avec (Gn. ou lnstr.) ,Old. Album Kern p. 35, ou en c ~ o p b' 1 est tout de meme ici pluscL 10.92, 6 ci-dessou.s: Le se,ns a 'Z r l ~ i e r e nouvelle es t rattacheprobable : de m a l l l e ~ e actIve . b ~ l Berg. 1 p. 87 ; cL Hauera Vivasvant comme a son nomYogapraxis p. 27. t ' t. . ' ' t ' que pour autant que r a es2b. nrta n'est ICI, non-ven e i ue)) VarUIfa-Mitra tant les, . e' . sinon des-ordre (cosm q ,ven, 'tenants du J}ta. . b1 . pense active ou fconde," cceptlOn favora e . , '1 d lt2c. manya en 4 31 6 oil les manyu d n ra SOl8 27 14 cl-dessous ou . ,comme ., ' d son chal'. , '1) . .coordonnes aux roues e, d . terme varUI.len (DumeZI ,2d. elk?a, cL 89,.3 ,Cl- essuS. qu'un rsidu de vocabulmretendu a Mitra, qUl n a en propreautonom_e. , ,_ l'intuition mentale, notion unique2f dhibhih .. manasa, par . ' t 1 tuelles ) dans un double. . d 1 notlOns m e ec O(comme souvent ans es _ d d g sont traduits Berg. 1 p. 15 n.

    Yndtique. Les pa a -terme as , 1 He (les hommes) pa r3ab. cr. isrivyati s l ? k e ~ a 5.82t' 9't( l d ~ ~ P ~ n cri sous forme de. h'?) ' iCI 11s fon en en . 1un cn (ryt me . , t e volontiers para-muslca,louange-chante ; slka uln t ermractris pa r les interjections6 L ' -, - a du Rltue es ca . , , sainsi 9.73, . a s r a ~ d 'l'ka Ailleurs Slka = aUSSI srava-h - t qUl sont es s o . d 1 92 17'07]1, sva a, c ' . eut-etre Weckruf Gld. a . '. ' reno m , amSl 1.51, 12 : p 99 2 l' n. d'un metre, depUlS lesrythme du soma qu'on d e c ~ n t ~ . ~ o u ~ e n t a date ancienne, surBr (les noms de metre se on en 1 t 's) 'Cf encore Old. IF.31mots dsignant des lments C}an e. .

    p. 127. , d" la prsence de ca ), Old. Wo.rte3d. 3r (distinct de prk?,. oUG d V snuism p. 176 et passlm ,. dermer on a 1 ,. . .fr schn passlm ; en , 1 64 12 Mais le vOlsmage, . par Vorrang . , . .Gld. traduit avec ralson . . 't 'penser que sri implique ansslde pfks ( aliment roborabf mVI eda 44 1 8le s ~ n ~ de .( breuvage, cf. Gld. a . , .

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    - 32-3eo plk? (po pakv 5073, 8 ; les forces des Asvin sont ventuel

    lement ceHes que leur confere leur propre attelage, symbole devitesse et d'efficacit, ainsi 4.44, 2 ; 45, 1 ubi Gldo et ibido 2), OldoZDMGo 55 po 296 Hillo Lieder po 23 no Bl. Repeto po 132 et passimBailey Transo 1953 po 21, 1956 po 1020 Force est bien la basede l'interprtation, mais il y a dans le RVo autant de types de force que de mots les dsignant, et p!'k? (comme lrj et i?) visela force .ssue d'aliments, de substances matrielleso - visvvedas(cfo vdas ci-dessus po 19), pithete ele divers dieux, notammentdans les hyo au x VDo 011 le mo t s'applique prcisment aux vUve(devdM 8027, 4 ci-dessouso En raison de jilvedas (terme d'ailleurscomplexe, cfo entre autres Oldo ad 2.17, 6), mieux vaut runirtous les exemples de ce compos autour de vdas connaissance ,comme pour visvavid, que de les scinder comme fait Gro WBo3go dasrd, p; des Asvino La notion lmentaire es t plutot efficacit n que (( miracle n, mais on peut hsitero Cfo 122, 10 ci-dessuso4ao eeli abrege (u?dl:t)oooaeeli 1.113, 4 (hyo a ~ a s ) et passimoLa formule contigue v{ooof1.walhal; rappelle aussi le groupe a Ui?as,ainsi que divi?!io eil-: (( etre en vidence, (( se manifester commeun signal (lumineux)), se di t notamment des conditions natureHeso4co Pour divi?ti (EVPo 3 po 23 Ludwig 3 po 383), l'hsitationvalable est entre (( sacrifice du jour (= d'aujourd'hui) et (( sacrificematinal ; le contexte ici nous incline vers ce second sens, comme7074, 1 Glelo Le premier sens concorde avec vidllw?v hnim 503, 6,si toutefois cette expression signifie bien (( au cours des sacrifices(qui se suivent le long) des jours 0 - adhvasmn est ail1eurs podes chemins du ciel (synonyme : a r e ~ l ) et dhvasmn se di t de lasouillure que constitue la fume, lment impur (blwa)o lei,l'ide physique et l'ide morale sont superposeso4do slhtiman, (( Stand Glelo, hapax, mais sU?thdman se di t aussi

