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COMITE D’ORGANISATION ET COMITE SCIENTIFIQUE :
N. Barnich, A. Bernalier-Donadille, Y. Boirie, L. Bruchet, F. Caldefie-Chézet,
N. Cano, V. Coxam, A. Daneault, C. Domingues, P. Duché, S. Mahbouli, A. Jordan,
S. Pastourel, E. Rock & L. Wittrant
SOMMAIRE
Liste des intervenants _______________________________________________ 5 Programme _____________________________________________________ 6 Mercredi 18 septembre : Nutrition et sport
Le sportif nécessite-t-il des apports nutritionnels spécifiques ? ___________________ 9 Intérêt et risque des compléments alimentaires ____________________________ 13 Nutrition et cerveau chez le sportif de haut niveau _________________________ 14 Nutrition, contrôle de la masse musculaire et performance _____________________ 27 Nutrition et activité physique en altitude _______________________________ 35 Nutrition et activité physique dans l’espace ______________________________ 39 Dépistage des troubles alimentaires chez le sportif __________________________ 51
Jeudi 19 septembre : Recherche en Nutrition : Concept, attente de la société, place de l’industrie
Recherche en nutrition et politique de santé _____________________________ 55 Recherche translationnelle : bases conceptuelles ____________________________ 61 Attente et contribution de l’industrie __________________________________ 64 Illustration clinique ____________________________________________ 69 Apport des techniques à haut débit __________________________________ 76 Apport de la modélisation à la rechrche en nutrition ________________________ 77 Apport des études de cohortes _____________________________________ 82 Nutrition personnalisée __________________________________________ 91
Vendredi 20 septembre : Nutrition et tube digestif
Relation entre nutrition et physiologie digestive ___________________________ 93 Absorption des micronutriments : de la matrice aux variants génétiques _____________ 98 Dialogue entérocytes-bactéries _____________________________________ 103 Intérêt clinique des pré- et probiotiques _______________________________ 111 Microbiote et santé : exemple de la stéatose hépatique ______________________ 117 Microbiote et métabolisme des nutriments ______________________________ 123 Nutrition et pouvoir pathogène des bactéries ____________________________ 130
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point de vumales » plus rée. pense énergéten moyenne tion généraleet éprouvantsmance mais ss coureuses s hypocaloriqcrétions en pution du pice). point de vue ès nombreux e, l’intensité donditions ambrance en paration. Ils petique total (cconstituer desprécédents lation glucidiqmance; et 3ène consomm
mique, glucide ns sucrées egies. que les protéports en proes sports d’enaire. Les prottion des protteur contre leque les lipidegé et d’intenlé pour la posoins dans lat en ambiancêtre augmen
e quantitatif celles liées
tique varie dde 3000 à
e). Ces chiffres. Un déficit éurtout peut êde longue diques responsaprogestérone c de masse
qualitatif, les facteurs : le
de l’entraînembiantes. Les rticulier les euvent représcontre 50-55%s réserves im’épreuve ; 2que, à retard3) pendant mé pendant la seul ou méet le timing
éines jouent utéines sont sndurance ou téines intervietéines lésées es radicaux libs fournissent sité modérée,opulation géna plupart desce froide, pountée. En reva
f, les apports à l’exercic
dans de large 5000 kcal/jes peuvent pénergétique cêtre préjudiciaistance ou lebles de carenet œstrogèneosseuse ains
sportifs ont e type de sment, la prépapports en
jours précédesenter jusqu’à% chez le séportantes en ) pendant lder l’hypoglycla récupérata course. Le élange de glug dans l’app
un rôle faiblesupérieurs à de force et pennent pour fpendant la cbres. une part im, l’apport estnérale (25-30s situations ur lesquelles lanche, un rég
ts énergétiquce pour mai
es proportions (≈ 50 kcaparfois doublechronique peuable à la sanes gymnastes nces en Fer ees (induisant si qu’une dim
des besoins sport pratiquéparation de co glucides soents l’épreuveà 60% et qdentaire). Cesglycogène ma compétitiocémie et la ftion, reconstichoix des ty
ucides), la coport glucidiq
e dans la prceux d’une ppeuvent atteinfavoriser le gcontraction m
mportante de t peu différen0% de l’énergà l’exception a charge en gime pauvre
es doivent cintenir une
s suivant le al/kg/j) (37-4er lors de rut être à l’orité des athlète sont souvenet en Calciumretard puberminution de
spécifiques qué, le sexe, lompétitions pont privilégiée, pendant laquelque fois s stratégies nmusculaire et on, à maintefatigue centraituer rapidemypes de sucreoncentration eue condition
oduction énepopulation séndre 1,7g/kg/gain de massemusculaire et
l’énergie surnt ou légèremgie ingérée). d’épreuves lipides, gros en lipides (
couvrir les dbalance éne
sport pratiqu40 kcal/kg/j raids particuliigine d’une bes. En particunt fragilisées m et de perturtaire, retard la densité
ui varient en l’âge, la pérparticulières aés pour les a compétition70-85% de
nutritionnelles hépatique duenir un hauale et à optiment les stoes (valeur deet/ou osmolanent l’efficac
rgétique à l’edentaire que /j soit le doue musculaire, jouent aussi
rtout si l’exerment inférieur Il suffit pourendurantes epourvoyeur d< 15% de
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ué et le pour la ièrement baisse de ulier, les par des
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fonction riode de ainsi que sportifs
n et en l’apport visent : urant les ut débit miser la ocks en e l’index arité des cité des
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rcice est à celui r couvrir xtrêmes, d’énergie l’apport
énergétessentiLes bele spodemansupplémmais aEnfin d’amél En congénérasédentaendurabien pa prioantioxymis à pas so
tique total) pels. esoins en micortif de hautde accrue pomentations peavec grande mde nombreuxioration des p
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iori nécessaireydants peuvenla dispositiouvent des rés
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imentation dunt, les besoinpports en gluorts en protéiifs endurants es. Des supnt être envisn des sportifsultats à la h
ndrer des car
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pour la synthenvisagées dan
ts proposés a
u sportif doins quantitatiucides doivenines sont sup que pour lesplémentationssagés dans cefs et destinésauteur des es
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minéraux, ant turn-over ahèse et la répns certaines p
aux sportifs n
it être diversfs sont supént être privérieurs à ceus sports de fos en vitaminertaines situas à améliorerspérances.
amines liposo
tioxydants..) accéléré pendparation du phases de la
ne répondent
sifiée comme érieurs à ceuilégiés surtouux de la popuorce. Les suppnes, minérauations. De nor leur perform
olubles et acid
sont augmentdant l’effort tissu musculapréparation p
pas aux all
pour la poux d’une pout pour les ulation générapléments ne sux, oligoélémmbreux compmance ne per
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des gras
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opulation opulation sportifs
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ments et pléments rmettent
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onne conditioentissage et àmais en mo
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à un âale. hippocampal nés et l’activlé randomisé ont démoneur, ce qui ntation du vd’un ou deule. Les volumvention. Ces r la perte dere. (Erickson
nismes
echerches sur à des roueses neuraux à la capacitépondre aux nnectivité et euvent inciters neurotropment dans le
toutes les être le
pen et al 2
on physique. à la mémoireoins bonne
u cerveau réau n’est pas ont réalisé de et blanche ontré que 2 étaient assveau.
