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laissez-vousconterl’auto-
évaluation
Auto-évaluation des actions desVilles et Pays d’art et d’histoire
Sommaire
Le contexte de cette action ................................................................................................................ 1
VPah, un label .................................................................................................................................. 1
VPah, un réseau ................................................................................................................................ 1
Les principales missions .................................................................................................................... 1
Objectifs de cette auto-évaluation ..................................................................................................... 2
A qui s’adresse ce guide ? .................................................................................................................. 2
Comment a-t-il été construit ? ........................................................................................................... 2
Quel est son contenu ? ...................................................................................................................... 2
Qu’est-ce qu’une auto-évaluation ? ................................................................................................... 3
Comment procéder pratiquement ? ................................................................................................... 3
Structure du questionnaire ................................................................................................................ 4
Questionnaire ........................................................................................................................... 6 à 15
Les exemples ........................................................................................................................... 17 à 27
Pour en savoir plus sur l’auto-évaluation/Glossaire ........................................................................ 28
VPah, un labelLe Ministère de la Culture et de la
Communication assure depuis 1985 la mise en
œuvre d'une politique d'animation et de
valorisation du patrimoine et de l'architecture
en partenariat avec les collectivités territoriales.
Elle se concrétise par l'attribution d'un label
"Villes et Pays d'art et d'histoire". Cet
engagement est fixé par une convention
élaborée avec la Direction de l'Architecture et
du Patrimoine, les Directions Régionales des
Affaires Culturelles (DRAC) et les collectivités
concernées. La convention implique un soutien
financier et technique de la part du ministère et
comporte l'obligation, pour les collectivités, de
recourir à un personnel qualifié et agréé par le
Ministère de la Culture et de la
Communication, animateurs et guides-
conférenciers.
Le Conseil National des Villes et Pays d'art et
d'histoire, créé en 1995, participe au
développement et à l'orientation générale de la
politique du réseau. Il émet un avis sur les
candidatures au label (déposé à l'Institut
National de la Propriété Industrielle) ainsi que
sur les retraits pour non-respect du cadre établi
par la convention.
Les Directions Régionales des Affaires
Culturelles (DRAC), services déconcentrés du
Ministère de la Culture et de la
Communication, assurent la mise en œuvre de
la politique du réseau sur le plan régional. Elles
veillent à la pertinence du projet et à son
intégration dans le paysage culturel de la
région en étant les interlocuteurs privilégiés des
villes et pays pour l'instruction et le suivi des
dossiers.
VPah, un réseauLe réseau VPah regroupe 94 villes et pays d’art
et d’histoire attachés à la valorisation et à
l’animation du patrimoine et de l’architecture.
Une même exigence de qualité et un même
souci du public font la force et le dynamisme
du réseau “Ville et Pays d’art et d’histoire”. La
richesse des thèmes de visites, la variété des
itinéraires et des approches sont indissociables
du souci de montrer la ville autrement, de
marquer les mémoires d’une empreinte
durable, de favoriser l’insertion dans la
communauté et l’apprentissage de la
citoyenneté. Le réseau s’appuie sur deux types
de compétences bien définies : l’animateur du
patrimoine et le guide-conférencier.
Les principales missionsElles sont au nombre de six :
• présenter le patrimoine dans toutes ses
composantes et promouvoir la qualité
architecturale et paysagère ;
• mettre en œuvre un programme grâce à
un personnel qualifié agréé par le
Ministère de la Culture et de la
Communication ;
• diffuser et communiquer sur
l’architecture et le patrimoine ;
• sensibiliser les habitants à l’architecture
et le patrimoine ;
• initier le public jeune ;
• développer le tourisme culturel.
Ces missions sont coordonnées par l’animateur
du patrimoine.
