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Supplément gratuit réalisé par la RGP - Avril 2012 - N°2 BUSINESS + CES ENTREPRISES QUI GAGNENT N°2

Dossier Ces entreprises qui gagnent

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Dossier entrprises

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Page 1: Dossier Ces entreprises qui gagnent

Supplément gratuit réalisé par la RGP - Avril 2012 - N°2

BUSINESS +CES ENTREPRISES QUI GAGNENTN°2

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Page 2: Dossier Ces entreprises qui gagnent

La prochaine fois, vous lèverez les yeux et votre regard sera différent…

Tous les jours, vous les côtoyez sans le savoir.

Dans le monde entier, la plupart des portes automatiques sont équipées de détecteurs BEA qui assurent l’ouverture et la sécurisation des portes. Ils accueillent le public à l’entrée des aéroports, des grandes surfaces et des hôpitaux. Ils équipent les hangars des grands centres logistiques ou automobiles ou encore les trains à grande vitesse. Ils garantissent le confort et la protection des utilisateurs et permettent aux propriétaires de bâtiments de faire des économies d’énergie.

Un BEA, c’est un atout pour une porte automatique performante et sûre.

BEA s.a. / LIEGE Science Park / Allée des Noisetiers 5 / 4031 Angleur • BELGIQUE +32 (4) 361 65 65 / +32 (4) 361 28 58 / [email protected]

www.bea.be

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Inutile de se voiler la face : la crise, entamée voici plus de trois ans, perdure. Mais en plein milieu de ces perturbations, certains, plus nombreux qu’on pourrait le croire, réussissent encore à tenir le haut de l’affiche, à signer des

contrats, à créer de l’activité, de l’emploi, des plus-values. En un mot comme en cent : à performer.

Alors donc que le climat (bancaire, économique, financier,… ) demeure assez morose, il faut sans aucun doute rendre hommage à ces hommes et ces femmes qui, aux quatre coins de la Wallonie, de Bruxelles-Capitale, du pays, ont décidé de faire œuvre d’entreprendre. C’est à quelques-uns d’entre eux que ce supplément, le n° 2 de “Business+”, est consacré, au travers de reportages personnalisés.

On l’oublie trop souvent, mais notre tissu économique est composé à 95% de PME, de petites entreprises dynamiques, de patrons qui osent. Qu’ils s’adressent à une clientèle extrêmement large ou à un secteur de niche, qu’ils commercent avec leurs voisins ou avec des clients au bout du monde, qu’ils cultivent les vertus de l’artisanat de talent ou de la technologie de pointe, qu’ils disposent de 3 ou de 200, collaborateurs, voire plus, qu’ils disposent d’un bureau anodin ou d’un prestigieux siège social, qu’ils soient nichés dans la campagne wallonne, dans un parc scientifique ou sur un boulevard bruxellois,… il s’agit de saluer et de soutenir ces entreprises et, surtout, ces entrepreneurs qui permettent à notre économie de poursuivre son œuvre de moteur social.

« Small is beautiful », dit l’adage. Et ce dossier, entièrement consacré à ceux qui osent et performent, en est largement la preuve. Puisse aussi ces exemples inciter les plus jeunes, ceux qui bénéficient d’une expérience professionnelle appréciable, les employés, les sans-emploi (hélas trop nombreux), vous et moi,… s’en inspirer, se lancer dans la grande aventure de l’entrepreneuriat, des “affaires”, et ce d’autant plus que ce ne manquent pas les soutiens, publics surtout mais aussi privés, pour les accompagner au mieux dans un parcours quoi qu’il en soi particulièrement enrichissant. Pas seulement au niveau purement pécuniaire mais surtout au niveau humain. Pour soi-même et pour les autres : quel plus grand bonheur en effet que de créer de l’emploi, de faire vivre des familles ?

Bonne lecture de “Business+”, à la découverte de ces acteurs de l’entreprise au quotidien !

PUBLI-ENTREPRISE ................................................................................................................................................ AvANT-PRoPoS

Entreprendre. Et performer !

Supplément publicitaire gratuit à La Libre Belgique réalisé par la Régie Générale de PublicitéLe contenu de ce dossier n’engage pas la rédaction.Editeur Responsable : RGP SA rue des Francs 79 à 1040 BruxellesRegional Sales Manager : Jean-François BeguinCommercialisation : 02/211.29.20Mise en page: Piknik GraphicImpression : SoDICMo, bld Industriel 18 à 1070 Bruxelles - tél. : 02/793.36.70

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Forte d’une expérience de 65 ans, cette PME située à Estinnes, près de Binche, est spécialisée dans la construction. Echafaudages, systèmes d’accès ou ferronneries d’art, Répamine s’adapte aux besoins du client et est à même de vous fournir tout ce dont vous avez besoin, avec professionnalisme et convivialité.

Voilà déjà deux ans qu’Eric Viatour a repris les rennes de Répamine. A son arrivée, cette entreprise familiale de taille moyenne comptait une vingtaine d’employés. Elle en compte désormais une trentaine. Car il faut dire que les affaires marchent bien… Avec un chiffre d’affaires de 4,4 millions d’euros en 2010, la société a évolué à 6 millions d’euros en 2011. Et, au fil des années, la société a étoffé ses compétences.

Constructions métalliques sur mesure, échafaudages sécurisés, ferronneries artisanales et industrielles…

L’entreprise possède désormais de nombreuses cordes à son arc. «Nos activités sont multiples. Cela va de la fa-brication des échafaudages à la vente et à la location avec ou sans montage lors de chantiers, aux portails pour les maisons des particuliers en passant par des escaliers haut de gamme pour des hôtels de luxe à Bruxelles», nous explique Eric Viatour, le directeur des lieux. Petite par sa taille, Répamine a pourtant tout d’une grande puisqu’elle compte de nombreux clients renom-més à son actif. Besix, Lixon, Galère ou encore Thomas & Piron ne s’y sont pas trompés en choisissant de collaborer avec elle. « Nos habitués apprécient notre capacité d’innovation. En fonction de leurs besoins et envies, nous conce-vons des produits sur mesure. C’est ce qui les fait principalement revenir chez nous ».

Fabrication de la structure du festival du film d’amour de Mons, armatures métalliques pour les fondations du réseau RER en Brabant Wallon ou pour le creusement d’un tunnel ferroviaire dans le port d’Anvers, Répamine est sur tous les fronts. Surtout depuis que la loi sur le travail en hauteur oblige les entrepreneurs à sécuriser davantage leurs chantiers. « Sur une corniche, une façade ou une paroi, l’échelle n’est plus suffisante. Nous aidons les chefs de chantiers à assurer la sécurité des travailleurs.

C’est de cette façon que Répamine s’est créée un nom dans le secteur de la sécurité collective sur les chantiers, grâce à ses échafaudages et ses pro-tections métalliques destinés au travail en hauteur».

Une entreprise familiale et responsable

Avec son créneau lié au domaine du bâtiment, Répamine ne représente pas une PME comme les autres. Située dans la région de Binche, à Estinnes, elle constitue un employeur d’enver-gure pour le secteur de la construc-tion. « Tous nos employés sont ori-ginaires des environs », poursuit le chef d’entreprise. « Nous veillons à créer de l’emploi sur le site où nous sommes implantés pour privilégier l’activité locale. Cela n’a aucun intérêt pour nous de faire fabriquer en Chine ou en Inde, comme beaucoup de nos concurrents. Nous préférons créer une dynamique près de chez nous ». Embaucher de la main d’œuvre qua-lifiée à proximité pour satisfaire les exigences de la clientèle de notre plat pays, voilà le credo de Répamine. Mais recruter des employés formés dans ce domaine relève parfois du parcours du combattant. Et pour cause : soudeurs,

ferronniers et dessinateurs industriels sont autant de métiers en voie de dis-parition que la société tente de ressus-citer. « Nous sommes constamment à la recherche de nouveaux talents et compétences, surtout depuis que nous avons lancé notre division en ferronne-rie d’art », poursuit Eric Viatour, ancien dirigeant dans une grande entreprise internationale. « Nous sommes sou-cieux de développer des plans de suc-cession, d’apprendre le métier à nos employés pour que, peut-être un jour, ils reprennent les rennes de l’entre-prise. C’est pour cette raison que nous consacrons du temps à l’accueil et à la formation des nouveaux membres de l’équipe».

Des escaliers en colimaçon design, des portails galbés sophistiqués ainsi que des rampes et garde-corps es-thétiques sont quelques exemples de produits fabriqués sur place par des professionnels de haut vol. «On est aussi compétent dans le domaine de l’ameublement. Nous avons déjà fabri-qué des tables en verre, des barres de rideaux ainsi que d’autres meubles métalliques, selon les demandes des clients. Robots complètement automa-tisés pour les échafaudages et les pro-duits de soutènement, postes à souder individuels pour la ferronnerie d’art, le matériel de travail à disposition est de la toute dernière technologie. « Nos employés sont satisfaits de leur métier : ils mettent au point des pièces uniques et apprennent jour après jour de nou-velles techniques». Et les membres du personnel ne sont pas en reste car les ouvriers viennent tout juste de recevoir un vestiaire flambant neuf. Preuve que, chez Répamine, on chouchoute le per-sonnel jour après jour pour produire le meilleur.

RépamineRue de la Buissière, 97120 Vellereille-le-secTél : 065 58 63 21 www.repamine.be

PUBLI-ENTREPRISE ........................................................................................................................................................RéPamINE

RéPamINELe fournisseur de matériel pour le bâtiment proche de vous.

Nos deux axes de développement sont la ferronnerie d’art et la location d’échafaudages avec montage.

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Boire un verre en famille en sortant du cinéma ou lors d’une soirée entre amis, pousser la chansonnette grâce au karaoké ou jouer une petite partie de billard, le Pool Fiction vous accueille tous les jours pour passer un moment convivial et sympathique. Situé au sein du complexe Acinapolis à Jambes, cet établissement de 500 m² au décor sobre et moderne est connu pour son animation nocturne mais pas seu-lement. « On organise des concerts, des soirées country, des cours de sal-sa, des blind tests musicaux et bien d’autres activités », confie Raoul Guns, gérant du Pool Fiction depuis une pe-tite dizaine d’année. « Même si nous sommes ouverts tous les jours à partir de 13h, nous voulons proposer un nou-veau service en journée. Notre volonté est de mettre nos infrastructures à la disposition des groupes, des sociétés ou des entreprises pour des journées de travail et de détente. »

Un espace permettant d’organier des réunions ou des conférences peut en effet être mis à la disposition des personnes intéressées. « Nous avons plusieurs grands écrans muraux qui permettent la diffusion de DVD mais aussi un accès WIFI, sans oublier un vaste parking gratuit jour et nuit. Tout est donc réuni pour pouvoir tenir des réunions de travail dans les meilleures conditions. Nous proposons aussi des buffets pour le petit déjeuné ou pour prendre le repas de midi. Tous nos pro-duits proviennent d’enseignes répu-tées dans la région namuroise. » Point fort du Pool Fiction, il ne se contente pas de proposer un espace de travail puisque les différentes activités comme le billard (pool américain) et le karaoké seront également accessibles à des prix avantageux afin de poursuivre la journée de manière plus ludique. « Travailler le matin et s‘amuser l’après-midi est une des formules que nous proposons. Mais les gens peuvent aussi poursuivre la soirée avec le reste de notre clientèle. Nous sommes très flexibles afin de pouvoir répondre au mieux aux attentes de chacun.»

