Upload
e
View
216
Download
3
Embed Size (px)
Citation preview
A angu
P
5FtaaE
A
MIceêésMdgldsg2RtVsbmsCge
h
5CaBG
B
MCIrlrMl3dnR(fiet8r
lpdpvslvCl
h
5ScKFVa
b
C
MJrpplOcPMid4Rbealéc9sl9mdCP
h
5MhaKME
164 17e Congrès de pneumologie de l
O16 — tuberculose
19acteurs allongeant le délai de diagnostic de lauberculose pulmonaire après un premier recoursux soins dans un service de santé en milieufricain. Bemba , K. Horo , A. Diaw , A. Kouassi , E.K. Aka-Danguy
Service de pneumologie du centre hospitalier universitaire,bidjan, Côte d’Ivoire
ots clés : Tuberculose ; Délai de diagnostic ; Côte-D’ivoirentroduction.— Un allongement du délai de diagnostic de la tuber-ulose peut avoir comme conséquence l’aggravation de la maladiet l’augmentation du risque de transmission. Cet allongement peuttre dû aux patients et ou aux services de santé. Le but de cettetude est de déterminer les facteurs imputables aux services deanté dans le retard de diagnostic de la tuberculose.éthodologie.— Nous avons réalisé une étude prospective au seines patients ayant consulté un centre de santé avant leur dia-nostic de la tuberculose pulmonaire à microscopie positive danse centre antituberculeux d’Adjamé. Elle a été comparative entreeux groupes de patients : 120 patients ayant un délai de diagnosticupérieur ou égal à 30 jours et 116 patients ayant un délai de dia-nostic inférieur à 30 jours, tous ayant consulté entre mai et juillet012 au centre antituberculeux d’Adjamé.ésultats.— Les facteurs allongeant le délai de diagnostic impu-ables aux services de santé sont : une sérologie positive auIH [OR = 2,423 (1,067—5,502), p = 0,034], un début brutal de laymptomatologie [OR = 2,777 (1,106—6,973) ; p = 0,029], une anti-iothérapie empirique [OR = 2,840 (1,415—5,697), p = 0,003], deultiple recours aux soins conventionnels(hôpitaux ; centre de
anté public ou privé) [OR = 5,1434 (2,5682—10,3007), p < 0,001].onclusion.— La recherche des facteurs allongeant le délai de dia-nostic est fondamentale, celle-ci permettra d’améliorer la prisen charge et de diminuer la période de contagiosité des patients.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.546
20aractéristiques épidémiologiques des tuberculeuxdmis au régime de retraitement à Cotonou auénin. Agodokpessi , S. Ade , P. Wachinou , G. Ade , M. Gninafon
Centre national hospitalier de pneumo-phtisiologie, Cotonou,énin
ots clés : Tuberculose ; Retraitement ; Épidémiologie ;otonou ; Pays en développement
ntroduction.— Le risque élevé de pharmacorésistance associé auetraitement est bien connu. L’objectif de ce travail était de décrirees caractéristiques épidémiologiques des tuberculeux admis auégime de retraitement.éthodologie.— Une étude rétrospective a été menée sur tous
es cas de retraitement admis entre le 1er janvier 2005 et le1 décembre 2009 à Cotonou. Les caractéristiques épidémiologiqueses différents types de retraitement ont été comparées à celles desouveaux cas enregistrés dans la même période.ésultats.— Les cas de retraitement représentaient 521/506310,29 %) de l’ensemble des cas. Leur nombre était en régression aul des ans. 389/521 (75 %) des dossiers de retraitement exploitablest 4542 dossiers de nouveaux cas ont été analysés. Les différents
ypes de retraitement étaient les rechutes 242 (62 %), les reprises3 (21 %) et les échecs 64 (17 %). La forme de tuberculose anté-ieure était dans la quasi-totalité pulmonaire. Le délai moyen entreMIv
e francaise — Lille, vendredi 1er au dimanche 3 février 2013
e primo traitement et le retraitement était de 18 mois [3—58 mois]our les reprises et de 30 mois [4—161 mois] pour les rechutes. Desifférences sont observées entre les rechutes et les nouveaux casour l’âge (37 ans vs 34 ans, p < 0,01), la prévalence masculine (80 %s 68 %, p < 0,01), et la séroprévalence au VIH (27 % vs 16 %, p < 0,01)eulement pour la prévalence masculine (86 % vs 68 %, p < 0,05) poures reprises. Il n’a pas été noté de différence entre échecs et nou-eaux cas.onclusion.— Les retraitements sont dominés par les rechutes dont
es caractéristiques épidémiologiques diffèrent des nouveaux cas.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.547
21ujets infectés par le VIH : pneumonieommunautaire versus tuberculose pulmonaire. Horo a, A.K. N’gom a, A.B. Kouassi a, G. Siransy-Kouakou b,. Koné-Konaté a, S. Tagne a, K. Foutoupouo a, A. Diaw a,.C. Brou-Godé a, B.N. Koffi a, E. Aka-Danguy a
Service de pneumologie, CHU de Cocody, Abidjan, Côte d’IvoireDépartement de pharmacologie, université de Cocody, Abidjan,ôte d’Ivoire
ots clés : Tuberculose pulmonaire ; Pneumopathie aiguë ; VIHustification.— Les pneumopathies aiguës communautaires bacté-iennes (PACB) et la tuberculose (TB) pulmonaire sont les deuxrincipales causes d’infections respiratoires basses dans les paysauvres ; avec des erreurs diagnostiques fréquentes attestées para discordance entre le diagnostic pré-et post mortem.bjectif.— L’objectif de cette étude est de présenter les argumentsliniques et paracliniques distinctifs de la TB pulmonaire et desACB.éthodologie.— Notre étude rétrospective au sein des patients
nfectés par le VIH, a comparé les aspects cliniques et paracliniquese 64 cas de TB pulmonaire à microscopie positive [TPM(+)] contre2 cas de PACB.ésultats.— En analyse univariée, les PACB étaient d’installationrutale, avec une douleur thoracique, un syndrome de condensationt l’hyperleucocytose. Les TPM(+) étaient d’installation insidieuse,vec les signes généraux plus fréquents et les lésions radiologiquese plus souvent bilatérales et excavées. Le taux des leucocytestaient 7334 ± 6290/mL en cas de TB contre 15852 ± 26936/mL enas de PACB (p = 0,017). La CRP était supérieur à 200 mg/L dans,8 % des cas de TPM(+) contre 33,3 % des PACB (p = 0,001). À ceeuil, la sensibilité et la spécificité de la CRP dans le diagnostic dea PAC comparée à la TPM(+) étaient respectivement de 33,3 % et0,2 %. Les patients atteints de TPM(+) étaient plus immunodépri-és. En analyse multivariée, les deux entités ne présentaient pase différence.onclusion.— Les aspects différentiels entre la TB pulmonaire et lesACB existent mais sont peu discriminants.
ttp://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2012.10.548
22ortalité des patients infectés par le VIH enospitalisation pneumologique en milieu noirfricain. Horo , A.B. Kouassi , A. Diaw , A.K. N’gom , V.C. Brou-Godé ,.O. Koffi , S.F. Manewa , F. Koné-Konaté , B.N. Koffi ,. Aka-Danguy
Service de pneumologie, CHU de Cocody, Côte d’Ivoire
ots clés : Pneumologie ; VIH ; Mortalité ; Abidjanntroduction.— La prévalence de l’infection par le VIH est très éle-ée en milieu pneumologie à Abidjan. Le but de l’étude est de