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Usine chimique de la Mesta
06330 Guette
USINE CHIMIQUE DE LA MESTAA GILETTE (Alpes Maritimes)
Enquête sur la qualité des eauxDétermination de points de contrôle
. ' • • . B . R . G . M .
- 9 . JAN 1987
BIBLIOTHEQUE
BRGM
Usine chinnique de la Mesta06330 Gilette
USINE CHIMIQUE DE LA MESTAA GILETTE (Alpes Maritimes)
Enquête sur la qualité des eauxDétermination de points de contrôle
R Ciron et J. Vadon
Septembre 1986
86 SGN 527 PAC
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESService Géologique Régional Provence - Alpes - Côte d'Azur
Domaine de Luminy - Routa Léon-Lachamp - 1 3009 MarseilleTél.: 91 .41 .24.46 - Télex : BRGM 401 585 F
Agence Cdte d'Azur - Sophia-Antipolis 06565 Valbonne Cedex - Tél.: 93.74.23.24
BRGM
Usine chinnique de la Mesta06330 Gilette
USINE CHIMIQUE DE LA MESTAA GILETTE (Alpes Maritimes)
Enquête sur la qualité des eauxDétermination de points de contrôle
R Ciron et J. Vadon
Septembre 1986
86 SGN 527 PAC
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRESService Géologique Régional Provence - Alpes - Côte d'Azur
Domaine de Luminy - Routa Léon-Lachamp - 1 3009 MarseilleTél.: 91 .41 .24.46 - Télex : BRGM 401 585 F
Agence Cdte d'Azur - Sophia-Antipolis 06565 Valbonne Cedex - Tél.: 93.74.23.24
USINE CHIMIQUE DE LA MESTA - 06330 GILETTE
USINE CHIMIQUE DE LA MESTAA GILETTE (ALpes Maritimes)
ENQUETE SUR LA QUALITE DES EAUXDETERMINATION DE POINTS DE CONTROLE
pa r
P. CIRON et J . VADON
86 SGN 527 PAC Septembre 1986
RESUME
L'usine chimique de la Mesta utilise de nombreux produits chimiques de 1ère et 2èrae caté¬gories dans ses fabrications.
Les eaux réactionnelles, après neutralisation, sont rejetées sur une zone d'épandage (ca¬siers du Bec de l'Esteron) et les eaux de refroidissement dans l'Esteron. Ces rejets se faisantdans un secteur situé à l'amont de l'ensemble des champs de captage de la basse vallée du Var, leDirecteur de l'usine chimique de la Mesta a confié au Service géologique régional Provence-Alpes-Côte d'Azur du Bureau de recherches géologiques et minières une étude des moyens de surveillancede la nappe phréatique du Var. Nous avons procédé à :
- la visite des installations de l'usine, et à la prise en compte des conditions de rejets ;
- une enquête de fabrication ;
- une enquête hydraulique (contexte hydrogéologique) ;
- une campagne de prélèvements (eaux réactionnelles et de refroidissement, eaux superficielles,eaux souterraines) ;
- l'interprétation des analyses des échantillons prélevés (analyse de type I plus les phénols,hydrocarbures et DCo).
Il n'est pas noté d'indication de pollutions dans le milieu naturel. Au vu de ces résultats,l'influence (s'il y a) des rejets ne se marque pas, ce qui est probablement dû à :
- la dilution dans les eaux de surface ou souterraines ;
- la bonne imperméabilisation du site d'épandage, celui-ci se faisant sur l'un des casiers du Bec
de l'Esteron comportant en surface 80 à 90 cm de limon sablo-argileux.
Il est préconisé de :
* mettre en oeuvre deux piézomètres de contrôle dans la nappe du Var ;
* faire des prélèvements au moins trimestriels dans ces deux ouvrages et le puits de l'usine ;
'"' envisager, si les contrôles s'avèrent positifs, un décapage des limons pollués dans la zone
d'épandage et la construction d'un réservoir-tampon avec évacuation vers un lieu de traite¬ment des eaux réactionnelles ;
* contrôler le rejet des eaux de refroidissement qui ne sont pas neutres et qui empruntent leréseau de collecte des eaux de ruissellement de l'usine (cour et laboratoires) ; un déverse¬ment accidentel de produits gagnerait directement l'Esteron, pour ce faire il est envisagé de
dériver ces eaux vers un ancien canal de vidange des casiers pour ménager un voluae-tamponéventuel.
Dans le cas où le canal et le casier qui appartiennent au département des Alpes-Maritimes ne
pourraient plus être utilisés, des mesures propres à l'usine devraient être envisagées (réservoirs-tampons).
USINE CHIMIQUE DE LA MESTA - 06330 GILETTE
USINE CHIMIQUE DE LA MESTAA GILETTE (ALpes Maritimes)
ENQUETE SUR LA QUALITE DES EAUXDETERMINATION DE POINTS DE CONTROLE
pa r
P. CIRON et J . VADON
86 SGN 527 PAC Septembre 1986
RESUME
L'usine chimique de la Mesta utilise de nombreux produits chimiques de 1ère et 2èrae caté¬gories dans ses fabrications.
Les eaux réactionnelles, après neutralisation, sont rejetées sur une zone d'épandage (ca¬siers du Bec de l'Esteron) et les eaux de refroidissement dans l'Esteron. Ces rejets se faisantdans un secteur situé à l'amont de l'ensemble des champs de captage de la basse vallée du Var, leDirecteur de l'usine chimique de la Mesta a confié au Service géologique régional Provence-Alpes-Côte d'Azur du Bureau de recherches géologiques et minières une étude des moyens de surveillancede la nappe phréatique du Var. Nous avons procédé à :
- la visite des installations de l'usine, et à la prise en compte des conditions de rejets ;
- une enquête de fabrication ;
- une enquête hydraulique (contexte hydrogéologique) ;
- une campagne de prélèvements (eaux réactionnelles et de refroidissement, eaux superficielles,eaux souterraines) ;
- l'interprétation des analyses des échantillons prélevés (analyse de type I plus les phénols,hydrocarbures et DCo).
Il n'est pas noté d'indication de pollutions dans le milieu naturel. Au vu de ces résultats,l'influence (s'il y a) des rejets ne se marque pas, ce qui est probablement dû à :
- la dilution dans les eaux de surface ou souterraines ;
- la bonne imperméabilisation du site d'épandage, celui-ci se faisant sur l'un des casiers du Bec
de l'Esteron comportant en surface 80 à 90 cm de limon sablo-argileux.
Il est préconisé de :
* mettre en oeuvre deux piézomètres de contrôle dans la nappe du Var ;
* faire des prélèvements au moins trimestriels dans ces deux ouvrages et le puits de l'usine ;
'"' envisager, si les contrôles s'avèrent positifs, un décapage des limons pollués dans la zone
d'épandage et la construction d'un réservoir-tampon avec évacuation vers un lieu de traite¬ment des eaux réactionnelles ;
* contrôler le rejet des eaux de refroidissement qui ne sont pas neutres et qui empruntent leréseau de collecte des eaux de ruissellement de l'usine (cour et laboratoires) ; un déverse¬ment accidentel de produits gagnerait directement l'Esteron, pour ce faire il est envisagé de
dériver ces eaux vers un ancien canal de vidange des casiers pour ménager un voluae-tamponéventuel.
Dans le cas où le canal et le casier qui appartiennent au département des Alpes-Maritimes ne
pourraient plus être utilisés, des mesures propres à l'usine devraient être envisagées (réservoirs-tampons).
SOMMAIRE
INTRODUCTION
1. - CONTEXTE HYDROGEOLOGIQUE 1
2. - ENQUETE FABRICATION 4
2.1. ACTIVITES DE L'USINE 4
2.2. TYPES DE PRODUCTION 4
3. - CONDITIONS DE REJET ACTUELLES 6
3.1. LES EAUX REACTIONNELLES 6
3.2. LES EAUX DE REFROIDISSEMENT 6
4. - PRELEVEMENTS D'EAU ET ANALY SES CH IMIQUES 8
4.1. CONTROLES EXISTANTS 8
4.2. PRELEVEMENTS D'EAU ET ANALYSES CHIMIQUES 8
4.2.1. Prélèvements d'eau 8
4.2.2. Analyses chimiques 10
4.2.2.1. Rejets de l'usine 104.2.2.2. Les eaux de l'Esteron 104.2.2.Z. Les eaux de la nappe 10
4.3. REMARQUES 10
5. - MOYENS DE CONTROLE ET DEFINITION 12DES CONDITIONS DE REJET
5.1. RESEAU DE SURVEILLANCE DE LA NAPPE PHREATIQUE 12
5.2. CONDITIONS DE REJET 12
5.2.1. Eaux réactionnelles 12
5.2.2. Eaux de refroidissement 14
5.3. PERIODICITE ET ELEMENTS A DOSER 14POUR LE CONTROLE DE QUALITE DES EAUX
6. - CONCLUSION 15
Liste des figures :
Fig. 1 - Piézométrie (17 juin 1986) 3
Fig. 2 - Contrôle de la qualité des eaux 7points de prélèvements
Fig. 3 - Implantation des points de contrôle 13
Annexe :
Annexe 1 - Analyses chimiques existantes
SOMMAIRE
INTRODUCTION
1. - CONTEXTE HYDROGEOLOGIQUE 1
2. - ENQUETE FABRICATION 4
2.1. ACTIVITES DE L'USINE 4
2.2. TYPES DE PRODUCTION 4
3. - CONDITIONS DE REJET ACTUELLES 6
3.1. LES EAUX REACTIONNELLES 6
3.2. LES EAUX DE REFROIDISSEMENT 6
4. - PRELEVEMENTS D'EAU ET ANALY SES CH IMIQUES 8
4.1. CONTROLES EXISTANTS 8
4.2. PRELEVEMENTS D'EAU ET ANALYSES CHIMIQUES 8
4.2.1. Prélèvements d'eau 8
4.2.2. Analyses chimiques 10
4.2.2.1. Rejets de l'usine 104.2.2.2. Les eaux de l'Esteron 104.2.2.Z. Les eaux de la nappe 10
4.3. REMARQUES 10
5. - MOYENS DE CONTROLE ET DEFINITION 12DES CONDITIONS DE REJET
5.1. RESEAU DE SURVEILLANCE DE LA NAPPE PHREATIQUE 12
5.2. CONDITIONS DE REJET 12
5.2.1. Eaux réactionnelles 12
5.2.2. Eaux de refroidissement 14
5.3. PERIODICITE ET ELEMENTS A DOSER 14POUR LE CONTROLE DE QUALITE DES EAUX
6. - CONCLUSION 15
Liste des figures :
Fig. 1 - Piézométrie (17 juin 1986) 3
Fig. 2 - Contrôle de la qualité des eaux 7points de prélèvements
Fig. 3 - Implantation des points de contrôle 13
Annexe :
Annexe 1 - Analyses chimiques existantes
INTRODUCTION
duits cL'usine chimique de la Mesta utilise de nombreux pro-
himiques de 1ère et 2ème catégories dans ses fabrications
puitset desonteaux
soitsatio1 intdes 1
tenandu Be
E
de1 'E
utilréacdiren , n
erméimi tt auc de
lie es10 metsteronisés etionnectemeneutraldiairees de
dépar1 'Est
t alimentres de pr. Les débn partielies. Elit ( eaux disation e
d ' une zo1 ' établistement eteron ) .