1
Le contexte de cette action
Il s’agit de :
• doter le Ministère de la Culture et de la
Communication d’outils et de méthodes
communs à mettre à disposition des villes
et pays labellisés afin d’atteindre des
objectifs (quantitatifs et qualitatifs)
cohérents, d’être en mesure d’évaluer
périodiquement à l’échelon régional
(DRAC) ou national, les actions menées
et les effets des politiques poursuivies ;
• doter les villes et pays labellisés de
moyens d’évaluation adaptés et souples
(auto-évaluation, gestion par objectifs,
etc.) afin qu’ils orientent leur politique et
leurs actions au niveau local, qu’ils
tiennent compte du contexte et qu’ils
adaptent leurs objectifs en fonction des
résultats des évaluations (auto-
évaluations) réalisées ;
• identifier des indicateurs qualitatifs et
quantitatifs dont puissent se servir les
élus, les planificateurs, les animateurs du
patrimoine (et leur équipe, le cas échéant)
dans le cadre du label VPah. Ces
indicateurs doivent fournir les
informations nécessaires pour mieux
comprendre les rapports du label VPah
avec l’environnement culturel, social et
économique dans lequel il intervient et
dont il est tributaire, ainsi que ses effets
sur ce même environnement ;
• identifier les points forts et les points
faibles en matière de communication
interne aux villes et pays labellisés, des
échanges et de la capitalisation du savoir
au sein du réseau ;
• sensibiliser et former les responsables et
les partenaires (élus, animateurs du
patrimoine, personnel administratif et
technique) à ces méthodes et outils.
A qui s’adresse ce guide ?Le questionnaire s’adresse aux élus en charge
du dossier des Villes et Pays d’art et d’histoire,
ainsi qu’aux animateurs du patrimoine.
Il peut être complété de manière individuelle
ou en groupe. Il constitue une base
préparatoire pour l’échange et le dialogue,
source d’enrichissement et de progrès pour
chaque partie prenante dans la réalisation des
objectifs poursuivis par le label.
Comment a-t-il été construit ?Ce guide d’auto-évaluation a été élaboré à la
suite d’une formation action initiée par la
Directon de l’architecture et du partimoine. Un
groupe pilote regroupant six VPah1 s’est réuni
à plusieurs reprises sous la houlette du
consultant Missions Publiques sarl pour le
finaliser. Il a fait l’objet d’un test auprès de
chacun des participants du groupe pilote. Tant
les animateurs que les élus de référence et les
services municipaux concernés furent invités à
participer activement aux quatre sessions de
travail en 2002. La sélection de ces VPah
pilotes a été réalisée par le Ministère de la
Culture et de la Communication. Enfin, lors
d’un séminaire ouvert au plus grand nombre, le
guide fut présenté et encore amendé pour le
rendre plus pratique et facile d’utilisation.
Quel est son contenu ?Outre une introduction générale au concept
d’auto-évaluation, le guide se compose de deux
parties.
2
Objectifs de cette auto-évaluation
1 Les VPah sont Cambrai, Langres, Nîmes, Pays d’Auge,Poitiers, Rennes
La première est constituée de 25 questions
réparties en 5 séries de 5 questions
correspondant à différents axes d’évaluation de
la mise en œuvre du label.
Les cinq axes sont respectivement les acteurs,
la politique menée, les actions menées, les
ressources et les résultats.
La seconde partie contient des exemples de
réponse à chacune des 25 questions du guide
d’auto-évaluation. Ces réponses sont basées sur
des cas vécus par les participants à la
formation action. Chaque exemple est donc
cohérent en soi sans que l’ensemble ne
corresponde toutefois à une situation existante
puisqu’il s’agit de la résultante d’exemples tirés
des six VPah pilotes. Les exemples sont donc
des illustrations permettant à celui qui s’engage
dans l’exercice d’auto-évaluation de trouver
une aide concrète lorsqu’il ne comprend pas la
question ou pour comparer sa réponse à celle
produite par l’un de ses pairs.
Qu’est-ce qu’une auto-évaluation ?Ce questionnaire s’inspire des méthodes de
l’European Foundation for Quality
Managment (EFQM), http://www.efqm.org,
association européenne assurant la promotion
de la gestion de la qualité totale pour l’auto-
évaluation. L’EFQM a élaboré un modèle et un
guide d’auto-évaluation de la gestion de la
qualité qui permet à chaque organisation
(entreprise, administration…) de s’évaluer
périodiquement et de se fixer des objectifs
clairs pour l’avenir. Un guide d’évaluation
permet au travers de questions et
d’appréciations d’évaluer la performance et, de
définir les priorités d’amélioration. Chaque
organisation peut adapter le guide d’évaluation
et les pondérations allouées à chaque élément
du modèle.
