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19 Sektion Schweiz/Nationalbüro – Section Suisse/Bureau national Sezione Svizzera/Comitato Nazionale – Swiss Section/National Headquarters IPA Dokument • Document • Documento École de la police cantonale bernoise C’est à Ittigen, dans la banlieue de la ville fédérale, qu’est dispensée la formation de ba- se pour les aspirants de la po- lice cantonale bernoise, for- mation d’une durée de douze mois. Durant celle-ci, un mé- lange d’enseignement théorique dans diverses branches, la mise en pratique de cet enseigne- ment théorique, ainsi que le sport représentent un défi quo- tidien pour les aspirants en leur permettant de se préparer de manière efficace à leurs tâches futures. «Il est souhaitable d’avoir des aspirants motivés, conscien- cieux et sûrs d’eux, et les adep- tes de Rambo n’ont pas leur pla- ce chez nous» précise le respon- sable de l’école de police, qui n’a pas besoin d’une longue ré- flexion pour définir le profil d’un futur policier. Formant l’ef- fectif de l’école de police 2001/2002, 22 aspirantes et 37 aspirants de la police can- Écoles de police F tonale bernoise, ainsi qu’une aspirante et un aspirant de la police municipale de Thoune, ont satisfait aux exigences de- mandées, après avoir subi avec succès une longue procédure de sélection. Malheureusement, six défections, toutes motivées par des raisons personnelles ont fait passer à 55 le nombre total d’aspirants qui seront as- sermentés ce printemps. Parmi ces 55 futurs agents, 11 sont de langue maternelle française, ce qui implique un enseignement en deux langues, une manière de procéder qui, pour des rai- sons d’efficacité et d’organisa- tion, n’a cours qu’une année sur deux, l’autre année étant réservée à une école essentiel- lement alémanique. Malgré ce bilinguisme, il n’existe aucune barrière linguistique au sein de l'école. Premièrement en rai- son de l’enseignement particu- lier de l’autre langue et d’autre part du fait que la vie commu- ne oblige à surmonter les ap- préhensions ou les gênes pou- vant survenir lorsqu’il s’agit de s’exprimer dans la langue de l’autre. Autre aspect non négligeable de la vie de l’école, le fait que, après avoir appris un métier, d’aucuns éprouvent quelques difficultés à retourner sur un banc d’école ou à abandonner quelques libertés, même si ja- mais un aspirant n’a dû être ex- clu en raison de prestations in- suffisantes. Celui ou celle qui n’obtient pas de résultas satis- faisants dans l’une ou l’autre des branches enseignées suit des cours de rattrapage cor- respondants en soirée. Les jour- nées peuvent alors devenir ex- trêmement longues, mais, c’est l’un des moyens d’atteindre les buts de cette formation et de faire en sorte que les généra- listes de la police territoriale ou mobile soient en mesure de remplir leurs tâches. En outre et partant du fait que l’ap- prentissage de la profession de policier n’est jamais terminé, l’école de police représente aus- si un centre de formation conti- nue, puisque près de 200 cours et séminaires sont organisés annuellement pour les colla- borateurs et les collaboratrices de la police cantonale bernoise. Das Training im Schiesskeller Selfdefense

2002-R3 documento Ecole Police Bernoise

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École de la police cantonalebernoise

C’est à Ittigen, dans la banlieuede la ville fédérale, qu’estdispensée la formation de ba-se pour les aspirants de la po-lice cantonale bernoise, for-mation d’une durée de douzemois. Durant celle-ci, un mé-lange d’enseignement théoriquedans diverses branches, la miseen pratique de cet enseigne-ment théorique, ainsi que lesport représentent un défi quo-tidien pour les aspirants en leurpermettant de se préparer demanière efficace à leurs tâchesfutures.«Il est souhaitable d’avoir desaspirants motivés, conscien-cieux et sûrs d’eux, et les adep-tes de Rambo n’ont pas leur pla-ce chez nous» précise le respon-sable de l’école de police, quin’a pas besoin d’une longue ré-flexion pour définir le profild’un futur policier. Formant l’ef-fectif de l’école de police2001/2002, 22 aspirantes et37 aspirants de la police can-