âge plus
et temporalvité physique d’un an ave
ntré que l’enaméliore la
volume de l’hux ans, alorsmes du noyaconstatations
e volume hipn et al 2011)
r des animas d’entraînemimpliqués daé du cerveau lésions etsa fonction ner les neurohiques joumétabolisme
neurotrophin plus susce
2010). Le
Leur hippoc) est plus d condition p
pond à des l’apanage dees IRM fonctchez 94 adule BMI, le ociés à une
avancé, l’ex
l médial son augmente lec 120 adultentraînement mémoire sphippocampe ds que ce mau caudé ets indiquent ppocampique .
ux ont démment a un efans l’apprentu à s’adaptert à acquéneurales. Les ones à survient non seénergétique c
nes, le bptible d’être BDNF poss
campe (une développé quphysique. (Cha
stimuli spéces seuls enfationnelles pouultes âgés (âtaux d’insul atrophie de
xercice peut
nt plus dévea perfusion es plus âgésphysique augpatiale. L’entde 2%, retarmême volumet du thalamque l’exercichez les ad
ontré qu’un ffet positif suissage et la r à des crir de nou neurotrophinivre, se difféeulement un central et pér
rain-derived régulé par sède un lar
zone du ceue celui d’addock et al.
cifiques au coants, elle exisur évaluer l’âge moyen line plasmatiqes régions fro
t influencer
loppés chez hippocampiqus (55-80 ansgmente la taitraînement pdant la perte diminuait d
mus n’ont pace aérobiqueultes âgés, a
environnemeur la croissan mémoire. Cchangements uvelles informnes soutiennenérencier ou rôle en riphérique (Kn
neurotrophil’exercice et
rge réperto
erveau essentenfants du , 2010a).
ours de la vste à tous leatrophie du de 77 anque à jeun ontale, tempo
r la morp
des adultes ue. Dans us), Erickson ille de l’hipphysique amène de volume dans le grouas été affecte parvient àaméliorant ain
nt enrichi, ince neuronaleCette neurop environnem
mations en mnt la neuropse développeneurobiologie,naepen et al
ic factor t l’activité poire de pro
tielle à même
vie. La es âges. volume
ns). Les et le orale et
phologie Les mieux n essai et al ocampe ne une liée à upe de tés par à faire nsi leur
incluant et les lasticité entaux, odifiant lasticité er. Les , mais 2010).
(BDNF) physique opriétés
neurotrsavoir: le replasticil’axone Le BDtaux dhautemmais indispeprocessénergét Nous libératial 200 Nutrit Les cognitimanipureport l’effort une in1997). est larnerveuxneurotr(5-HT),les efferepose neurotrémotiophysiolnerveuxavec dhydrate
rophiques et la protectioemodelage aité synaptiquee; et l’efficacit
NF réduit lade glucose sanment dosé enl’exercice p
ensable au fosus moléculatiques (Wisse
avons démion de BD8, 2010a,b, 2
tion et fatigu
interventions on mais ulations nutrde la ‘fatigu perçu nécessncapacité éven La fatigue rgement admx central ransmetteurs, , la dopamineets centraux sur les perturansmetteur ns, le sommlogiques (Meex central à des nutrimenes de carbon
neuroprotectn et la survaxonal et e telle que té de la tran
a prise alimenguin et amén graisses faitpeut contrer onctionnementaires centraux et al 2003).
montré danDNF, indépend2011).
ue
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et particulièe (DA) et la de la fatigueurbations des est im
meil, l’appétit,eusen et al.,travers des
nts spécifiquene (CHO) et d
tives dans levie neuronaledendritique la synaptogensmission syna
entaire, augméliore la senst baisser la ces effets.t du système x et périphé
ns diverses damment du
lles peuvenuses recherchur la performLa fatigue seroduction de duire cette foifeste pas seles mécanisaussi impliqèrement les mnoradrénalinee durant l’exe concentrationpliqué dan l’axe hypot, 2006). Ce modifications
es tels que de la caféine.
système ne; l’expression ; la diffnèse dans l’aaptique.
mente l’oxydatsibilité à l’in concentratio. (Molteni neuronal maériques du m
études qsystème neur
nt donc nes ont tentmance physiqe traduit à laforce (ou puorce ou puissulement au mes en jués dans lamonoamines e (NA) sont dercice. L’ “Hyns cérébralns les chathalamo-pituit mécanisme de l’alimendes acides
rveux central n des neuriteférentiation arborisation d
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que l’exercirotrasmetteur
non seulemeté de démonque, et plus a fois par unissance de sosance de sortniveau péripheu au niva genèse dcentraux quedes candidats Hypothèse de es en 5-angements deaire et de ninvite à matation ou des aminés (B
et périphéres; la croissanneuronale
des terminais
cose, fait bail’animal, un dans l’hippo4). Le BDNintimement et de l’homé
ice augmen central (Goe
ent influencntrer les effparticulièrem
ne augmentatortie désirée) tie. (Davis & hérique. En eveau du sde la fatigu sont la sérsolides pour la Fatigue Ce-HT, puisque sommeil-évnombreuses foanipuler le ses complémenCAA, tyrosine
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rique, à nce et et la
sons de
isser le régime
ocampe, NF est lié aux éostasie
nte la ekint et
cer la fets de ment le tion de et par Bailey,
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Centrale” ue ce veil, les onctions système ntations e), des
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La nut Les ac Fernstrla valbiochimproducqui phenylaune élconsomIl a étatténuel’ingestadmis, mettre performd’épreucourse Les hy Une fatigueau coumaintieindiquad’hypoexercicdélivréeet al.,chronodisponimécanilié à Carter 61.37 59.57 avant protoco
trition pour
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rom (2005) sline participamiques imporction d’énergsont des
alanine et lévation rapmmation par té suggéré quer la sensatiotion de BCA les résultats au jour mance au uves chronom à pied. (Me
ydrates de c
autre straté centrale : urs de l’exeren) de l’appant une altglycémie. Lces d’une due aux muscle, 1997). On métrée afin ibilité en CHisme alternal’activation det al. (200min; CHO min) suite aet pendant l’ole, ce qu
influencer
s branchés
soulignait claiant directemrtantes dans gie et la s dérivés tyrosine (Fepide de l le cerveau.’une réductioon de fatigAA sur la dis de plusieurun effet po cours d’exmétrées proloneeusen & Wat
carbone
égie nutritiol’ingestion de
rcice prolongéport de subsération de L’ingestion drée approximes durant ce a aussi add’étudier les
HO. L’absencatif pour ede récepteurs 04b) indiquai
au rinçage dexercice. Enui suggère
la fatigue ce
irement l’impment et ind le cerveausynthèse de des ac
ernstrom, 20eurs concen n de la prodgue et amélifficulté d’effors études bieositif clair sxercices de ngées, d’épretson, 2007).
