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DOSSIER DE PRESSE AU CHAMP DE MARS « (Une) arme de divertissement massif » - Le Devoir UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE DE LA MANUFACTURE PRÉSENTÉE PAR LE THÉÂTRE LA SEIZIÈME DU 16 AU 19 NOVEMBRE 2011, 20h AU STUDIO 16 - 1545, 7e Avenue Ouest, Vancouver SYNOPSIS Éric, un jeune soldat tout juste revenu d’Afghanistan, souffre d’un choc post- traumatique. Incapable de retrouver une vie normale, il se tourne vers Rachel, une psychiatre à court de compassion. Rachel s’inscrit à des cours de clarinette dans l’espoir de se changer les idées, mais elle est rapidement prise à partie par son professeur, un pacifiste aussi intolérant que radical. Voulant aider Éric à sortir de son isolement, elle lui présente Marco, un cinéaste hyperactif et superficiel qui souhaite propulser sa carrière avec un film de guerre. Confronté à un entourage occupé à mener ses propres batailles, le jeune militaire se retrouve bientôt seul avec son combat intérieur. Objet de culture qui influence la mode, le cinéma et les jeux vidéos, la guerre, même si elle se passe de l’autre côté du globe, fait bel et bien partie de nos vies. Quelle que soit notre opinion sur la question, la guerre est bien réelle : des hommes et des femmes s’enrôlent, sont déployés et interviennent dans des zones de conflits armés. Mais que savons-nous vraiment de nos militaires? Et lorsqu’ils rentrent au pays, qu’advient-il d’eux? Explosive, lucide et profondément divertissante, Au champ de mars est une comédie satirique sur la guerre et ses effets qui pourrait ébranler vos positions les plus affirmées sur le sujet. BILLETS / INFORMATION BILLETS UNITAIRES : 24-27 $ ABONNEMENT TROIS SPEC- TACLES : 60-70 $ 8 $ à la porte pour les étudiants les soirs de spectacle 604-736-2616 www.seizieme.ca CONTACT MÉDIA ESTHER DUQUETTE Directrice des communications et de l’administration Théâtre la Seizième 604-736-2616 [email protected] - 1 -

Dossier de presse - Au champ de mars

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Dossier de presse d'Au champ de mars, une production du Théâtre de la Manufacture présentée à Vancouver du 16 au 19 novembre 2011 par le Théâtre la Seizième.

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Page 1: Dossier de presse -  Au champ de mars

DOSSIER DE PRESSE

AU CHAMP DE MARS« (Une) arme de divertissement massif » - Le Devoir

UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE DE LA MANUFACTUREPRÉSENTÉE PAR LE THÉÂTRE LA SEIZIÈME DU 16 AU 19 NOVEMBRE 2011, 20hAU STUDIO 16 - 1545, 7e Avenue Ouest, Vancouver

SYNOPSISÉric, un jeune soldat tout juste revenu d’Afghanistan, souffre d’un choc post-traumatique. Incapable de retrouver une vie normale, il se tourne vers Rachel, une psychiatre à court de compassion. Rachel s’inscrit à des cours de clarinette dans l’espoir de se changer les idées, mais elle est rapidement prise à partie par son professeur, un pacifiste aussi intolérant que radical. Voulant aider Éric à sortir de son isolement, elle lui présente Marco, un cinéaste hyperactif et superficiel qui souhaite propulser sa carrière avec un film de guerre. Confronté à un entourage occupé à mener ses propres batailles, le jeune militaire se retrouve bientôt seul avec son combat intérieur.

Objet de culture qui influence la mode, le cinéma et les jeux vidéos, la guerre, même si elle se passe de l’autre côté du globe, fait bel et bien partie de nos vies. Quelle que soit notre opinion sur la question, la guerre est bien réelle : des hommes et des femmes s’enrôlent, sont déployés et interviennent dans des zones de conflits armés. Mais que savons-nous vraiment de nos militaires? Et lorsqu’ils rentrent au pays, qu’advient-il d’eux?

Explosive, lucide et profondément divertissante, Au champ de mars est une comédie satirique sur la guerre et ses effets qui pourrait ébranler vos positions les plus affirmées sur le sujet.

