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Formation Environnement Windows – 1. Initiation

Environnement Windows 1. Initiation

Démarrage / arrêt Le démarrage et l’arrêt de l’ordinateur s’effectuent selon des procédures à respecter :

1. Le démarrage se lance dès la pression sur le bouton marche/arrêt de l’ordinateur et se termine après l’apparition de tous les éléments de l’écran quand le « cercle » a fini de tourner ;

2. L’arrêt doit être effectué au moyen de la procédure d’arrêt et non par le bouton marche/arrêt (que nous verrons plus loin)

Windows et les applications Un ordinateur n’est utile que grâce au programmes informatiques qu’il propose à l’utilisateur. On dit que ces programmes, ou logiciels, en encore applications, sont installés sur l’ordinateur.

Mais pour que ces applications soient disponibles, un premier programme informatique doit déjà fonctionner sur l’ordinateur afin de proposer tout l’environnement nécessaire à l’exécution de ces applications. Par opposition à ces derniers, on appelle un tel programme un système d’exploitation. Le système d’exploitation le plus utilisé est Windows de la société Microsoft.

Windows se décline en plusieurs versions selon leur date de sortie :

Windows 95 en 1995 (obsolète)



Windows XP en 2002 (en cours d’obsolescence)

Windows vista en 2007 (en fin de vie)

Windows 7 en 2009

Windows 8 en 2012 (suivi de 8.1 en 2013)

Windows 10 en 2015

L’écran de verrouillage Sur un ordinateur, beaucoup de

fonctionnalités peuvent être

activées ou non. Ainsi au

démarrage, il n’est pas rare de

constater l’apparition d’un écran

différent de celui dont on est peut-

être habitué. Un écran « décoratif »

comme celui-ci-contre est un fait un

écran de verrouillage.

On quitte l’écran de verrouillage par

une action quelconque au clavier ou

à la souris. Si un mot de passe est

requis pour accéder à l’environ-

nement de travail de l’utilisateur, celui-ci est alors demandé ici. C’est pourquoi cet écran permet de

verrouiller l’accès aux données personnelles de l’utilisateur, par exemple quand ce dernier est amené

à quitter son poste en urgence.

Passé l’écran de verrouillage, on accède à l’identification du compte utilisateur.



Les comptes utilisateurs Différents utilisateurs peuvent utiliser un même ordinateur. Chacun dispose alors de son propre

espace de travail qu’il peut personnaliser à sa guise, et surtout de ses propres dossiers où il peut

stocker ses documents sans avoir à les partager avec d’autres. C’est pourquoi l’ordinateur, passé

l’écran de verrouillage, peut proposer l’écran suivant :

Dans cet exemple (présentation

Windows 10), Michel Martin doit

taper son mot de passe pour

accéder à son espace de travail.

Mais les autres utilisateurs créés sur

l’ordinateur, visibles en bas à

gauche, peuvent aussi accéder au

leur. Le seul cas où on ne voit pas

apparaitre cet écran est quand un

seul utilisateur est créé sur

l’ordinateur, et à condition que son

accès ne soit pas protégé par un mot

de passe.

Le Bureau Une fois identifié, l’utilisateur accède à son espace personnel :

Cet espace est appelé le bureau. C’est une métaphore qui rappelle que, comme son vrai bureau, il

s’agit ici d’un espace de travail qu’on agence à sa guise. Ainsi l’image décorative appelée fond

d’écran, papier peint ou encore arrière-plan du bureau, peut être changée tout comme les objets

appelés icones qui, comme les objets posés sur notre bureau, sont utiles ou pratiques (ou peut-être

simplement mal rangés), mais pas forcément indispensables.



Manipulation de la souris Windows est conçu pour être utilisé à la souris. La souris est un périphérique

(équipement connecté à l’ordinateur) avec lequel on fait bouger une petite flèche

blanche qu’on appelle le pointeur (parce qu’il sert à « pointer » un objet).

Le pointeur reproduit sur l’écran les mouvements de la souris sur une surface plane. Pour s’exercer

au maniement de la souris, le site http://lasouris.weebly.com/ propose une série d’exercices.