Pour tous les âges

Jamais en manque d’idées, Raoul Guns veut multiplier les démarches

pour dynamiser et faire vivre au quo-tidien son établissement. Il lance, par exemple, un appel aux personnes du troisième âge et aux différents homes de la région.

«Nous pouvons proposer des après-midis où ces personnes pourront jouer au billard à un prix attractif, mais on peut aussi organiser un karaoké spé-cial années 60 ou 70, le tout dans une ambiance nostalgique. » Les plus

jeunes ne sont pas oubliés puisque des concours de jeux vidéo sont également organisés au Pool Fiction où il y en a donc pour tous les âges et pour tous les goûts.

Des soirées sympas et diversifiées

Ouvert jusqu’à 3h du matin en semaine et jusqu’à 5h le week-end, le Pool Fic-tion est assurément un haut-lieu de la vie nocturne jamboise. La clientèle bénéficie chaque soir d’un service de qualité avec une équipe de serveurs aux petits soins mais aussi d’un cadre agréable et sécurisé avec la présence de deux portiers. Du mercredi au di-manche, l’ambiance des soirées se veut encore plus festive et musicale sur l’espace danse. Tout en dégustant un des nombreux produits proposés sur une carte très éclectique avec, entre autres, un champagne étiqueté au nom de l’établissement, la clientèle pousse la chansonnette au karaoké. « Grande nouveauté, le DJ qui anime la soirée filme les personnes qui chantent et les images passent en direct sur nos différents écrans. Le temps de quelques minutes, ils passent donc

à la télévision. De plus, nous enregis-trons les prestations musicales et cha-cun peut donc repartir avec sa chanson sur CD. » Et pour encourager les plus timides à franchir le pas, précisions que le logiciel utilisé apporte quelques cor-rections pour limiter les fausses notes. C’est toujours bon à savoir !

Le billard fait aussi partie de la vie du Pool Fiction. Avec dix tables à six trous, les amateurs peuvent multiplier les

parties et des concours sont régulière-ment organisés. « Nous sommes aussi ouverts à la création d’un club ou deux si des joueurs souhaitent s’orienter vers la compétition. » Bref, il se passe tou-jours quelque chose au Pool Fiction,

il suffit de pousser la porte située au premier étage du complexe Acinapolis pour découvrir ce qu’il se passe à l’inté-rieur, en journée comme en soirée…

INE

POOL FICTION(Complexe acinapolis)16, rue de la Gare Fleurie5100 JamBES0477/59 21 06www.pool-fiction.beHeures d’ouverture : 13h à 03h du dimanche au jeudi13h à 05h vendredi et samedi

PUBLI-ENTREPRISE ...................................................................................................................................................POOL FICTION

POOL FICTIONBar, billard et karaoké, ce haut-lieu de la vie nocturne jamboise ouvre aussi ses portes en journée.

Pool Fiction propose aux groupes, sociétés et entreprises de disposer de ses infrastructures pour organiser des journées de travail et de détente.

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Page 6: Dossier Ces entreprises qui gagnent

Avec l’arrivée du printemps, on redé-couvre son jardin et on a parfois l’en-vie d’y ajouter une nouvelle touche décorative. Les amoureux de la flore connaissent Jardisart et s’y rendent avec autant de plaisir qu’un fin gourmet passe la porte d’un restaurant étoilé. La diversité des plantes et des arbres est saisissante. Une pépinière de cinq hec-tares où chaque parcelle apporte son lot de dépaysement et de noms exo-tiques. Du Miscanthus au Pennisetum, en passant par la tourbe directement importée de Russie, le choix est varié et parfois délicat. Rassurez-vous, cet écrin de verdure n’est pas réservé qu’aux initiés.

Le maître des lieux Victor Van Lommel se fera un plaisir de vous accompagner dans votre prise de décision mais sur-

tout de vous conseiller. C’est que toute plante a besoin d’un contexte particu-lier pour s’épanouir et exprimer pleine-ment son potentiel. « Nous abordons deux mois cruciaux » souligne d’em-blée Victor Van Lommel. « Pour être fier de votre jardin cet été, c’est maintenant que tout se joue, que cela soit pour des plantes bisannuelles (pâquerettes et pensées) ou des plantes annuelles (géraniums et bégonias) qui fleurissent immédiatement.»

Des centaines de variétés de rosiers, de buis, de haies, de bambous et de gra-minées vous attendent mais pas ques-tion d’acheter un chat dans un sac. Afin que vos acquisitions ne fassent pas long feu, un mode d’emploi est indis-pensable. « Vos plantes ont-elles be-soin d’un sol acide ou basique ? Quant faut-il la mettre en terre ou la tailler ? Supporte-t-elle le soleil ? Toutes ces questions peuvent paraître anodines mais les réponses sont cruciales. Une majorité de personnes pensent par exemple que les cerisiers se taillent en hiver. Or, c’est en juillet ou en août que c’est le plus approprié, sans quoi c’est la mort assurée de l’arbre.» La flore doit se chouchouter car elle sait se mon-trer capricieuse. Il s’agit de trouver une

recette équilibrée tout en nuances, à la limite d’un procédé scientifique. « Plu-sieurs sociétés ne se hasardent plus à planter des hêtres. C’est un arbre de sable qui a besoin de beaucoup d’air et nous nous trouvons en sol argileux. Il faut lui faire croire qu’il est dans son élément en le plantant plus haut et ne pas le tasser.»

Intarissable sur le sujet, Victor Van Lom-mel ne pourrait se contenter de jouer au petit commerçant. Ce n’est d’ailleurs pas dans cette optique qu’il a créé Jar-disart il y a quarante ans. Il entendait bien mettre en avant sa formation d’ar-

chitecte de jardin en bichonnant celui des autres. Des plans d’aménagement au terrassement, tout peut être conçu de A à Z afin que les différentes pers-pectives tendent à l’harmonie. « Nous réalisons des devis très détaillés qui vont jusqu’à reprendre le nombre de ki-los d’engrais nécessaires. Trois ouvriers sont constamment sur chantier pour des travaux d’entretien, de dallage et de plantation. C’est plus gai que de se farcir des tailles de haies à longueur de journée. Cela me permet de dispenser des formations sur la manière la plus efficace de se prémunir des maladies et des insectes. C’est un peu mon ser-vice après vente. Je m’occupe égale-ment de la scarification des pelouses.»

Une passion plus qu’un travail et une énorme capacité d’adaptation, voilà les clés de la réussite de Jardisart qui en-tend répondre aux demandes les plus particulières. « Les modes évoluent. Auparavant, le buis n’avait aucun inté-rêt, c’est maintenant devenu très ten-dance. Les cyprès ont eu un moment donné la cote mais ce sont maintenant les hêtres et les charmes qui ont le vent en poupe.»

Une société qui se veut inventive pour personnaliser chaque élément déco-ratif. Clôtures végétalisées, panneaux d’écorces, colonnes de galets, parois de pierres de lave, la créativité est presque sans limite.

JARDISART25 Chaussée Nationale IV5330 Assesse (Sart-Bernard)Tél. : 081/40 01 84

PUBLI-ENTREPRISE ....................................................................................................................................................... JARDISART

JARDISART Jardisart ou l’amour de la verdure

Pour encore mieux vous servir, jusqu’au 27 mai, Jardisart est ouvert le dimanche matin de 9h30 à 12h

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Quel pourrait bien être le point com-mun entre le Zénith Building, le Progress Building, le complexe du Parlement européen ou encore Atlantis? Ou entre le musée Magritte, les musées royaux des Beaux-arts et le concours du musée de l’Afrique centrale? Outre le fait qu’il s’agit, d’une part, d’immeubles de bu-reaux implantés à Bruxelles et, d’autre part, d’infrastructures culturelles bruxel-loises faisant l’objet de rénovations, tous ont été pensés dans une même logique alliant modernité et fonctionnalité.

C’est en 1968 que José Vandevoorde a créé le Centre d’Etudes et de Recherches d’Architecture et d’Urbanisme (CERAU) avec trois confrères (Roger Thirion, Fran-çoise Blomme et André Bauwens). En un peu plus de 40 ans, ce professeur à l’Université Libre de Bruxelles a multiplié les grands projets d’architecture. Si bien qu’à côté des immeubles de bureaux, CERAU a également posé sa griffe dans des hôpitaux, des musées, des infras-tructures sportives et culturelles, des hô-tels... S’il ne reste aujourd’hui que José Vandevoorde des quatre fondateurs, CERAU continue d’être dirigé par un quatuor et repose sur une équipe plu-ridisciplinaire de près de 30 architectes. Les trois autres associés et gérants sont Bruno Gerard, Louis Milis et Cestmira Vesela.«La direction collégiale des dé-buts s’est perpétuée dans ses principes et aujourd’hui encore, les autres asso-ciés, par l’apport de leur personnalité et les compétences de chacun, assurent l’efficacité et la créativité du groupe. Le CERAU n’a cessé de s’investir dans la recherche de solutions architectu-rales nouvelles en adéquation avec les modes de vie de nos contemporains. Il a considéré que seul un travail d’équipe peut atteindre ces objectifs par l’apport de différentes personnes qui maîtrisent chacune un ou plusieurs paramètres de l’équation. «CERAU participe à de nombreux concours, ce qui assure une dynamique certaine au sein du bureau et permet souvent de déboucher sur des projets qui, sinon, seraient inacces-sibles », confient les associés. La répu-tation du CERAU repose non seulement sur la qualité de sa production et ses capacités d’adaptation aux nouveaux concepts techniques et surtout environ-nementaux, mais également sur la fia-bilité des documents produits, le respect des délais et des budgets».

JARDISART PUBLI-ENTREPRISE ............................................................................................................................................................. CERAU

CERAUUn quatuor au service du bien-vivre

José Vandevoorde Cestmíra VeseláBruno GerardLouis Milis

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7 10

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1 DINANT, NoUVEAU PALAIS DE JUSTICE, CERAU, ATELIER DE GENVAL, AUPA ARChITECTES. 2 PARLEMENT EURo-PéEN AILE D5 CERAU ARChITECTE EN ASSoCIATIoN. 3 MUSéES RoyAUx DES BEAUx-ARTS, BRUxELLES.4 LoGEMENTS à BRAINE L’ALLEUD. 5 SoPIMA, IMMEUBLE PLACE PoELAERT à BRUxELLES. 6 ZéNITh BUILDING CERAU-SCAU ARChITECTES. 7 RéNoVATIoN DE LA STATIoN DE MéTRo MoNTGoMERy. 8 MAISoN DE REPoS ET DE SoINS PoUR LE CPAS DE BRUxELLES CERAU ET hoET ET MINNE ARChITECTES. 9 NoUVELLE PRISoN DE MARChE EN FAMENNE, CERAU-SCAU ARChITECTES. 10 RoyAL hôTEL à oRAN, ALGéRIE, RESTAURATIoN ET AGRANDISSEMENTS, CERAU-RooSE ARChITECTES www.cerau.be

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PUBLI-ENTREPRISE .....................................................................................................................................................CITé SéRINE

Implantée au coeur de la Cité Jouet Rey, dans la commune d’Etterbeek, l’ASBL Cité Sérine propose des mai-sons thérapeutiques. Un concept tout à fait novateur en Belgique qui mérite le coup d’œil puisque c’est la seule struc-ture extra-hospitalière existante. Dans un écrin de verdure, quelques maisons hébergent des malades de manière temporaire tout en leur prodiguant des soins dignes de ceux d’un hôpital. Un projet prometteur qui comportera dès 2013 un deuxième emplacement situé à Schaerbeek.

