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synthèse de la matinée du 25/09/12 réalisée par Marie-Louise du groupe DEJEPS
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Mardi 25 septembre 2012.
9h30 : Accueil des participants
Les organisateurs de la Jeunesse et des sports accueillent les invités avec un buffet : café, thé, jus de fruits et
biscuits.
Inscription des invités -émargement-.
Les invités se rencontrent, se retrouvent et discutent entre eux.
"Une personne, inspectrice de la jeunesse et des sports m'accueille, je me présente"
9h45 : il y a cinquante personnes, qui discutent debout ou assises.
Mme Isabelle FERRACCI, Directrice du Centre du Sport et de la Jeunesse de Corse ouvre la conférence :
Présentation des intervenants et du programme par Mme Claire GUIMBAUD, directrice à la DRJCSC
10h00 : Introduction par les partenaires institutionnels : La Direction Régionale de la Jeunesse et de la
Cohésion Sociale de Corse : DRJCSC, la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des
Populations : DDCSPP de Corse du Sud, la Collectivité Territoriale de Corse: CTC, le Conseil Général de la Corse du
Sud.
10h00-11h00 : Premier groupe de parole – « Introduction par les partenaires institutionnels »
Mr IVONIC représente, Mr Alain DABEK, le
directeur de la DDRJCSC ;
Il présente et regroupe le travail effectué avec les
différents organismes affiliés à l’État, comme
-l’ACSE : Agence Nationale pour la Cohésion
Sociale et l’Égalité des Chances, le CSJC : Centre
du Sport et de la jeunesse de Corse, pour le travail
pendant les vacances.
Depuis la réforme de l’État de 2010, la présence
des principaux coordonnateurs sont désormais : la
Collectivité Territoriale, le Conseil Général, les
Communes, les organismes parapubliques comme
la CNAF : Caisse Nationale d’Allocations
Familiales, le CSJC : Centre du Sport et de la
jeunesse de Corse.
Ces différents acteurs institutionnels agissent dans
différents champs : la santé, l’éducation, les
loisirs, le sport et l’emploi.
Pour les services de l’État c’est un impératif
principal.
Mr Jean-Louis ARIBAUD, directeur
interministériel de la DDCSPP intervient sur les
bilans des Plans Éducatifs Locaux pour suivre le
devenir des adolescents en Corse.
Le rôle de l’État est partagé avec le Préfet, qui est
heureux de cette journée et sera informé de cet
événement.
Le bilan est effectué d’après la loi de finance 2012
et l’Article 43 qui stipule et englobe l’emploi et la
jeunesse.
L’objectif des plans éducatifs locaux est de
favoriser les jeunes à accéder à un emploi et à un
niveau de vie pour renouveler la vie de leurs ainés.
Quelques chiffres issus du bilan :
- Il y a 53 % des 19 à 29 ans qui occupent un
emploi
Première intervention Deuxième intervention
2
- Il a été constaté que 60 % des emplois
saisonniers sont occupés par les jeunes.
La DDCSPP essaie de multiplier les dispositifs
comme les Contrats éducatifs locaux pour :
- développer et mettre du matériel à disposition
de la jeunesse - aider la jeunesse à accéder à la culture.
En Corse du Sud, le budget global prévu pour les
Contrats Éducatifs Locaux est de 226 000 Euros.
D’une part, il est réparti, sous la forme de
72 000,00 Euros par commune et d’autre part
12 000,00 Euros sont attribués à chaque
organisation.
Ces actions touchent 10 000 enfants, soit ¼ de la
jeunesse du territoire de la Corse du Sud.
Ces dispositifs s’appliquent en péri
scolaire et post scolaire.
Ils sont financés par les Collectivités Territoriales.
Aussi, Mr Jean-Louis ARIBAUD, a tenu à
remercier les animateurs qui encadrent les sports
et les loisirs de pleine nature.