Ouvrir et fermer une fenêtre Windows (« fenêtres » en anglais)

s’appelle ainsi car toute tâche en

cours d’exécution apparait dans

une fenêtre.

Une fenêtre est un rectangle

occupant selon le cas une partie

de l’écran ou la totalité (on dit

dans ce cas que la fenêtre est en

« plein écran »)

Une fenêtre se caractérise par une

barre supérieure nommée

« Barres des Titres » (car elle

indique le nom de l’application

et/ou du fichier ouvert).

Barre des titres

Nous n’utiliserons que le

bouton de gauche de la

souris. Nous verrons plus

loin à quoi sert le droit.

http://lasouris.weebly.com/



La Barre des Titres sert également à déplacer la fenêtre sur l’écran. Il suffit de pointer (viser avec le pointeur) un endroit quelconque de la Barre (quelconque mais néanmoins « vide » : ne pas viser les boutons). On déplace ensuite la fenêtre avec la souris en maintenant enfoncé son bouton de gauche.

De la même façon, on peut également modifier la dimension de la fenêtre : on dit la redimensionner. Pour cela, il suffit de pointer l’un des bords de la fenêtre jusqu’à l’apparition d’une double flèche (ci-contre), puis de déplacer la souris en maintenant enfoncé le bouton de gauche. Le sens de la double flèche indique le sens du redimensionnement : horizontal, vertical ou oblique en pointant les angles de la fenêtre.

La Barre de Titres enfin, propose sur sa droite les trois boutons suivants :

1. Le bouton « Réduire » permet de faire momentanément disparaitre la fenêtre de l’écran, par exemple pour dégager l’accès au bureau derrière, mais sans la fermer. Celle-ci est toujours accessible sous la forme d’un bouton sur la Barre des Tâches (tout en bas) ;

2. Le bouton « Niveau inférieur » permet d’alterner entre une taille réduite des fenêtres (qui permet leur déplacement ou leur redimensionnement) ou le mode plein écran ;

3. Le bouton « Fermer » permet de fermer la fenêtre.

EXERCICE

1. Ouvrez l’explorateur de fichier (note : celui-ci est accessible depuis le menu Démarrer, ou depuis la barre de tâches en cliquant sur l’icône ci-contre.

2. Positionnez la fenêtre dans l’angle supérieur gauche de votre écran, en la redimensionnant à la moitié de l’écran.

3. Ouvrez un navigateur web. Redimensionnez la fenêtre dans la même dimension pour la positionner dans l’angle supérieur droit (fenêtres côte-à-côte).

4. Faites un clic droit sur la barre des tâches et sélectionnez dans la liste « Afficher les fenêtres côte-à-côte ». Observez la différence.

5. Expérimentez la réduction des fenêtres. Repérez leurs icônes sur la barre des tâches afin de les faire réapparaitre sur le bureau.

Bouton « Réduire » Bouton « Niveau inférieur » Bouton « Fermer »



Le menu « Démarrer » et la Barre des Tâches Le menu « démarrer » est le menu principal de Windows qu’on fait apparaitre sur le bureau au moyen du bouton « Démarrer » situé tout en bas à gauche de l’écran.

Il est ainsi nommé car c’est ici qu’on « démarre » l’action à effectuer (c’est pourquoi, par exemple, on clique sur « démarrer » avant « arrêter » pour « démarrer la procédure d’arrêt ».

Les menus « démarrer » ont évolué avec les versions de Windows :

Ci-dessus, par exemple, les versions Windows 98, XP et 7. S’ils peuvent sembler différents, on s’aperçoit qu’ils s’articulent tous (depuis la version XP) autour de deux ensembles d’informations : dans une colonne les principaux réglages, et dans l’autre une liste de programmes (ou applications). La version Windows 10 (ci-dessous) ne déroge pas à la règle. Simplement, la « liste de programme » a basculé à droite, dans une ou plusieurs colones, en prenant la forme de « gros carrés » : les tuiles.

On observe cependant que des programmes apparaissent aussi dans la colonne de gauche. On notera par exemple que « Mozilla Firefox » apparait à cinq endroits différents.