Dans la cité Jouet Rey, aux allures d’an-cien béguinage, se trouvent six habi-tations d’un genre inédit dans notre plat pays. De type thérapeutique, ces structures proposent d’héberger de manière temporaire des patients tout

juste sortis de l’hôpital dont les soins sont trop difficiles à gérer à domicile. Le but : améliorer leur qualité de vie tout en leur faisant bénéficier d’un suivi psy-cho-médico-social adéquat. Sur place, une équipe toute entière veille au bon fonctionnement de l’association née il y a 12 ans à l’initiative de Fred Mabrouk et Marion Faingnaert.

Médecin, coordinatrice, infirmières, psychothérapeute sont là pour s’occu-per au quotidien des patients souf-frant de cancer, du VIH ou d’autres pathologies lourdes. Une garde est assurée 24h/24. Dans ces logements individuels aménagés selon le profil du malade, on retrouve les mêmes équi-pements de base : une kitchenette, un lit hospitalier électrique, un canapé-lit pour accueillir les proches et une salle de douche accessible aux personnes à mobilité réduite. Ici, la surface de 47m² se module à la carte. « Perroquet, déambulateur... chaque équipement

peut être ajouté ou enlevé sur de-mande », nous explique Christine Col-lard, coordinatrice de l’association. Du matériel médical tel qu’une baignoire-lit ou un lève-personnes peut aussi être installé ou loué. Et ce n’est pas tout. Une équipe d’aide à la vie journalière est présente pour préparer les repas des malades, encore une fois, selon leurs envies. « Nous faisons en sorte de personnaliser nos infrastructures comme nos services au maximum. L’enjeu est de ne pas faire sentir au pa-tient qu’il est dans un milieu médicalisé mais bien dans une maison tradition-nelle, comme chez lui». Et à l’étage de chaque maisonnette, on retrouve des kots étudiants permettant d’héberger des jeunes adhérant au projet ou des stagiaires en médecine ou art infirmier. « Cette mixité des générations permet

un contact au quotidien accompagné d’une certaine dynamique, dans le res-pect et l’intimité de chacun ».

Avec une patientèle qui va du nourris-son à la personne âgée, les interven-tions de l’ensemble des professionnels sont globales, toujours en lien avec le médecin traitant et le milieu hospita-lier en charge du patient. « Nous dis-pensons entre autres des chimiothé-rapies, des perfusions intraveineuses antibiotiques et des soins complexes », avance Dominique Romain, l’infirmière responsable de la Cité Sérine spécia-lisée en soins palliatifs. « Il n’y a pas de rupture dogmatique entre les soins curatifs et palliatifs que nous effectuons car nous encadrons nos patients de manière continue. De même,des infir-mières pédiatriques spécialisées inter-viennent à domicile auprès des enfants gravement malades pour favoriser autant que possible le maintien de la vie familiale ».

Un second volet de la Cité Sérine dès 2013 mais un cruel manque de financement

Victime de son succès, l’ASBL Cité Sérine a prévu d’ici un an d’ouvrir un deuxième site – plus grand - pour venir compléter son projet initial. Implanté au coeur de Schaerbeek, « Sérine II » comptera 24 lits, dont 4 pour enfants. Actuellement en plein chantier, le site comprendra un restaurant communautaire où les patients comme les résidents des rues avoisinantes pourront aller prendre un repas. Une atmosphère de quartier où enfants, personnes âgées et patients pourront se rencontrer, se mélanger et interagir, comme c’est le cas sur le premier emplacement de l’association.

Agréée par la Cocof, la Cité Sérine manque pourtant encore cruellement de moyens. Et pour cause : les soins à domicile sont encore peu couverts par la mutuelle, a contrario de ceux dispensés à l’hôpital qui reviennent plus chers à l’Inami mais qui sont totalement pris en charge. Face à des demandes de plus en plus fréquentes de la part des patients et des hôpi-taux et une utilité qui a été prouvée, l’ASBL ne bénéficie toujours pas à ce jour d’une subsidiation du Fédéral. Une situation qui renforce d’autant plus la nécessité de financements alternatifs (public et privé) qui per-mettraient à la Cité Sérine de mener à bien son projet sur le long terme et ainsi continuer à proposer une alter-native à l’hospitalisation de qualité.

30 rue des Cultivateurs1040 Etterbeek. Tél : 02/ 733 72 [email protected]/citeserine

CITé SéRINERévolutionne l’hospitalisation à domicile dans un cadre de verdure

Un hébergement thérapeutique à la carte selon le profil du patient et encadré par une équipe de professionnels complémentaires provenant du milieu médical et social.

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éRINE

A la pointe du progrès, cette spin-off de l’ULg a su s’’imposer comme or-ganisme indépendant agréé pour le contrôle du secteur

Avec ses 52 employés, ses équipes bilingues, ses 20 % de croissance, ses 8.000 audits et ses 250.000 analyses annuels, Quality Partner a su s’impo-ser comme l’acteur incontournable du contrôle de la qualité des secteurs de l’agroalimentaire et du cosmétique.

Cette société anonyme établie à Herstal possède des laboratoires d’analyses et d’études, un organisme d’inspection et un organisme de certification. Son prin-cipal avantage sur ses concurrents est d’offrir des services à l’ensemble des référentiels à l’ensemble des acteurs de la chaîne alimentaire. Quality Par-tner s’impose dans le domaine comme l’interlocuteur unique.

Ce développement qui s’apparente à une véritable success-story trouve ses origines en 1995 lorsque Georges Daube, professeur à l’ULg, reçoit la charge du laboratoire national de réfé-rence en microbiologie. Mais parallè-lement à cela des industriels font appel à ses services. L’activité commerciale devient rapidement trop importante. En 2000, Quality Partner est créé en tant que spin-off de l’ULg. Aujourd’hui en-core la société bénéficie de l’expertise universitaire.

Depuis 2000, cette spin-off qui occupait au départ quatre personnes a rapi-dement évolué. Elle a quitté le cocon universitaire pour s’installer dans ses propres locaux à Herstal. La crise de la vache folle a eu pour conséquence la consultation exponentielle des labo-ratoires de Quality Partner. Ensuite, à l’activité laborantine, la société ajoute un organisme d’inspection qui s’appuie sur un partenariat avec la grande dis-tribution. Quality Partner peut se tar-guer de proposer des combinaisons d’audits de tous référentiels, ce qui est un gain de temps mais aussi un gain d’argent pour les filières de production animale et végétale mais aussi pour les commerces de détail, le secteur Hore-ca et les collectivités. A chaque mo-ment de la chaine alimentaire, Quality Partner mène ses inspections. Parallè-lement à cela, la société a développé la certification des produits et a élargi ses activités au secteur de la cosmétique

où elle teste de nouveaux produits. Ex-trêmement présente dans les fermes, Quality Partner a très tôt compris les modifications que connait le secteur et a pu apporter une certification du mode de production biologique.

La forte croissance que connait l’entre-prise la pousse à recruter. Elle est avant tout à la recherche de personnes moti-vées.

Quality Partner désire maintenant étendre ses activités notamment à la France. Une fois de plus, elle ira aussi à la rencontre des professionnels et des consommateurs à la foire de Libramont.

2012 sera aussi une année à fort déve-loppement pour cette société dyna-mique qui a un regard sur la plupart des aliments qui se retrouvent dans notre assiette. Depuis un an, des in-vestissements ont été réalisés sur la

recherche en laboratoire afin de mettre au point des nouvelles technologies d’analyses. Car Quality Partner veut conserver son avant-gardisme : elle se prépare donc à importer des techno-logies utilisées dans le monde médical dans ses analyses. C’est de cette ma-nière que l’ADN des contaminants des denrées alimentaires sera analysé !

Rue Hayeneux, 62 4040 HERSTAL Tel: 04/240 75 00 FAX: 04 /240 75 10 www.quality-partner.be

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C’est en 1983 que la Spin-Off ATC voyait le jour, à l’époque, toujours sur le site de Bavière. Près de 30 ans plus tard, c’est dans les locaux du CHU et de l’Université de Liège que celle-ci développe ses activités. Sans conteste, la petite spin-off est deve-nue grande puisque celle qui est spé-cialisée dans la bio-analyse de subs-tances physiologiquement actives et dans la réalisation d’études précli-niques et d’essais cliniques, compte aujourd’hui 18 emplois. À la tête de l’entreprise se trouvent le docteur Patrice Chiap, responsable de l’unité préclinique et analytique, ainsi que le professeur André Scheen, respon-sable de l’unité de pharmacologie cli-nique. Deux branches indépendantes et complémentaires qui assurent à ATC la garantie d’un travail des plus

complets à destination de l’industrie pharmaceutique.

Sa position stratégique au CHU de Liège lui permet en outre de travailler de manière flexible et rapide pour pro-poser un service de qualité et un suivi professionnel aux industries pharma-ceutiques, chimiques ou encore à l’in-dustrie des compléments alimentaires.

Produits et services

C’est depuis 2003 déjà que l’unité de pharmacologie clinique est donc ins-tallée au CHU. Aujourd’hui, celle-ci peut se targuer de disposer de 30 lits dédiés aux volontaires participant aux essais cliniques. « Cela, indépendam-ment de la routine du CHU », précise le professeur Scheen. Responsable de l’unité de pharmacologie clinique, il peut aujourd’hui observer le travail réalisé comme l’évolution du secteur. « Les règles sont aujourd’hui de plus en plus strictes lors des tests... de manière à assurer une sécurité maximale avant

la commercialisation du produit », constate encore le professeur Scheen qui met en avant le label dont jouit ATC depuis 1995 déjà : l’agrément GLP (Good Laboratory Practice). Ce label certifie que les études menées dans les laboratoires d’ATC sont conformes aux principes internationaux des bonnes pratiques de laboratoire. L’attache-ment à une structure telle que le CHU est indéniablement un plus dans le cadre du travail d’ATC, amenée dans l’unité de pharmacologie clinique à, entre autres, prouver la bioéquiva-lence d’un générique par rapport à la molécule originale, à trouver le dosage bien toléré et efficace d’un nouveau médicament ou encore à réaliser des études ambulatoires et multicentriques diverses en collaboration avec d’autres services cliniques académiques. Le

recrutement de sujets sains et malades est donc essentiel pour mener à bien ces études. Enfin, depuis peu, ATC est associée avec des partenaires privilé-giés dans une nouvelle structure : CLIP 1-2 (www.clip-1-2.com), de façon à proposer une offre intégrée plus large aux partenaires de l’industrie pharma-ceutique. Dans le parcours de l’unité préclinique et analytique, dirigée par le docteur Patrice Chiap, une exper-tise est proposée dans le domaine préclinique au travers d’un large choix d’essais in vitro et in vivo nécessaires à l’élaboration du dossier d’autorisation de mise sur le marché du médicament.