BILLETS / INFORMATION

BILLETS UNITAIRES : 24-27 $ABONNEMENT TROIS SPEC-TACLES : 60-70 $8 $ à la porte pour les étudiants les soirs de spectacle604-736-2616www.seizieme.ca

CONTACT MÉDIA

ESTHER DUQUETTEDirectrice des communications et de l’administrationThéâtre la Seiziè[email protected]

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CRÉDITSPRODUCTEUR Théâtre de la Manufacture / TEXTE Pierre-Michel Tremblay / MISE EN SCÈNE Michel Monty /DISTRIBUTION Stéphane Demers, Josée Deschênes, Philippe Lambert, Mathieu Quesnel et Sébastien Rajotte / ASSISTANCE À LA MISE EN SCÈNE Geneviève Lessard / DÉCOR Patricia Ruel / COSTUMES Sarah Balleux /ÉCLAIRAGES Guy Simard / MUSIQUE ORIGINALE Jean-François Pednô / ACCESSOIRES Francis Farley-Lemieux / MAQUILLAGES Suzanne Trépanier

CITATIONS DE LA PRESSE« Impossible de ne pas rire durant l’heure et quart bien serrée de ce ballet dramatique. » - La Presse

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« Il est (…) réjouissant de voir l’excellente Josée Deschênes dans un rôle sérieux, où elle parvient à être totalement juste et hilarante à la fois (…). » - Le Devoir

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« (…) à la fois hyper-accessible et réfléchie. (…) une œuvre que l’on recommande sans hésiter. » - Rue Frontenac

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« (…) les textes sont punchés et sans temps morts » - Rue Frontenac

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« Avec Pierre-Michel Tremblay, (…) plus le thème est grave, plus on rigole. » - Le Devoir

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« (…) la justesse du regard de Tremblay sur les choses est fascinante. » - Voir.ca

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Auteur prolifique, Pierre-Michel Tremblay signe des textes pour la scène théâtrale et humoristique autant que pour le petit écran. On lui doit les pièces Quelques Humains, Le Rire de la mer et Mille feuilles, produites avec succès par la compagnie de théâtre Les Éternels pigistes dont il est l’un des membres fondateurs. Il est également l’auteur de Coma Unplugged, une production du Théâtre de La Manufacture qui a remporté, lors de sa création en 2007, les Masques Production Montréal et Musique, ainsi que le Prix de la critique. La pièce a aussi fait l’objet d’une traduction et sera présentée en anglais cette année par Talisman Théâtre.

Également membre fondateur du Groupe sanguin, il a codirigé la collection « Humour » chez Lanctôt Éditeur. Pas surprenant que des humoristes de renom tels Jean-Michel Anctil, Michel Barette, Marie-Lise Pilote et le tandem Lévesque-Turcotte aient fait appel à lui pour les textes de leurs spectacles ! Dans ce domaine, mentionnons qu’il a été metteur en scène et coscript-éditeur du premier spectacle solo de Jean-Thomas Jobin.

Pierre-Michel Tremblay est coauteur de plusieurs séries télévisées populaires telles Le Grand Blond avec un show sournois, Délirium, La Petite séduction, Le Fric show et Un gars, une fille. Récemment,il a scénarisé la websérie Neuro-blaste pour Radio-Canada.

MOT DE L’AUTEUR

Ceci est une histoire inventée. Elle prend sa source dans le vertige que j’ai à me faire parler de guerres sans arrêt depuis plus de trois mille ans. C’est pour le moins irritant. Et encore, je suis chanceux, je n’ai pas à la faire, à la subir, à en être victime. La grande majorité des êtres humains aime-raient mieux ne pas être en guerre et pourtant… En plus, elle engendre de la culture : des romans, des films, des jeux vidéo, de la mode. On est tous « à boute » de la guerre. Mais ça continue…

Ceci est une histoire inventée, mais je ne m’en suis pas remis qu’à mon imaginaire (il n’est pas si fiable qu’il en a l’air). J’aimerais remercier tous les journalistes d’ici qui sont allés à Kandahar. Mon ami Pierre-Yves pour m’avoir découpé l’article de « son » New York Times sur les très jeunes soldats de retour à la maison. Ma blonde qui avait le réflexe de m’enre-gistrer les reportages télé sur le sujet. La docteure Christiane Routhier pour son livre « Évaluation psychologique des traumatismes militaires ». Le journaliste Jean-Paul Mari pour son livre « Sans blessures apparentes ». L’historien Franco Cardini pour son livre « La culture de la guerre ». Le metteur en scène, les concepteurs et les acteurs du spectacle qui s’en-gagent toujours à fond. Jean-Denis Leduc et Denis Bernard pour l’intérêt et le respect sans complaisance que vous portez à mon travail.