nnelle pourre CHO. L’eé pourrait éstrats énergétla fonction
de CHO ammative de 60tte période dministré unes effets sur ce de résultexpliquer l’e aux CHO siient une am
de la bouchen réalité, a que l’amél
entrale
portance des directement à telles quees neurotranscides amin005). L’intrations pl
duction de sériorerait la rt perçu et sn contrôlées sur la capa longue d
euves incréme
rait influencffet bénéfiquegalement êtrtiques au ceet de la
méliore la p minutes, mest estimée e solution glla performa
tats bénéfiqueeffet ergogétués dans la
mélioration de
e avec une sucune solutiioration de
BCAA. La leuà une multe la synthsmetteurs 5-nés aromangestion delasmatiques,
rotonine dansperformance.sur la perform en laboratacité d’exercicdurée à inentales ou de
cer le dévee de la compre lié à l’auerveau, de nperformance
performance même si la qcomme très ucosée au cnce d’une aes suggérait énique des bouche (Cae la perform
solution richeon n’était performance
ucine, l’isoleutitude de fohèse protéiq-HT, DA eatiques tryptoe BCAA e augmentant
le cerveau p. Si les effmance mentatoire n’ont pce ou suntensité cone tests navet
eloppement plémentation eugmentation nombreuses cognitives ephysique poquantité de faible. (Jeukours d’une éaugmentation l’existence CHO, probabrter et al.,
mance de 3%
e en maltodeingérée durenregistrée p
cine et onctions ue, la et NA, ophane, entraîne t leur
pourrait fets de ale sont pas pu ur la nstante, ttes de
de la en CHO (ou au études en cas our les glucose kendrup épreuve de la d’un
blement 2004a)
% (PLA
extrines ant le pourrait
avoir bouche La caf La cafémécanidisponiglycogèque le(Grahasur le al., 20logique2003). montréal., 19 Les eindividla fréq Concl L’exerccerveaudévelopet la avenir cérébra
Refer
Acwortexercisamines Araya on ser33(3):
été induite pe et le cervea
féine
éine a longteisme d’actionibilité en acène. Cependan moyen d’acm et al., 20 SNC, mécani003). Puisquement une a Les études é des amél96; McNaught
ffets positifs us, ce qui nquence des pr
usion
cice et la nuu. Nous n’enppent dans lenutrition ont proche, d
ale durant l’e
ences
th, I., Nichoe on concents. Biochem Bi
AV, Orellana rum BDNF i300-304.
par une comau.
mps été recon de la ides gras libnt, ce résultaction de la c00). Les rechisme contrôléue l’adénosinaugmentation avec des su
liorations deton et al., 20
(et négatifnécessite la mrises avant to
utrition jouenn sommes qe cerveau pet des effets des intervenxercice.
olass, J., Motrations of pophys Res Co
X, Espinoza in overweigh
mmunication d
onnue comme caféine a
bres. (Spriet eat est loin dcaféine n’est herches actueé par antagoe inhibe lade la conc
ujets humainse performanc008; Glaister
fs) de la mise en placeoute compléme
nt tous deux qu’aux débutndant l’exercbénéfiques suntions nutrit
rgan, B., Nelasma aromatommun 137(1
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directe entre
une substanété associé et al., 1992)’être convaincpas lié à l’élles soutiennenism des réca liberation entration en s, utilisant ce après l’inet al., 2008).
caféine sembe d’une périodentation en c
un rôle cruts de l’exploice, mais il eur notre tionnelles v
ewsholme, E.tic and branc), 149-153.
Evaluation of e subjects: p
les récepteu
ce ergogéniquà une au
), avec pour cant et il estépargne du gent plutôt uncepteurs à l’ade DA, la
DA du cerv des proto
ngestion de ca.
blent très dde d’ajustemeconditions com
ucial dans le oration des est évident qusanté céront se conc
.A. (1986) hed-chain am
the effect opreliminary ev
rs présents d
ue. Par la paugmentation effet d’épargt actuellementglycogène mun effet de la adénosine. (D caféine entveau (Davis ocols variésaféine. (Jack
différents selent des dosesmpétitives.
fonctionnemmécanismes ue l’activité pébrale. Dancentrer sur l’
Effect of sumino acids and
of caloric resvidences. End
19
dans la
assé, le de la gner le t admis sculaire caféine
Davis et traînera et al.,
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on les s et de
ment du qui se hysique ns un ’activité
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ng time
5-656.
26
NOTE
ES
N UTRMUConseiller
BIOGMédeciactif. appliqu
Actuelledopageprésidesectorie
RESUL’ajusteactualitquantitconsomque salimentparticuet les
1. Les muscu
La praL’exercsidératprotéol
N
RITIONSCULA
scientifique d
RAPHIE n, physiologisProfesseur aguée aux armé
ement conseie. Vice-président de la socel « Physiolog
UME DE L’INement des apté qui amèneté optimale dmmation. Toutoit leur nivtaires proposulièrement pouperformances
besoins quaulation.
atique de l’excice, en foncion immédiatlyse; la fin d
N, COAIRE ET
Xadu président d
ste musculairegrégé du Vaées, du val-de
iller scientifiqent de la sciété Dauphingie-biologie d
NTERVENTI
pports en proe toujours à de protéines àtes ces questiveau, c’est sés et de siur les sportifs en force-puis
antitatifs en
ercice de muction de sa t des synthèsede l’exercice
ONTROT PERF
avier BIGARde l’Agence fr
75007 Paris
e et de l’exel-de-Grâce ete-Grâce.
