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programme du 5 décembre 2012 au 8 janvier 2013 le théâtre scène nationale de Saint-Nazaire salle Jacques Tati photo du film Jean de la lune

Décembre 2012

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Saint-Nazaire • Le Jacques Tati (cinéma du théâtre)

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programme du 5 décembre 2012 au 8 janvier 2013le théâtre scène nationale de Saint-Nazaire

salleJacques

Tati

phot

odu

film

Jean

dela

lune

calendriersemainedu 5 au 11décembre mercredi 5 vendredi 7 samedi 8 dimanche 9

Le dirigeable volé (VF) 15h + goûter - - -Fenêtre sur cour (VO) - 20h30 + débat - -Jeune et innocent (VO) - - 17h30 + débat 16h20Sueurs froides (VO) - - 20h30 + débat 18h15Les lignes de Wellington (VO) - 17h30 14h30 20h45Le petit Gruffalo - - 11h + goûter 11h + goûterLe jour des corneilles 17h30 - - 14h30

semainedu 12 au 18décembre mercredi 12 vendredi 14 samedi 15 dimanche 16

Les lignes de Wellington (VO) - 18h 20h30 16h20 et 20h45L’Hypothèse - 16h15 et 21h 18h30 19h15Le petit Gruffalo 15h + goûter - 11h + goûter 11h + goûterLe jour des corneilles 16h30 + goûter - 16h30 + goûter 14h30

semainedu 19 au 25décembre mercredi 19 vendredi 21 samedi 22 dimanche 23

Arrêt d’autobus (VO) - 19h 18h 15hRengaine - 15h et 21h 20h 21h15Tabou (VO) - 16h30 21h30 19hJean de la Lune 16h30 - 15h30 + goûter 17hLa balade de Babouchka 15h + goûter - 11h + goûter 11h + goûter

semainedu 26 décembreau 1er janvier mercredi 26 jeudi 27 vendredi 28 samedi 29 dimanche 30

4h44 Dernier jour… (VO) 20h 18h30 19h30 17h15, 21h15 19h15Tabou (VO) - 20h15 15h ciné-café 19h 17hLe Festin de Babette (VO) 18h - 17h30, 21h15 - 15h et 20h45Jean de la Lune 14h30 16h30 - 15h -

+ goûter + goûter + goûterLa balade de Babouchka 16h30 15h - 11h 11h

+ goûter + goûter + goûter + goûter

semainedu 2 au 8janvier mercredi 2 jeudi 3 vendredi 4 samedi 5 dimanche 6

Sharqiya (VO) 18h30 19h30 14h15 et 21h 16h15 18hAu-delà des collines (VO) 20h30 16h30 18h15 20h15 15h15Tabou (VO) - 21h15 16h 18h 20hJean de la Lune 16h30 14h30 - 14h30 10h30-

+ goûter + goûter + goûterLa balade de Babouchka 15h - - 11h 14h

+ goûter + goûter

Week-endHitchcockdu 7 au 9 décembre

Dans le cadre du week-endthématique proposé chaqueannée par l’association VersionOriginale, la salle Jacques Tatiet VO vous présentent, du 7 au9 décembre, 3 films du maîtredu suspens Alfred Hitchcock :Fenêtre sur cour, Sueursfroides et Jeune et innocent.Tout a été dit et écrit sur cecinéaste, glorifié aujourd’huipour son modèle de mise enscène grâce à la cinéphiliefrançaise. Il est unanimementconsidéré comme l’un des dixgrands réalisateurs du XXe

siècle, dont la stature dépassecelui de «Maître du suspense».

À consommer sans modération,avec une bonne dose defrissons !

Pour présenter et échangerautour de Jeune et Innocentet Sueurs froides, VersionOriginale a invité Jean-FrançoisBuiré, réalisateur et scénariste,qui est aujourd’hui enseignantà l’Université Lyon 2 et intervientrégulièrement dans le dispositifLycéens et apprentis au cinéma.Il est aussi rédacteur dansdiverses revues. Ce sont lesmembres de VO qui présen-teront et analyseront le filmdu vendredi soir Fenêtre surcour.

Restauration légère possible surplace le samedi soir, 8 décembre,entre les 2 films. Tarif : 4 €

Fenêtresur courpolicier d’Alfred Hitchcock• USA • 1955 – ressortie octobre2008 • couleur • 1h50 • VOSTFavec James Stewart, Grace Kelly,Wendell Corey…

À cause d’une jambe cassée, le reporter-photographe L. B. Jeffries est contraintde rester chez lui dans un fauteuilroulant. Homme d’action et amateurd’aventures, il s’aperçoit qu’il peut tirerparti de son immobilité forcée en étudiantle comportement des habitants del’immeuble qu’il occupe dans GreenwichVillage. Et ses observations l’amènentà la conviction que Lars Thorwald, sonvoisin d’en face, a assassiné sa femme.Sa fiancée, Lisa Fremont, ne le prendtout d’abord pas au sérieux, ironisantsur l’excitation que lui procure sasurveillance, mais finit par se prendreau jeu…

À propos du filmIl fait de plus en plus chaud et JamesStewart enrage dans son loft, sevré desaventures qui font d’ordinaire la raisond’être de son quotidien. Sa fiancée en

profite pour remettre sur la tablel’éventualité d’un mariage, mais Stewartjoue le sourd et préfère prendre sesjumelles pour traquer le voisinage. Or,comme l’explique François Truffaut, leproblème est que «sur le mur d’en face,il ne voit que des actions qui illustrentle problème de l’amour et du mariage :il y a la femme seule sans mari ni amant,les jeunes mariés qui font l’amour toutela journée, le musicien célibataire quis’enivre, la petite danseuse que leshommes convoitent, le couple sansenfant qui a reporté son affection surle petit chien, et surtout le couple mariédont les disputes sont de plus en plusviolentes jusqu’à la mystérieuse dispari-tion de la femme ».