Les deux priorités des Contrats éducatifs locaux
ont été axées sur :
L’égalité d’accès entre les zones urbaines
et rurales
Les zones urbaines
Il y a en tout 150 associations qui participent à ces
Contrats Éducatifs Locaux.
Enfin, Mr Jean-Louis ARIBAUD a adressé des
remerciements sur cet engagement et sur le
résultat. Il a également évoqué l’espérance de
pouvoir développer ce dispositif dans l’avenir.
De même, il renouvelle son invitation à une
journée ouverte comme celle d’aujourd’hui, qui
pourra porter ses fruits pour l’avenir.
Troisième intervention
Mr PASQUALINI, directeur de la jeunesse de la
CTC, parle au nom de Mme la Directrice.
C’est à la suite de la loi de janvier 2002 et de
l’Article 11, que se dégage
Une compétence dans la formation de la
jeunesse.
Et, depuis la création du syndicat mixte,
Celui-ci est le principal financeur avec
l’Éducation Populaire.
Mr PASQUALINI insiste sur le fait, que depuis
la fusion en 2010, de la Jeunesse et des Sports et
de la CTC, il a été constaté des incohérences sur :
les programmes,
les contrats éducatifs locaux,
Nous pouvons constater qu’il y a trois causes
issues de ces incohérences :
1° la matière n’est pas entièrement définie aux
financeurs potentiels.
2° le partenariat serait plus efficace si les
compétences étaient mieux définies.
3° Sachant que l’État peut mettre à disposition des
moyens appropriés, les moyens et les attentes ne
correspondent pas toujours.
Malgré tout, les problématiques des jeunes sont
bien prises en compte par la CTC.
De même, il y a d’autres priorités en direction
du logement et de la culture afin, de favoriser la
culture pour les jeunes.
Pour conclure, Mr PASQUALINI a déduit qu’il
fallait éviter les concurrences, mais rechercher
plutôt le partenariat.
Quatrième intervention
Mr DELPLANQUE, conseillé pédagogique
départemental, responsable des Contrats
Éducatifs Locaux, représente le Directeur de
l’Inspection académique.
Tout d’abord, nous pouvons constater que les
contrats éducatifs locaux, prévus dans le temps
scolaire sollicitent de nombreuses actions.
D’ailleurs, pourquoi fonctionnent-t-ils très bien. ?
- Parce que, ces contrats éducatifs locaux sont
issus des contrats uniquement sportifs dans le
temps scolaire.
En effet, lorsqu’il s’agit de l’école, il est question
de programmes et c’est grâce à l’aménagement du
temps de l’enfant, que l’accomplissement de
l’équilibre des trois temps a pu se réaliser.
- le temps scolaire : pendant l’école,
- extrascolaire : pendant les vacances,
- périscolaire : autour de l’école.
3
Donc, les financements sont prévus pour le temps
scolaire (pendant l’école).
Pour cela, il se dégage deux contraintes :
1ère
contrainte :
épanouissement de l’enfant
accès à l’autonomie
2ème
contrainte :
les programmes.
Ainsi, il faut que toutes ces finalités soient une
plus-value pour l’enfant.
D’ailleurs, les priorités sont les activités de
natation et grâce aux contrats éducatifs locaux les
milieux ruraux ont pu en bénéficier.
Aussi, les financements de la commune
permettent la réalisation de nombreuses activités.
Dans ce cas-là, l’éducation nationale n’est qu’un
partenaire.
C’est pour mieux retransmettre aux principaux
coordonnateurs, que des réunions locales sont
organisées entre les mois de novembre et de
décembre de l’année.
Ces actions sont destinées au niveau 1 : CE1 et
au niveau 2 : CE2, en milieu rural.
D’ailleurs, de permettre aux enfants corses
d’apprendre à nager, surtout en milieu rural est
une véritable réussite.
Il y a également des démarches pour la musique et
la culture.
Cinquième intervention
Intervention de Mme la conseillère de la CAF :
Caisse d’allocations familiales.
