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[NOÏSE' !îi rRONNEï*. II* S Seuils. I Paris 4903. ar. enpa. Mes CULTURf éditions aTaatagnsee. iQTTe, P u is. « i toutes ferrées, îenre*. CN-VALOIS. |h Gare). h'VTjm 11, 2, PABIS. ies, i terme lie lUTESLESSITURTIOl» ss |ou différées» ^ il USUFRUITS lits chez M. A SENLIS ^aies villes de l’tu^ .ÉBRE PE» CHnSUX SETEIfX 6USf xu .icui.es I _ ir-lLS rAllLB» M \<9Vif , WZM9S0A, «ai# eeolEor «k 1e kanlIE n an«E lE dr-^^ ÏJ» SEUL Wlgtwfcafi - , p taajEO» oroiaEBl%^ |«hit iMÇoiSMiE-fantH .en» P A R » . i « M is tl IttM U ti» a . Coi3tnr-PtifiuMar,_, p. Plaa* d* 1* Hsile,l>i| nas 1550i l s . . , l i M | le ; Se .. c. Beoas I i douzaine . .. i . fr. .!• | imai. ):gle 16 .. à .. . ^ .. i ls 25, letontiiI| ; io 29 Hai 1903. lis. Ulôtozs prôoétient' 97 97 96 15 9 6 f B. 3815 3S 00 ' 669 68»' 6o 1083 6Z 4 62 4 3889 3880 ca ls. 915 912 i.432 i.8 7 l4 m l l » j 1855 15U5 i ^ . 9.Ü 9 0 t; ; 458 457 449 4 ^ 451 4SfM • ... * 4 o i 463'ii 455 45A < 450 44fo3 B tions. ............ 556 441 é S i i 1 411 4 ir * 561 561 410 itiozis. 4 77 501 5 03 4 48 474 4 7 4 1 543 5 4 ^ 9 556 103 50 1*14 ^ctear-AdmisisU im LLi Paul G O ïBlé, Rédacteur en chef. ............ Par aissant le ' J e D iio,aiich e. Henri CAÜGHIS, ^ S O XT XT S 2Æ s : XT 0? S EélÜon h/-A«6rf<wqptf«fr*. i Eàltlen h9bdomâdêir$. ScBlbetOiM. ........... 6 fr. ................... 4fir. Autrw i Laïuon nvoaçmaaëin. trw ifo. ! Sealia «t Oise. AatMjd^ Ttn an . .................... ® i 5 aîSi:: ..................... f 'Sa mon........................ 2fr. Oit 8’ abonhs ftoz boréaux du journal et dana touf lea buresoz de poÀe. — L’abonnement est p a ja ^ d’aTaaee ek continue de plein dnnt jniqu’à véc^iti<m d’avif eontraire. Seules, 1$ S Juin f9Cg, Nos Rédacteurs. Kous avons publié, dana le dernier nu méro, les adieux de M. ViUavrède à nos lecteurs. Des circonstances indépendantes de la politique du journal, nous ont, en effet, obligés de noua séparer de notre rédacteur en chef; mais nous ne voulons pas le laisser partir sans rendre la justice qui est due à son talent, i son dévoue ment à nos idées, i son zèle pour la dé fense de nos amis. M. Villavrâde empor tera leur très bon souvenir et l’estime de tes adversaires, malgré l’ardeur avec laquelle il les a combattus. M. Combié, qui remplace M. Villa- vrède, a été rédacteur an Journal dos Débats; dans ces derniers temps, il écri vait chez notre excellent confrère de Compiègne le Progrès de VOise, où il a su faire apprécier son talent d’écrivain, son tact poütique et la modération de ses vues. Nous sommes convaincus que nos lecteurs apprécieront la rédaction de M. Combié comme l’ont fiût ceux des journaux importants auxquels il a col laboré. ' LA DIRECTION la Fétejfis Fous. SocB ce titre, on lit dans la Liberté : Ainsi, voilà ce projet sur les vieillards, une des grandes réformes promises par le Solidarisme, nouveau nom du Sooii^me d’Etat. Pour ne le considérer qu’au point de vue purement budgétairej il est évi dent que le premier soin, le premier de voir de gens en possession de leur bon sens est de se rendre compte de la dé instituer l’assistance obligatofre des vieillards, des infirmes, des incurables, dans toutes communes de France ; obliger les contribuables, qui ne peuvent plus pajer leurs impôts que très péniblement, à supporter de nouvelles charges qui les mettront dans l’impossibilité de réaliser des économies en vue de leur propre vieillesse — (si bien que la loi nouvelle aura pour effet certain d’augmenter le nombre des vieillards à secourir : c’est le résultat que produisit, en Angleterre, l’ancienne mmeuse loi sur les pauvres, qu’il fallut abroger), — c’est fort Wen ! Mais au moins frut-il savoir ce que va coûter cette c réforme sociale >. Combien de vieillards, d’infirmes, d’in. curables, — approximativement tout au moins, — faudra-t-il secourir t Quelle somme faudra-t-il ajouter au budget, déjà en déficit î Quelle somme nouvelle laudra-t-il ar racher aux contribuables î Le règlement de la Chambre veut que des projets de loi de ce genre soient sou mis à la commission du budget. Il veut encore qu’ils subissent le contrôle de deux délibérations successives. Dans au cune occasion ces précautions du règle ment ne sauraient être plus nécessaires. Que fait la Chambre ? Ou mieux que font lesquarantedéputés présents au début de la séance ? 1° Ils déclarent l’urgence. 2° Us sngpriment ainsi l’examen préa lable et le contrôle de la commission du budget. 3° Ils entament aussitôt le débat et déclarent qu’ils le conduiront, sans au cune interruption, jusqu’à son terme. Et que révèle le débat ainsi com' mencé! ' C’est qu’on ignore absolument le nom bre des vieillards qu’il faudra seeolirir. . C’est qu’on ignore absolument le poit^.du fardeau qu’on va ajouter à ceux qui écra sent déjà les contribuables. On. ne 'sait qu’une chose, etion-la vreut;:bien, è’eSt qu’on va les écraser davantage. ^ Aucune enquêté dans lesdépnteménts, daiis les communes, dans les;ditorsés régions de la ’Fiiméel Tïpismdis de; re cherches administratives a u ro n t sufff pour être à peu près renseigné^" sur les conséquences nnançiéns "probàbled du proj.et._A quoi bon î Votons d’abord 1 Vainement, un député de la .Seine, M. Auffra^, prouvoTt-il au tableau noir que les no.tes officielles insérées au rap port fourmillent d’erreurs: de calcul 1 ^ plus grossières en ce qui doncedne Pans (où il est pourtant le plus aisé de se ren seigner) ; qu’on a fitit des éov^treutions là où il fûlait fàire des adàUîgnst.. qu’on s’est trompé sûrement, au mini mum, de près de moitié en insuffisance, si bien qu’au .lieu de 18.000 indigents à seeonrir, c’est plus de 80.100 qu’on doit prévoir — à Paris seul. Vainement, un des partisans les plus résolus du projet déclare-t-U lui-nmma qu’il ne sait pas où l’on vaj que persdnifè ne le sait. Le rapport a parle de 2} pil lions ; quelle erreur ! C’est le quintuple, le décuple, plus encore qu’ilfaut compter, dit ce pai^san courageux et sincèrè de la nouvelle ioiA et il cite .les évaluations les plus autorisées : celui-ci, tel ancien ministre, compte 100 millions; tel antre, 276 millions, même 315 millions. En dé finitive, ajoute-t-il, il &ut compter une dépense pouvant varier tdeOO millions à 600 millions x par an I ^ Rien qu’une incertitude de 1 à 10.< Rien qu’une prévision possible de 600 millions par an ! Vous voyez bien, n’est-ee pas, qu’il n’est pas une boutique d’épicier où, de vant une' opération commerciale ana logue, on ne reculerait pas avant de prendre parti, on ne déciderait pas (p’On va d’abord s&renseigner et caleuler i Aù' Palais-Bourbon, on se précipite, oh se rue au dénouement, tête en avant, ^eux bandés; on ne sait rien : on ne veut; rien savoir! Soixante millions ou six cents millions T Qu’importe 1 On est généreux ou non,'— de l’argent des autres. Et l’on vote à tour de bras ! Et l’on votera de même la loi sur les employés de chemins de fer ; 275 mil lions par an, dit le ministre des travaux publics du Bloc lui-même. Puis la loi sur les pensions ouvrières 200,300, 600, 800, 1.200 millions par an : qui ssitT Puis la loi, les lois sur les écoles pri maires, sur les traitements, sur. les re traites des instituteurs : 30,4(L 80,100 millions par an, sans compter 100,200, 300 millions d’emprunt. Puis la loi sur l’armée : 30, 40, .50 ' millions par an, — sans compter les mil lions perdus par les frmilles. Puis le rachat des chemins de fer de l’Ouest et du^ Midi : emprunt de 3 mil liards au moins, sans compter les millions* de déficit inévitable résultant de l’ex ploitation par l’Etat 1 En avant l’avalanche des millions, deé centaines de millions, des milliaids de dépenses de déficit, d’emprunt l'Et allez donc mon père I Les votants ne sont pas les payeurs I Et dire q't’on appelle ces Saturnales parlementaires la c République x 1 JchBs R oche. . -.•> ; L-i ■■*§.- , . ..«ri.ii. iM. ■àilfi ua; b O -Sn;;.;'- et s;»-- süÆdjùae ISi- I £9 s-l ; pcE2i;±: s s ! 0,20e.:ia_lign.. | • . ON N’AOCBPTS pas OrlNSBBTION Atf-OSSSOtTS ÔB 1' râANO Lss aimonees, réclamé etc.i co&cenisnt PSrif «Mes Dtosrtéme&ts ^t'reptss-^iM StoauBt ans d« joqrnsL u.. .1 - .rm -, ^ juin [UJUSaCu . - .1 19 d e a n h , j’ai • àccfepté comme de canton^ que fôccbpe 9i;p }a ;-a b û - ;; i ■; , MES CHERS., J’ai Fhonneur de sQlliciterjvoa s ê ^ a ^ pour. l’Election da 7 pfoctiâln àiÉiConseit d’arrondiss^W ife'? ; : Vivantiau' miliieu do voua d^pliH(^ un devoir les fonctions d« ‘ ' depuis.dooze.ans.: i i. i Je crois encore.dfs.moo.4^o ir d%^o jprlswt'èr auZuElections canto nale^ sur l^s instances d’un .grtmd .rflomhre d’dhtre vous dqn^ da' confîancé m’a prolBnaêmenrEodchél i î . . En ce qui çonc^e les besoins’^ciau x dé notre ré^onJesuiVrai ' la ligne de'^coàdàile de mon thés dévoué ami, le ré^itttg'Mï^Méntird. Comme lui, jë défendrai de mon miâBxléé interètS'de notre cher canton. J’ai toujours eü à cœur, dè maintenir de bon état de noschemmsd A’eSIr sifr; iiiofriiiitiitiVèTqtrélè Gonseü municipal de FJanteuil a procédé, en 1896, à lairëfection totale dei ses chemins vicinaux, et c’est sur mes instances que Celui de Nanteüil à ^rtêfontaine va être classé dahs la grande vicîhalité. ' ^ • ; / " ' r ; i ' Au point de vue politique, Je demanderai sans relâcjie le réspeet des libertés héOessaires,^ dé toptes iès JibertéSÿ dejmjiê, la . Ub.êrtél de Gôhseiehcé,'’^m cèmprend Ifi* nbertéride croire et ^Æenseigner,, ' la liberté du travhiF,^sl eompromiffié - 0 n-'O9 s^lmiiiims> tèmpa ;'! ‘4 3 RépulHiCàin feime et cdnvmao cratierje% i’èffÔ¥eemi, en-toiites cl: de tout bon ' citô/en î faire oimqr îr , en faire de plus en plus- uô jv é n lf^ ’ré discusmonp de prbgreS ^t; nf./.rRÂTERNnLj im ua TOUS, c’est-à-dire cddime ^ l ja dît si justement GôuvérnénienMu pays par le pafà êf 'pôüî teiut 10 ; p a y s . ^yip'e là JR^ità/iguA^ inïèrésSé âe ladéL- eeé,'^'cte't8Ster flâffié à^’Pifiéal épublique c^ijdë jbUr dà'^htBM, q'uë. toIérànCë,' de Ipre ~Catvàutài f6publicain. ‘ Nanteuil-le-Haudoüin, te 27 ^Mai- i 909. Lès'électichz'an CouMit daus le cshtbn fie ' 7 juin prCchshà. ^ . . v„ » — -vujiuvai» 9b^aa~avàii satMihié'qhé-lff.‘Vaqiie(^ •^leEsatn^ t ait.uM ppitie où Isaopiniona I’h4«en91essaiiiefieïlhetwmlle,'‘qmîl ac cepté de.peter ai eudtdatn% ^ ténp nos ami* mRaieataecnillieamc <le. plut ftand, plaisir. Malt, les solUeitaliens leiriasbrea- aânte* n’ayant pu vaincre lei hétifatioia de M- MoqueQ nouf àvoifii ahnômÿ. i netre g ^ d regret, miénoùlétibht "abàhdenntr tenl'èàpoir'èfôeniief. ' ! Gommé («d’à vit dans notre fiendet nu méro, il est aujourd’hui certain i(he!dêax candidats sollicitent les suffrage* de hiM eontitoyens. Oisons tout de suite que ces deux candi dats sont,, à des titres divers, également et .honorabimnent coiiniis dans.notn pâyt. Lion, pouf com m ent par l!âlhé, est doc teur"éh ittédécinè A nanfénil et y exerce sa . . . , lenxansîliéstÉnaire municipal, amz. dire en quelle estiin» 1» tiennent Ips. électiors dé NaniSliit, dont lijsênflalnee à' sOn égàrd iie t’est Jamais déméntlei Nous avonsnoinmé If. le D'OréhieF. L'antre, M. Magdelain, agrienUenr, hshite tgalement'Nantsuil et siège an GtmseU mu nicipal dunis.qntiqnes amiées. Twit iM m - mentjipreeteaèiaittiesdeM.Sainti-leave, le Conseil municipal Ini a otmflé loti léni> tiens d’adjoint. U. Hagde'ain comptepanii les gnuicb cuitiv&ténrs de la réÿop, ses confrères, de nombreuses amitiés let de bonnes relations. : ; Si les électeurs du canton de Nénieuil n’avaient à considérer, dans lears detii êsh- didats, que Tbomme privé, pent-ètiwegssent!' iis été embarrassés-et n’aàraient-iis fpas eu de raison déterminante pour fixer leur choix. , ) Mais, bien que le mandat de conseiller bliqnesj ôM besoiii des'sfflhnir neiteifieBt; et, à êe point dé'vue. Voyons qnelie a été, aux deniéihs éleétiOnnegislatives, Fatti- tnde de noS candldàts.' i : M. le.O'.Orenier a très franehemrât et à la derdlére éonsultatien électontiei'll a très htfdiment pris position en faveur du caiididm quiireprésentait le vrai parti fépttr biicain, pour lequel la République et la Li- bmté ne font qn un. D’autre part, M. Msgdelain, tout en pa raissant soutenir le eudidat non radical, disait à quFvoulait renténdre qu’il .'avait promis au radical socialiste de ne pas le combattre. En présence de certains de ses amis, If. MMMtitt pnteste qu’il a tout frit pour l’éleelwn duaandidat libéral; et, avec les amees,-dl savante dé nlaxoir point coalbattu le candidat radical sedsUste. i De ; mémo ^ a r d ’hui, 11. ■ Magtelain, aussiiôt qu’il ènt manifesté l’intention, de poser ta, candldàtore, s’mnpressait d’qjoiw ter ; .* Si je me présente, je Suis, iffir de n’avoir pas centrâmoilés voix dés radicaux etd«sæcialittes'.> Ea soBune. attitude'douteuse; hésitante, moins franche, ea hn mot de to n des can didats, ^ veniménager.le chou radical et là chèvre libérale; tandis que, de n n concurrent, nous connaissons les opinions, que personne ne peut Suspecter et' qu’il a, en toutes occasions, hardiment Et si BOUS exâminoBS les prolessiqns de fol de*'dét<m.eandidjifs,:nous copât«mi>s que la même déMii de franchisé se' mantietie dansFuna qui ne preiDetHen, ne s’engage i rièn et ne iâit que répéter «ir t( ^ les tons ; c Vous me'connaissextôûï x] a’ors que, sauf à Nantenil et dqns unebndenx communes voisines, ce candidat, .mtis exercé anenne fonction pu absolument inconnudeséleetenra : fiutramwtioette et précisa est- le sicmde foi du D ''6râuff, iiSrti teAmtéesldéés raéram n qâvM'l bleesent connudeM la plimart £ tianot» a«iQnt;oiB(»A’ant»s ioebond<gasec«Bcaii«*i-) D eÈlt# éondMens, wnawomaes 00 » %imqM 'ta‘’éuidiaatiire as^.ls< ]^ ^ .rdnmraiek lidéréset 3 0!) 'Jiisr LE FAIT DU J(TÏÏR ' mmmÊmiemm 'i ' X.ieâ~7Sa.uveteiix*s. le s amis de MM. Coïnbes et PeDe^' tan sentent bien que- le.breyèt.deu -vertu déceraé par les.dépiiiés dm Uomi à nos‘deux minisires ne safiefrit pas l’Opi- nloh publique. iSébmi'smia po^ilaire sé de-; mande, malgré tout, ponr^éi Ces hommes pùblicé né Citent pao leura aeCùsàteura e n . Cour d’asoises.~IT fallait donc essayer^ par une habile manœuvré, par une comédie à grand spectacle, de repléirer. la Mputation forfoment endommagée de 'nos gouver nants.