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A tous les amoureux des mots et de la poésie

Et surtout,

A ma femme, soleil et phare de ma vie

A ma fille et ses trois perles,

Conception & réalisation graphique de la couverture et des vignettes

intérieures : mon jeune et talentueux ami Cédric Janis,

Infographiste et... artiste

Assisté de Liloo, sa jolie «Musette (*)»

(* petite Muse)

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Notre amour

Notre amour est passion tout autant que raison.

Cela seul suffirait pour qu’il demeure unique.

Cet amour est hors normes mais tellement magique

Que soleil de ma vie il en est l’horizon.

Notre amour est folie mais pourtant si joli.

Pétri de vérités, il chasse le non dit.

Il n’a d’autres limites que limites choisies

Il est tellement vaste qu’il dépasse nos vies.

Un amour infini mais il goûte le Temps.

Un amour si profond passe les différences.

Un amour si sincère fleurit tous nos futurs.

Un amour aussi grand pour mille et un bonheurs.

Fallait-il que tu sois aussi exceptionnelle

Pour permettre et oser, offrir et mériter

Une telle aventure ? Oui, toi qui es si belle

Ne pouvais enflammer qu’amour surnaturel !

Plaisirs du corps à corps comme de la distance

Bonheur dans la présence autant que dans l’absence

Amour d’accords profonds qui connaît la dispute,

Notre amour si complet saura s’éterniser.

Un immense bonheur, mérite de tes talents

Une douce chaleur pleine de mille couleurs

Frénétique désir ou subtil souvenir

Notre amour par tout ça pour toujours durera.

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Cacahuète rieuse

Deux yeux couleur de miel débordant de lumière

Un visage gracieux ouvert sur le bonheur

Un cœur pierre précieuse où fleurit la grandeur.

C’est un lys gracile, hirondelle rieuse

Papillon de lumière autant qu’aigle royal.

Cormoran impérieux, fragile libellule

C’est tout ça à la fois et plus encore pour moi.

Car elle est avant tout pépite bien aimée

Source de fierté qui me laisse comblé.

Merveilleuse luciole, brillante fée d’amour

Elle est brillante étoile qu’on admire toujours.

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Le bonheur

Beaucoup plus qu’un plaisir, beaucoup plus qu’un désir

Et bien plus qu’aujourd’hui

C’est tout un long parcours... vers un but lumineux.

Beaucoup plus qu’un moment, bien plus que le présent

Il grandit en marchant et se nourrit du Temps.

Océan des envies sous la marée du cœur

Sous l’effet des possibles, il est flux et reflux.

Long chemin de la vie

Son soleil chasse l’ombre

Mais ne l’empêche pas, pas plus que le ciel gris.

Car le bonheur est difficile à qui ne le veut pas assez

Il reste inaccessible à qui se joue de lui.

Farouchement étranger aux plaisirs trop faciles

Il est fait de respect comme de volonté

Dans le tri des envies, le choix des émotions

Il veut de la passion et de l’obstination.

« ... /»

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« /... »

Il lui faut des refus qui le feront plus fort :

Refus des tout de suite qui ne sont qu’apparence

Refus des compromis qui ne sont que sur place

Refus des trop faciles qui ne sont que impasses.

Préférer les vrais plus, les richesses qui durent

Où l’envie même folle embellit le futur.

Dans les mille plaisirs choisir ce qui te sert

A bâtir une vie dont chaque heure te rend fière.

Ce bonheur est à toi qui a tant de beautés.

Tu l’as déjà gagné, tu le sais à présent.

Très tôt il t’a placée sur la voie du succès

Et richement dotée de précieux talents.

Il t’a faite appréciée de tous autour de toi.

Déjà tu l’as prouvé en brillantes victoires

Et déjà démontré par de nombreux succès

Que tant d’autres ignorent et même ne peuvent rêver.

Ce bonheur, ton bonheur, soigne-le ardemment

Tu le mérites grand

Autant que tu es grande

Radieuse et généreuse.

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Carte postale

Rose satin au teint de miel

Tu brilles comme Phébus quand se lève le jour.

Etoile reine du firmament

Par ton sourire tu sèmes autour de toi l’amour.

Jolie fleur du bonheur venue dans mon printemps

De tes charmes tu domines et rayonnes alentour.

Et du ponant jusqu’à l’occident

Tu laisses les empreintes de tes nombreux atours.

Tu es lumière et bel astre de joie

Fontaine de douceurs et délicat bijou.

Enfantine, mutine, tu joues de tes atouts

Enivrante, câline ou cruelle parfois.

Femme au corps flamboyant

Volcan incandescent

Je tuerai le dragon au fond des océans

Pour boire sur ta peau de mes baisers gourmands.