ee en ea
of ondeurits souten eaux
es sonte refroit decantne d ' épasèment ,
réservé
u à parti, foré dairés , dede refroire j etéesdissementation ( eandage prisur des ts à 1 ' agr
r d'un pompage dans unns les alluvions du Varl'ordre de 100 mS/jour,dissement, le reste endans le milieu naturel,), soit après homogénéi-ux réactionnelles) parmaire située en dehorserrains voisins appar-iculture (domaine dit
Ces rejets se faisant dans un secteur situé à l'amontde l'ensemble des champs de captage de la basse vallée du Var,le Directeur de l'usine chimique de la Mesta a confié au Ser¬vice géologique régional Provence-Alpes-Côte d'Azur du Bureau derecherches géologiques et minières une étude des moyens de sur¬veillance de la nappe phréatique en aval des installations.
INTRODUCTION
duits cL'usine chimique de la Mesta utilise de nombreux pro-
himiques de 1ère et 2ème catégories dans ses fabrications
puitset desonteaux
soitsatio1 intdes 1
tenandu Be
E
de1 'E
utilréacdiren , n
erméimi tt auc de
lie es10 metsteronisés etionnectemeneutraldiairees de
dépar1 'Est
t alimentres de pr. Les débn partielies. Elit ( eaux disation e
d ' une zo1 ' établistement eteron ) .
ee en ea
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réservé
u à parti, foré dairés , dede refroire j etéesdissementation ( eandage prisur des ts à 1 ' agr
r d'un pompage dans unns les alluvions du Varl'ordre de 100 mS/jour,dissement, le reste endans le milieu naturel,), soit après homogénéi-ux réactionnelles) parmaire située en dehorserrains voisins appar-iculture (domaine dit
Ces rejets se faisant dans un secteur situé à l'amontde l'ensemble des champs de captage de la basse vallée du Var,le Directeur de l'usine chimique de la Mesta a confié au Ser¬vice géologique régional Provence-Alpes-Côte d'Azur du Bureau derecherches géologiques et minières une étude des moyens de sur¬veillance de la nappe phréatique en aval des installations.
1. - CONTEXTE HYDROGEOLOGIQUE
L'usine chimique de la Mesta se situe en rive gauche del'Esteron, à la confluence des alluvions du Var et de l'Esteron.
Une recherche de puits ou piézomètres atteignant la nappephréatique, susceptible d'être sous l'influence de l'usine a étéréalisée le 17 juin 1986. Le point de contrôle le plus près enaval des épandages est le puits de l'usine. Comme il n'y a pasd'utilisateur d'eau plus en aval, nous avons intégré certainspiézomètres faisant partie du réseau de surveillance de niveauxde la nappe du Var, le réseau ainsi utilisé est reporté en figu¬re 1 :
. puits de l'usine,
. piézomètre P4 bis (point de contrôle, en dehors du puitsde l'usine, le plus près en aval des épandages de l'usine)
. P51 et P38, beaucoup plus loin en aval (entre le P4 biset le P51, en rive droite du Var, se trouve un plan d'eaucréé par les exploitations de gravier dans les casiers deCarros ) ,
. P49, juste en amont de l'usine, sur l'Esteron,
. P2 et P37, en amont de l'usine sur le Var.
Une mesure piézométrique a été faite dans ces 7 points.Le niveau mesuré dans le puits de l'usine est influencé par lepompage. Ce même jour, 17 juin, ont été également prises lescotes des lignes d'eau (en m NGF) de l'Esteron et du Var. Tousces renseignements et le tracé de la piézométrie sont donnés enfigure 1 .
Il est constaté que la nappe est décrochée de l'ordre de9 m au niveau de l'Esteron, de l'ordre de 3,4 m au niveau du P2et de l'ordre de 0,9 m au niveau du P4 bis par rapport à la ligned'eau du Var. Comme nous l'avons déjà mis en évidence dans desétudes antérieures, en période de basses eaux, il n'y a pas derelation, dans ce secteur, de niveaux entre la nappe et le Vardu fait du colmatage du lit principal. Par contre, en hauteseaux l'écoulement du fleuve occupe toute la largeur du lit, làoù il n'y a pas ou peu de colmatage ce qui provoque des infil¬trations importantes et des remontées importantes de niveau dansla nappe (zone d'alimentation privilégiée).
1. - CONTEXTE HYDROGEOLOGIQUE
L'usine chimique de la Mesta se situe en rive gauche del'Esteron, à la confluence des alluvions du Var et de l'Esteron.
Une recherche de puits ou piézomètres atteignant la nappephréatique, susceptible d'être sous l'influence de l'usine a étéréalisée le 17 juin 1986. Le point de contrôle le plus près enaval des épandages est le puits de l'usine. Comme il n'y a pasd'utilisateur d'eau plus en aval, nous avons intégré certainspiézomètres faisant partie du réseau de surveillance de niveauxde la nappe du Var, le réseau ainsi utilisé est reporté en figu¬re 1 :
. puits de l'usine,
. piézomètre P4 bis (point de contrôle, en dehors du puitsde l'usine, le plus près en aval des épandages de l'usine)
. P51 et P38, beaucoup plus loin en aval (entre le P4 biset le P51, en rive droite du Var, se trouve un plan d'eaucréé par les exploitations de gravier dans les casiers deCarros ) ,
. P49, juste en amont de l'usine, sur l'Esteron,
. P2 et P37, en amont de l'usine sur le Var.
Une mesure piézométrique a été faite dans ces 7 points.Le niveau mesuré dans le puits de l'usine est influencé par lepompage. Ce même jour, 17 juin, ont été également prises lescotes des lignes d'eau (en m NGF) de l'Esteron et du Var. Tousces renseignements et le tracé de la piézométrie sont donnés enfigure 1 .
Il est constaté que la nappe est décrochée de l'ordre de9 m au niveau de l'Esteron, de l'ordre de 3,4 m au niveau du P2et de l'ordre de 0,9 m au niveau du P4 bis par rapport à la ligned'eau du Var. Comme nous l'avons déjà mis en évidence dans desétudes antérieures, en période de basses eaux, il n'y a pas derelation, dans ce secteur, de niveaux entre la nappe et le Vardu fait du colmatage du lit principal. Par contre, en hauteseaux l'écoulement du fleuve occupe toute la largeur du lit, làoù il n'y a pas ou peu de colmatage ce qui provoque des infil¬trations importantes et des remontées importantes de niveau dansla nappe (zone d'alimentation privilégiée).
Dans ce secteur donc les fluctuations saisonnières sontimportantes (supérieures à 10 m). Au droit de la zone d'épanda¬ge des eaux réactionnelles le niveau piézométrique calculé au17 juin 1986 s'établit à 7,5 m de profondeur. En examinant l'his¬torique des mesures aux piézomètres faisant partie du réseau desurveillance de la nappe du Var, en période de hautes eaux, leniveau piézométrique peut s'établir à 2 m seulement de profon¬deur au droit de la zone d'épandage.
Les écoulements se font globalement vers le Sud (fig. 1)avec un point singulier au niveau de la confluence Esteron-Var.Lorsque le niveau de la nappe de l'Esteron est plus bas quecelui du Var : écoulement NE-SO au niveau des casiers du Bec del'Esteron, la zone d'épandage est située sur la nappe du Var.
Les captages A.E.P. les plus proches de l'usine sont lechamp de captage de Carros en rive droite (à plus de 5 km del'usine et le champ de captage du Silcen en rive gauche (à plusde 4 km de l'usine).
Dans ce secteur donc les fluctuations saisonnières sontimportantes (supérieures à 10 m). Au droit de la zone d'épanda¬ge des eaux réactionnelles le niveau piézométrique calculé au17 juin 1986 s'établit à 7,5 m de profondeur. En examinant l'his¬torique des mesures aux piézomètres faisant partie du réseau desurveillance de la nappe du Var, en période de hautes eaux, leniveau piézométrique peut s'établir à 2 m seulement de profon¬deur au droit de la zone d'épandage.
Les écoulements se font globalement vers le Sud (fig. 1)avec un point singulier au niveau de la confluence Esteron-Var.Lorsque le niveau de la nappe de l'Esteron est plus bas quecelui du Var : écoulement NE-SO au niveau des casiers du Bec del'Esteron, la zone d'épandage est située sur la nappe du Var.