L’application est normalement accessible depuis la liste de « Toutes les applications » en bas à gauche, mais aussi par l’un de ses nombreux raccourcis (ici : Bureau, liste des applications les plus utilisées, barres de tâches et menu Démarrer).

L’utilisation habituelle des raccourcis (optionnels mais souvent utiles et pratiques) peut expliquer un sentiment de confusion face à une information abondante. En fait, dans l’exemple ci-contre, la seule

information indispensable est constituée des quatre lignes en bas à gauche « Explorateur de fichiers », « Paramètres », « Marche/Arrêt » et « Toutes les applications ». Tout le reste est constitué de raccourcis !

Bouton

« Démarrer »



En cliquant sur « Toutes les applications », toute la partie gauche du menu est remplacée par la liste de toutes les applications installées sur l’ordinateur, classée par ordre alphabétique (ici la lettre « A »).

Ici la 2ème entrée de la liste est « Accessoires Windows ». Cette entrée n’est en fait pas une application mais un dossier contenant des applications. Deux détails le montrent : d’abord l’icône dans la marge représentant une « chemise » jaune entrouverte, ensuite la petite flèche à droite invitant à « développer » le dossier en cliquant dessus.

Développer un dossier revient à faire apparaitre son contenu juste en dessous de lui. Le fait que les lignes en

dessous constituent son contenu, et non les entrées suivantes de la liste, est indiqué par le décalage d’un cran vers la droite de ces lignes. Ainsi, la première application (dans l’ordre alphabétique) du dossier « Accessoires Windows » est l’application « Bloc-notes ». Cliquer dessus avec le bouton de gauche de la souris revient à lancer l’application. On voit que le cheminement est un peu plus long que par un raccourci (et donc le côté pratique de ces derniers).

Pour créer un raccourci vers cette application, on utilisera le bouton de droite de la souris (on dit « faire un clic droit »). Celui-ci n’a qu’un seul usage : faire apparaitre un petit menu en rapport direct avec l’objet pointé (c’est pourquoi on l’appelle « menu contextuel » : menu qui change selon le contexte du clic, autrement dit l’endroit où on clique). On voit ici qu’on peut créer le raccourci (« Epingler ») dans la barre des tâches ou le menu Démarrer (« Ecran de démarrage »).

EXERCICE

1. Repérez dans la barre des tâches l’icône de l’explorateur de fichier utilisé dans l’exercice précédent. S’il s’y trouve, supprimez-le. Pour cela, effectuez un clic droit sur l’icône (notez la différence de liste par rapport au clic droit effectué dans la barre des tâches). Cliquez sur « Détacher de la barre des tâches ». En faisant cela, supprime-t-on le programme ?

2. Vous vous ravisez et souhaitez replacer ce raccourci. Pour cela, retrouvez l’application dans la liste des applications (elle se trouve dans le dossier « système Windows ») ;

3. Le raccourci étant revenu dans la barre des tâches, il ne s’y trouve peut-être pas au même endroit qu’avant. Déplacez-le à cet endroit de la même façon que vous avez déplacé la fenêtre dans l’exercice précédent ;

4. Une fois le raccourci revenu à l’endroit souhaité, placez-en un autre dans le menu Démarrer (« Ecran de Démarrage ») ;

5. Enfin, vous souhaitez maintenant placer un troisième raccourci sur le bureau. Pour cela, « déplacez » l’application depuis la liste vers le bureau (dans un endroit vide). Avant de lâcher le bouton de la souris, observez ce qui se passe. Que signifie le mot « lien » qui apparait dans une vignette. Lâchez le bouton, puis déplacez ce raccourci de façon à ce qu’il soit bien rangé dans le bureau.



La corbeille Lorsqu’un fichier est supprimé, il ne l’est

en fait pas réellement : il est placé dans

la Corbeille, dont l’icône est facilement

reconnaissable dur le bureau.

C’est « l’endroit » ont vont les fichiers supprimés, et

d’où on peut les récupérer en cas d’effacement

accidentel. Le choix de ce nom procède du même

souci de métaphore que pour le bureau. Comme un

papier qu’on a jeté par mégarde dans la corbeille

placée sous son bureau, on peut reprendre un fichier

dans la corbeille de Windows. Pour cela, on l’ouvre par un double-clic sur son icône.