Écoles de policeF tonale bernoise, ainsi qu’uneaspirante et un aspirant de lapolice municipale de Thoune,ont satisfait aux exigences de-mandées, après avoir subi avecsuccès une longue procédurede sélection. Malheureusement,six défections, toutes motivéespar des raisons personnellesont fait passer à 55 le nombretotal d’aspirants qui seront as-sermentés ce printemps. Parmices 55 futurs agents, 11 sont delangue maternelle française, cequi implique un enseignementen deux langues, une manièrede procéder qui, pour des rai-sons d’efficacité et d’organisa-tion, n’a cours qu’une annéesur deux, l’autre année étantréservée à une école essentiel-lement alémanique. Malgré cebilinguisme, il n’existe aucunebarrière linguistique au sein del'école. Premièrement en rai-son de l’enseignement particu-

lier de l’autre langue et d’autrepart du fait que la vie commu-ne oblige à surmonter les ap-préhensions ou les gênes pou-vant survenir lorsqu’il s’agit des’exprimer dans la langue del’autre.Autre aspect non négligeablede la vie de l’école, le fait que,après avoir appris un métier,d’aucuns éprouvent quelquesdifficultés à retourner sur unbanc d’école ou à abandonnerquelques libertés, même si ja-mais un aspirant n’a dû être ex-clu en raison de prestations in-

suffisantes. Celui ou celle quin’obtient pas de résultas satis-faisants dans l’une ou l’autredes branches enseignées suitdes cours de rattrapage cor-respondants en soirée. Les jour-nées peuvent alors devenir ex-trêmement longues, mais, c’estl’un des moyens d’atteindre lesbuts de cette formation et defaire en sorte que les généra-listes de la police territorialeou mobile soient en mesure deremplir leurs tâches. En outreet partant du fait que l’ap-prentissage de la profession depolicier n’est jamais terminé,l’école de police représente aus-si un centre de formation conti-nue, puisque près de 200 courset séminaires sont organisésannuellement pour les colla-borateurs et les collaboratricesde la police cantonale bernoise.

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Polizeischule des KantonsBern

In Ittigen, einem Vorort derBundeshauptstadt, findet wäh-rend 12 Monaten die Grund-ausbildung der Aspiranten derKantonspolizei Bern statt. ImVerlaufe dieses Ausbildungs-lehrganges werden die Aspi-ranten in einer immer wiederden neusten Erkenntnissen an-gepassten Methodik in allentheoretischen Fächern bis hinzur praktischen Umsetzung mitder nötigen sozialen Kompe-tenz geschult. Im Tagesablaufnimmt die sportliche Ertüchti-gung einen grossen Stellenwertein und bietet somit die Ge-währ, dass die künftigen Poli-zisten ihrer schweren Aufgabesowohl psychisch als auch phy-sisch gewachsen sind.

PolizeischulenDCe qui pose actuellement unlancinant problème de place,problème qui a été abordé parles autorités politiques du can-ton et qui a été débattu lors dela session de printemps duGrand Conseil bernois. Une so-lution ayant pu être trouvéedans le sens où le Centre de ré-paration de la police cantona-le bernoise a déménagé afind’occuper désormais des locauxdans l’arsenal. Ce déménage-ment a permis de libérer del’espace et comme les créditsont été de leur côté égalementlibérés par le Grand Conseil,rien ne s’oppose plus à ce quecertains travaux de rénovationsoient entrepris à l’intérieur duCentre de formation de la po-lice cantonale bernoise à Itti-gen. Ces transformations per-mettront d’une part d’aména-ger une salle de classe pouvantaccueillir une soixantaine d’é-lèves, mais aussi de loger lesmembres de la brigade d’in-tervention spéciale "Gentiane"à l’intérieur de locaux plus ap-tes à répondre à leurs besoins.Ces travaux devraient être me-nés à terme d’ici la fin de l’an-née et permettre ainsi un dé-veloppement plus harmonieuxde la formation. Les aspirantset aspirantes des futures éco-les de police bénéficieront doncde meilleures conditions de tra-

vail. Autre projet, celui d’uneécole commune au sein duConcordat de police du Nord-Ouest de la Suisse n’en est qu’austade de l’ébauche. Il permet-trait de voir plusieurs corps depolice travailler à la formationde leurs futurs agents sous unmême toit et sous les mêmesprincipes, ceci même si des for-mes de collaborations et deséchanges enrichissants en ma-tière de formation sont déjàd’usage entre plusieurs corpsde police de notre pays. Dernier point concernant la for-mation, mais aussi et surtoutl’activité au terme de celle-ci:la reconnaissance officielle dela profession de policier qui estsouvent considérée comme unesimple formation complémen-taire, ceci même si, au terme

de l’enseignement, les aspirantsreçoivent un certificat de ca-pacité. De nombreuses discus-sions allant dans le sens de cet-te reconnaissance sont en cours.Les personnes qui souhaite-raient recevoir de plus amplesinformations sur l’école de lapolice cantonale bernoise peu-vent les obtenir à l’adresseInternet suivante: www.poli-ce.be.chOlivier Cochet