- Et leurs fldMes .ont cru'trouver le moyen sensationnm cherché. I^técieuoementi^ils ont-annoncé et d^ ‘noncé vtn complot tramé par là v notfi^Me t ' contçp }e président du Coneail, tfiiùshoha déTOer,^ugr^(Utqe[ùe d’Aufréi^^^mc^ heudni^ w ei^uréaomantiestim^hbs-' tiles... La RépoUiqna allait être enficmger,-' mais les héros' d’A ^ M ltim -o t^ e ........................la-sauver. . : ; ! jusem*pitppur..OUgj:personneji’i ‘Cjla PÎégq.lPfiPQii^pére e^ lien, venus à Autpuil, ils ontibiéi» . ifP“lecompactejlu-^esage;inëioi, pas plus’à',l*alier qu’au retoùiû nul noble ' ou ' 'bOi^eofri^joe^- ou "élèVw. n’a frit^lù.' moindre attention au grotqwsjimpatùque. Pas même les houl houl discrets de b r e - vuede't^eennes, pasmémie des marqùes '! i }r.5:;i3'i.r3Taq - —;le petmand deGitaUifsemest'dMrosta- tiOa piilîtairéids ehalais-JfaastaBi ir in b d'itre - Ucéaciè en gnâide pertiei esp «rériiHiUi d*unU déiciifon mimstfütlle. .T'.;...' ira’i ta»ç>s; — Lsjdunud,A4oshtiràndh '«ra;iisp4*>>t iu seiBSin* 4 ’E^Bom, le rai.A M K Sfîft nüUe itirra*(XmO.0 ra&anraiaa(utieM*liRi.,% avait ^giLgÜS ttOWB«r*si(rnM10Ofins^' .:c — Le coirespondent dâ^Més'Â^dttbPétirt- bourg a recüTbldfS~dn~g<niveiueiuuil iiupSrM Çrc黑illlaric(*4de'Blilo|iié â Jtceiaaé connue nrofessenr-de violon le jeun* Albert -Sp(BiHèg,l>gq ct>Itralza;as>jLt«b81âLe proCn- ;SIUr^S^ a o o m ]^ Spaj^U^A PsgfplnL .'■aâs.gEasègs.'. Oa* .plui*Si’toiq^tMlêsj qqt,^qu*é-^ dé- gits dans Je territeir* .IndipaüdiM Çitobema, ■le Kansae, In Mlwouzl,;lajNWWi M(fol’lu**i -n y a eu quatorze'morts. vnngtnMBsmsqsonBaS 'sontlaana-abri. Les dégâts aoat ânsnâs*. Les ’ma&émt, les ofaraiin* dô;frr,.Jss q9era» st las récoltes sont détruits, ' ~ ;-l ' — La cour de Chicago vient d* r à a ^ Un iarCét .interdisant 1* • trust s d* la y j a ^ , ' — La justice lédérale des Btatadhdsoiengsgé des poursuites t Montgoineiy (AliéMBâa) contra certains individus qui ont rétâbii virtudUement l'esclavage dans Sud. fils sont de mépris; l’mdffforence la plus coniplète. L’effet a été raté. Les àpétres'ministérîela qui circulaient dans la cofaué élégante.en ont été^pour lenra frais ; ils n’ont pas sauvé la République. Leurs Camarades, répandus aux abords' des diverses églises de n’cmt pas êu méilleura fçrtùne ; detranti l’ét- titude toscgique dé la police, devant kussi le nombre respectable d’hommes qui àssis- taieht aux offices, les froupes de l’exTabbé Charbonnel n’ont pas essayé de « faire res- - peoter > les circulaires de l’ex-abbé jCom- bas. Aucun d’eux n’a pu gagner sa médaille de sauvetage. Mauvaise journée pour le bloc. 11n’a pu encore réussir à poser en victimes les acéu- -sés d’hier. Il fondra trouver autre Chose pour fmre oublier la lettre de M. Parayré êt l’affoire dès Cercles, — Padi. CoMSié. ECHOS de PARTOPT A Varia. . —A la sorti* dlune conférence foite, samedi soir, par, l'anarchiste Sébastien Fanre, à j’HCtsl des Sodétéa. savantes, la police, a arré|té des jeunèi gais qui criaient >.* 1 ( 1*0 l’anarehte I » n en est rràulté une bagstre dtns laquaUq il y a au un* dizaina de bleués. — M. Deloncle, député de la Cocbinchine, a déposéi .sur le bureau de la Chambra une propo sition d* loi afin de faire voter un crédit d* 10.000 ,fr. pour l'expédition du docteur Jean Cbarcot au pèle Sud. » Le banquier Balensi, ancien dire^ur d* la Société hançaise de banque et d* change, extradé d'Amérique sons l’inculpation Ida M- tournaments par salarié, remontant à 1697, â été écroué à la prison de la Santé, 4Dans les V ^fvmmMits. — Pendant un otage qui a éclaté vendredi â Cherbourg, un coup de foudre étant topbé ea rade sur qn coffre de mouillage, la chalhé'd'at-. tache qui touchait â une ligne de torpilles & fond provoqua l'explosion de trms oui quatre torpilles mouillées daiw la passe Ouest; Lâ.CHaM TOff aimsdl, co;itjiigaÜoB[ fiéls^Hg«Btt|»B snf IMNfistsncsaBx vfoUkrds. ’p:: o 4 ^fMn«'cnàiwt» d^EéSiifrBt kuUéi e^nn le mt-iMunoer-MilifiMIsr tt ïodigier, b n f i ^ ^nbagé ;^sjé«‘tnbtihét sHtb qgh JAChsiiB^ antttipL mite, fiix .aiUclMr en Pusismee ob'jnfoire. ont ' aorée cegnradwértMàboi s^bnfnés-i jendi psotiiaia. j r ; .. - CIISSES D’EPUtUE M SOI t Le Journal officiel s paUU te ttUssa des agfetflons des caisses d’épatviq„.fiji^ 21 an D ^ t t de fond* ......... . !L49i^ 79 B s t r a i i t d s f o B d t ; , . . 16.271461 23 ■xeMsaisdezetrtitt... 1 2 .^ ‘^ 2 44 IteMMit ds retraits du janetiv eu H mMràte, 65.196.6V92KES.- La confianoe do publie d u s ta pMÜqne dn blao eondque à s* maaifostsr Moqunsia^t, -g- - > . I ■ - . - linpréTo^ce gouTerafx^iale. M , Jonnart, genveraenr de l’Algérie, a failli être victime d’nn gnetràrpeû dans l’oasta dAtÿstif lasitu'âtiom. rahdrâ compte de naires ont été blessés par les Arabes. An Ta-Nan, SOO Français travatilant ad ehomin de fer qui doit relier cette provinee aù Tonhin, sent cwnés par tes hoxers. Là comnw éFignig, lefonvemMiMt était aaa.mamisesdis- > lijpafcjlas qn’M aveiti depnia li pesitiens des Algérie, il n’a sables ponr prpi irte-tesmeaffen i t d i^< nos nationanx. ♦- L’Affidre Gombei jBlf et A propos de l’afftire du Certie, l’AgeiM Sawu avait poblié nne note d’après laqHlli H. Flahdln atirairexptimé i M, Rabter c te regret qna h Chamtee m loiMt pis laissé te temps de fournir des explicanons plia complètes, de natnre à dégaw la persofri hâhtAfie M. E^arGombes. s H. Flandin est absent de Paris. Mais noiii apprenons de source sfire, disent tee Dééeti> que la note r«rodidt, dMue façon teexactei rentretibn de M, Flandin eifie E Rabter. D’antre part, interrogé parnn de nos con frères reliffiveimat i cette net» de l’Agsnel Bavttsi H. Orosjéan, député, a dit c La conversation ÿ ie M. Flandin a eue* avec notre collègue dn Leéret n'a earteteos i nunUMOK bll COÜRSIMR P i l ’OlSS “ (îi) CHATEAU TRAGIQUE Irsduit de l’angltis par E.-A. S poll. ■- Non. Maman croit qu’il écrira, parce qu ü 1e promis j mais je crois qu’il a fait ‘“ promesse sans intention de la tenir. — Il éviterait tout danger en m’adressant ses lettres, et, au moins, ce serait une con- solation pour votre mère. , ~ Opîi mais vous savez comme il s’effraye facilement. Otway Betbel est de retour, con- unua-t-elle, et vous m’avez dit que vous 1 interrogeriez. C’est ce que j’ai fait aussi, et il paraît bien disposé pour Richard, mais il prétend Ignorer tout ce qui concerne Thorn. Ils en étaient là de leur entretien, lors- qii lis arrivèrent à l’entrée de l'hôtel de ville. Une foule compacte stationnait à la porte, regardant curieusement l’équipage armorie du comte, avec son cocher im^fissible et ses deux laquais poudrés à frimas, se tenant de bout près de la portière. — Voici lady Isabelle, fit Barbara, en passant près de la voiture. Carlyle parut surpris. Pourquoi attendait- elle en cet endroit? Où était le comte? Excusez-moi si je vous laisse un mo ment, Barbara; je vais— ’—“ dat _ lui dès qu'elle l'aperçut. J'attends madame Ducie, répondit-elle — Et le comte? — Figurez-vous que mon père est encore malade. — Comment, encore malade? répéta Car lyle. — Très souffrant, au moins. Mon père m’a chargée de vous dire qu’il espère vous voir demain. M. Carlyle salua Isabelle et s’empressa d’aller rejoindre Barbara, et tous deux en traient dans la salle de concert au moment même où l’équipage de madame Ducie s’ar rêtait devant la porte. La salle était comble lorsque lady Isabelle, accompagnée de madame Ducie et ses filles, firent leur entrée, conduites par l’heureux M. Kane qui était allé les recevoir à la porte. Un murmure d’admiration s’éleva de tous côtés lorsque l’on aperçut Isabelle dans tout l’éclat de sa radieuse beauté, que fairait en core ressortir la laideur et l’accoutrement di^acieux des demoiselles Dude. I%ur Carlyle, après avoir conduit sa sœur et Barbara aux sièges qu’elles devaient oc cuper, il était revenu se mêler à la foule. Le concert touchait à . sa fin loréqu’un grand laquais, dont la téte poudrée seinblait un chou-fleur monstrueux, fendit la foule qui obstruait l’entrée de la salle, promenant autour de lui des regards investigateurs, Tout à coup il aperçut Carlyle qu’il recon nut. — Pardon, monsieur, fit-il respectueuse ment; monsieur pourrait-il m’indiquer où se trouve ma jeune maîtresse? — Au bout de la salle, près de l’orchestre, fit Carlyle avec étonnement. — Oh I comment faire pour arriver jusqu’à elle? Mylord est plus m alet Ton cramt qu’ü ne soit près de sa fin. Les cris sont afiraux à entendrè. Deux médecins sont auprès de lui, madame Mason m’a dit d’aller chercher de suite ma maîtresse, car il pandt qu’il n’y a pas un moment A perdra. « Je vois Blltr pilante tedy Isabelle, fit M. Carlyle, qui se fraya, non sans petee, un chemin au milieu des auditeurs scandalisés et s’approcha de la jetihe fille. i — Je croyais que vous ne viendriez pas me dire bonsoir, fit-elle la premièretiquelle belle salle I comme je suis contente I — Certainement, certainement, fit M.Car lyle d’un air embarrassé ; mais je viens parce, que lord Mont-Severn est moins bien et et qu’il vous envolé chercher. ! . — Moins bien? s’éeria-t elle) alarmée. — Oui, en tout cas il désire que vqus re veniez. Voulez-vous prendre'iaon bras pour traverser la salle? i ; - : ‘ — Oh! fit Isabelle en riant, jeerOisiqna' mon cher père craint qnejè'nei m’enhinOiet qu’il ne“m’envoie chercher qUe polaX 'me rendre ma liberté. Laissez-moi atteadrala fin. — Vous ne m’avez pas compris, lady Isa belle, fit gravement le jeune homine; le comte est réellefiiênt plus mal. ' ' La figure de la jetme fille prit une teinte plus sérieuse. — Eh bien I dit-elle, ,aussitôt la romance finie. i — Vous feriez mieux de ne p u perdre'de temps. Isabelle se pencha vers madame Dùciô pour lui expliquer son brnsqUe départ, puis elle prit le bras de Carlyle et traversai la foule étonnée, qui s’écarta pour la ilaisBer. passer. • - ■ ■■ ' — Où la conduit-il? se demanda Barbara, qui n’aivait rien perdu de cette scèh^ . i Lorsque lady Isabelle eiéson cumpaguon parurent au bas de Tescalier, nn vtdel'de pied s’empressa d’ouvrir la portière.'Isabelle, s’arrêta avant de monter et, s’adreajaehlt éu’ d è i f i è s f i q n è . : : .^ Est-qe queimon père est baMücoupüpbis mal?demanaa-t-elle. ; o "'s, i o.*!;;.. ^Qnriainementy;;milady; ;M; le comte Isabelle poussa un géinissement ,-eh se cramponnant au bras de Carlyle pour ne pas tomber. ; Carlyle repoussa durement le maladroit auteur de celte scene pénible. — Oh) monsieur Carlyle, fit-elle en pleu rant, pourquoi' ne m’a v o irj^ tout dit ?^ ; , tedy Jsabelfe, je suis .désolé que Vous ayex ainsi awris cette nouvelle; nuis d ne foutpàsAése^érer. Mohtez;j’es• ’'*’•“ '"le Vousalléz'le trouvér mieux, ' que vous ne venez pâs avec moi ? — Certainement si; je ne vous 'Udssereù pas aller seule. Elle se recàiia pour lui foire place. . iMerri, fit-il, j’irai sur Je siège. - - Mais vous aurez frpid. -s Non, merci, fit-il en fermant te por- tièré. ' : ■ ' ; Puis, il yirit place A côté du cocher et 1a voiture p m it au galop;. Isabelle, se ijejotant au tond de la 'vàituré, donna im libre cours àsadottleur. — Ne ménagez pas les chevaux, ditM. Carlyle an cocher, tedy Isabelle est malaite d’anxiété. — Oh t fil cet nomme, ce sera bien pis de main matin. Pati'vrè enfoUti Monsieur, il.y a quinze ans que je suis dans te maison'; je Tai -vue' grandir, ajouta-t-il comme pour excuser le.'ton fomflier de saréponee. ' -- Ettecorateèst-ilréellementendangar? , — HélaS ! oui, monsieur ; j’ai vu dans ma 'Vie deux tcos tels que lésion,: et il ne fout que quelques heures pour que tout Soi fini; ~ Mais il a eu des accês,ans8igrdves? Oui, monsieur, mais Cotte fois cîest dif- rant. Puis les chauves sourir tib sont’ pas. venuespôurrien.', ; ' — 'Que'vbuleh-vousdiin'? ■ — Leachouvos-somis volent antour delà maison ce- sdir, et je niterne pas celé C’est; signe do mort. ; ! — Mais, ^rem arm C r M. Cerijle, les el»intei-M«il tteumt teUonra te n m — Oui, mais elles ne -viennent pas en troupe îrappèr aux fenêtres'. Ce soiri après avoir conduit mademoisdlé, j’entendb mta» dame Mason, la femme de chargei m’ap peler. Je montai dans te bibliotnèÿie, 'où elle se tenait en cas que Ton eût {besoin d’elle. i « — Tenez, 'Welte,. me dit-elle en dési- gnpiit te fohétre ouverte, regardez. ; «, Alors,monsieûr, iê vis ce que je n’avais jamais, vu de ma -vie, des nuées de cljauves- -sourià; il y en avsdt dès milliers ' ^ vole taient autour dô la fenêtre. D’où veltaient- elleSF Je' a ’en sais rien, «ar jn venais du dehOn et je n’en avais pas vuuno,80 ale. < Queteues minutez pM8i.tard,6téute la .nudson èf-’* --------- " ------ étaft é J’i...,. goutte reinonl .. maltrè était perdu: ' j Au même momenL la Voiture entrait dans te grande avOnue d’Ést-Lynne, j Madame Mason attsndait A te porte. T- Est-fi. .mieux? ^ lui .cria Isabeileî dès qu’eUeTeperçuL. .1 ' Oui, U était mieux, en ca sens qu’il .ne. criait plus, ayant perdu coiu>Oissani|eJfsa- béllé sè pracipite' vers te ohmnbre du confié, tandis'que M. Çarlj le pranmt'la feipms de (fogqgè àpàrt. > . ' = i , . . N’y a-t-il apcun èsppir, dèmanâaj^, — p as te ihoihdra, monsieur, fi sej meurt; Le côinte'né rscônnaissàit plus'pe: La doUtenr lui laissait’un iàstantm et fiéttdtétèndu sur «on Ut, calme et rence. Mais son visage, sur lequel s taitlropcteitmeattenKirt,.effi%a Ii Eltemèfonsqapatenn ôi, ne ûej mte terme m si’e5arçajte:|taEnte geuse, bien que tout son com fùt tr e m M ^ qni y»nV” ltif-. Sera i-tfteenfotriimènxi dessauteif enê temstanxifoixmMtiatiL - ^ Le docteur toussa ponr. cacher scm ettrà barras. ; -- Il fout l’espérer, rafiady. — Mais pourquoi sœi visage est-il ainsif Il est terreux, je ne' L'ai jamais m oœnms cote. .. . i, — H a beaucoup souffsrt, mUady, fit dette mëntteméécin. M.. Carlyle) qui venait d^ehfrer, lut te ter rible vérité sur te visage du mbribœid; il aHaH-se retirer diserètement, lorsque Iw - belte TaperçuL — Ahf ne quittes pas te inMsn, monatenP Carlyle ; quand fi s’éveillera, il sera si OMt- tent de vous voir ; jl vous amie tant I ’ra réSte,miteây'ié’éHdt mon intention. JJue VOUS' êtes ocm I ^ .La : ncèsa éteit émouvante.. .J.intortmié comte livrait un dernier combat ^ te mort qui TétreimaiL La j'emMtflliet sm robe M soie étincmânte de pierreries, jèfait pendiés sUr lui. Enfin les médecins arrivêreni Us s^indtie nèrent vers te comte, lui tàlèfént U ponte si échangèrent quelles mots à -Vu basse ' avec M.'Wain'wrigbt. l8abclRe,''qm ue tes .quittait pas du regdfd, s’avança eux. — Lesanvàrèz^ns?demàndi|^ene, L’un d’eux fit unie répOnsé éysinye. H euitreJ ■■ H, reflé-

