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table des matières page 2 page 3 page 4 page 5 page 6 page 7 page 8 schauspielhaus location par téléphone et abonnements de 10 à 19 heures ouverture des caisses une heure avant la représentation rämistrasse 34 I 8001 zurich I 01 265 58 58 informations sur les dates des spectacles t 01 265 57 60 I www.schauspielhaus.ch 13 - 22 juin 2009 — schauspielhaus zurich La comédie à succès de l’américain Ken Ludwig « Lend me a Tenor », en version allemande Otello darf nicht platzen (Otello doit avoir lieu) Le Staatstheater Cottbus avec une version scénique du roman de Theodor Fontane Effi Briest Une mise en scène enjouée de Pierre Carlet de la comédie de Marivaux Arlequin poli par l’amour « Steps #8 » avec le Nederlands Dans Theater III avec Meryl Tankard Merryland Brunch Kurt Weill avec l’actrice et chanteuse Gisela May Die Kinder des Teufels De Felix Mittlerer Agenda Les représentations du Schauspielhaus en août/septembre 2009 Theaterfestwochen Zurich 2009

Theaterfestwochen Zurich

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Programme de la semaine du théatre à Züruch

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Page 1: Theaterfestwochen Zurich

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schausp ie lhaus

loca t ion pa r t é l éphone e t abonnements de 10 à 19 heu res

ouve r tu re des ca i sses une heu re avan t l a rep résen ta t i on

rämis t rasse 34 I 8001 zu r i ch I 01 265 58 58

in fo rmat ions su r l es da tes des spec tac les

t 01 265 57 60 I www.schausp ie lhaus .ch

13 - 22 juin 2009 — schauspielhaus zurich

La comédie à succès de l’américain Ken Ludwig « Lend me a Tenor »,

en version allemande Otello darf nicht platzen (Otello doit avoir lieu)

Le Staatstheater Cottbus avec une version scénique du roman de Theodor Fontane

Effi Briest

Une mise en scène enjouée de Pierre Carlet de la comédie de Marivaux

Arlequin poli par l’amour

« Steps #8 » avec le Nederlands Dans Theater III avec Meryl Tankard

Merryland

Brunch Kurt Weill

avec l’actrice et chanteuse Gisela May

Die Kinder des Teufels

De Felix Mittlerer

Agenda

Les représentations du Schauspielhaus en août/septembre 2009

Theaterfestwochen Zurich 2009

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Otello darf nicht platzen

comédie de l’américain Ken Ludwig

titre original : « Lend me a Tenor »

(Otello doit avoir lieu)

Traduction allemande de Ursula Lyn ;

mise en scène : Lutz Hochstraate ;

décors : Bernd Dieter Müller ;

costumes : Annette Zepperitz

avec les acteurs :

Max : Werner Friedl,

Maggie (l’amie de Max) : Britta Bayer ,

Sounders (directeur de l’Opéra

de Cleveland) : Klaus Martin Heim,

Tito Merelli : Peter Piki,

Maria (l’épouse de Merelli) : Hanna Rohrer,

Page : Sebastian Knözinger,

Diana (cantatrice) : Alexandra Tichy,

Julia (présidente des amis de l’opéra) :

Traude Gmeinböck.

L’auteur américain de 52 ans, Ken Ludwig de Pennsylvanie, s’est imposé avec cette pièce comme auteur dramatique. Après sa création en 1985, la pièce a été nommée « meilleure comédie de l’année ». Le cauchemar de chaque directeur : le protagoniste du rôle principal ne se présente pas pour la première. Avec un cachet mirobolant, le directeur du théâtre de la ville de Cleveland a engagé pour la représentation d’Otello le ténor des ténors Tito Merelli. Mais le grand Tito ne vient pas. Est-il mort ? Mais « Otello » doit avoir lieu à tout prix. Il s’agit de trouver rapidement un remplaçant. Le directeur le trouve en la personne de Max, son bras droit. Max profite de l’aubaine et décide de mettre le paquet. Il n’y a pas seulement le grand rôle sur scène, il y a également la femme de Merelli, qui a abandonné son mari il y a peu. Dans le costume et sous le grimage d’Otello, et de surcroît en bonne condition vocale, il ressemble à s’y méprendre à la grande vedette. Mais ce qui devait arriver arriva : celui qu’on croyait mort surgit en titubant pour son entrée en scène. Deux Otello se trouvent face à face, mais lequel est le bon ? Les deux montent ensemble sur scène pour solliciter les faveurs du public. Le faux Otello essaie avec beaucoup de ruse de soustraire le vrai aux applaudissements. Finalement, les deux se chassent mutuellement de la scène. Le Lan-destheater Salzbourg présente cette pièce très vive et amusante avec Peter Piki et Werner Friedl dans les rôles d’Otello un et deux. Le metteur en scène Lutz Hochstrasse parvient à convaincre avec des effets bruyants, mais pas toujours absurdes. La pièce a été un des grands succès de la saison écoulée à Salzbourg. Il est permis de rire sur l’histoire d’arrière-scène la plus drôle des dernières années.