« Nous avons ici l’équipement analy-tique qui permet de doser des concen-trations de produits infimes ». La spec-trométrie de masse prend tout son sens. L’analyse de médicaments dans des fluides biologiques et des tissus, l’identification de la structure chimique de métabolites ou du type d’enzyme impliquée dans le métabolisme font partie du quotidien d’ATC comme le

fait de travailler avec des substances radiomarquées.

En termes de recherche et de déve-loppement, l’objectif d’ATC est, depuis toujours, de se démarquer en dévelop-pant de nouvelles méthodes d’analyse et de nouveaux procédés. L’entreprise participe aujourd’hui à un projet euro-péen (FLUPHARM) pour développer une nouvelle classe de médicament contre la grippe. « Nous participons égale-ment au projet Région Wallonne « Bio-Fina » ayant pour but de développer de nouvelles combinaisons dans le traite-ment de la mucoviscidose », poursuit le docteur Chiap.

Innovation et flexibilité

Grâce à son ancrage au CHU, ATC offre indéniablement un plus puisque l’expertise scientifique et technique est ici assurée à tous les niveaux du tra-vail. La réactivité et la flexibilité d’une telle structure à taille humaine sont naturelles tout comme l’innovation qui découle du contact privilégié avec les services de médecine du CHU de Liège ainsi qu’avec les centres d’ex-pertises de l’Université de Liège.

Et le docteur Chiap de préciser que la collaboration avec les chercheurs est un leitmotiv pour ATC qui désire avant tout « faire avancer la recherche ». La récente arrivée du Giga, pôle de re-cherche et de développement d’activi-tés dans le domaine de la biotechno-logie au CHU, lui assure un avenir des plus fructueux.

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Anne Gabriel R&D Manager04/366.83.11

A.T.C. s.a.Institut de Pathologie B 23CHU Sart-Tilman4000 Liège

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ATC (Advanced Technology Corporation) Partenaire de choix pour l’industrie pharmaceutique

La collaboration avec les chercheurs est un leitmotiv pour ATC qui désire avant tout «faire avancer la recherche».

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ATC

Une immersion naturelle, adaptée, active, dynamique et personnalisée… DialoguE, c’est tout cela à la fois. Depuis 20 ans, Jean-Luc Godard, linguiste, offre au travers de son entreprise, un savoir-faire reconnu dans le milieu de l’apprentissage des langues. Baigné depuis toujours dans cette atmos-phère polyglotte, l’homme a en effet tenu, avec son épouse, à optimaliser au travers de DialoguE, l’apprentissage d’une langue étrangère, en intégrant les justes ingrédients. Vous apprendrez vite et bien une langue là où on la parle. Si tout a débuté en 1991, dans la cité thermale de Spa, l’Approche DialoguE est aujourd’hui présente en Flandre, en Allemagne (Lac de Constance), en Es-pagne (Barcelone) et en France, mais aussi en Angleterre (Rye-Hastings) et en Floride. Quand le professionnalisme se met au service de l’apprentissage de la langue.

Un service personnalisé

Née d’une expérience de presque toute une vie dans l’apprentissage des langues, l’Approche DialoguE offre avant tout une formation personnali-sée. Lors du séjour au sein d’un Centre DialoguE, l’attention envers l’apprenant sera poussée à son paroxysme. Ainsi, « c’est pratiquement avec un natif par apprenant que nous travaillons », pré-cise Jean-Luc Godard. Un détail qui a de l’importance lorsqu’on sait que chacun a sa propre appréhension, son propre ressenti face à la langue étrangère. « Nous accueillons 4 à 5 personnes par semaine ». « C’est la condition sine qua non pour une im-mersion réelle et complète », insiste-t-il.

Lors d’un séjour DialoguE, l’apprenant est formé de manière intensive… mais natu-relle ! « Bien souvent, les personnes sont obligées de s’adapter à un programme d’apprentissage. Chez DialoguE, c’est l’inverse ». Un travail sur le profil de la personne est ici indispensable, « sur ses propres besoins, ses propres objectifs, ses propres difficultés aussi », ajoute Jean-Luc Godard. Il prend, en guise d’exemple, la formation de ce professeur d’Histoire de Cambridge, venu quelques jours pour préparer une conférence à la Sorbonne. C’est chez DialoguE qu’il put se perfectionner avec cet objectif précis. Selon ce professeur, seul DialoguE offre ce service.

Confiance, compréhension, culture et perfection de la langue

« La personne doit se sentir chez elle ». La confiance en soi est le premier seuil à franchir. Dans cette optique, l’autoé-valuation est préférée à la confrontation, « scolaire », au test. Les difficultés liées à l’apprentissage d’une langue ne s’arrêtent pas au langage lui-même. Le « cursus » développé chez DialoguE est attentif à toutes les phases de l’intégration d’une langue. Jean-Luc Godard pointe ici « l’obs-tacle majeur à l’apprentissage d’une langue : la compréhension auditive ».

« Nous arrivons, en 5 jours, à suppri-mer les filtres qui se sont installés durant l’adolescence et qui empêchent l’apprenant de distinguer certains sons de la langue cible », explique le spécia-liste. Le troisième seuil, c’est se faire accepter par les natifs. L’entrée dans la culture de la langue est recherchée plutôt que la chasse impitoyable aux erreurs grammaticales. La perfection dans la langue cible n’en sera que plus rapidement atteinte.

Flexibilité totale

Chez DialoguE, les professeurs, « native speakers of course », ne sont pas que des enseignants « mais des forma-teurs », au service de l’apprenant. Tou-jours dans l’intérêt de ce dernier, et dans l’intérêt de son apprentissage, l’accent est mis sur la flexibilité des cours dis-pensés. « Le programme évolue donc, en cours de semaine, en fonction des progrès, des besoins, des souhaits et des difficultés de la personne ».

Références

L’assurance d’un apprentissage rapide et l’expérience professionnelle de l’en-treprise ont déjà convaincu nombre de clients en deux décennies. Ainsi, parmi

les quelque 4000 apprenants et les 600 sociétés clientes qui ont fait confiance à DialoguE, citons, entre autres, le pas-sage en ces murs de l’actuelle ministre de l’Emploi, Monica De Coninck, celle du ministre de l’Éducation d’Arménie ou encore de ce professeur de l’Université de Harvard qui avait eu parmi ses élèves un certain… Barack Obama. Outre le fait d’offrir ses services à un prix tout à fait concurrentiel, DialoguE est l’unique centre belge agréé pour la formation des diplomates. Selon une récente étude, DialoguE arrivait en tête, d’un point de vue rapport qualité/prix, des centres de formation en langues. N’en jetez plus…

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Tricobel a su profi ter de son expérience pour signer ses propres vêtements, développer sa chaîne de magasins tout en élaborant des logiciels utiles à tous les commerçants. S’il y a bien une marque qui a le vent en poupe, c’est Signe Nature. Si cette griffe typique-ment belge a su séduire les femmes, celles-ci ignorent pourtant encore que ces vêtements qu’elles aiment porter sont de conception belge.

Cette belle aventure est celle d’une entreprise familiale qui a su se diver-sifi er. La famille Meeckers a toujours travaillé dans le domaine du textile. Depuis 1937, elle œuvrait en tant que grossiste dans le secteur à Aubel. Déjà, elle possédait deux magasins, des ma-gasins avant-gardistes pour l’époque. Dans les années 90, cette famille a bien compris que le secteur opérait une mutation qui allait conduire à la fi n des intermédiaires. C’est en 2000 que Signe Nature a été créée. Ces vête-ments et accessoires qui épousent le naturel de la femme ont rapidement séduit. Aujourd’hui 180 magasins pro-posent cette marque abordable, à la fi nition parfaite et produite en Europe.

Comme le précise Carine Droeven, manager de la marque Signe Nature, le déménagement vers le zoning des Plenesses à Thimister et la construction d’un bâtiment fl ambant neuf témoigne de leur volonté d’investir un maximum d’énergie et de moyens dans le concept et le produit Signe Nature afi n d’assurer une meilleure notoriété de la marque.

La famille qui possédait donc déjà deux magasins a décidé d’aller plus loin en proposant l’enseigne Espace Mode. Cette enseigne met un point d’honneur à offrir un service person-nalisé aux clients. Bien sûr, les vête-ments Signe Nature s’y retrouvent. Mais, cette chaîne de magasin établie

en province de Liège, dans le Namu-rois et dans le Brabant Wallon va plus loin. Elle met tout en œuvre pour offrir à ses clients un véritable plaisir shop-ping. Les magasins sont vastes et les rayons aérés, colorés et répartis par zones. Les enfants peuvent y trouver des espaces jeu pendant que leurs parents se promènent au travers des rayons. Les vendeuses chez espace Mode ne sont pas des réassortis-seuses, non, elles sont formées pour conseiller au plus juste la clientèle, une clientèle qui se compose surtout de familles. Pendant que Madame découvrira les dernières nouveau-tés de marques comme Desigual, Pepe jeans, la Fée marabouté et bien d’autres encore, Monsieur aura tout le loisir de découvrir des marques comme Gastraa, G Star ou encore Jack and Jones. Les enfants dès leur plus jeune âge pourront découvrir des vêtements adaptés. Et même les ado-lescents trouveront leur bonheur.

Le succès est au rendez-vous à un point tel que l’Enseigne possède déjà 6 magasins. D’autres devraient voir le jour d’ici peu…

Aujourd’hui, une centaine de personnes travaillent pour Tricobel. Persuadé que le succès d’une entreprise passe par l’impli-cation de son personnel, Tricobel veille à s’entourer de collaborateurs dotés d’un bon mental et animés par l’envie d’ap-prendre et d’évoluer. Le faible taux de rotation est la preuve qu’il est possible de combiner des exigences fortes en termes d’effi cacité et de niveau de compétences avec une atmosphère de travail agréable et épanouissante. La recette utilisée chez Tricobel est un savant mélange de transparence, d’écoute et de respect de chaque individu, sans jamais perdre de vue que le principal est d’avancer et d’être performant.

Si le textile a toujours été le talent familial, il y a un autre talent qui a été développé durant la dernière décennie au sein du groupe. Goupil crée des logiciels qui dans un premier temps ont uniquement servi en interne. Mais très rapidement, il s’est avéré que Goupil avec ses logiciels de gestion, de caisse et de commandes fournisseur répondait à un véritable be-soin dans le secteur. Les commerçants manquent en effet de logiciels adaptés et c’est pour cette raison que Goupil met en vente ces outils indispensables de la bonne gestion d’une entreprise.

