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Christine et Jean-PaulChristine et Jean-PaulBARRUYERBARRUYER
vous présentent leurs
MEILLEURS VOEUXMEILLEURS VOEUXde bonheur et santé
pour la nouvelle
année 2012année 2012
Que cette dernière vous apporte joie et douceur !…
Pour ce qui est de la douceur, vous allez être gâtés avec nous !…
Petite assiette gourmande :
Choux à la crème, brownie,
tarte au citron, boules de crème glacée
et chantilly…
Coupe de panacotta nappée aux fruits rouges…
Un grand saladier de crème anglaise !Comme vous le remarquerez, le niveau a déjà bien baissé. Alors, dépêchez-vous car de petites mains impatientes attendent pour se jeter sur la cuillère…
Bûchettes de Noël à la mousse de fruits : Pomme, mangue, orange, praliné.Voyez comme les gourmands n’ont pas attendude les mettre sur un joli plateau, les servantà même le carton, quelle goujaterie !…
Après tout, qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse !…
Une nostalgique assiette retrouvée chez ma vieille Maman, que nous nous disputions, mon frère, ma sœur et moi, tout petits à la maison lors des desserts. C’était à qui arrivait à avoir sa chanson préférée !…Voyez comme le temps et les couverts ont laissé des traces sur l’illustration !…
Quel craquant, cette croûte de chocolat !…
Imaginez un peu cette onctuosité sous votre palais !…
Brioche de Noël : nappage de framboises, miel et pain d’épice…
Nous, la neige, nous préférons la voir sur les pâtisseries en sucre glace plutôt qu’autour de chez moi…
Ah ! Les vacanciers, ils ont voulu de la neige, et bien ils ont été servis à la montagne ces derniers jours ! Certains auront du mal à retrouver leur voiture sous de telles couches de blanc…
L’incontournable friandise lyonnaise de fin d’année…
« A une date indécise du siècle dernier… »
C’est facile à dire, mais pas très précis, surtout que l’on ne sait pas à quelle date a été rédigée cette notice.
Si nos souvenirs sont exacts, c’était à la fin du XVIIIe siècle, autour de la période révolutionnaire, ou juste après. D’ailleurs, nous avons travaillé de nombreuses années tout à côté de cette rue du Bât-d’Argent, dans le 1er arrondissement de Lyon.
Bon ! ça vole pas très haut, mais ça fait toujours rire les enfants…
Observez la couleur discrète et délicate de la pâte d’amande : pas de colorants artificiels, que du naturel, pour un parfum subtil et authentique !…
Vous avez vu cette galette comme elle est dorée à souhait ?…
Ah ! Ce feuilleté, cette texture sous la dent !… Et je ne vous parle de la frangipane !…Savez-vous que la galette légèrement tiédie au four avant d’être servie, c’est encore meilleur ?…
Quelle classe la présentation !…
Nous sommes vraiment désolés, nous avions pourtant laissé la consigne de ne rien toucher dans la boîte avant que le photographe ne prenne quelques clichés… Mais des gourmands sont déjà passés et la boîte fait déjà bien indigente ! Décidément, dans cette maison, dès que nous avons le dos tourné…
Le sarment du Beaujolais au vieux marc, c’est mon (Jean-Paul) pêché mignon !… Toute digestion difficile est alors résolue… Je ne l’ai pas tranché afin qu’il ne se mette pas à couler, ce que vous comprendrez. Je préfère qu’il coule dans ma bouche !…
Cette spécialité lyonnaise de grande renommée n’est plus à présenter. Du velours dans la bouche, comme le tissu qu’elle évoque !…
La quenelle lyonnaise en confiserie, c’est pas ce que je (Jean-Paul) préfère, le goût est assez bizarre et indéfini…
Voilà, vous venez de voir tout ce que nous avons pu savourer en sucré à l’occasion de ces fêtes de fin d’année. Ceux qui me (Jean-Paul) connaissent bien savent combien je suis un homme de douceur(s) et qu’il m’est possible de faire un repas complet avec un seul chariot de desserts.
Je suis désolé, une fois les fêtes passées et à l’heure où certains ont déjà repris les bonnes vieilles habitudes de la cantine du travail, il va peut-être y avoir chez vous le regret d’en avoir laissé un peu trop dans l’assiette pour cause de saturation…
Mais cette année, pour les fêtes, la douceur ne se trouve pas seulement sur les tables, mais aussi dehors dans notre jardin, en région lyonnaise…
Plus aucune fleur de géranium-lierre (nous en avions bien deux ou trois encore quinze jours avant les fêtes), mais les feuilles sont encore drues et bien vertes, les gelées blanches du matin ayant été assez rares en ce début d’hiver.
Les romarins exhalent encore des parfums de Provence si vous écrasez leurs fleurs entre vos doigts…
Plus inquiétant, le cognassier du Japon bourgeonne déjà et si la douceur devait se poursuivre, les fleurs ne tarderaient pas à s’ouvrir !…
Car on peut imaginer la même chose avec les arbres fruitiers et ce serait la catastrophe au premier coup de gel venu !…
En ce samedi 31 décembre, nous venons de surprendre le coq faisan dans notre jardin, à la recherche de quelques graines que nous lui avions laissées, mais hélas ! noyées dans l’eau de pluie au fond d’une vieille assiette. Peu auparavant, Christine avait aperçu sa poule.