On y retrouve les éléments supprimés, notamment ici celui de l’exercice précédent. NB : cet élément

n’est pas l’application « Explorateur de Fichiers », mais bien l’élément « Raccourci » vers cette

application, comme en témoigne la petite flèche bleue dans un carré, en bas à gauche de l’icône.

Supprimer le raccourci ne supprime donc pas l’application.

Les outils de gestion de la corbeille se trouvent dans le menu « Gestion », on voit qu’on peut

restaurer les éléments sélectionnés, éventuellement restaurer tous les éléments se trouvant dans la

corbeille, et bien sûr vider la corbeille quand on est sûr. Les fichiers sont alors vraiment supprimés.

Les paramètres d’affichage Les différents réglages de l’ordinateur s’effectuent dans le menu « paramètres » (Windows 10) :



NB : ce panneau n’est accessible que dans Windows 10. Il s’agit d’une version simplifiée du Panneau de configuration des versions antérieures de Windows (ci-contre).

Ce dernier est toujours disponible dans Windows 10. On le retrouve dans le menu contextuel du bouton démarrer (« clic droit » sur le bouton Démarrer).

Parmi les icônes du menu « Paramètres », l’icône « Personnalisation » ouvre l’accès à un certain nombre de réglages, à commencer par le choix de l’Arrière-plan du bureau, appelé aussi Fond d’écran ou Papier peint (dans le panneau de configuration classique, aller dans « Apparence et personnalisation ») ;

On peut ensuite choisir la « couleur d’accentuation » (la couleur dominante utilisée notamment dans la barre des titres des fenêtres ou les tuiles de l’écran de démarrage) ;

On peut ensuite choisir « l’écran de verrouillage » (voir page 1) ;

Enfin, juste avant quelques réglages supplémentaires concernant l’accueil, les Thèmes proposent une personnalisation plus poussée (également accessible dans « Personnalisation » depuis le panneau de configuration).



EXERCICE

1. Allez dans « Paramètres », « Personnalisation », puis « Arrière-plan » ; 2. Changer l’image d’arrière-plan. Observez les modifications de « l’aperçu » pendant que vous

effectuez vos choix ; 3. On peut remplacer l’image d’arrière-plan par une couleur unie. Où cela se trouve-t-il ? 4. Observer le menu « choisir un ajustement ». Que signifie remplir, ajuster, étirer, vignette,

centrer, étendre ? 5. Rendez-vous maintenant dans le menu « Couleurs ». Choisissez différentes couleurs. On

remarque les changements dans l’aperçu, mais voyez plutôt le résultat dans le menu Démarrer en le faisant apparaitre par-dessus la fenêtre Paramètres (sans la fermer).

6. Modifier ensuite votre écran de verrouillage ; 7. Rendez-vous ensuite dans le menu « Thèmes », puis « Paramètres du thème ». Un thème est

un ensemble prédéfini des réglages précédents. Commencer par tester les différents thèmes Windows par défaut. On peut facilement vérifier le résultat sur l’image d’arrière-plan en réduisant la fenêtre.

8. Cliquez ensuite sur Obtenir plus de thèmes en ligne. Vous arrivez sur une page web proposant un choix de thèmes alternatifs. Choisissez-en un puis cliquez sur « Télécharger le thème ». Ouvrez le dossier contenant le fichier téléchargé. Selon votre navigateur, cela se trouve à des endroits différents :

Dans Google Chrome (vue de gauche), le fichier téléchargé apparait en bas à gauche. Cliquer sur la petite flèche puis sur « Afficher dans le dossier ».

Dans Mozilla Firefox (vue de droite), cliquer sur la flèche des téléchargements en haut à droite puis sur le symbole représentant un dossier.

Il suffit ensuite de double-cliquer sur le fichier apparaissant sur fond bleu ciel. Vérifiez le nouveau thème.