Les Espace Mode profi tent évidement des nombreux avantages de Goupil. A tout moment, il est possible de consul-ter le stock d’un autre magasin et de rapatrier votre taille ou coloris favori dans le magasin de votre choix. Et puis chez Espace Mode, la fi délité s’entend au sens large. Grâce à ces logiciels performants, votre carte de fi délité vir-tuelle est complétée quel que soit le magasin où vous faites vos emplettes.

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Les rondeurs charmantes de son archi-tecture invitent à le découvrir… depuis déjà plus d’un an, au cœur de Liège, se dresse le Jala hôtel. Des chambres spacieuses, des ambiances diverses et variées, une dimension humaine, un accueil convivial et, bien sûr, un service d’une qualité irréprochable, voilà qui a permis à l’établissement de se voir attribuer 4 étoiles…

Paris à Liège

S’inspirant d’une conception parisienne du service au client, le Jala hôtel a bel et bien misé sur la personnalisation et le contact avec le client pour lui offrir « ce qu’il demande », assure-t-on au sein de la direction. Preuve en est avec ces quelque 54 suites et chambres dont la plus « petite » s’étend sur pas moins de 45m². Assurément, l’espace est un luxe que le Jala hôtel désire bien offrir à ses clients. L’hôtel se veut professionnel, qualitatif, irréprochable et humain.

L’ambition étant de satisfaire les de-mandes quelles qu’elles soient, ce ne sont donc pas moins de cinq salons, aux ambiances différentes, qui ont été mis en place. En séjournant au Jala Hôtel, et malgré la proximité du centre-ville, il sera aisé de se ressourcer dans le salon Zénitude. Pour ceux qui pré-

fèrent l’ambiance parisienne, le salon littéraire offre une impression plus cita-dine tandis que le salon fitness permet-tra de passer à la vitesse supérieure. D’où qu’il vienne, on assure un accueil au client dans sa langue.

Et pour les fins gourmets, cette pré-sence dans les cuisines d’un chef ayant reçu une toque au Gault et Millau, Mi-chel Damoiseau en l’occurrence, suffira pour convaincre que la qualité est éga-lement au rendez-vous dans les as-siettes. Ce dernier vient par ailleurs de lancer son menu « Inspiration du chef », composé de trois services au prix de 30 euros seulement, apéritif inclus sur réservation. Laissez –vous tentez.

Un concept innovant

Parce que la direction de l’hôtel s’est engagée à respecter l’équilibre person-nel de chacun, elle n’hésite pas à affi-cher ce concept transversal, EVN, pour Excellentia vita Nova, qui s’applique

tant à l’hôtel qu’à la maison de repos (Clos sur La Fontaine) située à quelques enjambées à peine. Une éthique de vie qui permettra aux pensionnaires de la maison de repos d’envisager leur sé-jour au sein de l’établissement comme une période remplie de projets.

Ce gage de qualité et de bien-être, la direction générale l’a également voulu pour l’ensemble de ses services. Ainsi, la direction commente : « Nous sommes bien plus qu’un 4 étoiles, nous aurions pu obtenir les 5 étoiles d’ailleurs mais ce n’était pas l’objectif ». Misant sur la dimension familiale de l’établissement en effet, le Jala hôtel prône avant tout le service personnalisé.

Un nouveau chef d’expérience

Depuis plusieurs mois déjà, l’équipe du Jala Hôtel mais également du Clos sur La Fontaine s’est vue renforcée d’un acteur de poids et d’expérience en la personne de son nouveau directeur général, Nabil Seggaï. Ce dernier, doit-on le préciser, n’est pas un inconnu et encore moins un novice dans le milieu hôtelier liégeois puisqu’il occupait il y a quelques mois encore le poste de directeur-général au sein du Crowne Plaza. Avant cette contribution au lan-cement du nouveau Cinq étoiles, Nabil Seggaï dirigea durant plus de 15 ans, le Bedford, ce « Quatre fois étoilés » du quai Saint-Léonard. Entre autres.

En début d’année, ce qui est présenté comme un lien entre l’hôtel et le Clos sur La Fontaine fut inauguré au tra-vers d’une salle de séminaires qui s’apparente à un espace événemen-tiel de quelque 350 m². Composé de 4 salles modulables, il permet d’accueillir conférences et autres colloques. Chris-tos Doulkeridis, secrétaire d’État au Logement, y a déjà donné une confé-rence, « et ce dernier nous a d’ailleurs remercié et félicité pour l’excellente organisation », se réjouit le directeur-général.

N’hésitez plus à passer la porte duJala All suites hôtel pour vous offrir un séjour de qualité en Cité Ardente ou encore à découvrir la gastronomie de son res-taurant les Remparts Notger !

JALA HOTELNabil SeggaïDirecteur Général CoordinateurSIREvNRue Joseph Jaspar 2 B- 4000 LiègeEmail : [email protected]él : 04 230 73 30Mobile : 0475 503 470

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JALA HOTEL Bien plus qu’un hôtel 4 étoiles

Michel Damoiseau, une toque au Gault et Millau, vient de lancer son menu «inspiration du chef», à découvrir pour 30 euros seulement.

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JALA HOTEL

Bien que créée en 2003, la société Halutec, spécialisée dans la concep-tion et la création d’un adoucisseur d’eau, affiche pas moins de 50 années d’expérience au travers de ses fonda-teurs. Née de la conjonction de deux spécialistes, Halutec, pour Harvey, Luc et technologie, est désormais leader en Europe dans sa catégorie… Grâce à son produit phare, le Minimax, la société offre une solution compacte et pratique contre le calcaire dans votre réseau d’eau courante.

Un problème de calcaire ?

Bruxelles, le Brabant, Liège et le Hainaut sont des régions réputées pour distri-buer une eau parmi les plus dures du pays. En conséquence, l’eau attaque inévitablement tout matériel mis en contact régulier avec le calcaire agres-sif qu’elle contient. Face à l’armada de produits proposés en matière d’adou-cisseur d’eau, Halutec a voulu mettre au point une solution tant innovante et mo-derne qu’abordable et pratique…. Ain-si, après avoir travaillé durant plusieurs années dans le secteur, Luc Chantraine et son associé ont ainsi donné vie au produit phare de l’entreprise, le Mini-max, dénommé M2. Et l’utilitaire de se confondre avec le design. Rencontre avec le co-directeur de l’entreprise au siège social belge situé à Oupeye.

Un jeu d’enfant

C’est simple mais il fallait y penser. Alors qu’un adoucisseur d’eau classique a seulement un réservoir à résine, « le minimax en compte deux ». L’avan-tage est immédiat. Comme le rappelle le co-directeur en effet, c’est lorsque l’eau traverse le réservoir qu’elle est adoucie. « Contrairement à ce que les gens pensent, ce n’est pas le sel qui adoucit l’eau ». Le sel a une fonction de régénération et repousse le calcaire. Avec un seul réservoir toutefois, lors de la régénération, l’appareil donne de l’eau dure. Ainsi, pour éviter cet incon-vénient, le minimax dispose de deux réservoirs de manière à ce que le pro-cessus s’opère sans stopper le cycle de l’adoucissement. Le calcaire est dès lors banni en permanence du réseau.Simple et efficace, le système l’a voulu pour l’ensemble du produit. Ainsi, une fois installé, le minimax n’aura d’autre contrainte que d’être alimenté en sel

(deux blocs visibles et intégrés au pro-duit). « Pour une famille moyenne, il faut faire le remplacement toutes les 6 à 8 semaines ». Point de programmation ni d’entretien coûteux, le produit se veut économe. Par ailleurs, et comme son nom l’indique, le minimax est incon-testablement le plus compact de la gamme. Il se range aisément dans une armoire ou sous un évier… toujours à l’arrivée de l’eau. « Nous avons par ail-leurs voulu privilégier un public », conti-nue Luc Chantraine, « nous sommes une société qui fournit un produit pour un type de client ». Pour le privé en l’oc-currence et à un prix tout à fait concur-rentiel sur le marché.

Système hydraulique

Coup double est par ailleurs constaté sur le pan économique puisque le sys-

tème du Minimax fonctionne de ma-nière tout à fait autonome. Raccordé au réseau, « il utilise la simple énergie hydraulique du réseau pour fonction-ner ». Le résultat est donc visible sur la facture énergétique, inévitablement. Et de souligner l’intérêt d’une eau douce, en terme de consommation pour les appareils ménagers tels le lave-vais-selle ou la machine à lessiver. Exit la lourde batterie, « votre Minimax pense à l’environnement ».

D’ici peu, la société Halutec fêtera son dixième anniversaire. En dix années déjà, celle-ci est devenue leader en Europe et est particulièrement bien im-plantée en Belgique, en Hollande ainsi

qu’en Angleterre. « Mais nous cou-vrons toute l’Europe, depuis l’Espagne jusqu’en Scandinavie ». Depuis 2003, ce ne sont pas moins de 100.000 Mini-max qui ont été vendus.

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De nouveau indépendante depuis 2 ans, la société liégeoise DKD affi che une expérience d’un quart de siècle dans la production de supports de communication visuelle. 25 ans, « c’est tout à fait honorable dans notre sec-teur », constate l’administrateur-délé-gué, Étienne Fraikin.

Après une parenthèse de quelques années d’intégration au sein du groupe Unijep (spécialisé dans l’imprimerie papier), DKD a été rachetée par 4 amis d’une trentaine d’année, qui lui ont in-suffl é une dynamique nouvelle.

Depuis, c’est avec une certaine fi erté que DKD retrouve une proximité per-due, et remet en avant cette force qui depuis 1987 a toujours été le label de qualité des services de production « DKD » et de la convivialité des rela-tions avec une clientèle fi dèle.

Affranchi de son ancien groupe, l’équipe travaille toujours dans ses locaux, avenue Georges Truffaut à Ju-pille. Mais il y a du changement dans l’air puisqu’en mai de cette année, l’équipe partira vers le nouveau centre d’entreprises situé au cœur de Herstal, rue du Tige, au lieu-dit du Pré Madame, entièrement consacré aux petites et moyennes entreprises. Il s’agit de ré-pondre aux besoins de l’équipe et de la clientèle, tant en terme de place que d’indépendance.

Après la conception

« Concrètement, notre travail consiste à intervenir après la conception des visuels publicitaires pour leur donner vie », explique Étienne Fraikin. DKD n’est donc pas une agence, mais bien un producteur, au sens propre, de « supports de communication ». Qu’il s’agisse de panneaux publicitaires, de signalétique, de lettrage (habillage d’un

véhicule, d’une vitrine,...), de broderie et fl ocage de textile ou de décorations personnalisées, DKD assure le suivi et poursuit un objectif : que le client soit vu, « c’est d’ailleurs notre slogan ».