«Huis clos et «concentration théâtrale» :un chef-d’œuvre abouti sur le voyeurismeontologique du spectacle cinémato-graphique ».Olivier Père – Les Inrockuptibles

vendredi 7 décembre(week-end Hitchcock)

Jeuneet innocentpolicier d’Alfred Hitchcock• Grande-Bretagne• 1937 – ressortie avril 2010• noir et blanc • 1h25 • VOSTFavec Derrick de Marney,Nova Pilbeam, Percy Marmont…

Un couple se dispute durant une nuitd’orage. Le lendemain, le corps de lafemme est retrouvé sur la plage parRobert Tisdall, un proche. Celui-ci estdésigné comme le coupable car laceinture qui a servi à étrangler la victimesemble provenir de son imperméable,qu’il affirme pourtant s’être fait voler.Robert parvient à s’enfuir du tribunalet, aidé par Erica, la fille du commissairechargé de l’enquête, il se réfugie dansun moulin. Dès lors, les deux jeunesgens cherchent à retrouver l’hommequi a volé l’imperméable afin de prouverque Robert n’est pas lié au crime…

«Malin et efficace jusqu’au dénouement».Véronique Kientzy – Brazil

«Un Hitchcock de la période anglaise,délicieux de fraîcheur et d’humour».La rédaction – Le Figaroscope

Sueurs froidesVertigothriller de Alfred Hitchcock• USA • 1959 • noir et blanc/couleur • 2h08 • VOSTFavec James Stewart, Kim Novak,Henry Jones…

Scottie est sujet au vertige, ce qui luiporte préjudice dans son métier depolicier. Rendu responsable de la mortd’un de ses collègues, il décide de quitterla police. Une ancienne relation lecontacte afin qu’il suive sa femme,possédée selon lui par l’esprit de sonaïeule. Scottie s’éprend de la jeunefemme et se trouve ballotté par desévènements qu’il ne peut contrôler.D’après le roman D’entre les Morts deBoileau-Narcejac.

Inspiré du roman noir D’entre les mortsde Boileau-Narcejac (1954), Sueursfroides jouit d’une adoration particulièrede la part des cinéphiles et des cinéastesdu monde entier. Le film se classed’ailleurs régulièrement au sommet desclassements des meilleurs films detoute l’histoire du cinéma. L’AmericanFilm Institute le classe dans la listedes 10 meilleurs films américains detous les temps. Le réalisateur ChrisMarker en a fait son film préféré et lecite dans plusieurs de ses œuvres (LaJetée, Sans soleil, Immemory). Briande Palma considère Sueurs froidescomme l’un de ses trois films préféréset bon nombre de ses propres filmss’en inspirent, dans ses thèmes ou dansses traits esthétiques.

Les lignesde Wellingtonfresque historiquede Valeria Sarmiento• France • 21 novembre 2012• couleur • 2h31avec John Malkovich, MarisaParedes, Melvil Poupaud, MichelPiccoli, Chiara Mastroianni…

En septembre 1810, les troupes napo-léoniennes, emmenées par le MaréchalMasséna, envahissent le Portugal. Lorsde la bataille de Buçaco, Masséna estdéfait. Pour autant, Portugais et Bri-tanniques, sous le commandement duGénéral Wellington, battent en retraite.Wellington espère ainsi attirer l’ennemià Torres Vedras, où il a fait bâtir deslignes de fortifications infranchissables.Cette stratégie, couplée à une opérationde terre brûlée, plonge les populationsciviles dans l’exode. Tout un peuplesubit au quotidien les déchirements dela guerre et progresse à travers lesvillages en ruines, les forêts incendiéeset les cultures dévastées. Certainsréaffirment leur volonté de résisterà l’envahisseur, d’autres profitent dudésarroi général pour laisser libre coursà leurs bas instincts. Le tourbillon del’Histoire précipite alors les destinéesindividuelles et romanesques…

« Cet ultime projet de Raoul Ruiz, menéà bien par sa collaboratrice et compagne,est une fresque puissante, belle, crue,surréelle souvent, obscure parfois ».Christian Berger – Les Fiches du Cinéma

les 8 et 9 décembre(week-end Hitchcock)

les 8 et 9 décembre(week-end Hitchcock)

du 7 au 9 décembredu 14 au 16 décembre

Le petit Gruffalofilm d’animation de JohannesWeiland et Uwe Heidschötter• Grande-Bretagne • octobre2012 • 27’ • à partir de 3 ans

Son papa l’a averti : en aucun cas, lePetit Gruffalo n’a le droit d’aller sepromener seul dans les bois profonds.C’est bien trop dangereux ! Un animalrôde dans les parages… une créatureterrifiante, gigantesque, aux yeux cruelset aux moustaches plus dures que l’acier.C’est la Grande Méchante Souris !Après le monstrueux succès du Gruffalo,une nouvelle adaptation d’un des titresfavoris de la littérature jeunesse.