9. Revenez dans le menu « Thèmes » de la fenêtre « Paramètres », dans « Paramètres associés » puis « Paramètres des icônes du Bureau ». Observez les icônes que vous pouvez faire apparaitre sur votre bureau.

Les comptes utilisateurs On peut créer sur un ordinateur plusieurs comptes d’utilisateurs. Un « compte » en informatique n’a rien à voir avec une notion « monétaire ». C’est une simple identité associée à un espace personnel (pour un compte utilisateur d’ordinateur, cela concerne l’environnement personnalisable mais aussi ses dossiers et fichiers). Un compte se définit par un identifiant (nom ou pseudonyme) et un mot de passe pour en réserver l’accès (seul un cas particulier, vu plus loin, de compte utilisateur peut être dispensé de mot de passe).

Les comptes se distinguent par leur nature (compte local, compte Microsoft ou compte de domaine) et leur type (administrateur, utilisateur ou enfant).



1. Nature du compte Un compte est nécessairement créé « quelque part », afin que les informations de connexion (identifiant et mot de passe) puissent être comparés et validés. On distingue donc :

Le compte local créé dans l’ordinateur même, qui dans ce cas se suffit donc à lui-même. C’est le seul type de compte qui peut être dépourvu de mot de passe.

Le compte Microsoft qui, comme son nom l’indique, est créé chez Microsoft. L’identifiant prend la forme d’une adresse Mel type [email protected] (ou « live » ou « hotmail »). Bien que l’identification puisse s’opérer sans connexion Internet, celle-ci sera néanmoins nécessaire pour bénéficier des services partagés, comme les notifications de messages ou encore le Drive (un emplacement d’enregistrement pour ses fichiers situé sur les serveurs de Microsoft, accessible depuis n’importe quel appareil connecté à ce compte).

Le compte de Domaine utilisé en milieu professionnel, est associé à un serveur de domaine géré par un administrateur qui peut restreindre par sécurité un certain nombre de fonctionnalité sur les postes. Un domaine permet néanmoins de mutualiser nombre de fonctionnalités, comme le dossier « commun » ou l’impression.

2. Type du compte Le type du compte définit essentiellement les possibilités d’action dans l’ordinateur :

Le compte administrateur donne tous les droits. Réservé aux administrateurs ;

Le compte utilisateur peut utiliser toutes les ressources de l’ordinateur mais pas les modifier (désinstaller un programme ou une imprimante, par exemple). C’est en principe le type de compte utilisé pour les membres d’un domaine ;

Le compte enfant (compte Microsoft uniquement). C’est une possibilité ouverte par Windows 10 : le compte Microsoft distingue les « familles » qui permettent d’adjoindre un « enfant ». Ce type de compte est plus sécurisé pour la navigation sur le web et permet la mise en place d’un contrôle parental.

EXERCICE

1. Rendez-vous dans « Paramètres », « Comptes » puis « autres utilisateurs ». 2. Cliquez sur « Ajouter un autre utilisateur sur ce PC » 3. A la question « comment cette personne pourra-t-elle se connecter ? », répondez « Je ne

dispose pas des informations de connexion de cette personne ». 4. La fenêtre suivante vous demande un prénom, un nom, une adresse e-mail et un mot de

passe. A quelle nature de compte cela correspond-il ? 5. Ne remplissez pas ces informations et cliquez sur « Ajouter un utilisateur sans compte

Microsoft ». 6. Choisissez un identifiant de compte. Laissez les champs « mot de passe » vide. A quoi se

réfère « l’indication de mot de passe » ? 7. Constatez la création du nouveau compte. Pourquoi apparait-il comme « Compte local » ? 8. Modifier le type de compte de « Administrateur » en « Utilisateur standard ». 9. Connectez-vous sur ce nouveau compte et attendez l’apparition du Bureau. Qu’observez-

vous ?

Impression L’impression d’un document nécessite que l’imprimante utilisée soit installée sur l’ordinateur. Dans le cas d’un réseau professionnel, cette responsabilité relève de l’administrateur du réseau. Dans la



plupart des cas, il s’agira d’une imprimante réseau, commune à tous les utilisateurs et qui peut se trouver dans une autre pièce (par opposition à une imprimante locale connectée à l’ordinateur).