im L L i - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_06_04_MRC.pdf · Oit 8’abonhs ftoz boréaux du journal et dana touf lea buresoz de poÀe. ... deux délibérations

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I Paris 4903. ar.

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éditions aTaatagnsee. iQTTe, Puis. «

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^ctear-AdmisisU

i m L L i

P au l G O ïB lé , R édacteur en chef. ............

P a r a i s s a n t l e ' J e D iio,aiich e .H e n r i C A Ü G H IS ,

^ S O XT XT S 2Æ s : XT 0? SEélÜon h/-A«6rf<wqptf«fr*. i Eàltlen h9bdomâdêir$.

ScBlbetOiM............ 6 fr.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 f i r .

Autrwi Laïuon nvoaçmaaëin.

trw ifo. ! Sealia «t Oise. AatMjd^Ttn an. .................... ® i 5 “ ?»a î S i : : ..................... f 'S a mon........................ 2 f r .Oit 8’abonhs ftoz boréaux du journal et dana touf lea buresoz de poÀe. — L’abonnement est p a j a ^

d’aTaaee ek continue de plein dnnt jniqu’à véc^iti<m d’avif eontraire.

Seules, 1$ S Ju in f9Cg,

Nos Rédacteurs.Kous avons publié, dana le dernier nu­

méro, les adieux de M. ViUavrède à nos lecteurs. Des circonstances indépendantes de la politique du journal, nous ont, en effet, obligés de noua séparer de notre rédacteur en chef; mais nous ne voulons pas le laisser partir sans rendre la justice qui est due à son talent, i son dévoue­ment à nos idées, i son zèle pour la dé­fense de nos amis. M. Villavrâde empor­tera leur très bon souvenir et l’estime de tes adversaires, malgré l’ardeur avec laquelle il les a combattus.

M. Combié, qui remplace M. Villa- vrède, a été rédacteur an Journal dos Débats; dans ces derniers temps, il écri­vait chez notre excellent confrère de Compiègne le Progrès de VOise, où il a su faire apprécier son talent d’écrivain, son tact poütique et la modération de ses vues. Nous sommes convaincus que nos lecteurs apprécieront la rédaction de M. Combié comme l’ont fiût ceux des journaux importants auxquels il a col­laboré. '

LA D IRECTIO N

la Fétejfis Fous.SocB ce titre, on lit dans la L i b e r t é :

Ainsi, voilà ce projet sur les vieillards, une des grandes réformes promises par le Solidarisme, nouveau nom du Sooii^me d’Etat. Pour ne le considérer qu’au point de vue purement budgétairej il est évi­dent que le premier soin, le premier de­voir de gens en possession de leur bon sens est de se rendre compte de la dé­

instituer l’assistance obligatofre des vieillards, des infirmes, des incurables, dans toutes communes de France ; obliger les contribuables, qui ne peuvent plus pajer leurs impôts que très péniblement, à supporter de nouvelles charges qui les mettront dans l’impossibilité de réaliser des économies en vue de leur propre vieillesse — (si bien que la loi nouvelle aura pour effet certain d’augmenter le nombre des vieillards à secourir : c’est le résultat que produisit, en Angleterre, l’ancienne mmeuse loi sur les pauvres, qu’il fallut abroger), — c’est fort Wen ! Mais au moins frut-il savoir ce que va coûter cette c réforme sociale >.

Combien de vieillards, d’infirmes, d’in. curables, — approximativement tout au moins, — faudra-t-il secourir t

Quelle somme faudra-t-il ajouter au budget, déjà en déficit î

Quelle somme nouvelle laudra-t-il ar­racher aux contribuables î

Le règlement de la Chambre veut que des projets de loi de ce genre soient sou­mis à la commission du budget. Il veut encore qu’ils subissent le contrôle de deux délibérations successives. Dans au­cune occasion ces précautions du règle­ment ne sauraient être plus nécessaires.

Que fait la Chambre ?Ou mieux que font lesquarantedéputés

présents au début de la séance ?1° Ils déclarent l’urgence.2° Us sngpriment ainsi l’examen préa­

lable et le contrôle de la commission du budget.

3° Ils entament aussitôt le débat et déclarent qu’ils le conduiront, sans au­cune interruption, jusqu’à son terme.

Et que révèle le débat ainsi com' mencé! '

C’est qu’on ignore absolument le nom­bre des vieillards qu’il faudra seeolirir.

. C’est qu’on ignore absolument le poit^.du fardeau qu’on va ajouter à ceux qui écra­sent déjà les contribuables. On. ne 'sait qu’une chose, etion-la vreut;:bien, è’eSt qu’on va les écraser davantage. ^

Aucune enquêté dans lesdépnteménts, daiis les communes, dans les;ditorsés régions de la ’Fiiméel Tïpismdis de; re­cherches administratives a u r o n t sufff pour être à peu près renseigné^" sur les conséquences nnançiéns "probàbled du proj.et._A quoi bon î

Votons d’abord 1Vainement, un député de la .Seine,

M. Auffra^, prouvoTt-il au tableau noir que les no.tes officielles insérées au rap­port fourmillent d’erreurs: de calcul 1 ^ plus grossières en ce qui doncedne Pans (où il est pourtant le plus aisé de se ren­seigner) ; qu’on a fitit des éov^treutions là où il fûlait fàire des adàUîgnst.. qu’on s’est trompé sûrement, au mini­mum, de près de moitié en insuffisance, si bien qu’au .lieu de 18.000 indigents à seeonrir, c’est plus de 80.100 qu’on doit prévoir — à Paris seul.

Vainement, un des partisans les plus résolus du projet déclare-t-U lui-nmma qu’il ne sait pas où l’on vaj que persdnifè ne le sait. Le rapport a parle de 2} p il­lions ; quelle erreur ! C’est le quintuple, le décuple, plus encore qu’ilfaut compter, dit ce pai^san courageux et sincèrè de la nouvelle ioiA et il cite .les évaluations les plus autorisées : celui-ci, tel ancien ministre, compte 100 millions; tel antre, 276 millions, même 315 millions. En dé­finitive, ajoute-t-il, il &ut compter une dépense pouvant varier td eO O millions à 60 0 m illions x par an I ^

Rien qu’une incertitude de 1 à 10.<Rien qu’une prévision possible de 600

millions par an !Vous voyez bien, n’est-ee pas, qu’il

n’est pas une boutique d’épicier où, de­vant une' opération commerciale ana­logue, on ne reculerait pas avant de prendre parti, on ne déciderait pas (p’On va d’abord s& renseigner et caleuler i Aù' Palais-Bourbon, on se précipite, oh se rue au dénouement, tête en avant, ^eux bandés; on ne sait rien : on ne veut; rien savoir!

Soixante millions ou six cents millions T Qu’importe 1 On est généreux ou non,'— de l’argent des autres. E t l’on vote à tour de bras !

Et l’on votera de même la loi sur les employés de chemins de fer ; 275 mil­lions par an, dit le ministre des travaux publics du Bloc lui-même.

Puis la loi sur les pensions ouvrières 200,300, 600, 800, 1.200 millions par an : qui ssitT

Puis la loi, les lois sur les écoles pri­maires, sur les traitements, sur. les re­traites des instituteurs : 3 0 ,4(L 80,100 millions par an, sans compter 100,200, 300 millions d’emprunt.

Puis la loi sur l’armée : 30, 40, .50 ' millions par an, — sans compter les mil­lions perdus par les frmilles.

Puis le rachat des chemins de fer de l’Ouest et du Midi : emprunt de 3 mil liards au moins, sans compter les millions* de déficit inévitable résultant de l’ex­ploitation par l’Etat 1

En avant l’avalanche des millions, deé centaines de millions, des milliaids de dépenses de déficit, d’emprunt l'E t allez donc mon père I Les votants ne sont pas les payeurs I

Et dire q't’on appelle ces Saturnales parlementaires la c République x 1

JchBs R oche.

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s-l ; p cE 2 i;± : s s !0,20e.:ia_lign.. | •

. ON N’AOCBPTS p a s OrlNSBBTION Atf-OSSSOtTS ÔB 1' râANO Lss aimonees, réclam é etc.i co&cenisnt PSrif «Mes Dtosrtéme&ts ^t'reptss-^iM StoauBt

ans d« joqrnsL u.. .1 - .rm -, ^

j u in[UJUSaCu . - . 119 d e a n h , j’ai • àccfepté comme

de canton^ que fôccbpe

9 i ; p } a ; - a b û - ; ; i ■;

, MES CHERS.,J’ai Fhonneur de sQlliciterjvoa s ê ^ a ^ pour. l’Election da 7

pfoctiâln àiÉiConseit d’a rro n d iss^W ife '?; : Vivantiau' miliieu do voua d^pliH(^ un devoir les fonctions d« ‘ 'depuis.dooze.ans.: i i . i

Je crois encore.dfs.moo.4 ^ o ir d% ^o jprlsw t'èr auZuElections canto­nale^ su r l^s instances d’u n .grtmd .rflomhre d ’dhtre vous dqn^ da' confîancé m’a prolBnaêmenrEodchél i î . .

En ce qui ç o n c ^ e les beso ins’ c i a u x dé notre ré^o n Jesu iV ra i ' ■ ■ • • ■ ’la ligne de'^coàdàile de mon thés dévoué ami, le ré^itttg 'M ï^M éntird.

Comme lui, jë défendrai de mon m iâBxléé interètS'de notre cher canton.J’ai toujours eü à cœur, dè maintenir de bon état de noschem m sd

A’eSIr sifr; iiiofriiiitiitiVèTqtrélè Gonseü municipal de FJanteuil a procédé, en 1896, à lairëfection totale dei ses chemins vicinaux, e t c ’est su r mes instances que Celui de Nanteüil à ^ r tê fo n ta in e va être classé dahs la grande vicîhalité. ' ^ • ; / " ' r ; i

' Au point de vue politique, J e demanderai sans relâcjie le réspeet des libertés héOessaires,^ dé toptes iès JibertéSÿ dejmjiê, la . Ub.êrtél de Gôhseiehcé,'’^m cèm prend Ifi* nbertéride croire et ^Æenseigner,, 'la l ib e r té d u trav h iF ,^ s l eompromiffié -0 n-'O9 s^lm iiiim s> tèm p a ; ' ! ‘4 3

RépulH iCàin fe im e e t cdnvm ao c ra t ie r je % i’èffÔ¥eemi, en -to iite s cl: d e to u t b o n ' c itô /e n î fa ire o im q r îr , en fa ire d e p lu s e n p lu s- u ô j v é n l f ^ ’réd iscusm onp d e p rb g reS ^ t ; nf./.rRÂTERNnLj im uaTOUS, c ’e s t - à -d i r e cdd im e ^ l j a d ît s i ju s te m e n t G ô u v é rn é n ie n M u p ay s p a r l e p a fà ê f 'p ô ü î teiut 1 0 ; p a y s .

^yip'e là J R ^ i tà / ig u A ^

in ïèrésS é â e l a d é L - eeé,'^'cte't8Ster flâffié à^’Pifiéal

é p u b liq u e c ^ i j d ë jbU r d à '^ h tB M , q 'u ë . toIérànC ë,' d e I p r e

~Catvàutài f6 p u b lica in . ‘

Nanteuil-le-Haudoüin, te 27 ^Mai- i 909.

Lès'électichz'an CouMit daus le cshtbn fie '7 juin prCchshà. . . v„ » —-vujiuvai»

9b^aa~avàii satMihié'qhé-lff.‘Vaqiie(^ • ^ l e E s a t n ^

t a it.uM ppitie

où Isaopiniona

I’h4«en91essaiiiefieïlhetwmlle,'‘qm îl ac­cepté de.peter a i eudtdatn% ^ ténp nos ami* mRaieataecnillieamc <le. plut ftand, plaisir. Malt, les solUeitaliens leiriasbrea- aânte* n’ayant pu vaincre lei hétifatioia de M- MoqueQ nouf àvoifii ahnômÿ. i netre g ^ d regret, m iénoùlétibht "abàhdenntr tenl'èàpoir'èfôeniief. ' !

Gommé («d’à vit dans notre fiendet nu­méro, il est aujourd’hui certain i(he!dêax candidats sollicitent les suffrage* de hiM eontitoyens.

Oisons tout de suite que ces deux candi­dats sont,, à des titres divers, également et .honorabimnent coiiniis dans.notn pâyt.

Lion, pouf com m ent par l!âlhé, est doc­teur" éh ittédécinè A nanfénil et y exerce sa

. . . , lenxansîliéstÉnaire

municipal,amz. dire en quelle estiin» 1» tiennent Ips. électiors dé NaniSliit, dont lijsênflalnee à' sOn égàrd iie t’est Jamais déméntlei Nous avonsnoinmé If. le D'OréhieF.

L'antre, M. Magdelain, agrienUenr, hshite tgalement'Nantsuil e t siège an GtmseU mu­nicipal dunis.qntiqnes amiées. Twit iM m - mentjipreeteaèiaittiesdeM.Sainti-leave, le Conseil municipal Ini a otmflé loti léni> tiens d’adjoint. U. Hagde'ain comptepanii les gnuicb cuitiv&ténrs de la réÿop, ses confrères, de nombreuses amitiés let de bonnes relations. : ;

Si les électeurs du canton de Nénieuil n’avaient à considérer, dans lears detii êsh- didats, que Tbomme privé, pent-ètiwegssent!' iis été embarrassés-et n’aàraient-iis fpas eu de raison déterminante pour fixer leur choix. , )

Mais, bien que le mandat de conseiller

bliqnesj ôM besoiii des'sfflhnir neiteifieBt; et, à êe point dé'vue. Voyons qnelie a été, aux deniéihs éleétiOnnegislatives, Fatti- tnde de noS candldàts.' i :

M. le.O'.Orenier a très franehemrât et

à la derdlére éonsultatien électontiei'll a très htfdiment pris position en faveur du caiididm quiireprésentait le vrai parti fépttr biicain, pour lequel la République et la Li- bmté ne font qn un.

D’autre part, M. Msgdelain, tout en pa­raissant soutenir le eudidat non radical, disait à quFvoulait renténdre qu’il .'avait promis au radical socialiste de ne pas le combattre.

En présence de certains de ses amis, If. MMMtitt pnteste qu’il a tout fr it pour l’éleelwn duaandidat libéral; et, avec les amees,-dl savante dé nlaxoir point coalbattu le candidat radical sedsUste. i

De ; mémo ^ a r d ’hui, 11. ■ Magtelain, aussiiôt qu’il ènt manifesté l’intention, de poser ta, candldàtore, s’mnpressait d’qjoiw ter ; .* Si je me présente, je Suis, iffir de n’avoir pas centrâmoilés voix dés radicaux etd«sæcialittes'.>

Ea soBune. attitude'douteuse; hésitante, moins franche, ea hn m ot de to n des can­didats, veniménager.le chou radical et là chèvre libérale; tandis que, de n n concurrent, nous connaissons les opinions, que personne ne peut Suspecter et' qu’il a, en toutes occasions, hardiment

Et si BOUS exâminoBS les prolessiqns de fol de*'dét<m.eandidjifs,:nous copât«mi>s que la même déMii de franchisé se' mantietie dansFuna qui ne preiDetHen, ne s’engage i rièn et ne iâit que répéter « ir t ( ^ les tons ; c Vous me'connaissextôûï x] a’ors que, sauf à Nantenil et dqns unebndenx

communes voisines, ce candidat,.mtis exercé anenne fonction pu absolument inconnudeséleetenra : fiutramwtioette e t précisa est- le sicmde foi du D ''6 râu ff, iiSrti teAmtéesldéés r a é r a m n qâvM'l bleesent connudeM la plimart £ tia n o t» a«iQnt;oiB(»A’an t»s ioebond<gasec«Bcaii«*i-)

D eÈ lt# éondMens, wnawomaes 0 0 » %imqM 'ta‘’éuidiaatiire as^ .ls< ]^ ^ .rdnmraiek l id é r é s e t

3 0!) 'Jiisr

L E F A I T D U J ( T Ï Ï R' mmmÊmiemm 'î 'i '

X.ieâ~7S a .u v e te i ix * s .

l e s amis de MM. Coïnbes et PeDe ' tan sentent bien que- le.breyèt.deu -vertu déceraé par les.dépiiiés dm Uomi

à nos‘deux minisires ne safiefrit pas l’Opi- nloh publique. iSébmi'smia po^ilaire sé de-; mande, malgré tout, po n r^é i Ces hommes pùblicé né Citent pao leura aeCùsàteura en . Cour d’asoises.~IT fallait donc essayer^ par une habile manœuvré, par une comédie à grand spectacle, de repléirer. la Mputation forfoment endommagée de 'nos gouver­nants.- Et leurs fldMes . ont cru'trouver le moyen sensationnm cherché.

I^técieuoementi^ils ont-annoncé et d ^ ‘noncé vtn complot tramé par là v notfi^Me t ' contçp }e président du Coneail, tfiiùshoha déTOer,^ugr^(Utqe[ùe d’Aufréi^^^mc^ heudn i^ w ei^uréaomantiestim^hbs-' tiles... La RépoUiqna allait être enficmger,-' mais les héros' d’A ^ M lt im - o t^ e

........................la-sauver. . : ; !jusem*pitppur..OUgj:personneji’i ‘Cjla P Îég q .lP fiP Q ii^p é re e^ lien, venus à Autpuil, ils ontibiéi»

. ■ ifP“lecompactejlu-^esage;inëioi,pas plus’à',l*alier qu’au retoùiû nul noble ' ou '

'bO i^eofri^joe^- ou "élèVw. n’a frit^lù.' moindre attention au grotqwsjimpatùque. Pas même les houl houl discrets de b r e - vuede't^eennes, pasmémie des marqùes

'! i }r.5:;i3'i.r3Taq- —;le petmand deGitaUifsemest'dMrosta- tiOa piilîtairéids ehalais-JfaastaBi ir in b d'itre

- Ucéaciè en gnâide pertiei esp «rériiHiUi d*unU déiciifon mimstfütlle.— .T'.;...' ira’i ta»ç>s; „— Lsjdunud,A4oshtiràndh '«ra;iisp4*>>t iu

seiBSin* 4 ’E^Bom, le rai.A M K Sfîft nüUe itirra*(XmO.0 ra&anraiaa(utieM*liRi.,% avait

giLgÜS ttOWB«r*si(rnM10O fin s ^ ' .:c— Le coirespondent dâ^Més'Â^dttbPétirt-

bourg a recüTbldfS~dn~g<niveiueiuuil iiupSrM

Çrc黑illlaric(*4de'Blilo|iié â Jtceiaaé connue nrofessenr-de violon le jeun* Albert

-Sp(BiHèg,l>gq ct>Itralza;as>jLt«b81âL e proCn- ;SIUr^S^ a o o m ]^ Spaj^U^A PsgfplnL

. '■ a â s .g Easègs.'.Oa* .plui*Si’toiq^tMlêsj qqt,^qu*é-^ dé-

gits dans Je territeir* .IndipaüdiM Çitobema, ■le Kansae, In Mlwouzl,;lajNWWi M(fol’lu**i -n y a eu quatorze'morts. vnngtnMBsmsqsonBaS 'sontlaana-abri. Les dégâts aoat ânsnâs*. Les ’ma&émt, les ofaraiin* dô;frr,.Jss q9era» st las récoltes sont détruits, ' ~ ;-l '

— La cour de Chicago vient d* r à a ^ Un iarCét .interdisant 1* • trust s d* la y j a ^ ,

' — La justice lédérale des Btatadhdsoiengsgé des poursuites t Montgoineiy (AliéMBâa) contra certains individus qui ont rétâbii virtudUement l'esclavage dans lé Sud.

fils sont

de mépris; l’mdffforence la plus coniplète. L’effet a été raté. Les àpétres'ministérîela qui circulaient dans la cofaué élégante.en ont été^pour lenra frais ; ils n’ont pas sauvé la République. Leurs Camarades, répandus aux abords' des diverses églises de n’cmt pas êu méilleura fçrtùne ; detranti l’ét- titude toscgique dé la police, devant kussi le nombre respectable d’hommes qui àssis- taieht aux offices, les froupes de l’exTabbé Charbonnel n’ont pas essayé de « faire res- - peoter > les circulaires de l’ex-abbé jCom- bas. Aucun d’eux n’a pu gagner sa médaille de sauvetage.

