Du langage oral au langage ecrit au cycle 1 · du nombre au cycle 1 Animation Pédagogique du 22 mai 2019 IEP3 Source : JC Dulradjak 27 IEP3/2019 - C. Belin & L. Brunet . Plan de

IEP3/2019 - C. Belin & L. Brunet

CYCLE 1 :

« DU LANGAGE ORAL AU LANGAGE ÉCRIT »

« LA STRUCTURATION DU NOMBRE ET LA

RÉSOLUTION DE PROBLÈMES »

Animation Pédagogique du 22 mai 2019

IEP3


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DEROULEMENT DE L’ANIMATION

1 / Présentation de l’animation

2 / Focus sur les programmes

3 / Ateliers autonomes d’apprentissages

4 / Pause

5 / Apports théoriques Français et Maths /

interaction ateliers

6 / Perspective de la prochaine animation


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LE FOCUS SUR LES PROGRAMMES


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LE FOCUS SUR L’ECRIT ET LE NOMBRE


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LES ATELIERS AUTONOMES D’APPRENTISSAGE

MODALITES :

Faire au minima 3 ateliers dont 1 en math, 1

en français et 1 au choix.

Remplir les tableaux correspondants à chaque

atelier.

Durée totale : 1 heure

Durée par atelier max : 15min

4 personnes max par atelier


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LES ATELIERS - SALLE INFORMATIQUE

A1- Boîte à écrire

A2- Cahier d’écrivain

A3- Dictée à l’adulte

A4- Essais d’écriture

A5- Apprendre à écrire

A6- Situations problèmes

A7- Manuels

A8- Matériel AIM

A9- Défis Coopératiifs

A10- Tour d’appel


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DU LANGAGE ORAL

AU LANGAGE ÉCRIT

AU CYCLE 1


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PLAN DE L’INTERVENTION

1. Les programmes

2. Les enjeux

3. L’entrée dans l’écrit au cycle 1

4. Synthèse :

L’écriture tâtonnée

La dictée à l’adulte


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Le mot « langage » désigne un ensemble d’activités mises en œuvre par un individu lorsqu’il parle, écoute, réfléchit, essaie de comprendre et, progressivement, lit et écrit. L’école maternelle permet à tous les enfants de mettre en œuvre ces activités en mobilisant simultanément les deux composantes du langage :

- le langage oral : utilisé dans les interactions, en production et en réception, il permet aux enfants de communiquer, de comprendre, d’apprendre et de réfléchir. C’est le moyen de découvrir les caractéristiques de la langue française, le cas échéant d’une langue kanak et d’écouter d’autres langues parlées ;

- le langage écrit : présenté aux enfants progressivement jusqu’à ce qu’ils commencent à l’utiliser, il les habitue à une forme de communication dont ils découvriront les spécificités et le rôle pour garder trace, réfléchir, anticiper, s’adresser à un destinataire absent. Il prépare les enfants à l’apprentissage de l’écrire-lire au cycle 2 ;

- les langues vivantes : l’enseignement des langues vivantes, au-delà d’un éveil linguistique, peut s’opérer plus massivement dans une école expérimentale bilingue ou dans une école dont les parents auraient exprimé le vœu, pour leur(s) enfant(s), d’un enseignement d’une langue kanak ou d’une autre langue océanienne.

(Programme NC 2019)

MOBILISER LE LANGAGE

DANS TOUTES SES DIMENSIONS


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1/ QUE DISENT LES PROGRAMMES 2019 ?

Mobiliser le langage dans toutes ses

dimensions

L’écrit

Découvrir la fonction

de l’écrit

Découvrir le

principe

alphabétique

Commencer à

écrire tout seul

Les premières

productions autonomes

d’écrits

Les essais

d’écriture de

mots

La dictée à l’adulte L’écriture tâtonnée

Commencer à

produire des écrits et

en découvrir le

fonctionnement


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2 / LES ENJEUX

Le langage a une place essentielle a l’école maternelle, comme en témoigne le domaine mobiliser le langage dans toutes ses dimensions.

Son appropriation est donc l’élément fondateur de la réussite des élèves, vecteur de socialisation.

L’enfant s’appuie sur le langage oral pour aller vers l’écrit.

L’enseignant doit favoriser « la stimulation » et la « structuration » du langage oral et « une entrée progressive dans la culture de l’écrit ».