que du présidsociété françané Savoie de de l’exercice »
ON otéines chez lse poser de à apporter, dons sont d’unce qui explites internet s adeptes de ssance sont d
n protéines c
sculation affedurée, mais es protéiques correspond à
LE DFORMA
ARD française de lu
ercice, nutritiot ancien titu
dent de l’ageaise de méde médecine du» de la sociét
es sportifs re très nombrede leur qualitn grand intérlique le nomtraitant de disciplines po
des détermina
chez le spor
ecte notablem aussi de s musculaires à une augme
E LAANCE
lutte contre le
onniste du splaire de la
ence françaiseecine de l’exu sport, et até de physiolo
este à ce joureuses questioné et/ou du mrêt pratique pmbre croissa ce sujet. Eour lesquellesnts important
rtif s’entraî
ment le métabon intensité, avec un accrntation rapid
A MAS
e dopage,
portif et de lchaire de re
e de lutte coxercice et duanimateur duogie.
r un sujet dens qui traitenmoment idéal pour les sportant de compElles se pose la masse muts des perform
înant en
bolisme des p induit un roissement du de et importa
27
SSE
l’Homme echerche
ontre le u sport, groupe
e grande nt de la de leur tifs, quel pléments ent tout usculaire mances.
rotéines. état de flux de ante des
28
synthèsprotéolensuiteainsi particuaminés
1.A. Eva
Chez cprotéinentraînCependfacteur
C’est l’équilisuffisanglucidedoit va
1.B. Re
Au plamasse équilibminimanutritioprotéinnutritioapports
Chez leà augmapport valeurscadre performéquilibde hau
On con
ses en protélyse continue e. Les conséqque les pro
ulièrement pos qui devra êt
valuation des
cette catégornes. La rationnés en muscudant, les besors, dont l’état
la raison pobre du bilannt, variable ses doivent reparier entre 6
ecommandati
an pratique, cmusculaire
rer le bilan al pour faireonnelle, prenanes du lactoséonnelle des ps nutritionnel
es athlètes chmenter la dis protéique as correspondede discipline
mance. Les rée, le dernieute valeur bio
nstate cepend
éines structur à croître juquences sur leocessus de ur les exercitre compensé
s besoins nutr
rie de sportn protéique nlation a pu êoins en protét d’entraîneme
our laquelle azoté (Buttsuivant le typprésenter de et 10 g.kg-1.j
tions d’apport
chez les athlène doit êtr azoté peuvee face aux ant en compérum, caséine)rotéines et des variant de
herchant à déponibilité localimentaire vaent à un apes dont la deux tiers der tiers pouvologique.
dant depuis d
rales et foncusqu’à 3h apes besoins endégradation ices de musce par les app
tritionnels ch
ifs, l’attentioécessaire pouêtre estimée àéines sont suent et l’appor
l’apport énerfield et Cape d’activité, 55 à 60% dj-1.
rt en protéine
ètes confirmésre qu’entreteent être estibesoins est te leur diges). Des correcte la variabilit1,3 à 1,5 g.k
évelopper leurale en acidesariant de 1,8pport optimalmasse muscude l’apport vant reposer
e nombreuses
ctionnelles duprès l’arrêt dn protéines nprotéique p
culation, sont ports.
hez l’athlète e
on est d’embr équilibrer là 1,6-1,8 g.kgusceptibles dert énergétique
nergétique realloway, 1984la masse mu
de l’apport én
es.
s dans des dienue, les apimés entre indicatif poustibilité et leutions sont à até interindividkg-1.j-1.
r masse muscs aminés. Dan8 à 2 g.kg-1
l pour les pulaire constitdoivent êtresur des comp
s années que
u muscle, alde l’exercice ne sont pas prolongés da à l’origine
entraîné en fo
blée attirée e bilan azotég-1.j-1 (Tarnope varier en fe.
présente un ). L’apport éusculaire et lenergétique, et
isciplines de fports protéiq1,1 et 1,3 ur des protéiur valeur bioapporter en fduelle. On peu
culaire, on pens ces condit.j-1 peut alorperformances tue un des e réalisés papléments sous
chez certain
ors que le pour enfin dnégligeables, ans le tempd’une perte
force
par les appé chez des supolsky et coll.fonction de d
facteur maénergétique de poids corpot l’apport en
force, et pouques suffisang.kg-1.j-1. Cetines à hauteologique (ovafonction de laut alors prop
eut concevoir tions particulirs être propomusculaires déterminants
ar une alims forme de p
s sportifs les
flux de diminuer et c’est
ps, tout d’acides
ports en jets très , 1988). différents
ajeur de doit être orel. Les glucides
r qui la ts pour apport e valeur lbumine, a qualité oser des
l'intérêt ères, un osé. Ces dans le s de la mentation protéines
apports
quotidiComptede vali
2. Les
La défcritèresd’appoprendraussi d
2.A. La
L'appo(isoleuchistidinpource
La combiodispbiologisa diggénéradigestibnotion
L'appod'un L'enricl'inconvla comet encompléd’hydropréparadoiventinsuffis
iens sous fore tenu de l’éider, des appo
s besoins qu
finition d'apps qualitatifs qrt dans la joe en compte.de leur vitesse
a valeur biolo
rt alimentaircine, leucinene). Pour les ntage importa
mposition en ponibilité poque. C’est pogestibilité, ce le, les protébles) ont une mérite maint
rt complémenenrichissemenhissement de vénient d'aug
mplémentation acides amémentaire estolysats de pations en act respecter sante peuvent
rme de protéétat actuel deorts très élev
ualitatifs.
orts nutritionqui tiennent ournée, etc. . Celle-ci relève de digestion
ogique des pr
e doit perm, valine, lyprotéines de ant, approxim
acides aminésstprandiale ourquoi la comqui permet
éines d’origine valeur bioltenant d’être
ntaire en pront de la la ration aligmenter l'app sur des prot
minés soufrést réalisé au protéines ou cides aminés un certain représenter
éines excèdene nos connaiés, parfois su
nnels conseilléà la nature L’efficacité nuve de la valen.
rotéines.
ettre l'approvsine, méthio haute valeurmativement 40
s des protéineconstitue aumposition d’ude détermin
ne animale logique supér considérée av
otéines, lorsquration alimeimentaire en port en lipidetéines végétals. Très souvmoyen de pd'associationindispensableéquilibre, caun facteur lim
nt très largessances, il esupérieurs à 3
és en protéindes protéinesutritionnelle deur biologique
visionnement nine, phénylr biologique, 0%, de l'ense
es est un critussi un factune protéine ner sa « vale(riches en arieure aux prvec plus de p
u’il est indiqentaire, ou protéines anies et en acidles peut condvent en mipréparations ns d'acides es devra êtrar les acidemitant de la
ment ces vast impossible g.kg-1.j-1.
nes doit aussis à apporter, des protéinese des protéine
en acides alalanine, thréces acides amemble des acid
tère de qualitteur essentiealimentaire deur biologiquacides aminérotéines végétprudence.
ué, peut êtresous forme
imales d'origides nucléiquesduire à un déilieu sportif, industrielles daminés. La e étudiée aves aminés pprotéosynthès
aleurs recommde justifier,
i être vue se du moment est fondamees consommé
aminés indispéonine, tryptminés représendes aminés.
té reconnu, mel à leur edoit être corrue ». D’une s essentiels tales, même
e réalisé sur e de compne carnée pes. Inversemenéficit relatif e l'apport pde protéines composition vec attention résents en se.
