Concours de la Saint-Valentin, organisé par le Bien public

Votre plus belle déclaration…

De Maurice DEFER

A Marie-Louise pour nos noces de diamant

Soixante ans de mariage, et toujours aussi sage.Soixante ans de bonheur, et d’amour plein le cœur.Soixante ans, être amants, et même un peu avant.Soixante ans de vie commune, ça n’a pas fait la Une.Soixante ans de santé, tu m’as si bien soigné.Soixante ans, si nous nous sommes connus,C’est que Dieu l’a voulu.Soixante ans, tu étais bien joliette,Tu étais ma Juliette.J’étais ton Roméo,Rappelle-toi nos photos.Soixante ans, je n’étais pas bien riche,Tu m’as dit : on s’en fiche.Soixante ans, sept déménagements, et maintenant à Talant,Pour t’y aimer toujours autant.

M. D.

Benjamin COPPENS

Stéphanie,

J’ai pas bien l’habitude des bafouilles, mais ma sœur, elle s’y connaît la frangine, même qu’elle a son certificat d’études, m’a affranchi au sujet des dames comme vozigue, comme quoi ça leur plaît qu’on leur envoie des poulets tout plein de mots tendres. Alors voilà, je voulais juste vous dire que je vous ai trouvée rien bath, l’autre soir, quand je vous ai levée rue des Envierges. Je vous ai peut-être troussée c’te nuit-là, mais c’était pas l’affaire que d’une seule fois, comme avec les gisquettes de la rue Saint-Denis. J’ai même été jusqu’à reluquer vos faffes dans votre morlingue : ben oui, quoi, fallait bien que je sache où vous perchiez pour vous poster cette babillarde ! Je voulais aussi vous dire que je suis pas bégueule, et que j’en fait pas tout un fromage que vous soyez une pétrousquine de Fontenay-aux-Roses. Moi je vous trouve encore plus chouette que toutes les lesbombes de Belleville réunies, même la grosse Lulu, qui crèche rue de la Mare et qui fait un frichti du tonnerre de Brest. Bref, je voudrais bien qu’on se mette à la colle vous et moi. Bon, je suis pas bien rupin, et vous avez vu ma carrée, hein ! Elle est grande comme un dé à coudre, alors on sera un peu à l’étroit. Mais ça compte pas quand on s’aime. Et puis je bricolerai un peu la cambuse : j’accrocherai des rideaux à fleurs au châssis, je badigeonnerai les murs de peinture rose, on sera bien tous les deux, ça sera gentil. Vous faites pas de mouron pour votre bambine : on la collera en pension, y’a que ça de vrai pour les moutards. Et très vite je vous en cloquerai un autre. Alors une fois que j’aurai emplâtré votre cocu, y’aura plus aucun lézard. De toute façon moi je vous aime, c’est comme ça et c’est marre !

Je passe vous prendre samedi, Stéphanie ?

De  ELO

Je n’ai jamais su faire de jolies déclarations comme on en voit partout. De toutes manières, je trouve tout ça bien trop banal. Au lieu de grands discours, je préfère retenir de notre relation chaque détail qui la rend chaque jour un peu plus merveilleuse. Je ne peux parler de nous sans parler de mon immense sourire à chaque fois que je t’aperçois et de ces milliers de papillons qui envahissent mon ventre. L’amour, c'est peut-être ça finalement. Pas de grands discours, mais de petites attentions, une odeur qui reste sur l’oreiller, des éclats de rires à n’en plus finir, une jolie fleur sans raison particulière, une présence qui rend la vie un peu plus belle finalement. Oui, l’amour, c'est ça, c'est ce que je ressens pour toi, toi qui a su rendre ma vie plus belle.

De la part d’AURELIEN

Cléa,ce que je vis depuis deux ans, je ne l’avais jamais connu. Un sourire devenu inné, des pensées amoureuses à tout moment de la journée, un sentiment de bien-être constant... Ta présence et ton amour me font un bien fou. Aujourd’hui, pour la Saint-Valentin, je tiens à te dire que je suis tout simplement heureux avec toi. Je réalise que le bonheur, je ne l’avais jamais connu. Remercions le destin qui a permis notre rencontre, ce fameux soir de janvier 2009. Rappelle-toi, mon ange, toute cette neige et l’attente interminable de ce bus qui n’est finalement jamais venu. Le hasard a bien fait les choses ce jour-là... Tu sais, c’est bien la dernière fois de ma vie où j’ai eu froid. La chaleur de tes baisers et l’intensité de nos moments partagés depuis notre rencontre me comblent de bonheur au quotidien. Notre voyage en Nouvelle-Calédonie, nos petites soirées au coin du feu, nos loisirs partagés... Où que l’on soit, quoi que l’on fasse, mon cœur vibre pour toi. Quand tu n’es pas dans mes bras, tu l’es au moins dans mes pensées. Cette Saint-Valentin est la fête de tous les amoureux, je suis fier que ce soit ma fête, notre fête. Je veux qu’avec toi, ce soit la Saint-Valentin chaque jour, chaque minute et chaque seconde que nous passerons tous les deux, main dans la main. Ce soir, je t’invite dans un endroit que tu devrais apprécier... Je ne t’en dis pas plus, tu jugeras par toi-même. Sois prête vers 20 heures, ma chérie. Il me semble que je te l’ai déjà dit, mais c’est tellement bon de le dire, de le redire, de l’écrire et surtout de le vivre : je t’aime.Aurélien

Gérard AILER

A toi, Laure, ma moitié, mon amour, que j’aime évidemment plus que tout, qui nous a fait un millésime, né le 7 décembre 2010, prénommé Gabin, pour compléter notre amour. Besoin de le dire à tout le monde que tu es remarquable comme femme, mais également mère de famille. Après t’avoir déclaré ma flamme en superman, nous voici maintenant engagés pour quelques mois encore avant nos vendanges de l’amour, prévues le 7 mai 2011. Ainsi, nous aurons concrétisé notre rêve à tous les deux. Je t’aime comme un jeune homme qui veut être amoureux de sa première conquête, comme un homme qui veut être père pour la première fois et surtout comme un futur mari qui sera comblé de la vie qu'il a toujours rêvé, construire une famille de rêve, voir grandir nos enfants ensemble, leurs premiers pas, leurs premiers mots, nos premières vacances à la montagne, à la mer. Sans oublier les grands-parents, les traditions, ainsi que la pérennisation des fameuses cousinades où joie et gaieté se mélangent afin de retrouver tous nos êtres chers, tous. Ceci pour toi, je continuerai éternellement à te déclarer mes sentiments en les exprimant tout simplement par des gestes simples, des attentions multiples, car tu es ma source d'inspiration, tu es éclatante de bonheur comme personne, tu es si jolie que je n’osais t’aimer, je n’osais te regarder. Maintenant, je suis réellement heureux d’être l'homme que j’ai toujours voulu être et ce grâce à nous, mon amour de femme, je t’aimerais toujours. Ton futur mari, Gérald.