Ce modèle s’applique à des entreprises, des
organisations non gouvernementales et des
services publics. Il est flexible, de sorte qu’il
peut être adapté à des secteurs d’activités
différents et à des organisations de tailles
variables.
L’un des bénéfices immédiats de cette approche
est d’ancrer la pratique de l’évaluation au sein
des VPah et d’inciter à l’échange afin de mieux
progresser au sein du réseau.
Comment procéderpratiquement ?Il y a plusieurs manières de procéder. Le choix
d’une méthode de travail dépend notamment
des contextes locaux et des objectifs poursuivis
ou encore s’il s’agit d’une première auto-
évaluation ou de la réédition de l’exercice.
De manière générale, il est conseillé de
procéder en trois temps.
La préparation de l’exercice requiert en
premier lieu de définir qui va y participer.
Nous ne pouvons que conseiller d’y associer
toutes les parties prenantes directement
concernées. A titre d’exemple, nous basant sur
les expériences vécues par les VPah pilotes, les
parties prenantes furent au minimum
l’animateur du partimoine et l’élu de tutelle et
au maximum l’animateur et son équipe (les
collaborateurs de l’animateur, les guides-
conférenciers), les élus concernés (patrimoine,
culture, tourisme) des représentants des
services municipaux directement concernés
(direction de la culture, office du tourisme,…).
Le deuxième temps consiste généralement à
répondre aux questions du guide. Cet exercice
peut se réaliser individuellement ou en groupe.
Lorsqu’il est réalisé en groupe, il est utile de
3
lire le guide au préalable et déjà de réfléchir
aux réponses et arguments à échanger. Nous
préférons un travail individuel, suivi d’une
discussion de groupe, ceci afin de limiter les
effets résultant de la dynamique des groupes.
Le troisième temps est celui de la recherche du
consensus par l’échange des arguments et des
preuves qui sont associés aux perceptions
positives et négatives de chaque participant.
Le coordinateur devra faire preuve de qualités
d’écoute, de diplomatie et maîtriser les
techniques d’animation d’un groupe de travail.
Dans les six expériences pilotes, cela n’a pas
posé de difficultés majeures.
Structure du questionnaireLe questionnaire d’auto-évaluation est
décomposé en cinq séries de cinq questions
réparties selon des axes d’évaluation. Les axes
sont :
1. les acteurs ou comment les acteurs locaux
(élus et animateurs du patrimoine)
développent leur vision du label VPah. Cet
axe permet de définir leur rôle, leur
implication et leurs missions dans la mise en
oeuvre du label.
2. la politique menée ou comment s’organisent
le suivi et la mise en place d’une stratégie
cohérente et respectueuse des critères et
objectifs définis par la convention VPah ;
3. les actions menées ou comment les actions
sont élaborées dans le cadre de la
convention ;
4. les ressources ou quels moyens, mis à la
disposition des acteurs locaux, ont permis de
réaliser les actions et d’obtenir des résultats ;
5. les résultats ou quelles sont les conséquences
observées par la mise en œuvre du label
VPah.
Bonne auto-évaluation !
4
5
6
1. Les acteursQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
2 Indicateur : Mesure d’un objet à atteindre, d’une ressource mobilisée, d’une réalisation accomplie, d’un effetou variable de contexte (économique, social ou environnemental). L’information fournie par un indicateurest une donnée quantitative mesurant des faits ou des opinions. Ils peuvent être de nature différente, nomb-res de visiteurs, articles de presses, nouvelles thématiques traitées, objectifs atteints, …
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
1-1
1-2
1-3
1-4
1-5
Quel est le degré dedisponibilité, desoutien et d’impli-cation des élus dansle suivi du label ?
Dans quelle mesurele soutien des servi-ces de la collectivitécontribue-t-il à lamise en œuvre de laconvention ?
Quelle est la partd’initiative de l’ani-mateur du patri-moine dans la miseen œuvre du label ?
Les services del’Etat (DAPA,DRAC, SDAP)sont-ils mobiliséspour la mise enœuvre du label ?