Le milieu l’impose et Étienne Fraikin le sait, « nous devons être dyna-miques et réactifs ». S’appuyant sur son équipe pluridisciplinaire, il insiste sur l’état d’esprit constructif et l’ex-périence des membres de son per-sonnel, comme en témoigne Didier Gémis, responsable de production, actif dans le métier depuis les balbu-

tiements : « nous avons en effet réussi à garder la réactivité propre à une PME. Dans notre secteur, les délais sont régulièrement serrés ; en tant que dernier maillon de la chaîne de production nous nous adaptons aux impératifs des clients ».

Références

L’assurance d’un travail de qualité et la garantie d’être suivi par une équipe professionnelle ont déjà convaincu bon nombre de clients dont les noms suffi ront à inspirer la confi ance. Depuis 8 saisons déjà, DKD gère les panneaux publici-taires situés aux abords du terrain du Standard de Liège… L’exposition SOS Planet leur aura également fait confi ance puisque la jeune équipe fut chargée de réaliser plus de 1.000 m² de visuel pour celle-ci. Et le nom de DKD de pouvoir encore être associé à l’entreprise Kone et aux lettrages de l’ensemble de sa fl otte de véhicules ou encore à la Mutualité Chrétienne ainsi qu’à Solidaris, ou encore dans le secteur public à la Ville et à la Pro-vince de Liège. Entre autres... Outre ces grands noms, la société compte en effet une multitude de PMEs et d’indépendants parmi ses clients.

Une touche d’écologie

La volonté du management de DKD est d’être constamment à la recherche de solutions innovantes. De récents investissements viennent d’être réali-sés en ce sens : « Nous avons acheté du matériel en faisant un geste et en diminuant l’impact que nous pouvions avoir en matière d’environnement », explique encore Étienne Fraikin. Cela permet à l’entreprise de « garantir une impression de haute qualité, en pro-posant des impressions écologiques à encres latex ». Entendons des encres sans solvants. « C’est assez répandu en Flandre mais encore trop rare au sud du pays. Ce type de production est une exclusivité en Province de Liège ».

Lors du rachat de DKD voici deux ans déjà, quatre personnes composaient l’équipe. Deux ans plus tard, « nous sommes passés à 8 personnes ». En partance pour le nouveau centre d’en-treprises … les cartons remplis de pro-jets, à découvrir prochainement !

1. Etienne FRAIKIN et un véhicule entièrement recouvert aux couleurs de DKD

2. Sablés sur vitres à HEC Liège

3. Panneau Liège Expo 2017 au Standard de Liège

4. Véhicule Grand Départ du Tour de France

5. Enseignes des bâtiments scolaires

provinciaux

PLUS D’INFOS ET PHOTOS DES RÉALISATIONS :

[email protected]él : 04/224.74.74Avenue Georges Truffaut, 47 4020 LiègeA partir du 2/5/2012 : Rue du Tige, 13/214040 Herstal

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DKDIls font en sorte que vous soyez vus !

«Nous avons acheté du matériel en faisant un geste et en diminuant l’impact que nous pouvions avoir en matière d’environnement»

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DKD

Depuis 1983, CAMi, spécialiste en ex-pertise informatique, a créé en son sein un département spécifique business proposant des solutions profession-nelles destinées exclusivement aux sociétés, Cami Business ! Au sein de cette structure, ce sont plusieurs experts Apple pour les entreprises qui sont prêts à aider à trouver la configuration idéale pour une organisation performante ; des solutions de bureau et des solutions mobiles personnalisées sont ainsi pro-posées, tout comme du matériel, des logiciels,... Afin de bénéficier de ces ser-vices, rien de plus simple puisqu’il vous suffit d’envoyer un courriel à l’adresse suivante : [email protected].

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exploitez vos connaissances appro-fondies des apps existantes pour iPad et iPhone, qui pourront transformer votre façon de travailler », explique-t-on au sein de l’entreprise. Et de pré-ciser par ailleurs : « Nous sommes également en mesure de vous fournir des configurations à la carte pour vos PC Privés, tels que des installations de machines en dualboot Mac OSX/Win-dows, via Bootcamp, VMware Fusion ou Parallels desktop. Nous proposons bien évidemment un service après vente ultra rapide avec enlèvement et retour sur site ». À côté de cette offre, c’est une formation directe du per-sonnel qui peut être fournie: « Nous

assurons également l’initiation de votre personnel aux produits Apple par des formateurs professionnels ».

Un support professionnel sur votre lieu de travail……C’est bien ce qui découle de l’inter-vention de Cami Business. Avec les tech-niciens certifiés Apple, vous avez accès à de nombreux services sur site, tels que la configuration de système, des formations, le support téléphonique, la prise en charge à distance de plusieurs ordinateurs via TeamViewer et la ges-tion complète de parcs informatiques.

Un financement à votre convenancePoint de complication avec Cami Bu-siness puisque le financement ad hoc sera proposé en fonction du choix du client. L’équipe s’engage en effet : «Nous vous guiderons dans votre choix et dis-cuterons de la meilleure façon d’équiper votre entreprise, que vous ayez besoin de conserver des liquidités ou de dé-couvrir des formules de financement simples pouvant offrir des avantages fiscaux ». Grâce à aux différentes solu-tions proposées, l’équipement choisi avec soin pourra être exploité rapide-ment et de la manière la plus optimale possible, c’est une promesse !

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Page 18: Dossier Ces entreprises qui gagnent

C’était il ya 5 petites années, Synapse consulting voyait le jour sous la hou-lette de Georges Pecoraro. Bien que très pointu, son domaine d’activités, le management de qualité appliquée aux laboratoires médicaux, a su ren-contrer d’innombrables attentes et, au-jourd’hui, Synapse consulting peut se targuer d’être le leader sur le marché belge. Georges Pecoraro, directeur de cette SPRL, lui-même formé en biologie médicale et conseiller en management d’entreprise, nous parle de son entre-prise, un enfant de 7 ans déjà bien mâ-ture… qui ne demande qu’à grandir.

« Ce qu’il faut savoir est qu’après notre passage, une entreprise n’est plus la même. Nous aidons nos clients à réflé-chir sur base d’éléments concrets », explique Georges Pecoraro

Concrètement en effet, le travail réalisé par Synapse consulting vise avant tout un objectif : « permettre aux entreprises d’obtenir les accréditations et les cer-tifications dont elles ont besoin ». En l’occurrence, ses spécialités sont les normes Iso 15.189, Iso 9001 mais égale-ment d’autres référentiels utilisés dans des laboratoires de biologie clinique, d’anatomie pathologie, de biologie moléculaire et de procréation médi-calement assistée. Synapse consulting offre un accompagnement optimal aux laboratoires médicaux et se présente donc comme un collaborateur de choix pour assurer à ses clients une qualité de service irréprochable.

Comment ça marche ?

Le processus est simple, en se référant aux normes ad hoc, Synapse Consul-

ting réalise un audit, un état des lieux du laboratoire, « nous révélons ici les écarts entre le fonctionnement et les référentiels légaux et/ou normatifs », précise le directeur. Et de mettre dès lors en évidence les points faibles du client, en vue d’améliorer le service.

Un plan d’action est alors dressé afin de résorber les écarts. L’accompa-gnement du laboratoire permettra de modifier le processus naturelle-ment. L’accompagnement vers la cer-tification et/ou l’accréditation est alors assurée par Synapse Consulting. En guise d’exemple, le directeur évoque ce travail qui peut être réalisé sur un service d’urgences. « Un patient est pris en charge par le service qui réalise différentes interventions depuis l’arri-vée jusqu’au départ de la personne ». Synapse consulting peut aider à amé-liorer le processus général en dispen-sant des conseils à chaque étape pour, in fine, « obtenir un service d’une plus grande qualité encore ».

« Des professionnels au service de professionnels »

Parce que le public cible de la société possède un savoir-faire des plus poin-tus, l’accompagnement vers une plus grande qualité doit répondre aux at-tentes de ce secteur. Ainsi, les conseil-lers en qualité sont de véritables pro-fessionnels du milieu médical, « nous sommes tous formés à cet effet », pré-cise encore Georges Pecoraro, « l’avan-tage est que nous avons une équipe qui arrive avec de très bonnes connais-sances car nous sommes tous des praticiens du monde médical. Nous sommes des professionnels au ser-vice de professionnels. C’est d’ailleurs pour cela que l’entreprise fonctionne bien ». Et que le travail est reconnu. « Nous parlons le même langage que nos clients, l’équipe est composée de technologues, de médecins et de bio-logistes».

Réussite assurée

Les références sont nombreuses chez Synapse consulting, en témoigne cette certification Iso 9001 obtenue pour le Chirec, pour le CHR de la Citadelle de Liège ou encore pour les cliniques de l’Europe. Au total, ce sont plus de 40 accréditations, certifications et audits qui témoignent de la pertinence du travail accompli. Et pour faire mentir l’adage selon lequel les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés, Synapse consulting peut aussi faire valoir sa propre certification Iso 9001.

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Page 19: Dossier Ces entreprises qui gagnent

SYNAPSE CONSULTING PUBLI-ENTREPRISE ...........................................................................................................................................................MACORS

Installée à Hamois depuis trente ans, la société Macors sprl cultive avec soin et simplicité plusieurs caractères qui une fois mis ensemble constituent une identité très particulière. Il y a d’abord le professionnalisme avec toutes les exi-gences de qualité et de perfection du travail bien fait. Macors c’est du solide, du sérieux, « de la bel ouvrage», comme on dit parfois. Puis il y a la convivialité entre les membres du personnel, les architectes et les clients, qui crée une ambiance typique sur les chantiers. Ensuite, il faut compter avec l’esprit de famille qui unit les travailleurs. Macors est une PME qui emploie un peu plus de cinquante personnes spécialisées dans les différents métiers incontour-nables dans une firme de construction et de transformation. Gérard Sevrin en a pris la direction après avoir assisté M. Macors pendant de longues années. A travers le nouveau patron, une conti-nuité s’est installée et chez Macors on tient à cet attachement au passé, mais aussi à l’image de marque de la société tout en cultivant tradition et modernité. Un grand nombre des employés de la firme Macors y travaille depuis plus de vingt ans. Il y a donc ici une stabilité de l’emploi rare par les temps qui courent. Et Macors sprl est également une com-pagnie qui tient à ses racines géogra-phiques. Tous les employés habitent dans le Condroz ou les environs im-médiats. La personne la plus éloignée réside en effet à 40 km du siège de l’entreprise. Voilà qui crée une cohésion à nulle autre pareille; cela engendre une unité culturelle et géographique entre les membres du personnel.

Macors déploie ses compétences sur des bâtiments neufs, parfois à voca-tion sociale, mais la firme a aussi de grandes capacités dans la restauration et la transformation de bâtiments an-ciens dont les châteaux et les fermes. Elle opère enfin sur des chantiers pu-blics et industriels. Cette ventilation des axes d’activités, mêlée à des compé-tences précises et à des exigences de qualité absolue, permettent à Macors de passer à travers le temps, d’affron-ter les crises qui secouent notre monde depuis plusieurs décennies, sans trop de dégâts. Macors jouent donc sur la tradition et la modernité. La tradition c’est le respect des bâtiments anciens, comme le château de Ry (Mohiville), récemment restauré et transformé. La

modernité c’est la possibilité d’affron-ter un bâtiment vieux, récent ou neuf pour lui permettre d’accéder à toutes les possibilités de gestion des volumes à aménager et d’œuvrer à parfaire toutes les économies énergétiques possibles. Macors est à la pointe de l’ingénierie et de ce qui se conçoit de mieux sur le plan technique.