Les captages A.E.P. les plus proches de l'usine sont lechamp de captage de Carros en rive droite (à plus de 5 km del'usine et le champ de captage du Silcen en rive gauche (à plusde 4 km de l'usine).
I K V, - MFig.1
PIEZOMETRIE (17juin1986)
/ O ? ,
Point d'inventaire etniveau piézomètrique en m. N G F
Ligne d eau en m. NG F
Echelle 1/ 10000
: >86 SGN 527 PAC
• 1
2. - ENQUETE FABRICATION
2.1. - ACTIVITES OE L'USINE
L'usine chimique de la Mesta a été créée en 1971 et lapremière fabrication date du 6 août 1973.
Les premières activités ont consisté à faire un retrai¬tement de purification de "principes actifs" pharmaceutiquesd'importation plus ou moins conformes :
- sécher un produit humide,- rendre incolore un produit coloré accidentellement ..,
nières étape, 'usine s'est ensuite spécialisée dans les trois der-,apes de fabrication de médicaments et actuellement elle
s'occupe de recherches et de développement sur des techniques defabrication de produits nouveaux pour des sociétés telles queATOCHEM, l'Union chimique belge, ... :
- sur un produit qu'une société a mis au point dans seslaboratoires, il est demandé à l'usine chimique de laMesta de tester le passage à la fabrication indus¬trielle en constituant une petite unité pilote.
2.2. - TYPES DE PRODUCTION
La production de l'usine va de 20 kg à 1000 kg par moisavec une moyenne de 200-300 kg par mois. L'essentiel des traite¬ments relève de la chimie organique fine.
Les principales matières utilisées sont :
. acide méthoxy sulfamoyl benzoïque,
. acide méthylique,
. acide sulfurique ou chlorydrique ,
. éthyl aminométhyl pyrrolidine,
. diéthylaminoéthyl méthoxy methyl sulfonyl benzamide,
. alcool éthylique,
. méthoxy acétaminobenzoate de méthyle,
. diethyl amino éthyl amine,
. alcool méthylique,
. acide acétique,
. alcool isoprophylique ,
. diphényl oxyde,
. dibromométhane ,
. brome liquide,
. chlorhydrine sulfurique,
. acide salicilique.
2. - ENQUETE FABRICATION
2.1. - ACTIVITES OE L'USINE
L'usine chimique de la Mesta a été créée en 1971 et lapremière fabrication date du 6 août 1973.
Les premières activités ont consisté à faire un retrai¬tement de purification de "principes actifs" pharmaceutiquesd'importation plus ou moins conformes :
- sécher un produit humide,- rendre incolore un produit coloré accidentellement ..,
nières étape, 'usine s'est ensuite spécialisée dans les trois der-,apes de fabrication de médicaments et actuellement elle
s'occupe de recherches et de développement sur des techniques defabrication de produits nouveaux pour des sociétés telles queATOCHEM, l'Union chimique belge, ... :
- sur un produit qu'une société a mis au point dans seslaboratoires, il est demandé à l'usine chimique de laMesta de tester le passage à la fabrication indus¬trielle en constituant une petite unité pilote.
2.2. - TYPES DE PRODUCTION
La production de l'usine va de 20 kg à 1000 kg par moisavec une moyenne de 200-300 kg par mois. L'essentiel des traite¬ments relève de la chimie organique fine.
Les principales matières utilisées sont :
. acide méthoxy sulfamoyl benzoïque,
. acide méthylique,
. acide sulfurique ou chlorydrique ,
. éthyl aminométhyl pyrrolidine,
. diéthylaminoéthyl méthoxy methyl sulfonyl benzamide,
. alcool éthylique,
. méthoxy acétaminobenzoate de méthyle,
. diethyl amino éthyl amine,
. alcool méthylique,
. acide acétique,
. alcool isoprophylique ,
. diphényl oxyde,
. dibromométhane ,
. brome liquide,
. chlorhydrine sulfurique,
. acide salicilique.
L'eau pompée dans la nappe du Var est utilisée commeeau de refroidissement et pour une moindre mesure en eau réac¬tionnelle (formation d'acide chlorydrique et d'acide sulfuri¬que, acide bromhydrique , extraction de sels métalliques de cen-cendres de sodium ou de sulfure). En général les solvants utili¬sés sont des alcools (méthylique, éthylique).
Les déchets peuvent être solides ou liquides. Ils sontpour la plupart récupérés par un établissement chargé de leurséliminations par incinération ou autre (recyclage, ATOCHEM,SIVOM, ...). Ces déchets récupérés sont en général :
- methanol acqueux,- résidus de distillation de diéthanol amine,- solution d'acide bromhydrique, ...
Les eaux réactionnelles (acides sulfuriques, chlorydri-ques et acétiques) sont neutralisées par la soude caustique,l'ammoniaque, la chaux à pH 7 et rejetées après filtration dansla zone d'épandage.
Les eaux d'épandage ne contiennent donc pour l'essentielque des sels minéraux chlorures, sulfates et acétates de soudede calcium ou d'ammoniaque. Les volumes rejetés (donnés parl'exploitant) sont de 2 à 5 mS/jour avec des concentrations quivarient de 0,5 à 5%.
L'eau pompée dans la nappe du Var est utilisée commeeau de refroidissement et pour une moindre mesure en eau réac¬tionnelle (formation d'acide chlorydrique et d'acide sulfuri¬que, acide bromhydrique , extraction de sels métalliques de cen-cendres de sodium ou de sulfure). En général les solvants utili¬sés sont des alcools (méthylique, éthylique).
Les déchets peuvent être solides ou liquides. Ils sontpour la plupart récupérés par un établissement chargé de leurséliminations par incinération ou autre (recyclage, ATOCHEM,SIVOM, ...). Ces déchets récupérés sont en général :
- methanol acqueux,- résidus de distillation de diéthanol amine,- solution d'acide bromhydrique, ...
Les eaux réactionnelles (acides sulfuriques, chlorydri-ques et acétiques) sont neutralisées par la soude caustique,l'ammoniaque, la chaux à pH 7 et rejetées après filtration dansla zone d'épandage.
Les eaux d'épandage ne contiennent donc pour l'essentielque des sels minéraux chlorures, sulfates et acétates de soudede calcium ou d'ammoniaque. Les volumes rejetés (donnés parl'exploitant) sont de 2 à 5 mS/jour avec des concentrations quivarient de 0,5 à 5%.
3. - CONDITIONS DE REJET ACTUELLES
3.1. - LES EAUX REACTIONNELLES
Elles sont rejetées, après neutralisation, dans uncasier du Bec de l'Esteron (figure 2), sur une superficie del'ordre de 400 m2, pour être reprises par evaporation. Lesol constitué de 0,8 m de limons sablo-argileux recouvre lesgraviers et galets de la nappe alluviale du Var.
_- La perméabilité de ce recouvrement a été estimé à7.10 m/s lors d'essais d'alimentation artificielle par épan¬dage d'eau du Var dans ces casiers en 1971-72. Il est probableque la concentration en sels minéraux du sol sous l'effet de1 evaporation des eaux réactionnelles a réduit cette perméabi¬lité. La baisse de la ligne d'eau du Var a eu pour conséquence,entre autres, de mettre hors d'eau (plusieurs mètres) les pri¬ses d'alimentation en eau de ces casiers.
L'épandage des eaux réactionnelles n'empêche pas lavégétation de se développer (genêts, ...). Ces eaux sont sta¬gnantes .
3.2. - LES EAUX DE REFROIDISSEMENT
3. - CONDITIONS DE REJET ACTUELLES
3.1. - LES EAUX REACTIONNELLES
Elles sont rejetées, après neutralisation, dans uncasier du Bec de l'Esteron (figure 2), sur une superficie del'ordre de 400 m2, pour être reprises par evaporation. Lesol constitué de 0,8 m de limons sablo-argileux recouvre lesgraviers et galets de la nappe alluviale du Var.
_- La perméabilité de ce recouvrement a été estimé à7.10 m/s lors d'essais d'alimentation artificielle par épan¬dage d'eau du Var dans ces casiers en 1971-72. Il est probableque la concentration en sels minéraux du sol sous l'effet de1 evaporation des eaux réactionnelles a réduit cette perméabi¬lité. La baisse de la ligne d'eau du Var a eu pour conséquence,entre autres, de mettre hors d'eau (plusieurs mètres) les pri¬ses d'alimentation en eau de ces casiers.
L'épandage des eaux réactionnelles n'empêche pas lavégétation de se développer (genêts, ...). Ces eaux sont sta¬gnantes .
3.2. - LES EAUX DE REFROIDISSEMENT
. s \
Fig. 2
CONTROLE QUALITE DES EAUXPOINTS DE PRELEVEMENTS
Amont Esteron = amester (dans le tableau informatique
4.2.1}
Echelle 1/1OOOO
Amont Esferon• lomester)
eaux de refroidissement(eau f roi)
rV X s
86 SGN 527..1
4. - PRELEVEMENTS D'EAU ET ANALYSES CHIMIQUES
4.1. - CONTROLES EXISTANTS
Le Directeur de l'usine chimique nous a remis quelquesanalyses dont seules quatre se rapportent à un point de prélè¬vement identifiable : le puits de l'usine. Il s'agit d'analyseseffectuées le 14 octobre 1975 par la CIPALM et les 5 février1973, 28 mai 1974 et 29 juin 1976 parle laboratoire d'hygiènede la ville de Nice, que l'on peut consulter en annexe 1.
ce n'est des
4.2. - PRELEVEMENTS D'EAU ET ANALYSES CHIMIQUES
4.2.1. Prélèvements d'eau
Nous avons procédé à une série de prélèvements d'eaule 17 juin 1986 (figure 2) :
* rejets de l'usine :
- échantillon d'eaux réactionnelles prélevé dans la zoned'épandage (il n'y avait pas de rejet ce jour-là) ;
- échantillon d'eaux de refroidissement prélevé au pointde rejet de l'Esteron ;
* eaux de la nappe :
- quatre prélèvements ont été effectués, en amont et enaval de l'usine dans des piézomètres ou des puits (P49,P2, P4bis et le puits de l'usine) ;
* eaux de surface de 1' esteron :
- deux prélèvements, l'un à l'amont et l'autre en avalde l'usine, ont été effectués.