schauspielhaus ve 13.6 : 19 h 30 di 15.6: 14 h 30 prix des places : de chf 13.– à chf 40.–

La coméd ie à succès de l ’ amér i ca in Ken Ludw ig « Lend me

a Teno r » , en ve rs ion a l l emande Ote l l o da r f n i ch t p l a t zen .

« Otello doit avoir lieu »

Page 3: Theaterfestwochen Zurich

Lorsque le dramaturge du « Theater der Jugend » de Munich attire l’attention de Felix Mitterer sur ce sujet il y a quatre ans, l’auteur lui répondit qu’il s’agissait là d’un thème horrible. Mais ce sujet pro-venant de sa proche patrie l’intéressait et il étu-dia les documents originaux aux archives d’Etat à Munich et à Salzbourg. Il y découvrit les misérables témoignages d’une folie pervertie de l’ordre. Les aveux extorqués qui figurent dans la pièce corres-pondent aux procès-verbaux. Cette pièce parle de plusieurs choses : d’abord de l’attitude de la majo-rité de la population face au droit, à l’ordre, à la jeu-nesse et aux boucs émissaires ; ensuite de l’imagi-nation débridée des enfants ; et enfin, des destins des enfants mendiants qui existent toujours. Il suffit de penser aux escadrons de la mort en Amérique latine. Dans cette pièce, Mitterer ne se limite pas au passé. A l’instar d’Arthur Miller dans la « Chasse aux sorcières », il tourne son regard vers l’actualité, à la recherche de boucs émissaires que l’on peut rendre responsables de sa propre insatisfaction ainsi que des problèmes économiques.

schauspielhaus ma. 17.6, 18 h, en vente l ibre prix des places : de chf 13.– à 40.–une introduction à la pièce présentée aura l ieu au foyer, 45 min. avant le début des représentations.

Festwochen-Spezial

« Die Kinder des Teufels »

de Felix Mitterer

Württembergische Landesbühne,

Esslingen

Mise en scène :

Peter Dolder

Décors et costumes :

Eckehard Felix Wegenast

Avec Juliane Bacher (Dofferl),

Annette Fassnacht (Dionysus),

Maike Frank Lisl,

Barbara Troschka (Magdalena Pichlerin),

Ralph Hönicke (Kommissar),

Christian Koch (Freimann),

Hagen Löwe (Andree Mayer),

Hartmut Scheyhing (Schreiber),

Patrick Serena (Veit)

« Die Kinder des Teufels »

de Felix Mitterer

De 1675 à 1681 , l e Pays de Sa l zbou rg a é té l a scène d ’un des p lus g rands p rocès de

so rce l l e r i e . La f i gu re cen t ra l e en é ta i t un j eune homme dénommé Jakob Ko l l e r, qu ’on

accusa i t de p ra t ique r l a mag ie no i re e t de dé tou r ne r l a j eunesse . I l n ’ a j ama is é té poss i -

b le de met t re l a ma in su r l e « so rc i e r » Zaube r-Jack l . Pa r con t re , on a en fe rmé une bande

d ’en fan ts mend ian ts qu i pe r tu rba ien t l ’ o rd re soc ia l avec l eu r mend ic i t é e t l eu rs pe t i t s

l a rc ins . Ces en fan ts m isé reux on t é té con t ra in t s pa r l a to r tu re à des « aveux » tou jou rs

p lus t e r r i f i an ts . I nc royab le : f i na l ement 133 en fan ts on t f i n i su r l es bûche rs . Une te r r i b l e

h i s to i re re t racée dans ce t te p ièce aux a l l u res de documenta i re .