    du chal' : cfo d vandhreva laslhalal; 3014, 3 (( ils se sont mis deboutcomme (le cocher) sur le caisson (du chal') 0 slhtiman est mieuxdocument dans l'AVo (( station debout ou (( lieu OU les vachessont (debout) ; sthiman (( force du sk t ultrieur a remplac velosthemn et es t el a sthir, d'apres la concordance ojmnjugroDe meme peut-etre a-t-on dhtiman (( force appari a dhl1' (( fort ,l 'un et l' autre mots ayant chang totalement de valeur depuis lesmantrao4go 1'jas Acco peut demeurer, comm e rgime d'extension spatiale,cfo 5.48, 2 ci-dessouso Burrow BSOASo12 po 645 distingue 1'0(( espace et r (( poussiere, dichotomie combattue avec raisonpa r Vo Buitenen JAOSo 77 po 92 ; en fait, (( poussiere est rare etmeme plus ou moins spcieux dans le RVo Cfo ci-dessous 7034, 160 -

    d' (( en se laissant aIler a laijasi (No), comme quivalent anu,pente natureIleo o5ao scfbhiro a l ; o o o d ~ ~ a : y a l a m , e(( ~ ~ a t i f i e ; o ~ O ~ ~ r ~ e ~ s ; e ~ ~ ~ d ~ ~ ) e ~de force s 0 A11leurs, sael h\ R I v e l : b r ~ I . dasas y- es t rversible :l'lnstro sgo ou opI. est, su r ea (( conforme (Redard Mlangesrendre aux dleux 1 g o reflete dasas y-) ou montrerDebrunner po 351 s';lr la ~ a ~ m e l.eo que de donso dasasynt 1.61, 11sa faveur aux humams, d les, honorer t L nom de base *dasas

    di t du d i ~ u ((: qui rend seld'vlce )1) a ton a ~ e P e l ~ ela (( situation (eon-subsiste mdrrectement. ans e emo o ,forme au clestin cl'un ~ n d i v b i e l U ) o 1 que est (( tarir ose elit el'aborel,.- el a vec un prever e que con, , ., o toC'o as-: o " o o545 3 eles cratures qm s epmsendu lart pms du elon qm s epmse, o, 'A b o t"f(a implorer le monde des dieux)o - asmcd, o ~ l v a 1 o .o r' t accentues lCl (abc et f)o Sm6 Paronomases partrcu reremen o 011' t et en

    lb o, 'el 89 1 ci-dessus : ici au sens propre (( .lal lssan ,uc H , Vo ,meme temps (( triomphateurs 0 o valeur6do davne . o1'tidhase, p ~ e u e l ~ - a t t r a c t l O n probable, eninfinitive, (( a donner un blenfalt 0'd dh comme lel et 2a ; probo (( tant elonn que .. 07el. ya a, o k t ' ' ' ' (t n suffixal comme elans