Tout d’abord, quel est le rôle des Caisses
d’allocations. Elles ont des missions d’actions
sociales. Parmi les compétences, une compétence
de maillage national pour que toutes les familles
puissent disposées d’accueil pour la petite
enfance, les familles et les centres sociaux.
Les CAF ont aussi des moyens d’actions
techniques et financiers.
De même, la CAF à une action dans les accueils
de loisirs et les centres de vacances.
L’accessibilité est une des conditions pour
développer les actions.
D’ailleurs, la tranche d’âge des adolescents est le
questionnement pour mener à bien les actions de
la CAF.
« - Que savons-nous faire ?
Et
- Que faire pour évoluer ?
- De quelle manière peut-on accompagner les
adolescents sur le terrain ?
-Il y a des interlocuteurs qui répondent
aux attentes et aux besoins des jeunes, dans leurs
loisirs ».
En conclusion, nous pouvons constater que malgré
quelques incohérences de fonctionnement, les
points forts de ce premier groupe de parole sont de
pouvoir répondre aux différents besoins des
adolescents par l’intermédiaire d’actions menées
dès le plus jeune âge, dans le domaine de
l’éducation, du sport, de la culture, et de la
formation.
Les conditions à ses finalités sont :
l’épanouissement de l’enfant et du jeune, l’accès à
l’autonomie et l’organisation de programmes
durant le temps scolaire, périscolaire et extra-
scolaire.
Suite au diagnostic territorial, des moyens
financiers, humains et techniques sont développés
en zone rurale et urbaine, afin d’accompagner, le
mieux possible, le jeune à réussir sa vie
professionnelle, donc sa vie d’adulte et familiale,
pour vivre en société.
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11h00-12h30 : Conférence d’Agnès PECOLO, maître de conférences à l’université de
Bordeaux 3, elle est spécialisée dans les questions de jeunesse liées aux médias, à la
consommation et à la culture.
C’est pour répondre aux trois questions suivantes
que Mme Agnès PECOLO est intervenue :
1-Quelles sont les caractéristiques de
l’adolescence ? 2-Quelle évolution de la place de
l’adolescent dans la société ? 3-Quelles pratiques
et quels besoins des adolescents en termes de
culture et de loisirs ?
Adolescence : premiers contours
Chaque adolescent est unique, les classes sociales
diverses et nous essayons de globaliser les
différences.
L’adolescence s’est détachée de la définition
pubertaire pour être étudiée par les sociologues.
- l’adolescence n’est qu’un mot,
- l’adolescence n’a pas toujours existée,
- la spécificité de la pré adolescence.
Peut-on être impubère et être adolescent ?
La post adolescence : allongement des études,
décohabitation précoce.
Pourquoi les parisiens et les corses cohabitent-ils
plus longtemps ? -chez les parents-
Le statut d’autonome et d’adulte était en 1950 à
20 ans, pour passer en 2012 à 28 ans.
La représentation du syndrome de « Peter Pan »
explique le bonheur du cocooning avec les
prérogatives de l’adulte.
Nous assistons aussi à une seconde naissance,
c'est-à-dire : un état spécifique, le jeunisme.
Ainsi, l’adolescent peut rester scotché sur le
présent, car il se cherche, s’interroge et la maturité
n’a plus de succès.
Donc, c’est la figure de l’adulte qui évalue.
Les caractéristiques à ce phénomène sont les
enfants qui partent et qui reviennent au domicile
familial où l’adolescent en sort de plus en plus
tard.
En fait, l’univers des adultes ne plaît plus.
L’ado crise : la question de représentation
avec la fameuse et célèbre crise d’adolescence.
Où, nous oublions que l’ado est une personne
avant d’être un état. Référence à le Breton.
Avec :
- les dangers où, les conduites à risque sont un
test.
- la crise d’ado à bon dos
- les représentations sociales des adolescents et la
prise d’autonomie précoce semblent générer la
prise de risque précoce.
D’ailleurs, les discours sur la jeunesse traduisent
un état de santé sur la société.