Page 4: Theaterfestwochen Zurich

Les rapports entre Gisela May et le dramaturge Brecht sont une longue histoire d’amour artistique. Son interprétation du rôle de « Mère Courage » dans la production du Berliner, ensemble dont elle a été membre pendant de nombreuses années, a été l’un des sommets de sa carrière. Qui dit Brecht pense aussi immédiatement à Kurt Weill. C’est pour cette raison que cette nocturne est avant tout consacrée à des extraits d’œuvres de ce duo congénial. Des chansons tirées de « Aufstieg und Fall der Stadt Mahagony », de L’opéra de « quat’ sous », de « Happy End » en font partie. Par exemple le célèbre « Bilbao-Song ». A cela s’ajoutent d’autres pièces de Weill et – élément supplémentaire très amusant – des citations tirées d’un échange de lettres entre Kurt Weill et sa bien-aimée Lotte Lenya. Il y a aussi les anecdotes et les histoires à travers lesquelles l’actrice Gisela May, qui compte bientôt 77 ans, nous fera revivre sa propre carrière à Berlin.

schauspielhaus di 15.6, 20 h ouverture des portes 19 h prix des bi l lets : chf 22.–

La spéc ia l i s te de B rech t e t ac t r i ce -chan teuse

G ise la May a p r i s l a l i be r té de mod i f i e r son p ro -

g ramme pou r l a noc tu r ne à W in te r thu r. En l i eu e t

p l ace du p rog ramme « I ch b in so f re i » , e l l e p ré -

sen te une nouve l l e so i r ée Ku r t We i l l . E l l e a conçu

ce t te so i r ée pou r commémore r l e 100 e ann i ve rsa i re

de l a na i ssance du compos i teu r. Ku r t We i l l es t né

l e 2 mars 1900 à Dessau e t i l es t mor t à l ’ âge de

50 ans seu lement . Ma t th i as S tö t ze l accompagne

G ise la May au p iano .Festwochen-Spezial

Soirée Kurt Weill

Nocturne avec Gisela May

et Matthias Stötzel (piano)

avec l’actrice et chanteuse Gisela May

Brunch Kurt Weill

Page 5: Theaterfestwochen Zurich

« Effi Briest »

pièce selon Theodor Fontane,

adaptation dramatique Holger Teschke

Mise en scène : Christoph Schroth ;

décors : Jochen Finke ;

costumes : Gundula Martin

dans le rôle

d’Effi Briest : Anne Ratte-Polle ;

Baron von Innstetten : Michael Meister ;

Major von Crampas : Daniel Borgwardt ;

Mme von Briest : Susann Thiede ;

M. von Briest : Horst Rehberg ;

Gieshübler : Wolf-Dieter Lingk

et d’autres encore

Effi est passionnément courtisée par von Crampas

Le S taa ts thea te r Co t tbus avec une ve rs ion scén ique du roman

de Theodor Fon tane .

Le metteur en scène Holger Teschke a adapté un des textes les plus importants de la littérature mondiale pour la scène. Aucune figure féminine de la littérature romanesque allemande ne l’a autant impressionné qu’Effi Briest. A la base de cette œuvre littéraire, on trouve un événement qui s’est réellement passé dans les environs de Berlin en 1886. Un duel avec issue mortelle. La cause en est une histoire de mariage, d’amour triangulaire, vieille de vingt ans. Mais ce n’est pas autant le scandale qui intéresse l’auteur Theodor Fontane, que l’aspiration au bonheur. Effi, pure « fille de l’air » épouse le baron von Innstetten, un homme plus âgé, très correct et préoccupé de sa carrière. Le sentiment du devoir, l’honneur et l’ordre marquent la vie de son épouse, mais en devenant de plus en plus solitaire, elle ne connaît pas l’amour. Même la naissance de sa fille ne lui permet pas de dépasser sa solitude croissante. Un jour, elle rencontre le major von Crampras qui la séduit. Une liaison amoureuse secrète, à la limite du rêve, se développe. Elle se termine lorsque le baron von Innstetten est appelé à Berlin et qu’elle suit son mari. Des années plus tard, von Instetten découvre par hasard les lettres de Crampas à Effi. Sans aucune émotion, il provoque Crampas en duel et expulse Effi de la maison. Elle s’effondre et – lourdement atteinte dans sa santé et privée de son enfant – elle trouve refuge dans la maison parentale. La vie d’Effi finit dans une marginalisation qui finalement la brise. Holger Teschke a adapté le sujet à la scène en 1996. La fascination découle avant tout du naturel juvénile d’Effi Briest, de son ouverture et de la dimension lugubre qui imprègne sa vie après son mariage avec von Instetten. Mais Fontane n’abandonne pas le rêve d’une société dans laquelle l’aspiration au bonheur des hommes s’impose, face aux protagonistes des idéologies et des contraintes du rendement avec la mort d’Effi.

schauspielhaus lu 16.6, me 18.6 : 19 h 30 prix de places : de chf 13.– à 40.–

« Effi Briest »

Page 6: Theaterfestwochen Zurich

schauspielhaus ma 17.6, 19 h 30, prix des places : de chf 13.– à 40.–une introduction de l ’œuvre est donnée dans le foyer à 18 h 45

Une mise en scène enjouée séduisant l’œil et l’oreille. Les paroles de Marivaux gagnent en force expressive grâce à une mise en scène marquée par la vivacité et l’ironie.