4. - PRELEVEMENTS D'EAU ET ANALYSES CHIMIQUES
4.1. - CONTROLES EXISTANTS
Le Directeur de l'usine chimique nous a remis quelquesanalyses dont seules quatre se rapportent à un point de prélè¬vement identifiable : le puits de l'usine. Il s'agit d'analyseseffectuées le 14 octobre 1975 par la CIPALM et les 5 février1973, 28 mai 1974 et 29 juin 1976 parle laboratoire d'hygiènede la ville de Nice, que l'on peut consulter en annexe 1.
ce n'est des
4.2. - PRELEVEMENTS D'EAU ET ANALYSES CHIMIQUES
4.2.1. Prélèvements d'eau
Nous avons procédé à une série de prélèvements d'eaule 17 juin 1986 (figure 2) :
* rejets de l'usine :
- échantillon d'eaux réactionnelles prélevé dans la zoned'épandage (il n'y avait pas de rejet ce jour-là) ;
- échantillon d'eaux de refroidissement prélevé au pointde rejet de l'Esteron ;
* eaux de la nappe :
- quatre prélèvements ont été effectués, en amont et enaval de l'usine dans des piézomètres ou des puits (P49,P2, P4bis et le puits de l'usine) ;
* eaux de surface de 1' esteron :
- deux prélèvements, l'un à l'amont et l'autre en avalde l'usine, ont été effectués.
Les échantillons ont été analysés par le laboratoired'hygiène de la ville de Nice. L'analyse demandée est du typeI avec en plus la demande chimique en oxygène (DCO), les phé¬nols et les hydrocarbures. Les résultats sont présentésc i-après .
USINE CHIMIQUE DE Lft MESTA
PRELEVEMENTS EAUREAC»EfiUFROI»P 49 «P 2 P.USINE*P 4 bis*AMESTER»AVESTER*
HC03 en mg/l 341.6* 29.3» 195.2» 96.4» 230.0» 91.5» 166.0» 187.7»»»»»»»»»»»*«**»»»*»***»»»»»»*»»»*»»»»»»»»»«»»»»«*»»*»»»»»»»»«»«»»»»«**»**«»*»**«*»»
S04 en mg/l » 3000.0* 130.0» 66.0* 70.0» 148.0» 72.0» 53.0» 52.0»»»*»»»»»»»»»******«***»***»»»»»»«»»»»»«**»******»****«»»»»»»»»»**»*»»»»»»»»*»»»»»»*»»»
CL en mg/l » 1480.0» 169.0» 13.6» 15.6» 28.0» 17.4» 12.8» 12.0*
N03 en mg/l » .0.1» 1.8» 3.5* 1.3» 0.8* 0.7» 0.4» 0.2»»»»»»»»***»*»»»»»»»»»*»***»»»»»»»»»»»»»»»»************»»»*»»»»»»»****»«*»»****»»»»»»»*
CA en mg/l * 181.6» 136.0» 61.5» 43.8» 82.9» 43.9» 52.4» 43.2»
MG en mg/l
NA en mg/l
K en mg/l
NH4 en mg/l
PH
RESISTIVITE-
TH en «F
P04 en mg/l
FE en jJg/1
DCO en mg/l
-Ohm. cm
PHENOLS en ^g/1
HYOROCARBURES-Mg / 1
RESIDU UO* -mg/l
»
»
»
»
»
»
»
»
*
*
*
»
«
36.5»
234.0»
9.4»
1452.0»
7.3»
91.0»
60.6»
5.0*
720. 0»
796.0»
5.0»
10.0»
7148.0»
21.4*
26.2*
1.8»
25.0»
5.6»
1207.0»
42,9»
3.5»
200.0»
935.0»
36.0»
10.0»
1433.0»
11.9»
13. 1»
2. 1»
0.2»
7.5»
2300.0»
20.3»
0.0*
200.0*
14.0*
5.0*
30.0*
317.0»
6.8»
9. 1»
0.8»
0.2*
7.8*
3174.0*
13.8*
0.0*
200.0»
lO.O»
5.0»
30.0»
247.0»
22. 1»
20.8»
2.3»
0.2»
7.4»
1650.0»
30.0»
0.2»
350.0*
12.0*
5.0*
30.0*
510.0*
6.7*
9.7*
0.7*
0.3*
8.0*
3257.0*
13.8»
0.0»
200.0»
10.0»
5.0»
328.0*
233.0»
9.8»
8. 1*
0.7»
0.8*
8.0*
2873.0*
17.2*
0.0*
200.0*
12.0»
5.0»
18.0»
8. 1»
0.9»
0.6»
8.0»
2923.0»
18.3»
0.0»
200.0»
17.0»
5.0»
326.0» 30.0»
277.0» 238.0»
Veri -f ication da la balanceEAUREACEAUFROIP 49P 2P. USINEP 4 bisAMESTERAVESTER
anee ioniqueSommeSommeSommeSommeSommaSommeSommeSomme
desdesdesdesdesdesdesdes
anionsanionsanionsanionsanionsanionsanionsanions
=
«
»
9
=
'
a
=
110.3878.045625.0200233.5056667.6667293.5077884. 1982894.306789
Somme des cations »Somma daa cations >
Somma dasSomme dasSomma dasSomme desSomme dasSomme das
cations =cations 'cations »cations 'cationscations -
103.200211.15566
4.7003083. 1847956.9392433.2066833.834344.068545
Seuils de dosage des élémentsFe : < 200 pg
OCO : < 10 mg
Phénols : < 5 ug
Hydrocarbures : < 10 pg
Les échantillons ont été analysés par le laboratoired'hygiène de la ville de Nice. L'analyse demandée est du typeI avec en plus la demande chimique en oxygène (DCO), les phé¬nols et les hydrocarbures. Les résultats sont présentésc i-après .
USINE CHIMIQUE DE Lft MESTA
PRELEVEMENTS EAUREAC»EfiUFROI»P 49 «P 2 P.USINE*P 4 bis*AMESTER»AVESTER*
HC03 en mg/l 341.6* 29.3» 195.2» 96.4» 230.0» 91.5» 166.0» 187.7»»»»»»»»»»»*«**»»»*»***»»»»»»*»»»*»»»»»»»»»«»»»»«*»»*»»»»»»»»«»«»»»»«**»**«»*»**«*»»
S04 en mg/l » 3000.0* 130.0» 66.0* 70.0» 148.0» 72.0» 53.0» 52.0»»»*»»»»»»»»»******«***»***»»»»»»«»»»»»«**»******»****«»»»»»»»»»**»*»»»»»»»»*»»»»»»*»»»
CL en mg/l » 1480.0» 169.0» 13.6» 15.6» 28.0» 17.4» 12.8» 12.0*
N03 en mg/l » .0.1» 1.8» 3.5* 1.3» 0.8* 0.7» 0.4» 0.2»»»»»»»»***»*»»»»»»»»»*»***»»»»»»»»»»»»»»»»************»»»*»»»»»»»****»«*»»****»»»»»»»*
CA en mg/l * 181.6» 136.0» 61.5» 43.8» 82.9» 43.9» 52.4» 43.2»
MG en mg/l
NA en mg/l
K en mg/l
NH4 en mg/l
PH
RESISTIVITE-
TH en «F
P04 en mg/l
FE en jJg/1
DCO en mg/l
-Ohm. cm
PHENOLS en ^g/1
HYOROCARBURES-Mg / 1
RESIDU UO* -mg/l
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*
*
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234.0»
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1452.0»
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5.0»
18.0»
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8.0»
2923.0»
18.3»
0.0»
200.0»
17.0»
5.0»
326.0» 30.0»
277.0» 238.0»
Veri -f ication da la balanceEAUREACEAUFROIP 49P 2P. USINEP 4 bisAMESTERAVESTER
anee ioniqueSommeSommeSommeSommeSommaSommeSommeSomme
desdesdesdesdesdesdesdes
anionsanionsanionsanionsanionsanionsanionsanions
=
«
»
9
=
'
a
=
110.3878.045625.0200233.5056667.6667293.5077884. 1982894.306789
Somme des cations »Somma daa cations >
Somma dasSomme dasSomma dasSomme desSomme dasSomme das
cations =cations 'cations »cations 'cationscations -
103.200211.15566
4.7003083. 1847956.9392433.2066833.834344.068545
Seuils de dosage des élémentsFe : < 200 pg
OCO : < 10 mg
Phénols : < 5 ug
Hydrocarbures : < 10 pg
10
4.2.2. Ana^^ses_çh2m2gues
4.2.2.1. Rejets de V 'usine
Les eaux réactionnelles sont très chargées en sulfates,chlorures, calcium, sodium, ammonium ainsi qu'en fer et en DCO.La neutralisation donne bien un pH voisin de 7 (7,3). On ne notepas de phénol et d'hydrocarbures.
Les eaux de refroidissement sont relativement moinschargées mais on a affaire à une eau agressive (pH : 5,6). Ony retrouve des sulfates, des chlorures et une forte DCO. Con¬trairement aux eaux réactionnelles, les phénols sont présents(0,036 mg/l). En fait, comme nous l'avons signalé au chapitreles eaux dites de "refroidissement" ne sont pas neutres.