Qu’avons-nous pour apaiser les douleurs des guerres? Bien peu de choses… Et dans ce bien peu de choses : les histoires inventées.

Pierre-Michel TremblayAUTEUR

BIOGRAPHIES

Photo: Rolline Laporte

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Michel Monty METTEUR EN SCÈNE

MOT DU METTEUR EN SCÈNE

Kandahar. Maintenant, nous connais-sons tous le nom de cette ville, située quelque part dans la banlieue de nos préoccupations. Pourtant, nous sommes en guerre.

Sur la base canadienne de Kandahar, le Tim Hortons procure des beignes aux soldats avec, en bonus, le récon-fort qui vient du décor immuable d'un restaurant Tim Hortons. On a beau se préparer à tuer ou à mourir, le beigne demeure une nécessité qui transcende la sphère alimentaire pour servir de ci-ment patriotique. Donc nous sommes en guerre.

Parmi ceux qui font le chemin du retour, il y a ceux dont la blessure est invisible. Ils ont leurs quatre membres, toutes leurs dents, aucune cicatrice, ils ne boitent pas, ne louchent pas. Pourtant ils sont cassés, marqués au fer rouge par l'horreur qu'ils ont vu de trop près. L'insondable horreur qui s'imprime à l'encre indélébile sur leur mémoire.

Je remercie Pierre Michel pour sa pièce. C’est toujours rassurant quand un auteur de théâtre inscrit son écriture dans des préoccupations ac-tuelles. Son humour distinctif traverse les scènes et j’espère que vous aurez le même plaisir à voir la pièce que nous avons eu à la faire.

Michel Monty n’en est pas à ses premières armes de mise en scène. Pour le Théâtre de La Manufacture, il a mis en scène les pièces Trois dans le dos, deux dans la tête de Jason Sherman, Antarktikos de David Young, Gagarin Way de l’auteur écossais Gregory Burke, sans oublier La Société des loisirs de François Archambault, pièce ayant remporté un immense succès dès sa création, qui fut jouée plus de 140 fois.

Au sein de Transthéâtre, compagnie qu’il a fondée et dont il est codirecteur, il a écrit et mis en scène plusieurs de ses pièces dont Accidents de parcours, Prise de sang, Exodos- la trilogie et Cyberjack.

Il a adapté et coréalisé l’adaptation pour la télé de cette dernière pièce (Pro-ductions Zingaro) qui a été présentée sur les ondes de ARTV et a fait l’objet de trois nominations au gala des Prix Gémeaux en 2003. Michel Monty est également l’instigateur, avec Brigitte Poupart, de Cabaret insupportable 1, 11 et 111 présentés de 2007 à 2010 où des artistes sont invités à créer un nu-méro présentant un irritant de la société moderne. En 2008, il présentait sa mise en scène de son texte Le Pensionnat, pièce qui revisite le passé tragique des Amérindiens qui ont vécu des séjours forcés dans des pensionnats pour autochtones.

Menant également une carrière d’acteur, on a pu le voir dans de nombreuses pièces de théâtre et émissions de télévision, notamment dans Tout sur moi, Les Bougon et Catherine. Enfin, Michel Monty a réalisé son premier long métrage, cette année, intitulé Une vie qui commence dont il signe aussi le scénario.

Photo: Rolline Laporte

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Mathieu QuesnelDANS LE RÔLE D’ÉRIC

« Pis là j’ai vu un p’tit gars, qui regardait ma boîte (de Tim Bits), Je lui en ai offert une. T’aurais dû voir ses yeux. J’pense qu’y venait de goûter au paradis. Des petites boules de bonheur sucrées, man. »

Mathieu est diplômé du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 2006. Il a participé à plusieurs productions théâtrales dont Mika l’enfant pleureur du Théâtre des Bouches Décousues, L’Emmerdeur, une production de Juste Pour Rire, La Fugue du Théâtre Qui va là et L’Odyssée de Picouille Théâtre. Récemment, il était de la distribution de Clotaire Rapaille L’Opéra Rock. À la télévi-sion on a pu le voir entre autres dans Tranches de Vie, La Galère, Les Rescapés, Tout sur Moi, Mirador, Gentleman, Penthouse 5.0, Virginie et l’Auberge du Chien Noir. Artiste très polyvalent, il a aussi fait valoir ses talents d’auteur depuis 5 ans lors des soirées Théâtre Tout Court d’Absolu Théâtre ainsi que dans les Cabarets Insupportables de la compagnieTransThéâtre. En 2009, il a co-signé Les Guerriers Facebook qui fut présenté à La Petite Licorne. Il travaille présentement à l’écriture d’un long-métrage des plus coquins.