29
mandées. et donc
elon des optimal entale à es, mais
pensables tophane, ntent un
mais leur efficacité igée par manière et plus si cette
la base pléments. eut avoir nt, baser en lysine protéique totales, de ces : elles quantité
30
2.B. Vi
En preet les digestiopar l’edes caabsorbl’utilisaprotéinprotéiqconditisynthèslentes) substrarend ppermetde mas
2.C. Pl
Un intprotéinafin deet les aminésfractionde lacprès dpar la
Ces prcompossynthèsmusculprotéinprotéiqconséqconsom
Vitesse de dig
enant l’exemp protéines don. Les protéestomac, et leaséines précipés plus lenteation protéiqune dite « lenque postprandons de reposse protéique stimulent peats énergétiquplus intéressat ainsi de mosse maigre (B
Place des prot
térêt particulines d’origine e maximiser l produits dés, de vitaminen micellaire (tosérum). Le e 80 % de c ß-lactoglobul
rotéines du lsés azotés ; se protéique ation (Hartmnes du lactosque, au reposuence attendmmation de p
gestion des pr
le des deux fdu lactosérumines du lactoeurs acides apités dans lment. Les coue postprandinte », est pdial (Boirie es, l’ingestion mais aussi l
eu l’oxydationues aux protantes pour leodifier leur cBoirie, 2004).
otéines d’orig
ier s’est portlaitière sur es effets de lérivés sont ues et de miné(constituée de lait de vachcaséine et prèine, l’α-lacta
lait (caséine elles paraissemusculaire man et coll., 2sérum induise comme à l’adue, c’est urotéines du la
protéines, pro
fractions protm, on constasérum restentaminés absorb’estomac, sonnséquences miale ont été plus efficace et coll., 1997de protéines’oxydation den et inhibent téines rapidese gain de mcomportement
gine laitière.
té ces dernièrla reconstrucl’entraînementune source inéraux. Selon e caséine), et he contient aès de 20 % albumine, la s
et/ou lactosent plus efficamesuré dans la2007). Ingéréent une augmarrêt d’un exeun gain de actosérum, qu
otéines lente
éiques principate qu’elles t solubles à pbés rapidement libérés lemétaboliques dévaluées, et que son ho
7). Chez des s du lactosérue la leucine, la protéolyse
s freine l’oxyasse maigre. post-prandia
res années suction musculat, notammentntéressante dleur structure de la fractioapproximativede protéines sérum albumin
sérum) constiaces que les a phase de réées à l’arrêt mentation pluercice de musmasse musc
ue de caséine
es et rapides.
pales du lait n’ont pas l
pH acide, sonnt. A l’inversentement dande ces deux il a été momologue rapsujets non-spum (protéinesalors que le
e. Cependant, ydation des aL’énergie as
al et de favo
ur le rôle quaire après det en musculatde protéines, e, on distinguon soluble (coment 30 g.Lsériques (repne bovine, etc
tuent une soprotéines deécupération pd’un exerciceus marquée sculation (Tanculaire, plus e (Cribb et co
s.
que sont les a même vitt rapidement se, les acidesns le grêle profils cinétiq
ontré que la ide sur l’anaportifs, pris ds rapides) sties caséines (p le fait d’ajoacides aminésssociée aux priser le gain
ue pourrait jes exercices tion. Le lait dde lipides, e les protéineonstituée de pL-1 de protéinprésentées notc.).
ource importe soja sur le précoce d’exere de musculadu flux de ng et coll., 20important
oll., 2006).
caséines tesse de libérées aminés et sont ques sur caséine, abolisme dans des imule la protéines uter des s et les protéines attendu
ouer les intenses, de vache d’acides es de la protéines nes dont tamment
ante de flux de rcices de tion, les synthèse 009). La avec la
2.D. L
Cette qinduiseprotéiqpendanl’état b
Un appdes suj2009).
Il convdans laque l’apas un
3. Pro
Si les sont mentraîncoll., 2retrouvmusculnutritioperformdes gl(Lynch,des prassociéla priscoll., 2
En conactualitdérivesadeptealimentde muquantit
L’horaire de c
question se pent une pertuques. Le momnt laquelle il biologique d’a
port de 20-2jets), permet
viendra donc a phase de rapport de prn tiers de l’ap
otéines et pe
effets des prmaintenant panement en m2009), il n’enve que très aires à un onnelles sont mance muscullucides qui s, 2013 ; Ranrotéines végétées à d’autresse d’une bois2012)
nclusion, les bté, largements du compors de disciplintation équilibsculation a ptés recomma
consommatio
pose principaleurbation impoment crucial faudra une anabolisme m
25 g de proté d’assurer cet
d’équilibrer récupération drotéines dans pport quotidie
erformance
rotéines de harfaitement dmusculation (Hn est pas de peu d’étudesprogramme
proposées laire n’a été sont apportésnkin et coll., tales (Joy et s nutriments sson inerte s
besoins en prt débattu, sortement alimnes de force/brée. Le comppour conséqueandées, alors
on et la quant
ement dans lrtante de l’éqest la phas
parfaite disusculaire (Lev
éines de hauttte disponibili
les apports edes exercices les suites pr
en.
es musculair
aute valeur bdémontrés surHartman et c même pour s qui se sonde muscula
pendant la pconstatée quas en phase 2004), ou qcoll., 2013).s’avère logiqusans macronu
rotéines du source de coentaire. Bien/puissance soiportement alience de majo qu’aucune
tité de protéi
e cadre des quilibre entrese de récupéponibilité en venhagen et c
te valeur bioité en acides
en protéines, de musculatirécoces des e
res.
biologique (etr les réponsecoll., 2007 ; les performa
nt intéresséesation au couphase de récand ce sont de récupéra
quand les pro Par contre, uement plus eutriment (Wa
sportif constitntroverses, etn que les bent augmentéimentaire souorer les appodonnée expé
éines à précon
entraînementse les synthèseération précoc acides amincoll., 2001).