+ en avant programmeTrois courts métrages d’animation.Des traces de pas dans la neige et desprédateurs qui rôdent… autant de par-cours initiatiques qui, par leur universou leur thème, font écho à l’aventuredu Petit Gruffalo.

Des pas dans la neigede Makiko Sukikara• Japon 2010 • 6’C’est l’hiver, Il fait nuit et la neige formeun beau tapis blanc. Un petit loir sortde l’hibernation et découvre des tracesde pas plus grandes que les siennes.Il décide de les suivre…

Le chemin d’un lièvrede Lotte van Elsacker• Pays-Bas 2011 • 6’Un jeune lièvre sort de son terrier etsa maman lui explique tendrement lemonde qui l’entoure. Derrière l’ombre desoiseaux de proie et des renards, se tapitle danger. La nature n’est pas toujourspaisible, ni belle. Mais c’est la vie…

L’oiseau et la feuillede Lena von Döhren• Suisse 2012 • 4’Sur une branche dénudée flotte encoreune feuille dorée. Un souffle de vent etla voilà emportée à travers la blancheforêt hivernale. Aussitôt, l’oisillon s’envoleet se lance joyeusement à sa poursuite.Le renard s’en lèche déjà les babines…

Le jourdes corneillesfilm d’animationde Jean-Christophe Dessaint• France • octobre 2012 • cou-leur • 1h36 • à partir de 6 ansavec les voix de Jean Reno,Lorànt Deutsch, Isabelle Carré,Claude Chabrol...

Au cœur de la grande forêt, peupléede bêtes sauvages et d’esprits à têteanimale, vit un jeune sauvageon de dixans, le Fils Courge. Il est élevé par sonpère, un sévère colosse à la barbe géante,grand chasseur et mangeur de chairfraîche, qui lui a toujours dit que le mondes’arrêtait à la lisière de la forêt. Un jourpourtant, pour sauver son père blessé,le garçon tente le tout pour le tout ets’aventure hors de la forêt. C’est ainsiqu’il découvre un village voisin, où ilfait la rencontre de Manon, la fille dudocteur qui a accepté de soigner sonpère. Avec Manon, le fils Courge appren-dra tout de ce nouveau monde dit civilisé,où les fantômes n’existent pas mais lesogres oui. Car ici l'on raconte que le pèreCourge est un ogre… Et les ogres, c’estbien connu, ne sont pas des pèrescomme les autres. D’après le romanéponyme de Jean-François Beauchemin.

« (…) Jean-Christophe Dessaint redis-tribue les vieilles cartes du merveilleuxpour offrir une histoire neuve, forte etdéroutante ». Cécile Mury – Télérama

du 7 au 9 décembredu 12 au 16 décembreun goûter est offert aux enfants à l’issuede certaines séances (voir calendrier)

du 7 au 9 décembredu 12 au 16 décembreun goûter est offert aux enfants à l’issuede certaines séances (voir calendrier)

cinéma de Noël

Le dirigeable voléfilm d’animation de Karel Zeman• Tchécoslovaquie/Italie • 2004• couleur • 1h25 • VFavec Michael Pospisil,Hanus Bor, Jan Cisek…

En 1891, à Prague, alors qu’ils visitentle Salon des Sciences et des Techniques,cinq garçons intrépides montent à bordd’un dirigeable et prennent les airs.Échappant à toutes les poursuites, ilssurvolent l’Europe et parviennent au-dessus de l’Océan.Une tempête détruit complètement ledirigeable, mais les garçons échouentheureusement sur une île inconnue…Ils y vivent comme Robinson, découvrentle repaire du légendaire Capitaine Nemoet affrontent une bande d'aventuriers.

« Réalisé en grande partie avec desciseaux et du papier, Le Dirigeable voléest fait d’images plus stupéfiantes, plusdrôles, plus émouvantes que tout ce quiest récemment sorti des ordinateursdes grands studios d’animation. Le toutest de convaincre les enfants de 2004de tourner le dos à l’esthétique digitalele temps de découvrir l’univers fabuleuxet rigolo de Karel Zeman ».Thomas Sotinel – Le Monde

« Un film unique, inclassable, superbe(…) une poésie curieuse, surréelle, naît,sans qu’on puisse distinguer les couturesentre les deux mondes (photo ou des-sin ?) ». François Forestier – TéléCinéObs

séance tout public proposéedans le cadre d’École et cinéma

L’hypothèse duMokélé-Mbembédocumentaire de Marie Voignier• France • 7 novembre 2012• couleur • 1h20avec Michel Ballot et Jean-ClaudeBembo, Étienne Bembo, PatriceLumumba, Lucien Abagui Iya,Lucien Betti, Janvier, RémyBoudou…

Au Sud du Cameroun, un homme arpentela jungle et les berges boueuses desrivières à la recherche d’un animalinconnu de la zoologie : le Mokélé-Mbembé. Les Pygmées que l’explorateurrencontre au cours de ses expéditionsdécrivent cet animal comme une sortede rhinocéros à queue de crocodile età tête de serpent. Certains affirmentl’avoir déjà rencontré près de la rivière.Animal mythologique ou animal réel ?L’explorateur est depuis longtempsconvaincu de l’existence de cette bête.Il nous entraîne dans une quête acharnéepour trouver des traces de l’animal oudes témoignages de son existence dansun univers où le vraisemblable se mêleau légendaire, nous ramenant auxsources de la fiction.