Trois points évoqués :
- la perception : les adolescents sont optimistes
quant à leur avenir.
- Il semble plus facile de s’occuper d’enfants que
de s’occuper d’ados.
Les symptômes juvéniles perturbent aussi les
instituteurs.
- L’image attribuée aux ados comme futurs
chômeurs.
Un contexte craintif à l’heure de la
précarité. « l’image du cancre au moment du
collège »
Le XX° siècle a été celui d’une explosion
scolaire.
Le XIX° siècle aussi, mais pour la
dévalorisation des diplômes.
Et, l’augmentation des études ne garantit plus un
emploi.
Les familles ne peuvent pas toujours tout
assumer : -la précarité, le milieu social, les
diplômes…
C’est la montée des anxiétés qui va rejaillir sur les
adolescents où, un enfant de milieux aisés peut
échouer et un enfant de milieu précaire peut
réussir. Et, l’individu hyper moderne peut perdre.
Un contexte d’excellence à l’heure de la méritocratie
Le destin à un prix, comme avoir de bonnes notes.
Donc, la réussite se doit aux bonnes notes.
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La méritocratie dit : « tu peux, si tu peux, mais il
faut se former dans un contexte de sécurité »
Le paradoxe réussite / épanouissement
Si nous savons que son avenir est à envisager,
c’est dès le plus jeune âge.
Pour accéder à un métier, une orientation et un
débouché.
La connaissance des métiers est déjà mise en place
sous forme de choix. Par exemple : intégrer la
filière scientifique pour réussir.
La confrontation culturelle et relationnelle.
D’une part, l’adolescence est plus un âge critique
qu’un âge en critique.
Et d’autre part, les cultures livresques, savantes
créent des tensions avec les cultures médiatiques.
D’ailleurs, face au conflit assumé, il faut trouver
le compromis et enrichir leur défi.
Donc, il vaut mieux connaître les conflits pour les
comprendre.
L’ENTRE PAIRS : CULTURES JUVÉNILES
MÉDIATIQUES ET COMMERCIALES
Au-delà du net
Nous avons d’un côté, les masses médias et d’un
autre côté l’opéra et le livre : la lecture se fait plus
populaire que classiquement.
Au-delà des pairs
La famille impacte sur les fréquentations. Il y a
une force de la nouvelle juvénile, mais pas
d’égalité des masses médias.
L’analyse des réseaux dit qu’il n’y a pas
d’homogénéité.
Les montées des autonomies juvéniles
Les marques sont devenues une culture juvénile,
donc la scolarisation élargit la société de
consommation et la société d’utilité où, le pauvre
et le jeune sont « vampirisés ».
La sociologie de la consommation décrit une
consommation cicatrice, dont les marques vont
combler les malheurs.
Ainsi, les ados naviguent entre l’appartenance et
la distinction.
Il va donc adopter un usage médiatique.
Exemple : « quand je m’habille, je choisis mon
clan »
L’adolescent dit : "Je commence à m’identifier et
par conséquent, à entrer dans la customisation".
Ainsi, nous avons à faire aux valeurs physiques et
psychiques.
- Au cœur de l’adolescence, il y a l’estime de soi.
Au sein de l’école, l’habit fait le jeune.
CULTURES NUMÉRIQUES, RÉVOLUTION
TECHNOLOGIQUE ET MUTATION
Effet d’âge
La révolution des réseaux se situe sur deux
niveaux, car il y a l’effet d’âge.
L’éthique des adolescents implique la construction
de son image.
Les réseaux sociaux vont intimiser les
adolescents.
Au niveau du net l’adolescent va intérioriser
encore.
Malgré tout, les réseaux supportent les échanges
de masse. Et, si le virtuel est important et
envahissant chez le jeune, il n’en demeure pas
moins qu’il y a une culture de rencontre.
Effet générationnel
Ils ont atteint une mode si critique, qu’il ne faut
pas aller au-delà.