ologique, suiva aminés essen
au cours deion ; on veillexercices de
t de l’apport es de la maMoore et conces muscula aux réponsurs duquel cupération. Ades protéinesation des séaotéines laitièr l’apport de efficaces sur lter et coll.,
uent toujourst qui peut esoins en pés, ils sembleuvent déviant rts en protéiérimentale ne
oniser.
s en musculas et les dégrce de ces enés pour rép
ant le poids ntiels (Moore
s repas classera entre autmusculation
énergétique sse musculairoll., 2009 ; aires. En effetes des perfodifférentes stAucune différes d’origine laiances d’entraes sont compprotéines seles performan 2013 ; Orm
s un sujet dedonner coursrotéines des ent couverts des sportifs nes très au de peut justif
31
ation qui radations xercices, ondre à
corporel et coll.,
iques et tre à ce n’excède
associé) re à un Tang et t, on ne ormances tratégies ence de itière ou aînement parées à ules, ou nces que msbee et
e grande s à des sportifs par une adeptes
delà des fier des
32
apportsqualitéphase
Référ
BOIRIE,METABO
BOIRIE DIFFERE
BUTTERMEN. BCRIBB PBODY CO
HartmaSM. (2lean mweight
Joy JMJE, Jägbody c
Lynch carbohtwo ar
LevenhPostexeprotein
Moore Phillipsafter r
OrmsbeKim Jperformstrengt
Rankin(2004)training
s aussi impoé des apportsde récupérati
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Tarnoptraining
Walter Size, ASupplemCond R
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33
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ake and 3.
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34
NOTE
ES
N UTRALTBIOGVincent2009. physiolconséqd'Auveest resdu strepopula
RESU
Depuis démocrandins méthod(VO2masportifsde la amélioentraîntransporespectfacteurconfron
N
RITIONTITUDE
Centre de
RAPHIE t Pialoux estIl s'intéresse
logiques (expouences cardiorgne sur la bsté 3 ans en ess oxydatif stion âgée.
UME DE L’IN
une quarantratisation des et himalayendes d’entraînax). En effet,s d'endurancemer. Ainsi, re la capacitner une améort de l’oxygètives de l'érytr de croissantées à des s
N ET E
VincMaîtr
e Recherche etUn
t Maitre de e plus partiosition à l'alto- et cérébro-balance pro/a post-doctoratsur la baisse
NTERVENTI
taine d’annéess randonnéesns mais aussiement qui p, l'entraînemee pour améliune expositioté de transpélioration de ène et la vasthropoïèse indnce vasculairséjours de plu
ACTI
ncent PIALOre de Conféret d’Innovationniversité Lyon
Conférences culièrement titude) ou pa-vasculaires. Ilantioxydant at à l'Universide la pressio
ON
s, l’expositions sportives e auprès de spourrait améent en altituorer leurs peon régulière port de l’oxyla VO2max
scularisation mduite par l’érre endothéliausieurs semain
VITE
OUX ences n sur le Sport 1
à l'UFR STAPau stress oxathologiques (l a réalisé unau cours de lté de Calgaryon artérielle s
n à l’altitude et/ou expéditportifs d’enduéliorer leur cde est aujouerformances pà une altitudygène et la et des perfomusculaire sorythropoïétineal. D’un autnes en altitud
PHYS
t, EA 647
PS de l'Univexydatif en co(apnée du sone thèse de dl'entraînementy au Canada suite à un en
s’est largemetions d’alpiniurance de haconsommationrd'hui fréquephysiques lorsde modérée vascularisationormances aéront augmentée et de l'angitre côté, lesde, lors de tr
IQUE
ersité Lyon 1onditions hypommeil, BPCOdoctorat à l'Ut en altitude, pour étudierntraînement c
ent populariséistes dans leut niveau en n maximale emment utiliss du retour a(environ 200n musculaire,robies. La caes par les stogenèse indus personnes reks ou expé
35
EN
depuis poxiques ) et ses niversité , puis il r le rôle chez une
ée avec la es massifs quête de d’oxygène é par les au niveau 00-3000m) , pouvant apacité de imulations ite par le qui sont ditions en
36
haute masse Finalempourra ApporLorsqu’induisealtitudeCe phsituatiol’hémofortemele séjoil semb ApporIl a écorporeréductiprolongaltitudealtitudemodificLa moavancéindépedu méd’altitula dimdes appas la part dassociépart etde 15%dans le ApporLa cohypoxi
montagne, decorporelle po
ment, qu’ils s leur permett
rts en Fer ’elles sont suent une prode (phénomèneénomène eston hypoxiqueglobine, est ent recommaur en altitudble que des v
rts énergétiété largementelle traduite ion de la magées à des ale particulièrees entre 180cation du comdulation par e par plusiendamment deétabolisme deude. Bien qu’minution de mpports augmen perte de mes glucides, aé à la balancet de la quant% de protéine contexte.
rts hydriquentrainte hypque d’altitude
evront avoir our réussir leusoient sportifstre d’optimise
uffisamment uction accruee appelé hypot même accee. La productdépendante dndé d’augmede. Des doses valeurs de 40
ques t démontré qpar une d
asse grasse. Ctitudes supérment intense00 et 2000mmportement al’hypoxie de
eurs études pe la dépense e base qui, il ait été prémasse musculntés de protéasse musculaau détriment e énergétiquetité de glucidnes et de 60%
es poxique prove) pour perm
une bonne aur expédition.s d’enduranceer les processu
prolongées (8e de globulesoxie, caractérentué par ution de globdes réserves nter les appo de 80mg pamg par jour
que l’activité iminution deCe phénomèneieures à 3000s ou prolongm. Un des malimentaire q deux protéinpour expliqueénergétique. par exemple
éconisé d’augaire, les réceines lors d’exire. L’exposit des lipides, e négative jusdes dans la ra% de glucide
oque une amettre l’élimin
cclimatation v. e, alpinistes ous physiologiq
8 jours minis rouges pourisé par la baune lyse plusbules rouges, de l’organism
orts en fer lear jour ont ésoient aussi e
physique ene la masse e est quasime0m. Cependangés, la perte mécanismes dui se traduit nes régulatricer cette dimLe deuxième e, est comprmenter les apentes donnéesxpositions proion hypoxiqudans la fourntifie donc unation alimentes dans les a
augmentation nation accrue
ventilatoire et
ou trekkeurs, ques précédem
mum), ces eur pallier le aisse de la prs importanteen particulie
me en fer. Ees semaines pété longtempsefficaces.