Mauvaise journée pour le bloc. 11 n’a pu encore réussir à poser en victimes les acéu- -sés d’hier. Il fondra trouver autre Chose pour fmre oublier la lettre de M. Parayré ê t l’affoire dès Cercles, — Padi. CoMSié.

ECHOS de PARTOPTA Varia.

. — A la sorti* dlune conférence foite, samedi soir, par, l'anarchiste Sébastien Fanre, à j’HCtsl des Sodétéa. savantes, la police, a arré|té des jeunèi gais qui criaient >.* 1 (1 * 0 l’anarehte I » n en est rràulté une bagstre dtns laquaUq il y a au un* dizaina de bleués.

— M. Deloncle, député de la Cocbinchine, a déposéi .sur le bureau de la Chambra une propo­sition d* loi afin de faire voter un crédit d* 10.000 ,fr. pour l'expédition du docteur Jean Cbarcot au pèle Sud.

» Le banquier Balensi, ancien dire^ur d* la Société hançaise de banque et d* change, extradé d'Amérique sons l’inculpation Ida M- tournaments par salarié, remontant à 1697, â été écroué à la prison de la Santé,

4 Dans les V ^fvmmMits.— Pendant un otage qui a éclaté vendredi â

Cherbourg, un coup de foudre étant topbé ea rade sur qn coffre de mouillage, la chalhé'd'at-. tache qui touchait â une ligne de torpilles & fond provoqua l'explosion de trms oui quatre torpilles mouillées daiw la passe Ouest;

L â . C H a M T O f f

aimsdl, co;itjiigaÜoB[ fiéls^Hg«Btt|»B snf IMNfistsncsaBx vfoUkrds. ’p:: o

4 ^fMn«'cnàiwt» d^EéSiifrBt k u U é i e ^ n n le mt-iMunoer-MilifiMIsr tt ïodigier, b n f i ^^nbagé ; sjé«‘tnbtihét sHtb qgh JAChsiiB^ antttipLmite, fiix .aiUclMr en Pusismee ob'jnfoire. ont ' aorée cegnradwértMàboi s^bnfnés-i jendi psotiiaia. j r ; ..

- CIISSES D’EPUtUE

M SOI t

Le Journal officiel s paUU te ttUssa des agfetflons des caisses d’épatviq„.fiji^ 21 an

D ^ t t de fond* ......... . ! L 4 9 i^ 79B s t r a i i t d s f o B d t ; , . . 16.271461 23

■xeMsaisdezetrtitt... 1 2 . ^ ‘ 2 44 IteMMit ds retraits du janetiv eu H

mMràte, 6 5 .1 9 6 .6 V 9 2 K E S .- La confianoe do publie dus ta pMÜqne dn

blao eondque à s* maaifostsr Moqunsia^t,-g- - > . I ■ - . -

l i n p r é T o ^ c e g o u T e r a f x ^ i a l e .

M, Jonnart, genveraenr de l’Algérie, a failli être victime d’nn gnetràrpeû dans l’oasta dA tÿstif où

lasitu'âtiom.rahdrâ compte denaires ont été blessés par les Arabes.

An Ta-Nan, SOO Français travatilant ad ehomin de fer qui doit relier cette provinee aù Tonhin, sent cwnés par tes hoxers.

Là comnw éFignig, lefonvemMiMt était aaa.m am isesdis-

> lijp a fc jla s qn’Maveiti depnia li pesitiens des Algérie, il n’a sables ponr prpi

irte-tesmeaffen i t d i ^ < nos nationanx.♦ -

L ’A ffid re G o m b e i jBlf e t

A propos de l’afftire du Certie, l ’AgeiM Sawu avait poblié nne note d’après laqHlli H. Flahdln atirairexptimé i M, Rabter c te regret qna h Chamtee m loiMt pis laissé te temps de fournir des explicanons plia complètes, de natnre à dégaw la persofri hâhtAfie M. E^arGombes. s

H. Flandin est absent de Paris. Mais noiii apprenons de source sfire, disent tee Dééeti> que la note r«rodidt, dMue façon teexactei rentretibn de M, Flandin eifie E Rabter.

D’antre part, interrogé parnn de nos con­frères reliffiveimat i cette net» de l’Agsnel Bavttsi H. Orosjéan, député, a dit

c La conversation ÿ ie M. Flandin a eue* avec notre collègue dn Leéret n 'a earteteos

inunUMOK bll COÜRSIMR P i l ’OlSS

“ (îi)

CHATEAU TRAGIQUEIrsduit de l’angltis par E.-A. Spoll.

■- Non. Maman croit qu’il écrira, parce qu ü 1 e promis j mais je crois qu’il a fait “ ‘“ promesse sans intention de la tenir.

— Il éviterait tout danger en m’adressant ses lettres, et, au moins, ce serait une con- solation pour votre mère., ~ Opîi mais vous savez comme il s’effraye facilement. Otway Betbel est de retour, con- unua-t-elle, et vous m’avez dit que vous 1 interrogeriez.

— C’est ce que j’ai fait aussi, et il paraît bien disposé pour Richard, mais il prétend Ignorer tout ce qui concerne Thorn.

Ils en étaient là de leur entretien, lors- qii lis arrivèrent à l’entrée de l'hôtel de ville. Une foule compacte stationnait à la porte, regardant curieusement l’équipage armorie du comte, avec son cocher im^fissible et ses deux laquais poudrés à frimas, se tenant de­bout près de la portière.

— Voici lady Isabelle, fit Barbara, en passant près de la voiture.

Carlyle parut surpris. Pourquoi attendait- elle en cet endroit? Où était le comte?

Excusez-moi si je vous laisse un mo­ment, Barbara; je vais— ’—“dat _lui dès qu'elle l'aperçut.

J'attends madame Ducie, répondit-elle

— Et le comte?— Figurez-vous que mon père est encore

malade.— Comment, encore malade? répéta Car­

lyle.— Très souffrant, au moins. Mon père

m’a chargée de vous dire qu’il espère vous voir demain.

M. Carlyle salua Isabelle et s’empressa d’aller rejoindre Barbara, et tous deux en­traient dans la salle de concert au moment même où l’équipage de madame Ducie s’ar­rêtait devant la porte.

La salle était comble lorsque lady Isabelle, accompagnée de madame Ducie et ses filles, firent leur entrée, conduites par l’heureux M. Kane qui était allé les recevoir à la porte. Un murmure d’admiration s’éleva de tous côtés lorsque l’on aperçut Isabelle dans tout l’éclat de sa radieuse beauté, que fairait en­core ressortir la laideur et l’accoutrement d i^ a c ie u x des demoiselles Dude.

I%ur Carlyle, après avoir conduit sa sœur et Barbara aux sièges qu’elles devaient oc­cuper, il était revenu se mêler à la foule.

Le concert touchait à . sa fin loréqu’un grand laquais, dont la téte poudrée seinblait un chou-fleur monstrueux, fendit la foule qui obstruait l’entrée de la salle, promenant autour de lui des regards investigateurs,

Tout à coup il aperçut Carlyle qu’il recon­nut. •

— Pardon, monsieur, fit-il respectueuse­ment; monsieur pourrait-il m’indiquer où se trouve ma jeune maîtresse?

— Au bout de la salle, près de l’orchestre, fit Carlyle avec étonnement.

— Oh I comment faire pour arriver jusqu’à elle? Mylord est plus m ale t Ton cramt qu’ü ne soit près de sa fin. Les cris sont afiraux à entendrè. Deux médecins sont auprès de lui, madame Mason m’a dit d’aller chercher de suite ma maîtresse, car il pandt qu’il n’y a pas un moment A perdra.

« Je vois Blltr p ilan te tedy Isabelle, fit

M. Carlyle, qui se fraya, non sans petee, un chemin au milieu des auditeurs scandalisés et s’approcha de la jetihe fille. i

— Je croyais que vous ne viendriez pas me dire bonsoir, fit-elle la premièretiquelle belle salle I comme je suis contente I

— Certainement, certainement, fit M.Car­lyle d’un air embarrassé ; mais je viens parce, que lord Mont-Severn est moins bien et et qu’il vous envolé chercher. ! .

— Moins bien? s’éeria-t elle) alarmée.— Oui, en tout cas il désire que vqus re­

veniez. Voulez-vous prendre'iaon bras pour traverser la salle? i ; - :‘ — Oh! fit Isabelle en riant, jeerOisiqna' mon cher père craint qnejè'nei m’enhinOiet qu’il ne“m’envoie chercher qUe polaX 'me rendre ma liberté. Laissez-moi atteadrala fin.

— Vous ne m’avez pas compris, lady Isa­belle, fit gravement le jeune homine; le comte est réellefiiênt plus mal. '' La figure de la jetme fille prit une teinte

plus sérieuse.— Eh bien I dit-elle, , aussitôt la romance

finie. i •— Vous feriez mieux de ne p u perdre'de

temps.Isabelle se pencha vers madame Dùciô

pour lui expliquer son brnsqUe départ, puis elle prit le bras de Carlyle et traversai la foule étonnée, qui s’écarta pour la ilaisBer. passer. • - ■ ■ ■ ■ ■ '

— Où la conduit-il? se demanda Barbara, qui n’aivait rien perdu de cette scèh^ . i

Lorsque lady Isabelle eiéson cumpaguon parurent au bas de Tescalier, nn vtdel'de pied s’empressa d’ouvrir la portière.'Isabelle, s’arrêta avant de monter et, s’adreajaehlt éu’ d è i f i è s f i q n è . : :

. Est-qe queimon père est baMücoupüpbis mal?demanaa-t-elle. ; o "'s, i o.*!;;..

^Qnriainementy;;milady; ;M; le comte

Isabelle poussa un géinissement ,-eh se cramponnant au bras de Carlyle pour ne pas tomber. ;

Carlyle repoussa durement le maladroit auteur de celte scene pénible.

— Oh) monsieur Carlyle, fit-elle en pleu­rant, pourquoi' ne m’a v o ir j^ tout dit ? ;, — tedy Jsabelfe, je suis .désoléque Vous ayex ainsi aw ris cette nouvelle; nuis d ne foutpàsAése^érer. Mohtez;j’es• ’'*’•“ '"le Vousalléz'le trouvér mieux, '

que vous ne venez pâs avec moi ?— Certainement si; je ne vous 'Udssereù

pas aller seule.Elle se recàiia pour lui foire place. .

iMerri, fit-il, j’irai sur Je siège.- - Mais vous aurez frpid.-s Non, merci, fit-il en fermant te por-

tièré. ' : ■ ' ■ ;Puis, il yirit place A côté du cocher et 1a

voiture pm it au galop;. Isabelle, se ijejotant au tond de la 'vàituré, donna im libre cours àsadottleur.

— Ne ménagez pas les chevaux, ditM. Carlyle an cocher, tedy Isabelle est malaite d’anxiété.

— Oh t fil cet nomme, ce sera bien pis de­main matin. Pati'vrè enfoUti Monsieur, il.y a quinze ans que je suis dans te maison'; je Tai -vue' grandir, ajouta-t-il comme pour excuser le.'ton fomflier de saréponee. '

-- Ettecorateèst-ilréellementendangar?, — HélaS ! oui, monsieur ; j’ai vu dans ma

'Vie deux tcos tels que lésion,: et il ne fout que quelques heures pour que tout Soi fini;

~ Mais il a eu des accês,ans8igrdves?Oui, monsieur, mais Cotte fois cîest dif-

rant. Puis les chauves sourir tib sont’ pas. venuespôurrien.', ; '

—'Que'vbuleh-vousdiin'? ■— Leachouvos-somis volent antour delà

maison ce- sdir, e t je niterne pas celé C’est; signe do mort. ; ■!

— Mais, ^rem arm C r M. Cerijle, les el»intei-M«il tteumt teUonra te n m

— Oui, mais elles ne -viennent pas en troupe îrappèr aux fenêtres'. Ce soiri après avoir conduit mademoisdlé, j’entendb mta» dame Mason, la femme de chargei m’ap­peler. Je montai dans te bibliotnèÿie, 'où elle se tenait en cas que Ton eût {besoin d’elle. i

« — Tenez, 'Welte,. me d it-elle en dési- gnpiit te fohétre ouverte, regardez. ;

«, Alors,monsieûr, iê vis ce que je n’avais jamais, vu de ma -vie, des nuées de cljauves- -sourià; il y en avsdt dès milliers ' vole­taient autour dô la fenêtre. D’où veltaient- elleSF Je' a ’en sais rien, «ar jn venais du dehOn et je n’en avais pas vuuno,8 0 ale.

< Queteues minutez pM8i.tard,6téute la.nudson èf-’*--------- "------étaft é J’i...,.goutte reinonl . .maltrè était perdu: ' j

Au même momenL la Voiture entrait dans te grande avOnue d’Ést-Lynne, j

Madame Mason attsndait A te porte.T- Est-fi. .mieux? lui .cria Isabeileî dès

qu’eUeTeperçuL. . 1' Oui, U était mieux, en ca sens qu’il .ne.

criait plus, ayant perdu coiu>Oissani|e Jfsa- béllé sè pracipite' vers te ohmnbre du confié, tandis'que M. Çarlj le pranmt'la feipms de (fogqgè àpàrt. > . ' = i , .. N’y a-t-il apcun èsppir, dèmanâaj^,

— p a s te ihoihdra, monsieur, fi sej meurt;Le côinte'né rscônnaissàit plus'pe:

La doUtenr lui laissait’un iàstantm et fiéttdtétèndu sur «on Ut, calme et rence. Mais son visage, sur lequel s taitlropcteitmeattenKirt,.effi%a Ii

Eltem èfonsqapatenn ô i , n e ûej mte terme m si’e5arçajte:|taEnte geuse, bien que tout son c o m fù ttrem M ^qni y»nV”ltif-.

Sera i-tfteenfotriimènxi dessauteif enê

temstanxifoixmMtiatiL - ^ ’

Le docteur toussa ponr. cacher scm ettrà barras.; -- Il fout l’espérer, rafiady.

— Mais pourquoi sœi visage est-il ainsif Il est terreux, je ne' L'ai jamais m oœnms cote. .. .i,

— H a beaucoup souffsrt, mUady, fit dette mëntteméécin.

M.. Carlyle) qui venait d^ehfrer, lut te ter­rible vérité sur te visage du mbribœid; il aHaH-se retire r diserètement, lorsque Iw - belte TaperçuL

— Ahf ne quittes pas te inM sn, monatenP Carlyle ; quand fi s’éveillera, il sera si OMt- tent de vous voir ; jl vous amie tant I

’ra réSte,miteây'ié’éHdt mon intention.JJue VOUS' êtes ocm I ^

. La : ncèsa éteit émouvante.. .J.intortmié comte livrait un dernier combat te mort qui TétreimaiL La j'emMtflliet sm robe M soie étincmânte de pierreries, jèfait pendiés sUr lui.

Enfin les médecins arrivêreni Us s indtie nèrent vers te comte, lui tàlèfént U ponte s i échangèrent q u e lle s mots à -V u basse ' avec M.'Wain'wrigbt. l8abclRe,''qm ue tes .quittait pas du regdfd, s’avança eux.

— Lesanvàrèz^ns?demàndi|^ene,L’un d’eux fit unie répOnsé éysinye.

H euitreJ ■■ H,

reflé-

Page 2: im L L i - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_06_04_MRC.pdf · Oit 8’abonhs ftoz boréaux du journal et dana touf lea buresoz de poÀe. ... deux délibérations

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. da lan:^vy!Uidg «t daxeeanoBt dat mM itwtnti at da nBht _

tobTentlaH^aa las eaminimaiffid>i tés OBt isiir domicile da Mcoata. r % :>

Cet ajMBdeiiMtt ait rapoBsaé.fe 3% Wix

Le Jowmal offieiel du 34 mai publie le décret portant promulgatiou de là conTonr tien refirtite au régime des snoet, Mnelne

•à Bruxelles, le 6 mars 4908, entre la Rance, l’Allemasue, l’Autriche-Hongrle, lllabe, les PM frB Set la Suède, et du protecole de clô­ture f i i 7 «st annexé.

T é a ^ r o l é x T .o a l *

Le croirait-on ? 1»da concert a?ae l’abbé Charbomel, a o^aniaé

Psr&iument 1 li est dériÆ an jertu de sa n o M théMia qui consiste à utéoder an S^Vobscnrititisma » tona les e bliéainS’S qui tolèrent .dans leur, ta t^eu r la présence du spectre du

M. Térr est con^ce de Rome, tout comiM

; S f l i S Î ^ S Œ s a , { ï f ®M? Té^^eerim t la.', déricalisma

BITOB M L i FK ISSI- j , . . . . , . -..-r}■. i 1 , 6 8 ' Aag^Uds e t le péril oléilbaLDe M. Alpbéiïse Httmlert, dans i’Æelfsir ;vous aV arln ia^t^ds oa qui r ts t pawé i

H ïté-îm ii Grènda essmfastatioi dW*ée M tre ■••■’ia «Umdan EdMatian B i H » : 1 » ^ éw nw ,

" • — - à travers la viUa, où flgn-

Oatvilépaur ; IIM. Àudigier,pâmwÉiai:st

Ont voté CMtrs ; MM. Bandon, m t^can rt atNoêL

Scrutin sur la renvoi à la cemmission da l’a- BMndamant de H. Léocce da Castalnan, ainsi eoiçn :

t Les sociétés de secours mutuels, las syudl- u ts professionnels at les œnvras da bianfaisanca

jonissaBtde la eapacité'Jnridiqna, pour- rantsa snbstitnar, au vertn de traités réfouers.

la présrables admis an bénéfice da la lei et qnl v 1 seutiraient. Elias reeevnmt, dans os eu, de l’E­tat at dn département, et i dns cencnirance, la

ténnâr»èr son b n ^ W « ^ « « n an tit droit, que ees œuvres et . sotiétés n’uslsteraieit pas,!».-

l a renvd t la oommlulon u t repoussé par 333veix emitrsSlS. . ,

ont votéjMiitr : KM. AnUficr, OnquMnti, Gaillard atBandricoart;. .. . .