Le partenariat locala-t-il été améliorégrâce au label ?(public, associatif,privé)
/5
/5
/5
/5
/5
7
Points à améliorer Indicateurs de référence2
8
2. La politique menéeQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
3 Présenter le patrimoine dans tous ses composantes, sensibiliser les habitants à leur environnement, accueillir lepublic touristique, initier le jeune public au patrimoine, à l’architecture et à l’urbanisme, assurer la communica-tion et la promotion du patrimoine à l’attention d’un public diversifié, mettre en œuvre un programme grâce àun personnel qualifié agréé par le ministère de la Culture et de la Communication, développer des actions de for-mation à l’intention des personnels communaux, des médiateurs touristiques et sociaux, des associations.
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
2-1
2-2
2-3
2-4
2-5
Tous les objectifscontenus dans laconvention VPah3
sont-ilsdéveloppés ?
La mise en œuvre dela convention a-t-ellestimulé l’intégrationde la politique archi-tecturale et patrimo-niale dans le projetpolitique local ?
Les buts de laconvention ont-il étéappliqués au niveaulocal dans un“contrat” entre élus,animateur et servicesde la ville (ou pays) ?
Quelle est l’impor-tance du suiviaccordé au labelVPah (réunions,informations,notes) ?
Définit-on les orien-tations politiques enfonction des besoinsdes publics ciblesVPah ?
/5
/5
/5
/5
/5
9
Points à améliorer Indicateurs de référence
10
3. Les actions menéesQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
3-1
3-2
3-3
3-4
3-5
Les actions menéessont-elles cibléespar rapport aux dif-férents types depublics ?
Le rôle didactiquedes actions VPahest-il suffisammentdéveloppé auniveau local ?
Définissez-vous lesobjectifs quantita-tifs et qualitatifs devos actions (globa-lement et action paraction) ?
Les actions sont-elles conçues defaçon cohérente enfonction d’une poli-tique globale ?
Renouvelez-vous lesservices proposés ?
/5
/5
/5
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11
Points à améliorer Indicateurs de référence
12
4. Les ressourcesQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
4-1
4-2
4-3
4-4
4-5
Quelle est la valeurajoutée du réseaupour les élus ?
Quelle est la valeurajoutée du réseaupour les animateursdu patrimoine ?
Quel est la valeurajoutée du soutiende l’Etat (DAPA,DRAC et SDAP) ?
Disposez-vous demoyens adaptés auxobjectifs (moyenstechniques,humains, finan-ciers.) ?
Des ressourcesexternes ont-ellesété mobilisées (co-financement, effetde levier, partena-riat) ?
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13
Points à améliorer Indicateurs de référence
14
5. Les résultatsQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
5-1
5-2
5-3
5-4
5-5
La mise en œuvrede la convention a-t-elle eu des réper-cussions sur l’archi-tecture et sur lepatrimoine local ?
La sensibilisation dela population localeà l’architecture etau patrimoine est-elle évaluée ?
Mesure-t-on l’im-pact des actionsmenées en directiondes touristes ?
Parvient-on à attirerde nouveauxpublics ?
Dispose-t-on d’untableau de bordprécis des résultatsatteints par rapportaux objectifs pour-suivis ?
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Points à améliorer Indicateurs de référence
16
17
Les exemples qui suivent ont été conçus au
travers des cas vécus par les différents
participants au groupe de travail pilote mis sur
pied dans le cadre de l’expérimentation du
guide d’auto-évaluation. Ils ont donc tous une
cohérence interne car ils sont réels. Cependant,
s’il y a bien une logique pour chacune des
questions prises individuellement, il n’y a pas
de logique d’ensemble dans la mesure où les
exemples proviennent de VPah différents.
Il ne s’agit pas non plus du guide d’auto-
évaluation " modèle ", complété par le bon
élève de la classe ou imaginé par un invisible
idéaliste. Les exemples sont réels mais le guide
d’auto-évaluation est imaginaire car il est
composé de réponses formulées par des VPah
des quatre coins de la France.
L’enjeu est bien de mieux cerner la nature et la
portée d’une question et de trouver un exemple
illustratif d’une réponse possible afin d’aider le
répondant à formuler sa propre réponse, issue
de son contexte, de son vécu, de sa propre
perception.