Puis il y a chez Macors un désir de transmettre la passion de l’artisanat. Comme dans un club de football les anciens aiment passer le flambeau de la connaissance aux plus jeunes. La direction de Macors cultive une volon-té constante et déterminée de former de jeunes candidats à se lancer dans les métiers d’art de la construction. Nombreux sont les ouvriers, contres-maîtres et autres artisans employés chez Macors qui ont gravi les échelles de la connaissance en apprenant sur le tas ou dans les ateliers, avec l’aide de leurs aînés. C’est toujours cette

filière qui est privilégiée depuis trente ans. Ce sont des métiers d’avenir et des professions qui vous remplissent de joie et de fierté. La firme Macors a de la sorte inscrit deux de ses jeunes à l’Euroskill’s Belgium 2012 qui permet de mettre en valeur les capacités des jeunes de moins de 25 ans. La for-mation est un devoir capital au sein de la firme Macors. Et la transmission d’un savoir mêlé à une volonté d’exé-cuter un travail parfait va dans le sens de la pérennité de l’outil mais aussi de l’image de fierté que chacun des artisans doit ressentir en se mettant à l’ouvrage pour le bien du client. Gérard Sevrin sait mieux que quiconque que seule la formation permet d’évoluer. Les nouveautés sont constantes, elles apparaissent partout dans tous les secteurs de la construction et il s’agit pour une firme comme Macors d’être au fait de toutes les nouveautés. «Pour tenir le cap, se positionner au sommet de notre art, nous devons évoluer, être

à l’écoute de ce qui se dit, savoir ce qui apparaît, manier les nouvelles techniques. C’est un travail rigoureux, de précision et en plus il faut choisir les bons produits », nous dit le directeur de Macors. « Nous sommes là pour servir nos clients, pour les aider à obtenir le plus d’efficacité possible de la part de leur bâtiment. Et il ne faut pas croire que la qualité est nécessairement la plus chère. Bien sûr nous ne pouvons concurrencer les firmes étrangères. Beaucoup de firmes dans la construc-

tion ont perdu des parts de marché tenant compte de cela. Mais à terme, les clients reviendront vers les firmes qui leur assurent une qualité et donc une sécurité dans l’usage des espaces construits ou restaurés avec les meil-leures exigences professionnelles». Macors est une «entreprise générale de construction» capable d’affronter des chantiers en totalité. Le contrôle de chaque étape de la construction ou de la transformation par une seule coupole associée à l’architecte, est une autre garantie d’un travail bien fait. Ph. Fy.

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Page 20: Dossier Ces entreprises qui gagnent

PUBLI-ENTREPRISE ............................................................................................................................................................. ETILUX

Elle propose des solutions d’étique-tage et de code-barres mais aussi du matériel de bureautique, des adhésifs industriels ainsi que l’ins-tallation audiovisuelle de salles de réunion.

Créée en 1972 par Didier Bronne, la société anonyme Etilux fêtera cette année ses 40 ans. Déjà dans

les années 60, celui qui allait deve-nir administrateur délégué de cette entreprise familiale travaillait dans la vente d’étiquettes. Quant au nom d’Etilux, il existe depuis 1944. Didier Bronne œuvre avec ses enfants Sophie et Olivier. Véritable Liégeois, il s’investit dans la candidature de Liège 2017.

En 40 ans, la société a pris un véri-table envol. Le siège social est tou-jours situé à Liège mais la société est également présente à Bruxelles, à Gand et au Grand-duché du Luxem-bourg.

Si les étiquettes demeurent le « core business », elles ont bien évolué au fil de ces quatre décennies d’activité. Des étiquettes gommées on est pas-sé aux étiquettes RFID (identification par radiofréquence). La société a su développer des solutions d’étique-tage et de code-barres adaptées aux besoins parfois très spécifiques de ses clients.

Outre la fabrication d’étiquettes, la société a su fidéliser sa clientèle grâce à sa large offre de produits de sécurité, d’emballage, de colles et d’adhésifs, par exemple, des rubans adhésifs imprimés aux couleurs de votre société.

Mais au-delà des produits, Etilux se démarque face à ses concurrents grâce à son métier d’intégrateur et de prestataire de services. Elle in-tègre et apporte une véritable valeur ajoutée aux produits qu’elle propose à la vente et a la capacité de les faire coïncider parfaitement avec les be-soins de ses clients.

C’est d’ailleurs dans l’audiovisuel que la société joue aussi l’un de ses rôles d’intégrateur. Elle crée chez ses clients des salles de conférence utili-sant la domotique.

La société, on l’aura compris fait du B to B. Elle peut se targuer d’afficher un chiffre d’affaire annuel de 18 millions d’euros. Elle exporte dans 40 pays. Grâce à son service sur-mesure, elle apporte une véritable valeur ajoutée aux produits qu’elle propose et offre une véritable gestion de projets : des projets en traçabilité ou en audiovisuel qui peuvent être pris en charge de A à Z. Parmi ses références, Etilux a pris en charge l’encapsulation de puces

RFID pour Delhaize ou encore la Saudi Post en Arabie Saoudite. Des com-mandes de millions de puces !

Si toutes les activités sont gérées au départ de Liège, Etilux propose à ses clients, depuis 2008, un site e-commerce où sont vendus les pro-duits non-personnalisables. Ce site est consultable en six langues et est multidevises, cela traduit ses ambi-tions quant au marché eurégional, européen et mondial.

En ce qui concerne l’exportation, Eti-lux a une véritable expertise en la matière. Sa force : avoir un savoir-faire logistique et des relations pri-vilégiées avec différents transpor-teurs. Son atout : parler 7 langues couramment : français, néerlandais, allemand, anglais, italien, espagnol et polonais.

Reste à noter que la société ne se repose pas sur ses lauriers. Elle ne cesse d’innover et c’est d’ailleurs cette innovation permanente qui lui vaudra d’être à la mi-avril présente à la grande messe de l’audiovisuel à Las Vegas.

En attendant, pour les personnes désireuses de découvrir l’entre-prise et ses nombreux services, une « solutions day » est organisée tous les deux ans sur le site liégeois. En 2011, le thème était une traçabilité plus « verte », en parfaite adéqua-tion avec les 360 panneaux photo-voltaïques placés sur le toit de leur bâtiment.

42, rue de l’Espérance4000 LIEGE (Belgium)www.etilux.com

ETILUX Une offre personnalisée et complète

Si les étiquettes demeurent le «core business», elles ont bien évolué au fil de ces quatre décennies d’activité. Des étiquettes gommées on est passé aux étiquettes RFID.

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Page 21: Dossier Ces entreprises qui gagnent

ETILUX PUBLI-ENTREPRISE ..................................................................................................................................CHASSIS DE BRUXELLES

Propriétaire d’un bien immobilier remarquable à Bruxelles, vous avez sans doute déjà été - ou le serez un jour - confronté au changement de vos fenêtres. Dans cette étape loin d’être anodine, la société Châssis de Bruxelles peut vous être d’une grande aide. Conseil, expertise, travaux, suivi, cette PME spécialisée dans les châssis de fenêtres à l’ancienne valorise votre patrimoine immobilier en respectant sa nature architecturale et la législation en vigueur. Forte d’une longue expérience, elle allie compétence de terrain et res-pect du patrimoine en faisant la part belle aux nouvelles technologies.

Entretenir un bien immobilier notable n’est pas une mince affaire. Respect du patrimoine, de l’environnement, du confort et de la technologie sont, dans ce cas, quelques uns des para-mètres à prendre en compte. Pour y voir plus clair, il est indispensable de se tourner vers des professionnels du secteur du bâtiment. La société Châssis de Bruxelles est de ceux-là. Implan-tée à Uccle et Woluwe-Saint-Lambert depuis 2009, cette PME d’une ving-taine d’employés remplace les châs-sis de fenêtres ainsi que les portes des bâtiments bruxellois, dans le res-pect du patrimoine immobilier et de la législation en vigueur. « Notre secteur prend une ampleur considérable de-puis une trentaine d’années, notam-ment depuis l’avènement du PVC », explique Frédéric Motteu, co-créateur avec Guy Mignon de l’entreprise. Mais cette société a choisi de se spécialiser dans un secteur du bâtiment bien pré-cis : le châssis en bois. « Depuis une petite dizaine d’années, nous remar-quons que ce type d’article a le vent en poupe à Bruxelles, de par les maisons remarquables qu’elle abrite. Ce type de châssis permet de remplacer ceux souvent abîmés par le temps, tout en respectant la nature architecturale du bâtiment».

Avec une croissance annuelle de son chiffre d’affaires de 35% depuis trois ans, Châssis de Bruxelles est devenu l’acteur incontournable du châssis fait à l’ancienne dans la Région de Bruxelles-Capitale. « Nous sommes une des seules sociétés à être spécia-lisée dans le bois », poursuit ce profes-sionnel présent depuis 25 ans dans le secteur. « Que ce soit pour des fenêtres guillotine, des cintrages à l’ancienne ou

des vitraux, nous privilégions la qualité, le modèle d’origine et la cohérence du bâti tout entier pour valoriser au maxi-mum les biens de nos clients ». Une philosophie de travail bonne à savoir, surtout lorsqu’on connaît la législation en vigueur dans notre capitale. « Peu de particuliers sont au courant mais un arrêté royal oblige les propriétaires de maisons à remplacer leurs châssis de fenêtre à l’identique des originaux, à moins d’obtenir un permis d’urbanisme de la commune, ce qui n’est pas tou-jours possible. C’est donc à nous de les

informer sur le sujet et c’est la mission que nous remplissons au quotidien ».

Un équipe attentive et un suivi approfondi jusqu’à la fin des travaux

Afin de satisfaire au maximum sa clien-tèle et respecter l’essence même de la construction, Châssis de Bruxelles se compose d’une petite équipe – une vingtaine de professionnels – qui conçoit et réalise de A à Z tous les étapes des travaux. « Nous prenons beaucoup de temps pour analyser le chantier, faire réaliser les modèles de châssis par une menuiserie belge renommée, les installer et contrôler le chantier terminé. Il n’y a que de cette manière que nous pouvons livrer un produit adéquat aux attentes de nos clients ». Avec un élément de la mai-son qui est le seul visible à l’intérieur comme à l’extérieur, le châssis en devient un élément de décoration sur lequel les membres de l’entreprise n’hésitent pas à donner leur avis. « Nos employés veillent à conseiller nos clients en matière de cohérence de style et d’environnement. Notre souci principal est de concilier la mise en valeur du bien et la satisfaction des

propriétaires ». Et parce que remplacer des châssis anciens est bien plus com-pliqué que d’en placer de nouveaux au sein d’une nouvelle construction, l’entreprise est bien rodée pour gérer les aléas du quotidien. « Nos technico-commerciaux, ouvriers, contre-maître et directeur technique sont très exi-geants dans leurs tâches respectives », poursuit Frédéric Motteu. « Chaque étape du processus est passé au crible pour qu’il n’y ait aucun dérapage ».

