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L e t t r e d â i n f o r m a t i o n d e l a P r Ă© f e c t u r e d e S a i n t - P i e r r e - e t - M i q u e l o n
Juillet 2003LâEtat
⹠DOSSIER : la prévention estivale
âą ZOOM sur lâorganigramme de la PrĂ©fecture
âą POINTS DE REPERE
âą EN BREF
âą VIE ADMINISTRATIVE
âą INFOS PRATIQUES
âą LE POINT JURIDIQUE
Pour une économie fondée sur
un développement durable
Avec les beaux jours Saint Pierre et Miquelon revit. Le BTP sort de sa pĂ©riode hivernale, les bateaux des artisans pĂȘcheurs reprennent la mer et les touristes sont attendus avec impatience. LâĂ©conomie locale est contenue dans ce raccourci. AdossĂ©e aux investissements publics, suspendue aux quotas de pĂȘche et liĂ©e aux Ă©quipements touristiques, elle rĂ©clame un pilotage des plus fins.Cette annĂ©e lâaide de lâEtat aura Ă©tĂ© dĂ©terminante pour favoriser lâinvestissement public. Les budgets des trois collectivitĂ©s locales de lâarchipel ne permettaient pas avec leurs seules ressources dâassurer aux 400 salariĂ©s du BTP lâactivitĂ© indispensable au maintien de leurs revenus. En dĂ©pit dâun contexte budgĂ©taire contraint par la morositĂ© de la conjoncture mondiale, lâEtat a soutenu lâarchipel pour que 2003 soit du point de vue de la commande publique une annĂ©e exceptionnelle. Lâeffort du gouvernement reprĂ©sente deux fois celui de lâan passĂ© et 5 fois celui de lâan 2000, mobilisant au profit de lâarchipel plus de 40% du fonds dâinvestissement pour lâoutre mer. Ainsi nombre dâopĂ©rations seront financĂ©es Ă 100%. Ce sera le cas Ă Saint Pierre avec le lotissement des Graves, les logements des jeunes, divers chantiers de rĂ©habilitation sociale ainsi quâĂ Miquelon avec Ă©galement des logements pour les jeunes, la maison de retraite, le pont du Goulet et le lotissement du Cap. Tous les projets de quelque importance reçoivent le concours massif de lâEtat.Il appartient alors aux maĂźtres dâouvrages de se livrer Ă un travail dâhorlogerie pour ajuster lâinstruction des dossiers afin que les ordres de services soient lancĂ©s dĂšs les beaux jours. Il sâagit dâune contrainte imposĂ©e par le climat. Elle est unique en France mais elle est incontournable. HĂ©las, dâautres contraintes sont plus redoutables. Chaque annĂ©e, Saint Pierre et Miquelon attend le renouvellement de ses quotas de morue et sâinquiĂšte de la prĂ©sence du crabe des neiges. De telles incertitudes, incompatibles avec un dĂ©veloppement durable de lâĂ©conomie, font frĂ©mir. Lâarchipel a besoin de stabilitĂ© et ses efforts sont Ă orienter vers les secteurs porteurs de dĂ©veloppement et dâespoir. Lâaquaculture et le tourisme sont de ceux-lĂ et les investisseurs qui sây intĂ©ressent mĂ©ritent un soutien rĂ©solu. Le Territoire a des atouts. Il est bien Ă©quipĂ©, bĂ©nĂ©ficiedâinfrastructures de qualitĂ©, offre des services de trĂšs bon niveau et sa sociĂ©tĂ© jouit dâune sĂ©curitĂ© quasiment unique au monde. Il peut prospĂ©rer en se donnant clairement des objectifs sur lesquels se mobilisent toutes les Ă©nergies. En effet, rien ne se construit aisĂ©ment sans la rĂ©union des bonnes volontĂ©s indispensables Ă toute rĂ©ussite collective. Lâunion qui est Ă lâĆuvre pour garantir la desserte maritime de lâarchipel Ă lâissue dâune longue bataille Ă©conomique est la preuve que rien nâest impossible. Je fais confiance aux capacitĂ©s locales pour relever une fois pour toutes le dĂ©fi lancĂ© par le moratoire sur la morue avec lequel sâest effondrĂ©e lâĂ©conomie sĂ©culaire de lâarchipel.