Josée DeschênesDANS LE RÔLE DE RACHEL

« Parce que dans cette musique (le Klezmer) y’a de la douleur, mais pas juste de la douleur, de la joie aussi, de la joie en même temps que la douleur. Parce que ça me rappelle les films de Woody Allen... Y’m’fait rire, je ris pas assez, hé que je ris pas assez... »

Josée Deschênes a terminé ses études au Conservatoire d’art dramatique de Québec en 1986 et depuis, elle n’a jamais cessé de nous surprendre, au théâtre, au cinéma et à la télévision.

Au théâtre, elle a joué dans de nombreuses pièces dont Sainte-Carmen de la Main (93) de Michel Tremblay, Jeanne et les anges (94) du Théâtre Niveau Parking, dont elle est par ailleurs membre fondatrice, Moulin à paroles (97), dirigé par Marie-Thérèse Fortin, Fleurs d’acier (02), sous la direction de Mo-nique Duceppe, ainsi que dans Lentement la beauté et Le vrai monde, mises en scènes respectivement par Michel Nadeau et René-Richard Cyr en 2007. En 2010, Josée a également fait partie de la distribution de la pièce Enquête sur le pire de Fanny Britt, une création du Théâtre Debout.

À la télévision, elle s’est fait connaître du grand public grâce au personnage de Lison dans La Petite Vie qui lui valut deux prix Gémeaux : Meilleure in-terprétation catégorie humour en 2003 et Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien en 2000. Par la suite, elle a participé aux séries La part des anges, Mon meilleur ennemi, Il était une fois dans le trouble et Annie et ses hommes. Nous pouvons la suivre cette année dans Tranches de vie à TVA ainsi quand dans L’Auberge du chien noir et 30 vies à Radio-Canada.

Au cinéma, elle a interprété des rôles dans Le Polygraphe de Robert Lepage, Secret de banlieue de Louis Choquette et Les Aimants de Yves Pelletier.

Photo: Julie Perreault

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Philippe LambertDANS LE RÔLE D’ANTOINE

« Moi, je milite dans le collectif Guerre à la guerre, parce qu’on change pas le monde avec des fusils, mon ami. »

Diplômé de l’École nationale de théâtre en interprétation en 1996, Philippe Lam-bert a participé en tant qu’acteur à plusieurs productions dont Les Justes, d’Albert Camus au Théâtre Denise-Pelletier, Willy Protagoras enfermé dans les toilettes, de Wajdi Mouawad au Théâtre d’Aujourd’hui, Un simple soldat, à la Compagnie Jean-Duceppe ainsi que Roméo et Juliette et Dom Juan présentées au TNM.

Philippe Lambert a aussi mis en scène les pièces Coin Saint-Laurent (2005), Beaver (2006), Les Points tournants (2006), J’aurais voulu être un artiste (2008) et Rearview (2009), toutes présentées au Théâtre La Licorne. Cette année, il réalisera la mise en scène de Midsummer (une pièce et neuf chansons), une production du Théâtre de La Manufacture, compagnie dont il est adjoint à la direction artistique. Au cinéma, il a entre autres incarné Joseph Duquet dans le film Quand je serai parti, vous vivrez encore, de Michel Brault, et, pour la télévision, Pierre Arcand, dans la série Asbestos, ainsi que Pouet-Pouet, de l'émission et du film Pin-Pon.