Nathalie ANDRIEUX-CANTAT

Je n'ose...

Puisque je n'ose te le dire,Je pourrais peut être te l'écrire,

Oh non, ce n'est pas pour de rire.

Puisque je n'ose me trahir,Je pourrais te jouer de la lyre,Oh non, ce n'est pas du délire.

Puisque je n'ose m'en évanouir,Je pourrais quand même défaillir,Oh non, c'en est plus qu'un soupir!

Puisque je n'ose te le dire, Je peux cependant te l'écrire,Oh oui, juste pour ton sourire,

Je t'aime, c'est là mon doux plaisir!

janvier 2011

Nathalie Andrieux-Cantat

De Mlle Isabelle BAUDOT

L’Amour avec un grand A

Mon amour,

Depuis que je t’ai rencontré en 2008, au bal de la foire à l’oignon, Je suis épanouie dans tous les sens du terme.

Je t’aime plus que tout au monde.Tu es la prunelle de mes yeux.

Tu es le soleil de mes vœux.Le jour, la nuit, je fuis les mauvaises ondes.Ne me quitte pas, je t’en prie.

Je t’aime très fort, je peux te le dire en plusieurs langues,Te quiero, ou alors ich liebe dich, ou I love you.

Je souhaite rester toute ma vie entière avec toiCar la vie serait si triste sans toi.

Je t’aime de tout mon cœur et Dieu sait qu’il est énorme,Comme le ciel qui est fait de dentelle.

Tu m’apporte calme et sérénité Et c’est pour ça que je ne vais pas te quitter.

Je t’aime mon amour de ma vie.

Isab.

Florence BAUDOT MAUREY

A toi, mon Amour, parce que tes bras furent les premiers, à me donner, à m’aimer, à me serrer, loin des combats, loin des violences, parce que tes bras seront les derniers, à me rappeler ta force, ton courage et ta beauté. Ouvrir les yeux chaque jour et me laisser aller, à te regarder, à t’imaginer dans plusieurs années, les cheveux blancs, sur un banc ou sous un ciel étoilé, vieux aussi parce que l'amour n’a pas d'âge et que je n’ai pas peur de rester à tes côtés, jusqu’à l'éternité.Un regard suffit et tout prend son envol, quelques mots, un sourire, complicité d’un rêve, une nuit de délices, pas besoin de cadeaux, de fortune, de longs discours, de parades ni de promesses, l’Amour suffit à lui-même, avec ses élans, ses caresses et sa tendresse. Et quand viendra le moment de se retourner, de faire le bilan de notre vie passée, je n'aurai aucun regret, plus de souhait, rien que qu'un cœur comblé, gonflé, tel un ballon rouge que ton amour a soufflé, que ta bouche a effleuré.En attendant, mon ange, je viens t’écrire que je serai là si tu venais à tomber, si tu t’essoufflais ou si même tu pleurais. Pour et par nos rires, je vivrai. Tu es mon soleil depuis que nous sommes nés. Avant même que je te connaisse, je vivais pour te rencontrer. Pas de liens, pas de peurs, aucun nœud compliqué, tout est évidence et fluidité, le maître mot Liberté. Libérée de t’aimer et de tracer ce soir, juste un trait, juste une union dans notre belle histoire, pour te remercier d’être femme comblée, parée des plus beaux bijoux, ceux de la fierté de vivre à tes côtés, d’être ta mariée. Et puisse la Lumière nous éclairer, nous guider, nous faire avancer pas à pas, sur ce grand fil doré qu’est notre épopée.Avec toi, je peux avancer les yeux fermés. Maintenant, demain et pour l’éternité, viens, donne-moi ta main, on va s’envoler. Ecoute mon cœur, comme il t’aime, chéri. Ecoute son écho dans le ciel, comme des battements d'ailes. Comme c’est écrit dans l'infini, que toi et moi, c’est pour la vie.

Mme Karine BEAUDOUX

Mon cœur

Cette année, pour la Saint-Valentin, je ne savais pas quoi t’offrir, donc je t’écris quelques lignes.Cela fait 7 ans que tu partages ma vie. Malgré le temps qui passe, je t’aime comme au premier jour ! On a eu des prises de bec, des moments tendres, des moments de joie et de tristesse. Tu as toujours été là pour moi et je t’en suis reconnaissante. Tu es toute ma vie, mon amour, mon rayon de soleil. Sans toi, je suis perdue ! Tu es un mari et un papa exemplaire et je souhaite à toutes les femmes d’avoir la chance de rencontrer quelqu’un comme toi, mon cœur.Nous sommes au début de notre vie, nous avons encore beaucoup de choses à découvrir l’un de l’autre et je suis persuadée que je vais encore être surprise ! Je sais que, en lisant ces quelques lignes, un sourire paraît sur ton visage. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est ce que mon cœur me dicte.Je te souhaite une merveilleuse Saint-Valentin, mon amour, je t’aime de tout mon cœur, je t’embrasse fort

ta p’tite femme !!!

BLANCHAIN Maryvonne

Pour mon Amour,

Avant toi, j’ai traversé le désert de la vie. Avant toi, je croyais que le bonheur n’était qu’un rêve.Et tu es arrivé. Compréhensif, généreux et surtout attentionné. Oh, je ne dirais pas que tu n’as pas de défauts, qui n’en a pas ?Depuis que tu fais partie de ma vie, j’en arrive même à oublier « l’avant toi ».J’aime chaque partie de ton corps, chaque seconde passée avec toi. Je n’imagine rien sans toi et « l’après toi » n’existe pas.Certains disent : « Seule la mort pourrait nous séparer. » Moi, je dis : même la mort ne nous séparera pas. Je ne fais qu’une avec toi, tu es une partie de moi comme moi je suis une partie de toi.J’ai tant d’amour pour toi que si l’amour pouvait étouffer, je ne respirerais déjà plus depuis le premier jour.Chaque jour passé avec toi est comme au début, toujours plus beau, plein d’imprévus et de bonheur.Je ne sais pas ce qui m’a plu en toi tout de suite lorsque nous nous sommes rencontrés.Tu as le plus qui te rend différent des autres, qui fait que je ne pouvais faire autrement que t’aimer.Tu as pris mon cœur, mon corps, et aussi mon âme.Tu es l’eau qui manquait à mon désert. Avec toi, je ferais tout et n’importe quoi.L’éternité n’est pas assez longue pour te prouver mon amour.Si tu le veux, nous marcherons jusqu’au bout sur le chemin de la vie, main dans la main, tes yeux fixant les miens. Et nous emmènerons avec nous, sur la route du bonheur, mes enfants et les tiens.Pour que tous ensemble, nous fassions de cette vie, un océan de joie et de rires.Je ne pourrais pas finir sans te dire ces mots qui jaillissent du plus profond de mon cœur :

JE T’AIME

BOISSIERE Clélia

Juste un mot …

 

Aimer, ce mot si simple et si succinct.