Claude Valleix Préfet de St-Pierre-et-Miquelon
EditorialEditorialSommaire
L'Etat et vous2 ind 1 27/06/03 16:51:05
07277 Azimuts Newsletter 1 7/2/03, 7:21:55 AM
ZoLâorganigramme de la PrĂ©fectureLâo
SECURITE ROUTIERE : UNE CAUSE NATIONALE DECIDEE PAR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
De nouvelles dispositions ont complété la loi sur la violence routiÚre, en :
- durcissant le dispositif rĂ©pressif du code de la route avec aggravation des sanctions et crĂ©ation dâune nouvelle infraction (usage du tĂ©lĂ©phone tenu en main lors de la conduite dâun vĂ©hicule) ;
- modifiant les dispositions relatives Ă la conduite sous lâinfluence de substances ou plantes classĂ©es comme stupĂ©fiants.
Depuis le 1er janvier 2003, ces dĂ©cisions ont eu pour effet immĂ©diat dâĂ©viter 720 dĂ©cĂšs, de rĂ©duire le nombre dâaccidents de 28 %, celui des tuĂ©s de 31 %, consĂ©quence dâune action rĂ©pressive en augmentation de plus de 20 % (chaque annĂ©e 200 enfants de moins de 15 ans sont tuĂ©s et 6000 autres sont blessĂ©s).
Localement, les enjeux sont les mĂȘmes. Il sâagit de poursuivre les efforts entrepris et de rĂ©primer les infractions graves gĂ©nĂ©ratrices dâaccidents, telles que les vitesses excessives, lâabus dâalcool au volant et les pneumatiques lisses ou en mauvais Ă©tat. Les conducteurs et passagers seront incitĂ©s Ă mettre la ceinture de sĂ©curitĂ©, Ă utiliser des siĂšges normalisĂ©s pour protĂ©ger les enfants et Ă ne plus faire usage du tĂ©lĂ©phone portable au volant. Des actions prĂ©ventives nĂ©cessaires Ă la responsabilisation des conducteurs seront conduites cet Ă©tĂ© sur lâarchipel.
DossierLa prévention estivaleLa prévention estivale
ENFANTS EN VOITUREâŠ..QUELLES
SONT LES RĂGLES ?
Depuis 1992, le code de la route et le code des assurances précisent les conditions de transport des
enfants dans les véhicules particuliers qui, en cas de non-observation, rendent personnellement responsable,
pénalement et civilement, le conducteur.
Les enfants de moins de 10 ans doivent impĂ©rativement ĂȘtre Ă lâarriĂšre et retenus par des systĂšmes homologuĂ©s, adaptĂ©s Ă leur morphologie et Ă leur poids. De 10 Ă 13 ans, ils doivent ĂȘtre protĂ©gĂ©s de la mĂȘme maniĂšre, ou bien maintenus par une ceinture de sĂ©curitĂ© (Ă lâavant ou Ă lâarriĂšre) dĂšs lors quâils ont la taille adulte.
Toutefois, lorsquâil est impossible dâutiliser lâarriĂšre de la voiture (vĂ©hicules utilitaires, professionnels ou sans place
arriĂšre), lâenfant peut alors ĂȘtre Ă lâavant, Ă condition dâĂȘtre retenu par un siĂšge adaptĂ© Ă son Ăąge. Lorsquâil
sâagit dâun bĂ©bĂ© ou dâun trĂšs jeune enfant, il peut ĂȘtre Ă lâavant dos Ă la route sâil est
installé dans un dispositif spécial et homologué.
UN, DEUX, TROIS, SOLEIL âŠ
Avec les vacances, chacun prend le temps de se dĂ©tendre et de dĂ©stresser, mais risque de baisser sa vigilance vis-Ă -vis dâun certain nombre de dangers qui nous guettent plus spĂ©cialement en Ă©tĂ©.
Attention Soleil :
Le soleil, mĂȘme voilĂ©, dĂ©shydrate et brĂ»le plus particuliĂšrement les peaux claires des jeunes enfants : il faut ainsi veiller Ă leur donner rĂ©guliĂšrement Ă boire et les protĂ©ger par des moyens adaptĂ©s : parasol, chapeau, tee-shirt, lunettes, crĂšme protectrice.