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Différencier message oral et écrit. L’écrit code l’oral.

La relation part de l’oral vers l’écrit (phonème vers le graphème).

Chaque occasion permet d’associer son/nom/tracé.

« L’écrit code en grande partie, non pas directement le sens, mais l’oral (la sonorité) de ce que l’on dit. »

« Ce qui est visé est la découverte de ce principe alphabétique et non l’apprentissage systématique des

relations formes orales et écrites ».

Prog 2019

LES ENJEUX


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DÉCOUVRIR LA RELATION ORAL/ÉCRIT

1er repère : l’élève ne dissocie pas dessin, graphisme, pictogramme, symboles, signes…..

2ème repère : l’élève participe à la construction de cette différenciation grâce à l’observation et la verbalisation : quand il écrit, il découpe en syllabes, nomme les lettres qu’il écrit et dit leur valeur sonore (pas systématisation mais familiarisation).

3ème repère : l’élève va identifier son prénom grâce sa longueur, et l’initiale et les lettres puis leurs valeurs sonores.


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REPERES EDUCSOL 2015


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PROGRESSION POUR DÉCOUVRIR LE PRINCIPE

ALPHABÉTIQUE

Segmenter l’oral en mots, les mots en syllabes, quelques syllabes en phonèmes.

Comprendre que la quantité d’oral correspond à l’écrit.

Comprendre que l’écrit encode l’oral.

Comprendre que les sons sont codés par des lettres

Comprendre qu’une lettre a 3 composantes : son nom, sa valeur sonore de base, son tracé.

Connaître quelques rapports phonie-graphie.

Comprendre que certains sons ne sont pas produits par les mêmes lettres.

Sens de lecture et écriture (gauche à droite)


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PRODUIRE DES ÉCRITS

DICTER ET ÉCRIRE EN AUTONOMIE

« LE COIN ÉCRIVAIN »

Nécessité de commencer par l’écriture.

Produire est un moyen essentiel pour entrer dans l’écrit.

Premiers écrits sous la tutelle de l’enseignant, devant les enfants.

Toutes les activités d’écriture active sont importantes pour la construction du principe alphabétique (copie de mot, décrire un mot en différenciant les lettres et en les nommant).


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4 / SYNTHÈSE : L’ÉCRITURE TÂTONNÉE

Savoir quelles représentations les enfants ont

de l’écrit pour construire de nouvelles

situations en lecture/écriture et agir sur ces

représentations.

Conduire l’enfant à réfléchir sur la langue et

sur ce qu’il faut faire pour la maîtriser.


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Groupe d’élèves homogènes (même niveau de

compétences langagières), ou bien parfois

hétérogènes (mimétisme, spectateur,

stimulation).

Durée 15 à 20 minutes.

Collectif, groupe, individuel.

L’ORGANISATION PEDAGOGIQUE


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Choix du projet d’écriture oral.

Rédaction du projet d’écriture.

Entretien de réflexion : Transcription dans la norme orthographique en dessous de l’écrit de l’élève. (Métalangage)

Copie de l’énoncé correct par l’élève.

LES ÉTAPES


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Pas de différence entre écriture et

dessin, le message est compris et

représenté de manière figurative.

Utilisation de signes dont

on se sert pour écrire son

prénom, de lettres parfois

inversées, parfois en miroir

ou de pseudo-lettres inventées.

LES ETAPES DE PROGRESSIVITE DANS L’APPRENTISSAGE


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Utilisation de tout ce qu’on

découvre en classe : écriture

bâton, écriture script, chiffres. Les

lettres sont utilisées comme des

objets sans valeur phonique.

Codage alphabétique ou écriture

mémorisée d’un mot connu (avec

ou sans erreurs).


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4 / SYNTHÈSE : LA DICTÉE À L’ADULTE

Activité la plus propice à mettre en évidence

le passage de l’oral à l’écrit.

« C’est l’enseignant qui juge du moment où les enfants sont prêts à prendre en charge eux‐mêmes une partie des activités que les adultes mènent avec l’écrit. Et comme il n’y a pas de pré‐lecture à l’école maternelle, cette prise en charge partielle se fait en production et largement avec l’aide d’un adulte. Toute production d’écrits nécessite différentes étapes et donc de la durée avant d’aboutir ; la phase d’élaboration orale préalable du message est fondamentale, notamment parce qu’elle permet la prise de conscience des transformations nécessaires d’un propos oral en phrases à écrire. La technique de dictée à l’adulte concerne l’une de ces étapes qui est la rédaction proprement dite. Ces expériences précoces de productions génèrent une prise de conscience du pouvoir que donne la maîtrise de l’écrit. »

Programmes de la NC 2019


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L’enseignant aide les enfants à produire de l’écrit

et à comprendre que :

Ce qui se dit peut s’écrire.