Une m ise en scène en jouée de P ie r re Ca r l e t de l a coméd ie de Mar i vaux

Marivaux, l’auteur de comédies, est à nouveau à la mode. Depuis quelques années, l’intérêt pour ses pièces va croissant. Son penchant pour une « intellec-tualité enjouée » fait apparaître Marivaux comme un phénoménologue de l’amour, comme expérimentateur, comme artiste.Une fée, subjuguée par la beauté d’Arlequin, l’enlève dans son sommeil et le retient pour gagner son amour. Lorsque Arlequin se réveille, elle réalise qu’il a un caractère niais, mais elle croit que leur amour commun le rendra plus intelligent. Mais Arlequin rencontre Silvia, la bergère. Ils tombent immédiatement amoureux et, en effet, purifiée par l’amour, l’âme d’Arlequin change comme la fée l’a sou-haitée. Mais l’amour étant destiné à la bergère, la jalousie de la fée se réveille et elle fait appel à tous les moyens – même violents – afin d’empêcher cet amour imprévu. Trahie par la ruse de son serviteur Travelin qui s’est engagé en faveur des jeunes gens, elle est vaincue. L’amour triomphe.Jean-Michel Rabeaux et Sylvie Reteuna ont réalisé la mise en scène de cette charmante histoire d’Arlequin. L’ironie est omniprésente et la scène surprend avec de nombreuses trouvailles faites de guirlandes, d’artifices électriques, de plumes et de ficelles. Des interludes dansés et de superbes chansons donnent à la comédie des airs de cabaret. La forme de la mise en scène souligne encore la subtilité des paroles de Marivaux. Enjouée et gracieuse, la pièce vaut la peine d’être vue ! En langue française.

« Arlequin poli par l’amour »

comédie de Marivaux en langue française

avec le Théâtre « La rose des vents, Villeneuve »

Mise en scène : Jean-Michel Rabeau

et Sylvie Reteuna ;

musique : Cyrus ;

décors et costumes : Pierre-André Weitz ;

éclairage : Jean-Claude Fonkenel

Dans le rôle de la fée, Kate France

dans celui de Trivelin : Georges Edmont

et Marc Mérigot ;

Arlequin : Franco Sénica ;

Silvia : Anne Rotger ;

berger/professeur de musique, Nicolas Martel ;

bergère/l’amour : Corinne Cicolari

« Arlequin poli par l’amour »

Page 7: Theaterfestwochen Zurich

Après le Shen Wei Dance Arts Ensemble venu des Etats-Unis, la NDT III présente – dans le cadre du festival de danse avec Meryl Tankard – ses productions avec des danseuses et danseurs expérimentés de plus de 40 ans. La maturité artistique et le raisonnement personnel sont au premier plan des performances du Nederlands Dans Theater III. Le fondateur Jiri Kylián s’appuie de manière très consciente sur cette image de marque. Les danseuses et danseurs de plus de 40 ans ne sont, de loin, pas à mettre aux vieux fers. Au contraire, à l’âge où se termine normalement une carrière de danseur, la leur semble vraiment commencer. Avec ce mélange de danse moderne et de ballet classique allié au théâtre, « comedy » et même au chant, la compagnie est une véritable découverte. Les moyens d’expression individuels sont tout autant mis en valeur que la biographie artistique des participants. Dans le cadre de « Steps #8 » la grande chorégraphe australienne Meryl Tankard a créé pour le NDT III une nouvelle pièce intitulée « Merryland ». Sur scène, on découvrira les corps souples et entraînés de Sabine Kupferberg, Gérard Lemaitre, Egon Madsen, David Krügel et Gioconda Barbuto. Tankard fait elle-même partie des solistes les plus marquantes et a obtenu plusieurs distinctions. Jusqu’en 1999, elle a dirigé le Australian Dance Theatre, avec lequel elle a participé à tous les festivals importants en Europe et aux Etats-Unis. Elle s’est notamment fait un nom avec une chorégraphie dans laquelle ses danseurs athlétiques tourbillonnent dans l’air attachés à des cordes. Aucune de ses chorégraphies ne ressemble à l’autre, un style aux facettes nombreuses, un très haut niveau de maîtrise, un plaisir de l’exploit physique marquent le style de Tankard. « Merryland » aussi va surprendre le public.