'Ontvotécontf«.'H)I.BanSm : 1 f

scrutin sué'i’auièûdémtnt iié IIS.Tabi mire, l’abbé Gai^audi de Pémarsui da B<I srd^ata.vtandmitàakmter ila 'S ’ticUa d( ileiaXc)S.mots4s

«-.téta, lu d « d l« top ;,ÎÎJÎ: i-ninnH lu oiiùiisatlims anvnères, Icp. assoéiii- timsd'kstitBianta, les sociétés da tampâafoe... unis la meeting men«a,_lM dow ^ tn^ ^ £iœ a««»« oratanrs : finalamant, veta et preçnn S S a W M da U trempa d A y t en pytu - HÉt Mitra U lei proposée q à met Mdneadon puUiqua sans la eantrOla dn clMé

QB PtySp CiTtas, f u a bien ptui-à »ür« «ML s i débarrasser de la tare cléricale.S f é p i e i ^ ^ t d’y m SÎÎÎnenr av(w Teidn un sou de polTW à un pauTreeréAla’oiièfe. où tanttravail u t mtcrdit de par 2 i a 5 ® b& ^«sr..qn 'éB ,ta ptfasnte rense, les libéraux jnglais ent de bw j B TO s n i^ d i olalute oue ceux dont sameot nos

inLUB. tel flot kaiflain dans la ma et pu un. désardrËpas un acte de vi(tienM,pas une in- Inn proférés, p u -una attaiirta M «<dt de qm m MiSSwa n’insista p u sur la eomparaisen, ' Ea ttit est que aa tfost pu saulemant la pra- tiaiid^uia nbWté qui mms manina, mais la S £ : : £ ? ^ i i T ^nu véritablu intérêts et to b ^ t é da reconnaîtra l’importance exacte du A sm sons la vêtement topagenr d u mots. Us AaiWs am à .M débattfa bien p lu qne nou S S ra .‘Ico onmiètenuntp ébi déiicalisma, mais oetta préoccupation ne lu détourne mtilemmt d’aitiru sonda qui ne louchant p u de moms pru b lenr vie nationale. Ebe ne tas am péi^w s do snrvelllarîa poUtiqno axtériam» qiwfait lelo- relgn OIBm, d’avoir l’œii à la g ^ n . ^ fl- SÏM^'..Ils jia dépensent pas tanr a ^ e t i ^ anx'bagatellu: vers, chaque but désiré, ils lontjuste Peffortnécsssaire et rien de plu. . ■

Chez nonsi il en est tout autrement. Dippls que i»mot da péril clérical a été prononcé, plus riui n’existe que le péril dériaal. a les Chanibrss panvent jeter lu miUiards par lu fenêtres, ta Eonvemement néns compromettre dau lesaym- turu lu plus périllensu, les circnlairu minis­térielles comiumder anx jnges la violation de tontu lu lois, personne n’y prête la moinMe attentiim. Nons sommu toni an péril clérical. Le pins drôle u t que 1a France est, de tonte l’En- ropOp U psys eu Je péril ciéric&l existe le moiss.

CHRONW DEPARTEMENTALEM. Franck Chanveau, sénateur de

l’Oise, a été réélu, par le 8' bureau, jnembre de la Commission chargée de l’examen da la proposition de loi de M. Pinil Strauss, tendant à la réorganisation du service de la prisée des gages du Mont- de-Plété de Paris.

<** * •M. Franck Chauveau, sénateur de

l’Oise, à déposé sur le bureau du Sénat une pétition des agents d’assurances de la ville de Beauvals.

V o te s d e M i l . l e s S é n a t e u r s d e l ’O is e .

Simce du wndndi i ) mai 1S9S.Scratin sur l’amendement de HÉ. Bernard,

Garrean et de Hoatfort relatif au rétabiiuement de l’article 33, adopté an première délibération (service da deux ans, devancements d’appel).

Cet amendement est ainsi conçu :( L’antoriution de devancer l’appel peut être

accordée aux jennu gens qni en font la duoande, soit è raison de leur situation de famille, soi: dans l’intérêt da leurs études on pour lu buoins de leur profusion et qui rempUssent lu condi­tions prescrites k l’article 50.

a des demandu, adruséu au maire, sont instmitu dans lu mêmu formu que les de­mandu de sursis et transmisu avant le 1 " sep­tembre au ministre de la guerre qui statue.

Le nombre du devancements a’appel ne peut dépasser d p. 1 0 0 de i’effutif du costlogent.

< Lu jeuBU gens auterisés à devancer l’appil suivent ta sort de U classe avec laquelle ils sont incorporés. >

Pour l’adoption, 69. » Contre, 198,Le Sénat n’a pu adopté.Lu sénateurs de l’Oise ont voté pour.

Votes de M M . le s Députés de l’Oise.

séance du vendredi i i mai.Scrutin sur l’ariiele premier do contre-projet

de H. Taillant (Aisistance aux vieillards, infirmu et incnrables).

Cet article est ainsi conçu :« ’Tont indigent infirme, invalide, incurable et

ce partie eu en totaUlé incapibls de travail, réa- dant en France, qni ns participsrsit pu è l’sssn- ranee ouvrière contre Ioj accidents, le cbômsge, la vieil'eise, l’invalidité et la miladie, dès que, par le lait de l’âge, des infirmités, on de tout autre cause, il est devenu paittsllemant ou tola- lemnit inupable de pourvoir i sa sobsistance, i ses besoins, eet compris dans une assnrsrce complémentaire de l’assnrenci ouvriè'e, établie aux irais communs de l’Etat, des départenmnts et du eommones qui le garantissent, l’assurent Maire l’indigencs. ». Pour l’adoption, 75. — Contre, 455. LaXbambre n’a pas adopté.L u dépotés de l’Oise ont voté contre.

e "■ ■séance du 30 maUfOt.

Scrutin sur ramendemant deJIH. de Gsilbard- BauoU Cosgy, abbé Lemire, Plêiwn. LeroUs,

jSoBChé,etp., èeanornuit i aitiitiBOi M» Tiêffiigd3|.iBflrBê* *4jeeetaM».

H. NativeUa. membre correspondamt^ c Nom s pas, disent ine trouverait 'mais n o n c r ^ , .

fâcheuses qni ê n ^ r^ p ra ie o t , foposons donc d’é m l tn ï i^ voen Jmentdélhvorabli,* — C|ttep]is-

tjÉiitioB est approuvée. ' 'V ■ D m iS w p o r t

^ ^ o Ü p e in t n r e , U. KoSt éxpwe'î'tbffl^

ans, les pouvoirs publics se sont occu^s du tort mémo des Buvrimapeintret.

La'France eonsomme aunuellement 85 millions da kilogrammes deeéruse, ce serait donc ime grande industrie profond^ent atteinte, si l’on empêchait ison empûd pn peinture. Si cet emploi n'exjvriers ù. des risques professi Tands qne dans la majorité d û industnû, 1 n’y a pas lieu de l’interdire, car alors il'

faudrait prohiber une foule d’autres -iUdus^

certain neiuire d’hôpitaux peur^ connaîtra

du œuvresdudéléi

Fç^uué' piiii "340 : voix HH. BnqUtsael et

lau lu de buatajsaneqj^Véc g. r 1 Cet smèadémint ésMccpoi

Mntre 806.’-OBfvOïS pOttr

6 aiUiri. 'Ont.voté èoitfre : HM.- Bandém etSca.N’a pas pris.paitan vote : H. Haudricourt.

Scrutin sur Uamandement additionnel de M. Ayuard au § 1 ” de l’article 8 de la proposition de loi cOBûrnantl’u i i s tû û des vieiiluds, infirmes etbicnrablu.. , v i , , .

Gel amendement est repoussé par 330 voix contra839.

Ont voté pour : HM. Andigier, Baquesnei, Gaillard et Baudriceurt,

Ont voté contre : HH. Bandon et Noël,

Scrutin sur l’addition de H. Léonce Cornet, è l’article,8 , ainai conçue :

< En cas d’iirgence, le CoBsail municipal peut, i tous moments, dérider l’admission immédiate, è i’assistanéS; des personau renÿiissant les oon- ditions prUeritu par l’ertiota r ' , et résidant dans la oenmmue, seps réserve qne las, formalités, prucritm les artiriu 9 et lOi seront ensuite rémpitas: ».

La 'diSBOsitibn' additiénnsUe dé H. Cornet est Tépoussée par 351 voix ééiitra I7i:

oBntinSté contre : HH. Andigier, Bandon, Du- quesnri, Haudricourt ct'NoêL -

S’u t abstenu : H. Gaillard.■ . » •

C tS àm bF e d e tCoiiisneX^çe ' d e B é a u v sd * e t d e l ’O is e .

(iompte-rendu soiÉmûre de la sm c e du 46 mai 4903.

Présidence de M, / . Cqmmùneau:La séance est ouverte i dix heuru du

matin. i. .Après approbation du procès-verbal de la

dernière séance, des comptes, de, l’exercice 4908 et du budget de 490é,.lt, Emile Du­pent, dans un rapport sur la décisicm du ribunal civil de Limoges engageaut la res­

ponsabilité des patrons en matière dlaeci- dents lorsqu’une Compagnie d’assurtmcu fait faillite, cite d’abord ies faits q û ont donné lien à cètte décision. Puis, sans se livrer à un examen de la quûtion au point de vuej'uridiqu^ le rapporteur ajeute : < le « jugement dont il s agit est absolument c contraire è l’interprétation générale ad- € mise de la loi ; aussi a-t-il vivement ému

le monde industriel et attiré l’attention des pouvoirs publics." conclut en proposant

que le texte voté le 3 juin 4 904 par la Cham­bre des députés, dans le but de préciser le sens de l’article 46 m fine de la loi de 4898, soit adopté par le Sénat. — La Chambre de Commerce approuve cette proposition.

M. Quévin, chargé de 1 examen du projet de relèvement des droits de douane sur les houblons étrangers, après avoir exposé les différentes propositions faites antérieure­ment et les raisons invoquées par le gouver­nement pour justifier le relèvement des droits de douane sur les houblons, réfute tous les arguments présentés et dit qu’un relèvement de 57 fr. 50 donnerait lieu a une augmentation de prix de revient qui attein drait une boisson hygiénique et populaire et que, d’ailleurs, la brasserie françaûe ne peut se passer des houblons fins qtie le sol hançais ne peut produire.

En conséqtience,. le rapporteur propose d’émettre l'avis que le projet de loi tendant à fixer le droit de douane sur les houblons étrangers è 403 francs les 0/0 tarif général, et à 87 fr. 50 (tarif minimum), soit repoussé par la commission des douanes et ensuite par le Parlement et, en outref d’émettre le vœu que ies Pouvoirs publics prennent des mesures d’ordre général pour i amélioration de la culture du houblon. — Ces propositions sont adoptées.

M. Lemoine, dans un rapport sur.l’emploi du sucre indigène en brasserie, fàit observer d’abord que c est un moyen pour augmenter la consommation du sucre. La brasserie, dit- il, pourrait employer le sucre de betteraves sons forme intervertie, mais il faudrait sup­primer les obstacles créés par les articles 4 9, 20 et 24 dn décret du 30 mai 4899.

En conséquence, le rapporteur, estimant que l’emploi en brasserie du sucre de bette­raves ne peut qu’améliorer la qualité de la bière et aider efficacement è la prospérité de l’industrie sucrière et de l’agriculture, propose d’émettre le vœu :

Que les Penvoirs publics favorisent cet raiploi en brasserie en abrogeant les articles 49, 20 et 24 du décret du 30 mai 4899 et de­mande, pour les sucres à l’état interverti l’exemption de tout impôt autre, que ceiu. qni est appliqué aux glucoses de maïs, soit 3 fr. 60 400 kil. comme vient de le voterla Chambre des députés, cet impôt étant payé avant l’introduction eh brasserie. — Ces propositions sont approuvées.

M. Quévin, dans un rapport sur une pro­position de loi ayant pour objet l’établisse­ment de droit de douane sur les grains et fruits o léag^ux et le relèvement des droits sur les huiles végétales, expose que nous sommes dans l’obligation d’avoir recours à

plus grande partie de no-l’éiTanger pour la p] tre consommation; que notre sol ne peut

. s; quecertaines industries seraient gênées par des mesures telles que l’exercice, ou la dênatU' ration; et que le consommateur serait at­teint.

En conséquence, le rapporteur propose d’émettre le vœu que le projet de loi en question soit repoussé. — Ce vœu est ap­prouvé.

.Sur la question dn monopole par l'Etat dn raffinage d û sucres, M. Quévin donne lec-

‘tnre 4 ^ npppn {dit pn wiit^irftiion * m

Ezcnosifioxa

r^ ras doit |tro ,l’ûûiéepreèhaine,li»bièijp. « l à 30« Féie fédérâèrde gymBûtiga^ q u lo f rtoident< de la. ^ p u d iq u e présUen, sdÉÛ qu'& rannonçaitvréeiBinment peiauat Üs têtes d«.liarseiliB,

" i’oeciidqn de- egle^ |^ ite

tioh ’ e nos^^^Sâniû ffirNaùd, programme fort intéressant, dwtiné a être cbalearensamenè ueenûiBi^parnos popula- tintasêplntribuales. . , .

L’auteur du'projet;'M. E.-O. Lanu, bien connu du monde industriel,.actif collabera- ténr de toutM nos grandes ExpositioBs imi- versellû, s’est plus particulièrement efforcé du mettre en lumière les mines, l’alcool, le

ivpar éitiit^ritrMlle hanfiors^ê odxxier 63 û t atteint de la maladie saturnine. On n’est donc pas en présenesi'dHriiquMiproi^, fessionnellm tellement élevés qu’i l faille ih- .

r ^ . l ’einploi de la.céruse,Le ri^poirtenr, après aivOir indiqué toutes

les mesures de précautions è prendre par les ouvriers peintres, eenclut en disant qne la mesure proposée par le gouvernnnent est excessive et que, tout en caUsànt lü tort cônsidéraUe i l’une de nos .industries, eUe n’apporterait qu’un bien fUible appoint danç l’entretien de la santé chax .jios .ouvriers peintrû. — Ces conriusions sont adoptées.

La Chambre de Commerce passé enfin i l’examen d û communications.portém i l’oi- dre du jour et désigné ceux dé ses mémbrû qui saxmt chargés de prépatér un rapport pour la prochaine séance.

Rién n’étant pins à l’ordre du jour, la séance « t levée amidi et donL Le Secrétairé de la Chambre de Commerce,

E. QodviN. — e - , --------------

Lies assises de l*Olse.Âihri que nous l’avons annoncé, lés dé­

bats fies .affaires criminelles soumises au nf]^;de-l'0 isé, .i^ouvriront lé iuüdi' 8 juin, à

onze heurés, auHaluis dé- Justice de Beau- TaiSr 'seaB la présidence de U-iMoncourrierr Beanregard, conseiller, & ,1a Cour d’Antiens, assisté de HH, Picqn^. juge ap tribnniti civil de BmuvaiS;,et Fabignon, juge sup­pléant au njMe. siège.

Voici, d’aprés la liste. établie:par l’adM- nistration judieiaire,.ià nomenclatiure de cm différents procès, avec l’indication du jour où ils seront appelés :

Lundi 8 ju in . — Affaire David, attentats è la pudeur. — Arrondissement de Beauvais.— 6 téBuiins.—^ Ministftre' pubUc,,; .H. De, vise, sirfistitut. — DéfènSenr : H» Joly.-

Afbire Vassardï vel q u a l i f ié .A r ro n ­dissement de Beauvais.-t.4 4 témoins.—Mi­nistère public : U. Péan, procureur de la République. — Défenseur ; H* Vermont.

Mardi 9 ju in . — Affaire Bourdon, toita- tive de vol qualifié et tentative de vioi. — Àrrcindiuemént'de Béauvais. — 8 8 téBwins,— Hinistére public TH. Péan. seur : Joly. . -

Mercredi éO ju in , — Affaire Boucher, vol qualifié. — Arrondissement de Beauvais. .— 3.témoins. — Uinisière poblic : H. Devise.— Défenseurs : M* Queille.

Affaire Retz et Canvin, tentative de meur­tre. — Arrondissement de Beauvais. — 5 témoins. — Ministère public : H. Devise.— Défenseurs : M" Petit et Vermont.

Jeudi H ju in . — Affaire Lévéqne, atten­tats è la pudeur. — Arirendissement dé Beauvais. — 23 témoins. — Ministère pu­blic :.H. Péan. — Défenseur : H* Vermont.

Vendredi ffi ju in . — Affaire Collette, Marchai et Wiliiéme, coups mortels. — Ar­rondissement de Compiégne. — 8 témoins.— Ministère jmblic : M. Devise. — Défen­seurs : H" Hétrot, Gilles et Raviart.

- ■» —P o u f l e s o lu a s se u F s .

La Cour de Paris vient de rendre un arrêt assez curieux et qui règle un d û points 1m plus délicats du droit de chasse.

Un propriétaire, H. Thierry, avait ioué nue ferme et le droit de chasse è M. Gobert. Toutefois, il s’était réservé expressément le droit de chasse c pour son fiis et un ami, toit deux futile, mait pat ptuf >.

Ayant vendu la ferme au marquis de Bre- teuil, ceini-ci se crut autorisé è userdecette réserve faite par son vendeur. M. Gobert lui dénia ce droit.

L’affaire vint devant le Tribunal de Ram- bonillét. Au nom de M. dé Breleuil, M* Paul Boncour soutint que cette réserve c pour deux fusils, mais pas plus », était imperson­nelle et se transmettait avec la propriété.

Le TribunalHe Rambouillet aéeida>que la réserve étût personnelle, qu’elle s’éteignàit avéc le droit de propriété, ert que le mar- qms de Breteuil n'eU pouvait user.

La Cour de Paris (2* chambre), sur nou- vellM piaideiriM de HH" Paul Boncour et Salmont, vienb de confirmer la jurispru- denée de RambouilleL

Avis aux chasseurs.

rm dn & l ’élm ent féminin sera certainement t r û gbùté, et l’on peut èire Msuré que le

l u p è ^ comprendra l’infinie variété dM _ ’f i û ’l ^ n i t s néeessairM ancos^ tume et è la parure de la femme sera visité e t adsairé avec un .vif emprMsement.