On n’écrit pas comme on parle.

L’écrit permet toutes les reprises nécessaires.

Quand on écrit on fait attention à la manière

dont on le dit, et à la façon de le dire.

Il ne suffit pas de parler pour dicter.


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L’ORGANISATION PEDAGOGIQUE

Petit groupe de 4 à 6 élèves.

Groupe d’élèves homogènes (même niveau de compétences langagières), ou bien parfois hétérogènes (mimétisme, spectateur, stimulation).

Espace de classe ou l’on peut écrire, afficher les productions, les référents, permettant à l’enseignant d’écrire en cursive (pas d’écriture à l’envers).

Etre vigilant à la posture et la position de l’enseignant lors de cette activité.


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LES ÉTAPES

1. Dire

2. Ecrire

3. Relire

4. Corriger

5. Valider

Détermination du contenu et construction du canevas.

Organiser le récit.

Mise en mots et écriture du texte dicté.

Les phases de lecture et de relecture.

Différencier raconter et dicter.

Les élèves énoncent l’écrit, l‘enseignant écrit en cursive et les conduit par son questionnement à transformer l’oral en écrit.

Passer de l’oral spontané à l’oral élaboré. Ex : « Tu as dit…..il y a une manière de le dire et une manière de l’écrire).


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LES ETAPES DE PROGRESSIVITE DANS

L’APPRENTISSAGE

L’élève est dans l’oral, comme c’est souvent le

cas en petite section.

L’enfant prend conscience de l’écrit.

L’enfant s’installe dans le registre de l’écrit de

manière consciente.

Seule la fréquence qui conduit à la régularité

avec la tâche permet a l’élève de progresser

dans la maîtrise de l’écrit.


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La construction

du nombre au

cycle 1

Animation Pédagogique

du 22 mai 2019

IEP3

Source : JC Dulradjak

IEP3/2019 - C. Belin & L. Brunet 27

Plan de l’intervention

Les programmes

Le lexique

Les enjeux

La progression

Les outils de classe


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Construire les premiers outils pour

structurer sa pensée

Découvrir les nombres et leurs utilisations

Construire le nombre pour

exprimer les quantités Stabiliser la

connaissance des

petits nombres

Acquérir la suite orale des nombres

Ecrire les nombres avec les chiffres

LA CONSTRUCTION DU NOMBRE

Construire des

premiers savoirs et

savoir-faire avec

rigueur

Utiliser le nombre

pour désigner un

rang, une position

Dénombrer


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Nouveaux programmes …

Stabiliser la connaissance des petits nombres

Au cycle 1, la construction des quantités jusqu’à dix

est essentielle.

…stabiliser la connaissance des petits nombres

demande des activités nombreuses et variées

portant sur la décomposition et recomposition des

petites quantités (trois c’est deux et encore un ; un

et encore deux ; quatre c’est deux et encore deux;

trois et encore un ; un et encore trois).

Utiliser le nombre en tant qu’expression d’une

quantité.


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Quelles relations sur les nombres

sont à construire dès le cycle 1 ?

Entre un nombre et le suivant

Autour de cinq

Autour de dix

un deux trois

Trois, c’est deux et

encore un

huit Huit c’est cinq et

trois

Douze c’est dix et deux


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Le lexique Configuration : Ensemble organisé d’éléments.

Subitizing : Reconnaissance immédiate de petites quantités. Ni

les chiffres, ni les nombres ne sont indispensables pour percevoir

des quantités.

Compter : Réciter la comptine numérique.

Enumérer : Faire un inventaire. Passer en revue les objets.

Dénombrer : Procédure permettant de déterminer le nombre

d’objets.

Itération : Répétition. Ajout d’une unité à une quantité pour en

obtenir une autre.


