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ב״הRéalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ Protéger les orphelins! Un sage du nom de Aba avait l’habitude de garder chez lui l’argent des orphelins afin qu’ils ne le perdent pas. Quand ils en avaient besoin, il le leur rendait. Un jour, les orphelins vinrent récupérer leur argent mais Rabbi Abba était décédé ! Ils demandèrent donc à son fils Shmouël de leur rendre leur argent. Ne sachant où il se trouvait, Rabbi Shmouel alla sur la tombe de son père lui demander où se trouvait l’argent. Il interrogea les anges: « Savez-vous où je peux trouver Rabbi Abba ?? » « Il y a de nombreuses personnes du nom de Abba ici !! » Il se nomme Abba ben Shmouël et père de Shmouël ! » Apres avoir rencontré son défunt père, il lui posa la question et le sage lui répondit: « Il se trouve derrière la planche, là où nous avions l’habitude de préparer la farine. Là-bas, tu trouveras trois couches d’argent; la couche inférieure est à nous, la couche supérieure également, la couche intermédiaire elle, appartient aux orphelins.» « Père, pourquoi avoir disposé ainsi l’argent ?? » « Ecoute mon fils, si un voleur venait, c’est notre argent qu’il volerait et non celui des orphelins ! Si la planche se brisait, ce serait notre argent et non celui des orphelins qui serait perdu !! Que notre argent risque d’être perdu ce n’est pas important, mais que nul dommage ne soit fait à l’argent des orphelins !!! » Chabat Terouma 2 Adar/21 Février 2015 Entrée: Sortie: New-York: 5:18pm 6:19pm Paris: 18:00 19:08 Tel-Aviv: 17:12 18:09 ADAR Lors d’une année bissextile, le mois de Adar est double. Pourquoi est-ce le mois de Adar et non un autre mois qui est double ?? Nos sages enseignent que si c’est justement le mois de Adar qui est double, c’est pour nous enseigner la force et l’importante de la joie dans le service de D… 1

Terouma 5775/2015 !

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Chabath Chalom !

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Page 1: Terouma 5775/2015 !

ב״ה

Réalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

Protéger les orphelins! Un sage du nom de Aba avait l’habitude de garder chez lui l’argent des orphelins afin qu’ils ne le perdent pas. Quand ils en avaient besoin, il le leur rendait. Un jour, les orphelins vinrent récupérer leur argent mais Rabbi Abba était décédé ! Ils demandèrent donc à son fils Shmouël de leur rendre leur argent. Ne sachant où il se trouvait, Rabbi Shmouel alla sur la tombe de son père lui demander où se trouvait l’argent. Il interrogea les anges: « Savez-vous où je peux trouver Rabbi Abba ?? » « Il y a de nombreuses personnes du nom de Abba ici !! » Il se nomme Abba ben Shmouël et père de Shmouël ! » Apres avoir rencontré son défunt père, il lui posa la question et le sage lui répondit: « Il se trouve derrière la planche, là où nous avions l’habitude de préparer la farine. Là-bas, tu trouveras trois couches d’argent; la couche inférieure est à nous, la couche supérieure également, la couche intermédiaire elle, appartient aux orphelins.» « Père, pourquoi avoir disposé ainsi l’argent ?? » « Ecoute mon fils, si un voleur venait, c’est notre argent qu’il volerait et non celui des orphelins ! Si la planche se brisait, ce serait notre argent et non celui des orphelins qui serait perdu !! Que notre argent risque d’être perdu ce n’est pas important, mais que nul dommage ne soit fait à l’argent des orphelins !!! »

Chabat Terouma 2 Adar/21 Février 2015

Entrée: Sortie: New-York: 5:18pm 6:19pm Paris: 18:00 19:08 Tel-Aviv: 17:12 18:09

ADAR Lors d’une année bissextile, le mois de Adar est double.

Pourquoi est-ce le mois de Adar

et non un autre mois qui est double ??

Nos sages enseignent

que si c’est justement le mois de Adar qui est double,

c’est pour nous enseigner la force et l’importante

de la joie dans le service de D…

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« Tikhou ète teroumati» Rachi nous rapporte qu’il existe trois sortes de dons; ceux qui servaient aux socles, ceux qui servaient à acheter les sacrifices et ceux servant à la confection du Michkan et de ses ustensiles. Le premier sert aux socles qui sont la base et les fondations du Michkan, ils correspondent donc à l’etude de la Thora qui est elle, la base de la vie Juive. Le second sert aux sacrifices, ils représentent la Tefila qui remplace les sacrifices. Le dernier correspond aux bonnes actions (guemilout Hassadim). Or nous voyons bien que la Thora passe beaucoup plus de temps à parler du dernier, puisque tel est le but de la création du monde, qui consiste à faire du matériel, du spirituel.