schauspielhaus sa 21.6, 19 h 30 prix des places : de chf 13.– à 40.–

« S teps #8 » avec l e Nede r l ands Dans Thea te r I I I avec Mery l Tanka rd

« Merryland » avec le Nederlands

Dans Theater III (NL)

Meryl Tankard (AUS)

dans le cadre de « Steps #8 »

Chorégraphie : Meryl Tankard

Danseurs :

Sabine Kupferberg ;

Gérard Lemaitre ;

Egon Madsen ;

David Krügel

et Gioconda Barbuto

« Merryland »

Maturité et expérience, la biographie artistique de chaque protagoniste marque le rayonnement de l’ensemble de danse hollandais dans « Merryland ».

Page 8: Theaterfestwochen Zurich

Du 20 au 23 .9 à 20 h 30 a ins i que D i à 17 h 30 : Revue mus ica le

Ve 19 .9 , 20 h 15 /Me 24 .9 , 14 h 30 , «F lom i » Mar ionne t tes du Töss ta l

Sa 27 .9 /D i 28 .9 à 20 h 15 , « Pepper » , t héâ t re mus ica l se lon l ’ a lbum des

Bea t l es « Sg t . Pepper ’s Lone l y Hea r t s C lub Band »

Ve 26 .9 , 20 h 15 , « E ine f an tas t i sche Re i se » . Avec l e Tr i o Pan e Tone

Sa 27 .9 , 20 h 30 , « B laseck – Sa la t und Hausmus ik »

D i 28 .9 , 10 h 30 , Ma t inée d ’h i s to i res

Me 24 .9 /Ve 26 .9 /Sa 27 .9 , à 20 h 15 « F remd l i ng , du b i s t e i n Na r r » ,

avec Jü rgen K le in

Représentations du Schauspielhaus en août/septembre 2009Ve 1.8, 20 h, Schauspielhaus, Foyer : « rouge, frisé & acide7 » – New Jazzline Gig avec Christophe Baumann & Jacques Siron. Sa 9.8, 19 h 30, Schauspielhaus : Singspiel de Paul Burkhard « Feuerwerk » avec la Musikalische Komödie Leipzig. Lu 11.8/Je 13.8, 19 h 30, Schaus-pielhaus : Wie es euch gefällt de William Shakespeare, adaptation de Thomas Brasch, Staatstheater Cottbus. Di 30.8, 10 h 30, Schauspiel-haus : Kinder des Teufels de Felix Mitterer, Württembergische Landes-bühne, Esslingen. Ve 5.9, 20 h, Schauspielhaus, Foyer : Hip Hop Jazz de Hollande avec Saskia Laroo & Band. Me 10.9, 20 h, Schauspielhaus : Macbeth by William Shakespeare. American Drama Group Europe/TNT Theatre Britain. Sa 13.9, 19 h 30/Di 14.9, 14 h, Schauspielhaus : Woy-zeck – Fragments dramatiques de Georg Büchner ; Schauspiel Frankfurt. Di 14.9, 16 h/17 h 30/20 h, Schauspielhaus : Film-Vortrag-Theaterre-vue « Lift ». Groupe de théâtre : « Die Regierung ». Lu 15.9/Ma 16.9, à 20 h, Schauspielhaus : « Yelemba » – Percussions, chants et danses de la Côte d’Ivoire, Agro-Pfingsten.

Représentations d’organisateurs privés au Schauspielhaus :Me 24.9, 20 h, Theater am Hechtplatz : « vis-à-vis », – le nouveau pro-gramme de la compagnie de danse zurichoise « Movers ». Ve 26.9, 20 h, Theater an der Winkelwiese : « The best of… », show musical et dansant avec le studio de danse Borak.

Impressum : Editeur : Schauspielhaus Zurich en collaboration avec Tages-Anzeiger I Direction : Peter Wehrli, Gian Gianotti, Christian Hirt I Rédaction : Michael Schwarz,

lic. ès lettres Conception : Maeva Kuhnel I Impression : Rollenoffsetdruck de Ziegler Druck- und Verlags-AG, 8401 Winterthur I Tirage : 120 000 exemplaires

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