Ce mot qu’on utilise souvent sans connaître sa véritable signification est pourtant celui que je crains de murmurer à l’oreille des personnes les plus chères à ma vie.

Il n’est pas seulement un mot, mais un sentiment ; si puissant qu’il reste au fond de mon cœur.

Je l’ai souvent prononcé à tort, croyant qu’il était si facile d’aimer.

Mais que font les paroles ? Elles s’envolent et ne sont qu’illusions...

On croit aimer… Mais un jour, cette personne si spéciale entre dans notre vie, et on se rend compte à quel point on s’est trompé sur ce sentiment si complexe.

Aujourd’hui, je suis sûre d’aimer…

Avec le temps et les douleurs du passé, j’ai compris que tout acte pour l’autre est en soi une preuve d’amour. Alors, nul besoin de grands discours pour te dévoiler à quel point tu es important à ma vie, à mon bonheur de chaque instant.

Cela fera presque un an que nous parcourons ensemble les épreuves de la vie, que nous savons que chacun prêtera son épaule à l’autre à la moindre faiblesse.

Quand on avance à deux, l’existence est plus aisée, en tout cas, elle y paraît.

Voilà, je pense que c’est cela « Aimer » : avoir assez confiance en l’autre pour lâcher prise à certains moments de la vie, pour lui confier ses plus intimes peurs, préserver assez de complicité pour se comprendre, sans oublier de vivre de fous rires, de disputes et de réconciliations.

Toi, qui me reproche souvent de me taire sur mes sentiments, d’être trop mystérieuse, relis ces quelques lignes qui te sont destinées et tu sauras que c’est parfois dans un regard, dans un sourire, que sont enfouis les mots qu’on n’a jamais su dire.

J’ai souvent rêvée d’une grande et belle histoire comme celle qui m’est permise aujourd’hui.

Je ne peux te le dire, alors je te l’écris :

Alexandre, je t’aime.

C.

De Mme Monique Chenevard

Petit pli pour diligence de mes sentiments à… mon cow-boy adoré !

On s’aime à l’américaine et ça me va…Surtout quand tu me fais ton cinéma…J’ai l’Amour far-west, hi-ha !Quand tu chevauches, les plaines de mon cœur au galopOu quand les chevaux, moteur sous ton capot, font leur rodéo :En courant le monde de large en long…« buick, buick… buick, buick, slow… »Le moteur ronronne, vagabond,Et tu promènes ta douceur de gros chaton…Pour que jamais nuit ne meure au petit matin !Au feu ardent du brasero, tes éperonsMarquent au fer rouge la passionDe nos sensations « sens » dessus-dessous !Et ce rouge-émotion qui te va si bien,C’est aussi, de l’Amour, le plus bel atour !Tes baisers sont diamants virtuels sur mon licou,Et le cuir de ma peau, abrité sous ton stetson,Respire en brassées, le bonheur pris au lassoDans les vertigineux canyons de ta sensuelle imagination…Plus de blues aux talons de nos santiags ! Yahoo !Place à l’enivrant credo d’un pas de deux, étreint,Sous cieux étoilés en chariots,Avec, pour seuls témoins,Des bottes de foin en coussins, au creux de nos reins…Les nuages, complices, s’invitent dans le décor…Et pour conversation éthérée,Glissent des signaux de fumée énamourés !De ranch en tipi, nul besoin de grigri,Ton cache-poussière m’abrite de toutes les misèresDe cette « cheyenne » de vie !Et, comme on ne fait jamais le tour d’un amourQui dure avec toujours,La maturité de nos vieux jours sera embellie,Déferlante de poudres d’étoiles sur notre chemin,Qui, pour toujours,Baladera nos âmes sur une éternité d’Amour !

Jean-Marc CHIODIN

Mon amour,

Nos baisers brûlants et les délices de nos ébats ont créé,Dans un tumulte de chaleur intense, un arc-en-ciel lumineux.Rouge vif en accord majeur avec nos délicieux échanges,Orange chair de poule pour nos frissons câlins,Jaune paille tendresse, assise de notre couche douillette,Vert gazon soyeux pour nos roulades printanières.Bleu azur océan, contre vents et marées, poussant au loin, Proche de l’horizon calme et paisible de notre pays imaginaire,Ton souffle chaud et tes caresses paisibles.Indigo bleu nuit sur nos délires et nos tempêtes conflictuelles,Violet améthyste, spectre visible et transparent de nos mains jointesSerrées, conjointes et liées, ne faisant qu’une…Quand le soleil brille pendant la pluie, c’est ton sourire qui sort de l’ombre.Tu es ma source lumineuse, l’écrin qui met en valeur mon cœur.Les couchers de soleil n’offrent que tes courbes à mes regards mielleux.Le vent, même tumultueux, ne dévoile que les avantages,D’élever ta grâce et disperser sur ton entourage ta quiétude,Tes caresses bénéfiques et ton parfum de roses noisette.Qu’importent les mauvais reflets de la vie, les odeurs néfastes,Le mot amour est gravé dans nos deux cœurs.Et si tu le veux encore, de plus en plus fort,Tant que les ondes et nos arabesques scintillantes, Eclaireront nos vies et notre parcours,Plus de cent ans encore et de printemps toujours,Nos joues, nos lèvres s’effleureront encore.Ne dis rien, continue à mettre de la couleur dans ma vieCligne des yeux et dépose sur moi le doux « oui »,Signe d’un accord pour encore…

De Mlle Cindy COROT

Mon petit Doudou,

La première fois que je t’ai rencontré,Tout de suite, sur toi, mon regard s’est posé,Tes yeux bleus, dans les miens, tu as plongé.J’ai cru que la terre, sous moi, allait se dérober.Jours et nuits, tu occupais mes pensées,Jusqu’à ce petit matin où tu m’as embrasséeEt tous les deux, nous avons décidé de s’installer.Maintenant qu’on est ensemble, on ne veut plus se quitterEt j’espère franchement que notre amour durera pour l’éternité.Avec mes deux enfants, tu m’as acceptéeEt un petit nid douillet, tu rêves de nous créer.Des périodes difficiles, on en a traversé,Malgré tout, tu ne m’as jamais laissé tomber.La tempête peut bien tout détruire, tout arracher,Les dieux se déchaîner et la guerre éclater,Tout peut arriver,Peu importe, dans tes bras, je me sens en sécurité.De toi, je n’aime pas être séparée.Tu es l’oxygène qui m’aide à respirer,Les jambes qui m’aident à avancer.Et celui, qui, tous les jours, continue à me faire rêverEt croire, qu’après un échec, on peut encore aimer.Quand j’ai des problèmes, sur toi, je peux compter,Tu es la bouée qui m’empêche de couler,La force qui m’empêche de sombrer,L’homme qui fait que mon sourire reste figé.Un jour, sur le Bien public, je suis tombéeEt je me suis dit : « Pourquoi ne pas me lancer ? »Et au grand jour te le prouverQue je t’aime et que je continuerai à t’aimer.

