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CANTON ., ^ Juillet pour un 'pK^j^int de M* I -. '.Section le Mofirtjfi* * 4. WfA*8 ®^ ér» nons avona publié un Ède Penl*&inteeUaxrnce« nlle« le lundi de la Penie- efii moins remarqdablef le Bde Verberie; nous nous bcieure dans un prochain V* ^conseil-général, en rem- nisiionnaire, . 1 ,^ 41. dddt W cenlrt ttril à {oTe Ik'tftk’iice. 'll ttol qd« le aew 19 r. nia. uea» pour «v«ii«|ie« ; : ’fl'ï’l)e»oiÆB,«oDi*rv«r pendenl qeW ieki'W ,“ quidier, •» i»n>iy q X a r e r I>ytt.eii5^ des cito]çe»s. Àiu'lsni ... , iaiEtrr. DË sESi' d’hiveir. que Id dottU* dé 101^ ^ tSuoiWs de oeSld»e4lés el les fsiï^rlr piresphjxie. An 3 en do «yen erlificiel de M. DVdiSidyilte. oe peol ver«r ses X^lles do micl.liqoide qo,’elles,Tent chercher so tond des il- 1 T^lqs.'^idoie dois" ob rtyon nSlorel el sods nsqoe poor elles de **WSiIlcQirés. .à M#cqo(jlibe| commone de Betz. (Od senioîr cylin- | *7ôî**^oyclles, commone do Msrenil-sOrOorcq. loyersVchenlillods de hidedéElée.) — Celle indiislrien poor bol d’nliliteÿ le* chitrons enirefdii.sens emploi el permet d occoper on orsnd nombre de femmes et eiif»nisi>où»rcB. . . ^ UBsnr-MibUET cl C»; à Cteil.frhécompletelone parue de ser- *iee dé Inblé en porcelaine léndré. Assiettes impnmees en pnrce- laine opaqoe, cl diTeW éclia'niillohS do bonlons en poicelaïue.) — CéS porcelaines sOliWeb ce qoi concerne le thé ek le sersice do labié le reprbdoclion, avec perfeclionncmcnt et baisse de pria, des résotiallli déjà oblenns, liais it y » innOïaUon complète qoant adi Bodlona', dont la fabricaiion, lèiporlée en Ërance en IM6, ■' anamènle lèos les joors. La fabnqoe de Creil en livre an commerce environ vingt-cinq millions par niojs a des prix tellement bas, que c” lT aint.nant la France qni etisfonrnit à l’An.glel«f«- Ce«e m- dnatrieeccnpe «i femmes el 64 enfants. U fabriqne de Creil verse dansJe canton.,environ 25 mille francs par mois. MM. Ubenf- Milliet el Ci® ont obleno des médailles d*or aox précédentes expo- '" rtoxi, i Nanleoil-le-Hapdoin. (One pondnle astronomiqne.) — Celle béndole penï-étfo fort btile dairf (éï éfablissements d instrnc- tion Dobliaortie mooVemeni fait marcher on système astronomiqne prapra sr donner, ono idée des monvements do la Terre el de la Lone, de Véonsel deliercnre. : i', ' . Soctéié Attopin» des forges, dé llCntalaire. (Fenilles de tôle, fenilles de fer-blanc, barres fer et moropaox de fer servant poor waninè I —TobslesproJnitssont Ir^remar^nablea. Toaqnsi a c —ii. flri,. hailni Ha chanvre nréiiaré .à.p - . J. -l» rclû»i iFR'ÀI lé.’ MM. d é # ^ y . - ô ' Bel^nfeap..,. liiiuilibo , «' Sectiàiidè S, MM.Déiifl.iiir V . deMornpyj Btlleuger.a . • n v tiM.-Dandin. . > deUornay Bellcnger. . . .1 • • Kéi»rifiTL4i .. _....„„.,4»-llA’a o a Mâ Danüio . M. BeUengerâ M. de Mornay a été proclamé mei Nous félicitons le cautou de Mér- üe pour ses iniérôls. Ils auront v- topt concourt à bien placer pour les 386 93 44 51 5 I remonta immédialimenl snr son siège, se iérobabi albsTaoit ibUci» , . talions qu’il roériiail à si juste litre, • , -M i e j o i n , Mn.Àhce«d« MWa»# * » J W ig!?SSja!fg. ÎS .K n c s environ’. Il y avait poor 8.000 frâncs de garantie par lesjmMirsnpes^ ^ vers trois heures et demie,do roatio,,#n iii- cendie aTÛibné à la malveillance a éclaté d-ns,)a .«om^oo^^Je - ïT ir i: oJrwLé de sèle’avec les habitanu dé Maiest, >l ont contrib^^^ éteindre complèiemcnl l’incendie. . .i -, - u 25 ioin, on incendie attribné à Vim'prhdrnce d’on éitfant, a détroit one petite halle sise à Mareoil-la-Motte, et apparlenaitl oo êieorDobônscq, coltivateor. La perte, non assnree,' est evalnée., “i. nn incendie dont la caose est incowoe, a '• I wrsenniibn» éifl Parov-les^Gombrics, cl a detmit deux luaisons d nabi talion , leurs dépendances et d’autres bâiiifeents a p p a n e i j a n i ^ M. Goonei \jean-Màric), cultivateur, a, la veuve Gouuet pi a Son 26 inin vers deux heures do maün. nn incendie dont le . . 110 lu coBSeil ^ n é r a l. [ rénultai: ^ s t uue garAn* conseil un défenseur que tout concourt a dibu piacci pw^e •«» aB-m®réwaloir,'Ue raiig *1®®® cupe H. de Mornay dans la représenta^ do département roontre^ que sa nomination aera accueillie a»ec^e satisfaction générale. COMPIÈGNE. — Voici la lettre que cCrvenOns de recevoir^ M le Président delà Répnbliqoe, en r pense à l’adi^ssii,publiée dans VEcio do 22 juin, que noos avions “ ?j“‘,ÏÏ9 mettre: . Paris, 30]uin l8S9. » Monsieur, , 1 1 1.,; • Je sois vivement touché do l’élan liontané avec lequel les 11^ .bitantsdeCompiègne se sont réonia pur . utions sur ma conduite an 13 juin el I |xpreasmo de leur dévooe- • r S »;œ ^m d e ‘c jr o tH ^ preep^ri*®. U s’affer- > mira sans aocnn doute par le concoo i des bons citoyens prêts, . comme ceux doCompiègne. à seconde: énergiquemen t lejoovo r- > Après do telles maniÇestatipns, l’anar Me so verra, forcée ppu a. Apres UO qriicw »eme..^w.-..r..-, I peu de reconnaître fton impuissance* » Vons asez bien eonlu, ^Monsieur, i » SOS coinpilrioles; je voas prie d’élre » mes sentiments el de (proire à ceu • tinguée. »Lo«“ - . transmettre les vœux de bprès d’eux rinterprète de ide ma çonsidérauou dis- W é o s BONAPARTE. » tecéo de F Oise.) -TOUSles prOOOIlSaoui llwreiu«rqMMMn;». - . u a Scnlis. ÜOa ballot de cbùnsro prefiaré pour la fapn- / ca'BéÂdVia foaél)'— Ce chaovré' art’ p^paré poor «ire travmllé adSt à la màWi'eolt’èda'mécaniqoe.'En les ptésedlkot, le sieur Tor- Qoet a vonio pronter aux fabricants de toiles dé P ic ^ o q u e c est àtoHll'oSliitMIt considéié jd^u’iet Uta chanvres de Wthisy-»iut- 3 Pierre et deé^virons'comnie n’étant ^ s dé nalilre a être employés dabé lénrinléstrie. i j 1. ■ i.'ir ' "—" , . ■rôot le monde Mit atqoord’ui que le 30 jein, l'Asaémblde conali- tnante romaine a. tendu on décret qui déclare impo^ibla la résis- uuee coutrq PêiméqfréiWiso expédilipnnairo, et aolonae la ma- nioipalité roniàiuo è se rendi;e ao quartier général . Le même jour, ôno déphtaliqu de la municipalité romaine est en effet arrivée ao'qnaMier géi^raP, où elle a été reçue par le général Okdinot. nérêcax vétéGaarnioux. I t gM ral ie tttriiit aéBÙiHoiHiairt am m inùtre île h gmmv. ' « Au quartier généra) de Sahtucéi, Sjuillèt, 1 10 henresdu aoir. . « L’ésaaut livré di'ns'la nèil du 80 juin a produit le .rétnltat,que i’ailt/ddétt'. pré'o'nVerthres de soumission nous ont été faites, dès hiérao Sdir paria ùMhlèipalité romaine. * Nosirônpeaioccdpektle bastion n* 9. Les portes sait-Pàélo, iM rtêse ét aeiiitipahcraee-vieittient dénétis être eWréries, _ L’administration des finances ^ . j l adresser a looalqsem Dlovés des contributions iiidiicctes o ^ irc u la ire pour le. masoror îor leur position. On Jeor dit dans <3 h circoiairedu un proiet de loi va êlro présenté à lAsaemblée poufMglementer sup de nouvelles bues l’impôt des, boipsons, et que les t nployéa dont la suppi essiou I finàociors. . — te congrès desagriculteors du n rd de la France tiendra cette annéeMhoitièmé sessioif dans la vill de Campiègue. du 7 an I) dlTOuiihe 8 loillel, le concoorl a ricole aura lioadapsira ave nues d i lèplaee dh GiSleau, et la di! ribution g ^ ra le des prix se fera poUiqurment, dans la salle des'J lums des .Grandcs-Ecuries, a iroi» heures A cette occasion, la.villede Compi gne donnera une grande fêle. B V aura revue, banquet, bal el feu 0 iriifico. .. Les cartes do banquel seront déli rées à la Maine, au prix de * —"ces jours derniers on cheval aU lé à «hè voiture prit le miers anx denU on deaceudànt lé rue Neov -d _ A ^ p k CkriMut. Mjè plnsieurs personnes avaient en vain ei » jé de lai barrèr le passage, il allait pr&ipiter dans uh bas-fond loi |Mnt1a vue, U vmtore el son condnoteur, lorsque le sieur Frémin J Une, oochw de 1 omnibus du CroisHut, MUS so préoccuper du iingor qo’il allait courir Ini- même, dosoendit en toute bête dé seq qi^e, s'élança au-devant dn cheval emporté, le Misit en passage iRç Iq bride et son rmdit bien- '*'Àp*là?âvoir accoinpU ce bel acte île dévoùmcnl, le sieur Frémin '1 ^ ‘ "TVinV™mtmtea’Ken’féit son devoir dans ceite\^niM e cucons- taocei et on nous signale sorloot avec éloges U conduite de M. le cnrèeldeM. loouirOdeQoesmy. . te 25, Mariédeeui» neconrtieux, âgée dc6Û ans, demeurant à Saint-Un, est tombée dans on pniu Ou vool.ni tirer de 1 eau.- Lorsqu’on est parvenu à la rotireri elle aVaipcessé de vivre. Ou écrit de Villers-Verinontà la datodo Sjuillet. Monsieur ,1e Rédacteur, _ , , __ Un incendie a édité danS la commone de Villfr» Vermoni, can-, . î. le oremier iuillel, de minuit a one heoce do ma- , t?o tes auteurs de cet iueendie ne sont pas définitivement connus.- Trois mendiants sontariêiéé et s6ht soupçonnés d être l^ iuteors , t™nrs"h«iimelis »pparlenant à M. G^asyesmBapliste-BO^ ont lté la proie désUammési An nom du maire et de I adjoint de la ÎSmmnno comme membre dn conseil municipal, je.fais honneur a mëLiSigiiie do pompiers de Ssint-Sanson des secours qu'elle nous T îS î i 'h a h H ^ e t rintelHgsuce avec lesqUrlfiis coS pbmpiVrB , œ S èrq " ili on^^ et âu courage ^ de l’A *ei*lée législative dn 2 juillet a élé coulait c i^ presque tout enüêre aux différents scrutins qui eut eu pour 349 veix sur 380 votants. Onaeitqn’ao»termeS do meut le président est nomnié poor Iroislàois ao heu de ne I être que ‘■"ôh «iH ussi que le nouveau règlement à éédoh le nombre _des Ü ll-tili. de six à ouatre. Les quatre viceqire.ç«|euts Mus mm MM. Daro. Baroéivé, Dénis Benoist, le général ^ e à u . qui DBud Me l’Ariège); Ucew.'Puprw, Chapot. , M de Hoachv «»t nooiiné meinbre de li c6»W8Sidn chargée, di7e” meti des"ïîjelëd" lài relatifs à des intérêl. communaux et ÏÏJÜE^ÜrLêronx et Saim c-Btr T r'* de treatc oacmbrei cjipfrg®* examine P P . *T dëS ië^tïî:Snhredelacq«»«^^^ chargée k ’^ '* ’ mM 4 klinle-Beuve 0ht été nommés m em^ deT a^lS ô n ^ g f c d’aviser au règlement de. prop«t...u. .éuiananl de l’initiative parlcumntaire. Par arrêtés de M. le ministre des lravai«|wbliffj: , , M. Leduulier, ingénieur ordinaire des minH dé ^ 'q h a i^ eu rcmplaoemsnt de M. Boufanger, décéd ,