    7fo Les raisons ele VOlr elans al' ano o o o N t chez Olel.. fi 1 el type) un Nomm (amsl o Clles autres ma es e ce, Iles conduisent a 'interpr-aelloco) sont c o n t r e o b ~ l a n e ~ l ~ \ ~ : r ZDMGo 55 po 302 et ad 2023,tation par le Loc., lel et al e tO ' oa1'[ a quoi ajouter ventuel-17870 2 etco (sur la forma lOn en - , o, b 3o , , o _o, o [ t v{elhal'ma11lJ 'Vacle-De runnerlement -m dans l'aL1am o : t mieux iOneliqu par la corrlation31 205 271) Le oCo ICl e s . o , tpo , , . o . o t ' uivoque mars c es un easavec me sea: me, 11 est vrar, es e o es t neessairementoblique, lequel, hors ele cbette f o r t e ! : ~ ~ ~ ~ ~ ~ t ~ l n i q u e associ a unun Loco - Noter le ver e au p o a onom (signo) faisant fonction de second SUjeto o, t o elevant nous, mars (( ele8co asmt pura, non pas (( avan ou o 'd abld (a) et, f t al' suite de notre carence, c?mrr:e asma , onotre ar, p Old d 5 33 3 pura indIque une precautlOn,asmt (5el) ; analogues o o ' , . , 1 71 10 et ailleurs.une protection contre un per s ~ p p o s e , . :3 33 8 (( entendre eles8 D faOt glms- a pour reg1me vacas . , o )eo e l , o o, Il des gnrations a vemr )loparoles (qui rsonnent Jusqu au x orer es o ,o9a, jan?, to n suffixal, vleur actionis, m ~ i s g e n r ~ ~ n ~ ~ c ~ s ~ : : u a : : : ~01 t u eluel et au pI. ; sem1-concre . ,semble-t-1 au sgo, n o . L o ' r ation elu to n sur -U8- peutles autres drivs ele Jan-. a genera 1S o, _) oprovenir de l'emploi adverbial prpondrant (Janu?a o

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    - 34-9d. tiyali (hapax), image du fi l qu'on tend d - .1.162, 16, d'ou lignage )), cf. Gld. Nacht,.. ',,' a yamayanilcl., comme lanaya). Le sens d d' d 1age (d ou (( descendant ))de ti-yam- avec le Loc maI's el (( e p ~ n ance)) a,pour appui l'emploi, ., e vOlsmage de -bl' '1'd un autre sens. ndbhi fig na 1l mI Ite en faveur

    fil ' . ure encore au 1 l 9 73 lIt'IIatlOn, apparentements. . . , : re a lOns de9f. i?iim padna est-il vraiment . .Ce pourrait etre (( grace a l ' 't Ihren Fusstapfen))?l ' , em SI uat lOn - avec 1 ' .pae a n est (( (traces de) pas )) que d d - . . eur appm));L'image prvalente avec d-nam- e s ~ n s es condItIons dlimites. -(( courbe a so )) 7.32, 20. celle de la roue que le charron

    lOa. hiii yaksat yajus acomme slu S r a ~ a / 1 . c e ~ i m ~ p a r e m m ~ n t dtach du contexte,emploi rituel. ~ 'vanta cf r ~ ~ ~ e i9en de .l'hy. avec un certainci-dessus. ,. a . , 3 cI-dessous et 122, 14lOb. ven, d. 10.64, 2 ci-dessous . Brhas at i est e '. lOe. Le mo t slka repris de 3b -'dh t P, _ v ny a 2.24, 10.merte de pada, comme ue l ' a mana forme une clausule

    certaines formules ou en tq tqlues autres finales en imn(ii) etren es pronoms vah" .. L?xemp.le ou Imn (sur lequel v. Vak 2 1" lIn, SI!I1. e seulmfJectlOn p. 19 Edgerton 1 an p. 53 n. Kmper Noun-es t l'Acc. tmnam 1.63, 8 -' 116) est autre qu'expltifproposera (( lan vital )). ,q . rend pa r Lebensgeist; on

    10f. ararinda, (( Drehvorrichtun L 'une p. de sdman. gen )) u.? C es t possiblement11: Comput des dieux en trois sries d .spatIaux diffrents Dumzil H' ' t e onze avec des domames

    C'est cette rpartition p h i l o l o g ~ ; ~ e ~ e l' 216. Jupiter 4 p. 158.tout de me me a la b a ~ e de 1 I-h en Importante, qui es ta myu ographIe du Nirukta.1.164. Le grand hymne a ni mes d RVkram. comme tant ddi au x ID d u .. n. esl ~ o n n pa r ~ ' A n u -En ralit, il ne s' y trouve qu'u ., u ; ~ w l n ~ J ~ I S q U au v. 41 l11clus.