Sylvain DUBOIS

Treize ans ma fauvetteSi pour beaucoup ce nombre est symbole de malheurPour nous il s’apparente au bonheurCela fait treize ans que nous nous aimonsEt nous nous sommes rencontrés à deux fois treize ansNous n’avons donc passé qu’un tiers de notre vie ensembleMais pour moi c’est assurément le meilleur

Nous nous connaissons depuis l’enfance car nous étions voisinsMais ce n’est que plus tard que nous avons su que nous étions faits l’un pour l’autreMoi le sylvain aimant vivre reclus Toi la fauvette Sylvia qui m’a charmé par ton doux chantNous étions liés par nos noms sans que nous le sachions

Comme le dit le poète Et je sais que tu aimes cette chanson interprétée par Jean Ferrat« Tu m’as pris par la main dans cet enfer moderne »Tu es l’îlot salvateur du naufragé que je suisTu es la source d’eau pure à laquelle je viens m’abreuverTu es le phare dans la tempête qui me guide à bon port

Nous sommes comme un atomeToi le proton, ancrée dans le réel et les pieds bien sur terreMoi le neutron doutant toujours dont l’imaginaire est ma réalitéNous avons libéré trois électrons qui gravitent maintenant autour de nous

De la fusion du Poissons que tu es et du crabe que je suisSont nés deux Poissons et un ScorpionTous à écailles ou à carapace nous venons de l’Eau

Le Temps ce grand destructeur et ce grand niveleurN’a pas réussi à émousser notre amourNous lui faisons front et repoussons ses attaquesGrâce à la force du lien qui nous unit

Nous entamons à présent une nouvelle treizaineFaisons en sorte qu’elle soit aussi merveilleuse que celle qui vient de passerEt si la vie nous épargne ses récifsEn vivre quatre me comblerait

Que de bonheur en perspectiveQue de joies et de douceursEt même s’il y a des moments difficilesA tes côtés je peux tout affronter

Merci pour tout, ma fauvetteJe t’aime

Sylvie DUCOUT

TOI

Ce regard bleu azur.Bleu du ciel, ou de la mer.Ces yeux que quelques années auparavant, j’ai croisés.Débordant de sensibilité, une once de tendresse, parfois mélancoliques, mais si doux, que mon cœur te fit la cour, mon tendre amour. Sur un air de romance, on s’aime un jour, une nuit, des années, pour toujours mon amour.Sourire à la vie, se tenir par la main pour que Vénus nous trouve beaux au petit matin.Survivre à la mort, nous ferons le soir venu, les larmes deviendront de fidèles amies, l’amour sera plus fort que tout, elle n’aura pas nos cœurs, je te le promets, mon amour.Ne rien se cacher, tout s’avouer, le bon comme le mauvais, savoir pardonner, ne rien laisser paraître pour mieux aimer, me protéger, tu le fais.Lorsque tendrement nos lèvres s’enlacent, tout s’enflamme passionnément et me donne envie de rêver plus fort que demain.Ton amour est discret, sans regret, tu me l’offres.Chaque jour qui passe, ton amour m’évade au pays des songes et des rêves, cet amour m’accompagne et me garde des rides et des pleurs au-delà du temps qui passe.Vivre à tes côtés, penser que demain sera plus doux, plus beau. Je m’émerveille chaque jour de cet amour coquet.Dans tes bras rassurants, sous l’œil enchanteur de Cupidon je m’endormirai pour des nuits encore, mon amour je te murmurerai tout bas : « Je t’aime ».Cette illusion fragile du bonheur se solde lorsque l’on vous aime.A genoux, je te broderai des mots d’amour légendaires rien que pour toi, pour la vie.L’éternité sera notre refuge et le ciel notre nid d’amour.

Gérard FASZCZENKO

En ce moment, c’est l’hiver et beaucoup de personnes le redoutent. Mais cet hiver-là, mon Ange, est bien différent de celui dont tu m’as sauvé. Te souviens-tu, mon Amour, de ce conte d’Oscar Wilde, décrivant un jardin constamment dominé par le froid, en raison de l’égoïsme de son propriétaire, un géant ? Tout y était mort. Plus rien ne voulait y pousser. N’y régnaient plus, alors, que la pluie, le gel et le froid ! La joie et l’amour l’avaient déserté en même temps que les enfants... Eh bien, autrefois, mon cœur ressemblait à ce jardin : des regrets amers et des souvenirs douloureux l’avaient transformé en un désert. Seul le traversait le vent glacial de la solitude et du désespoir. Rien de beau n’y germait plus, jusqu'au jour où tu m’as apporté ta douceuret ta chaleur. Et là, grâce à Toi, à ta lumière, la vie m’est réapparue. Tuas redonné de la couleur à mes rêves et de la réalité à mes espoirs : tu m’as rendu le goût de vivre et de partager. Tu m’as montré le chemin du Bonheur et tu as accepté de m’y accompagner...Je sais qu’à nouveau, désormais, et grâce à toi, repousseront dans mon cœur les fleurs les plus belles et les plus odorantes : celles de l’Amour ! Sois sûre que je cueillerai les plus épanouies pour t’offrir le plus tendre des bouquets de la Saint-Valentin !...

Renard FEVRE-TIEULENT

14 février 2011,Ma chérie,prendre la plume a été un sacré challenge… Ne te moque pas, mais je ne suis pas coutumier de l’exercice. Mettre des mots sur mes émotions, trouver la phrase juste, ne pas tomber dans le pompeux ou le ridicule, autant de gageures qu’il m’a fallu relever !Ton compagnon n’est pas vraiment un poète, plutôt un gros dur, parfois mal embouché. Affairé chaque jour aux tâches quotidiennes, il oublie parfois sa chance de t’avoir à ses côtés. Subvenir aux besoins de toute la famille, veiller à la sécurité de chacun, aménager notre intérieur, cela nuit quelque peu à l’inspiration poétique. Le quotidien et la routine sont l’ennemi de bien des couples…Tu ne vas pas le croire, mais si, c’est bien moi qui ai écrit ce poème. Par avance, je te demande d’être indulgente (comme tu sais d’ailleurs, Ma Douce, si bien l’être avec le balourd que je suis). Je me suis hasardé sur un terrain inconnu, osant le sonnet et me creusant la tête à chercher quelques rimes parfois bien maladroites… Si je doute de mon talent de poète, il est une chose dont je suis absolument certain et ce depuis des lustres. Peu importe que tu oublies ces vers, souviens-toi seulement de l’essentiel, ma Rousse : je t’aime.