n altitude momusculaire ment inévitablent, dans le cade poids peu
de cette pert par une dimes de l’appét
minution des mécanisme eris entre 10 pports protéiqs de la littérlongées en ale induit une niture énergée augmentatiaire. Un ratioapports énerg
de la diu des bicarbo
t limiter leur
une nutritionmment décrits
expositions enmanque d’ox
ression partiel des érythroer de son cEn conséquenprécédentes e conseillées,
odifie la commais aussi pe lors des expas d'entraînemut survenir pe de poids minution de ltit est une hyapports alim
est une augm et 20% à ques pour corature suggèrltitude ne mo augmentatiotique. Ce phéon significativo de 25% degétiques est p
rèse (hyper onates mobilis
r perte de
n adaptée s.
n altitude xygène en le en O2). ocytes en constituant nce, il est t pendant cependant
mposition par une positions ments en pour des est une l’appétit. ypothèse mentaires mentation 4000m mpenser rent que odifiaient on de la énomène ve de la e lipides, préconisé
diurèse sés pour
pallier des peapports ApporDepuis augmel’associconnusoxygenles capantioxyaltitudeadaptapositiveHIF-1).de la de l’Os’entraîl’originacclimacompled’entral’adaptsans suEn coantioxy En conentraînadaptanégativaugmen’est p
la baisse duertes hydriqus hydriques d
rts en antiox plus d’une nté après uniation d’exercs pour augmen species » (Rpacités antioxydants exogène. Néanmoinsations physioement la pro. Cette protéiproduction deO2 en hypoînant en altne de l’augmatation. D’autexe de vitaaînement assotation des enzupplémentationséquence, ilydants les jou
nclusion, les nent vraisemations hématovement par nter les appopas justifié.
u pH sanguinues liées à lde 1,5 - 2 lit
xydants décennie, la ne période dcices physiqueenter la produROS), engendrydantes de l’nes (vitamine, il a été mologiques à otéine maîtresine agit direce globules roxie, principatitude. En oumentation detre part, une mines antioxociant exerciczymes antioxyon. l ne nous purs précédents
effets physiolblablement uologiques et des apports
orts en fer, e
. L’air plus sla respirationres par jour
plupart des ’entraînementes d’intensité uction des rare vraisembla’organisme. Il s C, E, pro-vontré que le l’hypoxie. Passe des adapctement sur luges, indispenale adaptatioutre, ce stree la ventilatrécente étudexydantes augces physiques ydantes endog
parait par ops et lors d’un
logiques spécune modificaventilatoires. nutritionnelsen eau et en
sec en altitudn. Au final, par rapport a
études ont mt en altitudeélevée et d’e
adicaux libres blement une semblerait dvitamines A estress oxydatiar exemple, tations à l’ala synthèse d’nsable pour con physiologiss oxydatif ation en altie vient de mgmentait le intenses et gènes qui sur
pportun de n entraînemen
ifiques d’une ation de la Ces trois ps inadaptés. glucides. Par
de induit ausil est conseau besoin du
montré que l. Lors de ceexpositions hy dérivés de l’production r
donc logique etc) avant et if jouait un rles ROS p
ltitude (hypox’EPO responsacompenser la ique rechercaugmenté entude, signe ontrer qu’unestress oxydexposition h
rvient lors d’u
conseiller unnt ou d’un séj
exposition pcomposition
phénomènes pIl convient
r contre, l’ap
ssi une augmillé d’augmen niveau de la
le stress oxyde type d’entrypoxiques, de’oxygène ou radicalaire qude se supplémpendant un
rôle importantpermettent dexia inducible able de l’aug baisse de dichée par les hypoxie estmajeur d’un
e supplémentadatif après hypoxique, enun même ent
ne supplémenjour en altitu
prolongée en corporelle peuvent être alors de vpport en antio
37
mentation nter ses a mer.
datif était raînement, ux stimuli « reactive i surpasse menter en séjour en t dans les e réguler factor 1, gmentation sponibilité s sportifs t aussi à ne bonne ation d’un un stage n inhibant traînement
tation en ude.
altitude et des
régulés veiller à oxydants
38
NOTE
ES
MEDES-I
N UTRL’EIMPS (Institut
BIOGDepuis Spatiald'expéspatialed'Aide CNES pOperatnécessaprotocosupporrédactiastronaexpérie
RESULa polune évl’environutritioréduiteplanificregain
La nutl’appor
N
RITIONSPACE
t de Médecine
RAPHIE 20 ans, Aes, Toulouse)riences de sies (CNES, ESau Développ
pour participeions Centre) aire aux équioles expérimert comprend on et validautes), les meences et la di
UME DE L’INitique d’explovaluation préonnement spaon n’a jamaie des vols. cation des vo d’intérêt, en
trition joue prt alimentair
N ET E
Alae et Physiolog
31401
Alain Maillet ), tout d'aboimulation sol SA, JAXA et pement des aer et mettre de l'ESA. Dapes scientifiquentaux (de phnotamment lation des pesures de baistribution des
NTERVENTIoration spatiaécise et exhaatial sur less été considéAvec la co
ols de longue particulier e
plusieurs rôlesre pour m
ACTIVI
Alain MAILLEgie Spatiales),
Belin,
TOULOUSE ce
travaille à ord comme c par alimentNASA). En Sectivités en Men place le ns le cadre ues françaiseshysiologie) à les taches deprocédures dse pré et pos données au
ON le telle qu’ellaustive des cs astronautesérée comme onstruction des durées qun tant que m
s au cours dmaintenir l’or
ITE PH
LET CADMOS-CNES
edex 9
MEDES (Insticoordinateur t anti-orthosteptembre 200icro-pesanteunouveau prode ce progras et internatiobord de la
e préparation e vol, partiost-vol sur lesx scientifiques
le est envisagconséquences . Malheureusune priorité de la Stationi lui sont as
moyen de prév
es vols spatirganisme en
HYSIQ
ES, BPi 2221,
itut de Médscientifique, tatique financ01, il rejointr et des Opéogramme USOamme, il faut onales pour lastation spatia des expériecipation auxs astronautes,s.
gée vers la Lunutritionnelleement en mdu fait de ln Spatiale Issociée, la nuvention (contr
aux allant den bonne sa
UE DA
18 Avenue E
ecine et Phypuis chef decées par les t le CADMOS érations SpatiOC (User Supp apporter le a réalisation ale internationces (documex entraineme, le suivi en
une et Mars es à long temédecine spata durée relatnternationale,utrition a sure-mesure).
es effets basianté aux b
39
ANS
Edouard
ysiologie e projet agences (Centre ales) au port and support de leurs nale. Ce entation, nts des vol des
implique erme de tiale, la tivement , et la scité un
iques de bénéfices
40
psychoaffecterl’évaluainhérennombreadaptaphysiolsanguinosseusesanguinmétaboquantitpartiell
L’étudemaximnutritionutritioétendu
UNE P
LES SPUn prspationapportsénergéténergétpubliéeune badans l’énergét5kg pmissionmasse et le s
LES COLes consol, unune faaltérat
sociaux relatrait la santéation précise nt à toutes euses donnéeations délétèrelogiques à l’en de la parte et musculanes. Ces chaolisme des ntative ou qulement être p
e détaillée deiser le rôle bon spatiale seon au cours e.