1. Installation d’une imprimante. S’il n’y a pas d’imprimante réseau, on peut facilement installer une imprimante locale dans le menu « Paramètres ». Cliquer sur « Périphériques ». La fenêtre s’ouvre par défaut sur le premier menu « Imprimantes et scanners ».

Cliquez sur « Ajouter des imprimantes et des scanners ».

L’assistant recherche les imprimantes connectées à cet ordinateur…

NB : celles-ci peuvent l’être au moyen d’un câble USB ou par une liaison wifi. Dans ce dernier cas, il faut s’assurer que le wifi est activé sur l’ordinateur comme sur l’imprimante.

L’assistant a trouvé l’imprimante wifi EPSON XP-225.

Cliquer sur cette imprimante nouvellement listée fait apparaitre un bouton « Ajouter un appareil ». Cliquer dessus…

L’imprimante est en cours d’installation. Selon le cas, cela peut prendre plus ou moins longtemps…



L’installation est terminé quand l’imprimante est indiquée « Prêt ».

L’imprimante nouvellement installée est définie comme Imprimante par défaut. Cela signifie qu’elle sera choisie sauf avis contraire (par exemple, quand on utilise le bouton « Impression rapide » qui ne donne pas accès aux réglages).

Il est également possible d’installer une imprimante vis le Panneau de configuration (c’est même la seule option pour les versions antérieures à Windows 10).

Cela se trouve dans « Matériel et audio » puis « Périphériques et imprimantes ». Cliquer sur le bouton « Ajouter une imprimante ».

EXERCICE

Installer une imprimante wifi selon la procédure ci-dessus.

2. Impression Selon l’application utilisée, la fonction « Imprimer » se présente sous la forme d’un bouton représentant une imprimante, ou dans un menu, en principe dans le menu « fichier ». On distingue souvent une fonction « impression rapide » qui lance l’impression avec des réglages par défaut, et la fonction « Imprimer » qui ouvre préalablement l’accès à ces réglages. Celle-ci est souvent préférable.

L’icône « Impression rapide » dans la barre

d’outils « Accès rapide » de Word 2016.



En revanche, dans le menu « Fichier », l’option « Imprimer » ouvre un menu qui donne accès aux réglages.

Le bouton « Imprimer » est prêt à lancer l’impression avec les réglages par défaut. Or, ils ne sont pas nécessairement adaptés. De plus en plus en effet, des consignes d’économies imposent un certain nombre de réflexes, comme utiliser le recto-verso ou n’imprimer en couleur qu’en cas de nécessité. Il est donc préférable de vérifier les réglages avant de lancer l’impression.

On notre ici que les réglages principaux sont proposés au premier regard. Ils peuvent suffire, sinon on cliquera sur « Propriétés de l’imprimante » (pour les réglages propres à l’impression) ou la « Mise en page » (pour les réglages propres au document).

Parmi les principaux réglages, on note ici :

Le recto-verso, pour imprimer des 2 côtés de la feuille ;

« Assemblées » définit l’ordre des pages lorsque le document possède plusieurs pages et est imprimé à plusieurs exemplaires (1-1-1/2-2-2/3-3-3 ou 1-2-3/1-2-3/1-2-3) ;

Orientation portrait (feuille dans le sens vertical) ou paysage (feuille dans le sens horizontal) ;

Le format de la feuille (A4 étant le standard 21cm x 29,7 cm ; A3 le double et A5 la moitié) ;

Les marges du document qui peuvent être définies en centimètre, ou comme ici selon des modèles prédéfinis : normales, étroite ou larges…) ;

Le nombre de pages par feuilles, qui peut être supérieur à un pour plus d’économie.

On observe que le réglage couleur / noir et blanc (cas des imprimantes couleur uniquement) n’est pas proposé dans cette liste. On le trouvera dans les Propriétés de l’imprimante.

La zone de notification La zone de notification est la partie droite de la Barre des tâches (NB, lorsque celles-ci est à sa place habituelle, c’est—à-dire en bas de l’écran. Comme à peu près tout cependant, celle-ci est personnalisable et on peut rencontrer cette barre sous forme verticale à gauche ou à droite de l’écran. Dans ce cas, la zone de notification apparaitrait au bas de cette barre).