« Ils ne devront pas être retirés ! » Pour quelle raison ne devait-on pas retirer les barres lorsque le Michkan était à l’arrêt ?? Les barres se trouvent sur l’arche, dans laquelle se trouvent les rouleaux de la Thora. Les barres servent à déplacer l’arche et à l’amener d’un endroit à un autre. Or, quand on souhaite s’approfondir dans l’étude, se concentrer, on a tendance à oublier le monde extérieur; c’est pour cela que la Thora nous demande de ne jamais retirer les barres, pour nous signifier qu’il ne faut jamais cesser d’être lié à l’extérieur.

Résumé de la Parachat Terouma * Hachem demande aux Bné Israël d’offrir des matériaux pour la construction du Michkan. * Ces matériaux sont au nombre de 15. * Les ustensiles du Michkan: le Aron, l’arche et son couvercle, le Choulhan et la Menora. * La fabrication de l’enceinte du Michkan, des parois, des socles, des tentures, et du parvis. * La fabrication de l’autel destiné aux sacrifices. * Après la formation du peuple par la sortie d’Egypte, le don de la Torah et de ses lois, * Moché reçoit l’ordre dans la Parachat Terouma de fabriquer un Sanctuaire afin qu’Hachem réside au milieu d’Israël. * Hachem demande à Moché de recevoir de la part des Bné Israël des dons pour le Sanctuaire afin de confectionner l’Arche, le Kaporet et les Kerouvim, la Menora et le Choulhan pour les pains de proposition, les tentures qui recouvrent le Sanctuaire d’en haut, les poutres, les rideaux et le Parokhet pour faire la séparation entre les différents niveaux de sainteté.

« Veyikrou li terouma » Au tout début de notre Paracha, nous trouvons l’ordre de faire des dons afin de confectionner le Michkan et ses ustensiles. Rachi explique qu’il faut que ce don soit fait Lichma, pour Hachem exclusivement. A priori, il s’agit ici de celui qui fait le don; mais le Rabbi fait remarquer qu’il ne peut s’agir de lui car le texte est clair, si la personne refuse de donner, les envoyés du Beth-Din pouvaient venir lui prendre de force ! Nous voyons bien qu’il ne s’agit pas d’un don Lichma !!! De plus, le texte dit bien: « Ils prendront pour moi » ce qui montre bien que c’est le fait de prendre et non de donner qui doit être fait Lichma ! En réalité cet ordre vise les responsables de la Tsedaka, qui devaient prélever les dons au sein du peuple. Cela signifie que lorsque le responsable ou le pauvre reçoivent de l’argent, ils doivent être conscients que ces dons n’ont d’autre but que de rajouter du bien dans le monde, c’est pour cela uniquement qu’Hachem désira qu’il y ait des riches et des pauvres. Il ne faut pas penser que cet argent sert à aider le pauvre car cela, c’est le travail d’Hachem ! Hachem n’a pas besoin de nous pour faire tourner le monde et si Hachem décide de faire appel aux hommes, c’est uniquement pour leur donner du mérite. Nos sages disent d’ailleurs: « Hachem n’a créé le pauvre que pour les besoins du riche !! » (et pas le contraire).

« Méète kol ich » A propos de ce don, nous voyons qu’il ne s’adresse qu’aux hommes alors que les femmes ont, elles aussi, participé !! Si l’ordre ne vise que les hommes, ce n’est pas pour exclure les femmes, mais tout simplement parce que le lien qui unit les femmes à Hachem est bien plus fort qu’avec les hommes, et qu’elles agirent sans avoir besoin de cet ordre ! Nous trouvons par ailleurs que les femmes ne participèrent pas au veau d’or, pour la même raison; elles n’avaient aucun doute et aucune faiblesse dans leur confiance en Hachem !!!

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Peut-être votre D…. se permet de vous donner des

commandements aussi évidents mais pas le mien qui est pure spiritualité, en harmonie totale avec la nature… !» Le rabbin lui répondit poliment, ils discutèrent un peu après le cours, il insistait sur le fait que l’homme sans Torah peut devenir pire qu’un animal mais elle ne pensait qu’à son gourou et refusait son raisonnement.

Le lendemain, elle reprenait l’avion.