PERTE DE P
PAT IONAUTES
oblème médinautes au cous énergétiqutique de l’otique, on paes jusque-là ealance énergét’espace de 2 tique moyen ar mois. Si ns de courtegrasse, cela csuccès des mis
ONSEQUENCE
nséquences d’ne sous-nutritatigabilité augion du somm
ifs aux repasé, les perfordes besoins emissions de es démontrenes de l’organenvironnementtie inférieure aire, une immangements peutriments. Enualitative, les prévenues.
e la relation bénéfique de e doit donc des vols sp
OIDS CRITI
S SONT EN DE
ical majeur urs de la mises représentorganisme. Lrle de balancet qui se sontique négativesemaines, Stede 5,7±0,3Mun tel défics durées (<constitue un ssions de long
ES DU DEF IC IT
’un déficit éntion chroniqugmentée, unemeil ainsi qu’
s. Dans la mrmances, voiren énergie etlongues durént une relatnisme à l’apt spatial, on du corps aumunodéficienceeuvent aussi n revanche, e adaptations
entre nutritiol’alimentationd’étudier et atiaux afin d
IQUE AU CO
EF IC IT ENERGE
des vols spassion. La dimiés par la Lorsque l’énece énergétiqunt intéressées e sévère pendein et collèguMJ/j, qui poucit énergétiqu15 jours) duproblème magues durées.
T ENERGET IQU
ergétique sur ue entraîne ue susceptibilitun mal-être
mesure où unre le succès t en nutrimenées. Ceci est tion directe esanteur ou a mis en évu torse et ve, un déclin affecter les
en modifiant délétères à
on et physiolon pour la sande mettre end’assurer le
OURS DES V
GET IQUE atiaux est la inution de la nourriture nergie ingéréee négative. E à la balancedant les vols ues (1) ont nourrait causer ue est physiu fait de la ajeur pouvant
UE SUR LA SA
le long termune diminutioté aux infectgénéral. La c
n état de m et la survnts apparaît cd’autant pluentre la numicrogravité.vidence une rers la tête, de la massebesoins des
la prise alim l’environnem
ogie est doncté de l’équipn avant les dsuccès des m
VOLS SPATI
perte de m masse corpone compensee est inférieEn effet, parme énergétiquespatiaux. À laoté chez 4 spune perte deologiquement haute teneu
affecter la sa
ANTE DES SPA
me sont effecton des perforions progresscicatrisation e
alnutrition chie des spaticomme un prus important utrition et c Parmi les redistribution une perte dee des celluless spationautementaire de ment spatial
c primordiale age. La rechedifférents rôlemissions d’un
IAUX
masse corpororelle indique nt pas la eure à la mi les quatre, trois ont da suite d’une pationautes ue poids supé tolérable pur énergétiquanté des spat
AT IONAUTES ivement sériermances physsivement accrest aussi com
hronique onautes, ré requis que de
certaines réponses du flux e masse s rouges s et le manière peuvent
afin de erche en es de la e durée
elle des que les dépense dépense e études démontré mission n déficit rieure à our des e de la tionautes
uses. Au iques et rue, une mpromise
lors d’blessur
LE DPHYSIO
Il a édélétèr
Figure
Le décaractéCertaincorréléspationaugmeaux bobservécaloriql’immualimentpourraavec u
une balance re arrivait dan
DEF IC IT ENEIOLOGIQUES D
été suggéré qres physiologiq
e 1: Les adap
éficit énergétérisé par ces ns auteurs oe avec le dénautes est essntation de la besoins pourrée au cours ue exacerbe nocompétencetation non it être dramn agent path
énergétique nns l’espace.
ERGET IQUE DELETERES DE
que le déficitques de l’orga
ptations physiola contributi
tique serait deux altératint aussi moficit énergétiqsentiellement dégradation raient contrib des vols. la perte de a été obsuffisante, ceatique pour ogène.
négative chron
SEMBLE ETE L ’ORGANISMt énergétiqueanisme à l’en
ologiques déléion de la bal
impliqué dons, subit pantré que la que en vol. Cdue à une bdes protéines
buer à la pIl a en effede masse mubservée au ette immunola santé et
nique, ce qui
TRE IMPL IQUME A L ’ ENV IR chronique environnement
étères en répoance énergéti
dans le décar les spationa baisse de lComme l’atropaisse de la sys, là encore dperte de maet été montusculaire et cours des
odéficience déla survie des
pourrait être
QUE DANS RONNEMENT SP
exacerberait spatial (Figur
onse à l’envirique négative.
conditionnemeautes au retola synthèse phie musculaiynthèse protédes apports éasse musculairé récemmend’os. Enfin, vols spatiauéjà induite s spationaute
e un problème
LES ADAPTSPAT IAL certaines adare 1):
ronnement sp.
ent cardiovaour des vols sprotéique étaire observée éique plutôt qénergétiques inre systématiqnt qu’une reune diminu
ux. Associée par la micrs en cas de
41
e si une
TAT IONS
aptations
atial et
asculaire, spatiaux. ait bien chez les qu’à une nférieurs quement estriction ution de
à une rogravité contact
42
QUELLBien qcorporeserait élevée. au made leuconsomfonctioL’entravols aénergétphysiqusupériedonnée
L ’ÉVAEtant les apppour ledes bimportéquipabesoinsproblèmdes be
EN PRAIl est donné De plupermetspatial cherchepermetmicrogTerre, l’organsont ade sim
LES SONT LES
que les raisoel stable nécedouble: des La perte deal de l’espaceur premier vmmation alimennement ou aînement physfin de limitetique négativue augmente eur, qui n’est es suppose qu
ALUATION Ddonné cette sports en maces missions spbesoins énergantes. Il a ége constitué s en eau, demes de masssoins énergét
RAT IQUE : COMcependant exles contraint
us, le nombrttraient pas sur l’organieurs utilisent t de simuler gravité, c’est-àle gradient
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ons de l’appaessitent encorapports alime poids des se, phénomènevol spatial. entaire au co encore desique intenseer l’atrophie ve en modifi la dépense pas forcémeue l’exercice p
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