(Ssqnieû abiehiment remarquable dans cette organisation de l'Expotition du Nord de la France, et tout à fait a l’honneur de la ville d’Arras, c’est que lé vieil esprit com­b i n é l ’y est affirnm,d» façon .merveilleuse. A du ’ p a th iq U e maire, H. Len-glet, toutM 1m divisions, toutes 1m qne- r e l lû de partis, se sont évanouiM pour ne -laisser subsister que dM bonnes volontés uniM.dans un mèmeseatiment de concorde etfi’action, afin d’obtenir un grand et beau succès.

L e s F ê t e s d e lU Iéru,La ville de Héru était magnifiquement pa-

voisée pour recevoir 1m invités venant assis- ster an concours de gymnastique et de tir, qni a eu lieu dimanche et lundi.

Une'quarantaine de Sociétés comprenant un eff-.etif de donza cents gymnastM avaient répondu à l’appel du comité organisateur.

A la tribune officielle imt pris place : le préfet, le général Roilet, le docteur Bandon, le secrétaire général, HH, Stté,-Braibant; le colonel Dérué, Lally, vicmprésident de l’Association de gym nasti^ , la municipa­lité de Héru et qUelpuM invitû. ' ~ '

Les exercicM et 1m rapidû Avolntions d û jeuuM et aleytM gymû*tM ont été è plu sieurs reprisM cnaleuréusement applaudis p u ia fouie considérable qui les entourait.

Piusienrs discours ont été prononcés, puis a eu lieu la distribution d û récompensû.

Un banquet réutiissait; à sept heurû et demie, dans la sallé dé l^ô te l du Centre, let personnagM officiels, lû meihbres du jury, la municipalité et le comité d’organisation.

Au champagne, le préfet de l’Oise a porté la santé du prûident de la République.

A neuf henrM, un superbe feu d’artifice été tiré sur iM larriSj puis dM blls et ré- joùissancM publiquM oui reteau la toute très tard la nuit.

Le lendemain, concotirs de matcbe. en section, de 43 kilmnétres snr routé; puis concours de fanfarM, trompettM et daizdns.

La fète's'Mt terminée par la distribntion de, récompensû, i rsptel-de-YUle.

sucre, la bière et, par nue innovation ôrigi- li, dans 1m dé[

on se Clfemme.. Cet hommage

aie, tout ce qui, dan lord, se ïabriqne t

l’nsege exclusif de la

départements du se confectionne è

Nos Abonnit, dont l’abonnement est échu, sont informés qu’il va leur être adressé une traite postaU de ® fr. représen­tant U prix de l’abonnement et les frais dé reeouoreafent.

Nous les prions de rétOner un bon accueil à cette valeur.

S l ^ I S

G n i M É h t ttiiH M parlD D ieiittlie

Le groupe de la réforme parlementaire s'est réuni samedi, à une heure, au Palais-

gier, l’iin dés seerétairM... Le président annonce que le groupe comprend aujonrd’hiii 120 membrM.

IL de Boniy a ,&it un premier rapport Terb,4 sur l’abus dM projets de résolution dont lés-éonoiasiott» obt été approuvées à ^unanimité.

Le groupe, a .examiné ensuite 1m pro­positions actuelleiueht é l’ordre du jour delà Ghainbre sur la suppréssion ou,la limitation de l’initiative parlementaire en matière de dépenses. Après un échange d’observations entre MM. Krantz, Lozé, Groussau, Noël, Baudet, Gauthier (des Vosges), eç le docteur Loque, il a décidé d’appujér, à défaut de la suppression to­tale du projet Jules Roche, la limitation partielle du projet Codét.

Mil. Borgnet et de Laurens-Castelet ont fait observer que le vote au scrutin secret serait aussi un moyen d’Msurer la bonne gestlondes finances.

M. Groussau s’élève contre l’abus des convocations dM commissions pendant 1m séances publiques. M. Lozé proppse de fixer deux jours par semaine l’ouvér- turé de la séance publique è trois heurM et demie, pour permettre aux commis­sions de se réunir au début de l’aprés- midi.

Le groupe décide d’étudier dans sa prochaine séance cette proposition ainsi que les trois propositions J uIm Roche, Çodet et Xavier Reille concernant l’ini­tiative parlementaire en matière de dé' penses. _______ ^

Les Tourbes étrangères.MM. de Caraman, GeorgM. Andigier,

J. Cornudèt et Lebaudy viennent de dé­poser, sur le bureau de la Chambre, une proposition de loi tendant à établir un droit de douane sur les tourbes étran- gèrM, droit qui serait fixé i i fr. 50 par 100 kilos au tarif général, à 1 franc au tarbf minimum.

L’établiûemeut de ce droit aurait pour but de protéger la paiUe française, car, depuis plusieurs années, la tourbe fibreuse pour la litière dM animaux est devenue d’un emploi presque général dans 1m villes importantes, et notamment à Paris, 11 résulte. de l’invasion de la tourbe étrau' gère une dépréciation considérable de la valeur de la paille, dépréciation qui a pour conséquence immédiate l’augmen­tation du prix de revient du blé et de l’avoihe.

■ -♦----------------------

A ■bz*a-vex*s S e x i l i m .Consul xùnicipal db Senus. — Le Con­

seil municipal se reunira, le vendredi 5 jqia, è rHôiel-de-ViUe, A huitheurM et demie dn soir, pour la suite de la SMsion de mai.

’ OBBBB pu Joua :Comptes et budgeis dé la Vilta, des établisse­

ments de Uenfsisaaes et de ia Fabrique., —' Rapj^.tâis oomiDisaioiiSe

Caisse d’eparfue.-T Expiration des pouvoirs de HH -Gensse et Inrquet, oomme adiuiiiistra- téurs.

Demande d’aoquUtioa de terrain an obenUn de.'SaiûElienne. n.

Affticu diversM. ^

Mu^BsmiON DB STHFAiBiB. — Diman­che matin, 1m ouvriers dé Betre imprimeriei accompagnés d’uncertaia nombre .de leurs BnôsnscamaradM, sont venus en coqps A 1 hôtel du Grand-Cerf frire leurs .«dieux ' leiir ancien, diiiseteiù’, H. G. Tillavréde. -

Notre confrère a été vivement touché de cette démàriffié sympathique, flatteuse pour celui qui en a été l’objet autant .qifhoBorable peur ceux qui /en ont pris l’initiatiye,

*. * *

Lx RivBiL Di Senlis. — Dimànche der nier, au concours régiimal de ^innastique de Hérm JerRûeâ de SenHt a remporte le .8< nriX'daos iaidonxiéme division.

NMfHioitationis.. • -■“ V • •

ÿfKITOiniBHT DB. IX VOIB POBUOD*. T Nom.croyons devoir.n^mler aux habitants

et balayures provenant des fidoiveat fftio^dépcHéaem.la ''que iM j<mrs de balayaige.

Lm ordurM ihabitlttsû,. ne: doivent voie ''que 1m j<mrs de balaysiga,c’M t^diré l û lundi, mercredi et sameiS; :

Lé vendredi Mt excinrivemeht réservé aux IvwreriMi tessons de bbnteiUet,poteriûj ceudiM, escarbillM, etc., qui ne doivent pat être méliingés avec 1m ordurM ména­gères.

TOpiii Im orduresdoivûit étremisMdMis des réi^iente ayant une capaeité maxiihum de 400 litres et garnis d’ansMou de poignéM permettant de les lever commodément.

Les immondicM provenant de travaux exécutés dans 1m propriétés, de nettoie­ment de caves on de jardins, d’élagage, etc., ne doivent jamais être déposés snr la voie ]iubliqne; elles doivent être portées à la I léchargè publique par les soins des habi­tants.

L’arrosage des chaussées et trottoirs doit se faire aux jours et anx heuTM où les eaux sent lâchées dans les ruisseaux; l ’écoule­ment a lieu toutes les fois que cela est néces­saire, et particulièrement les mardi et ven­dredi,^ .

Tl Mt expressément défendu de faire cou­ler des eaux ménagères et généralement tentM eaux sales sur la voie publique.

Les herbes doivent être eolevées sur les trottoirs ou dans les ruM par l’habitant ri­verain, jusqu’au milieu de la rue ou dans une étendue de cinq mètres lorsque la chaus­sée a plus de dix métrM de largeur.

NfiCROLoeiB. — Nous avons le regret d’ap- ]>rendre la mort de M " Albert Trnchot, née . ulie-JMnne Legrand, décédée en son domi­cile, 44, rue Saiote-Geneviève, A Senlis, le ' juin 4 903, dans sa 40* année.

Ses obséqués ont eu lieu cé matin, en l’église Notre-Dame de Senlis.

eus prions la famille d’agréer nos sin- cèrM céndoiéanèM.

L’Académie Française vient de décerner le prix Marinier à notre confrère, l’ancien rédacteur en chef du Journal de Senlis, U. Pontsevrez, qu’elle a déjà plusieurs fois couronné.

Le distiagné poète et romancier ne s’en­gourdit pM dn TMte dans les délicM des succès académiques. Dans quelquM jours ])araitrâsonnouvMU roman: L’Enjeu du bonheur, problème sentimental qui sou­lèvera bien dM controVersM parmi 1m feeuuM et aussi parmi les hommM.

En ce moment même, le Figaro publie de lui : Le Messager, œuvre remarquable sous tous les rapports.

A v e c 3 b o i t e s .— DouUens (Somme), 1b 27 mars 4902. Les excellentes Pilules Buisses m’ont radicalement guéri de dou­leurs d’Mtomac et d’une constipation opi­niâtre. 11 a suffi de 3 boites peurobteiiir ce résultat. Pebbin David. (Sig.lég.)

Usages locauibLaRecueildes Usages loeaup de l’arron­

dissement de Senlis Mt à la disposition de UM lecteurs, qui pourront se le procurer dans 1m burMux du Courtier de l’Oise. Pour le recevoir franco par la poste, il suffit d’adrMser 0,60 centimes en timbres-poste â M. Henri Gauchis, administrateur.

sont iM meilIeurM », mais parce t embarrass^liûrgre ib f o r n ü d ^ vous me cônndssezilôus, pouf monumentuqui o û Até laits pMaant 'ii absence déla munStipalité. Ceiÿîlt en oui ma chiffonne quelque peu, e'Mt%in j’ai u naguère contre l û frais i]pwtt«ian l’inauguration de cm momiments, alors ô moi, maintenant.... mais bastl ils (?y! avaleront de plus fertû , H Diea(non,J de blagues I)... si le hasard' fait'que je gsida encore loof*------------------------- .»bonne ville de 1

€ Vous admirerez, messieurs, l’incoctg table bon goût qui a inspiré ceux qni dég dèreiit de placer l’échafaudage dM ponpi» où il est ; mais vocs admettrez aiséisa qu'il fallait bien remplacer Evremond verrez que ce t saint » supprimé me vanT ilus tard une place de percepteur), il fai], lien, dis-j»donc, remplacer Evremond g quelque chose. Et n’allez pas dire que ctiblanc bonnet, bonnet (oh ! pardon), 1c’0 :t la même chose, veux-je dire, car H peut parfaitement apercevoir l’HOtel-u Ville a travers les montants l’éckaf^] dage, et ceci a son importance. Mais je seg : bref, je veux bientôt terminer, car je véronge »

A notre grand regret, il n’y en avait d plus ; nous avons en vain fouillé 1m mais .j de lilas pour trouver d'autres feuillets.

Au concours régional de gymnastique y , de tir qui. a eu lieu «nmanche à Méti'' M. Schmidt, de Creil, a obtenu le prixt Bailly (400 francs en Mpèces).

La Société l'Avenir a remporté le 4< p dans la division supérieure.

Coups de couteau.Lundi matin, vers une heure, Fegel L

fred), chauffeur au Nord, qui, accompip I

FAITS LOÈAUXET B l f i l O l i t l

A rro B d is s f iie r t dejS M üis.

BEIHISY-SAINT-PIERREOn nons écrit:L’Echo républicain insinuo que le Conseil

municipal uevrait voter la suppression de l’allocatibn accordée à la personne chargée de surveiller les petits garçons qui assistent anx officM se célébrant a l’église. Mais ce n'Mt pas la commune qui paie cette alloca­tion I

Donc, les centribuablM n’y participent pas, et le Conseil municipal n’a pas le droit de s’en préoccuper.

CHAMBLYLa Musique , municipale a remporté di­

manche,' au céhcours de ChâtMudun, un 4« prix de lecture a vue, un 4*'prix d’exé­cution ei un 2* prix d’honneur avec prime du4 00 francs.

Le chef, H. Maurice Haïe, a été félicité par M. Parés, président du jury.

ToutM UM féhcitations a H. Maurice Haïe.

An concours de gymuMtiqne de Méru, la Sentinelle de Chambly a obtenu un prix d’honneur et a été classée cinquième dans le concours d’excellence.

CHANTILLYA l’occasion de la victmre de Veinard

dans le Grand Steeple-Chase de Paris, M. Liéuart a donné 4.000 fr. a l’hôpital des jockeys.

CIRES-LES-MELLOAu concours musiiSl de Paris (Auteuil-

Point-du-Jour), dimanche dernier, la Fan­fare de Cires-les-Mello, classée en 3* divi­sion, 2* section, a obtenu un 2* prix de lecture a vue et un 4 •' prix d’exécution.

Toutes nos félicitations.CRAMOISY

Cocu (Maxime) est un citoyou peu com­mode ; ayant eu une discussion avec une de ses voisiuM, peu galamment, il lui décocha dM mets outragMuts et au lieu de la com­parer, comme d’antres l’auraient fait, a un animal gracieux, il l’appela do nom d’uné bêle assurément très utile, mais sans élé- gauce aucune et qui n’a jim sa pareille pour regwdw passer les trains. La damé s’étant prudemment cantonnée chez elle,~Firascible Cocu lança dM pierres dans ses fenêtres et lui brisa ses vitrM.

11 sera poursuivi peur cm hauts faits.'CREIL

Rappelons que le préfet de l’Oise procé­dera, le 7 juin, aux inaugurations de l’HÔ- tel-dê-VlUe, de l’Ecole primaire supérieure et de deux ficolM maternellH.

Le même jour, aura lieu l’assemblée gé­n é r é d e f Union dèjpartementale dM sa- peun-pômpiers dé l'Oise, qui compte 6.000 meeriirM. -

Nous .neus promenions dans les alléM du pwc, lorsque nous finus une précieuse troU' TBiilei AU pied d'un lilas, nmis trouvâmM qoelcjuM feuiUM :^ars constituant le com­mencement du discours de M. le chevalier.. (chofj n’aiittéippns jpas), â propos dei’inan- giirauen de dinfrnehMrechaitt. Dans notre dûfr detiienrenseigilir, nous en dranods la primeur â nM iMiènn :

' é ffiutiriêiti' io Préfet, 'i i.■; “/ . i

, f :Je ne ious.forei p«nt un lm ig 4 » ^ .i nen tout srmfwunem un discours an-ttUis

. pûMT iliea pafcteû i feii en vertu de U de-

jonte par »la* Cetsûm L t . - 3 3 8 “ - l e la Gare,^ fcvemy, sontl En sera prélef

■sera repré nels anx r*

teau. 1 1 a déclaré que son agresseur était 4 individu sortant au même moment dn mu calé, en compagnie d'un ami et de ds femmM. Cet individu a déclaré se nous Bardelat; arrêté aussitôt, il a nié, et niti core, comme un bMu diable ; il prétend 11 c’est lui, au contraire, qui a été frappé,\ effectivement, il est blMsé â lamain. a trouvé, dans sa poche, un coutMU man de sang.

Chose singulière, Dnchâtel avait épi ment reçu un coup de coutMU dans le dit j mais il ne s’en est aperçu qu’en ren^ - 9

chez lui. Fogel a été transporté ..........

Lundi matin, vers deux heurM, Decni soldat au 67* de ligce, en garnison âSs.i sons, originaire de Creil, reconduisait ci lui son frère, q u était ivre. Il rencoitni agent, qni manÜMta l’intention de fonn' ' un logement gratuit â son frère. Decreui! opposa énergiquement. Comme I de Courtehne, l’agent, étant sans pbi dressa au pauvre tronbade procés-va pour rébellion.

CREPY-EN-VALOISAvertissetnent d’enqutte.

L’Administration dM Télégraphes va fit procéder à 1 établissement de ui ligna ilié< trique dûtinée an circuit téléphoniqueeit'’ I Crépy-en-Valois et Ormoy-Viilers. f;*

Un tracé de cette Ugim, indiquant letpriétés privéM où il doit être placé det'Cicr . __ports, rMtera pendant trois jours, à jnswToeuâprès discu du 2 juin 4903, è la Mairie d’Ormoy-Vilit H i^énie, le (où les intéressés poorrant en prendre ce que 1m renseiinaissance et présenter leurs observatioBii : j^autasoat exacts réclamations.

Au concours musical manche Jour)obtenu un 8 * prix de lecture et un i’p d'execntion.

Nous lui adrûsons tontes nos félicitatn'

1 concours musical qui a eu liât- é che dernier â-Paris (Auteuil-PoisHi'’'^ ), la fanfare les Enfants du Vahi ' f

La cérémonie de la première commiii' ^ aura lieu dimanche.

DUC YDans la nuit de jeudi â vendredi demi

une bicyclette a été volée chez M. fia débitant. Cette bicrelette, qui avait été t. pruntée par M. Hœrih; appartient i : ' garçon boucher de Barbery. Le voler Mcaladé le mur pour l’eulevor dn baiT où elle avait été remisée.

FEIGNEUXM. le Préfét de l'Oise vient d’accepis

démission de M. Roilet, eh sa qoall! maire de Feigneux.

GILLOCOURTRelevé parmi 1m nouveaux abonû' -

téléphone, M. CarandM, â GUlocourt. a

Dans la nuit de vendredi i samedi nier, la foudre Mt tombé sur la malw^^- M“* veuve Carrigand, épiciére, et Mto), dans la chambre occupée par M. Cartiji c fils, causant, fort heureusanent, pin peur que de mal. ,

GOUVIEUX 'L’automobile du docteur Henri de RS

child, qui se rendait, avec deux aoii Bordeaux à Paris, a rencontré, au villsp la Petite-Tocche (Deux SèvrM), denict tiers ; il a tamponné l’un dM chevsoi^Ini broyant les jambM; le «avatier, j( garçon de quinze ans, nommé Prév«t|ti’ été quitte pour de fprtM contiuions. *'

LAGNY-LE-SECUne foule profondément et doulous

ment émnè se pressait aujourd’hui deR le cercueil de la pauvre enfant qu'un s dent, aussi terrible qu’imprévi^ était t ravir, vendredi Soir, à l’affection des raillé. ;

Toute la population dM villagM d« % vres, de Lagnx-le-Sec et du P1m sU-I» ville, ainsi que tous 1m représentants ê grande culture de la répueo, de noi*'” parents èt amis aràient tenu â venir

de la coo a jendi 4 'i

6 ° Rifeetm

,il«

lA niM iic

et prsntiw ( H. HabiùI

IT (Ftuûn . . I . ont oé (Juiitnn*-!