Redaktor.de

Sidney M. Camponovo

Einführung in die Praxis bei der mobilen Polizei Biel-Seeland

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«Es werden motivierte, cha-rakterlich gefestigte, pflicht-und selbstbewusste Aspiranten,und keinesfalls Rambos ausge-sucht» erklärt der Schulleiterspontan auf die Frage nach demIdealprofil des künftigen Poli-zisten. Die Polizeischule2001/02 konnte beispielsweisenach einem gründlichen Aus-wahlverfahren 22 Aspirantin-nen und 37 Aspiranten derKantonspolizei Bern sowie ei-ne Aspirantin und einen Aspi-ranten der Stadtpolizei Thunin die Ausbildung aufnehmen.6 Aspiranten haben aus per-sönlichen Gründen das Anstel-lungsverhältnis während derGrundausbildung gekündigt.Von diesen 55 künftigen Poli-zistinnen und Polizisten sind11 französischer Muttersprache.Dies bedingt natürlich einenzweisprachigen Unterricht. Or-ganisatorische Gründe wie auchdie Effizienz haben zur Folge,dass die Ausbildung in franzö-sischer Sprache nur alle zweiJahre angeboten wird. Trotz derZweisprachigkeit gibt es dies-bezüglich keinerlei Barrierenin der Polizeischule. Erstensdurch bewusstes Fördern derzweiten Amtssprache in derAusbildung, zweitens durch dasBewusstsein, dass nur die ge-lebte Sprache hilft vorhande-ne Hemmungen zur Umgangs-sprache seines Partners abzu-bauen. Nach einem Berufsab-schluss erscheint es oft hart, er-neut die Schulbank zu drückenund damit die erst zurückge-wonnenen Freiheiten zu opfern.Genügen die Resultate im ei-nen oder andern Fach nicht,sind spezifische Abendkurse zubelegen. Ausserdem gilt die Lo-sung, ein Polizist hat nie aus-gelernt. Dies zeigt sich auchdeutlich an der Zahl der gegen200 jährlich durchgeführten

Aus- und Weiterbildungskur-sen und Seminarien, welchevon Korpsangehörigen besuchtwerden. Der vollzogene Umzug der Lo-gistik der Kapo Bern vom AZIttigen in die Räumlichkeitendes Zeughauses Bern, verschafftden für das Ausbildungszen-trum Ittigen dringend benötig-ten Zusatzraum eines Audito-riums mit 60 Plätzen für aus-zubildende Aspiranten. Mit derKreditfreigabe durch den Gros-sen Rat steht einem Aus- undUmbau nichts mehr im Wege.Die künftigen Aspirantinnenund Aspiranten werden vonbesseren Konditionen profitie-ren können.Für die weitere Zukunft ist fürdas Nordwestschweizer Kon-kordat eine gemeinsame Poli-zeischule geplant. Zielvorgabeist es, mehrere Korps unter ei-nem Dach mit den identischenGrundlagen auszubilden. Auchwenn schon heute in diversenFormen die Zusammenarbeitund der Austausch zwischenden einzelnen Polizeikorps in

Volle Konzentration

unserem Land stattfindet. Ein letzter jedoch eminentwichtiger Punkt im Ausbil-dungskonzept ist sicherlich dasZiel der offiziellen Anerken-nung des Polizeiberufes, umendgültig vom Status der ein-fachen Zusatzausbildung wegzu kommen, dies obschon zumAbschluss der Ausbildung einFähigkeitsausweis abgegebenwird. Unzählige Vorstösse die-nen ausschliesslich dem Zweck,die endgültige Berufsanerken-nung zu erreichen.Alle die sich von einem der at-traktivsten Berufe unserer Zeitangesprochen fühlen und ger-ne mehr über die Polizeischu-le des Kantons Bern wissenmöchten sind herzlich eingela-den die Homepage www.poli-ce.be.ch zu besuchen.

Redaktor.de

Sidney M. Camponovo

Scuola di polizia cantonalebernese

Si trova ad Ittigen, nella peri-feria della città federale, il luo-go dove viene impartita la for-mazione di base degli aspiran-ti gendarmi della polizia can-tonale bernese. La formazioneche avrà una durata di dodicimesi comprenderà un miscu-glio di diverse discipline teori-che, la loro messa in pratica,senza tralasciare anche lo sport.Tutte queste attività sarannouna sfida quotidiana per gliaspiranti ed in vista dei lorocompiti futuri risulteranno ef-ficacemente pronti.«È d’auspicio avere degli aspi-ranti motivati, coscienziosi esicuri di sè ed i seguaci di Ram-bo non trovano posto da noi»precisa il responsabile dellascuola di polizia, che non deveriflettere a lungo per illustrar-ci il profilo di un futuro poli-ziotto. L’effettivo della scuoladi polizia 2001/2002, è com-posto di 22 aspiranti donne e