Dès son arrivée, l’initiation reprit : Il s’agissait maintenant de gravir avec le gourou et ses assistants une haute montagne, de laisser le monde profane en bas et de s’élever vers la sainteté. Le paysage était sublime, le but allait enfin être atteint ! Environ une heure avant l’arrivée au sommet, le gourou remarqua un objet sur le sol. Il se pencha, le ramassa : C’était un porte-monnaie sans doute perdu par un des randonneurs de la cordée précédente. Le gourou le fourra dans sa poche. Avigaïl avait remarqué l’incident et suggéra au gourou de vérifier s’il y avait peut-être des signes d’identification du propriétaire dans le porte-monnaie. « Non ! répondit calmement le gourou du haut de ses connaissances: ma divinité me l’a donné pour des raisons à elle seule connues et je l‘accepte ! »

Avigaïl était choquée: les mots de Rav Halperin résonnaient dans

sa tête: « sans Torah, l’homme peut se comporter comme un animal, sans conscience du bien et du mal… » Quand ils arrivèrent au sommet, le gourou demanda au groupe qui était prêt à s’engager au service de sa divinité: Tous répondirent oui avec enthousiasme… Sauf Avigaïl qui entreprit immédiatement de redescendre de la montagne. Elle prit le premier avion possible pour quitter immédiatement cet environnement d’idolâtrie, d’impureté et de mensonges. Elle se plongea cette fois dans l’étude approfondie du judaïsme et fonda un foyer durablement attaché à ses valeurs et traditions millénaires.

De fait, le gourou avait eu raison sur un point :

D…. a des raisons et des plans connus de Lui seul et nul ne peut les prévoir…

Le récit de la semaine

Objet perdu !!!

Appelons-la Avigaïl : comme des centaines de jeunes israéliens, après

son service militaire, elle était partie en Inde découvrir le vaste monde et surtout chercher «La vérité». Mais contrairement à ses camarades, elle avait enfin trouvé ! Comme eux, elle avait expérimenté les différentes spiritualités, les gourous, les yogis, les régimes végétariens et les rites les plus contraignants. Peu enthousiaste, elle s’apprêtait à retourner, déçue, quand elle entendit parler d’une secte différente qui vivait au fond de la forêt. Il lui fallut plusieurs semaines d’un voyage harassant à travers la jungle mais finalement elle trouva ce groupe et… «La Vérité» ! Cette fois, c’était vrai ! Le gourou était humble et calme mais animé d’une flamme intense remarquable.

Le groupe n’acceptait pas facilement de nouveaux membres,

l’initiation était rude, la nourriture rare, le confort inexistant mais Avigaïl ressentait qu’enfin sa vie avait un sens et, de semaine en semaine, elle s’élevait à des niveaux spirituels dignes d’éloges de la part de son nouveau mentor. Finalement, le gourou décida qu’elle était mûre pour accéder au niveau suprême : elle pouvait devenir prêtresse ! Le bonheur assuré pour l’éternité, la supériorité spirituelle sur tous les autres êtres humains… Elle avait néanmoins gardé le contact avec ses parents à qui elle téléphonait quelques minutes chaque semaine, gardant plus ou moins le silence sur ses véritables expériences en Inde. Mais cette fois-ci, elle ne put contenir sa joie et leur annonça qu’ils pouvaient être fiers d’elle puisqu’elle avait atteint le niveau suprême de spiritualité ! Une prêtresse ! Loin d’être pratiquants, ses parents n’étaient tout de même pas prêts à accepter une telle démarche. Mais leurs protestations restèrent vaines: qu’avaient-ils d’autre à lui proposer ? L’argent ? Une carrière ? Le mariage ? La vie de famille ? A quoi bon, elle avait trouvé la vérité et rien ne l’empêcherait plus d’être enfin heureuse.

Mais justement à ce moment, ses parents lui annoncèrent que sa

grand-mère adorée venait de décéder. Peinée, elle décida de reprendre le premier avion pour assister aux funérailles en se promettant de rentrer «à la maison» en Inde le plus rapidement possible. Ses parents étaient décidés à lui faire changer d’avis. Ils supplièrent des rabbins, des professeurs et des psychologues de s’occuper d’elle mais ils avaient sous-estimé sa détermination. Le Chabbat après-midi, son père insista pour qu’elle l’accompagne à un cours donné par Rav Meir Halperin, l’émissaire du Rabbi dans leur synagogue de ‘Holon. Celui-ci expliquait justement que l’obligation de rendre un objet à son propriétaire semblait logique mais, comme le précisait le Rabbi de Loubavitch – c’était surtout et même essentiellement un commandement de D…. qui devait être accompli comme toutes les autres Mitsvot et non uniquement par bonté d’âme. Avigaïl explosa : «Et pourquoi pas accomplir le bien parce qu’on le ressent comme tel ? Tout le monde sait qu’il est normal de rendre un objet perdu, ce n’est que justice !