Ma Rousse,

Compagne de mes jours, compagne de mes nuits,Passionnée ou câline, tendre et attentionnée,Permets-moi de clamer et glapir aujourd’hui

Mon bonheur de t’avoir toujours à mes côtés…

Tes yeux couleur de mousse, tes dents de porcelaine,Ta silhouette svelte, ta démarche dansante,Font de toi, à jamais, mon adorable reine,

Mon idole, mon trésor, ma douce et tendre amante

Quand l’hiver te vêt de pelisses somptueusesQuand nous nous retranchons dans notre nid d’amour

Nos ébats et nos jeux font nos amours rieuses,

Pour la Saint-Valentin reçois tout mon amourLaisse-moi déposer à tes pieds mes cadeaux

Une poule dodue et quelques surmulots.

Renard

De Mme Dominique Fournier

A mon Saint-Valentin pour l’Eternité

Pour ce jour béni, à la première heure du petit matin,Les étoiles ne sont plus que joyaux dans cet écrinEt à mon doigt… sublimes brillants, témoins de nos serments !Gentil mari, lève ton verre,La Saint-Valentin, c’est aussi pour les grands-pères !

Petite terrienne, je sens venir en moi l’énergie d’une martienneEt mon cœur, malin, en oublie âge et chagrinsCar, même si souvent tu n’oses, ton cœur n’est pas de pierre…Sûr ! Nous avons perdu l’allant de nos vingt ans,Tes discours sont souvent absents et je laisse parler le vent…Mais, quand nos regards, par trop, se voilent de pluies et d’embruns.Les mots tendres se couchent sur papier velin…Pour toi qui, pour moi, reste fréquemment en arrière,C’est l’heure de respirer sans trop t’en faireEt d’oublier que ta vie entre en hiver…

Alors, si nos dîners s’éclairent aux chandelles, à dessein,C’est que tout a la saveur du fruit sans pépin,Jusqu’au petit vin qui prend divin goût de chambertin !Empruntons à l’Amour ses tons les plus clairsPour ne plus habiller ce millénaire de gris-vert ;Sous les effusions, tout en confusion, Cupidon calme notre faim,Et le grain de ma peau n’est plus que satin,Quand tout mon être glisse sous tes câlins…Sa majesté la rose, corsetée de pourpre et carmin,Signe notre béguin d’une espérance sans fin…Puisse son subtil parfum enivrer l’air aux quatre saisonsEt te murmurer combien tu m’es cher !

Dans le monde entier, carillonnez cloches d’airain !Portez à mon Valentin, mon cœur sur ce refrain,Pour le remercier d’avoir, à ses côtés,Préservé mon cœur d’enfant étonné !

De FOURNIER Dominique

M’Amour,

Mon Unique, mon Adoré,Pour garder le chemin de ton cœur et en confisquer la clef,Je confie à HERMES, messager des Dieux,Ce petit courrier sucré en « essence-ciel »,Pour qu’il t’arrive… tout étoilé !Tu es feu insolent, réchauffant ma glace,Fusion ardente mais fugace, Où se fondent les différences,Mais d’où renaissent toutes les espérances…Eblouie dans tes bras câlins, mon heure polaire, Caresse celle de l’équateur ;Evanescente, ta culture ensoleillée, Dans un labyrinthe de générosités et de vérités, Eclabousse, trouble ma rigueur réfrigérée…De mes chroniques et autres folies littéraires,S’échappe un halètement épuré,Qui n’aspire plus qu’à louer son roi de cœur…Quand tes yeux de braise rougeoientL’acier bleuté de mon regard azuré,J’y dépose toute ma superbe… tétanisée !Je baisse ma garde, ô bel amant,Depuis plus de trente ans, Dans notre maison murmurante ;Sa mélodie soigne toutes les gerçures, Au fur et à mesure…Un pleur y est fraîcheur d’une goutte de pluie,Un cri : respiration essoufflée…J’angoisse, je meurs, j’espère… je t’y attends…Jours et nuits…Pour ciel de lit, point d’organdi !Je t’offre des portées de comètes alanguies ;Mes prunelles te sont violoncelleSur embellies sensuelles : Musique en apesanteur sur voile d’impudeur, Qui sied à notre bonheur…Je t’aime pour toujours dans l’espace et dans le temps,Je n’ai qu’un désir ardent : T’interviewer au firmament, infiniment, éperdument, Et que nos doigts fuselés, entrelacés, aimantés, Froissent ce papier… pour l’éternité !

Ta Bombe Glacée

De Mélanie GALLO,

Déclaration pour la Saint Valentin

L’amour est une chose importante dans notre vie, tout le monde en a besoin. Même toi, mon amour, tu as besoin de ta moitié, de ton double.

Cherche donc ton âme sœur au plus profond de toi, creuse dans ton cœur et trouve celle qui t’aimera pour l’éternité.

Sans toi mon amour est perdu pour toujours ainsi que mon cœur, j’ai besoin de toi pour survivre à ce cauchemar.

Si quelque chose pourrait disparaître, ce ne serait point mon cœur car il t’appartient pour l’éternité. Le coup de foudre ne peut exister que si tu y crois vraiment. Je t’aime à en crever les yeux.

Pour me trouver, tu auras à faire à de mauvaises rencontres. Tu devras faire face de patience, de courage, ainsi que d’amour pour ta bien-aimée.

Mais fais bien attention parce que l’amour rend aveugle. Nos cœurs sont tout simplement reliés par notre amour d’autrefois. On est fait l’un pour l’autre, on devra surmonter à nous deux nos chagrins, nos larmes, et ainsi que toute notre tristesse pour se retrouver dans les bras de l’autre.

Ma joie de vivre, c’est toi qui me l’as donné, tu me donnes toujours la raison de t’aimer. Les voies du destin nous ont choisis pour l’amour éternel.

Petits et grands ont besoin d’amour, l’amour n’a pas d’âge. Lorsque tu te sens seul, regarde juste les espaces entre tes doigts, et souviens-toi que les miens s’y glissaient parfaitement.

Mais aucun mot d’amour sur cette terre n’est assez fort pour exprimer comment je t’aime ! Mon cœur et le tien sont deux terres compatibles. Tu m’attires et j’en crève, ma seule envie est de te voir.