Nous les retrouvons chaque fin d’hiver dans notre jardin et celui du voisin, mais jamais avant le mois de février. Ils sortent du petit sous-bois se trouvant juste en-bas de notre lotissement, où ils passent la belle saison cachés sous les arbres…
C’est ravissant et semble annoncer la belle saison ! Je préviens : Moi, Jean-Paul, j’abats le premier qui tentera de pointer son fusil sur ces volatiles trop charmants !!!… Je pratique la chasse, mais uniquement photographique, comme ici au téléobjectif, en zoom X12 depuis ma cuisine…
Après les repas de fêtes trop riches, une petite promenade au parc de Lacroix-Laval (Ouest-Lyonnais) est très salutaire. Quelle ravissement de voir ces biches se prélasser au soleil ! Quelle douceur aussi !…
A travers les arbres, nous entrevoyons le château de laBelle au bois dormant. Cette douceur hivernale sera-t-elle suffisante à la tirer de son long sommeil ?…
Toujours est-il qu’en ce qui me concerne (Jean-Paul), tant que l’hiver n’est pas terminé, je ne suis toujours que l’ombre de moi-même…
Mesdames, ne fantasmez pas trop, en réalité je suis bien plus petit que çà !…
Et pourtant, que la nature est belle !…Alors que la durée du jour a cessé de diminuer, cette douce lumière magique devrait nous laisser espérer un retour rapide de la belle saison…
Cet exercice de variations autour du thème de la douceur n’était peut-être qu’un prétexte à la réalisation de quelques clichés en macrophotographie, que Jean-Paul le photographe aime tout particulièrement, c’est-à-dire la représentation d’images plus grandes que nature.
Il suffit de régler son appareil sur ce mode spécifique (en général symbolisé par une fleur) et de s’approcher le plus près possible du sujet, jusqu’à le toucher presque, si possible en position grand angle, tout en surveillant la constante netteté de l’image sur l’écran de l’appareil. La profondeur de champ (la zone de netteté de l’image) est excessivement faible, avec un premier plan et un arrière-plan très flous, mettant ainsi le sujet en relief.
JE VOUS PRÉSENTE MON COMPAGNON…JE VOUS PRÉSENTE MON COMPAGNON…Puisque je vous parle de photographie, voici enfin celles de mon petit appareil numérique « CANON ixus 100 » dont je vous parle si souvent et à qui vous devez tous les diaporamas de ces dernières années. Il est photographié ici par l’appareil de ma fille, un « Canon PowerShot SX210 ». C’est un concentré de haute technologie qui tient dans le creux de la main, moins long que la clé de contact de ma voiture et, une fois rangé dans son étui de cuir, pas plus gros qu’un paquet de cigarette. Capable de faire face aux situations les plus difficiles, pour peu que l’on prenne la peine d’exploiter les fonctions paramétrables dans ses nombreux menus d’écran. Chose rare, il possède encore un viseur optique et son zoom optique X3 peut être poussé jusqu’à X12 sans mosaïquage, par interpolation numérique de pixels virtuels. Cerise sur le gâteau, il peut filmer des vidéo en haute définition avec prise de son. Le tout pour un prix d’environ 150 €, voire moins, celui d’un modèle actuel de la marque à peu près équivalent. Alors, pourquoi dépenser plus ?…
Il a été un peu maltraité par la vie que je lui fait mener, discret au fond de ma poche mais toujours prêt à intervenir, et sa carrosserie n’est plus de toute première fraîcheur, la peinture noire commençant même à s’écailler. D’ailleurs, son compteur d’images a été remis à zéro de nombreuse fois sans subir aucune révision. Il faut dire qu’il a beaucoup baroudé à l’étranger, des brouillards de Londres jusqu’aux sables brûlants du Proche-Orient en passant par les ruines de Rome et d’Athènes. Il est petit mais il fait le maximum ! Et quand il ne le peut pas, je me dis que la satisfaction personnelle en photographie n’est pas de faire dans la perfection, mais bien de faire avec !… Davantage que l’appareil, c’est bien le regard que l’on porte sur son sujet qui est le plus important, ainsi que son partage avec les autres. Et puis, je suis comme çà, je m’attache aux objets comme je m’attache aux personnes, même avec leurs défauts (rires !). Alors, j’attends qu’il rende l’âme avant de le remplacer (l’appareil, pas mon conjoint !), probablement par un autre modèle tout aussi compact. Mais, n’ayez crainte, je ne manquerai pas alors de vous envoyer le faire-part !…
Nous renouvelons, à chacune et à chacun d’entre vous, nos vœux les plus sincères de bonheur et santé pour la nouvelle année 2012, avec beaucoup de douceur, encore de la douceur, toujours de la douceur, des couches de douceur qui s’empilent et dégoulinent de sucre, à l’image de ce que vous venez de voir !…
Christine et Jean-Paul BARRUYERChristine et Jean-Paul BARRUYER
J’essaierai, au fil des semaines, de continuer à vous apporter, par l’image et par le texte, cette douceur si réconfortante dans ce monde qui en est, hélas ! de plus en plus dépourvu…
Jean-Paul BARRUYERJean-Paul BARRUYER 3 janvier 20123 janvier 2012
Pour dissiper tout malentendu, la réalisation du présent diaporama n’a pas été financée par un grand chocolatier-confiseur de Lyon ni par une grande marque japonaise d’appareils photo. Si je leur ai fait de la publicité, tant mieux pour eux, ils l’auront méritée. Qu’ils sachent tout simplement que je me laisserais volontiers corrompre par l’envoi gratuit à mon domicile d’une boîte de friandises et d’un nouvel appareil photo. Ce qui, tout compte fait, serait un investissement publicitaire d’un coût dérisoire eut égard à la grande et internationale diffusion de mes diaporamas. Chiche ! Je lance le défi… (rires et re-rires !)