Avec Hinterland (FID 2009), tourné enAllemagne de l’Est, Marie Voignier nousa rendu familiers ces espaces aux stratesmultiples, où épaisseurs de l’Histoire,enjeux du présent et imaginaire nepeuvent être distingués. L’hypothèse

du Mokélé-Mbembé creuse pareil sillonpour nous emmener cette fois loin del’Europe vers d’autres territoires, auSud-Est du Cameroun, et vers d’autrespans de l’Histoire. Là, depuis plusieursannées, Michel Ballot, explorateur,arpente méticuleusement la jungle etles berges boueuses des rivières à larecherche d’un animal mystérieux etjusque-là inconnu des zoologues : le« Mokélé-Mbembé », hybride préhisto-rique de rhinocéros, de crocodile, deserpent et de dinosaure. Animal réelou bête mythologique ? Ballot enquêtesans relâche, interroge des Pygmées,s’ingénie à installer une caméra pourfilmer le fleuve et ses remous en sonabsence, cherche des traces, tente derelever des indices, médite à haute voix.Mais quel crédit accorder aux nombreuxtémoignages recueillis, que peuventindiquer de simples croquis que demultiples mains sont prêtes à dessinerpour lui ? Depuis cette quête obses-sionnelle se dessinent alors en négatif lescontours d’une Afrique fantomatique, plusimaginaire que réelle, objet de fantasme,espace mental fait de silence, empreintd’un regard colonial, discret mais in-sistant. Du coup, la préhistoire n’est plussi ancienne, elle est l’histoire récente,qu’une passion solitaire tente de traqueret à laquelle les Pygmées se jouent detendre un miroir où leur reflet n’est quela figure vacillante du désir de l’autre.Nicolas Feodoroff

« Dans la salle de cinéma, la beautéétouffante de la forêt, l’opacité mena-çante des eaux, la scansion lancinantedes dialogues – qui sont presque desincantations – finiront par « blinder »(être sous l’emprise de la magie) lespectateur, prêt à se laisser aller au fil dela rivière ». Thomas Sotinel – Le Monde

mercredi 5 décembre du 14 au 16 décembre

cinémômes

Arrêt d’autobusBus stopcomédie dramatiquede Joshua Logan• USA • 1956 – version restauréeavril 2012 • couleur • 1h36 • VOSTFavec Marilyn Monroe,Don Murray, Arthur O'Connell…

Un jeune cow-boy, participant au rodéode Phoenix, rencontre dans le bus unechanteuse de cabaret. S’éprenant dela Belle, il va alors tout faire pourqu’elle quitte son ranch et l’hommeavec qui elle doit se marier…

Cinq raisons de (re)voir Arrêt d’autobuspar Thomas Baurez – Studio Ciné Live

Pour Marilyn MonroeEn 1956, Marilyn est déjà une grandestar. Elle a déjà tourné avec Hawks,Hathaway, Preminger ou encore Wilder.Il est donc amusant de la voir jouer iciune belle ingénue qui, à défaut d’avoirconquis Hollywood, joue les chanteusesde charmes dans un cabaret minable.

Pour son histoire d’amour… vache !Cet Arrêt d’autobus de Joshua Logan,adaptation d’une pièce de théâtre àsuccès, People in the Wind, racontecomment un jeune cow-boy du Montana,plus doué avec les vaches et les chevaux

qu’avec les femmes, va tomber sousle charme d’une déesse répondant audoux nom de Chérie (Marilyn bien-sûr !).Notre plouc au grand cœur (Don Murray)va se cramponner à sa selle pour serrerla belle et l’intégrer à son cheptel. Lebonheur est dans le pré !

Pour la séquence du cabaret…électrique !That Old Black Magic chante Chérie(Marilyn Monroe) dans un bouge pourcow-boys étonnamment peu intéresséspar la voix – et les formes ! – de la plan-tureuse interprète. Magie du Technicolor,le jeu de lumière rend la partition deMarilyn foudroyante d’expressivité pas-sant d’une lumière pâle à un rougeterriblement érotique. Elle met soudainl’audience à ses genoux. Électricitégarantie.

Pour son bus… prometteur !L’Amérique et ses grands territoires,c’est bien connu, se découvrent en bus !La dernière partie de l’intrigue du présentfilm ne pouvait donc finir que sur lesquatre roues d’un Greyhound. Chérielassée de son cowboy au lasso, prend sescliques et ses claques direction l’Ouest.Le redneck n’en a cure et change latrajectoire de la belle pour le Nord etses neiges éternelles ! Objet phalliquepar excellence, le bus laisse d’embléeaugurer des plaisirs sans limite pournos deux tourtereaux !