< · PDF file3en do «yen erlificiel de M. DVdiSidyilte. oe peol ver«r ses X^lles do micl.liqoide qo,’elles,Tent chercher so tond des il- 1 T^lqs.'^idoie dois" ob rtyon nSlorel

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p a o s notre noinéro I disebore nvmorqoèible'de'M. Làugî{...I adrcM< oUL Oievaliefe de Parc de,<4 ,

t à f , • ■ '■Md^UMSlMaeri^a prononcé an w n n

r adresÿd aux chovaliera. ;iiv J éi^‘ Mpna de le faire connaître ~ noméro.

CANTON ., Ju ille t pour un 'p K ^ j^ in t de M* I

■ -. '.Section le Mofirtjfi* *

4. WfA*8®

ér» nons avona publié un Ède Penl*&inteeUaxrnce« nlle« le lundi de la Penie-

efii moins remarqdablef le B de Verberie; nous nous bcieure dans un prochain

V*^conseil-général, en rem- nisiionnaire, .

1, ^ 41. dddt W c e n lrt t t r i l à {oTe Ik 'tftk’iice. 'll t to l qd« le

aew 19r .

nia. uea» pour «v«ii«|ie« ; :’f l ' ï ’l)e»oiÆB,«oDi*rv«r pendenl q e W ie k i 'W ,“

quidier, •» i»n>iy q X a r e r I>ytt.eii5 des cito]çe»s.

Àiu'lsni... ,

ia iE t r r . D Ë s E S i '

d’hiveir. que Id dottU* dé 101^ ^ t S u o i W s de oeSld»e4lés e l les f s i ï ^ r l r p iresph jx ie . An3 e n do « yen erlificiel de M. DVdiSidyilte. oe peol v e r« r ses X ^ lle s do micl.liqoide qo,’elles,Tent chercher so tond des il-

1 T^lqs.'^ idoie dois" ob rtyon nSlorel el sods nsqoe poor elles de

**WSiIlcQirés. .à M#cqo(jlibe| commone de Betz. (Od senioîr cylin- |

*7ôî**^oyclles, commone do Msrenil-sOrOorcq. loyersVchenlillods de hidedéElée.) — Celle indiislrien poor bol d’nliliteÿ le* chitrons enirefdii.sens emploi e l permet d occoper onorsnd nombre de femmes et eiif»nisi>où»rcB. . . ^

UBsnr-MibUET cl C»; à C teil.frhécom pletelone parue de ser- *iee dé Inblé en porcelaine léndré. Assiettes impnmees en pnrce- laine opaqoe, cl diTeW éclia'niillohS do bonlons en poicelaïue.) — CéS porcelaines sOliWeb ce qoi concerne le thé ek le sersice do labié le reprbdoclion, avec perfeclionncmcnt et baisse de p ria , des résotiallli déjà oblenns, liais i t y » innOïaUon complète qoant a d i Bodlona', dont la fabricaiion, lèiporlée en Ërance en IM 6,

■' anamènle lèos les joors. La fabnqoe de Creil en livre an commerce environ vingt-cinq millions par niojs a des prix tellement bas, que c” lT ain t.n an t la France qni etisfonrnit à l’An.glel«f«- Ce«e m- dnatrieeccnpe « i femmes el 64 enfants. U fabriqne de Creil verse dansJe canton.,environ 25 mille francs par mois. MM. Ubenf- Milliet e l Ci® ont obleno des médailles d*or aox précédentes expo-

' " rtoxi, i Nanleoil-le-Hapdoin. (One pondnle astronomiqne.) — Celle béndole penï-étfo fort btile dairf (éï éfablissements d instrnc- tion Dobliaortie mooVemeni fait marcher on système astronomiqne prapra sr donner, ono idée des monvements do la Terre el de la Lone,de Véonsel deliercnre. : i', ' .

Soctéié Attopin» des forges, dé llCntalaire. (Fenilles de tôle, fenilles de fer-blanc, barres fer et moropaox de fer servant poor waninè I — TobslesproJnitssont Ir^remar^nablea.

Toaqnsi a c —ii. flri,. hailni Ha chanvre nréiiaré

.à .p - . J. -l»

rclû»i iFR'ÀI lé.’ MM. d é # ^ y . - ô '

Bel^nfeap..,. liiiuilibo

, «' • Sectiàii dè S,MM.Déiifl.iiir V . deMornpyj• Btlleuger.a . • n v

tiM.-Dandin. . > deUornay Bellcnger.

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Mâ Danüio .M. BeUengerâ

M. de Mornay a été proclamé mei Nous félicitons le cautou de Mér-

üe pour ses iniérôls. Ils auront v- topt concourt à bien placer pour les

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515I

remonta immédialimenl snr son siège, se iérobabi albsTaoit ibUci» , .talions qu’il roériiail à si juste litre, • , ,»

- M ie jo in , Mn.Àhce«d« MWa»# * » J W i g ! ? S S j a ! f g .

Î S . K n c s environ’. Il y avait poor 8.000 f r â n c s de garantie par

lesjmMirsnpes^ ^ vers trois heures et demie,do roatio,,#n iii- c e n d i e aTÛibné à la malveillance a éclaté d-ns,)a .«om^oo^^Je

- ï T i r i :

o J r w L é de sèle’av e c les habitanu dé Maiest, >l ont contrib^^^ éteindre complèiemcnl l’incendie. . .i -,

- u 25 ioin, on incendie attribné à Vim'prhdrnce d’on éitfant, a détroit one petite halle sise à Mareoil-la-Motte, et apparlenaitl oo êieorDobônscq, coltivateor. La perte, non assnree,' est evalnée.,

“i. nn incendie dont la caose est incowoe, a '•I wrsenniibn» éifl Parov-les^Gombrics, cl a detmit deux luaisons d nabi

talion , leurs dépendances e t d ’ a u t r e s bâiiifeents a p p a n e ija n i^ M. Goonei \jean-Màric), cultivateur, a, la veuve Gouuet pi a Son

26 inin vers deux heures d o maün. nn incendie dont le

. . 110 lu coBSeil ^ n é ra l.[ rénultai: ^ s t uue garAn* conseil un défenseur que

tout concourt a d i b u piacci pw e •«» aB-m®réwaloir,'Ue raiig *1® ®® cupe H. de Mornay dans la r e p r é s e n t a ^ do département roontre que sa nomination aera accueillie a»ec^e satisfaction générale.

COMPIÈGNE. — Voici la lettre que cCrvenOns de re c ev o ir^M le Président delà Répnbliqoe, en r pense à l’adi^ssii,publiée dans VEcio do 22 juin, que noos avions “ ? j “‘, Ï Ï 9m ettre: . P a r i s , 30]uin l8S9.

» Monsieur, , 1 1 1.,;• Je sois vivement touché do l’élan liontané avec lequel les 11

.bitantsdeCom piègne se sont réonia pur

. utions sur ma conduite an 13 juin e l I |xpreasmo de leur dévooe-

• r S » ; œ ^ m d e ‘c j r o t H ^ preep^ri*®. U s’affer-> mira sans aocnn doute par le concoo i des bons citoyens prêts,. comme ceux doCompiègne. à seconde: énergiquemen t lejoovo r-> Après do telles maniÇestatipns, l’anar Me so verra, forcée ppu a.Apres UO qriicw »eme..^w.-..r..-,I peu de reconnaître fton impuissance*

» Vons asez bien eonlu, ^Monsieur, i » SOS coinpilrioles; je voas prie d’élre » mes sentiments e l de (proire à ceu • tinguée. »Lo«“ -

. transmettre les vœux de bprès d’eux rinterprète de ide ma çonsidérauou dis- W é o s BONAPARTE. » te c é o de F Oise.)

-TOUSles prOOOIlSaoui llwreiu«rqMMMn;». - .u a Scnlis. ÜOa ballot de cbùnsro prefiaré pour la fapn-

/ ca'BéÂdVia foaél)'— Ce chaovré' a rt’ p ^ p a ré poor « ire travmllé adSt à la màWi'eolt’èda'm écaniqoe.'En les ptésedlkot, le sieur Tor- Qoet a vonio p ro n te r aux fabricants de toiles dé P i c ^ o q u e c est àtoHll'oSliitM It considéié jd ^ u ’iet Uta chanvres de W th isy -» iu t-

‘3 P ie rre e t deé^v irons 'com nie n’étan t ^ s dé nalilre a ê tre employés dabé lé n r in lé s tr ie . •

i j 1. ■ i.'ir ' "—" , .■rôot le monde Mit atqoord’ui que le 30 jein, l'Asaémblde conali-

tnante romaine a. tendu on décret qui déclare impo^ibla la résis- uuee coutrq PêiméqfréiW iso expédilipnnairo, et aolonae la ma- nioipalité roniàiuo è se rendi;e ao quartier général .

Le même jour, ôno déphtaliqu de la municipalité romaine est en effet arrivée ao'qnaMier géi^raP, où elle a été reçue par le général Okdinot. ’

nérêcax vétéGaarnioux.I t g M r a l i e t t t r i i i t a éB Ù iH o iH ia irt am m in ù tre île h g m m v .' « Au quartier généra) de Sahtucéi, Sjuillèt, 1 10 henresdu aoir. . « L’ésaaut livré di'ns'la nèil du 80 juin a produit le .rétnltat,que

i’ailt/ddétt'. pré'o'nVerthres de soumission nous ont été faites, dès h iérao Sdir paria ùMhlèipalité romaine.

* N osirônpeaioccdpektle bastion n* 9 . Les portes sait-Pàélo, iM rtêse é t aeiiitipahcraee-vieittient dénétis ê tre eWréries,

_ L’administration des finances ^ . j l adresser a looalqsem Dlovés des contributions iiidiicctes o ^ irc u la ire pour le. masoror î o r leur position. On Jeor dit dans <3 h circoiairedu un proiet de loi va êlro présenté à lAsaemblée poufMglementer sup de nouvelles bues l’impôt des, boipsons, et que les t nployéa dont la suppi essiou

I finàociors. . ■— t e c o n g r è s desagriculteors du n rd de la France tiendra cette

annéeMhoitièmé sessioif dans la vill de Campiègue. du 7 an I)

dlTOuiihe 8 loillel, le concoorl a ricole aura lioadapsira ave­nues d i lèplaee dh GiSleau, et la di! ribution g ^ r a l e des prix se fera poUiqurment, dans la salle des'J lums des .Grandcs-Ecuries, airoi» heuresA cette occasion, la.villede Compi gne donnera une grande fêle. B V aura revue, banquet, bal el feu 0 iriifico. ..