Attention Maladies Sexuellement Transmissibles (MST) :
Il convient de rester vigilant et de se protĂ©ger. Le prĂ©servatif demeure la seule protection contre les MST. En cas dâapparition dâun symptĂŽme, se faire soigner rapidement, car la plupart des MST sont guĂ©rissables en quelques jours, dĂšs lors quâelles sont traitĂ©es Ă temps.
Attention Baignade :
PRENEZ LA MER, PAS LES RISQUES
La mer peut ĂȘtre dangereuse : prudence et solidaritĂ© sont les maĂźtres mots des gens de mer.
Avant de prendre la mer :
- renseignez-vous sur les conditions mĂ©tĂ©o (MĂ©tĂ©o-France marine : 41 18 70) ;- contrĂŽlez lâĂ©tat et le fonctionnement de votre navire et lâĂ©quipement de sĂ©curitĂ© correspondant Ă sa catĂ©gorie de navigation ;- respectez le nombre maximum de personnes autorisĂ©es Ă bord ;- vĂ©rifiez que vos rĂ©serves de carburant sont suffisantes pour votre traversĂ©e ;- prĂ©venez une personne Ă terre de la navigation envisagĂ©e et de lâheure de retour estimĂ©e ;- munissez-vous dâun moyen de communication (VHF de prĂ©fĂ©rence).
Une mer forte, des courants, une grosse diffĂ©rence de tempĂ©rature entre le corps et lâeau, et câest lâaccident, par noyade ou hydrocution. Certaines plages sont surveillĂ©es (Savoyard, Mirande) et la baignade sĂ©curisĂ©e. La qualitĂ© de lâeau est contrĂŽlĂ©e Ă Savoyard : les rĂ©sultats dâanalyses sont disponibles en mairie et affichĂ©s. La qualitĂ© de lâeau peut se dĂ©grader rapidement aprĂšs un Ă©pisode pluvieux. Il est donc prudent dâĂ©viter la baignade aprĂšs une pĂ©riode orageuse. Lâaspect de lâeau peut ĂȘtre une indication, en cas de doute sâabstenir.
Attention Pique-nique :
Les aliments fragiles (viande, charcuterie, poisson, pĂątisserie, laitage) qui restent Ă tempĂ©rature ambiante durant plus dâune heure peuvent devenir dange-reux. Leur contamination microbienne initiale peut ĂȘtre multipliĂ©e par 10. DiarrhĂ©es et vomissements en sont les premiers signes. En cas dâaccident alimentaire, il faut consulter son mĂ©decin rapidement. Evitons les soucis en gardant notre pique-nique au frais dans une glaciĂšre correctement rĂ©frigĂ©rĂ©e et fermĂ©e.
Et profitons pleinement de toutes les bonnes choses de lâĂ©tĂ©âŠ
En mer :
- restez toujours maĂźtre de la vitesse de votre navire ;- ne surestimez pas votre navire et ne vous surestimez pas ;
Si un problĂšme survenait :
- lancez un «May-Day» par VHF sur canal 16, suivi du nom du navire, de sa position et de
la nature du problÚme. A terre, contactez la gendarmerie au 17 ou les Affaires Maritimes au 41 15 30 ;Maritimes au 41 15 30 ;- utilisez les signaux de détresse- utilisez les signaux de détresse
réglementaires (fusées, feux à mainréglementaires (fusées, feux à main, pavillon N et C) ;
- autant que possible, ne laissez pas dĂ©river votre navire et ne le quittez quâen dernier ressort;
- dans ce cas, restez groupés, vous serez plus facilement repérés par les sauveteurs ;
- si la difficulté est résolue, faites-le savoir aussitÎt.
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L'Etat et vous2 ind 2 3
DossierLa prévention estivaleLa prévention estivale
07277 Azimuts Newsletter 2 7/2/03, 7:22:00 AM
Zoom sur...Lâorganigramme de la PrĂ©fectureLâorganigramme de la PrĂ©fectureLa prĂ©vention estivale
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Points derepĂšrerepĂšre LES DOTATIONS DE LâETAT AUX COLLECTIVITES LOCALESLes dotations de lâEtat aux collectivitĂ©s locales de Saint-Pierre-et-Miquelon pourlâannĂ©e 2002 ont Ă©tĂ© de 7 200 000 euros.
DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOUTIEN DE LâEMPLOI
Aux dotations de lâEtat aux collectivitĂ©s locales, sâajoutent les ressources des diffĂ©rents fonds, ainsi que les aides, subventions et exonĂ©rations, au profit des entreprises, des associations et des particuliers.
DDVA : Délégué Départemental de la Vie Associative
CHRS : Centre dâHĂ©bergement et de RĂ©insertion Sociale
Conseil Général Cne de St-Pierre Cne de Miquelon Total
Dotation Globale de Fonctionnement 600 550 1 090 974 219 086 1 910 610
Fonds de Compensation de la TVA 1 388 253 652 269 74 664 2 115 186
Dotation Globale dâEquipement 190 561 129 784 34 782 355 127
Dotation de Solidarité Rurale 61 037 65 508 126 545
Dotation Générale de Décentralisation 2 691 815 2 691 815
TOTAL 4 871 179 1 934 064 394 040 7 199 283
Répartition des dotations - Année 2002
1 910 610
2 115 186355 127
2 691 815
2 188
126 545
D.G.F.
F.C.T.V.A.
D.G.E.
D.S.R.
D.G.D.
D. Elu local
2002
Fonds dâInvestissement des DĂ©partements dâOutre-Mer 1 437 775
Ligne Budgétaire Unique 1 890 000
Fonds National pour le DĂ©veloppement des Adductions dâEau 313 540
Fonds dâAmortissement des Charges dâElectrification 1 191 060
Fonds National de SolidaritĂ© pour lâEau 741 900
Secteur emploi / formation / insertion professionnelle 6 620 700
Subventions de la Direction de la Jeunesse et des Sports 878 037
Aides de la Direction des Affaires Sanitaires et Sociales 111 826
Office de DĂ©veloppement de lâEconomie Agricole des DOM 83 773
TOTAL 13 268 611
RĂ©partition des subventions
Jeunesse et Sports - 2002
16%
35%
15%
11%
23%Jeunesse
Sports
Culture
Tourisme
Fonds d'Ă©change
Aides à l'emploi (année 2002)
10%
10%
17%63%
Formation
Insertion
DĂ©v. Emploi
Exo charges
sociales
Aides sociales - année 2002
7%2%
35%
29%
21%
6%
Action sociale
Fonctionnement
DDVA
Personnes ùgées
Lutte contre
l'exclusion
CHRS
Prévention
PREFET
M. Claude Valleix
Secrétariat Particulier
Mme Sylvia de Lizaraga
Chef de Cabinet
Mme HĂ©lĂšne GĂ©ronimi
Secrétariat Particulier
Mme Martine Leveque
Bureau du Cabinet
Mme Maryvonne Fouchard
Délégation
Miquelon
M. Alain Orsini
Mme Marjorie Gaspard
Bureau des Anciens
Combattants et des
Victimes de Guerre
Mme Nathalie Borotra
Bureau de la
Sécurité Civile
Mme Nathalie Borotra
Correspondant
aux Droits
des Femmes
Secrétaire Général
M. Patrick Venant
Sous-Préfet
Chargé de Mission
Informatique
M. Bruno Starck
VCAT
M. Benjamin Verjade
M. Hervé Jarry
Greffe du Tribunal
Administratif
Mme Marie-Andrée Allain
Service des
Affaires Juridiques
et de la
RĂ©glementation
Générale
M. Fabrice Marquand
M. Eric DĂ©rouet
M. Bernard Claireaux
Mme Nathalie Detcheverry
Mme Anne-Catherine Disnard
Mlle CĂ©line Briand
Service des Actions
et des Finances
de lâEtat
M. Patrice Stegiani
M. Jean-Pierre Miadonnet
M. Robert Lecourtois
Mme Marie-Luce Briand
Mme CĂ©cile Lepape
Service du
Personnel et des
moyens généraux
Personnel et
Moyens Généraux
M. Jean-Claude
Boissel
M. Frédéric Kerbrat
Mme Claudia Briand
Traitements et
Pensions
M. Joseph Beaubertuis
Mme Claire Briand
Courrier et Accueil
Mme Maryvonne Harnett
M. Jean-Jacques Bouroult
Mme Shirley LĂ©gasse
Agent dâentretien
et Chauffeur
M. Mario Olano
Personnel des
RĂ©sidences
Mme Jeanne james
mme Chantal Huet
Mme LĂ©one Michel
Mme Nathalie Jézéquel
Mme Marie-Claire Olivier
Imprimerie
Administrative
M. Joseph Dibarrat
M. Daniel Koelsch
M. Raymond Fontaine
M. André Yon
M. Claude Pannier
Mme Suzanne DĂ©montreux
M. Yannick Claireaux
Environnement et
Cadre de Vie
M. Donald Castaing
Mme Andrée Lescoublet
Secrétariat Particulier
Mme Cindy Chaignon
27/06/03 16:51:15
La prévention estivale
07277 Azimuts Newsletter 3 7/2/03, 7:22:11 AM
EDUCATION NATIONALE
Lors des Ă©vĂšnements du 11 septembre 2001, quelques Ă©tudiants de lâarchipel nâont pu se rendre en mĂ©tropole
pour passer leurs examens.