Pour ses répliques… savoureuses !I’m gotta get me an angel ! se répète lehéros à peine débarqué dans la grandeville pour disputer son rodéo. Un pointde montage pour le moins direct nousmontre illico l'ange bientôt en question :Marilyn en robe bustier à qui il ne manqueque les ailes. Nous sommes en 1956 etMarilyn rejoindra bientôt les anges – ausens propre du terme –, six ans plustard. « Dzzzoooooooo ! », lance Chérie-Marilyn suggérant sa fuite prochainepour Hollywood. Décidemment, seuleMonroe était capable de faire sonnerune onomatopée comme un poème !

en partenariat avec SCALA, salles decinéma associatifs en Loire-Atlantique- le cinématographe à Nantes

Rengainecomédie dramatiquede Rachid Djaïdani• France • 14 novembre 2012• couleur • 1h15avec Slimane Dazi, SabrinaHamida, Stéphane Soo Mongo…• Prix Fipresci, Quinzaine des Réali-sateurs 2012 - Prix Michel d'Ornano,Festival du Cinéma américain Deauville2012• Avertissement : des scènes, despropos ou des images peuvent heurterla sensibilité des spectateurs

Paris, aujourd’hui. Dorcy, jeune Noirchrétien veut épouser Sabrina, unejeune Maghrébine. Cela serait si simplesi Sabrina n’avait pas quarante frèreset que ce mariage plein d’insouciancene venait cristalliser un tabou encorebien ancré dans les mentalités de cesdeux communautés : pas de mariageentre Noirs et Arabes. Slimane legrand frère, gardien des traditions, vas’opposer par tous les moyens à cetteunion…

«Un « Roméo et Juliette » « black etbeur » d’aujourd’hui qui dénonce leracisme et les préjugés entre lescommunautés noires et arabes. Un filmcoup de poing, puissant, traversé parla rage, l’émotion mais aussi l’humour.Une réussite ».Emmanuèle Frois – Le Figaroscope

« Cette fable sur l’intolérance ordinairedéploie une mise en scène qui se metau service de ses protagonistes, ceux-ciétant campés par des interprètes épatantsbien que peu connus, à commencer parStéphane Soo Mongo ».Jean-Philippe Guerand – TéléCinéObs

du 21 au 23 décembre du 21 au 23 décembre

ciné-classic

Taboudrame/romance de Miguel Gomes• Portugal/Brésil/Allemagne/France • 5 décembre 2012• noir et blanc • 1h58 • VOSTFavec Teresa Madruga, LauraSoveral, Ana Moreira, HenriqueEspirito santo, Carloto Cota…• Coup de cœur du Jury Paris Cinéma2012 – Prix de la critique internationale etPrix Alfred Bauer (Prix de l'innovation) 62e

Festival International du Film de Berlin

Une vieille dame au fort tempérament,sa femme de ménage Cap-Verdienne etsa voisine dévouée à de bonnes causespartagent le même étage d’un immeubleà Lisbonne. Lorsque la première meurt,les deux autres prennent connaissanced’un épisode de son passé : une histoired’amour et de crime dans une Afriquede film d’aventures.

« Tabou est un film sur le passage dutemps, sur les choses qui disparaissentet qui peuvent seulement exister autravers des souvenirs, de la féérie, del’imagerie – ou du cinéma, qui convoqueet rassemble tout cela en même temps.Il y a une très grande ellipse dans le

film, nous retournons cinquante ans enarrière. Nous passons de la vieillesseà la jeunesse, de l’époque de la «gueulede bois » et de la culpabilité au tempsde l’excès, d’une société post-colonialeà l’époque même du colonialisme. C’estun film à propos de choses qui ontdisparu : une personne qui meurt, unesociété qui n’est plus, une époque quine peut exister que dans la mémoire deceux qui l’ont vécue. Nous avons aussivoulu relier cela à un cinéma qui s’estéteint. Nous avons choisi de tourner lefilm en noir et blanc, également en voiede disparition – 35 mm pour la partiecontemporaine, 16 mm pour la partieafricaine ». Miguel Gomes

Nostalgie du futur«Tabou s’ouvre sur une jungle, filmée ennoir et blanc et peuplée de personnagesdu passé, comme issue d’une lointainemémoire collective. Cette introductionvient d’emblée placer le nouveau longmétrage de Michel Gomes sur une doublepiste : le réalisme et le merveilleux.Car que sont ces premiers plans sinonun clin d’œil aux tout premiers docu-mentaires de l’histoire du cinéma, filmscoloniaux et animaliers tournés dans descontrées lointaines pour être montrésdans des cinémas occidentaux ? Or c’estjustement dans un cinéma que se terminecette étrange séquence qui mélange

sociologie et fantastique, histoire despeuples et fantômes amoureux. Unéquilibre funambule et saisissant, àl’image du film entier qui semble sanscesse inventer son propre langagecinématographique, empruntant certainséléments de l’histoire du cinéma (le noiret blanc mais aussi les vieux mélosexotiques hollywoodiens) pour lesredistribuer dans une grammaire trèscontemporaine. L’erreur serait alorsde prendre Tabou pour une œuvre depure théorie. Il n’en est rien, tant il estau contraire d’une grande simplicitéet fluidité. Fantastique voyage sur lamémoire (celle du cinéma, de l’Afriquecolonisée mais aussi mémoire per-sonnelle) où, à peine évoqués, chaquesouvenir, chaque rêve, chaque histoireprend vie à l’écran et devient fiction.Tabou prend alors des airs de miroirmagique, où le réalisme des rapportshumains trouve un écho fascinantdans un monde de souvenirs où planel’ombre du fantastique. (…) Tabou estun chef d’œuvre du merveilleux, un livred’histoires d’une richesse imprévisible.Ici, ce sont les histoires que l’on seraconte qui viennent délivrer les hommesdu labyrinthe quotidien. De théorique,le film devient alors bouleversant.»Gregory Coutaut – Film de Culte

du 21 au 23 décembredu 26 au 30 décembredu 2 au 6 janvier

coupde cœur

Jeande la lunefilm d’animationde Stephan Schesch• France/Irlande/Allemagne• 19 décembre 2012 • couleur• 1h35 • à partir de 5/6 ansavec les voix de Tomi Ungerer,Katharina Thalbach, MichelDodane…