Les cartes do banquel seront déli rées à la Maine, au prix de

* —"ces jours derniers on cheval aU lé à «hè voiture prit le miers anx denU on deaceudànt lé rue Neov - d _ A ^ p k CkriM ut. M jè plnsieurs personnes avaient en vain ei » jé de lai barrèr le passage, il allait pr&ipiter dans uh bas-fond loi |M nt1a vue, U vmtore el son condnoteur, lorsque le sieur Frémin J Une, oochw de 1 omnibus du CroisHut, MUS so préoccuper du iingor qo’il allait courir Ini- même, dosoendit en toute bête dé seq q i^e , s'élança au-devant dn cheval emporté, le Misit en passage iRç Iq bride e t son rm dit bien-

'*'Àp*là?âvoir accoinpU ce bel acte île dévoùmcnl, le sieur Frémin

'1 ^

‘ "TVinV™mtmtea’Ken’féit son devoir dans ceite \^niM e cucons- taocei e t on nous signale sorloot avec éloges U conduite de M. lec n rè e ld e M . loouirOdeQoesmy. .

t e 25, Mariédeeui» neconrtieux, âgée dc6Û ans, demeurant à Saint-Un, est tombée dans on pniu Ou vool.ni tirer de 1 eau.- Lorsqu’on est parvenu à la rotireri elle aVaipcessé de vivre.

Ou écrit de Villers-Verinontà la datodo Sjuillet.Monsieur ,1e Rédacteur, _ , ,__

Un incendie a éd ité danS la commone de Villfr» Vermoni, can-,. î . le oremier iuillel, de minuit a one heoce do ma- ,t?o te s auteurs de cet iueendie ne sont pas définitivement connus.-Trois mendiants sontariêiéé et s6ht soupçonnés d être l ^ iuteors ,

t™ nrs"h« iim elis »pparlenant à M. G ^asy esm B ap lis te -B O ^ ont l té la proie désUammési An nom du maire et de I adjoint de la ÎSmmnno comme membre dn conseil municipal, je.fais honneur a m ëLiSigiiie do pompiers de Ssint-Sanson des secours qu'elle nous

T îS î i 'h a h H ^ e t rintelHgsuce avec lesqUrlfiis coS pbmpiVrB ,

œ S è r q " ili on et âu courage ^

de l’A * e i* lée législative dn 2 juillet a élé coulait c i ^ presque tout enüêre aux différents scrutins qui eut eu pour

349 veix sur 380 votants. O naeitqn’ao»termeS domeut le président est nomnié poor Iroislàois ao heu de ne I être que

‘■"ôh « iH u ssi que le nouveau règlement à éédoh le nombre _des • Ü l l - t i l i . de six à ouatre. Les quatre viceqire.ç«|euts Mus

mm MM. Daro. Baroéivé, Dénis Benoist, le général ^ e à u . qui

DBud Me l’Ariège); Ucew.'Puprw, Chapot. ,M de Hoachv «»t nooiiné meinbre de li c6»W8Sidn chargée,

d i7 e ” meti d es"ïîjelëd" lài relatifs à des intérêl. communaux e t

“ ÏÏJÜ E ^ Ü rL êro n x e t S a im c - B t r T ‘ r ' *de trea tc oacmbrei cjipfrg®* examine P P .

* T d ë S “ i ë ^ t ï î : S n h r e d e l a c q « » « ^ ^ ^ chargée k

’ ' * ’mM 4 klinle-Beuve 0ht été nommés m e m ^d e T a ^ l S ô n ^ g f c d’aviser au règlement de. p rop« t...u ..éuiananl de l’initiative parlcumntaire.

— P a r arrêtés de M. le ministre des lravai« |w bliffj: ,, M. L eduulier, ingénieur ordinaire d es minH dé ^'q h a i^ eu rcmplaoemsnt de M. Boufanger, décéd ,

: r

• «> veilljiiiuir ft de «'aiiirôltr drâ ciii'iitiiis J«- Je l^aris «it Bi Uiunc » «»l J B t.reil a Saiiu*Qiieiiiti); *

BvrarJi ingénieur orJiiiotru des poufs ei ctiaust>éi>s Je• riasse, acluelicoieiit aUacfaé an service Ju Jé|»arlcineiii Je Maine* el-L«ire, osf chargé du service Je l’arrouJisseineitt Je ComjMègue n ulUché en uiili e au service Je la naviguiiun Je l’Oise eu lemiJa* cciucnt Je M. Aiiberiiii, JécéJé.

M. hdiile Leroux a élé tinmmé membre Je la conunission chdigée J ’examim r lu projul Je lui sur la presse.

—- Les bureaux de l'Assemblée s'éiaiii réunis pour procéiler à Ifur orgaiiisalioi) iiiuiisuelle..M.;^tt Mbujsliy a élé numuié seçrélaire Ju 9 - bureau. el M. SaiiiU-Beuve, srcréiaire du I3«*

— M.^Comniiiiüs de Marsilly. in^nieur des uiities à Amiens, esl chargé d examiner les canJiJals du dépariruieni Je j'Oise. qui seiv» vMuuiuat.s uu uc]iariruieni m* | ^ise. qui presenteroiii pour l’école des mineurs Je S diil-Eiiciine (Luin).

LVxaniuii aura lien à Ainiuus, a pariir Ju l“ anûi piuchain Jus­qu’au 10 du même mois.. *“ P.ésiJenl d.* I.. Répiiblique. enJateJu 28 jujn, M. Mailler, soiis-préfel Je Verdun, el ancien sous* prefelde Coiupiègne. u été iionnuépiérel du Caiiul.

AVIS, ~ Nous sutumes priés Je prévenir le public el lecom- luerue qu’nii nouveau composé nainrel» blanc, sonore et facile à confondre avec r-rgunl, va cire livré à l’inJusitne par une Société de metàllutgistes.

Les roalfaiteurs pourraienl l’exploiter en faveur Je leur cupidité en le vendant pour derarguni. el tromper ainsi ta coiiGjuce Jus acheteurs. Cet avis s’adresse égaleiuent aux bijoutiers.

Les dimanches 8 «*l 15 juillet, il y aura fêle sur les belles pro* meuades dè Dauimartin. à l’occasion de la nonvrllu foire aux mou­lons. qui se tiendra |e 12. Ces fêles el celte fuire, où le cooimeice *1 le plaisir se trouveront réunis el se provoqueront loutuelleaicnl, uffriroiit aux ainaienrs. Je belles races de iiiumons. des jeux, des prix «I tous les siimulauls de l’iiuéiêi et des affaires, de la curiosité et Je l’agrément.

aspirant a 1 todapendance. maU déchêet par l’anarcbie ; ail omlème, ekuulhiuii des Sarrasios et des Grecs par les Nrmaoda. Hais bientôUe pouvoir des PtiDes « adroit ail niliea de ces luttes.4,MerçUe due ioveatitures entre Grnoira VII rt Henri IV comoirace, pour àe cmuiner avee dei alfi>rut:B«> ___

ail. (unoceuK et,les plu» énei iques |

. uregoire VII, Aleaandre III, t plus vigoureux champioua, «tie du pouvoir papal, ei«è*' . r--»- • * ■ ««iireuiaiie un pouvoir Danal.eiae.

' msu peut-être eu nemjrant dërendre que leurs prérogatives . le de I cpnt tuluul >l»n. qui, dam ce lue, anlJffS..).uqaeI Mut d quilm poliUque. qui „ |a<put le ul de la m.,iu...l. !!!!!. " " r ï ! "

prenOrq part, a besoin d’embruntrtin nom êtn ««•«■nique, (Cueÿw et Oviiu*} n37

É T M E SLU LA POLITIQUE EXTÉRIEURE (EUROPE). (Suiu.J

R w e -la tine* — I^ ran e e*Aprrâ^i» siècles d'iutervallc , pèbdant lesqueU les peupUdes barbares du

Nord et de la Germame s*etaient superposées par b conquête, aux popiibtioni qui McmMieot le midi et le coucliant de l'Europe, le genie de Charlcmagne jvait rétabli au profit d uned rnastie germaine, le vaste Empire d'occident Sauf

ibérique qui subissait le joug musulman, et le midi de 1 lutie ou les Grecs et les Sarrasins se dispuuient b prééminence, toutes les autres provinces reconoai^Jent sa dominatiou. Celte puissance colossale avait pour base et pour point de départ, la suprématie exclusive de b race suoer- jMsce et mnquerante, de b race franco-germanique.

Tonterois cette unité immense qui renfermait dans son sein tant d’élémeots beterogenes, superposes et ennemis, qui reproduisait au profit de l'élément gcr- aaniqiw U dernier venu. 1 asservissement des éléments antérieurs, dont l’ailml. nistrauon romaine avait donné l'exemple, qui accouplait tyrauniqucment des races Imules et vivaces. qui subsütuait une bugue barbare a b bague btine (b seule que Ion écrivit alors), et à b bogue romoue, (U.seule qui fut oonul bi^}, ce^ utute tnmpeuse ne uvait se maintenir que sous une main puis-

|q.u* ic wà i« .peuiniuie sçnt appelées • in nom étranger aux querelles qui dlvisAl” ’r- et ifitHut) Il 37.

s . . . doute l'uoilé poliliq,.,deui malheureui peu esl loin d. „ fonder ».ni doute leuerchie qui ledocliii^-,eitele.eon.oitiii. et donne lieu ù re lo?> antaeanisme , eut» 1 Autriche et U'i.oce, que nous aroos siennlë plu. haut* ^n. doute le ^innsule italique ddent l'eréue de l-Eum,». e! subit publique S I ïicUsIltldi» de la rielolcepuii elle n’en eieice pas moins sur ses 2on- queninu et partiçuUetjment. « société rtançaisc nue immense inll“c ^ C est par elle que le qollt des arlé, b luse, de l’elëgance ic répaWdent, par elle que se populinsent les etudes deslaasiqucs et des lois romaines, par Sic nue fo mouremeut Utterai« est dirijé. u milieu même d. cette opp^siS!;' de eme d«adcnee, de ee de^meut que ui font subir touré-tour les armées alie-uHle 11 !?* ■ I " ‘ <!»“'™t, et dont elle est le ebamp de ba-Uille, elle demeure, par ses mœuc nar sa boBiK!. nar .. ..1 j_. j_-Uillc elle demeure, par ^ maut P«r «i ïaniüë,"^7« «ligîoô7Z d ^■|r l’itsiie enfin telle que nous-------*r t.® lancMoe race mine; riulie enfin telle que nouslavojoos aujourdhui, manquant e cette coliéston qui donne la foree mabS d i r * » A d'abaissement, une légitime as-^ tio n vers I indépendance, et poant dans son sein le germe, il fa« l'csnérer fécond, d'une rcsurcction naiionalt «perer

_ _ va sxagsmi*f s o n / i s t o i r e se résumé en quelque sorte en une

croisade de 8 siecle» contre les Sartstns. jusqu’au moment où toutes les forcesMnd 1 r **“ !»*■ ««rwgc d'Isabelle et de Ferdi­nand le cath.dtqoc, parvinrent è tfvrer le pavs du - •( le VUfS n u tinliss Anssms—B bsI,s« « . _______ . .... joug musulman. Au point

ce moment pour étudier les races qui ha­it que nous ayons à signaler dans l'hisÿnre, poétique, de b vaste contrée qui s’étend des

----- - - - — | SMS .A..,CU*de vue où nous sommes placés o biteut l'Europe, c’est b le seul d'ailleurs si pleine d'intérêt et s Pyrénees au détroit de Gibraltar.