Comme nous nous le disions souvent : le véritable amour n’a pas de fin malheureuse, car le grand amour c’est pour toujours…

GUYOT Sandrine

Depuis bientôt 15 ans, vous avez changé ma vie.A chaque minute, je me découvre capable d'un amour que je ne mesurais pas, sans rien attendre, juste être là, à tenter de faire de vous de beaux enfants, de vrais enfants, dignes et respectueux, heureux et libres. C’est ce que je fais de mieux : vous aimer.C’est ce qui m’est arrivée de plus beau.Pour vous, rien ne m’est impossible,Pour vous, je ferai tout et je serai le meilleur de moi-même. Un amour de maman, c’est inconditionnel, universel.J’aime ailleurs, d'une autre façon, parfois plus passionnément, parfois avec inconstance ou insouciance, rarement dans la souffrance, mais vous, mes enfants, je vous aime tout simplement.Et puis quand notre petite princesse Mélodie a rejoint les anges, il y a deux ans, vous avez été là, plus forts que moi... Je vous dois tout.Votre rire résonneVous capturez le bonheur comme personneQuand je vous vois apparaîtreC'est le bonheur que je vois naîtreVous êtes la joie de ma vie, vous êtes mes pierres précieuses, votre amour me comble plus que tout. À vos côtés, je suis heureuse, je suis grande, je suis belle. Merci d'être dans ma vie. Je vous aimeVotre maman

Mme Rina HENAUX

L’horloge de mon coeur Un soir d’Eté, nos yeux se sont souris et nos lèvres tout juste effleuréesNous avions à peine vingt ans, le cœur léger et la vie devant nousNous étions amoureux, nous ne nous sommes plus quittésQuarante années se sont écoulées, nous en avons soixanteNous sommes à l’Automne de notre vieMon Amour s’est figé à l’Eté de notre rencontreJe t’aime depuis ce jour et l’horloge de mon cœur est intacteJe t'aime et j'ai peur de l'Hiver qui pourrait nous séparer Cela me fragiliseJe veux encore et toujours me blottir dans tes brasOublier le temps qui passe, profiter de nous deuxIncapable d’imaginer la vie sans toiJe t’aime

Dominique Gabrielle HENRY

A toi mon espoir,

Tu ne le sais pas, mais tu es mon espoir, ma lumière au bout de ce tunnel sans fin de ma vie remplie de solitude.

Tu es aussi le miroir dans lequel je veux me voir vieillir …

On dit que les yeux sont le reflet de l’âme, les tiens sont d’un bleu si pur, couleur du ciel des jours heureux. Je ne les ai vus que quelques heures mais cela a suffi pour qu’ils m’émerveillent et ravissent mon cœur. Depuis ce jour d’octobre, mon âme s’y est égarée …

Depuis ces six mois, je ne t’ai jamais revu. Je t’ai beaucoup écrit et mon cœur t’appartient malgré ce silence chaque jour de plus en plus pesant.

Ma raison a beau lutter, toujours mon cœur lui résiste. Il n’a qu’une envie, parler au tien, cœur à cœur… Lui susurrer des mots doux, des mots sans tabou, des mots d’amour.

Comme j’aimerais de nouveau caresser ta main. Si tu pouvais avoir la même envie que moi, je deviendrais princesse.

Comme j’aimerais que ce rêve, qui dure depuis tant de mois, devienne réalité.Je t’offrirais tous mes bonheurs et tu verrais que je suis la femme faite pour toi.

Croiser ton regard encore une fois au moins dans ma vie est mon seul souhait. J’aimerais avoir la chance de te revoir et, sans rien brusquer, tout doucement, prendre ta main, retrouver ta chaleur et ta douceur et en quelques vers, t’offrir mon cri d’amour :

Je veux de l’affection.Je veux ton attention.Je veux ta tendresseEt plein de caresses.

Je veux de doux baisers.Je veux des émotions.Je veux des sensations.Je veux ta joue frôler …

Je veux de la chaleurDans nos yeux et nos cœursTout plein de confiance,Un rien d’insouciance.

Pour t’aimer simplement

Te gâter tendrementVoir briller tes yeuxEt te rendre heureux …

L’un l’autre, ne passons pas à côté.Ne jouons pas le rôle des galetsQui toujours se frôlent, bon gré mal gréSans jamais essayer de s’apprécier …

Je te dédie ces quelques lignes, à toi, mon espoir …

De Valérie HENRY

Je ferme les yeux, ton visage apparaît. Voilà mon bonheur depuis six mois.

Mais je n’ose plus t’écrire les mots de mon cœur empressé. Je connais bien l’expression « tu fuis ce qui te suit et tu suis ce qui te fuit ». Et certains chemins ne sont faits que pour se croiser sans jamais suivre la même direction …

Je sais aussi qu’à nos âges, les blessures saignent longtemps. Seul le passage de plusieurs saisons permet de guérir. Ou un autre amour …

Aussi, j’aimerais te rendre ces émotions simples et heureuses de la vie des amoureux. Je n’ai qu’un désir : revoir le bonheur dans tes yeux merveilleux.

Si tu m’ouvrais la porte de ton cœur, je t’offrirais toutes mes joies et mes rires. Tu ne connaîtrais plus l’ennui. Au petit matin, tu trouverais de petites douceurs qu’on nomme câlins, puis de petits bonbons acidulés qui font ton bonheur… Et le soir venu, je prendrais ta main pour t’emmener faire un voyage dans un monde connu. Ce monde, c’est celui que nous pouvons construire à deux !

Si tu en avais envie et si tu me laissais faire, je t’offrirais toutes les fleurs de mon jardin, si petit soit-il. Tu ne manquerais ni de couleurs pour redessiner ta vie, ni de senteurs pour ressentir la volupté d’être à deux.

Chaque jour, j’attends un petit signe de toi.Le soir, je prie le ciel à ma fenêtrePour que tu réalises que je tiens à toiDe tout mon être, au delà du paraître.

Tu vois, mes souhaits ne sont qu’un doux murmure, un rêve, un espoir …

Aimer n’est pas forcer. Pour aimer, il faut apprivoiser mais comment y parvenir quand on est loin l’un de l’autre ?

Au travers de ces quelques lignes anonymes, c’est mon cœur que je t’offre, une histoire simple mais belle et remplie de bonheurs à partager, une histoire d’A en toute sincérité.

J’ouvre les yeux, ton visage apparaît : tu lis ces lignes et tu me souris …

A toi que j’attends

De Mme Anne-Laure HUGG

Mon cher Maxime,

Je suis amoureuse,

Les mots me manquent pour t’avouer mes sentiments. Lorsque Cupidon décoche ses flèches, il est difficile de lui résister. Cet ange m’a transpercé le cœur. Depuis, une palette d’émotions a effacé ma raison.

Je suis troublée en ta présence, si tu m’adresses la parole, je bafouille et n’arrive plus à aligner de simples mots afin de formuler une phrase cohérente (à croire que je n’ai jamais fréquenté les bancs des écoles). Lorsque mes yeux rencontrent ton splendide regard azur, je perds pied et j’essaie de garder une contenance et, surtout, je m’interdis de rougir.