Jean de la Lune s’ennuie tout seul surla Lune. Il décide de visiter la Terre.Un jour, il s’accroche à la queue d’unecomète et atterrit chez nous. Le Présidentdu Monde, persuadé qu’il s’agit d’unenvahisseur, le pourchasse. Pour luiéchapper, Jean de la Lune va devoircompter sur les enfants et ses amis…Ce film est une belle adaptation d’undes albums les plus poétiques deTomi Ungerer.

« Le trait est soigné dans une sensation« à la main ». Cela n’est pas faux, touta vraiment été dessiné à la main surtablettes numériques. Cela offre uneimage loin de l’aseptisation d’un dessinanimé en 3D. On pense à Jean de la Luneflottant parmi les nénuphars, si jolis.L’histoire est belle, elle parle à tout âge,elle est drôle et acide aussi. Le tempochoisit d’être lent pour progresser,jusqu’à l’apogée vers un rythme trèsintense. Le tout est soutenu par unebande son réjouissante. On entendraMoon River ou It’s only paper moon. Dela bonne musique, un bon scénario et desbons dessins. Un bon film en quelquesmots ! » Toutelaculture.com

La baladede Babouchkacourts-métrages d’animationde Alexander Tatarsky, EduardNazarov et Marina Karpova,Mihkail Aldashin, Oleg Uzhinov• Russie - 5 décembre 2012• couleur • 52’ • à partir de 2 ans

Un programme de 4 films d’animationrusses illustrant la diversité des contesfolkloriques russes. Quatre histoires,quatre univers dans une techniqueà chaque fois différente. Une baladeanimée à travers la Russie pour leplaisir des plus petits.

Le Rossignolde Alexander Tatarsky• Russie • 2006Le sultan aime tant son oiseau qu’il faittout pour le divertir. Mais cela suffira-t-il à rendre le rossignol heureux danssa cage ?

La maison des biquettesde Eduard Nazarovet Marina Karpova• Russie • 2009Vassilek, petit garçon aux cheveuxhirsutes, est poursuivi par un loup.Il se réfugie dans une maison trèsalléchante…

Histoires d’oursde Mihkail Aldashin• Russie • 2007Après l’hibernation, un ours affamépart à la recherche de nourriture àtravers la taïga. Il rencontre en cheminun écureuil, une carpe et un petit oiseauà qui il va jouer des tours. Mais rira bienqui rira le dernier…

Zhiharkade Oleg Uzhinov• Russie • 2006Zhiharka est une fillette très malicieusequi adore faire des farces à ses parentsadoptifs et à la renarde qui aimeraitpourtant bien la croquer.

du 19 au 23 décembredu 26 au 30 décembredu 2 au 6 janvierun goûter est offert aux enfants à l’issuede certaines séances (voir calendrier)

du 19 au 23 décembredu 26 au 30 décembredu 2 au 6 janvierun goûter est offert aux enfants à l’issuede certaines séances (voir calendrier)

cinéma de Noël

en sortie

nationale

Exposition sur le film Jean de laLune, du 19 décembre au 6 janvierdans le hall du Cinéma.

4h44 Dernierjour sur terredrame de Abel Ferrara• USA • 19 décembre 2012• couleur • 1h22 • VOSTFavec Willem Dafoe, Shanyn Leigh,Natasha Lyonne, Paul Hipp,Diedra McDowell, Triana Jackson,Trung Nguyen…

New York. Cisco et Skye s’apprêtent àpasser leur dernier après-midi ensemble.C’est l’heure des adieux, l’occasion d’uneultime étreinte. Comme la majorité deshommes et des femmes, ils ont acceptéleur destin. Demain, à 4h44, le mondedisparaîtra.

« C’est tous les jours la fin du monde»,déclarait Abel Ferrara dans un entretien(Le Monde, 8 septembre 2009). À l’exactopposé des productions pyrotechniqueset des batteries d’effets spéciaux, 4:44Last Day on Earth est une apocalypsequotidienne. Une apocalypse minimale,en quelque sorte, presque réduite àun huis clos dans l’appartement deManhattan où vivent un acteur – Cisco,

magistralement incarné par Willem Dafoe– et son amie peintre – Skye, interprétéepar Shanyn Leigh, la compagne deFerrara, pour qui le film semble êtretaillé sur mesure. L’attente de l’heurefatidique est scandée par des étreintes,des corps à corps, des silences, desflambées de panique ou de colère. Unebrève visite chez les voisins, une sortiesur la terrasse de l’immeuble prend desallures d’odyssée. Et lorsque la fin destemps a lieu, c’est sous la forme d’unsimple fondu au blanc dans la clartéduquel se dissolvent les amants enlacés.