Dans tous les cas, cette zone est composée de plusieurs icônes.

La première est une flèche qui indique que d’autres icônes sont masquées ;

La seconde indique l’état de la connexion au réseau et à Internet. Elle représente un écran avec un câble, ce qui indique que la connexion est filaire, sinon l’icône ci-contre indiquerait une connexion wifi. Dans les cas, un détail graphique (point d’exclamation ou autre) révèlera une rupture de connexion ;

La troisième indique que les haut-parleurs sont actifs et donne accès au volume ;

La quatrième, une infobulle (« bulle de BD »), est celles des notifications Windows. Elle sait attirer l’attention quand une notification importante nécessite l’attention ;

Viennent ensuite la langue utilisée, la date et l’heure.



C’est Juste au-dessus de cette zone qu’apparaissent les notifications importantes, notamment les disponibilités de mises à jour. Celles-ci ne doivent pas être négligées. Elles ne sont pas pour autant toujours opportunes. Il ne faut pas hésiter à demander conseil avant d’agir. En tout état de cause, voici les mises à jour à faire systématiquement :

Les mises à jour de Windows (en principe automatiques, elles s’effectuent sans action particulière sauf modification de ce réglage) ;

Les mises à jour de l’antivirus (là encore, en principe automatiques. Il est cependant important de connaitre le nom de cet antivirus pour bien savoir en différentier les notifications de celles d’un éventuel programme malveillant) ;

Les mises à jour des produits Adobe en général (notamment Adobe flash Player) ;

Les mises à jour de Java.

Connexion à un réseau wifi Parmi les fonctionnalités de bases d’un ordinateur portable figure évidemment la possibilité de se

connecter à un réseau wifi pour naviguer sur Internet.

Le mot wifi désigne un simple mode de connexion sans fil permettant de se connecter (sur une

courte distance) à l’accès Internet d’un lieu physique comme la « Box » chez soi, ou à l’extérieur un

cyber-café, un hôtel, une bibliothèque ou un point info proposant cet accès.

Cette fonctionnalité nécessite la présence d’une carte wifi dans l’ordinateur (systématique dans le

cas des portables. Il faut néanmoins ‘assurer qu’elle soit bien activée).

On y accède au moyen du bouton wifi de la zone de notification.

Dans le menu apparait la liste des points d’accès wifi détectés par l’ordinateur dans sa proximité immédiate. On note que chacun d’eux est muni d’une icône qui donne une indication de la force du signal, et donc de la proximité supposée de ce point d’accès (le nombre « d’ondes » en gras).

La plupart de ces accès sont sécurisés. C’est-à-dire que leur connexion est subordonnée à la saisie d’une clé de sécurité ou d’un mot de passe, afin de s’affranchir du risque de connexion non autorisée (sur les box, la clé de sécurité est mentionnée sur une étiquette en dessous ou derrière. Il est possible de la changer).

Il suffit de cliquer sur une connexion, puis sur le bouton « connecter » qui apparait alors, et de suivre les instructions jusqu’à la confirmation « Connecté » (Note : certaines box demandent pour plus de sécurité à ce qu’on appuie d’abord sur un bouton sur la box pour autoriser la connexion).

Termes et vocabulaire Un question fréquente est de demander s’il faut ou non retenir les nombreux termes en informatique. En fait, ça dépend. L’intérêt de les retenir n’est pas de se montrer savant : on pourrait très bien imaginer utiliser un outil sans savoir comment on le nomme. L’intérêt de retenir un terme dépend uniquement de son utilisation : il s’agit soit de le comprendre quand on y est confronté, soit



de se faire comprendre, notamment lorsqu’il s’agit d’exposer un problème. On peut donc déjà dire que tous les termes mentionnés dans ce support sont à retenir (en particulier ceux en gras).

Voici une première liste, non exhaustive :

Adresse électronique, aussi appelée « courriel » (abréviation de "courrier électronique"), « E-mail » (abréviation de « Electronic Mail » en anglais) ou encore « Mel » (abréviation de « Message électronique) : pour échanger des messages. Exemple : [email protected].