Les exemples fournissent aussi des
informations pertinentes sur les types
d’argumentaires possibles et la nature
d’indicateurs utilisés par certains VPah.
En conclusion, c’est dans un souci de
pragmatisme et pour faire en sorte qu’un
maximum de VPah entame l’exercice d’auto-
évaluation que les exemples sont fournis.
Gageons que dans un proche avenir, cette
logique d’évaluation basée sur un cadre
commun permettra des échanges professionnels
fructueux et porteurs de progrès entre toutes
les villes et tous les pays du réseau.
Les exemples
18
1. Les acteursQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
4 Indicateur : Mesure d’un objet à atteindre, d’une ressource mobilisée, d’une réalisation accomplie, d’un effetou variable de contexte (économique, social ou environnemental). L’information fournie par un indicateurest une donnée quantitative mesurant des faits ou des opinions. Ils peuvent être de nature différente, nomb-res de visiteurs, articles de presses, nouvelles thématiques traitées, objectifs atteints…
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
1-1
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1-4
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Quel est le degré dedisponibilité, desoutien et d’impli-cation des élus dansle suivi du label ?
Dans quelle mesurele soutien des servi-ces de la collectivitécontribue-t-il à lamise en œuvre de laconvention ?
Quelle est la partd’initiative de l’ani-mateur du patri-moine dans la miseen œuvre du label ?
Les services del’Etat (DAPA,DRAC, SDAP)sont-ils mobiliséspour la mise enœuvre du label ?
Le partenariat locala-t-il été améliorégrâce au label ?(public, associatif,privé)
Disponibilité adaptée, extension de la convention à laCommunauté d’agglomération et réflexion sur laconvention, soutien fort de l’élu de tutelle, variablepour les autres élus
Implication de la direction des services techniques à laconception et réalisation des projets. Participation desservices de la communication à la promotion desactions VPah. Partenariat avec les autres services cultu-rels de la ville (musée, médiathèque…)
Grande diversité de l’action de l’animateur, pertinencede ses choix et légitimité de son action
Bonne écoute et disponibilité. Soutien de l’animateurpar les différents responsables. Initiatives du correspon-dant DRAC pour faire participer l’animateur à desactions menées par la DRAC (conférences sur les sec-teurs sauvegardés et les ZPPAUP organisées par laDRAC pour les services du ministère, groupe de travailsur la qualité architecturale, événements protocolaires)
Contacts au coup par coupPeu de travail en commun
5/5
4/5
4/5
4/5
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Examen et formalisation des coopérationspar le bureau de la communauté d’agglomé-ration
Ces collaborations sont à systématiserIdentification du service Ville d’art etd’Histoire comme partenaire pour les autresservices
Innovation à introduire davantage dans lesactions de mise en valeur du patrimoine
Mettre en place des réunions périodiques etthématiques avec les VPah de la région
Réunions avec des groupes de travail thématiquesPénétrer les associations
Transversalité entre les services (culture, tou-risme, bâtiments, urbanisme.), Temps desélusBudget, Points au conseil municipalPrésence physique des élus aux événements
Fréquence des réunions avec les différentsservices,Nombre de projets élaborés en partenariatavec les autres services municipaux
Fréquentation des animations en valeurabsolue et évolution d’une année à l’autrepour les actions récurrentes
Nombre de réunions ou rendez-vousNombre de contacts et échanges par téléphoneRéactivité à une demande
Nombre de relations partenariales (par type)Budgets obtenusNombre d’actions menées avec les partenaires
Points à améliorer Indicateurs de référence4
20
2. La politique menéeQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
5 Présenter le patrimoine dans tous ses composantes, sensibiliser les habitants à leur environnement, accueillir lepublic touristique, initier le jeune public au patrimoine, à l’architecture et à l’urbanisme, assurer la communica-tion et la promotion du patrimoine à l’attention d’un public diversifié, mettre en œuvre un programme grâce àun personnel qualifié agréé par le ministère de la Culture et de la Communication, développer des actions de for-mation à l’intention des personnels communaux, des médiateurs touristiques et sociaux, des associations.
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
2-1
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Tous les objectifscontenus dans laconvention VPah5
sont-ilsdéveloppés ?
La mise en œuvre dela convention a-t-ellestimulé l’intégrationde la politique archi-tecturale et patrimo-niale dans le projetpolitique local ?