.jiioi, dam. ’adsH. Dirv

isdaoon nnd de ' ta, dans I ip;ègne. , IcUe a m

Etala da

suM'da

ysai *?aev*r wa eniiieiv «aviMvaa* weaen m weaaa **1gner â H. et H*** Lucien .BpissMn et ( lainille toute là part qu'ils prenhenti'i freux malheur qui vient de l û frapper.]

PuiMO cette syi^iûhia nn—îma éue]consolatioiijiieBr iMmalheBrou , une atténuation à leur profmffie do

MONTATAIREConsfsl tnunicipal.

Le Conseil s’Mt réuni lé'dUUaBéhefi j â neuf heurM et deaiie du matin, présidèncé de H. Faifré, maire.

Emïént présents : HH. Fanré, Martinet Godard, aéjmntsi’Hérouartf Péroehe, GamnetiGéaie, Lanuurre, Wiu> Bonafoas, Emend, Daossin, Hurûiit>| selliers.

Abeents excusés : HHiLefranc,! . Eugéisé,' Fidieit, R Û ^ , ' ' Fritèt, 3^ HeniûsHar. - , - 'w-

AbSehts.iMa«éasû;||}|,Vâge, 1•ElWléa if-î. ?.:• . -.r < ■

H. Xhundt . t t t j a û é ê û ^ i 'B û i - s*dttire‘* i y w ù » « û tie H e bl

tüéewto» du t. du 31 J4

IVua ]nta Ti

ravrll]I *Had

î î 'lifiHSSI

ÜfrH. J^

arm

Page 3: im L L i - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_06_04_MRC.pdf · Oit 8’abonhs ftoz boréaux du journal et dana touf lea buresoz de poÀe. ... deux délibérations

Itmessiears, l’inc.T iuspiré ceux qui . nafoadage dei poms s admettrez a iiti , ilacer Erremond* (i( F> supprimé me n » percepteur), ilU« Dplacer Erremond i

liiez pas dire qee e L ... (oh ! pwdoB), L , reta-je dire, car' aperetvoir l’H6tel-À

m ta n u l'tthafin ortance. Hais je «

: terminer, car je i

et, il n’y en avait i ' 1 feailié les i

|d'antres fenillets...

de gymnastiqtte ■ fimancbe & Héa

, a obtenu le pgix ] lespèces).^ a remporté lé (•

t couteau.tune heure, Eofél 0

•ord, qui, accoiT"» deux amis, doi afé de ravennr

ne d’un coup da 1 son agresseur était ^m e moment du i |d ’an ami et de’[ a déclaré se ni__~ ét, il a nié, et nia Idiahlei UprétMd re, qui a été (ra p M ,\| flessé à la main. O i|| he, un couteau

iDucbétel avait r couteau daas le aperçu qu’en

|traosporté i l’hAp

deux heures. De ce, en garnison i,£ Creil, recondnisatte

(liv re . Ilrencoiii , l’intention de (on I son Irére. Decn

(t. Comme le | ut, étant sans oubade procés-v

al qui a en liai'i taris (Anteuil-Poii

Enfantt du Vateki lecture et un 8 * 1

I toutes nos (éliciti

. première commi

ICYhdi à vendredi den Volée chez M. Ha bette, qni avait été i erih, appartient^ i i bUarhery. Le voleirj pr l’enlever du hii

ée.INEUXkse vient d’acce] pllet, en sa

pCOURT j, nouveaux abonnéi i das, à Gillocourt,

endredi à samedi < ombé surlamaiiMll

S, épiciére, et ests ' p p ée par M. Cani. neueusement, p ia l

(VIEUXoAeiir Henri de.Rol [il, avec deux amis,J rencontré, au villa|^ bnx Sèvres), douze

l’on des chevaux I es; le cavalier, i j, nommé Prévô, d f

rtes contusions,r-LESEC

bernent et doulou hit aujourd’hui de Ivre enfant qu’un :I qu’imprévu, était ' r , à l’affection de a ■

s: MM. Page,]

ecrétaire & l’B rocès-verbal dp (t adopté san

des

Ctoirs.» uontataire, estrem-

(ecoole par suite i ’ali' d^STofrain situé ave-« r 'i rG a r e ^a rteo an t à M. Paquet, le de la Gare, ^ commune; le

Tésur les ressources vtci-

- < • '« “ “ l Æ t r r î S r Spj *^D gl 4 daie’’ *®P‘% ' â w M t n c i s de l’Ecole mater-

; S ! « » iL t de <0 752 fr. e» remplaee-r - 5 * le Maire SonneP ‘ d« PTf î f i î X r e préfectorale relaUve F f t f i u S a ^ 31 mars 1903, Aux Ba lot de conseils municipaux

‘‘.*«™ 11î r p Æ h«e vicinale le '” ’»“‘/®'“K é X d e prestations; cette jdnit des 1®®™ , ^ centimes addi-,

b e sera représentée p w Q » ^ ^ ^dit qu’à Montaufre le s^ n tr i- I jj, le MâOT ait q avantage au

K ra m e n t des prestations par le pmo- r e ? S ? « S x e attendu que ce quils ga- f c e S ? d S « û té , ils le paieraient d u n

ttiendrment n individuelles,P M tS n era it la substitution proposée ; il C 'i? J i? iS e U e m 8 n t l’impét des pi;estt- E Îi^ aM e également tous les contribua-

I S - r Æ t s S ’Æ W r

k M i S w S î i ï S S s *

i ^ i n ^ s les explications et les calctils queI . Daussin soumet au Conseil, ilj f raHe gn® lour obtenir les 6.600 francs n é c ra ^ e s ,

I égard à la valeur du ■ni Mt de 370 francs, et a®Imréles, qui s’élève à 1 0 6 .0 0 0 francs en n - ton il faadrait voter 18 ceniiniss, ceQoi loimerait une augmentation de ? ent francs environ qui frapperait les quatretaitributions directes. ..

I De sorte, par exemple, que le pie qui paie actuellement une porsonnelle-mobilière de 80 1^®®®*^®^-} K je r à l'avenir SI fr. 25 environ, m us u l e paierait plus 1 francs d® prestation, m Bai serait pour lui un bénéttce de 2 fr. I s . f Et si ce contribuable a chez Im unou plu- lieurs fils, il paie actuellement 4 francs de prestation pour chacun d’eux, ce serait au­tant de fois 4 francs de moins à payer, le bénéfice de 2 fr. 75 ci dessus indiqué en se- frjkit accru. . . .

Après discussion et sur la proposition de M. Génie, le Conseil est d’avis de s assurer Eue les renseignements fournis par M. Daus- Hin sont exacts et renvoie la question à 1 exa­men de la commission des finances, qm se Eéunira jeudi 4 juin, à 7 h. 1/2 du soir., — 6» Réfeetwn du pont de la rue des Abattoirs. — Le Maire dit que les entrepre­neurs, sauf un, n’ont pas voulu soumis- Bionner, n’ayant pas le temps. M. Tbnillier,

Jentrepreneur, prévoit une dépense deI I . 194 fr. 68. Le travail sera, bien entendu, ■contrôlé par l’agent-vover, M. Crété.I _ 7 0 Sente Gobert; résultat de le n - Ëquite. — Le rapport du commissaire enqué- Iteur est favorable.1 — Affaires diverses. — M. Génie demande ■s’il y a du nouveau sur l’affaire du roiid- Ipoint du cimetière. Sur la réponse négative ■du Maire, il annonce qu’il posera la ques- Ition à la prochaine séance.I M. Emond demande que les trottoirs de ■la rue Merlian soient débarrassés des cail- lloux qui les encombrent. Le Maire répond I qu’on attend le passage du rouleau écraseur, ■qui aura lieu prochainement.' La séance est levée à onze heures et quart.

m o r ie n v u, Le théâtre Cap est instaUé depuU quel­

ques jours sur la place.N ANTEUIL4 .E-H XUDOUIII

on noos adresse ta eommiiBtaaÜon savante :Béunion publique

5 juin, à huit heures et demie du soir, danslasaUodeM.Beaqjard.

ORDBK DU lOUft Audition dM candidats.

1 La semaine d e rn iè re ,^ w b ü a stA dressé contre un voisin de M. Hernam, cultivrteSrrdoS les chiens dévastaient les poulaillers environnants.

NERYLa Subdivision des ««P®®” '?®®?!®” J®

Néry a pris part, dimanche 24 mai, au con-

T l t a a * S ? S “ ® a-4” prix d6 HiaiioBivrBS.

Tous nos compliiûonts.n eu illy -e n -t h e l l e

Chemin de fe r de Hermes à Beaumont.La Compagnie du chemin de fer de Her­

mes à Beaumont a mis en quelques jours, une grue roulante de 6

“ tt tw grue sera mise à ta dispositton'to axD^tems et des déstinatairM s u r - te ^ f f i d e et suivant Itardre der ceFiido»

“ S m é m e n t aux conditions des'tanjs naiita vitesse, ta Compagnie percevraT^pour §?S fd’ K Ttne taxTde 0,15 par tOMe, U i m ^ e de l’apparelidevantétro effec­tuée nar'les intéressés à ieura jnsquM. et périls et sans le concours des agents de ta

Quand il fut, sur le PoiU-Bot^, trois individus qui lui dérobèrent neauet sa cravate; ce n’était S’cauvre, et nos trois chenapans s apprttaiMt i S î n e r de soulager ^8®®” “ ce qni pouvait le gêner, u n inducteur au Nord, M . Beniard. ceim ci qui n’a pas les prunelles avec un g o u ^ de taiUe qui le diiiite rw e- ment quelouos savants moilinets et le mit Sa dévofr de corriger d’importance les apr nrentis apaches: mais cenx-ci, crugnant Sonr iM cSm . e’enfuirent bravement.

Nos félicitations i ce gaillard déterminé,ORMOY-VILLERtCottp* de couteau.

Dans 1a nuit de dimanche 24 mai, un su-

t francs environ, couverts en partie par uneassurance i:ta:Compt|gBie ta Cônfmee.

Laeanse du siiiisiitif eut ansti iimPRECY-S»R4)ISE

Société de Tir nûœte. t à tireurs ont tenn,Tpiv leur accueil, &

faire du concours d’ouveriuro. nii desjoto gros suecéf se soient vus à ta Somété. c W là un paissant encenragement ponr ta GohsàUd’adntinistntten, surtont àtaveilto de l’ortmnisation du grand Concours annuM.

Dimandhé lornieri ptaede 100 séries 0 » été brdlées,. sans pr^udiee des ^rtonenea réglèmentsïrà ou o’e ^ . ,

M. Emile Baféllier a réussi un 28.. Ci-dessons ta etassemeht à jour. :

1. BstsUtarEmUs, Précy............ S « ss5. GeiinUtasrPfésy.... 68 27 «3. Cœaréeroy lëuls, P récy ...... »4.-BattellerA.,B8»uv»is........ 516. lorbM Charles, Précy ......... 516. Lcfèvn Hcàri, BUllon...........

, Templier I., Prcsiwy. . . . . . . .8. UlBaame P.. Asaièfcs ........9. Dimouy Arthmr, Précy .

1 0 ; Boitalmuéiis; Précy... . . ; . .U . MsicW ( f e w esnoy... . . . . .18. Overt Henri, Taverny...........13. Cresssn'Eiif,ifraHtay^..,H.1$. Blet Ernest,

24* 83 S4> 8 8

15. Beaudotaltatir.,Précy.,... 16? CMieWel ilph., P l ^ . . . . /. 17. lhélrtJta |toe,Staiÿ,...,:. 18.. Lehouirgww. - •19. 8 pigtfMalS%|rÔnpy....* MK LafflüÿéE.,Yréûta7^....**

515049 83 49 8 847 8 » 21 47 S^ IO47 19 4644 20 44 1848 42 41..

porte-monnaie contenant un billet de dent fratcf et deja meime n ^ n a ie

i m i ^ t t a portera ta. m & e , oè ta propriétaire put rentrer on poisessiondesenbien.*^Nons adressons toutes nos féücltations*^brave petit garçon pour son acte de probité.

U tÉ Y .« « IIT 4 É 0 R a E f Las étactaurs de ta pw“ iéra seçjlon sont

convoqués pour ta dinumche 7 juin, a reffet d.’étire . quatre conseillers ®®,®®i®*f?®?’® remptacemént debert, défltissionhaires, et Meunier', décédé.

VERBERIÊNous apprenons ta prochain mariage de

M; Nicolas Bergeron, maréchal-ferrant, eyecM“* Marie Corbet; de Saintines.

■ *On nous annonce, d’autre’parti qu’mi

d e B e a iv a is .

décerné ta jiftaiid’ ifiplddont on n'aa Mme. Cartier

ïqueéoàdûite’ peëîlant lestiiù oublié rroui^es d'Arménie.

Lei'untanrt’d n cambrietage de Téglto8 idnt-Ettann% a Beanvais; j c f p ^ ta^^

rentYftdnMi ^dè* ciboires bhy&meîl.yoTnvertSi Ce smà les hoimsiét

coûtéau de son compatriote

^*n?*Raedt'a été arrêté par ta gendannotie de Crépj, et sa rictime dir^ôe sur l'Wpittld ê a tte wlie, où elle est soignée.

ORROUYDe, expériences d’un nouveau mode d’ex-

I tincSn S e n d i e , seront faites d e n ^ a trois heures de l’après-imdi, à 1 u-

sine de ta Mothe.ORRY-LA-yiLLE

Incendies.Il V a quelques jours, ta facteur M e u n ^

na««ant i»ès de Ut maison des époux Méias^ F n n ^ r a K t s , aperçut des tlammes qui stéchappaient d’un appenti adossé a ta mai- K W p r e s s a d t a W e ce com m en^ mmt d’iMMdie, qui avaitprU on ne sait Smmet^fàdes chiffons. li fut ®*f*Mur enrayer le simstre qui avait de,a com- nùs pour 2 0 0 francs environ de dégâts.

Le 22 coum t, m P p r i >bttclier appartenant à M. ucuyer» r

‘*Lm dégâts, évalués à d®w “ “I» sont couverts par une assurance .

c w s e ^ c e sinistre est inconnue.

I Le lendemain, un aufre incendie a défrmt une grange contenant de ta paille et divers

I objets. ®i®“ « f “ M c h é * ’‘^ S ^ÏM ^etier, cultivateur, et Dauboin, peintre,

LM^'i^âts *8ont évaluéi â quinze cents

Smix dtatlnguéirhociétâiW:’îîtah«»i .MM-i Loois qcéufdei-oy cl CliîrléùMrbey."' .

r,«a(iitioas : 3 0 bai^es au fusU LeMl (dis­tance, 200 fiètrêJ) etUOO points au-ISiltard.

fête de Ssint-Maximin _(^ am i lieu taaSmanciia 7, luncB'S ef mardi » Jeta Jg«-

i.dmin, s’àiuionço comme devant être très Mbrillanté cette « n é e . _ ^' Le dimoBcftCi â deux heures ; Concert pte

des artistes des principaux théâtres de Paris.

^*l!e htiwK ; Tirage dé ta tombola | nembrenx

**]Æ*moTdi : Jeux d’enfants. Retraite aux flambûnx le soir. ....

De nombreux forains ont demandé déjà des emplacements sur 1a place. Comme les anné» précédentes, ils trenveront aide et protection auprès de ta municipalité et de la commissieh de la-fête.

tERY-MAQNEVALLa Société des Trempettes de Séry-Ma-

gneval a fait, ta lundi lue la PentecOte, une promenade a Bétiiancoùrt, Oillocourt etJrrouy. j u R v u n E R f

Jeudi soir, 27 mai, vers six h ^ . . t u i grave accident est' arrivé en face ta Maine de ta cotnmuné. , .

Un ietine homme, de ta localitér âgé de2 0 ans, a été grièvement blessé, sur diffé­rentes parties de 1a figure, par 1 a t ^ g e qu’il conduisait et qu’un brusque écart -auohtPraUarrenversérsnrlnL ,

D ém é aussitôt, il a subi ceurageusemént et sans perdre connaissance, ta s s e m e n t fait par le docteur appelé â lu i.d 6 n n « dea

On Mpère qu’aucune complication ne viendra aggraver son état.

THIERSLa Société de tir la Patente de Thiers?

■ vient de clore son concours amueLGrâce au zèle déployé par son jm w pré­

sident M. Tillé (Eugène) et son « lÿ ta iïu M. Dubms (DèMté), les oent .çamUs qui coinposaient le concours ont été viwmeui

^^Ladtatribution des récompenses a en liw lundi, chez M. Perrot, débitant.

Voici ta liste des lauréats :1" prix : M. Siget (Armand), de Thlers (a^

tuellement soldat au 67’ de hgni, à Scisseu),

î f e l î : B S l é S a . a f f i S S6 - prix : M. TUlé (Eqgèae), de Iblars, 24 p.

iete.de probité. triques jours, M. Honri Morand, tissait tombw dans ta viltagt soi

Il y a e de Tbiers,

reuHitra, jB«u»”etJ»cqb, domicüièi.A .'Ab-. jiovilta, aotneltamsnt sous liés-verrous. Us I int avoué ta cambriolage de l’égliw.'

BREELEiàUn incendié a défruit nne metilo de blé et

«ninnauta.de paille UPiiaü Ahant â M. Ber- nardiceut-ailtivatear âBreslos, qu çae machine â battre, et une locemobile qui se trouvaient-M^ des meules et appartenwt A M, Ctfrpâitior. Lés p o ^ sont évaluées â

ooûiffanciel 4 sinistré est attribiïé â la ^IveiUance.

CtTAUMONT-EN-VEXINUn ouTOor paralysé des bras, Edmond

Marchand, âgé de so ixan te-deux^, ma- nouvrier â Giennont en yexen aé té trouvé pOndu dans ta hangar do ta ferme dans la­quelle il était employé par charité,

ERAÔNY jUn «rave acctaent d’antemobile s’m t pro­

duit s tf ta route de Droiiteéoart â Sérifei^ trino. Mv MaMard, dtabitant, revenait hn voltture, lorsque s tino jonction de ta routeirfût ttn ttê 'pàr une automobile appMto- nmat â M. WÎche, Le- choc fut si mtaen t que M. Mailiard.aété projeté Atarre et a eu une iàmfc» fertaée. L’anmuiation sera nàessœ e. L eT ev ria u t é ^ . fiuMt .'aux '^ so n n m im i^ m ataien t dans l’automobile, elles ont été lancées â terre, matan’ont eu que desblessures Sans ^ v i tô .