Le Service de lâEducation Nationale a alors proposĂ© dâorganiser Ă distance les sessions, en accord avec les Ă©coles et universitĂ©s concernĂ©es ; il est devenu centre dâexamen agrĂ©Ă©.
Depuis cette pĂ©riode, ce dispositif sâest Ă©tendu Ă©vitant Ă de nombreux candidats les dĂ©penses et dĂ©placements coĂ»teux quâils assumaient Ă leurs frais.
Les Ă©preuves suivantes ont eu lieu :
- BTS ComptabilitĂ© gestion- BTS GĂ©omĂštre topographe- BTS HĂŽtellerie - restauration- Licence de mathĂ©matiques- 1Ăšre annĂ©e de CapacitĂ© en gestion des entreprises- Examen dâentrĂ©e au Centre rĂ©gional de formation professionnelle des avocats de Caen- Tests dâadmission en 1Ăšre annĂ©e dâInstitut Universitaire de Formation des MaĂźtres- DiplĂŽme dâUniversitĂ© de 3Ăšme cycle dâĂ©pidĂ©miologie- UnitĂ© de spĂ©cialisation 1 du Certificat dâAptitude aux Actions PĂ©dagogiques SpĂ©cialisĂ©es dâAdaptation et IntĂ©gration Scolaires
DĂ©tail important : les examens se passent Ă lâheure de la mĂ©tropole. Pour une Ă©preuve dĂ©butant Ă Paris Ă 8 h câest donc Ă partir de 3 h 30 du matin que lâĂ©quipe du bureau des examens et concours animĂ© par Madame Sylvie CORMIER accueille les candidats.
DIRECTION DE LâEQUIPEMENT
Le pont du Goulet, construit et mis en service dans les annĂ©es 68-69, connaissait une trĂšs forte dĂ©gradation de sa structure notamment au niveau de ses piliers. Sa reconstruction, inscrite au contrat de plan, est en cours depuis mai 2002. Le nouveau pont permettra la circulation de tous les vĂ©hicules sans limitation de charge ainsi que leur croisement. Lâenvironnement sera respectĂ© notamment pour ce qui concerne les conditions dâĂ©changes hydrauliques entre le Grand Etang et la mer.
Quelques chiffres:93,5 T de ferraillage du tablier68,5 T de poutres mĂ©talliques 22 T dâarmatures pour bĂ©ton armĂ©10 T dâaciers complĂ©mentaires 22,5 T de palplanches 50% des 269.831 m3 de bĂ©ton armĂ© ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s.
GENDARMERIE
Du 13 au 16 avril 2003, les unitĂ©s de gendarmerie de Saint-Pierre et de Miquelon ont reçu le GĂ©nĂ©ral dâArmĂ©e Marie-Jean RIVIERE, Inspecteur GĂ©nĂ©ral des ArmĂ©es-Gendarmerie. Cette visite, ordonnĂ©e par le Ministre de la DĂ©fense, avait pour objet dâapprĂ©cier la qualitĂ© du service rendu par la gendarmerie Ă la population et dâĂ©valuer la pertinence du futur dispositif quâelle entend mettre en Ćuvre pour mieux rĂ©pondre aux spĂ©cificitĂ©s de ses missions de sĂ©curitĂ© publique gĂ©nĂ©rale. Câest dans cet esprit, quâil sâest entretenu avec les diffĂ©rentes autoritĂ©s et Ă©lus de lâarchipel.