Les buts de laconvention ont-il étéappliqués au niveaulocal dans un“contrat” entre élus,animateur et servicesde la ville (ou pays) ?
Quelle est l’impor-tance du suiviaccordé au labelVPah (réunions,informations,notes) ?
Définit-on les orien-tations politiques enfonction des besoinsdes publics ciblesVPah ?
Bonne diversité des actions menées et fréquentationmoyenne correcte
Les actions menées dans le cadre de la convention s’in-tègrent dans le projet politique local. La politique cultu-relle prend largement en compte le patrimoine (exempledu festival xx). Par ailleurs, la restauration du patrimoi-ne (exemple façade de l’église yy) a été la base d’unecommunication et d’une valorisation très large. Le ser-vice Patrimoine est l’un des acteurs, aux côtés des aut-res services de la Ville
En début de mandat, l’adjointe au patrimoine a fixé lesobjectifs ; ce n’est pas un contrat mais les objectifs etune méthode ont été définis
Mise en place récente d’une méthode de suivi des diffé-rents dossiers à plusieurs échelons (élus, DGS, interne etexterne service).
On peut dire que oui même s’il s’agit plutôt d’intuitionsou d’une identification basée sur des méthodes qualita-tives et empiriques
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Etude des différents publicsDévelopper la sensibilisation des médiateurs
Il n’y a pas d’observatoire des pratiques culturelles
Formaliser le contrat de manière à institu-tionnaliser le rapport établi entre les indivi-dus de “bonne volonté”
Efficacité inter-services
Accroître l’effort de contact préalable avecles publics visés et tâcher d’obtenir les infor-mations sur les besoins par le biais decontacts directs
Nombre et diversité des actions proposéesTaux de fréquentation des visites de quar-tiers
Le renouvellement et l’extension des collabo-rations de partenariats.Le taux de satisfaction de la populationParticipation de l’animateur du patrimoine àdes réunions concernant la politique archi-tecturale et urbaine de la ville
Accord du MaireExistence d’un document formelLigne budgétaire identifiée
Nombre de réunions, de notes, de compte-rendusAugmentation budgétaire et des subventions
Taux de satisfactionEtudes sur les besoinsContacts préalables
Points à améliorer Indicateurs de référence
22
3. Les actions menéesQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
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3-2
3-3
3-4
3-5
Les actions menéessont-elles cibléespar rapport aux dif-férents types depublics ?
Le rôle didactiquedes actions VPahest-il suffisammentdéveloppé auniveau local ?
Définissez-vous lesobjectifs quantita-tifs et qualitatifs devos actions (globa-lement et action paraction) ?
Les actions sont-elles conçues defaçon cohérente enfonction d’une poli-tique globale ?
Renouvelez-vous lesservices proposés ?
Les thèmes, dates, horaires, niveaux d'informations, typeset lieux de visite sont établis en fonction du public ciblé(locaux ou touristes),Les actions éducatives sont conçues en fonction des atten-tes des enseignants,Certains publics ne font pas l'objet d'actions particulières,notamment le public handicapé, les personnes âgées…
Il n’est pas assez développé car le service s’occupedavantage d’autres opérations que celles reprises spécifi-quement dans la convention VPah,
C’est fait de manière globale mais généralement paspour une action spécifique. Les objectifs ne sont pasprécisés action par action
Les actions sont envisagées dans le cadre d’un program-me annuel du service Vah.Néanmoins, certaines d’entre elles ne peuvent s’inscriredans le cadre de la convention qui n’est plus adaptée aucontexte local.