+'"i‘ ‘l»<>l’bumooité .accompli pouriissserjor l’E o i^ p cp i'cL rS c 're n ; ; " ; i r r d i i " ^ ^ ^pcolcssraofcsmccsqoi la cou. ot. d’obonl mclé,r;.; I. ...Çïîrî? îifîV«iiar^ iar dM trois grande» familles bien dlstincui,Kparees par dgs lignes de demarc on. qui, si elles ne sont nas touionrs trêl prononcéesgeogranhiauemeot. leuit tas. Koss.....__ s-ii.p~„ooCC«gé.,„ÆqoC„C.tTc. ’|“. ; iJÔr « r ' ’J:L“p '""‘' ï : “ 'i • i:-” » ™ ( . - « « « « dL'“i; 'rm ‘^„c,la llo.* . I • ■ S«“vcrocmcuU et des raccS même, par

socrrcs de rcligioo; co Fraocc“ “ l? morcellement féodal, qui préparée tt„ss — s 1 ’ n pronuiseni l'absori

b é S S S S î S i S s ^ s g

santé dirigée par un incomparabb géL.....*** l’Empire entre ses descendants, naquirent les riva-s-ma. u. «-«••ou ue I Csiupire eistrc ses deseendanU, naquirent les riva-

I.U».avec le»«e.l.tes les guerres, avec les guerre.la nécJrité. pour ceux deplre euxaqm neuit pas echue en wrlage le Ceçmaqie. de pr^dreleur point dappui sur b race conquise, au détriment de b race conquérante.

Cest dans Ira Gaules surtout que ce travail s’accomplit avec le nlus de ude et d cnerBie. .i_ > -.a * .surtout que ce travail s’accomplit avec le plus de promptitude et d energie. Le démembrement rapide de l'Empire de Charba dû aune multitnde de causes, mais principalement à l'incapacité de ses déacen- ^nts, vait donner prompicpient naissance a cet eut dq moreallement indé-f l f ^lement.^ns une période de moins de dent siècles, deCharfra-de-Çhanve a Hugués Capet, (87e) (33o) produisit plus de &o so ve-

etes indeiieadantes nui. sous te nom (Isa niiésiimd A r- ...a-a». .w-aaqi-q iMi..,« . OUgUM (iiO) prodUUlt plUB do &Q SOMWtrainetes lodependantra qui, sous le nom de Duchés, de Comptes, etc. se narta geaient rautortle» ’ !»«•(«

Ainsi isoléa par petit» rtçctions, nojés, pour ainsi dire, au milieu des pnon. istion. conqnijes h Gaule, disiscs d’.iifcurs par leé prétentions et les rivai7i 7’ I s siaiiie, Qisises n ailleurs par les prétentions et les rira- lités Icodales, les bommes de la eonqoele devaient tdt ou urd ae laisser absor- ber par les pnpi^tioua primitives, el c'est ce qui arriva: aui mmnrs et aua uu(es des eonqueranu. se substituèrent m:u à peu les umgea et les mmurs des peuples conquis, la Ungue du peuple qu<in appelait alors la langue romane nu romanee, parce qn .lle était un dialecte de la bngue latine, et qui, plu. Urd s» a épurant, devmt prnduuç la bngue française moderne, remplaça la lansué tudesque qui eutt celle de U cour jusqu’i Charles-le hauve. pliis' les GaXi. I emportant de pins en plus, sur b race franco-germanique, ieur iolluence S eteodit de proche en proche sur le gouveraefaent, jusqu'a ce qu'enfin. BDrès .vmr ete ^uvcrnra pendant près de 6 sièclra, par daux dynasties élrangères. U uüoo finit par chasser du trône le dernier rejeton de b famille gernuniqûe et accompht ta propre restauration en exalunt une dynastie nalioMle, dan» b personne du petit-fils de Robert-le*Fort.

A e ^ dfnaitie nouvelle éuit réservée la longue et glorieuse mission, d'ae- eomplir I teuvre de 1 uniu française, de ectu unité exceptionnelle qui fait l’envie et l’admiration du monde. ^

<2 t aux provinces borrainea où faitbaringiennes, ainsi nommées iraree qudiea étaient eebues en partage a Utbaire, et qui s’étendaient entre l’Escaut, le Heuse, le bbùne, la Saune, le Kbin, les «pes et b mer, elles forent succès sivement reunies a 1 unité française, par des eiinquéles, des alliances ou des bé- riuges; et, bien qn une partie en ait été violement scparce par les traiïés de iStù, et forment anjourdhui les provinces rhénanes et le rorauma de Bel­gique! imr leurs mteurs. par leur bngue, eUes doivent étro rangées en deçà de btine demareauon. qni séparé b race germanique de b race

Eà Itéite un si^taele K présente bien différent, béias! quant à la tendance vers 1 nnite, mua dans lequel on voit l’element national divisé . matériellement.

ar mlallagxtitvliamjsni Am l*mimau.m..o i_ -____

itre m Taf tares; eu Allemagne Ce sont les la division de l’empire d’pocideut et le

t produitoot l’absorpiloo de b race con-

goiit de. aru, Je*«ieiICra.deb^ibriito;;*dônrce^.^

n r u v '^ u i t s j ; s z r n r . ^ 's r r . : ï o ^ ^earifs efforu d’nne nationaUçé qiTi ; v i r e " .“ r ^ t ' .T o J r r ' '" “i n ^ Î Uvers de» destinee»meilleure», quel hommM A'.tmg j»: î poseaOn de le retrouver plus tard. C’mi

S S S r r ^ î ^ ^ tno,au, elle obéit en eberebaut à s, ™ i^r ï nn o.t?; . A '*te position geogiapbique, non m, „ o'îe L ,n S ,„ ? .’ doivent développer, ff finit se iror-r ™i “ “''">1'.cri qni retentit Sto. elic aussitdf a, b ^ éïèiemrnte A ' ™.("« '« gnns le. premier. esmU de reeonsti Hoi^ïbril d“‘ribUs que lui avaient liiil subir les m^d» 7 S"'’

3 y i i ‘."b l-«Wl^deXHéo"„"

— *■—* —osa nsoo UAimuUAda %JOl

IriOmrbklAa alaam l?mmBsssm:. . . . _.1 » - ..-. . • ___ -- ,-------— SB. v.aeaosAmKuuiu«,U KCUCrles souvenir, de la mérebe triomnlde’dnrFiin™:'. ’Z' '!• magne, et le souvenir du ™ tourt7af7s,S^i ve» S ” la raçe aliemande de salutaire. 1. '"=™ • ooeident, inspirant àbeSi d’u'Se'qne l’riî“m à"nefemands devront satisfaire sous peit d ^ „lu. .ilïÂÎ ' 'l* inslanu (en mars, avril mai iWlfclTL

ïamauc. elait nlu« <sli<s>...a.aj ___ <la prépondémnee dans b diète getaniVuc''éüé™Xs aiiem 'A' *---- j '

elliÆ ' i : o t . “ g i 5 3 i r “ o'teulement pour l’Allem agur^p..-, I’Ei^p.,'et'“eu“ H ,S li» " ;S ;rT

: £ t r ; T ù i ^ r i ’;n '‘i n f el«m. les. * «ire pajv tendaient a se reconstiluerTsi. dèsl aaA mAgm mg 1». ^.as- .___ s , a-

m^ent entraïues par l’ébn des uppiiblions. ne modèrent pas à se dtvisc» .en ItalM co^be en Aibq»aj||Mt. 11 .hWMifoà V»el-rqura par.M .ex i^an tious M l’cxabê-rance de Icpoque bisait surgir. U «si «n eflêl daôa li 4ratlnce de èrataiu hommes, de coroorometlra touies Im amu* mmmtammmBmani ^évellbqt 1*.-«Arw *®|iwi|uo»isiui surgir, u esc «n enet oeos U Ocsnm hommra, de compromettre toutes les causes qu’ib embrassent, en sauvenirs dffÇpôquujmfiMtM par.biir emportement et leur farcu*. ssu iuim: coB^e en Allemah , lênr inflaenée a toàt paralrsé; elle a- épouvantai

•a fiilt.reoûlcHes gouvernements qu'elle mrawWî* fsiftenojB, elle vU ierrifii Ira pbpubttons en bur offrant b nrat-pective des exacticm et de.h'gaerre ilè,.elle a entravé Fessor du sentiment:

ên sentiment révolutionnaire.Eh hienl iwiis lecrojroiis Arntemeni, et nous ù’braiioaa pas à le dire: nktvens les nlus emincM »» ’uu.u,:.«ùéa* »ua.is.aTB_ :_____■isuE^i IWHSW croyons lermement, etnons il'liraiioa» pas à le dire : un des.

i^^ens plus eScacra Je conpaltre.ee sec inépt révolutionnaire exagéré qui . a. . 3*j| ej't ânrêtê, achemine l'Europe ver».

' SCGOoder dans SM e»if<1an( diE iMilamk* Asja aexploite les plus mauvais ynsnncts, qpi, s’il n’est arrêté, achemine l'Europe vér» n dccadence, c’est de seconder dans ses tendances légitimés, ce seiiliment national qui est un de» plus impérieux besoins de notre temps. Ce semutune noble cl grande politique, que celle quiximprej^rait ce l esoin. Dans sra vastes |iropOTtiona, elle noierait toutes ce» passions sordides, elb donnerait a ces instincts populaires ai puissaou et si vivaces, .qui ne demandent qu’à être dingradans kurs voies natarollra, et qui s’égarent parce que knra ntidcs leur font défaut. SUT le terroiT de

A notre sens tous les hommes qui, depuis b révolution de février, ont portés « Ipnant d'un CdU ces questions a b tribune, ont commb un anachronisme. Préoccupés dra souve>s v i?xi: intrsdeb première révolution, ib n’ont cessé dé>eprésentèir'rEuropecolnne «1 relllHjainar|^prete a se coaliser contre b France. La coalition! 'kl à été le mot d’ordio de bOUt aO jardin itoutes Ira inlerpelbtions.

P.-nx Fxxdbt.____________ (La mita <»»'prochain numéro.)

i|iremiisr étage cl Ce biüiqenLei La)l^f»ais»«

portés an êldiiab ^Efes cinguante-q ,et 1104e ilaseeta f , , ^ a A » u U , 'gaéiix, é’ua boi eieur Leé|ràrt.;

' Celle .tàailjm f sieur et dàniè Ni

.dameLesp^r^fCt

Quatre ares I sur le terroir de !

Napoléon L.nom niagique que ré|ie{^t'an loin lesécboadu Rhin, du Pô, flu Danube ef tlu Ni|., nom sublime!,, ce aouvenip iinufortel - suffi jeudi deruier pour lirer les Senli^iena de Tq^iièi-q. dea liabi-

Jep..; jamais pub|iu du'diniaiicbe ou dû |uni|i qV fûii.plq» nom-a su ________lude,..: jamais pub|iu du'dimancbe ou dû |undi qi> lui.plu» nom- broux.a. c’rsl qu aussi jaïuais auiionce Je sput:lé.cle ti'avttil eié'nltis Iriaiiüti.. Il faut rrudru Jusl^eà M. Tis^çrqnil, Jirecluur J a jliéâ(r«

a le*»M lotîtes st?8 proines^s... La pié.ce Je iVaéo* ifon, f Emp(r« et ia BêfittJU^e, dont M, Bèf/ortTpioMX esl raii- lrur,,a ét^ jy u ^ avec u». eii^itiVlf.parfait; (a uiiie «q st;èu.e ei| est admirable... Le petit chapeau et la retliii^tê grjse, lés habita £a-

* 9 g^hêrau^, tle8aiJesH|e*i:amp, les fanfares,.les évolutîpiia mililaires, les aigjes déployées, les ,boDDpls,à poil oui mis tôu.t le public eu extase... les e^düus de Fonlarnebleatt outété reni^us par J*; »vec iiiiü vér^tié poignaqtp... Lç,i)ê>arê d iF ijea E U e 0 soulevé Jaiisrassecn.blée un uuthoudasme^lecirique.. VEpUwU^ de Ut Bèpubl^ue cfa 1848. sur la place m é^c Je la Wik lillee&t d'un bon comique el enjolivé Je coüplets dont phisiéqrs!out le Diente J uiie fine çaiire. Ë ii^ . l’apoihéoçe de Napoléon présente mi luxe Je décors el Jes jeiix. jtj luoi(ère.JuplufttKlefrei:.. Usuo* ces Je cei.ouyrage gigautesqoe pour notre tliéètre à'juaiifié nléa que DOS espérances.