En Bref
REGLEMENTATION PECHE EN MERLâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 8 avril 2003 rĂ©glemente lâexercice de la pĂȘche maritime de loisir dans les eaux de lâarchipel. Ce nouveau texte a pour objet de prĂ©ciser les conditions dâexercice de la pĂȘche de certaines espĂšces migratrices, et plus spĂ©cifiquement de lâanguille, de lâomble de fontaine et de lâĂ©perlan, dans les embouchures des cours dâeau et dans les Ă©tangs du domaine public maritime.
Ce rĂšglement a Ă©tĂ© rĂ©digĂ© en Ă©troite collaboration entre les services administratifs et les deux associations locales de pĂȘche en eau douce, qui en sont Ă lâorigine. Lâobjectif fixĂ© est de poursuivre les efforts de protection des ressources halieutiques et dâharmoniser les pratiques de la pĂȘche fluviale et maritime.
SITES INTERNETwww.securiteroutiere.equipement.gouv.frwww.mer.gouv.frwww.outre-mer.gouv.fr
InfosPr@tiquesPr@tiques
Préfecture de Saint-Pierre et Miquelon : Place du Lieutenant Colonel Pigeaud - BP 4200 - 97500 Saint-Pierre et MiquelonTél. 05 08 41 10 10 - Fax 05 08 41 25 46
Directeur de la publication : Claude Valleix - PrĂ©fet - Responsable de la rĂ©daction : HĂ©lĂšne GĂ©ronimi - Chef de Cabinet du PrĂ©fetDocument rĂ©alisĂ© avec le concours des services dĂ©concentrĂ©s de lâEtat
Conception et mise en page : @zimuts sarl tĂ©l. 05 08 41 16 64 - Impression : Print Atlantic (Moncton NB) Photos habillage : Jean-Christophe LâEspagnol - @zimuts sarl - DĂ©lĂ©gation de Miquelon
RĂUSSITE AUX CONCOURSConcours de Technicien SupĂ©rieur Principal :DELAUNAY Laurent (D.E.)
ARRIVĂES PAR CONCOURSPOIRIER Nathalie, adjoint administratif (D.E.)DEROUET Clarisse, adjoint administratif (D.E.)
DĂPARTS PAR VOIE DE MUTATIONSOULET Albert, ContrĂŽleur (D.E.)JOUQUAND Jean-Maurice, Agent dâExploitation SpĂ©cialisĂ© (D.E.)
ARRIVĂES PAR VOIE DE MUTATIONVITIELLO Jean Maxime, Technicien SupĂ©rieur Principal (D.E.)
DĂPARTS EN RETRAITEPENIN Michel, Technicien SupĂ©rieur en Chef (D.E.)
PROMOTIONSARTANO Joseph, ContrĂŽleur principal (D.E.)FLAHAUT Bernard, adjoint administratif principal de 1Ăšre Cl (D.E.)ZIMMERMANN ROSIANE, adjoint administratif principal de 2Ăšme Cl (D.E.)
GENDARMERIEArrivée du gendarme Patrick DE CIAN, venant de la brigade territoriale de Naintré (86)Départ du gendarme Bernard SICARD pour la légion de gendarmerie départementale de Champagne-Ardennes.
Vieadministrative...administrative...
Le rĂ©fĂ©rĂ© est une dĂ©cision provisoire : lorsquâil estime quâune mesure illĂ©gale doit ĂȘtre immĂ©diatement suspendue, le prĂ©fet peut saisir le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s qui doit en principe se prononcer dans les 8 jours. Dans le cas dâun marchĂ© public, cette mesure permet dâinterrompre les travaux qui seraient terminĂ©s avant que le tribunal administratif ait pu trancher la question. Le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s statue sur lâurgence mais ne rĂšgle pas le litige. Seul le tribunal administratif peut le faire. Quelle que soit la dĂ©cision du juge des rĂ©fĂ©rĂ©s, il faut toujours attendre la dĂ©cision dĂ©finitive du tribunal pour connaĂźtre lâissue du contentieux.
Le Pointjuridique : le référéjuridique : le référé
L'Et t t 2 i d 4 27/06/03 16 51 4307277 Azimuts Newsletter 4 7/2/03, 7:22:23 AM