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Enjeux fondamentaux

Cet apprentissage conduira l’enfant à :

Rencontrer le nombre sous diverses représentations ;

Utiliser le nombre comme un outil pour comparer, réaliser des collections,

anticiper un résultat….Pour que les nombres ne soient pas appréhendés

comme des numéros ;

De ne pas utiliser trop tôt les procédures de comptage 1 à 1;

De verbaliser les nombres comme une réunion d’unités (nombre de…);

De favoriser les reconnaissances globales lorsque que c’est possible ;

Différencier le cardinal (dénombrer) de l’ordinal (ordre, position) ;

Ne pas introduire trop tôt l’écriture chiffrée, car elle ne saurait garantir la

compréhension du nombre comme cardinal d’une quantité. (C’est un

codage de notions que l’on doit construire).


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Il existe différentes procédures pour dénombrer une collection :

Subitizing ;

Reconnaissance de constellations de références (doigts de la main, dés…);

Comptage (connaissance de la comptine) ;

Calcul (connaître quelques faits numériques sur les nombres en lien avec la

comptine et l’écriture chiffrée) ;

Privilégier les situations de dénombrement, de décomposition, recomposition (en

espérant qu’ils en retiennent quelques une) ;

Utiliser les doubles ;

Utiliser les compléments à 10 ;

Surcompter à partir d’un nombre (le nombre suivant dans la comptine

correspond à 1 de plus).


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Les nombres servent à mémoriser des quantités : désigner, représenter.

Les nombres servent à comparer des quantités: relation entre les nombres.

Les nombres servent à agir sur les quantités : utiliser les nombres.

Certaines situations ne se prêtent pas à une situation par adaptation. En particulier la convention (chiffres).

Le comptage du nombre : c’est théâtraliser l’itération de l’unité.

Connaître les nombres : c’est connaître l’itération.

Bien connaître les nombres : c’est maîtriser les décompositions.


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un

deux

trois

quatre

cinq

un

deux

trois

quatre

cinq

Un enjeu fondamental: le

principe d’itération

On passe d’un nombre au suivant en ajoutant

« un »: « trois, c’est deux et encore un »

Nombre perçu comme un

numéro

Nombre perçu comme une

quantité


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D’où l’importance des représentations organisées → reconnaissance globale Exemple : les doigts de la main

« huit » c’est « cinq » et

« trois »

« huit » pour aller à « dix », il

manque « deux »

Deux , c’est un et encore un

→Pour appréhender le nombre

comme une réunion d’unités

→Pour visualiser les relations entre les nombres IEP3/2019 - C. Belin & L. Brunet

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Autre enjeu fondamental dans la construction

du nombre: établir des relations entre les

nombres

trois

« Cinq » c’est pareil que « trois et encore

deux »

Et encore

deux

Proposer des situations où l’élève va:

→ décomposer une quantité

→ réunir des quantités

→ partager une quantité 5 c’est :

• 4 et 1 de plus

• 4 et 1 en plus

• 1 de plus que 4

• 1 de moins que 6 IEP3/2019 - C. Belin & L. Brunet

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« Il y a en tout trois

pingouins. »

«Une partie des pingouins est sur le

bateau. »

« L’autre partie des

pingouins est sur la

banquise. »

«Deux pingouins sont sur le

bateau. »

« Un pingouin est sur

la banquise. »

« Deux et un, ça fait

en tout trois. »

« Trois, c’est deux et

encore un. »

Visualiser et verbaliser les relations entre les nombres

avant d’utiliser un écrit mathématique.

Une

partie

Une

partie

Le TOUT IEP3/2019 - C. Belin & L. Brunet

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RETENONS Ne pas se limiter à un à comptage

un par un ;

Favoriser la reconnaissance globale ;

Voir et verbaliser les relations entre les nombres.


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1 / Perception visuelle

2 / Apparence des collections

3 / Prise en compte des quantités

Progression


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07-C1-DA4-CONSTRUCT%C2%B0 DU NBRE-Attendus et Observables _Sit Jeux.docx

Perspectives Animation

18 septembre 2019

Dans sa classe, mettre en œuvre une des situations proposées en math et en français. En garder une trace (films, photos, traces des enfants…).

Par école, inventer et proposer un Défi coopératif autour du nombre.

Merci de votre participation !


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Documents

Du langage oral au langage ecrit au cycle 1 · du nombre au cycle 1 Animation Pédagogique du 22 mai 2019 IEP3 Source : JC Dulradjak 27 IEP3/2019 - C. Belin & L. Brunet . Plan de