Parini^lM ariiçtçs que. nous ayons rjmarqu^s,;!)!! pynl. citer IL féXU QttincAet. oui esl uu ezeeileni ’ iff

Trois ares di mêi^ies terroir et LçÿjÛu^,' d’autn boiit a n in iir’db. b la

C e * ' f i n dame f -—- - ' -■

afiéxu {^aouMt, qui eaf uu.ezccllenl grenadier,' M, Tàterand qui noua a fait «..raor I..... A„ rûle d u ,Vléqg j> ï^ ,,— ""TT- I'"* greiiaunous u faii verser bien des tai jifêq dans un' rùle Je vieu:| père, H. CAurfy, forl yomique dans. .son épicier, M. élésant tJélonuo «I do iiiciiyo; r , euBi, M"’ c W iu û , là ioule g r icieuse vivaiiüiere ef l’jii^jfole Lisellé de fiéreitger. '

On nous annonce hûe seconJe représeiiiatiuu de Napoléon, es­corté cette foi Je^epx vauJevjUes nopyeaux; ajoutez à uiib aussi boutée fprtuue k Pqu/y ieu fs 'dot pour lès daines el spectacU gra tu pour les eiifàhis.:. Vraiiueii'l iL Tissertiiil. Vous «IlVuii Ji-' recteur charmant -et bieii,géiiéreuxv* Vous vouieg Jonc que notre î î 8*écroulc?...A luudÜ... nous ap^là'iiJiious.encoveU. o a ^ r |. / l rM ii^ e t vos artistes! ' •'4 N o^nqdovoiis pas .ÿousu oublier pon plus, messieurs les rousi. ciens apkteurs, qi i aye* bien voulu pister votrq çoiicoura énx ar- listes de M. ,Tii^eraiid. Nous comptons bien vous revpir e t voiis eiktendre Je nouveau, lundi proçlui.iti.

A luiiüi donc 7 ' ■ t. .

?“ Çouiean, A-Pro*po8*Hlie*VauJeville, mêlé Je Pautoroiuiés, eni unacte, par ^ BeL fo r i^ v a u x , qui .rcinpiira dans celte pièce le de yermiilon; M. Quiiichez y jouera le rôle de Coloris; à la de»auÜe^üéfale.|a secondevrenieseiiiaiinn -i- w^msa^ax— ‘ - > -secomiq,^pieaoiiia(ion do l ’B à « b » c« t a S d m ikU i« , ie , ou Foiflaine^leau,, r iU e tk tb e , e tP a n s m 1 8 « ',^ S o m menis llisioriqiies s grand speciqole, ou qualr. épûquca et douze lai bloaox, avec deeoraimns nouvelles, Cbqimemeuls à vue, Cosiumeà du lemps, Çlianis,. Evoluiions, Musique mi|imir.é, Àiioiliûose eu aciiond on goure lout.u.fail uouveau ; «(, BeirorJ.pevaui rûmidifa ^ raiç de Napoléon, et H. Qoiiiehrz, premier Sujet dû Tliéâire- Naiional, celui du grenadier Lambori; entre la aeconde et la iroi aieme iiiece, plusieura Fanfares e t' là Miivii'ii.. . . ib i . :»

Une maison .enseigne lâCro) jardin e t dégciii ' Gette mâisQi en face la slatib le chemin (;0 n( .canton ;d|q la Ga

E lle 'se ,:j^ |> ment,;d’iiQe(i)ei

liedii |prijûei| d’un j ë z .^ e ^ ; d’iiii pf^iR i^.a d o i^ .,

t a j a i j e pur chapaNe, pû. <ii

Aurdeyaot. m ur il hauteui quatre .pilastre

La lace su

b laquelle on marches, Tét: etdeeu isine , chaque cdté re z^e-ch a u s

La remise i timent avec | fermée d’une le petit terra pané, elle esl

ouverte e t n’ L’écürie I

b itie an-dev d’un grenim vert en ardi grand’ porti trouve demgrenier.

A l’extréi

AnnoNcza. JouiasiaEs, i 5 c. la ligne.

lïîlçl“..aS™ d1lX-ô7s'“”ui''”lgite„n'n'’,S ‘"Æ ___ ______ __réirgfo fo 'J .* la ” •».^ûn"!’,™ '‘" ’oii 'i?m { ' ' ' ? «“ “<»''« d’un tôlé.rougo d ë ïaV trë et’",ëlëre''auv i r i » 4 . ; a d i K „ " , 1

SI p r é * IV— s-i -,w«w-w B—g—raw vm osi MWftGggtfiFaiUm . citruse pour etapliE ;pronq>teipcnl. d uno maniéré si parfaite les Vésicx* Toiaas MOU . faire souffrir le .malado, ae trouve dans les nbarmacieit l l u l l KlbVAI'IICC aaliss Axea ava.ïasm al> . X a . î _______ l a * . ' .

p—— — rfvpret

t lU P I .C I A H tË 7 ^ jM .y jt '. i iW fir' e s J i i d i c i a i r P a C à . 3* i i n i : m à t s a m ’ .i ' « ‘ . ' ■ '

rsn 4 .1 aEtode Je M* J ules THEMRY, avoué à «ienlis (Oise)

successeur de UU. fiERTIION et DUIIA.NTIaN.

VENTE ET ADaUDICATIOIVSBR EUBLICATIOES VOLONTAIRES,

Par suite de conversion de saisie imtnokdiire.liée

sous le 4“* lot, pur ic mt'nisiér» <fc M* M ercier , notaire à

Préey-sur-Oise, commis à cet effet.

1° UNE MAISONn S U m e m ta , « o u r e t X m l i n e t a u t r e *

A. s a o ■,Si$ à Samt-lAU-d’E m rm ti canton de Creil

arrondissement de Sentis, département de I Uise, e n ta m e des Porfjes,

2" DEUX PIÈCES DE TERRE,Sises sur te terroir dudit Saint-l,eu, tieu dit

ta Grouette,

3- O N E M A IS O NA usage d’auberge, ayant pour enseigne

laiCROIX-ltoCGE,■ E ard in , C t r c a u s t a u e e e e t D é p e n d n n e e a ,

Situés audit Saint-Leu,

4° ET DLU IDE-PBOPHlËTt D'IIIE MiiaqSise audit Saint-Leu, quai du Hattage, en amoU

du pont.En cinq Lots qui pourront être réunis partiel-

lement ou en tdlalilé.

AnjUDiCATiON, le Dimanche cinq Août 48f9 , heure de m idi précis.

On fan savoir û tops qu’il appartiepdra.qu'em vertu et en exét;ntion .d’un jugement, rendu sur requête, par le tribunal civil de première ins- tancc séant à Senlis (Oise), le quatorze juia 1m 9, enregistré, dont mention sommaire a été faite au bureau îles hypothèques de Senlis ,’ couformcmenl û la loi

Et aux requête, poursuite et diligence de madame Adélaïde Watelller, propriétaire, veuve

de M. Honoré Rousselle, demeurant b Maysel Ayant pour avoué constitué M 'iu les .Themrv

exerçant près le tribunal civU séant il Senlis v demeurant, rue du Cliâtcl; r w .

I .AknOnCIUI mvEasKS, I ao .c ’^la: ligné:

la cour s’é ardoises ser

Toutes I pierres de t

La.cour. ' devant de T

du (diemin i une Mm|>e.

A la suite Ladite m

pées et détc Le total

napce.dsxiiet de vingt- lement snh

Il sera procédé en nyésençc de I ” M. André Aubcn, propriétaire, dûmeManth Senlis;

Au nom et cprame syptliCide la. &iliite du siepr Naze, cj-aprèp npmmé;

2” M. Nicolas-Louis Naze, marinier et auber­giste, demeurant b Saint-Leu-d’E^sercpt, tant en son nom personnel que pour l’aiitorisalion nécessaire b la dame son épouse ci-apiès nom­mée et la validité de la procédure;

3°M'””Marie-Louise-Thérèse Lespart, épouse du siçur Naze susnommé, avec lequel elle de­meure audit Saint-Leu;

4‘ M, Pierre-Uenoist Lespart , ancien cniti-' vateur, propriétaire, demeurant b Saint-Leu, tant en son nom personnel que pour l’autorisa­tion nécessaire b la dame son épouse et la vali­dité de la procédure;

■’)“ Et Ml"' Marie-Lpuiserlfencyièvc Lcnoir,.

épouse* àddjt siem;; L espart, avw lequel elle demeurç.b $àmt-)Cçu; • .

AyMlpoufavoflÛ,!^^ jires ledit tribunal dp, Senlis., .dpmepfpnt. atiimL '

A .la ,venle:el,a4juijieation,au plus ofllrant, deypipr. enchérisseur .et b l’exiimdioa ^ , 'f e a x , en cinq lots qui pourront être, réunis .pazIielloB . inent ou en totalité, des immeubles dont la dé­signation suit : ' . .

D É S Z d l T i k T x b l T .P reU R ler Im t.

Une Maisçu, bâtiments, pour el jardin e | autres dépendances, sis b Saint-Leu-d’Esserent, . canton,de .Creil, nrmndbuu>mi>nl Aa ttnnUo /n :—\

Il tient cAtéaumê ^outb'U .'

PVoWiipes

nieç.conyïlampisotcouverte I

Ladite

v ç .^.vé .*q V.RKV—'WTARIAPUVSIS U C S3C1IIIS ^

ep. la ruç des Fprees, conM^iant : en uq pj;inB cipp! bâtiment,sur la rueprésenianlàréxiâièu^^un Ja Inma JIavJ J^tin mam dm *'RAiivj»! wduiuviu.Bur lu rue presemani a rex^fieqe un Cprps de. logis , élevé d’up rez-devchaupsépi, d un étage,au-dessus sous .un comble pouver.i,ea i tuiles; la face snr.la rue est percée d ’une grande i pprtc, servant d’eutrée b ladite, maison, de deux fenêtres au .rez-de-cbausséef de dmix autres au i

moëllnns, Naze, d’a «u quai d

t c Ue est (« ec tio u E \ ■ Elle et ' nase CuU

Levasseu Celte I

n t m

mmi|irem lw âage c l (Fuu^liiqwiic au gremcr

L a f lh f ^ p ^ n 4 jÿ f J S h ^ d é ÿ ^ L q t sont portés an cadastre. iK)i\r .une contenénCç de sèM

tiares cin(piante-«inq centiares sonS)led B" i0 9 «et llO dedaseotioD D; e t ilsitièniient d’un cAlé â ld . ,^ a  a a U .d ’au tre .ed té .à H . AmédéeLe>- jgnieuk, ç 'uu boiit ÿ p p , , ,ç t .^’a n ^ .b o u t au sieur Leé|ràrt./ '

■ C e t^ É ia 6 fi> lf" (^ p p fr t f fn fm ^ ouj*,.sieur et dbme Ifazê , et en tin i^ t^ 'âu æ , fteur;é( ]

.dame LespgrffCt elle e ft,^ f< tn^

Quatre ares huit centiares dé teCre,. situés sur le terroir de Saint«-Leu, lieu dit la Grouette,

I tenant d’un c é té ^ H. Pcpwælliep., d’autre eété à F é ü itL a n ia ^ , d ’9 nJ)0Ut a jasenté, et d’autre bout au jardin de la maison ci-dessus désig;Hée.

T r a I s l è B ie l i o t .Trois ares dii-buit centiares, situés siif Jcs

mêi^ies te rroû et ü e |£ ^ fa n t ÿ'iiA côl^ |:F irin in d’antre b'|.Oni!Mosep^^

bout âninUr du.tihevaf |Pîér)re,V c n i ’a%<! bout. b la 'M;nté'. ‘ _ ' ' ' ' ' ' ' ;

Ce^âëjfx dfftfrj^èrfneiiit sieù f et .dame ^ p ù r l . f f ç s d é i f ie n t .

9H aariè |p i> el< «éi«Une maison b usage d’aubei^e, ajant. pour

.enseigne là Croix Rouge, sise audit â iin t-L en, jardin é t dépendances,' Getté maison est toute n o u v e ll^ e n t bâ tie , en face la station du chemin de fer du Nord, sur le chemin i^ n d u i^ j , de .Rréeÿ a ^ini-)L .en, ,canton;di;.la Gàriçnne.' .