Sébastien RajotteDANS LE RÔLE DU SERGENT DE FILM

« Tuer son prochain n’est pas un geste naturel, le militaire doit apprendre àa le faire... Par exemple, les piranhas plantent leurs dents dans tout ce qui se présente, mais ils se battent entre eux à coups de queue. L’armée s’est donc attaquée à combattre la nature en entraînant le soldat à tuer de sang-froid un membre de sa propre espèce. »

Dès sa sortie du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 1998, on a pu voir Sébastien Rajotte sur scène dans Les oranges sont vertes de Claude Gau-vreau, mise en scène de Lorraine Pintal. Puis, en 2001, il s’est fait remarquer pour son rôle de Niki dans Le langue-à-langue des chiens de roche et l’année suivante, dans Un tramway nommé désir, deux mises en scènes de René-Richard Cyr. En 2002 et en 2004, il est était dirigé par Frédéric Blanchette dans les pièces Pour faire une histoire courte du Théâtre ni plus ni moins et Cheech, les hommes de Chrysler sont en ville, une production du Théâtre de La Manufacture. Il a tra-vaillé avec le Théâtre Le Clou tenant des rôles dans les productions L’héritage de Darwin en 2005 et Isbergen 2008. Puis, l’année suivante, il était de la distribution de Paradixxx, de Olivier Choinière et était de la tournée de la pièce Les Points Tournants avec La Manufacture. La saison dernière, il se joignait à l’équipe de Chante avec moi, un projet théâtral pour 50 acteurs-chanteurs.

Improvisateur de talent, Sébastien Rajotte a fait partie de différentes ligues d’improvisation dont la LNI. À la télévision, il est apparu entre autres dans Watatatow, Quadra, Les invincibles, Le négociateur III et Penthouse 05. Quant au cinéma, Sébastien a tenu des rôles dans les films Le petit ciel de Jean-Sébastien Lord et Maurice Richard de Charles Binamé en plus d’avoir collaboré à de nombreux courts métrages.

Photo: Michel Olivier Girard

Photo: Marlène Gélineau Payette

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Stéphane JacquesDANS LE RÔLE DE MARCO

« Paysage désertique… À l’horizon apparaît une jeep militaire, en bas de l’écran on voit « Kandahar 2007 »... Soudain, on entend Daniel Bélanger qui chante « revivre ». Hein? Com-ment ça convenu? Ha oui, peut-être que c’est trop « on the nose ». En tout cas, je continue. Dans la jeep qui se rapproche de l’objectif on découvre Yves, un jeune militaire et là, bang, explosion … C’est ça, il revient au Québec et il est en choc post-traumatique… Comment t’as deviné? Ah ouais, à cause de « revivre »…»

Dès sa sortie de l’École nationale de théâtre, Stéphane Jacques fonde, avec Yvan Bienvenue, la compagnie de théâtre Urbi et Orbi. Comédien généreux et sensible, il a débuté au Théâtre de Quat’Sous de façon fracassante dans Nez à nez avec Benoît Brière, une pochade clownesque et hilarante écrite, mise en scène et interprétée par le duo. Stéphane Jacques a participé à plus d’une soixantaine de productions théâtrales, dont Règlement de contes, de Yvan Bienvenue (1995), Le temps d’une vie, de Roland Lepage (1997), Willy Protagoras enfermé dans les toilettes, de Wajdi Mouawad (1998), L’Enfant-problème, de George F. Walker (1998), Stampede, de François Létourneau (2001) et Les joyeuses commères de Windsor, de Shakespeare (2002).

Récemment, on a aussi pu le voir dans En découdre, de Luc Tartar (2011), dans La mélodie du bonheur, mise en scène par Denise Filiatrault (2010-2011) ainsi que dans Il n’y a plus rien de Robert Gravel (2009). Au champ de Mars est la troisième collaboration de Stéphane Jacques avec le Théâtre de La Manufac-ture puisqu’il a participé à la création de Game en 1997 et de Gagarin Way en 2003 et 2006.

À la télévision, on l’a remarqué dans Grande Ourse (2003), Le Négociateur (2005), Kiki Tronic (2007), Annie et ses hommes (2007-2009), Rock et Rolland (2009), Toute la vérité et Mauvais Karma (2010). Son rôle de Vincent Saint-Arnaud dans Virginie (2002-2010) lui a valu deux nominations aux Prix Gémeaux pour son interprétation dans un rôle de soutien. Nous pouvons actuellement le suivre dans Mirador, à Radio-Canada. Au cinéma, il a entre autres joué dans 15 février 1839, de Pierre Falardeau, Camping sauvage, de Guy A. Lepage, Miss Météo, de Nathalie Petrowski et Truffe, de Kim Nguyen.