- Au critère de discrimination, c’est une question
de milieu, par exemple : vivre en milieu rural est
un handicap.
- Création de contenus collaboratifs.
Une génération se construit en opposition avec
une autre. Une des objections à ce constat, est que
les adolescents prennent de la distance sans le
support des adultes.
FOSSÉ INTERGÉNÉRATINEL
Échappée belle médiatique
Auto exclusion
L’époque impacte à tout âge
Le jugement culturel
Pour parler de répercutions, les écrans font peur et
les médias aiment le processus.
Lorsque le jeune use de « nounou numérique », il
y a impuissance et mauvaise conscience.
Car la jeunesse hérite autant qu’elle innove et la
condition juvénile a un impact sur la condition
générationnelle.
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ÉDUCATIF/LUDIQUE :
INCOMPRÉHENSION
GÉNÉRATIONNELLLE
Les adolescents sont-ils glandeurs ?
Le statut du ludique
Statut d’éducateur
La famille : renversement générationnel ?
Enfants chefs de famille…
Le brouillage générationnel est inquiétant.
Nous pouvons constater que mettre les limites
avec ses enfants est donc une contrainte pour
l’adulte.
Par exemple, aller sur Facebook à 8 ans, mais
pour y faire quoi ?
D’ailleurs, il a été constaté que pour les parents
copains qui se soustraient aux conflits, les enfants
sont élevés dans le déni d’adultes. Et, les enfants
attendent de plus en plus que les parents soient à
leur place.
Mutation familiale
Une des valeurs est que, la famille est en attente
d’autorité.
Enfin, tous ces comportements peuvent entraîner
une fragilisation des repères.
Statut de l’enfant
Cette nouvelle famille donne de nouvelles
mutations.
LA TRANSMMISSION : UNE ARTICULATION
PASSÉ PRÉSENT FUTUR
Statut prêté aux ainés, du passé au présent
La "self mail" génération donne une idée de
compensation.
Avec l’interprétation : « sois toi-même, sois
brillant »
À cet effet, les adolescents doivent avoir
absolument besoin de savoir d’où ils viennent.
Dans la transmission, ce n’est pas seulement le
passé dans le présent, mais c’est aussi des repères
dans l’héritage, de savoir où les adolescents se
projettent.
Par conséquent, la fonction émancipatrice est un
point positif.
Pour signifier cette génération, les spécialistes
l’appellent la "génération pouce" de poucette.
C’est pourquoi, pour Agnès PECOLO, la
transmission n’est pas une affaire d’outils, mais
une affaire de passion.
Par exemple, une prévention autour d’une IVG :
ne jamais forcer le passage, mais réussir à se
rencontrer.
Il est vrai que l’adolescence a toujours rencontré
la faillite de l’adulte. Nous avons peur de l’échec,
car être adolescent c’est aussi être difficile, mais il
y a aussi des valeurs finalisées sous différentes
actions, comme les loisirs etc.
D’ailleurs, les politiques jeunesses devraient
s’imprégner de la stratégie des marqueteurs, plutôt
que de se buter à leur changement.
Aussi, les loisirs ne comptent pas pour rien dans
l’éducation des parents.
Préférer diversité éducative plutôt que qualité
éducative.
NE PAS LES LACHER, FORME ULTIME DE
L’ABANDON À EUX-MEMES
Le recul de l’adulte
- Offrir
Le monde commercial
- Les loisirs
Pour développer le sens critique, construisons le
sens critique.
Un adolescent demande à un adulte d’être ouvert
pour pouvoir échanger.
CONCLUSION
« Plus que les variables sociales (catégories
socioprofessionnelles des parents, chômage des
parents, nationalité), c’est la mauvaise qualité
relationnelle qui augmente la vulnérabilité à
l’adolescence »
CHOQUET ANNE-MARIE : « L’ADOLESCENCE UNE PÉRIODE CRITIQUE ? » CONTACT SANTÉ, 2008, P 14.