Oui, nous sommes dans cette logique avec le projet, encours, d’extension de la convention Ville d’art et d’his-toire à la communauté d’agglomération
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Evaluer plus précisément les attentes des dif-férents publics,Evaluer à posteriori l'adéquation entre l'off-re et la demande (contenus, horaires…),Développer les partenariats avec des structu-res sociales pour mieux cibler certaines ani-mations,
Nécessité de recadrer davantage les activités(renégociation de la convention VPah)
Les objectifs qualitatifs devraient davantageêtre spécifiés
La convention doit être renégociée afin depermettre une redéfinition de la politiqueglobale du service Vah
Dans le territoire de la ville, élargir les parte-nariats avec les établissements culturels, pro-poser d’autres modes d’approche et dedécouvertes du patrimoine (lien avec la créa-tion artistique)
Existence d'un cahier des charges pourchaque animation ou programme mention-nant les publics visés,Proportion des animations conçues spéciale-ment pour un type de public,
Evaluation de la conventionMise à jour des objectifsExtension au niveau du pays
Nombre d’actions menées disposant d’objec-tifs précis/nombre total d’actions menées
Nombre d’actions inscrites dans le cadre dela convention et dans le cadre de la politiqueculturelle de la ville
Planning de travail pour l’extension de laconvention Ville d’art et d’histoire à la com-munauté d’agglomération
Points à améliorer Indicateurs de référence
24
4. Les ressoucesQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
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Quelle est la valeurajoutée du réseaupour les élus ?
Quelle est la valeurajoutée du réseaupour les animateursdu patrimoine ?
Quel est la valeurajoutée du soutiende l’Etat (DAPA,DRAC et SDAP) ?
Disposez-vous demoyens adaptés auxobjectifs (moyenstechniques,humains, finan-ciers.) ?
Des ressourcesexternes ont-ellesété mobilisées (co-financement, effetde levier, partena-riat) ?
Le label offre un cadre pour atteindre les objectifs fixésau plan local qui ont fait leurs preuves. Peu d’échangeset d’appuis spécifiques à l’intention des élus.
Mise en commun des expériences, échanges et débatssur ces expériences, formation avec pour conséquenceun accroissement qualité
DAPA : Défense du label, aide à imposer la qualité,effet de miroir et de levierDRAC (CRMH, Inventaire, Archéologie) : Aide à laconnaissance
Le personnel permanent, insuffisant compte tenu de l'é-tendue du territoire, ne permet pas d'approfondir cer-tains volets de la convention (notamment les actionséducatives, la mise en place d'évènements importants,les expositions…) et d'accueillir le public de façon satis-faisante. Les ressources financières du Pah ne permet-tent pas d'améliorer cette situation.Travaillant à l'échelle du pays, le Pah s'appuie difficile-ment sur les différents services municipaux (communi-cation, services techniques, urbanisme…)
La ville s’est inscrite dans un projet européen qui amobilisé un co-financement
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Disponibilité plus grande pour le réseau (aumoins participer à une journée d’échangenationale ou régionale/an)Disposer d’éléments de comparaison entreVPah
Améliorer la diffusion de l’informationnotamment via le site web
Encourager les DRAC à définir clairementles correspondants des animateurs locaux
Diversifier et augmenter les ressources duservice (collectivités territoriales, mécénat,publications, recettes de visites…),Susciter une meilleure contribution tech-nique des communes les plus importantes duterritoire.
Plusieurs projets devraient être développésavec le secteur privé dans le cadre de mécé-nat
Satisfaction des élusEvolution des budgetsNombre de réunions avec participation desélus
Actualisation du site webFréquences des réunions locales avec les ani-mateurs
Nombre de réunions avec les servicesNombre et qualité des partenariats
Diversité des sources de financement,Les ressources financières permettent demener à bien les buts de la convention defaçon équilibrée,Nombre d'actions menées en partenariatavec les services des collectivités territoriales.
Supports financiers externesNombre d’actions co-financées
Points à améliorer Indicateurs de référence
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5. Les résultatsQuestion
Notation(1 à 5)
Argumentaire de la note
Notation : 1 = très faible 2 = faible 3 = moyen 4 = bien 5 = très bien
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La mise en œuvrede la convention a-t-elle eu des réper-cussions sur l’archi-tecture et sur lepatrimoine local ?
La sensibilisation dela population localeà son patrimoineest-elle évaluée ?
Mesure-t-on l’im-pact des actionsmenées en directiondes touristes ?
Parvient-on à attirerde nouveauxpublics ?
Dispose-t-on d’untableau de bordprécis des résultatsatteints par rapportaux objectifs pour-suivis ?
Certains monuments potentiellement en " danger "(fontaines, casernes, ponts…) ont été intégrés dans desprojets d’aménagement et de valorisation
La sensibilisation de la population n'est pas évaluée.
