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BIENVENUE !QUELQUES CONSEILS
2
Tous les micros sont coupés.
Vous pouvez poser vos questions tout au long de la présentation, dans la fenêtre de chat en bas à droite de votre écran
AU PROGRAMME
1. Les labels RSE en France : le constat
2. Point d’étape sur les travaux de la plateforme RSE
3. Retour sur le rapport “Accompagner les entreprises et donner
confiance à leur parties prenantes”
4. Questions/réponses
INTERVENANTS DU JOUR
4
Frédérique LELLOUCHE PrésidentePlateforme RSE
Jean-Paul CHAPRONPDG ASI
Fella IMALHAYENEDéléguée généraleGlobal Compact France
1. Les labels RSE : le constat
Normes LabelsAgences de notation
Réseaux RSE
Les labels RSE : le constat
Globalement :
Une offre multiple qui manque de lisibilité
La labellisation est encore une démarche qui manque d’attractivité
Malgré l’essor de la RSE, les labels d’entreprise ont connu un succès faible, contrairement à certains labels-
produits
Mieux encadres, les labels pourraient contribuer efficacement a l’essor de la RSE
Les labels peuvent permettre aux petites et moyennes entreprises d’engager une démarche RSE
Les labels constituent des réseaux de solidarité entrepreneuriale et permettent ainsi l’émulation de bonnes
pratiques
Les labels sont un signal simple et intelligible envoyé aux parties prenantes
1. Les labels RSE : le constatDes typologies de labels différentes
Labels généralistes
Labels thématiques
Labels territoriaux
Labels sectoriels
Installée à France Stratégie en 2013, la Plateforme RSE traite des « questions
environnementales, sociales et de gouvernance soulevées par la
responsabilité sociétale des entreprises ».
Un bureau de 15 membres, élus chaque année par les 50 organisations qui
composent la Plateforme RSE, en pilote les travaux, qui sont adoptés par
consensus.
Entreprises Syndicats ONG Chercheurs InstitutionsBureau
2. Retour sur les travaux de la Plateforme RSE
12 fédérations
participantes + 6
fédérations
additionnelles
référentiel
RSE
sectoriel
bilan de l’expérimentation
et propositions destinées aux
pouvoirs publics, aux
fédérations, …
entreprises
3 bilans
semestriels
revue
par un OTI
labellisation /
évaluationpar un OTI
assurent
la
promotion
du
référentiel
et de la
démarche
ont élaboré
nov. 2018, mai 2019, déc. 2019
élabore et publie
2021
L’expérimentation en quelques chiffres
17 fédérations, près
de 12 000 entreprises
adhérentes
63% ont moins de 10 salariés
31% ont entre 10 et 250 salariés
5,5% ont entre 250 et 5000 salariés
Moins de 0,5% ont plus de 5000 salariés
Environ 340
entreprises engagées dans l’expérimentation
Quels enseignements?
-Référentiels basés sur norme ISO 26 000
-Labellisation = accompagnement
-Manque de lisibilité et de reconnaissance
Quelles pistes?
-L’enjeu du référentiel
-L’enjeu de la transparence (gouvernance,
financement, contenu)
-L’association des parties prenantes
-Le rôle clef de l’OTI
-La reconnaissance et la valorisation des labels
-L’enjeu des marchés publics
-L’enjeu de la communication
-L’importance de l’accompagnement
Accompagnerles entrepriseset donner confianceà leursparties prenantes
Rédactrice : Mariella MorandiJean-Paul CHAPRON, président directeur général de ASI
Coralie DUBOST, députée
Fella IMALHAYENE, déléguée générale du Global Compact France
LABELS RSE
3. Le rapport « Accompagner les entreprises et donner confiance à leurs parties prenantes »
3. Le rapport - la Loi Pacte Article 174 de la loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 relative à la croissance et la transformation des entreprises
Au plus tard un an après la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur les conditions de mise en place d'une structure de revue et d'évaluation des labels de responsabilité sociale des entreprises permettant de valoriser des produits, des comportements ou des stratégies.
Cette structure associe, notamment, des experts et des membres du Parlement et propose des pistes de rationalisation et d'harmonisation des conditions de validité, de fiabilité et d'accessibilité de ces labels pour les petites sociétés.
Le rapport mentionné au premier alinéa propose également une charte publique de bonnes pratiques de labellisation des performances extrafinancières des entreprises, présentant des critères et indicateurs objectifs en matière de distribution de l'épargne salariale, de partage de la valeur créée et de sensibilisation, y compris graphique, aux écarts de rémunérations.A partir des conclusions du rapport mentionné au deuxième alinéa, l'Etat peut mettre en place une politique publique d'homologation des instruments d'audit, notamment les labels et les certifications, qui respectent une sélection d'indicateurs et une méthodologie définis par elle.
3. Le rapport Réponses de la mission sur les questions de l’article 174 et autres recommandations➢la mission recommande la mise en place d'une structure spécifique de revue et d’évaluation des labelsau sein de la plateforme RSE
Face à un paysage institutionnel déjà complexe, la mission ne recommande pas l’intervention d’unnouvel acteur
Un encadrement législatif des labels n’est pas non plus souhaitable à court terme, en particulier dufait du manque d’harmonisation des indicateurs de reporting extra-financier
A court terme, la plateforme RSE devrait être plus valorisée et son organisation adaptée en vue dedévelopper son rôle sur les labels
➢la mission considère qu’une charte publique sur les pratiques de labellisation pourrait faire contribuerefficacement les labels a l’essor de la RSE
➢La mission recommande un ciblage sur les PME et le renforcement de l’accompagnement et desincitations
➢Enfin, la mission insiste sur l’importance d’une meilleure formation des dirigeants, salariés, donneursd’ordre et autres parties prenantes aux enjeux et méthodes de la RSE
3. Le rapport - Synthèse des recommandations
A. La structure de revue et d'évaluation des labels B. La Plateforme RSE
C. La mise en œuvre de la charte publique D. L’organisation des labels
E. Les actions de formation F. Les actions de communication
2. Le rapport - Principes de la Charte
➢Exemplarité
➢Transparence sur l’organisme
➢Transparence sur les critères et référentiels d’évaluation
➢Principe de matérialité
➢Promouvoir la progression
➢Comparabilité avec les meilleurs standards internationaux
➢Simplicité
➢Accessibilité
➢Bénéfices concrets pour l’entreprise.
➢Représentativité
➢Séparation des compétences
➢Adaptabilité
Relais local officiel du Global Compact des Nations Unies, le Global Compact France rassemble plus d'un millier entreprises et organisations à but non lucratif autour d'enjeux liés à la RSE et au développement durable.
Le Global Compact France offre à ses membres un cadre d'engagement volontaire construit sur la base de dix principes à respecter en matière de droits humains, de droit du travail, d’environnement et de lutte contre la corruption.
Il est également mandaté par l’ONU pour accompagner la mise en œuvre de l’Agenda 2030 et l’appropriation des Objectifs de Développement Durable par le monde économique français.
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Merci de votre attention !
Les prochains Rendez Vous du Global Compact :
RDV le 12 janvier 2021 pour parler ODD et leadership !
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