PRODUCTEURTHÉÂTRE DE LA MANUFACTURE

Portés par la conviction que le théâtre doit avoir une incidence sociale, qu’il a pour rôle de provoquer, de chercher, de risquer, d’interroger, qu’il doit être accessible à tout public et piquer les curiosités, qu’il doit refléter les valeurs et les idées du monde moderne, le Théâtre de La Manufacture et son espace théâtral, La Licorne, partagent une même mission : être un lieu de création qui favorise la découverte de pièces récentes et de nouveaux auteurs, d’ici ou d’ailleurs, portant un regard neuf et actuel sur notre huma-nité et sur les enjeux de nos sociétés modernes.

Rappelons que La Manufacture assure la direction artistique du Théâtre La Licorne, qu’elle fondait en 1981 sur le boulevard Saint-Laurent et déména-geait sur l’avenue Papineau en 1989. La saison 2010-2011 permettait la réalisation de travaux de reconstruc-tion du Théâtre La Licorne. La saison actuelle est donc la première à se tenir dans le nouveau théâtre.

___________________________DIRECTEUR ARTISTIQUE ET GÉNÉRAL Denis Bernard / ADJOINT À LA DIRECTION Philippe Lambert / DIRECTRICE DE L’AMINISTRATION Danièle Drolet / DIRECTEUR TECHNIQUE Simon Cloutier / DIRECTRICE DES COMMUNICATIONS ET DU DÉVELOPPEMENT Claudie Barnes / RELATIONS DE PRESSE ET PROMOTION Ginette Ferland / CHARGÉS DE PRODUCTION Marie-Hélène Dufort et André Rioux / ADJOINTE ADMI-NISTRATIVE Gaëtane Laplante / RÉCEPTION ET SECRÉTARIAT Sophie Rocheleau / RESPONSABLE DE LA BILLETTERIE Valérie Michaud / GESTION-NAIRE DE RÉSEAUX Olivier Bouchard / DIRECTEUR FONDATEUR Jean-Denis Leduc

Photo: Monic Richard

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DIFFUSEURTHÉÂTRE LA SEIZIÈME

Depuis sa fondation en 1974, le Théâtre la Seizième s'est taillé une place de choix parmi les plus grands centres franco-canadiens de création et de diffusion. La compagnie produit et présente des œuvres contemporaines francophones fortes et habitées, commandées ou tirées du répertoire. Elle assume et vise à renforcer son rôle en tant que centre incontournable de dramaturgie, de créa-tion et de diffusion du théâtre franco-canadien, avec le souci constant d’appuyer la communauté artistique locale.

La programmation se veut destinée à tous, grâce aux saisons « grand public » et « jeune public », sur l’ensemble du territoire britanno-colombien. Parmi les trois spectacles grand public à l’affiche chaque année, le théâtre présente une de ses créations, produite par la Seizième, ainsi que plusieurs spectacles invités, en provenance du Canada entier. La compagnie rejoint son « jeune public », grâce aux tournées de spectacles et d’ateliers d’art dramatique dans les écoles de la province entière, de Vancouver à Prince-Rupert. Chaque année, elle propose deux spectacles à plus de 80 écoles et près de 15000 élèves.

Le Théâtre la Seizième est régulièrement récompensé pour l’excellence de ses créations. Depuis 2000, la compagnie a été nominée à 40 reprises et a rempor-té seize prix aux Jessie Richardson Awards, ainsi que le Masque de la meilleure production franco-canadienne pour sa production pour adolescents, Cette-fille là. Son directeur artistique et metteur en scène, Craig Holzschuh, est récipiendaire d’un prix Jessie soulignant sa contribution artistique ainsi que du Sydney J. Risk Award, Parmi les succès de la compagnie, on compte Des flocons pour Alicia (prix de la meilleure conception - jeune public), La vue d’en haut (Jessie du meilleur texte original), Lentement la beauté et Comment devenir parfait en trois jours ( 3 nominations aux Jessies). Enfin, L’Enfant-Problème de George F. Walker, produit en 2011, a récolté deux nominations aux prix Jessies (meilleur acteur et meilleure actrice).

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DIRECTEUR ARTISTIQUE Craig Holzschuh / DIRECTRICE DES COMMUNICATIONS ET DE L’ADMINIS-TRATION Esther Duquette / AGENTE DE PROGRAMMATION Hélène Lequitte / DIRECTEUR TECHNIQUE Jeremy Baxter

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