Rlle s e , : ) ^ p o ^ d’un principal corps de bâti: ment, .d’noéipeinise^ é l d’pne dcnne.,

Liedii Ipripeip^.corps de..bâliinent est,élevé d’un jëz^eÇ tÿapssée sur l’étage souterrain, et d’un p ré ip i^ . sops ! oU; coinble conyert en n r - doiies,, , ' '

tn "(ape pur. ,|a, m e est . percée au res-de- «hsnss^,i dè.’ natee fepéltres e t d’une porté b depn yeqtgièil servant d’entrée principale, Tétege aurdessnaesipercé de cinq croisées.

Aurdeyant .est un petit terraiu clos par . un m ur b hauteur d’appui au-dessiis dûquël s'élève quatre p ilastres,et daUS lequel e s t j n ^ g é e n n e grande baie entre déux pilâstrés.

La lace sur la cour est percée au rez-dO' chaussée de deux baies de fenêtre e t d’une porté b laquelle on arrive par un perron de quelques marches, l’étage souterrain peut servir de cave e t de euisine, est percé d’une baie de porte de chaque eété dp perron , l’étage au-dessus du rez^e-cbaussée et percé de trois fenêtres.

La remise se trouve adossé b ce corps de bâ- timent avec prolongement sur la cou r, elle est fermée d’une g ra n r porte b deux battants sur le petit terrain p lp s .^ m ur dont il vien|, d ’étre parlé, elle est couyérte'en ardoisés, la partie se prolongeant su rjà cour ehfonné (l% i|eréé, és^, ouverte e t n’a pas de c id tn ie . '' ~

L’écurie Ibit su ite b lad i|e_ re im se ^ l e pstbâtie au-devant de la couy, est sunpiil’nn aMsnÎAr ^ üninvroona «bria'-ttn ssnmKfA'd’un grenim b fonrrageC sons un comble cou­vert en ardoises, elle a son entrée par deux grand’ portes b deux ventanx, au-dessus se trouve deux fenêtres servant b éclairer le grenier.

A l’extrémité de cette écurie et en retour sur la cour s’élève un petit,hbtim ent.canyeit en ardoises servant de lieux d’aisances.

Toutes ces constructions sont bâties en pierres de tailles et moellons.

La. cour.ee trouve-derrière la maison au- devant de l’écurie, elle est traversée par la sente du (diemin de la litière, dans cette cour il existe une

A la suite de laçppr .esi.pnjardip. légnmier. Ladite maison ét ses d ^ iu a n c e s sont occu­

pées et détentées par lesdits sieur et dame Naze.Le total de cet immeuble est d’une conte­

nance .dpyil)dt7ilmitnreSittenla.quatrà cënticlt»i; e t de vingt-sèpf areu tren té-bu lt éëntiarGs 'sènW lement suivant le cadastré, auquel il esTporté sous les articles 1S74 e t 1373 de la section E.

Il tient d’pn cdté b HijMancbéron,' d’ahtre cAté au m to e ,.d ’pn bput aq cbena|n, e t .d’autre |o u tb 'H .'V alÙ , comtnefénnièK ' ~ ,

• "C U itqw lèn i^ «è i i * , | t ^ . ^

^ .b Saint-.5 % s W fl9 S t? » ÏW é T S '|-4 if f lo p tT d u -P o n t,c o ^

W J “ l(l»F^'il^W *<!a6inei.ensuite, chamhle aq-^^pSjdp.iladne: pièce surmontée d’un gru^ nier.conyert,en,tuUcs, petife conr b la suite de la m aisoD,au.fondide laquelle est une écùrié coqvei|te en paille. • ' l ■

Ladite maison ést bâtie en pierres de taille et moêlions, elle tient d’un céle'b-Charléè-lAUid Naze, d’autre cdté b la damé Lâtuarrè, d 'uh bouf nu quai de Hallage, e t d’autre hoiil b’ la ééiltèi eUe est cadastrée sous l é " h ''T S H 'd é la «ectionE. "• Elle çuViOcçup^ c t,d to !jép par deanTA(baT

nase Gullémbourg, pilote b Saint-Léu, et Joseph l^evasseur, pilote b Saint-Leu.

€ette mmton appartient m m ieproprüti à

jViWas-Louu .Vaz>! et en usufmit à sa méiv la datneveime'Nate.'

BIk 'e S a PRIX.Les immeqUés ci-dessus d é si^ é s 'serunt

criés sur 1 ^ 'mises b j^rix fixées par le jugement dudit jour quatorze juin 1849, savoir ;

Celiedu premier lo t, b . Celle du deuxième lot, .b .. . Celle d u triqsièiqe jet, b . , Celléqngûàtdèinélot, b . . E t celle du éinqdiènie lo t, b ,

3,000 fr. 40 30 ,

4 ,000 ' 100

Total des mises b p rix ,. . 6,470 fr.

A D J O D I C A T H O N .L’Adjudication aura lieu le Dimanche cinq

août 1849, heUre dé midi m ieii,- en la maison servant d’auberge, sise b Saiht-Eeu,' et par le ministère de SI* Mefeier,' notàitc b Précv-sur- Oise, eomoiis b cet elfe|,

S 'adr/^er pour voir les bieue, sur les lieux.Et,pour les renseignetnenis,.4° J l Mt Ju les T uem ry , ooour à Sentis, pout^-

suivant la vente;2° A 111° Gooiu, avoué à Sentis, prisent à la

vente;Ss A M. A ubert, propriétaire à Sentis, syndic

delà f ^ i t e N cœ ; '4° E t à M° Mercier , notaire à Pricy, déposi­

taire des titres de propriété et du . cahier des charges.

Fait e t rédige par moi avoué poursuivant soussigné.

Senlis, le sept juillet 1848.Signé Jules T h ehry .

Enregistré b Senlis, le sept juillet 1849, Reçu un franc dix centimes, dixiènle compris

S i ^ é B o x u ev a l.Pour insertion.''

Signé Jules T ehhry .

Vam et au midi desdils bâlimciils, eclle eoiir a eu. .tjéeaur la rue par.uue porte eliarretière, derrièro laquelle se trouveen toit à pOrc couvert en lùHési

je u de boules et pulls-dans cette cour, le tout te- iiaut o’un cèieNiéoRb Fldury ét- Théodore Viii- cent, d’autre câlé à P ierre Bediot e t Félix Char, léliiier, d’un liuui à là rue, -et ü’aulre lioiil à AI. Beruier,

P e n n iè m e lusX,

El une maison silu.ée audit Bluiiilognoii, à l’en* ipignure .dp |a grande rue et de la rue de la.Che. rée eu faee Ip plaee, elle est eeinposée de deux liècea à feu par bas, 'd’uué chambre â feii aù.des. us, d’un grenier à c5lé et' d’ùii au tre amdessus de mue chambre, cour devant ladll'é iùàison'; càbi- let dans cette cour, 'cliaibbre'auuleshus.’éta'ble à -aclles, grenier deaàus; le tout couvert ru tuiles ‘t teiVaiit do leVànt aux hériliers de luadémoisélle ^asquel. au cuuchaiit ..la rue de la Clieyée, au ord de la grande rué, é t ^u midi ta plàce.

A i s e s à P r i x .Oulre Ip s chargea, clauses el coiidillons contp*

liés au caliîpr dVnclière Ué|iORC tiii- l’éluile dtf M* uiiisolp notaire à Baron» lo vente aura lieu sur

rVMAian i prix suivahios fixées par le jogonieiit SI Juiii mil huit ocul -quarailtoheuf, savoir : ’our lé prem ier lot» sur. la soniinede . 1000 fr. \i pour lu deuxième lot» siir uèile dé . 500 '

Total des mises à p rix ........................1300 fr.

Art'- a*Éliides,.de, V * H e n r i DÜFAY ét-Jut-RS GODIN»

Rxojués à Se,iilis^(OiBe.).

■ - V E ÎN T E , , ■ , ,«UR^PlUtLICATlONS VOLONTAIRSS,

P a r suite de conversion de saisie immobihère, Eu Fune des salles de la mairie de ,la commune de

IloQlIngnoii»P a r le m inistère de M*’ P o in sot» notaire à B aron,

commis à cet ej/s t,jjx ■

DEUXMAISQNSSituées d Montlognon, canton de NanteuU-U-

U audouin, arrondissement de Senlis, (Oise), en la grande rue et la rue de la Ckevecv

Rfl DEUX îaOTSé

L'adjcfdîieitioi|:aura lieu ; l e , vingt-. ÀiùfJu^iViet\% h^^^ hepré'dem idi.

do

Ou fait savoir à tous ceux gu'il appartiendra» fla*ehiixl^ticA('U^ni;iS^ «hr re^uàrèp fl 'te .tiw im a lâÿ ild & ^ iH is t lé vingtVopjoiu b if huit cent quarantt^neuf» enregistré, • •

E t à la requâlo dé J* H*' É fi^ e tliéodo re Hya­cinthe Beroier» cultivateur» dem eurant à Borest» - Saisissant, ayant U^-Henri D ufsy pour avooé .copslilué près, le tribunal civil de Senlis, y de- inèoirant^tile Saint-Hilâire 11* 10» dNitie part»

2*- Madame Bose-Sèraphine Brûlé » épèÛM de Uq.Uayphand».ci-après nommé» a v e c lequel elle demeure aiidit M pptJ^noji,

3* ^u’ Cbarlemsigae Uarcband» marchand de vins dem eurant à HoDlIognoUp pour FcaïoyBalîoh nécessaire à la dame son épouse sostfommée» e t la validitéde la procédure» ' * ‘

Parties sais.iea-. . • ‘4* El II . A ndré, A ^< ;rt.. propriétaire, deoieu-

ram à Seulis» au ùomi e t cômoie syndic de la fail- file du sieur Marchand, susnommé,'

Ayant H* Jules Godin pour'aTvoué constitué pr^sJejiribuuiilpivilde.SvuHs» y dem'èurant» rutf

Il sera procédé le dimanche vingt-neuf juille t mil huit cent quarante-neuf, heure de midi» en la maison commnue dci Mop tlpgnou. e l par \p. minis- tèire d é ' P o i n s o t ' » nqlm re a m ron.» siiécia-lem'eht commis cet | a . vente sur

au plus offrant-,.-.i-fr» t, a

çohVéréipu de saisie im.mobi|iè^^ çt|dernjéyébchérissepr e t é ryx^iiiction des feux» do d ^ ï Wéisons'sises .à dont |a dési-gii'aVod s o i f • ' " ' ' ^

hésignaiiion.Une maisdn sitdéék I f é h n B é à , dépéodani aue

Irefoia'dé'la-fermè'dûdit ' painile'-' rué»'elle bqnsisie eii uhé piè léea’fihir W ^a i ^ m in ^ é ' Servant de cuisine» une salle à boire y atteÂànf» tiue chambre à coucher .cusuiie » une cham- bi^è • hV' h lé^ é'it - 'd 'é isés' 'd e ' la 'iifiiisiné »• deux pèlHès chètpbréë'''èU-déaios'‘ 'de .'là^sfkie à boire é t ' dè ra 'tiHétàhre 'lIt coA cW » piusage pour fellèr'aa- ’coloRihtéi'''d6iii . ü 's é i^ ci-apiés parlé» cavè a]^ n ièo tiée 'pa rlà 'U lfè liibé ire é tré -

w riié Séos lachainbra à couâier. écune ayant entrée sur la cour ci-après désignée et attenant à la chambre à -coucher» colombier lii-de iiiisH â ’céflé ' écurië» grehM r’étlr 'IéUAil Mhlré'd lé-'

V EN T E PA R ADJUDICATIONP ar suite du décès du sieur Pierre'Claudx-Rem^

Leleup, caUiruteur à Çiresdes .SSello,

KOBILM ET BÉCOLTES,P ar le ministère d é W lUAiTR-K-OévALLOx; notaire

à Cfiumùly,E n présence de M* Rousseau , notaire à Mello,

Le Dimanche 8 Ju illet ,1849. heure de midi» savoir :

Pour U mobilier, eu là demeure du défunt sieur Leleup, et p o u r les lécoltesp sur les lieyix.