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La bénédiction suivante est celle qui traite des traitres. A une certaine époque, les traitres et les délateurs se sont multipliés et la menace d’une dérive était grande. Ces traites incitèrent de nombreuses personnes à abandonner la Thora, c’est pourquoi Rabbi Gamliel décida de rajouter aux 18 Berahot, une 19e, qui est une demande à Hachem de faire disparaitre les traitres et les délateurs. Il demanda pour cela à Hillel Hakatane de rédiger ce texte, ce qu’il fit sous inspiration Divine. D’un sens simple, il s’agit de faire disparaitre les traitres Mais dans son sens plus profond, il fait référence à la venue du Machiah où tout le mal disparaitra de la surface de la terre ! On raconte à ce propos que Rabbi Méir fut un jour dérangé par des voisins au comportement peu louable; il voulut donc prier pour qu’ils disparaissent, selon les termes du verset: «YTAMOIU HATAYIM MINE HAARETS». Mais son épouse, la Rabbanit Bérourya lui fit remarquer que le texte ne parlait pas de faire disparaitre les pécheurs, mais uniquement les fautes !! Il fallait donc prier pour que les pécheurs fassent Techouva ! Ce qu’il fit et qui produisit son effet rapidement. (Rabbi Méir ne s’était pas trompé, c’est simplement qu’il considérait que quand un Juif faisait une faute Has Vechalom, la personne et la faute faisaient un ! Dans ce cas, la disparition de la faute équivaut à la disparition de la personne !!! ) Lorsqu’on parle dans cette bénédiction des traitres, il faut distinguer le cas du traitre Goy, le traitre Juif mais aussi le traitre qui séjourne au fond de notre cœur; C’est aussi (surtout) à lui qu’il faut penser en récitant cette bénédiction. Il faut en outre distinguer le mal que l’on doit faire disparaitre, du mal que l’on doit retourner, afin de transformer l’ennemi en ami ! C’est en voyant les Egyptiens se noyer lors de l’ouverture de la mer que les anges entonnèrent cette bénédiction.

Iguérot Kodesh 34 Par la grâce de D.ieu, Quatrième lumière de 'Hanouka 5703, A notre cher donateur, le Rav ... Je vous salue et vous bénis, Vous avez sans doute déjà reçu votre carte de membre du groupe de Michna apprise par cœur. La Guemara établit le principe de la responsabilité collective des Juifs. Le Rabbi Chlita note, à ce propos, que le mot Arev a, en outre, deux autres significations, agréable et interdépendant. Ainsi, un Juif est agréable à un autre Juif, l'un et l'autre sont interdépendants. C'est pour cela qu'ils ont une responsabilité collective. Tel est le contenu de ses propos. C'est grâce à la Torah unique que les Juifs constituent un peuple unique et unifié à l'Eternel notre D.ieu, Qui est Un. Nous avons donc bon espoir que vous ne vous contenterez pas d'aspirer à votre propre bien, mais que vous rechercherez également celui des autres, en prenant la plus large part à l‘œuvre entreprise par le Mahané Israël. Comme le Rabbi Chlita l'a maintes fois souligné, nous nous trouvons dans les derniers instants de l'exil. La Torah et la Techouva sont les seuls moyens d'alléger les douleurs de l'enfantement du Machiah. L'amour que chacun doit éprouver pour son prochain doit mettre en éveil la plus profonde pitié envers celui qui, à l'époque actuelle, n'a pas encore accédé à la Techouva. Les coupures de journaux dont nous disposons vous permettront de comprendre que, compte tenu de la situation, il vous est beaucoup plus facile de commencer à agir. Avant de le faire, il semble qu'il s'agisse d'une tâche difficile. Puis, lorsque l'on se met au travail, on connaît le succès, avec l'aide de D.ieu. Dans l'attente de votre réponse, et avec ma bénédiction de Techouva immédiate, délivrance immédiate, Rav Menahem Schneerson Directeur du comité exécutif N. B: Le Rabbi Chlita vient de diffuser la lettre que nous vous joignons. Il est très important de lui apporter la plus large diffusion possible, par exemple en l'accrochant dans les synagogues.

Ce feuillet est dédié à l’élévation de l’âme de

la petite ADELE BAT RAFI et ADVA et de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV

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