4.2.2.2. Les eaux de l'Esteron
Il s'agit d'eau bicarbonatée faiblement minéralisée.Le seul indice de contamination concerne les hydrocarbures avecune diminution forte entre l'amont et l'aval qui peut être dueà un mauvais brassage des filets liquides. L'influence du rejetdes eaux de "refroidissement" ne se marque pas (dilution et/oumauvais brassage).
4 .2 .2 .Z . Les eaux de la nappe
Les eaux de la nappe du Var sont plus faiblement minéra¬lisées que la nappe de l'Esteron (P49). Le puits de l'usinedonne les eaux les plus minéralisées (sulfates) ce qui est pro¬bablement dû à la présence proche du Trias. On ne trouve pasd'indicateur de pollution (chlorures). Une anomalie est toute¬fois à signaler au P4 bis où l'on trouve des hydrocarbures enquantité égale au point de prélèvement amont sur l'Esteron.
4.3. - REMARQUES
Il n'a pas été reconnu, pour les éléments analysés dansle milieu naturel, d'indicateurs de pollution autres que leshydrocarbures totaux. Cet élément a été identifié en amont del'usine dans l'Esteron et en aval au P4bis (eau souterraine).
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4.2.2. Ana^^ses_çh2m2gues
4.2.2.1. Rejets de V 'usine
Les eaux réactionnelles sont très chargées en sulfates,chlorures, calcium, sodium, ammonium ainsi qu'en fer et en DCO.La neutralisation donne bien un pH voisin de 7 (7,3). On ne notepas de phénol et d'hydrocarbures.
Les eaux de refroidissement sont relativement moinschargées mais on a affaire à une eau agressive (pH : 5,6). Ony retrouve des sulfates, des chlorures et une forte DCO. Con¬trairement aux eaux réactionnelles, les phénols sont présents(0,036 mg/l). En fait, comme nous l'avons signalé au chapitreles eaux dites de "refroidissement" ne sont pas neutres.
4.2.2.2. Les eaux de l'Esteron
Il s'agit d'eau bicarbonatée faiblement minéralisée.Le seul indice de contamination concerne les hydrocarbures avecune diminution forte entre l'amont et l'aval qui peut être dueà un mauvais brassage des filets liquides. L'influence du rejetdes eaux de "refroidissement" ne se marque pas (dilution et/oumauvais brassage).
4 .2 .2 .Z . Les eaux de la nappe
Les eaux de la nappe du Var sont plus faiblement minéra¬lisées que la nappe de l'Esteron (P49). Le puits de l'usinedonne les eaux les plus minéralisées (sulfates) ce qui est pro¬bablement dû à la présence proche du Trias. On ne trouve pasd'indicateur de pollution (chlorures). Une anomalie est toute¬fois à signaler au P4 bis où l'on trouve des hydrocarbures enquantité égale au point de prélèvement amont sur l'Esteron.
4.3. - REMARQUES
Il n'a pas été reconnu, pour les éléments analysés dansle milieu naturel, d'indicateurs de pollution autres que leshydrocarbures totaux. Cet élément a été identifié en amont del'usine dans l'Esteron et en aval au P4bis (eau souterraine).
11
L'influence des rejets de l'usine ne ressort pas pourune (ou plusieurs) des raisons suivantes :
- le recouvrement limoneux du casier est suffisammentimperméable ,
- il y a dilution dans la rivière et la nappe,
- les points de prélèvements ne sont peut-être pas repré¬sentatifs (en aval).
Il est probable qu'un compromis entre les deux premierspoints existe ; quant aux points de prélèvements non représenta¬tifs qui existent en aval l'allure particulière des courbespiézométriques peut confirmer ces propos. Il n'est pas sûr eneffet que transite par le P4bis, du moins à l'époque des prélè¬vements, les infiltrations éventuelles de la zone d'épandage.Par contre, la non représentativité du puits de l'usine estmoins évidente à établir.
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L'influence des rejets de l'usine ne ressort pas pourune (ou plusieurs) des raisons suivantes :
- le recouvrement limoneux du casier est suffisammentimperméable ,
- il y a dilution dans la rivière et la nappe,
- les points de prélèvements ne sont peut-être pas repré¬sentatifs (en aval).
Il est probable qu'un compromis entre les deux premierspoints existe ; quant aux points de prélèvements non représenta¬tifs qui existent en aval l'allure particulière des courbespiézométriques peut confirmer ces propos. Il n'est pas sûr eneffet que transite par le P4bis, du moins à l'époque des prélè¬vements, les infiltrations éventuelles de la zone d'épandage.Par contre, la non représentativité du puits de l'usine estmoins évidente à établir.
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5. - MOYENS DE CONTROLE ET DEFINITION
DES CONDITIONS DE REJET
5.1 . RESEAU DE SURVEILLANCE DE LA NAPPE PHREATIQUE
De par sa position le piézomètre P4bis est maintenantabandonné (ruine de l'ouvrage par l'érosion des lits de l'Es¬teron et du Var ) .
le réseau de surveillance pourraît être composé dedeux ouvrages (figure 3) situés juste en aval de la zoned'épandage, à l'aplomb de l'usine.
Ces ouvrages traverseront entièrement l'aquifère (del'ordre de 20 m de profondeur), seront crépines sur la tranchemouillée et une cimentation en tête devra être faite.
5.2. - CONDITIONS DE REJET
5.2.1. Eaux réactionnelles
En première approche rien n'indique que les caractéris¬tiques naturelles de la zone d'épandage ne soient pas favora¬bles à l'épandage d'autant plus qu'a priori les rejets sontcontrôlés et maîtrisés. Si le réseau de surveillance montre àterme le contraire, il sera nécessaire d ' etanchéif ier ce secteurou prévoir un réservoir de stockage temporaire avant l'évacua¬tion de ces eaux vers une unité de traitement. Il sera alorségalement nécessaire de décaper les limons pollués.
Si le département ou la commune de Gilette envisageaitde réutiliser le casier, c'est bien évidemment la solution destockage temporaire qui sera à envisager.
12
5. - MOYENS DE CONTROLE ET DEFINITION
DES CONDITIONS DE REJET
5.1 . RESEAU DE SURVEILLANCE DE LA NAPPE PHREATIQUE
De par sa position le piézomètre P4bis est maintenantabandonné (ruine de l'ouvrage par l'érosion des lits de l'Es¬teron et du Var ) .
le réseau de surveillance pourraît être composé dedeux ouvrages (figure 3) situés juste en aval de la zoned'épandage, à l'aplomb de l'usine.
Ces ouvrages traverseront entièrement l'aquifère (del'ordre de 20 m de profondeur), seront crépines sur la tranchemouillée et une cimentation en tête devra être faite.
5.2. - CONDITIONS DE REJET
5.2.1. Eaux réactionnelles
En première approche rien n'indique que les caractéris¬tiques naturelles de la zone d'épandage ne soient pas favora¬bles à l'épandage d'autant plus qu'a priori les rejets sontcontrôlés et maîtrisés. Si le réseau de surveillance montre àterme le contraire, il sera nécessaire d ' etanchéif ier ce secteurou prévoir un réservoir de stockage temporaire avant l'évacua¬tion de ces eaux vers une unité de traitement. Il sera alorségalement nécessaire de décaper les limons pollués.
Si le département ou la commune de Gilette envisageaitde réutiliser le casier, c'est bien évidemment la solution destockage temporaire qui sera à envisager.
^ VI
Fig.3
MPLANTATION DES POINTSDE CONTROLE
rtin-dú-Vo/ /,
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• \ , • • • ' • '
\
86 SGN 527 PAC
14
5.2.2. Eaux de refroidissement
Les conditions de rejets actuelles sont préoccupantescar un déversement accidentel de produits dans la cour (sto¬ckage des produits de base) ou dans l'usine, est immédiatementdraîne vers l'Esteron par l'intermédiaire du réseau de rigoles.On ne peut envisager de guider ces eaux vers la zone d'épandagede façon continue, les quantités seraient importantes (lesrigoles draînent aussi les eaux pluviales).
Le dispositif suivant peut être préconisé :
- dérivation des eaux vers le canal revêtu de vidange descasiers qui est en contrebas de l'usine,
- pose ou réhabilitation des vannes du canal pour interdireou non la vidange dans l'Esteron.
Les dimensions du canal étant grandes, celui-ci peutservir de stockage temporaire en cas d'accidents. Il peut êtreimaginé un fonctionnement électrique de ces vannes avec com¬mandes en plusieurs points de l'usine pour réagir vite où com¬partimenter le canal pour ralentir l'évacuation et pour ainsise donner le temps d'actionner les vannes de vidange manuelle¬ment .
Ce canal appartenant au département des Alpes-Maritimes,en cas éventuel d'interdiction de l'utiliser il sera nécessairede séparer le réseau d'écoulement des eaux pluviales de celuipassant à proximité des zones de stockage et recueillant leseaux de refroidissement et de rinçage des cuves. Ces eaux devantpouvoir être contrôlées (réservoir-tampon enterré du fait del'écoulement gravitaire de ces eaux) avant rejet en milieu natu¬rel .
5.3. - PERIODICITE ET ELEMENTS A DOSER
POUR LE CONTROLE DE QUALITE DES EAUX
Il peut être fait un relevé au moins trimestriel sur lesdeux piézomètres et le puits de l'usine avec la déterminationdes mêmes éléments physico-chimiques relevés lors de la campagnedécrite au chapitre 4. Un complément de recherche d'éléments-tra¬ces (métaux lourds) pourrait être effectué une ou deux fois paran .
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5.2.2. Eaux de refroidissement
Les conditions de rejets actuelles sont préoccupantescar un déversement accidentel de produits dans la cour (sto¬ckage des produits de base) ou dans l'usine, est immédiatementdraîne vers l'Esteron par l'intermédiaire du réseau de rigoles.On ne peut envisager de guider ces eaux vers la zone d'épandagede façon continue, les quantités seraient importantes (lesrigoles draînent aussi les eaux pluviales).