Forte de tous tes charmes, tu joues d’autorité.

Tu peux faire douloureux le bonheur de t’aimer.

Tu te plais à dicter jusqu’à voir se plier

Admirateur muet ou amant déclaré.

Mais ce droit est à toi même s’il est tyrannique.

Ta beauté le permet car ton charme est ta loi.

Ta supériorité s’offense de la moindre critique

Et rien ne peut compter hors mon amour pour toi.

« …/ »

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« /... »

Et je sais bien aussi qu’ils sont insignifiants

Les cailloux qui nous blessent des sentiers de l’amour.

Comme je sais bien aussi que la rose au printemps

A l’épine cruelle sous sa robe velours.

Mais....des roses sans épines, des chemins sans cailloux

Je ne pourrai t’offrir.

Alors..... ces griffes que tu refuses de te reconnaître

Ces cailloux que tu ignores supérieurement

Me sont autant d’impasses où se cogne mon être.

Murs de mon espérance, noir de mes sentiments.

L’inquiétude s’ensuit, s’installe puis me ronge.

De ne savoir t’aimer il arrive que je songe.

Etre ce que tu veux sans nulle contestation

En toutes circonstances léger et sans question

En toutes situations heureux sans condition…

Je ne sais si je peux.

T’aimer comme tu veux sans jamais te blesser

Te voir toujours heureuse sans jamais t’affronter

Ton bonheur faire enfin comme tu fais le mien…

Je ne sais si je peux

Mon cœur saigne d’amour, l’amour que j’ai pour toi

A te dire l’angoisse et ma peine profonde.

Je ne veux pas te perdre pour tous les ors du Monde.

Mais je doute pourtant de savoir m’empêcher

D’être bien malgré moi souvent fâcheux pour toi.

Et tout autant je doute de savoir dire pardon.

Voila pourquoi, amour, j’ai aussi peur parfois.

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Recette du bonheur

Choisissez-vous une jolie pensée

Doux souvenir ou tendre rêverie.

Laissez-la se poser et s’installer en vous.

Mettez-la à son aise

Faites-lui de la place.

Peignez-la de lumière et de chaude beauté.

Soigneusement chassez ce qui la gênerait

Soignez-la

Aimez-la !

C’est à la fois une fleur

Un papillon

Un souffle de vent.

Gardez-la bien en vous.

Ne la laissez s’enfuir.

Faites-en une amie

Et goûtez son bonheur.

Car si le papillon s’envole

La fleur va se faner

Et se taira Eole.

Seul alors en l’immense jardin

Abandonné des fleurs,

Vous quêterez des heures

Un écho mais... en vain !

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L’amour aux portes du destin…

Ils en étaient surpris. Follement ils s’aimaient

Le vent souvent se fait grisant

Toujours main dans la main le bonheur les portait

De près de loin toujours présent.

Sans connaître le bout ensemble ils avançaient

Simple bonheur n’a point de chaîne

Comme deux collégiens des autres ils riaient

Désenchaînés sans plus de gêne.

Sur les pages du Temps ils écrivent l’amour

Mots dégustés à pleine bouche

Aux vents des rêves bleus leur espoir de velours

Se fait désir envie farouche.

Eros ainsi parfois dicte aux instants sa loi

Aimer souvent se fait surprise

Eux goûtent le plaisir insoucieux des pourquoi

Deux cœurs, deux corps, la même emprise.

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Prière en écho

Donne à mon âme blessée la caresse du temps

Qui guérira les plaies

Donne à mon corps fatigué le baiser qui cajole

L’amitié qui console

Donne à mon cœur déchiré l’espoir qui reverdit

Les jours ensoleillés

Prends ma main, emmène-moi pour les cimes cachées

De l’amour vérité.

Commande de se taire face aux chants du silence

Ordonne d’oublier le bruit lourd des tourments

Couvre-moi de paroles et de mille baisers

Que ta bouche m’abreuve et noie mes illusions

Car l’amour est passion, fille d’éternité.

Ne me promets pas plus que seule vérité

Soumets-moi lentement fier de ta volonté.

Sois habile et rusé, n’ai peur de m’effrayer

Fais preuve tour à tour de force et de tendresse

Etale ton sourire Ne cache pas tes larmes.

Captive-moi d’amour et de sérénité.

« ... /»

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« /... »

Oui, mon étoile... oui

Oui, je veux causer à ton âme

Et tendrement panser tes griffures et tes peines.

Je veux ouvrir pour toi des jours ensoleillés et des nuits étoilées

Des guirlandes de rêves et des brassées de rires.

Je veux de mille couleurs enrubanner ton ciel

Et de mille bonheurs emplumer tes matins.

