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DOULEUR et SEXUALITEDOULEUR et SEXUALITE
XVIe journXVIe journ éée scientifique du e scientifique du CollColl èège de Gynge de Gyn éécologie du Midicologie du Midi
Toulouse samedi 3 dToulouse samedi 3 d éécembre 2011cembre 2011
Docteur MichDocteur Mich èèle BONALle BONALDocteur Catherine CABANISDocteur Catherine CABANIS
22
33
11-- LES DOULEURS PELVIENNES CHRONIQUES LES DOULEURS PELVIENNES CHRONIQUES
ET LEUR RETENTISSEMENT SEXUELET LEUR RETENTISSEMENT SEXUELAltération de la disponibilité érotique
du désir érotique
22-- LES DOULEURS SEXUELLES LIEES A LLES DOULEURS SEXUELLES LIEES A L ’’ACTEACTE
SEXUELSEXUELAltération de la fonctionnalité sexuelle
Altération secondaire du désir et de la disponibilité
érotique
44
11-- LES DOULEURS PELVIENNESLES DOULEURS PELVIENNESCHRONIQUES CHRONIQUES
- origine organique
- algies pelviennes psychosomatiques
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FACTEURS DE RISQUES FACTEURS DE RISQUES CONDITIONNANT LE PASSAGE A CONDITIONNANT LE PASSAGE A LA CHRONICITELA CHRONICITE
Individuel Individuel : personnalité hypochondriaque, obsessionnelle, phobiquedépressionpersonnalité border line
Type de couple Type de couple : conflictuelfusionnel
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PROCESSUS DE DETERIORATION PROCESSUS DE DETERIORATION DE LA SEXUALITEDE LA SEXUALITE
- douleur réelle- mauvaise connaissance du facteur causal, de la maladie
et des conséquences sur la sexualité- angoisse et culpabilité, dévalorisation- crainte du rapport sexuel- crainte de la douleur réelle ou imaginée, anticipation
négative de l’acte sexuel- espacements des rapports sexuels (évitement)- diminution du désir et du plaisir- problème relationnel et sexuel dans le couple (conflit ou symptôme masculin)
77
22-- QUAND LQUAND L ’’ACTE SEXUEL EST ACTE SEXUEL EST DOULOUREUX : DOULOUREUX : LA DYSPAREUNIELA DYSPAREUNIE
D.S. M IV 1994
Douleur génitale persistante et récurrente associée à
l’activité sexuelle et entraînant une détresse marquée,
personnelle ou inter-personnelle .
88
FORMES CLINIQUES DES FORMES CLINIQUES DES DYSPAREUNIESDYSPAREUNIES
- ProfondesProfondes : pathologies génitales
- SuperficiellesSuperficielles ou dou d ’’ intromissionintromission , les plus fréquentes :- Primaires premiers rapports sexuels, équivalent du vaginisme : contexte d’anxiétés liées
-à la sexualité-à la pénétration-à l’intrusivité de l’hommeou angoisses existentielles : peur de la destruction intérieure
- Secondaires : après une période de rapports sexuelssatisfaisants
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VAGINISMEVAGINISME DYSPAREUNIEDYSPAREUNIE
1010
4 TABLEAUX CLINIQUES4 TABLEAUX CLINIQUES
- les infections vaginales, aïgues et surtout récidivantes(M.S.T. papillomavirus)
- le post-partum (épisiotomie)
- la chirurgie gynécologique, (cancers génitaux) +/- traitements adjuvants
- l’atrophie vulvovaginale par carence hormonale( physiologique – iatrogénique)
1111
THERAPEUTIQUE : EVALUATIONTHERAPEUTIQUE : EVALUATION
Éviter la vision mécaniciste du symptôme et de sontraitement.
Situer le symptôme dans un cadre plus large tenant compte de :
• la fonctionnalité sexuelle
• de l’identité sexuelle
• de la vie relationnelle
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THERAPEUTIQUE : CADRETHERAPEUTIQUE : CADRE
1- Traitement approprié de la cause médicale :- soins locaux ++++
2- Attitude empathique du thérapeute, temps d’écoute, information, encouragement
3- Sexotherapie proprement dite
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THERAPEUTIQUE : OBJECTIFSTHERAPEUTIQUE : OBJECTIFS
Cognitif
Corporel
Emotionnel et fantasmatique
Assertivité sexuelle
Désir sexuel coïtal et réceptivité
Communication dans le couple
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