Le dispositif suivant peut être préconisé :
- dérivation des eaux vers le canal revêtu de vidange descasiers qui est en contrebas de l'usine,
- pose ou réhabilitation des vannes du canal pour interdireou non la vidange dans l'Esteron.
Les dimensions du canal étant grandes, celui-ci peutservir de stockage temporaire en cas d'accidents. Il peut êtreimaginé un fonctionnement électrique de ces vannes avec com¬mandes en plusieurs points de l'usine pour réagir vite où com¬partimenter le canal pour ralentir l'évacuation et pour ainsise donner le temps d'actionner les vannes de vidange manuelle¬ment .
Ce canal appartenant au département des Alpes-Maritimes,en cas éventuel d'interdiction de l'utiliser il sera nécessairede séparer le réseau d'écoulement des eaux pluviales de celuipassant à proximité des zones de stockage et recueillant leseaux de refroidissement et de rinçage des cuves. Ces eaux devantpouvoir être contrôlées (réservoir-tampon enterré du fait del'écoulement gravitaire de ces eaux) avant rejet en milieu natu¬rel .
5.3. - PERIODICITE ET ELEMENTS A DOSER
POUR LE CONTROLE DE QUALITE DES EAUX
Il peut être fait un relevé au moins trimestriel sur lesdeux piézomètres et le puits de l'usine avec la déterminationdes mêmes éléments physico-chimiques relevés lors de la campagnedécrite au chapitre 4. Un complément de recherche d'éléments-tra¬ces (métaux lourds) pourrait être effectué une ou deux fois paran .
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Ó. - CONCLUSION
Le site de l'usine chimique a été situé dans le con¬texte hydrogéologique suite à une enquête hydraulique et àune analyse documentaire. Il en ressort qu'aux plus hauteseaux le niveau piézométrique se situe à environ 2 m sous lesol au niveau de la zone d'épandage (le 17 juin 1986, date del'enquête hydraulique, la nappe se situait à 7,5 m du sol).
Nous avons procédé à une enquête sur les fabricationsengendrant des eaux réactionnelles et à un examen des analyseschimiques existantes mises à notre disposition par le Directeurde l'usine. Ces analyses, pour celles qui ont été identifiées,concernent l'eau du puits de l'usine déclarée potable.
Des prélèvements d'eau ont été effectués en 9 points(17 juin 1986) :
- zone d'épandage des eaux réactionnelles,
- rejet des eaux de refroidissement,
- deux points sur l'Esteron en amont et en aval du rejet,
- 5 points pour les eaux souterraines, en amont et en avalde l'usine, dont le puits de l'usine.
Une analyse de type I a été effectuée par le laboratoired'hygiène de la ville de Nice avec en plus le dosage de la DCO,des phénols et des hydrocarbures.
La composition des eaux réactionnelles est conforme àl'enquête de fabrication : eau très chargée en sulfates, chlo¬rures, ammonium, sodium et DCO.
Les eaux de refroidissement ne sont pas neutres, on ytrouve des chlorures (170 mg/l), de la DCO et des phénols(0,036 mg/l) .
Pour tous les autres points du milieu naturel, on nenote pas d'indicateurs de pollution si ce n'est la présenced'hydrocarbures (0,37 mg/l) dans l'Esteron en amont de l'usineet dans le P4bis (eaux souterraines ; 0,37 mg/l).
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Ó. - CONCLUSION
Le site de l'usine chimique a été situé dans le con¬texte hydrogéologique suite à une enquête hydraulique et àune analyse documentaire. Il en ressort qu'aux plus hauteseaux le niveau piézométrique se situe à environ 2 m sous lesol au niveau de la zone d'épandage (le 17 juin 1986, date del'enquête hydraulique, la nappe se situait à 7,5 m du sol).
Nous avons procédé à une enquête sur les fabricationsengendrant des eaux réactionnelles et à un examen des analyseschimiques existantes mises à notre disposition par le Directeurde l'usine. Ces analyses, pour celles qui ont été identifiées,concernent l'eau du puits de l'usine déclarée potable.
Des prélèvements d'eau ont été effectués en 9 points(17 juin 1986) :
- zone d'épandage des eaux réactionnelles,
- rejet des eaux de refroidissement,
- deux points sur l'Esteron en amont et en aval du rejet,
- 5 points pour les eaux souterraines, en amont et en avalde l'usine, dont le puits de l'usine.
Une analyse de type I a été effectuée par le laboratoired'hygiène de la ville de Nice avec en plus le dosage de la DCO,des phénols et des hydrocarbures.
La composition des eaux réactionnelles est conforme àl'enquête de fabrication : eau très chargée en sulfates, chlo¬rures, ammonium, sodium et DCO.
Les eaux de refroidissement ne sont pas neutres, on ytrouve des chlorures (170 mg/l), de la DCO et des phénols(0,036 mg/l) .
Pour tous les autres points du milieu naturel, on nenote pas d'indicateurs de pollution si ce n'est la présenced'hydrocarbures (0,37 mg/l) dans l'Esteron en amont de l'usineet dans le P4bis (eaux souterraines ; 0,37 mg/l).
16
Au vu de ces résultats, l'influence (s'il y a!rejets ne se marque pas ce qui est probablement dû à
des
- dilution dans les eaux de surfaces ou souterraines ;
- bonne imperméabilisation du site d'épandage celui-ci sefaisant sur les casiers du Bec de l'Esteron (80 à 90 cmde limons sablo-argileux).
Le représentativité des points de prélèvement peut êtreégalement mise en doute par observation de la piézométrie :
c'est probablement vrai pour le P4bis, beaucoup moins pour lepuits de 1 ' usine .
Il est préconisé de :
* mettre en oeuvre deux piézomètres de contrôle dans lanappe du Var ;
* faire des prélèvements au moins trimestriels dans ces 2ouvrages et le puits de l'usine avec analyse de type Iplus le dosage des phénols, des hydrocarbures et de laDCO ; un complément de recherche d'éléments-traces (mé¬taux lourds) est proposé une ou deux fois par an ;
* envisager, si les contrôles s'avèrent positifs, un déca¬page des limons pollués dans la zone d'épandage et laconstruction d'un réservoir-tampon avec évacuation versun lieu de traitement des eaux réactionnelles ;
* contrôler le rejet des eaux de refroidissement qui nesont pas neutres et qui empruntent le réseau de recueildes eaux de ruissellement de l'usine (cour et labora¬toires) ; un déversement accidentel gagnerait directementl'Esteron, pour ce faire il est envisagé de dériver ceseaux vers un ancien canal de vidange des casiers pour seménager un volume-tampon éventuel.
* dans le cas où le canal et le casier, qui appartiennentau département des Alpes-Maritimes, ne pourraient plusêtre utilisés des mesures propres à l'usine devraientêtre envisagées (réservoirs-tampons).
16
Au vu de ces résultats, l'influence (s'il y a!rejets ne se marque pas ce qui est probablement dû à
des
- dilution dans les eaux de surfaces ou souterraines ;
- bonne imperméabilisation du site d'épandage celui-ci sefaisant sur les casiers du Bec de l'Esteron (80 à 90 cmde limons sablo-argileux).
Le représentativité des points de prélèvement peut êtreégalement mise en doute par observation de la piézométrie :
c'est probablement vrai pour le P4bis, beaucoup moins pour lepuits de 1 ' usine .
Il est préconisé de :
* mettre en oeuvre deux piézomètres de contrôle dans lanappe du Var ;
* faire des prélèvements au moins trimestriels dans ces 2ouvrages et le puits de l'usine avec analyse de type Iplus le dosage des phénols, des hydrocarbures et de laDCO ; un complément de recherche d'éléments-traces (mé¬taux lourds) est proposé une ou deux fois par an ;
* envisager, si les contrôles s'avèrent positifs, un déca¬page des limons pollués dans la zone d'épandage et laconstruction d'un réservoir-tampon avec évacuation versun lieu de traitement des eaux réactionnelles ;
* contrôler le rejet des eaux de refroidissement qui nesont pas neutres et qui empruntent le réseau de recueildes eaux de ruissellement de l'usine (cour et labora¬toires) ; un déversement accidentel gagnerait directementl'Esteron, pour ce faire il est envisagé de dériver ceseaux vers un ancien canal de vidange des casiers pour seménager un volume-tampon éventuel.
* dans le cas où le canal et le casier, qui appartiennentau département des Alpes-Maritimes, ne pourraient plusêtre utilisés des mesures propres à l'usine devraientêtre envisagées (réservoirs-tampons).
Usine chimique de la Mesta06330 Gilette
USINE CHIMIQUE DE LA MESTAA GILETTE (Alpes Maritinnes)
Enquête sur la qualité des eauxDétermination de points de contrôle
86 SGN 527 PAC
ANNEXE 1
ANALYSES CHIMIQUES EXISTANTES
Usine chimique de la Mesta06330 Gilette
USINE CHIMIQUE DE LA MESTAA GILETTE (Alpes Maritinnes)
Enquête sur la qualité des eauxDétermination de points de contrôle
86 SGN 527 PAC
ANNEXE 1
ANALYSES CHIMIQUES EXISTANTES
ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Nombre de germes aérobies par ml. aucixn Culture sur gélose à 37° (....¿^-heures)
Coliformes a.U.C.im. - germes dans .1..Q.Q....jjil.,.
Escherichia coli a.U,C.UIk germes dans .t..Q.Q......ffll..«
Cl. Perfringens ..../. germes dans
Streptocoques fécaux aucUIX.. _ germes dans _ _ 5.Q.....ÎÏ!l..«..
CONCLUSIONS
...4.ct.uell.eiiLent E.a.a...E.o.t.at).le...«Concentration en ammoniaaue à surveiller.