Le mobilier à vendre se compose de 4 chevaux, une vache, carriole, deux voilures» charrues» herse» tombereau^ iraiiieaii, hizeriie, etc.

Les récoltes Consistent en : saiiifoin8»'pommes de terre» seigle» blé, avoine» orge» vesoe» exis­tant sur envii ou 18 hectares de terre» te rriié irede Cires-lus-Mello, Uetlo e l M ay^L

On so réunîià sur une pièce, en avoine, terroir de Cires» lieu dit Cuiillon» tenant à Mignon.

^adres^er pour avoir des renseignements : i* A U* Henri D uvay» avoué près le tribunal de

S fl is , y demeurant, rue Saint-H ilairè, h* 10» pm tu iva n t la.ventei

^ i é U* Jules G o d in » avoué p rès le même / r t - M a f, demeurant à Senlts, rue Aeuve de Paris r ^ ,2. présent à, la yénte.

3* £*/ d M* P oinsot» notaire à Baron, déposi­taire du cahier des charges.' pRil e l rédigé par l’avoué poursuivant sous- si]né»

A Seulis, le sept juille t mil huit ceut qnarante- nof.

Signé Henri D ufav et Ju les G od in .

; ^ ireg istré à Senlis» le sept juille t mil huit cent qqrante-oeuf. Hvçu uu frauc dix centioies.' ''* . Signé B o n n ev a l .

Pour insertion» rSigné Henri Oufay cl Jules G o d in .

I , A r t . 3 .

^ d e de M* FRÉMY. avoué à Senlis» (Oise).

1 ---------------'Diin jugement contradictoirem ent rendu parle

tribmal civil de première instance seaul â Senlis (Oisé» le vingt-six ju in mil hoit. ceot qUaCaillé- oèi^^uregistre»

r a r e madame Bl^rie-AppçHne-pésiréeMsfsoD, époue de M. Antoine D e^ut» ancien messager» av^(eqncl elie.demyure ^.Verberiy»;

i ^ o a d i t sieur Àto'tolue Délmh,(, son mari» an­cien aessbgef anditVéVhetriét ' ^ ^ ■

11 ^ ^ r i ;Q é ^ a è a m e Debont a été séparée qnant aux

bieusd’avec ledit sieur Debout.Poir extrait certifié conforme par moi avoué

pouriplvaui- soussigné et-de ladite'dalAe Debout.quatre; juille t mil h u it ceitt uai^nie-

neuf. 'Signé F m m ^.

dis» le cinq juillet mit nuit <. E a « is tr é à Senlis» le cinq juillet mil huit cent qaarmte-neuf» reçu un fran c 'd ix centimes» di' xièpi com ptai

Pour insertion.Signé FaéNY

Signé B o n nev a l .

Gastineao- arrùndissèment de

1 A r t . 4 -

Em ii de M* DERVAUX . avoué de I” inh' " BueecMcur de M* Cetuv,

sise à reris, rae Neuvc-St-Merrs, n* «5.’ >■ ‘ > r ' M .

i•VBN'TE

E » fytiltU et par^ le m inU tire Je M* I no fk frf à ,Cr(if , arrùnJii

Seeffe‘(0 ^ e } , '. (Le Diqunvhe â3. Ju illet 1819, à miili,

^ t ju r la m û e â p r ix totale Je- 8,735 Jr .

" UÈ.DIVERSER

DE TËRRIS4trf'»Vo'j * n î tfn*:U m; 'JJ iici-M*

SliliMa sur le terrUoire de Nùgentdes^Vierges,■arrefndisSïment\de Sénlis. '

S W rysrrr p o u r les reiueignements t

A Creii, à M* GAsiiNRAU-LoNCPaé» notaire; S ld iP s tr is à t 1* M* DeryÂdx, avoué;

ÿqup» üvpuép^ Aeuve^Saint-Merry,

Annuiicës Hi'verses.

Eiuilcilc M- GYSTIN EA U -ION G PRE, iioiairc à Crêil-sur Oise.

m a i b p nSituée à M ontataire, rue de V itel,

ET F01DSE,C0lliœÇEd * E p ic ^ Ie » iÉ le r e ^ l e c è C ira tm rio »

Dépendant des successions de M . et if*** Tem ps,A V EN D R E

PAR adjudication VOLONTAieS »E n la demeuré de M . Rodde, ma rckand de vin à

Montataire,Le Dimanche 8 Ju ille t 1849, à 2 heures,

Par le minislcrc de Gastineaü—Longpbé» notaireà Creil.

11 sera accordé des facilités pour le paiement du prix.S*adresser pour avoir des rer.jeignémens, ' audit

M*Gastineaii. • ■ . i : •

Vente UobilièreA près le décès de Af”** B arbitte,

E n sa maison à Verberie» su r la grande ronlq de.* . P aris à Compiègne»

Par le ministère de M* J o l t » notaire à Verhene, Le Dimanche 16 Ju ille t 1849, à midi.

3 HECTARES 12 ARES 86 CENTIARES

Situés sur les tèrhsirs dè Pillenediàt et S t-P aast,A V E N D R E P A R ADJUDICATION

A yUUkeuvèt^en f auberge du sieur Tarda,Le Dimanche 15 .Tuillet 1849, à midi.

P ar le ministère de M* Chaktier» notaire à Senlis,

Il y a toute surclc pour acquérir. Onaccordera des facilités pour lepaieroent.

S'adresserauMl M* C h a n t ie r .

7 HECTARES 6 ARES 8 CENTIARES

UË TËBREE n une seule pièce, terroir de Villers-Saint-Paulf

A LOUERPour 9 ans qui commenceront par la récolte

de 1850,PAR ADJUbiCÀTIÔN 'a m ia b l e .

Eu mas4e6n pai^ Iota d’uù liéctare»A V illers-Saint-Paul, en Vauberge du sieur

Foum iquet.Le DipiaiK-hç 22 .Ju illet 1849, à midi précis.

■Parlefkinisiér'edêW'CnKnrtÊit. notaire à SifiÏÏs, - 5 ' • •' V-V • _______ _

Etude de 11* CHARTIER» notaire à Seulis.

C0RP8 ËË, ËERMË,A v c e C o u r e t J t t r d i n , '

ET Ô6 ARES DE TERRE»Situés à Sain t'A iro làs d 'A cy.'à l'àn^tè'de la place

e f de 'V avtH ûï qui conduit à lté to ù tê 'd e Chantilly, ' . .. w :

A LO U ER A L 'A M IA B LE.Pour entrer en jouissance le 11 novembre 1849.. !

S ’adresser audit notmré.

Eludede Si" Ç Ç L L A ^ jiQ ^ , a Séiiîis»

.e t A yolj^e» .Territoire de idontVèveqfie,

X VENbBÉPAR ÀUXORlTé DE JUSTICB;

5 ur la plaee publique de Montlévêque,Le Dimanche I 5 Ju ilk t 1849, à midi précia*

P ar le ministère de M* CoLLAs NéRY, huissisr à Senlis.

i ■

■Einde de M* TASSART» molaire à C répy.

A VENDUETKH ADJUDICATION VOLONTAIRB

té tu d e et p a r le ministère de H* T a ssa rt , notaire à Crépy,

Dioianciie 39 .luillel 1849, à midi,5 HECTARES 89 ARES 58 CENTIARES

DE TERREE n trois m archés, situés à Crépy^ Feigneux,

* “ Kaes*M orienval et Bazoch

On entrera de su ite en jouissance par la pcrcep* lion des fermages.

S'adresser audit M* Tassart, wofaire.

A VENDRE A L’AMIABLE,Var le ministère de M* Jo l4 , notaire à Fetberie^

on: PIÈCE DE TEBBE ET PBË,S ise au terroir de Ferberie, lieu d it p rés Us

M oulins,DE LA CONTENANCE DE 1 DICTARB 79 ARES

87 CENTIARES.

SCAISSE D’EPARGNE DE SENLlS.2** XaiMBStEE DE 1849.

demiisies de Paris, e&l la seule de tontes celles âofen- técs jnsqu*à ce jour, qui Joigoe k la propriété de eaW* mer et de .guérir, celle do ne pas être désagréable et nuisible i Ta bouche. *

Dépôt i Seolis, chez M. Lerlercq, pbannacieD,-el dans les meilleurs pharmacies du département.

Le solde dû am idépow nls, le 31 m ars 1849. qui é ta it de 44,761 fr. 19 g., se trouve réduit par suite des 7,704 fr. 82 e. proveuaiit d*appoiuts inférieurs à 16 f r ., non remboursés, qui oui été reportés aux livrets spéciaux,

37,056 fr. 37 c.’

On entrera en jouissance tout d é suite. Facilités pour payer.

S ’adresser audit M* Joly,oly, notavre.

m BEU lOllllEBA V EN D R E

POUE CAUSE DEE n la demeure qu’occopait, à NanteniMe>Han>

donin, Toe des P avillons, madame venve Hip* polyle D ufrène, rentière,

F t p a r le m inistère de M* Lxgrand. greffier de la ju s t i c e ^ p a ix du canton dudit N anteail.

L e Dimanclie 32 Ju illet 1849. à midi, et jours suivauts, à la même heure.

La Fente aura Heu au Comptant. '

MRS M a i , «l’a m P a^ ffM - • fbuuêt paéaaaÉre d ’sime

«iMi v U tea i l e m oS re arrrend isuaeeeem *.

S ’adresser, pour les renseignements, au bureau du Jo u rn a l DE Sbnlis, rue de Béarnais.

11 a été la it 152 verse.- m euts par 84 déposants, dont 48 nouveaux, s’élevant à . . . . . 15,753 »»J

Les intérêts /capitalisés sn r >les imroptes sol- \dés,'s’élèvent à . 19 80 )

15,772 80

Total. . . . 52.829 17Il a été fait 38 rembourse­

ments , dont 33 pour solde , s’élevant à .........................................3,162 51

Reste. 50,666 66 'f

A quoi il faut ajouter fe mou­lan t des compeiisalious allouées aux déposants par la loi du 31 novembre 1848, y compris les intérêts du 7 juillet an 31 dé­cembre de ladite année. . . 163.179

• m é rM av e h l a lA lta v iir le d e M e g m le r d m P A P I E R V O lld B Ç im É B , p m i r le * peq im e te d e « h e a a lm d e te r*

ETAT CIVIL DE 8ENLIS.

Naissances» Philippe (Marie-Anna).

m '

Décès,Lebbiio(Hetorieite-Loaise], 2 l mois.' ' D ury (Harie-Joléphine), f^D elaooay , 53 iDav«l(G8tber<iAngustiue), 5 ans 1/2. Ronsselle (Augustin), 4 ans.Cochet (UrsQle-Cœliue), f“ G irodol, 39 ans.

PUBUGATIONS D E MARIAGES.E ntre le sieur Champaux (Bmüe-Amablej, mar­

b rie r à Senljs ; .et demoiselle Michel (Emilie), ja r­dinière à Seuils.

Entre le Sieur SirniT ^et (Viheeht-Ambroise/ Florentin), à Senlls ; e t dame Cdmineny ( F Eugénie), v* Tabois, épicière à Seolis.

PB IX DU PAIN*sdi aa mars.k compter du Jeudi s

I-qualité, 25 ç. 1« lülopvmiiin — 2-*, 19c .m . !!« ■ • m

à celui qui prouvera que l’£<m de L O B ne' fait pas reponslét* e t 'é p a iM ir les cheveux su r des têtes ' cliâuvés I ’-i— Les personnes qni tra iten t à forfait paient après ^ue les cheveux sont repoussés.— C ettè EAU DE LOB arrête aussi la chute des cheveux, -r-F lacon à 5 francs e t à.lQ^francs..-*- S’adresser à Vk, Léopold LOBfCÏûtnwXe, aux SAiNT-HoNoaé, n*281, à P aris . O n ear/iÂfié (le ttre a.R).