Adresse Internet, ou « adresse URL » ou « URL » (Uniform Resource Locator) : Adresse unique d’un site ou d’une page web accessible sur Internet (ex : http ://www.monsite.com).

Application, de préférence à « Programme » ou « Logiciel » : programme informatique destiné à un but précis (« application »), exécuté par le système d'exploitation (voir plus loin).

Arborescence : structure hiérarchique des dossiers et fichiers sur un ordinateur (dossier et sous-dossiers, comparable aux branches et sous-branches d’un arbre).

Ascenseur, appelé aussi « barre de défilement » : fin rectangle vertical à droite de l’écran, ou horizontal en bas de l’écran, pour faire défiler les pages de haut en bas ou de gauche à droite ;

Bureau : écran de travail propre à chaque utilisateur de l’ordinateur, qui comprend les icônes et la barre des tâches. Le nom de « bureau » est une métaphore pour indiquer que, comme notre vrai bureau, cet écran représente notre espace de travail personnel.

Canular ou Hoax : message qui incite à propager une fausse nouvelle en jouant sur l’émotion. La véracité de ce type de nouvelles peut être vérifiée sur des sites comme Hoaxbuster ou hoaxkiller.

Curseur : c’est la petite flèche blanche que l’on bouge sur l’écran avec la souris et qui sert à pointer quelque chose. La petite flèche change souvent de forme pour donner une information à l’utilisateur (par exemple, la main lui indique qu’il peut cliquer).

Fichier : c’est certainement le terme le plus ambigu pour le profane, qui le confond volontiers avec « dossier ». Dans la vie courante en effet, un fichier désigne un ensemble de fiches. En informatique, c’est un document au sens large (pas seulement un texte : par exemple, une musique est un document sonore, en informatique on dit un « fichier audio »). L’administration emploie un terme semblable lorsqu’elle parle de « pièces » (dans le sens de « pièces à fournir » par exemple). Le fichier se distingue par leur type (texte, image, audio, vidéo…) et leur format (par exemple un fichier de type texte peut avoir plusieurs formats selon le logiciel qui l’a créé).

Icône : petite image légendée qui renvoie à un fichier, un dossier ou un logiciel (ou un raccourci vers l’un de ces éléments). On les trouve notamment sur le bureau.

Périphérique : tout matériel branché sur l'ordinateur. Il s’agit alors de périphériques externes. Les périphériques internes semblent partie intégrante de l’ordinateur, mais sont en fait branchés à l’intérieur sur l’unité centrale. On distingue les périphériques « d'entrée » (souris, clavier, scanner, appareil photo numérique) et les périphériques « de sortie » (écran, imprimante, enceintes).

Raccourci : objet, le plus souvent une icône, pointant vers un fichier, un dossier, une application ou une adresse et permettant d’y accéder directement.

Sauvegarde : mot désignant à la fois l'action et le résultat de la copie de fichiers sur un support externe (DVD, clé USB, disque dur externe...) dans un but de conservation.

Système d’exploitation : logiciel « de base » de l’ordinateur qui s’exécute dès le démarrage, permettant d’exploiter (utiliser) l’ordinateur. Depuis le bureau, il permet d’exécuter les applications qui, pour pouvoir être installée sur l’ordinateur, doivent être compatibles avec le système



d’exploitation. Le système le plus courant est « Windows » de la Société Microsoft. Son principal concurrent est « Mac Os » de la société Apple.

Virus : programme nuisible se propageant notamment par Internet et par le biais de supports amovibles infectés (comme les clés USB), et pouvant provoquer des dégâts plus ou moins graves. Il est indispensable de s'en prémunir en installant un antivirus. C’est en fait un abus de langage qui peut s’appliquer à tous les logiciels malveillants (en anglais malware), le virus n’en étant qu’un type parmi d’autres (comme les vers ou les chevaux de Troie). Les logiciels espions (spyware) peuvent faire l’objet d’une protection spécifique (un antispyware en plus de l’antivirus).

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