« 4h44 est une fable apocalyptique,l’histoire d’un couple qui s’enferme dansson appartement, pour attendre la findu monde, prévue pour le lendemainmatin. «Que mes films parlent de la findu monde ou de vampires, expliqueAbel Ferrara, quel que soit leur genrecinématographique, ils s’intéressent enfait à l’individu, à des hommes confrontésau quotidien, au cauchemar de la vieou au bonheur de la vie.» Abel Ferrararaconte le dernier jour sur terre – avantl’apocalypse, avec une sérénité presquebouddhiste. Comme si une nouvelle pagevenait de s’ouvrir, dans sa vie commedans sa filmographie.»Elisabeth Lequeret – RFI

Sharqiyadrame de Ami Livne• Israël/France/Allemagne• 7 novembre 2012 • couleur• 1h22 • VOSTFavec Adnan Abu Wadi,Maysa Abed Alhadi, Adnan AbuMuhareb

Kamel, un jeune Bédouin, travaille commeagent de sécurité à la gare routière deBe’er Sheva. Il habite dans un petit villageillégal, perdu au beau milieu du désert.Son frère Khaled, chef du village, travailledans la construction et est marié à Nadia,21 ans. La relation entre les deux frèresest compliquée, Khaled n’approuvantpas le métier de Kamel. Un jour, enrentrant chez lui, Kamel apprend queles autorités ont ordonné la démolitiondu village. Dès le lendemain, Khaledquitte son emploi et décide de rester auvillage, pour repousser les autorités quitenteraient de les déloger. Kamel, quantà lui, continue d'aller à son travail…

« (…) Sharqiya nous instruit de réalitéspeu connues tout en dispensant un vraiplaisir de cinéma ».Serge Kaganski - Les Inrockuptibles

« Sharqiya est un vent d’est jugé néfastepar les bédouins vivant en Israël. C’estaussi la réalité, aride, complexe etdouloureuse, de leur quotidien que décritavec force et pudeur ce très beau film.»Nathalie Zimra – Les Fiches du Cinéma

« Ami Livne s’empare de la causebédouine dans un film à vif ».Olivier Séguret – Libération

du 26 au 30 décembre du 2 au 8 janvier

coupde cœur

Au-delàdes collinesdrame de Cristian Mungiu• Roumanie/France/Belgique• 21 novembre 2012• couleur • 2h30 • VOSTFavec Cosmina Stratan, CristinaFlutur, Valeriu Andriuta…• Prix d'interprétation fémininepour Cristina Flutur et Cosmina Stratan– Festival de Cannes 2012• Avertissement : des scènes, despropos ou des images peuvent heurterla sensibilité des spectateurs

Alina revient d’Allemagne pour yemmener Voichita, la seule personnequ’elle ait jamais aimée et qui l’ait jamaisaimée. Mais Voichita a rencontré Dieuet en amour, il est bien difficile d’avoirDieu comme rival.

« Rigueur de la mise en scène, tensionde la narration (…) actrices incroyables(…) Au-delà des collines témoigneune fois encore du talent du cinéasteroumain ».Jean-Baptiste Morain – Les Inrockuptibles

« Cristian Mungiu signe un film épous-touflant (…) aux images très belles. (…)Ses cadres, ses lumières et l’incroyableforce de ses longs plans-séquences(…) laissent le spectateur pantelant ».Arnaud Schwartz – La Croix

« Avec ses longs plans-séquences etses images d'une fascinante austérité,le cinéaste crucifie aussi bien un mondereligieux proche de l'obscurantismequ’une société vérolée par la peur del’autre et l’indifférence ».Barbara Théate – Le Journal du Dimanche

Le festinde Babettedrame de Gabriel Axel• Danemark • 1987 • ressortie19 décembre 2012 copie restaurée• couleur • 1h40 • VOSTFavec Stéphane Audran, BibiAndersson, Birgitte Federspiel…• Oscar du Meilleur film étranger 1988

Sur la côte du Jutland vivent deuxvieilles sœurs, Martine et Filippa, fillesd’un pasteur autoritaire qui fut en sontemps le fondateur d’une communautéreligieuse locale. Un soir arrive au villageune réfugiée française, envoyée par unancien soupirant de Filippa. Elle s’appelleBabette et demande l’asile auprès dessœurs. Quatorze ans plus tard, la Fran-çaise est devenue leur fidèle servante.Un jour, elle gagne une somme impor-tante à la loterie. Mais plutôt que degarder l’argent, Babette décide dechambouler les principes ascétiquesde cette communauté en organisant undîner fastueux, dans la grande traditionfrançaise…

Plaisirs terrestres et spirituelsFidèlement adapté d’un conte de KarenBlixen (écrivaine déjà portée à l’écranavec Out of Africa), Le Festin de Babetteest une ode à la gastronomie et àl’hédonisme. À partir d’une trameromanesque mêlée d’intrigues senti-mentales, Gabriel Axel raille l’austéritédu monde nordique protestant, mis àmal par les délices d’une cuisinière degénie incarnée par Stéphane Audran.Jamais la cuisine n’avait été montréeau cinéma avec autant de passion et dedélicatesse ! Grand succès populaire,Le Festin de Babette a remporté l’Oscardu meilleur film étranger en 1988 etdemeure un classique international !