Je souhaiterais te déclarer mon inclinaison, mais je n’ose pas, je souffre d’un manque de confiance en moi (la peur du rejet). Mille questions résonnent en moi, tel un maelstrom d’incertitude :Sais-tu seulement que j’existe ? Me trouves-tu attirante ? Me considères-tu comme une amie ou une vague connaissance ? Eprouves-tu pour moi autre chose que de l’amitié ?...

Quel dilemme… Amour ou Amitié, ou est la frontière ?

Il faut que je m’assume et passe outre ma timidité, afin de te dévoiler mes pensées :

Max, je t’aime ! Sans toi la vie ne vaut pas la peine d’être vécue !

Je n’imagine pas l’aventure qu’est la vie sans toi, je rêve de fonder une famille avec toi, de vieillir ensemble et ainsi mener notre barque au fil de l’eau. Que penses-tu de ce projet ? Est-il réalisable ?

Si mon désir le plus cher devait se réaliser, fais-moi un petit signe et, tous deux, nous nous engagerions sur le chemin de l’amour et de la tendresse.

En attendant que mes espoirs se réalisent, je songe à ces instants partagés auprès de toi, aux merveilleux souvenirs que ma conscience me rappelle lors de mes rêveries…

Affectueusement, de tout mon cœur,

Anne-Laure

De Mme Maryvonne JACQUELIN

Délicieuse merveille.

Après bien des années passéesDe nos baisers échangésJamais de moi, tu ne seras oubliéePuisque tu m’as à toi, si fort liéToi, ma belle créatureChef-d’œuvre de la nature.Le feu en moi s’allume, Et me fait de la main, prendre la plume.Tu es ma source d’amourMa fontaine de douceur.Que ton cœur amoureux maintienne le mien vigoureuxJe suis bouche pour toi, puisque tu as le cœur pour moi,Ton cœur est si docile,Que Cupidon y fait son domicile,L’amour de nos vingt ans, A tissé la trame du tempsJe t’aime toujours autant.Je te caresse tout le corps en te regardant au fond des yeux.Les mots, mêmes s’ils ne valent pas la présence,Sont agréables à lire et à entendre.Embrasse-moi d’un lien éternel.

De Mme Christelle LE BARBANCHON

Toi, mon Valentin de la Saint-Valentin,Je te connais peut-être déjàOu alors je te côtoie peut-être.Je suis une femme amoureuse,Amoureuse de la vie,Amoureuse de notre belle France,Notre belle planète bleue,Amoureuse d’un homme,Mais qui ?Toi, mon Valentin de la Saint-Valentin,Je suis un cœur à prendre.Si tu me croises,Si tu me vois,Si tu me parles,Fais-moi un signe.Je pense à toi mon Valentin de la Saint-Valentin.Mon Amour, une belle vie nous attend.Je te couvrirais de feuilles de vigne,Sous un coucher de soleil,Et nous discuterons au beau temps de la Saint-Valentin.Du coucher du soleil au lever du soleil,Nous nous prendrons la main,Nous regagnerons le lacEt nous nous embrasserons sous un peuplier.Nous nous sommes raconté nos viesPendant cette nuitEt nous continueronsA avancer dans le présent,Main dans la main,Cœur contre cœur.Oh, toi, mon Valentin de la Saint-Valentin,Fais-moi un signeEt l’avenir n’en sera que plus beauEt, peut-être, l’année prochaine,Sous un soleil de septembre,Nous passerons devant M. le maire.

De M. Jacky Mauchaussé

Toi, belle Martine… Ma Valentine !A tout juste dix-sept ans… tu as interpellé mes 22 ans !Avec des belles dents du bonheur… sourire allant droit à mon cœur !Tes yeux verts, ton regard de feu… ta silhouette : j’étais pris au jeu !S’en suivent : tendres mots d’Amour… sur cartes de Peynet, toujours !Danser follement… tout contre toi… devient comme un plaisir de Roi !Tellement ensemble on est soudés… que l’on décide tôt de se marier !Au travail : assidus tous les deux ; en vacances : on est heureux !3 petites têtes blondes chéries… ajoutent Bonheur à notre vie !Avec les sports, l’éducation : nous sommes à l’unisson !Entre nous et les belles : … relations fusionnelles !Puis : c’est sans elles… toujours la vie belle !44 ans d’union… 46 ans de passion !Et… toujours… avec l’Amour !Le désir… le plaisir !Très bonne fête !Ton Valentin,Jacky…Qui…T’.

De Tiphanie Mayot

Mon Amour,

Je t’écris cette lettre car cela fait huit ans que tu partages ma vie et il y a des choses que je ne t’ai peut-être jamais dites. Il est vrai que l’on ne pense pas toujours à exprimer nos sentiments car, souvent, ceux-ci nous paraissent tellement évidents que l’on ne juge pas nécessaire de les transformer en paroles.Quoi qu’il en soit, en pensant à la Saint-Valentin, la fête des Amoureux, j’eu notamment envie de te remercier.Pour cela, je t’ai écris un poème, inspiré par tout l’amour que j’ai pour toi.

Merci pour ton premier baiser,Celui qui m’a sauvée.Merci de m’avoir regardée,Comme personne ne l’avait fait.Merci pour tous les moments de bonheurEt ton soutien dans ceux de malheur.Merci de m’avoir offert la joie d’être mamanEt d’illuminer ma vie à chaque instant.Merci de ne retenir de moi que le bienEt de passer outre le moins bien.Merci de me trouver belleEt de faire jaillir de mon cœur des étincelles.Merci pour tout ce que tu m’as apportéEt de m’avoir tant aimée.Merci simplement pour être toi,Celui sans qui je n’y arriverais pas.

Voilà, j’espère que ce poème t’a plu et je te remercie vraiment de tout mon cœur ! Tu es un papa et un conjoint extraordinaire.Il est vrai que notre vie n’a pas toujours été parfaite et que nous avons vécu quelques malheurs durant ces huit années. Mais parfois il suffit de pas grand-chose et sache que s’il suffirait d’une fleur pour te donner du bonheur, alors j’en cueillerais de toutes les couleurs. Et que s’il suffirait d’un conte de fées pour que tout soit parfait, alors j’en écrirais des milliers. Notre amour est plus fort que tout, rien ne l’a jamais éteint, c’est pour cela que j’aimerais que tu deviennes mon mari et parce que je t’aime à l’infini. Veux-tu m’épouser ?