    et des noms divins au total c l a i r ; : , ~ ; : n llOn t 1 1 ~ l d e n t e au x VD. (39)e a- yplques.1.186. La disposition est apeu pres " l"eontigus aux Marut el eo . legu lere, sauf qu'on a deux vers

    Le dbut est marqu ;1' S ; ~ ' ; ; ; SI s O ~ l V e n t , u.ne e ~ a u ~ u l e anonyme.la fin esl numrativ:' Les VD' et les. r o l ~ prl11elpaUX Aditya;outre sous visva lb el e, 2a et . /on mentlOnnes au v. 2, voqus enla . vidtha, 89 7 ci-dessus . ici ' . dcielle )). _ susaslf' est-il Acc '1 t eVI emment (( sance sacrifi-ZDMG. 60 p. 154 n. et cf 3 J ~ ~ t 1'., sg. pseudo-:r;l. ? Cf. Old.facteur concluant. . . Le vOlsmage de iliibhiJ: est le

    - 35-lb . visvdnara (Mnard Trois ngmes 2 699a), ailleurs encorep. de Savitr ou de la (( force )) (svas) d' 1ndra. On a le choix entre

    (( qui a toute force vitale )) Kuiper N oropi p. 20 et l'interprtationancienne que semblent appuyer les expressions approchantesvisvjanya (ocal'?alJi) et 0manu?, soit (( propre a tous les hommesqualifis )); on peut meme penser a (( propre aux VD. )), cal' leterme ni s'applique parfaitement aux dieux.1c. p i au sens de abhi, prverbe perfectivant ((( auch)) Gld.).En raison de 2cd ct 3cd, il es t prfrable de faire une phraseunique : (( afin que vous enivriez le monde entier pa r l' 1nspiration )) :naJ: expltif, manl?d comme souvent fig au cas oblique, en findu pada.Id . abhipitv, N. (ubi ala), aussi Sieg Nachtweg p. 19 : ici (et 6)Abendmahlzeit N., Einl,ehr Gld.-Nachtrage : ce serait l'association connue entre Savitr et la priode vesprale. Le fait que, aupassage analogue 8.27, 19-20 ci-dessous, le coucher du soleil soitmentionn comme priode distincte de celle note par abhio neconstitue pas une objection dirimante.

    2a. La mention des VD. introduit celle des trois premiersAditya : (( VD. )) joue donc le role d'une tiquette, comme dansles passages ou le terme est appos au nom des Marut. - dskraLiebert Suffix -ti- p. 94 n. B1. 1. c. Minard Trois nigmcs 2 642b ;d. encore lvyii vaym .. dslaaJ: 7.43, 5 ci-dessous . ti-sae- se di t del'etre aux cots duquel s'agrge la divinit 4.11,6 1.136,3, et laracine sae- joue un role assez marqu dans les portions (( agrgatives)) de notre groupe d'hy. Le mo t dskl'a, qui figure dans lanivid cite ci-dessus p. 11, est ainsi une variante de saeiibhl etanalogues , plus lointainement ele saj?as.2b. B1. Repet. p. 159.2c. bhwan ..vrdhdsaJ:, nominalisation du tour semi-infin. vl'dhbh- (passim et ci-dessus 89, 1 et 5).2d. Ailleurs su?ha; su?dhii kr- s'explique en fonction du typesemi-fig en -ii kr- (sur lequel v. Hoffmann Munch. Sto 1 2 p. 54) :svadhvard kI'-, sutlrthd kI'-, sutrii kr-, supthii lq'-, sugd kI'-, sukI'tdkr- 1.162, 10 Gld. ; aussi Gld. ad 4.25, 6. -' - vit1wr, (( vacillant))aussi 1.168, 6 oppos a Sl?1hita (( qui se tient ferme ensemble)) ;analogue visvii s no vithurd pibdand .. am{triin su?hiin ltrdhi . -svas, Bl. Repet. p. 36 Gonda Sorne Observo p. 65 : ici concret,intermdiaire entre (( force et (( forteresse )).

    3a. vaJ:, 14, 4a ci-dessus. - Sur le type gI'lJl?e, Old. ZDMG. 55P" 307, 59 p. 364. Ancien infin., comme g l ' ~ ; ~ 1 ?3b. turvl.1, tantot comme ici sans rgime, tantot avec l'Acc.Le terme, ,qui implique l'ide de la concurrence dans la joute

  • 7/29/2019 Ren