Scuole di poliziaI

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37 aspiranti uomini. La mag-gior parte proviene dalla poli-zia cantonale bernese, esclusodue aspiranti iscritti nella po-lizia comunale della città diThun. Questi sono tra i candi-dati che con successo, dopo unalunga procedura di selezione,hanno soddisfatto i criteri ri-chiesti. Purtroppo, tra le fila sisono contare sei defezioni, tut-te motivate per delle ragionipersonali. Di conseguenza il nu-mero totale d’aspiranti che sa-ranno istruiti questa primave-ra sarà di 55. Tra questi 55 fu-turi agenti, 11 sono di linguamadre francese. Questo com-porterà un insegnamento in duelingue. Per delle ragioni d’effi-cacia e d’organizzazione, lescuole in due lingue si terran-no ogni due anni, mentre unanno sarà riservato unicamen-te ad aspiranti prevalentemen-te di lingua madre tedesca. Mal-grado questo bilinguismo, nonesiste nessuna barriera lingui-stica all’interno della scuola. Daun lato dovuto all’insegnamentoparticolareggiato dell’altra lin-gua e dall’altro perchè l’espe-rienza in comune obbliga su-perare le ansie o i fastidi di do-versi esprimere non nella pro-pria lingua.Altro aspetto non indifferentedella vita scolastica, è il fattoche dopo aver imparato un me-stiere, bisogna ritornare dietroai banchi di scuola e bisognarinunciare ad alcune libertà. Èda notare che il problema nonsi pone, perchè mai nessuno haavuto problemi particolari edè stato rinviato per un rendi-mento insufficiente. Colui chenon ottiene dei risultati soddi-sfacenti in una o in un’altra di-sciplina, ha la possibilità di se-guire dei corsi serali di recu-pero. In questo caso le giorna-te però possono diventare as-

sai lunghe, ma è uno dei siste-mi per raggiungere gli scopi diquesta formazione e fare inmodo che i generalisti della po-lizia territoriale o mobile sia-no in grado di adempire i lorocompiti. Inoltre partendo dalpunto di vista che l’apprendi-mento di una professione dipoliziotto non termini mai, lascuola di polizia diviene ancheun centro di formazione conti-nua. Quasi 200 corsi e seminarisono annualmente organizzatiper i collaboratori e collabora-trici della polizia cantonale ber-nese. Ciò vuol dire anche af-frontare il lancinante proble-ma di spazio. Problema, che èstato recentemente affrontatodalle autorità politiche del can-tone e discusso durante la ses-sione primaverile del Gran Con-siglio bernese. Una soluzione èstata trovata con il trasloco delcentro di manutenzione dellapolizia cantonale bernese neilocali dell’arsenale. Questo tra-sferimento ha permesso di ot-tenere ulteriori spazi ed unita-mente alla concessione di cre-

diti da parte del Gran Consi-glio, il centro di formazione del-la polizia bernese d’Ittigen po-trà essere rinnovato. Questi la-vori creeranno una sala di clas-se che potrà accogliere una ses-santina d’allievi, ma anche diricevere l’unità d’interventospeciale "Gentiane" all’internodi locali più confacenti alle lo-ro necessità. Il completamentodi questi lavori è previsto perla fine dell’anno e permette-ranno uno sviluppo più armo-nioso della formazione. Gli aspi-ranti delle future scuole di po-lizia beneficeranno quindi del-le migliori condizioni di lavo-ro. Un ulteriore progetto saràla messa in piedi di una scuo-la comune in seno al Concor-dato di polizia del Nord-Ovestdella Svizzera, che attualmen-te si trovi ancora nello stadioembrionale. Essa permetterà diformare agenti di polizia di di-versi corpi sotto un unico tet-to e con gli stessi principi, an-che se già attualmente delle for-me di collaborazione e scambitra diversi corpi di polizia del

Das Ausbildungszentrum in Ittingen

nostro paese esistano già.Ultimo punto concernente laformazione, ma anche e so-prattutto al suo termine è il ri-conoscimento ufficiale dellaprofessione di poliziotto chespesso è considerata come unaformazione complementare, an-che se al termine dell’insegna-mento, gli aspiranti ricevonoun attestato di capacità. Diver-se discussioni che vanno in di-rezione di questo riconosci-mento sono in corso.Coloro che desiderano riceve-re delle più ampie informazio-ni sulla scuola di polizia can-tonale bernese, possono otte-nerle all’indirizzo Internet se-guente: www.police.be.ch

redattore.it 4ini