Nice, le 22....Eésx±fir. 19...75...
Le Directeur du Laboratoire Municipald'Hygiène :
ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Nombre de germes aérobies par ml. aucixn Culture sur gélose à 37° (....¿^-heures)
Coliformes a.U.C.im. - germes dans .1..Q.Q....jjil.,.
Escherichia coli a.U,C.UIk germes dans .t..Q.Q......ffll..«
Cl. Perfringens ..../. germes dans
Streptocoques fécaux aucUIX.. _ germes dans _ _ 5.Q.....ÎÏ!l..«..
CONCLUSIONS
...4.ct.uell.eiiLent E.a.a...E.o.t.at).le...«Concentration en ammoniaaue à surveiller.
Nice, le 22....Eésx±fir. 19...75...
Le Directeur du Laboratoire Municipald'Hygiène :
LABORATOIRE MUNICIPALD'HYGIÈNE
SECTION HYDROLOGIE
Agréé par te Ministèrede la Santé Publique d" catégorie)
8, Rue de l'Hôtel-des-PostesTéléphone : 85.60.81
N' d'entrée au Laboratoire .705
Résultats de l'analyse effectuée pour le compte de
..USIM.,.MESTA...-.
... Produit s.,. .S'himiq.ue.s....-
....06....-r....(ÎIL£TTE,..-r
Prélèvement effectué le 5.«.2.«
par .Vi /..
Etat de l'At/nosphère /...
EXAMENS PHYSIQUES
Température de l'eau ./.
Turbidité limp-ide -
Résistivité électrique (en ohms/cm à 20=) 1.7.3Û-
P H 8
Couleur incûlore
Odeur /
Saveur /
ANALYSE CHIMIQUE
Matières organiques (en mg de 0^ par litre emprunté à chaud au
permanganate en milieu alcalin)
Azote ammoniacal en N (mg par litre)
Azote nitreux en N (mg par litre)
Azote Nitrique en N (mg par litre)
Chlore des chlorures en Cl (mg par litre)
Dureté Totale T H
Titre alcalimétrique T A
Titre alcalimétrique complet T. A. C
Sulfates en SO^ (mg par litre) _ _Per en Fe (mg par litre)
S...0.,.S.2..
0
Q..r.2.5..3Q..:y..529..^. Q...ir..
..l.l.?3.-.^
JJ2.5._..l..
0
LABORATOIRE MUNICIPALD'HYGIÈNE
SECTION HYDROLOGIE
Agréé par te Ministèrede la Santé Publique d" catégorie)
8, Rue de l'Hôtel-des-PostesTéléphone : 85.60.81
N' d'entrée au Laboratoire .705
Résultats de l'analyse effectuée pour le compte de
..USIM.,.MESTA...-.
... Produit s.,. .S'himiq.ue.s....-
....06....-r....(ÎIL£TTE,..-r
Prélèvement effectué le 5.«.2.«
par .Vi /..
Etat de l'At/nosphère /...
EXAMENS PHYSIQUES
Température de l'eau ./.
Turbidité limp-ide -
Résistivité électrique (en ohms/cm à 20=) 1.7.3Û-
P H 8
Couleur incûlore
Odeur /
Saveur /
ANALYSE CHIMIQUE
Matières organiques (en mg de 0^ par litre emprunté à chaud au
permanganate en milieu alcalin)
Azote ammoniacal en N (mg par litre)
Azote nitreux en N (mg par litre)
Azote Nitrique en N (mg par litre)
Chlore des chlorures en Cl (mg par litre)
Dureté Totale T H
Titre alcalimétrique T A
Titre alcalimétrique complet T. A. C
Sulfates en SO^ (mg par litre) _ _Per en Fe (mg par litre)
S...0.,.S.2..
0
Q..r.2.5..3Q..:y..529..^. Q...ir..
..l.l.?3.-.^
JJ2.5._..l..
0
LABORATOIRE MUNICIPALD'HYGIÈNE
SECTION HYDROLOGIE
Agréé par le Ministèrede la Santé Publique (1" catégorie)
8. Rue de l'Hôtei-des-PostesTéléphone : 85.60.81
N° d'entrée au Laboratoire : 3.7^.7...
BULLETIN D'ANALYSE COMPLETE D'EAU
Eau destinée à l'alimentation en eau de :
ïï.s.i.n.e C.ii.im.i.a.ue d.e l..a..mST..L..
COMMUNE de : GILETTE,
Point d'eau ou distribution publique : ./.
Lieu du prélèvement :U.s.ilie-S -C.iii£iique.s--de .l.a-.KESTA.....'K GXLE.TTEOrigine de l'eau : source non captée, puits ou forage, surface (rivière, lac, barrage), eau de
mélange : . Eau....!Íe DUlts...... .__Profondeur du puits ou forage : ¿.Eau non traitée. Eau traitée: filtration, chlore ou produits chlorés ( ), ozone.
Autre mode de traitement : / Causes évidentes de contamination :
Prélèvement effectué le : 2£»..5*-7^ 3 heures par : _ _.... /. en présence de : _ /..Importance des pluies dans les 10 jours le précédant: 0. Faibles. Abondantes.
Température atmosphérique au lieu du prélèvement : Température de l'eau : / Analyse commencée le : 2.9--5*7^
EXAMENS PHYSIQUES
Turbidité Q.^29 n I.Couleur ZOdeur .L
Saveur ./ Résistivité à 20° en ohms/cm .'Ü.6.15..
P H 7,^2
LABORATOIRE MUNICIPALD'HYGIÈNE
SECTION HYDROLOGIE
Agréé par le Ministèrede la Santé Publique (1" catégorie)
8. Rue de l'Hôtei-des-PostesTéléphone : 85.60.81
N° d'entrée au Laboratoire : 3.7^.7...
BULLETIN D'ANALYSE COMPLETE D'EAU
Eau destinée à l'alimentation en eau de :
ïï.s.i.n.e C.ii.im.i.a.ue d.e l..a..mST..L..
COMMUNE de : GILETTE,
Point d'eau ou distribution publique : ./.
Lieu du prélèvement :U.s.ilie-S -C.iii£iique.s--de .l.a-.KESTA.....'K GXLE.TTEOrigine de l'eau : source non captée, puits ou forage, surface (rivière, lac, barrage), eau de
mélange : . Eau....!Íe DUlts...... .__Profondeur du puits ou forage : ¿.Eau non traitée. Eau traitée: filtration, chlore ou produits chlorés ( ), ozone.
Autre mode de traitement : / Causes évidentes de contamination :
Prélèvement effectué le : 2£»..5*-7^ 3 heures par : _ _.... /. en présence de : _ /..Importance des pluies dans les 10 jours le précédant: 0. Faibles. Abondantes.
Température atmosphérique au lieu du prélèvement : Température de l'eau : / Analyse commencée le : 2.9--5*7^
EXAMENS PHYSIQUES
Turbidité Q.^29 n I.Couleur ZOdeur .L
Saveur ./ Résistivité à 20° en ohms/cm .'Ü.6.15..
P H 7,^2
DETERMINATIONS
Sur le terrain
Anhydride carbonique libre, en mg/l CO^ Oxygène dissous en mg/I O^ Hydrogène sulfuré en mg/l H^S ...
Chlore libre en mg/I Cl
Au Laboratoire
Oxygène cédé par KMnOj à chaud 10 mn (en milieu alcalin)
Dureté totale (en degrés français)
Titre alcalimétrique (en degrés français) Titre alcalimétrique complet (en degrés français)
Matières en suspension totales ...
Résidu sur l'eau filtrée à 105-110°
Résidu sur l'eau filtrée à 525°
Silice en mg/I (SiO:)
me au litre mg au litre
,5..,25..
/ / /
0
T H ....5^°,.,1.5
T A û...,rTAC ...12f,..9
Z
Essai au marbre (recherche de l'agressivité)
P H ,. -
Titre alcalimétrique (en degrés français) Titre alcalimétrique complet (en degrés français)
avant marbre
7;l^2..... û i.2ia
après marbre
7^.&7.. û j.5;2
Calcium
Manganèse
Chrome .-
Cuivre
Plomb
CATIONS
Magnesium |
Ammonium
Sodium
Potassium
Fer .
Zinc _ _
Al -T.o..tal.
Ca -n- ....
Mg +-I- ....
NH* +
Na +
K + _
Fe -h-t- ...-.
Mn -t--t- ..
Cr -f- -Í- -f
Cu + -t- .-_
Pb -f- -(- _
Zn -1- +
me aulitre
.1^1.,..^..,».25,..
..Q
..Q..,.6.1..3
.0.^0.5.5
..û-û......
101,603ii.,S
i^..,.c.9
0
mg aulitre
..a.».2i..
_...Q..
0
9.-,.9S.9..
ANIONS
'Carbonique
Bi-Carbonique
Sulfurique
Chlore
Nitrique
Nitreux
Silicique ._
Phosphorique
..T.Q.tal,.
C03
HC03 -
SO"
Cl ....
N03
N02
SiO^
PO"
me aulitre
0......4.,..5.8
....ii:..,.5.e
.Q..,.667
.0.,.oi.:!0
.0..»2 ...
.9.,.S58
mg aulitre
..._ 0
.257,26220^
!3l28 0_7.,62..Q...._....
DETERMINATIONS
Sur le terrain
Anhydride carbonique libre, en mg/l CO^ Oxygène dissous en mg/I O^ Hydrogène sulfuré en mg/l H^S ...
Chlore libre en mg/I Cl
Au Laboratoire
Oxygène cédé par KMnOj à chaud 10 mn (en milieu alcalin)
Dureté totale (en degrés français)
Titre alcalimétrique (en degrés français) Titre alcalimétrique complet (en degrés français)
Matières en suspension totales ...