De NAUDET Maryline

Déclaration amoureuse

Me mettre à nu pour t’exprimer ce que je ressensest pour moi un exercice déstabilisantDès que nos regards se sont croisésJe me suis sentie toute bouleversée,De la tête aux piedsMon corps s’est mis à frissonnerSans comprendre ce qu’il m’arrivaitCette force émotionnelle, de jour en jour, m’envahissaitIl m’aura fallu du tempspour voir que tu étais là, sous mes yeux, évidentPlus que tu ne crois,Mon amour n’est désormais que pour toiL’amour est le partage des cœurset nous sommes tous deux vainqueursQuelques années nous séparent, et alors ?Mettons tous ces préjugés dehorsEt si nous dessinions notre amourIl ressemblerait à un gant de veloursTelle une caresse sur ma peaudevenue la plus belle des gouttes d’eauTu m’as montré le sentier qui mène à l’amourToi mon amour de tous les joursNos regards échangésme donnent envie de t’enlacerJe ferme les yeux, je rêve un peuJe nous vois tous les deuxMain dans la main, le cœur légerqu’il est si beau d’aimerNos caractères si différentsnous rapprochent finalementTes lèvres si douces contre les miennesen valent bien la peineTa peau telle une sculpture,est d’une douceur si pureL’attraction de nos deux corpsJe me donne à toi sans remordsJ’aime cette complicité avec toiqui me met tout en émoiTu es ma plus belle histoireNotre amour, je veux y croireTous ces moments magiques,Tous ces instants romantiquesJe veux les vivre à cent pour centDans tes bras je les ressensToi l’homme au regard si intense et mystérieuxJe voudrais te rendre heureuxCe sentiment si puissant me trouble tellement

Aimons-nous tout simplementLe verbe aimer se conjugue à tous les temps,Moi je préfère le présent,Je t’aime

Christian PORTANIER

Ma bien-aimée,

votre absence remplit la maison de ce silence que seuls les morts côtoient dans la profondeur de leur sépulture. Ici tout est figé depuis votre départ, comme si la vie avait décidé d’interrompre son souffle. Me voilà capitaine d’un bateau fantôme errant comme une âme en peine et bien incapable de maintenir un cap sur cet océan de vide et de désespoir.J’essaye en vain de me changer les idées, me promenant tantôt à la campagne, tantôt au bord de mer. Mais là où le chant des rossignols rendait mon cœur léger et mon âme vagabonde, je n’entends plus qu’une complainte portée au loin par le vent sur l’immensité de la lande. Et que dire du spectacle des vagues se déchirant sur les rochers libérant une écume fine et légère si agréable habituellement à mes yeux et qui aujourd’hui ne ressemble plus qu’à un monstre étalant son linceul sur la côte.Alors je rentre et la porte de notre maison s’ouvre à nouveau sur mon monde de solitude.Me voilà à faire les cent pas me demandant, «Où est elle? Que fait-elle? Va-t-elle bien?», allant jusqu’à imaginer le pire comme pour me faire encore plus mal. Mes journées interminables ne laissent place qu’à des nuits qui n’en finissent plus.Depuis votre départ tout en moi a changé. Mon sourire et ma joie de vivre ont disparu, laissant place au désespoir et bien souvent aux larmes. Le sommeil, lui aussi, m’a abandonné. Je ne m’endors que terrassé par la fatigue. Je ne mange plus. C’est comme si, en moi, un programme d’autodestruction s’était engagé. Je souffre ma bien-aimée. Mais loin de moi de me plaindre car je souffre du plus beau mal que l’on puisse souhaiter : du mal de vous.Alors, si, comme je le ressens, ce mal de vous est aussi un mal d’amour, vous trouverez ma bien-aimée en ce billet non une complainte mais bien une lettre d’amour.CP

De M. Lionel Potey, à Pouilly-sur-Vingeanne

Ma Petite Chérie,

En ce jour de Saint-Valentin,J’aimerais te prendre la main,T’emmener vers des lendemainsOù tout nous semblerait sereinEt de te couvrir de câlins,Tant je sais que tu aimes bien.Nous emmènerions nos bambins,La vie sans eux ne serait rien.

Oh, ma tendre et douce chérie,Tout simplement je veux te dire,Que de t’avoir, Dieu est béni,Que de te voir, tout me suffit,Sans toi mon cœur serait si vide,Que le ciel ne serait tout gris,Et mon amour ne s’affaiblitBien au contraire il s’amplifie.

Oh, ma tendre et douce Isabelle,Non, notre amour n’est pas virtuel,Ton regard doux est si charnel,Le contempler devient rituel,Tu es si drôle et si sensuelle,Vivre sans toi serait cruel.

Oh, ma tendre et douce amoureuse,Moi qui te trouve si merveilleuse,Tu es exquise et voluptueuse,Tu es divine et généreuse,Et plus encore, tu es gracieuse,Je n’ai qu’un but, te rendre heureuse.

Oh, ma tendre et douce poupée,En souvenir de ces années,Je veux t’offrir une journéeAussi magique qu’un conte de fées,Alors suis-moi dans ces allées,Remplies de rêves et d’azalées.

Seize ans aujourd’huiQue nous sommes unis.Seize ans aujourd’huiQue tu me souris.

Après autant d’annéesPassées à tes côtés,Je le veux, je le sais,

C’est pour l’éternité.

Surtout, n’aie aucun doute,Quand je dis sans détour,Que tu es mon amour,Pour la vie, pour toujours.

Maintenant, si tu veux,Continuons ce chemin,Pour qu’il nous mène au mieuxVers de beaux lendemains.

Valencia STROPSA

Mon cœur, ma vie a changé quand je t’ai rencontré. Tu te souviens ? C’était à l’armée, tu étais mon instructeur et j’ai tout fait pour t’impressionner ; et ça a marché. Depuis, je ne cesse d’essayer d’être forte et de te rendre fier. Comme de sauter à l’élastique pour te prouver que tu me donne des ailes et le courage de tout surmonter. Tu es ma raison de vivre, ma raison de me battre et de toujours me surpasser. Depuis ton cancer, je me suis rendue compte qu’il faut profiter des instant présents car tout peut s’arrêter. Alors je profite de toi, de tes câlins, de tes baisers, de ta présence tout simplement. Et finalement le bonheur est fait de toutes petites choses, il faut juste s’en rendre compte et les valoriser. Quand j’y repense, on a vécu tellement de bons moments ensemble, tellement d’aventures et j’espère en vivre encore des milliers. C’est vrai que, depuis que je t’ai rencontré, tout a changé. Maintenant, j’ai des projets. Je ne cesse de penser à notre avenir, à notre mariage et à tant de choses à partager. Tout ce que je demande, c’est de pouvoir faire ma vie avec toi, avec ta présence et non ton souvenir. Alors bats-toi, bats-toi pour tes filles, pour ta famille, pour nous, pour tous ces beaux moment à venir. La seule chose que je voudrais rajouter, c’est bonne saint Valentin. Je t’aime à la folie et tu es mon rayon de soleil. Tu me rends heureuse tous les jours et depuis que tu es rentré dans ma vie, j’ai découvert ce qu’était le bonheur : un regard, un sourire, un petit geste, un baiser, c’est ça qui me rend heureuse. Alors merci de partager ma vie. Je t’aime.