28

Total dû aux déposants, le 30 juin 1849...................................... 213,845 94

Certifié.L e Caissier, Roquancouri

AVIS. — Les déposants dont les com ptes on été convertis en rentes, sont de nouveau invités retirer leurs livrets de compensation à la caiss centrale et dans les caisses locales tous les dimau ches de dix heures du matin à deux heures.

Les inscriptions de rentes provenant de la con version, sont pareillement à la disposition de cenj des déposants qui ne les ont pas encore retirées

1 CÀ.TTZ D a . D S n ? S .Eau du docteur Clqjrmdre de Londres.

Cette eau, généralement adoptée par les meilleur

M Ë R G Ü A I S

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P a a i s , . . . . 30 Ju in . . . . 17 60 15 90 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 07 10 07 00 BB » •COHPIÈGNE, . . 30 Ju in . . . . 14 35 00 00 00 00 13 50 12 60 00 00 07 10 07 85 05 50 » B BB

N oyon . . . . . 30 Ju in . . . . 15 75 15 20 00 00 14 00 ■ 3 00 00 00 00 00 09 00 05 60 BB BB

S o im o N S , . . . 30 Ju in . . . • 16 00 15 35 00 00 14 80 II 50 00 00 00 00 07 00 05 05 • B BB

S t .-Q u b n t in , . 30 Ju in . . . » 16 50 15 75 00 00 14 70 00 00 00 do 00 00 00 oO 05 46 » B naS b n l is , . . . • 3 Ju in . . . . 17 15 16 15 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 07 65 05 65 B b BB

H o n t d id ib r , . 30 Ju in . . . . 16 25 15 75 00 00 14 50 12 98 00 00 07 48 00 00 06 00 ■ b BBPÉRONNB, . 30 Ju in . . . . 15 75 15 25 00 00 12 75 10 50 00 00 08 75 07 50 05 35 » B BBR o t e , ................... B » »> . . BB BB .» BB » . . . ii. . . a » BB BB BB a a a a S b BB BB aa • B BB

A m irn s , . . . . 30 Ju in . . . . 16 35 15 02 00 00 ■ 2 25 12 50 00 00 07 75 08 70 05 75 BB BBP o nt ...................... 29 Ju in . . . . 16 25 16 00 15 50 |4 25 12 25 II 00 07 50 07 50 05 65 05 35C r é p y , . . . . 30 Ju in . . . . 15 85 15 35 00 Oo 00 00 00 00 00 00 00 00 0 7 j OO 05 OOiaa BBM ea u x , . . . 30 Ju in . . . . 16 31 15 67 15 00 o o o u 00 00 00 00 00 00 00 00 05 16 » BBB ba u v a is , . . 30 Ju in . . . . . 15 92 00 00 00 00 14 56 I I 53 00 00 08 23 09 00 05 49 1

b B

C lbrm ont . . . 30 Ju in . . • . 15 56 15 00 00 00 13 98 12 22 00 00 08 61 07 78 05 331|B B BB

y u par nous M ir e de ta ville de S e n tit , pOnr légaU- tation de ta signature de M . Regnier, apposéekVart.

Ce 7 Juillet iS ts .

£nregistre 1849, f compris.

wnxjR.p%

' fnOA Ui ViLLB. . .

Pov* ta D d r* « ts i

I I a r s b b D É rf tB tE t

à SeM is, té\R e ç u u n fr a n c d ix é e n tim e s , A V A r r e

C O U P A G N I E

D ’ A S B V B A N O S g _ _

H A R it iH E S , C O N T R E L fN C E N D IE E T S U R L A V i e ,rue Richélieu, 97.Etablie à Paris

C a p i ta l a a c l a i étrm t r a i a a a c l é t é a , ...................................................A e e ra ia a e a a e m t p r a v c n a m t dtea M èm éAM a (Im co m d le V ie ) ^ F a ia d a d e p ré v a y a m e e ,F a a d s p r a v e m a n t d c a ^ p é ra t lM U i d ’A sa n v a m e e s a n r l a V

N O T A , CStacune de ces trois sociétés a soa

A D H D IIMM. MALLET aîné, président. \ MM. DEBRAY. propriétaire;

llte BOUSSEAU, anc. banquier, Inspec '; j A . TRUBERT, ancien notaire;D irecteur, t

J P d T é té r ia i mm e tm éFssé lm t im iw itrsÊ timn e s a en m o M a , m é t é atu m m m é m usse / î aaa e Wa s a o s T J

tr*fip. f r .

Upital social distinct, sans solidarité avec les an tres.

s s , e e e , e e e f r .

N MIS sommes veura. par Timir ses tyrans ron la tiille éternelle Nos troupes oui nérosité. Eiloa mées françaises

L’issue favori nqnvellea électii

La tranquillii écrasés, leurs < trioni(>hi‘iit à IV améliuratiuii da venir ne saurai plic|ue la hausse devait s’y qilent France ne pou\ prise. Q 'ii doiiti est impossible d comme un jour

Cependant, t ronl les frais Je dans sa capitale! Combien de ten truupi s en Iiali< m ilitaire est rés plus coippliquéc

— Les électi parti conservai emporté; ce son parte, de Malev naiiil Barrol, ( Milliers.

ISTRAIEURS •I MM. MARTIN D’ANDRÉ, btm qaùr; I TREILHARO, propriétaire;

A . D E GOURGUFF.

{ MM. N . FESSART, aneien négociant; I HOREÀÜ D E CHAMLIËUX.

— On nous é ^qnc la suette av aillent. Le fait i tant plus d e 'p n chi’Z la plupart

Aussi, su r la envoyé à N-tiitei ris. demeurant traité la suette i Sunime.

Dès son arrii les malades, co soins, son aciiv moyens curutifi peidre aucun ü< jours qu’il a pa disparition de 1

^Veisigny, Sillj

? daa p m rtrU d igraadgr , f éM r -Aaj ar mj i — ir f r a a dtm AT. M m €SwmrrmM » a ü r e e i e a a r , AT. . t p r im d p a l d e t o C w F N F ^ e , m Mm srérédM m re éMe metoMMa, mtm tremejpMmcrmo m * We. AT.

V i i i ïïii h n i T a m ^ - ^ -------------------------- i ■

ASSURANCES U A R E m iE S.

C lw H e « lM A » V , m ém im èttre à

depuis sa création. P lus de TRENTE-QUATII MILLIONS ont été remboursés à plus de 280C ette Société, instituée pa r ordonnance du 2 i . . . « # . *• ,c..r

S ep m n b r. 1818, .1 prorogé, poor 50 on . p . r P ™ p n f « « » /« ■ •» !• f»«üoe .o ro .t é té compro- „ r ’é l é d a g o u . . r i . m . « d Q ^ m « . l8 1 8 ,c o u îr . j "> »«««« .« U . « g o p |éc .u l.o ...

« —« . .A . J . . A , Aa M .w â r ..fO A n f ltm o la lA Ale . r i .q u « de m er e t de raivigation fluvule. C’e.1 i , M Compagoi. . . .o r e le . maÎMo. e t bSliatoU . i. . l . l i .« ,m .n t en F r.n ee ooi « .u .e r i« ee . !” " ." I" '» 'oM taire. e t do TOIMO; le qobl-le seul établissem ent en France qni souscrive ces

aortes d’opérations sur nue grande échelle. mCENDIE.

L a Compagnie, autorisée par Ordonnances des 14 Février, l o Octobre 1819 e t 25 Septembre 1834, et prorogée poor 50 ans par a rrê té du gonvem ement du 6 av ril 1848, est la première de ce genre qui se soit formée en F rance. L’ex­tension tonjonrs croissante de ses opérations sur tous les points du rcyanm e, e t même à l’étran ­g e r, est une preuve de la confiance qo’elle ins­p ire . F ins de SOIXANTE-UN MILLIARDS de valeurs de tonte nature ont été garantis pa r elle

lie r, les marchandises e t les ustensiles de b o te profession; les fabriques e t les iMinesi les sille t de spectacle e t objets d’a rts; les provisioDl de fermiers, comme grains, foin e t paille; les ma­gasins, eo trepêts, chantiers, forêts, moulins, etc.

La prime d’assnranco est fixée poor tons les ris­ques avec beaocoop de modération.

L’sssuré n’a jamais rien à payer poor sos as­surance an-delà de ta prim a convenue. ] .

En cas de sinistre, le dommage est co n s ta t de g ré a gré en tre la Com|iagnie e t l’assuré, o d p ar deux rxperts de leur choix. Il est payé imnUdia- tement après le r ^ e m e n t .

Ce mode d’dssnraûce est sans ddntq préférable I .4g«its autèSîséwà tra ite r en son Mpli. à l’Asènrance dite JDÊlÉeffe, qu i, dans beaucoup I À e e n e i « le ie w 'rde départements, est tombée en discrM it. parce A S B ü H A M v ^ S S D R . I ^ V A U .qu’elle n’oRre qu’une garantie incomplète, e t présente à l’aèsoré une foulé d’inconvénients : comipb assoreor, il supporte les pertes de la So­ciété, e t peut êire mis à contribolion pour des sommes considérables. Gomme assuré, quand il es t ihcendié, il n’obtient son indemnité (dans la plupart des mutualités) que lentem ent, pa r pe­tits à-comptes; et, quand les perles excèdent on certain fonds de garantie, il n’est indemnisé qo’en partie .

' En Angleterre, en Hollande, en Allemagne, il n ’en existe pas. Les inconvénients,de ce système ont é té inconnus, e t les mntnalités ont disparu.

La Compagnie 4 ’AsaoEANCES G én é r a l e s est représentée dans chaque arrondissem ent p a r des

L a C o m p a o n » d I A s s u e a n c i s g é n é r a l e s , qui introduit aujonrd’boi en France tous |es peyfec- tionneméfitS qne les A s s u r a n c e s s u r la iriÉont reçu en A ngleterre, fait jou ir les A s s u r é s p o u e a LA VIE X N T ln E DE TROIS AVaNtAGES PRINCIPAUX : 1* Elle leur aoeorde nue PAETiciPAtiON n s 30POUR CENT bANS SES SÉNÉPICES: PÀàTICtPATiPNqui à leor chidx augmente la somme assoiée ou diminué le m ontant des prim es à péyer. — 2* E lle s’engage à r a c r e t e r r leqr gré, d’après tes bases fooroies par le .calciil, lenr contrat d’as­surance' qni devient ainsi, poor eux une valenr tonjoors r é a l is a e l r . . S’ils'ne! ventent pas l’alié­ner entièrem ent la compagnie, en l'échangeant contre un antre ti tre , lenr fournil les ressoqrces dont ils ont besoin. >•

VJÿ

D ISC O U RS an Mué

Noble* I

Les huraux de M. Ch. Izaid, géomètre et Agent principal de la Compagnie, sont provisoirement établis rue d e là Chancellerie, à, près'la place Billon. d Senlis,

_ _ _ . n - r ------------------— . - .......... — ■ / ........................ - - ^ _ 1 _ ^S B N U S . ^ TYPOGRAPHIE E T UTH OG RA PH IE D E ^ N 1 E R » RUB D E BEAUVA1S, 5.

I l y a peu de ; n o * r c y p c c i t e t d bilaul* de Font c d’hiii le* Aribei pre«sioD de joie qu’il* v o n t i c i c h 'Vtvretote'inbte, < répaodaur «lix h

b i e i i v r i l b n c e , x i I. L’amnnr fr

nsltircllo; C4t ni isdiM du méini* p t n u i e v é r i t é , f i l < D in in . La i i n b l o . q i i i t é de* aïeux, la Miirnre, Hur li p o x it i o i iB l u i c i a h i n e peut u o u a fnl p a i l e ru n o n * pli p i c t U du même I

"wvez I o n s , i io u * d pouc voua é t é * I