Résidu sur l'eau filtrée à 105-110°
Résidu sur l'eau filtrée à 525°
Silice en mg/I (SiO:)
me au litre mg au litre
,5..,25..
/ / /
0
T H ....5^°,.,1.5
T A û...,rTAC ...12f,..9
Z
Essai au marbre (recherche de l'agressivité)
P H ,. -
Titre alcalimétrique (en degrés français) Titre alcalimétrique complet (en degrés français)
avant marbre
7;l^2..... û i.2ia
après marbre
7^.&7.. û j.5;2
Calcium
Manganèse
Chrome .-
Cuivre
Plomb
CATIONS
Magnesium |
Ammonium
Sodium
Potassium
Fer .
Zinc _ _
Al -T.o..tal.
Ca -n- ....
Mg +-I- ....
NH* +
Na +
K + _
Fe -h-t- ...-.
Mn -t--t- ..
Cr -f- -Í- -f
Cu + -t- .-_
Pb -f- -(- _
Zn -1- +
me aulitre
.1^1.,..^..,».25,..
..Q
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.0.^0.5.5
..û-û......
101,603ii.,S
i^..,.c.9
0
mg aulitre
..a.».2i..
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0
9.-,.9S.9..
ANIONS
'Carbonique
Bi-Carbonique
Sulfurique
Chlore
Nitrique
Nitreux
Silicique ._
Phosphorique
..T.Q.tal,.
C03
HC03 -
SO"
Cl ....
N03
N02
SiO^
PO"
me aulitre
0......4.,..5.8
....ii:..,.5.e
.Q..,.667
.0.,.oi.:!0
.0..»2 ...
.9.,.S58
mg aulitre
..._ 0
.257,26220^
!3l28 0_7.,62..Q...._....
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
1° - DENOMBREMENT TOTAL DES BACTERIES SUR GELOSE NUTRITIVE
Nombre de colonies après 24 h à 37° .Q par 1 ml
Nombre de colonies après 72 h à 20-22° ../. par 1 ml
2° - COLIMETRIE
Bactéries coliformes : 0 _ par 100 ml
Technique utilisée : bouillon lactose à 30° ou membranes filtrantes à 37°
Epreuves d'identification :
Escherichia Coli : .Q par 100 ml
Technique utilisée : bouillon lactose à 30° ou Milieu de Vincent à 41°, ou membranes
filtrantes à 44°
Epreuves d'identification : Test de Mackenzie
3° DENOMBREMENT DES STREPTOCCOUES FECAUX (Groupe D de Lancefield)
Streptocoques Fécaux .Q par 100 ml
Technique utilisée : Milieu de Roth et Litsky ou membranes filtrantes.
4° - DENOMBREMENT DES CLOSTRIDIUM SULFITO-REDUCTEURS :
Clostridium sulfito-réducteurs 0. par 100 ml
Technique utilisée : milieu VF + 5 p. 1000 de sulfite de sodium + Alun de fer.
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
1° - DENOMBREMENT TOTAL DES BACTERIES SUR GELOSE NUTRITIVE
Nombre de colonies après 24 h à 37° .Q par 1 ml
Nombre de colonies après 72 h à 20-22° ../. par 1 ml
2° - COLIMETRIE
Bactéries coliformes : 0 _ par 100 ml
Technique utilisée : bouillon lactose à 30° ou membranes filtrantes à 37°
Epreuves d'identification :
Escherichia Coli : .Q par 100 ml
Technique utilisée : bouillon lactose à 30° ou Milieu de Vincent à 41°, ou membranes
filtrantes à 44°
Epreuves d'identification : Test de Mackenzie
3° DENOMBREMENT DES STREPTOCCOUES FECAUX (Groupe D de Lancefield)
Streptocoques Fécaux .Q par 100 ml
Technique utilisée : Milieu de Roth et Litsky ou membranes filtrantes.
4° - DENOMBREMENT DES CLOSTRIDIUM SULFITO-REDUCTEURS :
Clostridium sulfito-réducteurs 0. par 100 ml
Technique utilisée : milieu VF + 5 p. 1000 de sulfite de sodium + Alun de fer.
Observations
Conclusions
NICE, le \.L^..^. 19
Le Directeur du Laboratoire Municipald'Hygiene ;
Observations
Conclusions
NICE, le \.L^..^. 19
Le Directeur du Laboratoire Municipald'Hygiene ;
TRA. 2
C.I. P. Al. M.
Contrôle Nappe phréatique du VAR
J V A
Non
ADRESSE
ÜS.Wtf ¿e. »- ^|2Sn-A
RESULTATS D'ANALYSE
DATE DU PRELEVEMENT .lM_J'^. - J^f-^l-i
Tempé¬rature
^ 1
Ph
^^
Conduc¬tivité
S%o
Résidusec
Uhz.
Dureté
ic 6
Calcium
So, »^
Magné¬sium
.¿,z^^.\
Sodium
'iM^ A(^
Potasium
K^^
Chlore
¿c ^So
Sulfate
/iHO^Oü
)u»J:Wr i'u ^^1^'
JiCarbü-nate
Hs-^^i
Nitrate
A . >^2r
Divers
BSERVATIONS :
X -^-^
TRA. 2
C.I. P. Al. M.
Contrôle Nappe phréatique du VAR
J V A
Non
ADRESSE
ÜS.Wtf ¿e. »- ^|2Sn-A
RESULTATS D'ANALYSE
DATE DU PRELEVEMENT .lM_J'^. - J^f-^l-i
Tempé¬rature
^ 1
Ph
^^
Conduc¬tivité
S%o
Résidusec
Uhz.
Dureté
ic 6
Calcium
So, »^
Magné¬sium
.¿,z^^.\
Sodium
'iM^ A(^
Potasium
K^^
Chlore
¿c ^So
Sulfate
/iHO^Oü
)u»J:Wr i'u ^^1^'
JiCarbü-nate
Hs-^^i
Nitrate
A . >^2r
Divers
BSERVATIONS :
X -^-^
VILLE DE NICE
LABORATOIRE D'HYGIENE
SECTION HYDROLOGIE-NUISANCES
-LABORATOIRE REGIONALagréé par le Ministère de la Santé
8, rue de l'Hôtel-des-PostesTéléph. 85.60.81 - 82 - 83
06000 NICE
GG
N° d'entrée au Laboratoire 4905
Résultats de l'analyse effectuée pour le compte de
_Us ijaQ_CJiiffli<iue_jde^CLM£SIA06380 GILETTE
eau de puits n°1
Prélèvement mittíCXtííí - reçu - le
par M
29 Juin 1976
Etat de /'atmosphère
EXAMENS PHYSIQUES
Température de l'eau /Turbidité en unités Jackson limpide
Résistivité électrique (en ohms/cm à 20°)
PH 7,801915
Couleur
Odeur _
Saveur _
Agent stérilisant
incolore
inodore
Z/
ANALYSE CHIMIQUE
Matières organiques (en mg de 0^ par litre emprunté à chaud au
permanganate en milieu alcalin)
Azote ammoniacal en N (mg par litre)
Azote nitreux en N (mg par litre)
Azote Nitrique en N (mg par litre)
Chlore des chlorures en CI (mg par litre)
DuretéTotale T H
Titre alcalimétrique T A
Titre alcalimétrique complet T.A.C.
Sulfates en SO" (mg par litre)
Fer en Fe (mg par litre)
OA.0,04
0,5
11
27c
130
150
VILLE DE NICE
LABORATOIRE D'HYGIENE
SECTION HYDROLOGIE-NUISANCES
-LABORATOIRE REGIONALagréé par le Ministère de la Santé
8, rue de l'Hôtel-des-PostesTéléph. 85.60.81 - 82 - 83
06000 NICE
GG
N° d'entrée au Laboratoire 4905
Résultats de l'analyse effectuée pour le compte de
_Us ijaQ_CJiiffli<iue_jde^CLM£SIA06380 GILETTE
eau de puits n°1
Prélèvement mittíCXtííí - reçu - le
par M
29 Juin 1976
Etat de /'atmosphère
EXAMENS PHYSIQUES
Température de l'eau /Turbidité en unités Jackson limpide
Résistivité électrique (en ohms/cm à 20°)
PH 7,801915
Couleur
Odeur _
Saveur _
Agent stérilisant
incolore
inodore
Z/
ANALYSE CHIMIQUE
Matières organiques (en mg de 0^ par litre emprunté à chaud au
permanganate en milieu alcalin)
Azote ammoniacal en N (mg par litre)
Azote nitreux en N (mg par litre)
Azote Nitrique en N (mg par litre)
Chlore des chlorures en CI (mg par litre)
DuretéTotale T H
Titre alcalimétrique T A
Titre alcalimétrique complet T.A.C.
Sulfates en SO" (mg par litre)
Fer en Fe (mg par litre)
OA.0,04
0,5
11
27c
130
150
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
aucun
Nombre de germes aérobies par ml.
Coliformes ^ _aycun_
Escherichia coli
Cl. Perfringens .
Streptocoques fécaux .-
/aucun
Culture sur gélose a 37' (
gerrfies dans
germes dans -
germes dans
germes dans
24 ,heures
100 ml
100 ml
100 ml^ . . . _.
CONCLUSIONS
Actuellement eau potable.
Nice, le _12_Juillet ,,76_Le Directeur du Laboratoire Municipal
d'Hygiène : \
ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
aucun
Nombre de germes aérobies par ml.
Coliformes ^ _aycun_
Escherichia coli
Cl. Perfringens .
Streptocoques fécaux .-
/aucun
Culture sur gélose a 37' (
gerrfies dans
germes dans -
germes dans
germes dans
24 ,heures
100 ml
100 ml
100 ml^ . . . _.
CONCLUSIONS
Actuellement eau potable.
Nice, le _12_Juillet ,,76_Le Directeur du Laboratoire Municipal
d'Hygiène : \