En cette période de fêtes, un film àsavourer dans tous les sens du terme.Après avoir dégusté la soupe de tortuegéante accompagnée d’un Xeresamontadillo, les blinis au caviar et à lacrème accompagnés d’un ChampagneVeuve Clicquot 1860, les cailles ensarcophage au foie gras et sauce auxtruffes accompagnées d’un Clos deVougeot 1845, la salade d’endive auxnoix, l’assortiment de fromages, le babaau rhum et sa salade de fruits glacésaccompagnés d’une Fine champagne…une seule envie : se mettre aux fourneaux! Une ode fameuse à la gastronomie etle plus beau rôle de Stéphane Audran.

du 2 au 8 janvier du 26 au 30 décembre

FestivalTéléramaAFCAEdu 16 au 22 janvierLe cinéma Jacques Tati accueilleune nouvelle fois cette année,le festival de cinéma initié parTélérama et l’AFCAE (Associationfrançaise des Cinémas d’Art etEssai). L’occasion de voir ourevoir une sélection des meilleursfilms de l’année 2012 dans plusde 200 salles en France.

Parmi les 14 films retenus parla rédaction de Télérama, nousavons choisi de vous présenter,du 16 au 22 janvier, à raison de4 séances par jour, les 7 filmssuivants :• Adieu Berthe (ou l’enterrementde Mémé) de Bruno Podalydès• Les Adieux à la Reinede Benoît Jacquot• Dans la maison de François Ozon• De rouille et d’osde Jacques Audiard• Elena d’Andreï Zviaguintsev• Margin Call de J.C. Chandor• Moorise Kingdomde Wes Anderson

Le tarif est de 3€ la place.Sur présentation du «pass» qui figureradans le magazine, complété du nomet de l'adresse du porteur, il vous seraremis une carte valable pour deuxpersonnes durant toute la manifestation.Ce «pass» sera dans le Téléramaprécédent la manifestation et danscelui de la semaine du Festival.

à voiren janvier• Festival Téléramadu 16 au 22 janvier

• Johnny Guitarde Nicholas Ray

• Les invisiblesde Sébastien Lifshitz

• 80 joursde Jon Garaño

• Stella femme librede Michael Cacoyannis

• • •

À partir de janvier,le cinéma,salle Jacques Tati,c’est 1 jourde plus !programmationdu jeudiau dimanche !

La programmation cinéma de lascène nationale c’est :salle Jacques Tati,33, bd Victor Hugoà Saint-Nazaire

la salle Jacques Tati estdésormais équipée pour laprojection numérique maisconserve son projecteur35 mm pour la diffusion decertains films.

• plein 6 €• réduit* 5 €• carte 6 entrées 24 €• cinémômes** 3,50 €*abonné le théâtre, jeune de - 25 ans,demandeur d’emploi, adhérent CCP,La Couronnée, Version Originale,adhérent des cinémas Pax au Pouliguenet Atlantic à La Turballe, bénéficiaire dela Charte Culture et Solidarité**par enfant et par accompagnateur

attention, la séancecommence par le film !l’accueil cinéma est ouvert1/2 heure avant les séances

informationspratiquescinéma

tarifs

salle classée Art et Essai,

labellisée Recherche et Découverte,

labellisée Patrimoine

Nouveau numéro de téléphoneet répondeur programme :

02 40 53 69 63

www.letheatre-saintnazaire.fr

MARIONNETTES / à partir de 3 ans

Pommetexte Patrick Conanet Isabelle Payant

À partir de haïkus d’auteurs français et québécois,Patrick Conan de la Cie Garin Troussebœuf et IsabellePayant du Théâtre des Petites âmes, ont imaginéune sorte de road-movie tendre et inventif, celui dePomme qui aimerait devenir un homme et qui parten quête de bras, de jambes et… de l’âme sœur.Un poème marionnettique à croquer en famille.

• dimanche 9 décembre à 15h et 17h• Centre culturel Lucie Aubrac à Trignac• sur réservation au 02 40 90 32 48• en partenariat avec la Ville de Trignac

• mardi 11 décembre à 18h30• mercredi 12 décembre à 11h et 15h30• Espace Civique à la Chesnaie• tarif 5 €

THÉÂTRE / à partir de 9 ans

Twam (Jumeaux)mise en scène et adaptation du conteKheireddine Lardjamavec Azeddine Benamara et Marie Louëtmusique Azeddine Benamara

L’histoire de Salima, une petite fille de six ans quiattend que son frère jumeau Salim rentre à la maisonpour pouvoir grandir avec lui. Et comme il ne revientpas, Salima arrête de grandir. Une langue vivante,poétique et concrète qui casse les codes du contetraditionnel et aborde un thème grave avec humouret finesse. Une histoire de vie, une histoire pourgrandir.

• lundi 17 décembre à 19h30• Espace Renaissance à Donges

• mardi 18 décembre à 19h30• Centre socio-culturel Mireille Moyon à Paimbœuf

• mercredi 19 décembre à 15h et 18h30• Club de jeunes, quartier de Prézégat à Saint-Nazaire

• vendredi 21décembre à 20h30• Amphithéâtre de Pornic

• tarif 5 €• en partenariat avec les Villes de Donges et Paimbœuf

décembreà voir en famille au théâtre

les projections ont lieu salle Jacques Tati33, bd Victor Hugo – 44 603 Saint-Nazairetéléphone 02 40 53 69 63 – www.letheatre-saintnazaire.fr co

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