Cof~ scientif ique JIB 2006

fluLomaLisaLion du pr~-analgLique eL consolidaLion globale des acLiuiLas dans pl I • I I I un aleau Lechnlque de blologle cllnlque Depuis les ann~es 90, en Europe, le concept de plateforme automatis~e consolid~e en Biologie clinique a donn~ lieu ~ beaucoup de II discussions au cours de multiples r~unions, I symposiums et articles divers. Au d~port, uoupon en queeo p ! J r~serv~ 6 des laborotoires g@ants et d~shu- manis~s, am~rieains oujaponais, drainont des analyses 6 des centaines de hilom~tres la ronde. En 2006, ces laboratoires sont devenus une r@alit@ en Europe, dons des structures priv@es ou publiques oCi se pratique une Biologie clini- que certes restruetur~e mais dont le niveau etles exigenees de C.)ualit@ sont @quivalents aux standards europ~ens. Plusieurs explications peuvent @tre donn~es

cette @volution : - Les syst~mes automatisms pr~analytiques sont plus compacts et adaptables ~ diff~rentes configurations de laboratoire et ~ diff@- rents syst~mes d'analyse automatis@e. Les automates pr@analyti- ques peuvent souvent ~tre utilis~s en fin de journ~e pour le traite- ment postanalytique des ~ehantillons. - Les structures architecturales des laboratoires de Biologie r~cents ant @t~ consues pour @tre compatibles avec une consolidation globale des activit~s; le concept de laboratoire d'urgence est remplac~ par celui du

laboratoire 6 rendu rapide (LRR) qui regroupe les chaines automatis@es et des pastes de travail d'urgence monuelle, et offre des garanties de d~lai de rendu des r~sultats, 24 heures sur 24 et 7jours sur 7 pour les hOpi- taux.

- A travers le GBEA, la Biologie clinique fran~aise est pass@e du Contr61e Qualit~ ~ l'Assurance 0uolit~ qui conduit ~ une prise en charge globalis~e des activit~s de Biologie ~ travers une approehe pluridisciplinaire mais ~galement des activit~s logistiques (trans- port, m~trologie, etc.).

ttion globale iiologie clinique rn@es Internationales

uestions :

m~dicale

I BIOTRIBUNE Novernbre 2006 n°20

CV C]~ CIviLl~ I

Caf~ scientifique JIB 2006

-Les syst~mes d'analyse r~cents sont souvent hybrides, avec prise en charge dons un seul ensemble consolid~ des analyses par exemple de Biochimie et d'lmmuno-analyse. La m~me ~volution est en cours en Cytologie h~matologique avec des ensembles compteurs-pr~para- teurs de lames-lecture des lames en analyse d'image. De plus, des accords avec des soci~t~s qui commercialisent des automates pr~- analytiques limitent les risques pour I'utilisoteur Iors de I'installation de la plateforme.

Thermo . ~ i ~ ,~

ELECTRON CORPORATION

~ Ortho-Clinical Diagnostics

C'est pourquoi il nous est apparu que les JIB 2006 ~taient l'opportunit~ de faire le point sur les d~marches projet et sur les retours d'exp~rien- ces au cours d'une session conviviale du caf~ scientifique : << En 2006, la raise en place d'une plateforme automatis~e dons des structures priv(~es et publiques est-elle une r~alit~, une utopia ou un (~pouvantail ? >>

Pr Alain Truchaud

(Chef de Produits, Clinical Chemistry g. Automation Systems, Thermo Electron Corporation) :

Dons la continuit~ des propos d'Alain TRUCHAUD, nous consta- tons c~t~ industriels, qu'en quelques armies Seutement, Hen- vironnement des projetsrobotiques a r~dicalement ~volu~. La perception de l'automotisation a Chong~ :ic'est aujourd'hui un outi/reconnu pour I'om~lioration~es conditions de travail, /a s~curit~ du personnel, la tra(;abilit~ des ~chantittons. Les gains organisationnels sont monffestes, les gains de productivit~ par la consolidation sont~gatement d~montr~s. Les besoins ant ~t~ revus : il n'est p us quest on dune sotu- tion"universe/le" (pr~-anolytique ou combinant onalytique) qui conviendraff 6 touttemonde. Chaque Site proc~de main-

dons le domaine renforce/a d~marche de conseil indispen- sable ~ chaque projet. Les deux points precedents ant tout comme effet pervers des sollicitations do.ns des temps de plus en plus courts, et ~ des stades de plus en pluspvanc~ lots des consul- tations. Des ~changes durables (prise en-¢ompte du projet par l'industriel au plus t6t) et un dioJogue |e plus ouvert et le plus frequent possible sont un le labo- ratoire. Ace titre, a consu ration ae t:ype "t)ialogue cam p~-

~e solution r~pondont bien titif" dons le domaine public estm /a conduite d'un pro~et.

La conception des solutionstourn des m~mes

la constitution de so propre solution, tiques ? Faut-il connecter les automates en !gne ? Les systEmes ouverts ~ d autres fournisseurs et ~volutifs sont Du point de vue de la productivib},= {[ela S~curit~ et de la articuti~rement Qppropri~s pour r~pondre oux besoins actuels tra(;abilit~, nous pouvons r(~pondre par i'affirmative.

anticiper le futUr du labOratoire. La semantique, source de Ceci dit, il n'y a pas de r~ponse stQnd~mais des besoins, dmlogues parfo songs et comple es, est aujourd hu connue desmoyens, des strote. [ es propr:res ~ ch(~_ ~. ~.(;l!ue~plroet~.. et maitris~.e, ce qui clarifie les ~changes entre les industriels A nouveau, un dialogue ouvert,;i entretabom- et ]~ laboratoir;s. La d~finition des projets et leur conduite toires et industriels, etune so nO~nbreu- s}en trouventom~lior~es et acceler~es, ses configurations sont les;ci~s c[~unei~iS(Ition r~ussie.

Automatisution du pr~-analytique et consolidation globale des activit~s dans un plateau technique de biologie dinique. Caf~ Scientifique des Journies Internationales de Biologie 6 Paris, le jeudi 9 novembre de 11h30 6 13h00.

DEMANDE D'INVITATION

Nom . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Pr~nom . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ville . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Pays . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . T~I . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fax . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . E mail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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