Oui je veux te cueillir des bouquets de baisers

Des baisers qui consolent

D’autres qui incendient.

Je veux là avec toi découvrir les sentiers

D’un amour libre et vrai, inédit, indicible.

Je ne te donnerai aucune autre promesse

Que ma sincérité et notre vérité à nous

Nus et crus pour toujours, dedans comme dehors.

Oui, chérie, ma chérie, je dépose en tes mains

Mon amour passion et mon amour envie

Mes envies, mes désirs et mon amour bonheur.

Je te veux libre et nue

Heureuse et fière pour moi

Heureuse et fière pour toi !

Je veux être avec toi conquérant de ton corps

Superbe et affranchi

De pudeur castratrice.

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L’étang des vanités

L’étang des vanités

De ses eaux où l’astre se mire

Monte un parfum lourd et poivré

Dont la fragrance sait séduire

L’inconsciente fierté.

L’étang des vanités

Retient comme enlisés

Les trop d’orgueil et de fierté

Les airs de supériorité

Sous les masques trop pailletés.

Restez sourds aux mille sourires

D’amis soudain trop empressés.

Ne vous laissez pas trop réjouir

De flatteries bien ciselées.

Face aux images enluminées

Et face aux charmes bien fabriqués

Ne vous laissez pas capturer

Par cet étang des vanités.

Chacun rencontre ce désir

D’un beau miroir toujours flatteur

Mais seul le sot pense séduire

Sans coup férir et sans erreur.

Là est l’étang des vanités.

Gardez-vous d’être fascinés

Par les sirènes aux chants sucrés

Car vous pourriez être attirés

Vous, par l’étang des vanités.

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Muse perdue

Pour fuir en toi je suis

En toi et je m’oublie.

Sondant les bruits, je tais

Mon cœur creusant la nuit.

Mes rêves fondent sur ton corps

Marin errant, navire sans port.

Ma peau est voile qui se tend

Aux vents d’amour qui te soulèvent.

Les mots aimés se font attendre.

Ils sont pilés dans les mortiers

D’un cœur de cendre.

La bouche sèche, l’âme muette

Foulée aux pieds

Mes mains te cherchent et je te guette.

Femme perdue

Aux seins de glace

Mon amour bu

Ne laisse place

Qu’aux souvenirs.

Et je t’admire

Nue sur ma couche.

Cœur en folie je bois ta bouche

Jusqu’à la lie.

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Recette extraordinaire

Cueillez la lumière des cieux

Et faites-en deux jolis yeux

Deux phares et deux aimants

Que vous aurez taillés dans le plus pur diamant.

Des cieux encore prenez l’éclat et la chaleur

Pour former une bouche plus belle qu’une fleur.

Ornez-la d’un sourire généreux, flamboyant

Le tout sur un minois délicat et charmant.

Pour faire un caractère prenez du volontaire

De l’acier bien trempé tiré du meilleur fer.

Choisissez-le bien haut souverain et bien fier

Ce qu’il y a de meilleur de plus grand de plus cher !

Pincée de légèreté deux doigts d’indifférence

D’insouciance choisie dans la fraîche jeunesse

Epicez de gaîté d’appétit d’existence

Et mélangez le tout en forme de princesse.

« …/ »

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« /... »

Puis sur ce corps de reine posez soigneusement

Une soie un velours aussi doux que brûlant

Sur ces formes parfaites sur ce corps de satin

Couleur de pain doré et de thé au jasmin.

Voila c’est terminé. Vous avez à présent

Un astre exceptionnel

Une étoile magique.

Vous comprenez alors devant cet être unique

Combien je suis comblé, amoureux follement.

Mais non. N’essayez pas. Vous n’y parviendrez pas !

L’original, je l’ai.

Il ne se copie pas

Alors tant pis pour vous. Je garde mon amour

Par ces mots je veux dire sa force et son velours.

Ce bonheur j’en suis fier.

Ma princesse chérie

Dans mon cœur restera ce soleil qu’on m’envie.

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Un instant… et après.

Deux prunelles dorées

Etincelle d’amour

Hasard de vie un jour

Le sort qui joue aux dés.

Désirs corps enlacés

Envies même coupables

Plaisirs inépuisables

Folies réalisées.

Jeunesse neuve rêve

Incendie de l’extase

Ivresse qui embrase

En étreintes trop brèves.

La vie parfois torrent

Surprise d’un moment

Détour enchantement

Soleil au firmament.

Printemps de vie riant

Eté sève d’amour

Automne fleurissant

Hiver douillet velours.

Les amants sans raison

Se moquent des saisons

Ils s’aiment cœurs et corps

D’un amour bien plus fort.