Oui, par la diversité des actions
Partenariats avec le centre communal d’actions socialeset les maisons de quartier en direction des habitants dessecteurs défavorisés
Perception encore peu précise de l’animateur ou de laconvention. Pas de suivi concret avec les différents ser-vices
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Parvenir à créer une mission de requalifica-tion esthétique de la cité confiée à un archi-tecte-paysagiste
Utilisation des indicateurs quantitatifs etqualitatifsse référant à la population locale
Réalisation d’études sur les publicsDémarchage plus important (manque detemps)Partenariats diversifiés
Identification des besoins des publics quel’on souhaite atteindre et des carences de laprogrammation du service VAH.Initier de nouveaux partenariats avec lesassociations notamment
Utiliser de manière plus efficace le potentieloffert par la convention et ses différentsrelais DAPA, DRAC, SDAP
Nombre d’autorisations de travauxRéduction du nombre d’infractions au règle-ment du PSVM
Mesure de la proportion de visiteurs locauxaux animations (individuels et groupes),Mesure de l'évolution quantitative desdemandes de subventions pour la restaura-tion du patrimoine,
Taux de fréquentationQuestionnaires, sondages
Programmation d’actions en direction desdifférents publicsEtude de la fréquentation
Existence d’un tableau de bord et régularitédu suivi
Points à améliorer Indicateurs de référence
EFQM (European Foundation for Quality
Management) : www.efqm.org
CAF (cadre d’auto-évaluation de la fonction
publique)
Evaluation.fr (site français sur l’évaluation)
Means (document de référence d’Union
européenne sur l’évaluation)
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EvaluationJugement sur la valeur d’une action publique
par référence à des critères et des normes
explicites (ex : sa pertinence, son efficience). Ce
jugement porte principalement sur les besoins
auxquels l’action doit répondre et sur les effets
dont l’action est la cause. L’évaluation s’appuie
sur une information spécialement collectée et
interprétée pour produire le jugement.
Auto-évaluationEvaluation d’une intervention publique par
l’organisation qui participe directement à sa
mise en œuvre.
Qualité totaleLa qualité totale consiste à satisfaire les besoins
de ses publics (clients, fournisseurs,
partenaires) en procédant aux meilleurs choix
de moyens. Plus généralement, la gestion de la
qualité totale est un processus permanent de
recherche d’amélioration.
IndicateurMesure d’un objectif à atteindre, d’une
ressource mobilisée, d’une réalisation
accomplie, d’un effet obtenu ou d’une variable
de contexte (économique, social ou
environnemental). L’information fournie par
un indicateur est une donnée quantitative
mesurant des faits ou des opinions.
Pour en savoir plus sur l’auto-évaluation
Glossaire
NOTES
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NOTES
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30
QuimperConcarneau
Vannes
Nantes
Fontenay-le-Comte
Angers
Thouars
Parthenay
Tours
Chinon Loches
Le MansPerche Sarthois
Blois
Vendôme
LavalVitré
DinanFougères
Rennes
Dinard
Coutances
Clos duCotentin
Provins
Le Havre
FécampDieppe
Rouen
Pays d'Auge
St-OmerBoulogne-sur-Mer
Amiens
Roubaix
Cambrai
SedanNoyon Laon
ReimsSoissons
MeauxNoisiel
JoignyLangresAuxerre
Bar-le-Duc
Montbéliard
BesançonDole
AutunChalon-sur-Saône
BourgesNevers
Moulins
Périgueux
Sarlat
Figeac
Vallée de laDordogne
VézèreArdoise
Dauphinéd'Auvergne
Haut-Allier
Monts et Barrages
PerpignanVallée de la Têt
Saintes
Rochefort
Montmorillonnais
Angoulême et L'Angoumois
Riom
ArlesBeaucaire
Marseille
Grasse
Fréjus
MentonCarpentras et Comtat Venaissin
NîmesPézenas
Montauban
Bastidesdu Rouergue
Valence Briançon
Albertville
Bastia
St-EtienneForez Vienne Chambéry
Maurienneet Tarentaise
Paladru-Les Trois Vals
Poitiers
Auray
Caen
St-Malo
Troyes
Châlons-en-Champagne
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St-Quentin
Douai
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