Soucieux de la qualité de ses produits, Châssis de Bruxelles propose de mul-

tiples châssis en bois : peinture garantie 10 ans, label écodurable, isolation ther-mique et acoustique performantes, es-sences de bois et couleurs différentes … les modèles sont très variés et satisfe-ront nombre de vos envies. En plus des châssis de fenêtre, la société bruxelloise propose aussi des portes et poignées originales. Alors, n’attendez pas que vos châssis tombent en morceaux et le réclament : venez nous rendre visite dans un de nos magasins !

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Page 22: Dossier Ces entreprises qui gagnent

PUBLI-ENTREPRISE ............................................................................................................................................... ILLICO TRAVAUx

Avec 35 franchisés répartis dans toute la Belgique, 1.000 chantiers par an, une expérience de plus de 10 ans et plu-sieurs prix récompensant son concept, illiCO Travaux est le leader du courtage en travaux. Si vous aussi, vous souhai-tez un nouveau départ dans votre par-cours, être à votre compte et effectuez le métier de courtier en travaux, une profession passionnante et promet-teuse, rejoignez-nous !

Voler de ses propres ailes est bien souvent le souhait de nombreux em-ployés. Horaires à la carte, proximité du domicile et meilleure hygiène de vie représentent quelques uns des avan-tages du métier de franchisé. Devenir courtier en travaux se révèle être une reconversion professionnelle idéale pour les travailleurs. Un changement

de cap qui s’apparente en réalité à un véritable projet de vie. « Chez illiCO Travaux, nous proposons à nos cour-tiers en travayx de développer une activité de service innovante et inédite en Belgique. Il s’agit de s’investir dans le marché de la construction et de la rénovation, un domaine stable et por-teur d’avenir », explique Géry Dohmen, administrateur délégué de la franchise. « Notre concept ? Nous sommes une société de services qui est l’intermé-diaire entre le client et les prestataires du bâtiment. Selon les besoins de nos consommateurs, nous leur proposons des entrepreneurs triés sur le volet et leur obtenons des devis et garanties nécessaires pour démarrer les travaux au plus vite. »

Plus que de représenter une passerelle entre particuliers et entrepreneurs, le courtier en travaux modernise vérita-blement les relations entre ces deux catégories d’acteurs. Il est l’unique contact de référence capable de pro-poser un maximum de services dis-

ponibles. « Coordinateur de chantier, architecte, maçons, électriciens, me-nuisiers... Le courtier en travaux sélec-tionne tous ces corps de métiers dans le but de garantir le bon déroulement des travaux, du côté client comme arti-san », poursuit notre interlocuteur.

Une mission facilitée par les outils que illiCO travaux met à disposition de ses franchisés. « Grâce au label Quality Pro, nos commerciaux peuvent solliciter des sociétés assurées, solvables et ayant des références satisfaisantes en ma-tière de réalisation de travaux. Ainsi, les risques encourus sont minimes et les interventions peuvent se dérouler dans un climat sécurisé et sécurisant pour toutes les parties».

Conseiller, coordonner et contrôler la fin du chantier

Si le terme courtier en travaux est un concept inventé par illiCO travaux, il importe d’en définir les principales missions. « Tout comme le courtier en assurances, il a pour but de proposer des offres comparatives aux deman-deurs en terme de travaux. Dans un premier temps, le courtier se rend chez le client et évalue ses attentes ainsi que l’ampleur du chantier. Ensuite, le courtier propose des entreprises en adéquation avec le projet certifiées par le label Quality Pro. Le courtier illiCO tra-vaux défend ensuite les devis des en-treprises chez ses clients. Une fois les devis signés, l’acompte versé le client sera consigné sur un compte tiers et libéré au démarrage du chantier. Son rôle s’arrête à ce stade car il n’est ni maître d’œuvre ni coordinateur de chantier. Et, une fois le chantier terminé, le courtier illiCO travaux vérifie la satis-faction du client ». En plus de ses capa-cités d’écoute, son pragmatisme pour

proposer des solutions adéquates aux exigences des clients et de sa forma-tion commerciale, le courtier en travaux est formé en tant qu’« eco-conseiller » pour devenir apte à répondre à toutes les questions en matière de primes à la rénovation et de primes énergies. « Des connaissances du monde du bâtiment sont aussi un plus, mais ce n’est pas obligatoire », complète Géry Dohmen.

A une période où la rénovation immo-bilière connaît un véritable essor et est amenée à s’étoffer, où les perfor-mances énergétiques comptent tou-jours plus dans nos intérêts et où le confort de l’habitat n’a jamais été aussi primordial, le métier de courtier en tra-vaux s’avère plein d’avenir. Se lancer avec illiCO travaux ne nécessite qu’un bagage matériel minimal : un gsm, un ordinateur portable et une voiture peuvent suffire selon vos objectifs et vos moyens. A l’aide notamment de formations initiales et continues poin-tues, d’un suivi du réseau et d’une aide administrative, les chances de réussite sont maximales. Avec une grande diversité de profils à son actif, les franchisés de l’entreprise bénéfi-cient d’une indépendance financière et juridique, avec en prime la notoriété de l’enseigne. Alors, que vous souhaitiez vous lancer en solo, ouvrir votre agence ou investir dans l’enseigne, venez dé-couvrir la formule illiCO travaux, un concentré de recettes expérimentées qui vous conduiront vers la réussite !

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Page 23: Dossier Ces entreprises qui gagnent

ILLICO TRAVAUx PUBLI-ENTREPRISE ................................................................................................................................ ExPERTISE-COLLECTIONS

Suite à une succession ou un démé-nagement, nous sommes tous un jour ou l’autre amenés à solliciter de spé-cialistes pour estimer ou vendre nos objets de valeur. Bijoux, décorations, pièces de monnaie ou documents an-ciens, Expertise-Collections s’avère être un solide allié lors de moments parfois difficiles. Que ce soit pour conseiller, évaluer, acheter ou vendre, cette PME de passionnés est à votre service pour expertiser vos biens avec profession-nalisme et transparence.

Rodolphe de Maleingreaun n’a pas suivi un itinéraire ordinaire. Actif aupa-ravant dans le milieu de la banque d’affaires, ce jeune entrepreneur a décidé depuis 11 ans de se consacrer à sa passion : l’estimation, l’achat et la vente d’objets de collection et de métaux précieux. Actions anciennes, bijoux d’époque timbres ou monnaies, lui et son équipe de quatre collabora-teurs sont aptes à les estimer. Que vous souhaitiez céder un bien, en connaître le prix ou le mettre en vente, Expertise-Collection peut vous être d’une grande aide et répondre à de nombreuses de vos interrogations.

« Il existe tout un tas de situations où les particuliers doivent faire appel à des experts. Lors d’un décès d’un aîné, d’une succession d’un parent, d’une trouvaille à l’occasion d’une brocante ou d’un changement d’habitat, les circonstances sont multiples. Nous sommes là pour aiguiller les gens sur la valeur de leurs biens », explique Rodolphe de Maleingreau, le directeur de la société bruxelloise. Et, dans ce type d’affaire, il vaut mieux anticiper les événements plutôt que de se laisser dépasser par les événements. « Savoir que l’on a un petit trésor chez soi et que l’on peut à ce moment-même le vendre à sa juste valeur est une perspective intéressante », poursuit ce gérant pas-sionné d’histoire et de géographie. « Nous rendre visite s’avèrera toujours instructif car, au moins, les particu-liers peuvent être fixés sur la valeur – ou non – de certains de leurs objets. Dans le meilleur des cas, ils peuvent les proposer à la vente et, dans l’autre, ils peuvent les conserver chez eux en ayant la conscience tranquille de ne pas être passés à côté de la perle de l’année ». Peut-être êtes-vous donc de ceux qui ont dans votre maison un tré-sor qui dort, une rareté qui sommeille

ou un objet inestimable couvert de poussière. Dans ce cas, venez dissiper vos doutes auprès de Rodolphe de Ma-leingreau et ses collaborateurs. Avec professionnalisme, transparence et rigueur, ces cinq spécialistes en histoire et objets d’art vous fourniront sa valeur précise et vous proposeront peut-être de le mettre en vente.

Une maison pluridisciplinaire dotée d’un réseau de collaborations internationales

Dans un domaine où la connaissance pointue est peu répandue dans le pu-

blic, il est bon de savoir vers qui se tour-ner, surtout quand un malheur survient et qu’on est alors plus vulnérable. Forte de sa collaboration avec l’Hôtel des ventes Horta à Bruxelles, Expertise-Col-lections n’est pas une nouvelle recrue dans le petit monde des experts. Située au Parvis Saint-Henri de Woluwe-Saint-Lambert, elle représente également la célèbre maison Spink implantée à Londres et fondée en 1666. Avec discré-tion mais dans le respect de la régle-mentation en vigueur, cette PME d’ex-pertise et de ventes aux enchères vous permettra de profiter en toute sécurité des opportunités du marché.

Compétente notamment dans le sec-teur des actions anciennes, timbres, bijoux, décorations et documents d’archives, cette société de cinq col-laborateurs au total peut se targuer d’être l’une des seules en Belgique à détenir autant de qualifications dans de nombreux domaines. « J’ai démarré comme collectionneur de timbres à l’âge de sept ans et, aujourd’hui, je me suis entouré d’une équipe de spécia-listes compétents pour estimer toute une série d’objets », avance notre inter-locuteur. « Mais comme j’aime à le dire, la connaissance s’accroît avec l’expé-

rience. Au fil des années, j’ai été suc-cessivement collectionneur d’actions anciennes, de pièces, de médailles et de timbres, avant de revenir à mes premières amours. C’est en vivant soi-même la collection d’objets qu’on est ensuite plus à même d’évaluer au plus près le prix de pièces de valeur ».

Tout dernièrement, Expertise-Collec-tions a ajouté une corde supplémen-taire à son arc. Désormais, la société propose aussi à ses clients de vendre les bonnes bouteilles qu’ils détiennent dans leur cave. L’objectif : les propo-ser en vente publique via la Maison

de ventes Spink, qui a repris l’étude de commissaires-priseurs la plus dyna-mique de Hong Kong à des prix très intéressants. « De cette façon, les parti-culiers pourront obtenir les prix les plus élevés, au lieu de perdre de l’argent en passant par des vendeurs intermé-diaires ». Alors, que vous ayez chez vous des Bordeaux remarquables, des lettres de Victor Hugo ou des reliques de la bataille de Waterloo, vous savez dorénavant où vous rendre !

Parvis St-Henri, 43. 1200 Woluwe St Lambert. Tél : 02 733 35 05. Ouvert le lundi sur rendez-vous et du mardi au samedi de 10h30 à 18h (le samedi jusqu’à 16 h).www.expertise-collections.com

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Page 24: Dossier Ces entreprises qui gagnent

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