MÉRBEROYUn vieillard de soixante-cinq ans, ÇhM-

les Lènglet, natif de Gerberoy, réomt au d é sm A ’ par tamisère, a été trouvé pendu âtagnUé dû cimetière de cette commune.

LEC.QUPRAY4MM. Lwien CatîiaM* do quâraa^sapt

anth diweur enmédecine ait Coudray-^nt- Germer/s'eststùcide « 1 se jetant d m ta d - ^ e S s o n harttaüqn, Sa détwimnatlonétaithiéa p i^ M a r ® F®T u tshàiMfro une .taSfte a d r ^ e â M. Petit, areffier de ta fiotieedopaix au canton, dans m m lta il indiquait ses derntéror v ê ta i s . •D ^lus, il BV* rédigé son propre certificat dédécès attrUmé a une «mort accidentelle ».

SAVJQNIESM. Marié, âgé de soixante-quinze ans,

culttaateur A Savignies, a éta « y édans ta fontaine communale, qtü a trois mé­trés dé profondeur. M. Marié eiait allé cher­cher de l’eàuavecdeuxcruches et,conme il m«rrhiiit dlffidlemont, on suppose qu il aim perdrei’équitibre et tomber dans ta fontai­ne. Sa mort est donc accidentelle.

où ils avaient fait une partie de cartes .. A ie . sortie du-eafé, vers quatre heures et demie,

les jonénrs se prirent de querelle.Amÿ^ ayuiv donné imo légère poussée â

son cmnaïude, ta fit tomber.Barreau ÿétant relevé immédiatement le

I mmaça'dé son couteau. Croyant â une sim ­ple bravade, Amand lui offnt le. sien.

S'emparant du cooiesu. Barreau se j'ita sur son aiai, et lui planta la lame -dans le côté gauche de 1a poitrine. .

Dvs voisins s’empressèrent de secourir le blessé quiperdait abondamment son sang.

Après tin pansement. Amand a été trans­porte â l’hospice dé Bresles; son état parait

Quant ati meurtrier, il a été arrêté par ta gendarmerie dé Noatlles.——------ — - ♦ --------

A r r o id is s e É e B t d e C le r u o D l

CLERMONTUn nommé Léon Bordez, âgé dé cinqnan-

I te deux ans,' manouvrier à Crèvecœur-le- Graind, estmonté àtiis son greinier et s’est pendu a l't^de d’une corde. Quelques .ins­tants apites son petit garçon découvrait- le cadavre encore chaud. On croit, que ta dé- sétpéré,' qui n’avait jamais manifes.téd’idées

L. de suicide,.a agi dans un accès de. fièvre V âiaiiclia pc^onné par l’alcool.

I Oh vientd'inteimerâfasile d’aiiénta.;déClermont, nn cultivateur de Cetgv ( S e i ^ et-Ois6)».iiommé Démaèhy, qui, tout re- cemment, se rendit coupable d une_tentOT- vo de meurtre sur sa femme. Cette'décision a été prise en vertu , d’ùù rapport du méde­cin d»rhèpital dé Pontolsé.

1 En rentrant chez lui, M. Désiré Pluvion, maçon â Bury, fut très étonné de ne p » voir sé femme. S’étaitt mis â sa recherché, il l’a trouvée pendue à’ une échelle dans la grange. la désespérée était malade depms quelque temps.

AVREGttYUn ànibie accident est arrivé la semalhe

derrière aù jeune Paul Ravit, âgé de 16 ans, qui se rendait a son travail, coii imsant un rontaUndecultare. En descendant ta cète

l-dice de Ml ta lieutenant de vaissésu de Gu’Uebo'i. L’ioculpé eaireleoait d'S vela- ijons avec ta cuisinière de M. de Gaillehoa, qui sérail compiioe.

--------------e---------—P o t a g e aox- p o m m e é i- r ie t e r i « .

Paitès une purée de pommes d p '^ i e cuites à i'oau. Les jjassér en y ojdntanx d-t lail^ laiswr cuire tout doucenieat, verser sur du pain grillé eo ajoutant au dernier moment du beùrre et de ta plucha de cer­feuil. - - _

BULLETIN FIN4NCIERLe mouvement de réprise n’aura pas été

de tangue durée, et 1e marché aujourd’hui est de nouveau irrégulier et faible dans son ensemble. Notre Reute revient de 98 05 à 97 92. Les Fonds étrangers sont lourds: Ex­térieure 8912, faiblesse du groupe ottoman. Sociétés de crédit fermes. Le Crédit FOMier «itrè 6 8 8 et 685 conserve toute sa reprise.

En Banque, roàligation Victoria-Hinas s’iBscritâ 378 : l’aiteniion du public .pour ce litre paraît justifiée de,plusieurs laçons, notainment pàrsoa rendement élevé.) Les Charbonnages df» Alpes s’échingent à AOl, l’âftiàiFillols à 241. L’obligation 60/OGrA- nade est l’Objet de bonnes demaiides à.340. La Coiutnba reste leime â 32 50. . ^

Dès ta 'seconde année, d’exploitation, ta irodnction. des Mines do Zincot dé -w çm

dé Saint- Bsrthelemy-ta-PIein sera, donblée pqur ta moinsi eton peut prévoirqn’i A se­ra décuplée dès ta troisième'On.-qnémème année. Les hsnéfices «nivront naturellement ta même progression et ta dividende ;ponrra s'élever, dans 3 ou .4 ans, â 500 fr., smt cinq fols le capital social, .' r ' , -

Les Chemins français consolident iaiir le- prise. Signsions de bons achats en obliga­tions G aest21/20/6àM 7

SA V a» #11 CONSO

rapide d’Argenlieu il ne put sé rendre maî­tre de sou cheval; Il fit an faux mouvement et se trouva subitement pris sous le roulean. La ïnôrt a été instantanée.

b r e t e u i l \Un wagon du train de voyageurs numéro

1 3 a déraillé en entrant en gare de Bretenil- ( ■Embranchement Aucun acrident de persQii- nes ne s’est produit. Le, yiagon a été reirns sur railparune équipe de secours envoyée par lé dépor d’Amiens. Les trains suivants ont Ribi de légèrs retards.

BEAUVOIR U nvo l de SdO.OOO francs.

Un vol important vient d’être commis M préjudice de W de Guiltahon. lieutenant de- raisseàuà Cherbourg. Des bijoux, valeura ri MPèces, évaluées à 250.000 fraucs envi­ron, lui ont été soustraits par des malfai-

**'on suppose que ceuxrci sont familiers de ta maison, ear on n’a relevé artcuae trace d’effraction, tant â l’immeuble qu’an coffre- ftirt

M- de Guiltahon dont il est ici question est a p i^ n té avec M. dé Gnj^lebon, de Beau-

On annonce de Cherbourg que ta police vient de procéder à l’arrestation du nommé

I Charles Sère. vaîet de chambre du conite Lefrançois des Courtils de La Groye, liante, nant de vaisseau.

Charles Sère serait le complice, sinon l’auteur principal du vol commis au préjn-

pour A n t o m o U l ^ , âONlMLTÜIIE. WYIMÎIM

jllïïQ ettoususetgesusiusttiels,lU lO * . * » *d e X à 8 0 «h«vaiux.

Les plus économiques, les oins silencieux, né se déréglantjamais, toutes piécesinterchaUgeables.

Catalogue f ' s 'demande.Usine â SAINT-DENIS (Seine),

33, boulevard Carnot.

ANNÉENVUâL KIDOEàbâlREdétYGi^E

o R A i m Î T Ë M n n T .'■nauADBUXMO» ..

i MM e»s MBtMn'Ovi.U'SMMt laMUflS».' A a e r i w ■■sewM.MM. «M»—— —

u IIÊDECIHE NOUVELLE ««121 in«- m a t Ui nBMifBMMati 1m »1««

■ « .n i A fcri—iO-?OaBB“aRalsdlesBRTveu-kl ailiai«i réputiM kÿo«rUiBfcm.Makr

seSSiSiSm jïîK S ïlîu 'S .îK i^ S îV sS .'.^ s îS ^

t e l s : HOTEL de ta MEDECINE NÔÜTrêU.Îf j j U S • " 1 9 , R u o d o L i s b o a a e , —

Le Gérant ; Eo. CnhooiREItoïntoens AdmiEistrative «i Commerciale

Senll».

FinyiLLERS-SAlNT-BEPOiCRE

eta cartes.Deuxiéùnos gens de BreÙes,'EEgîine'Bar-

nan , âgé de 19 ans, et Joseph Anund, de d e n u u plni ytaoz, setnnvaiénU YfUers,

r » A R I s - M A 1 3 R I 1 3— P r e m iè r e E ta p e —

IV O 'ïï fV M lA tJ ’ t W t l O B t P W É M B J E M sA W :A M Q W J.m

C L E M E N T1 » d e s V o ito r e t t e e -

Annonces Jndiclsdves,

A»T. 1".Aux ttrmss d’im contrat reçu par

, A' Farry. notaire » Bithisy-Ssmt- I Rarrs, les vingt-sept et vingt-hnlt I mai et premier juin mil neuf cent ! trois, M. Bawé (Louis) et Madame I PiCABT (Pruleoce), son épouse, de I Verbsrie. ont cédé 4 Madame LzVAS- I sscB (Jaliinns-Looise-Agnès), sans

prolessioi, demenraut à Mo-lenv«l, I veuve de M. D jylilé-Edouard Babhé, I le feuds de commerce d’épicier et de I matchiud de vins qu’ils font valoir i

Terberie, dans une maison sise reute

requête et au profit de Madame Va-dZO».

Le présent extrait sÿ puhlié^- formément à l’Mtlole M7 du Code civil.

Fait et rédigé parM' Ksoavy, avoué

***ïssBÜ8, le trois Juin mil neuf cent

Signé : Louis ESCAVT.

40 aeUUl|JaO||UB»Domicile a été élu en l’élude de

I Ferry.Ponr extrait.

Signé : FERBT.

Ait. 8.Etude de M’Louis ESCAVT,

dectenr en droit, avoué 4 Senlls, 7, rue de TUlevert,

sncc' de M'DénxLni.Asslatanoe Judiciaire.

Décision du Bureau de Senlis du S> Janvier 1903.

Elirait de jagement de Diiorce.D’un ingement rendu par défaut

par la Iribonai civil de Senlls, le premier avril mil nenf cent trois, en­registré -

Etude de r SAIMTB-BBBVB, avoué 4 Senlls.

VENTE SUR LICITATIONV D'un

!>> A M’ ESGAVT, avoué â Striis, nrôs«riàlavwte;

8* Et à «• DIEI, netalre â en-Valols, dépositatn du eabitt charges «t des titres ri plans

Entra Madame Jeanne. S^sois, uomestiqne, demeurout 4 Paris, 39, avenne de Bretenil, épouse de M. Jean Tageou. manouvrier. ayant demanré 4 Saiot Flrmin, et aetuellament sans domicile ni résldenci connus en Francs;

« Admise 4 l’assistance ju- < diciain suivant d(dsion du a bureau de Senlls du vingt- « neuf janvier mil n uf cent « trois »;

Demanderesse comparant et plair dant nar M* Louis Escavy, son avoué coastitué ;

D’une part ;Et M. Jean Vagion, manouvrier,

ayant demeoré 4 Saint-Firmlo, et actnel'.ement sans domicile ni résl- dsnce coonns en France ;

Défendeur défail'ant;D’autre part ;

Il apncrt ;Ont le divorce a été pronoueé «n-

ire Ici époux TAOiOH-SASiota, à ta

ABV. 3.Etude de M* Louis ESCAVT,

docteur en droit, avoué 4 SenUs, 7, rue de Villevert,

tucc' de M* Déusun.

Assistance Jndiciaire.

Décision du Bureau de Senlis du iS Décembre 1991.

Extrait d« jujeieit de Diïorce. •

D’on jngement rendu par défaut nar le Tribunal civil de Senlis, le Çto|t-etaq a» « mil neuf cent deux, enregistre; , .

Entre Madanie Cléoneulitte Dbmsr- LEIBE, sans profession, épims de M Olivier iKFBVBB, ouvriM dbsine, aveeleouel elle dtmeure de droite Montateire: ledit sieur Lbf^ w ac­tuellement sans domicile ni résidtnce connus en France;

« Admise i Fassinarce ju- V d ic U ire s u iv a n t d éc is io n d u c b u r e a u de Sanlis du d o u ze < d é c e m b re mil nenf c e n t t un; a .

D e m a n d ere sse comparant et p'»i_ dant par M' Loals Escavy, son avoué eonstlttié; D une part;

Et M. Olivier Lefèvkk, ouvrier d’usine, dem-ura-1 4 Mouiataire, ci- devant et sotaelUment sans domicile ni résidence connus en Fraucs ;

Défendeur défililant;D'autre part;

n appert ;Que le divorce a été prononcé ent-e

les époux Lbfèvee Dkmerieibe, 4 la requête tt au profil di Madame Lefévbe.

Fait «t rédigé par M’Escavy, avoué ‘soussigné, . , ,

A SenUs, le quatre juin mil neuf ernt trois.

Signé : Louis ESüaVY.

Sitné 4 SAlNT-GEBMAm, oommims de Crépy-en-Valois ;

2* nuDroit au Bail

ou à la JouissaueeDIS

ttode de M’ gAIBIE-BEOTB, avanià SsaUs.

VENTE SUR IIOTATION

N M n s ilattachés 4 cette Ferme; .

3* DZ5 4 ^ P i è c e s

DE

T E R R ESises terroirs de :

Cpipy-eii-Valota, Feigneux & Ruaay-Bémnnt; .

4’ D’uia

MAISONSise 4 CBÉPY,

lieu dit « la Briqueterie »;5* ET un

Deux autres lalsonsSises 4 SAINT-GERMAIN,

commune de Crépy-en-Valois; EN 39 LOTS

avec faculté de réunion partielle ou totale.

L’adjudication aura lien leD IM A N IC H E S 8 JUIIM

1 9 0 3 , d dette bevres de relenée.

En l’Etude et par le ministère de M* Dm, nbtalre 4 Crépy-en-Valois,

commis 4 cet effet. Sadresser pour tous renseigne­

ments :1* A ■’ SAIMIE-BEUVE, avooé I

■«riis, poonrinat ta t« m.

d e Ç a m p a g n eSise A PRECY-SUR-OISE,

Grandc-Bnc,dite < VUa JitNeffe ».

L’adjudication aura Hcn.lc HsroSU 3 0 a n ln 1 9 0 3 ,

iMUFe ids midi,Cn l’andicnse des criées dn iWwnal

StftffSKSWilS.tffiî:roc de la Répidiliqae.

S’adresser yottrles renseignsments V A M* SAIHIE-BBBTB. avcoé 4

Senlls, ponrsnlvant ta vente;, fr A M* 8AVART, avené à Senlis

présent à la vente ; . _ .3* A M’. VINCENT, notaire à Paris.

i83, boulevard Saint Germain ;A* Et an Greffadn Tribunal civil de

Sm Us, où le cahier des eharges.Mt dpposé. ;

U N E R E M I S Ea v e c Eksuvie y a t t e n a n t

SlsctACT-EN-MBLinN,4 l’angle de ta Grands Bm dcta roc

del’BgUss,. . . . ecveo . .

riruenrianoM r i DèpundanuM, BSDEOl LOTS . .

L’adjudication aura lien leD iiam iche 1.1 JnlxalO O S ,

d deus heures de reiéiiée, m LA M tn iT n D’ACT.B(-Hlij,TIIIt

Par le ministère dp M‘ Mézièni, notaire à Bstb

commis â cet effeU:5 adresser pour les renseignements ;

1- A M* MOBAND,' ivoné k Senlis;ponrsitivant ta vente ; '

fr Et i M* MÉZIEBl, netalre k Bets, rétiotenr et dépositaire èS cahier des charges.

/M'Gnonos HOBAIID, 14 cendé en droit, avoué k Senlis, rite Saint-

gtàdesdeî seur de H* Lzvimx, Kde M'MEZOBB,'no­

taire kBctz.

. [ ■ < 9 : a i i K a ’’’E i9 o rAUX nRSHtens nrauoois

Siir bdSaa dc.mlaes k prix,

U N E M a i s o nh USAOE B l teaifU O BSise k ÀGT-SN-MOLtIEN.

4 l’angie de It plaee de la Halle, etdala asaade Bne, .

a v a o

WretMtMMS r i Dépwdeeew

fr A M* BAUZEADX, notaire kChantilly.

4* An Greffe dn Trflnmri-riTD de où le cahier das charges est

Etedes de

H’ BABANGEB, coin- mlssélre-prUeur de l’Arrondlssement-Sen-

Etnde dé Jr PanI OBUFOITB, Beancié .en drrit,

avoné 4 Senlis,'rue de ta Bépnbliqiie, n*81

VENTE SilR LICaTATION■atre Maje<u*ri Miseâr

Du tiîtB

. c o L iB , JJÙaipiiM e t X h é p e u d a x iL O e s

Sise k CHANTILLY, lien dit les HiaaKieS, route nationale .. . de Dunkarque k. Paris. L’adindlbatlon'anra lien le BlaroMI

8 0 J U I N 1 9 0 3 , hewre.de a n ii,.

En l’andlenoe des'criées dn nfinoal civil de SeuUs, aàFaUis de Jaettoa-, rne-dela BépritUqne-

S'adresser peuriès rensetjsssSnesàs: l ’ A M- PaulDELAPOBTE, avoné k

'SahlU, poiifsnivant la vente; '8 A M’ K0BAI9,'a»»é k SenUs,

so-OsUant; . 1

E t W éncRozs m L E . huissier i Senlis;, ;

A S K b T lô ISme VielUerde-Paris,

d«»i» une mslson occupée parM. FouBHiHB,debiiaut,

fEHTE lO BlLItlEt e M «i4i '9 Ju in 1903;

d dia heureê du maiin, pal la uMulatère duM* BAUiKWt ommissairHKrbenrde Varrondissa

menu

H s ig n a tiè n somma^ipn :Une Cnistnière, deux Tables, C il­

iés. GUces, Isble-Tpltatte, Amoira. Tsbie ronde. Commede. T.bleS de nnit, vieux (tamptofr.Teiblo, Batterie deonlshie. _

Commode, Glace, Pceta, une Cou­chette,. Ut de piçàtaf Oreiller, Tra vanini •

fifox L!U an far. Paillasse, deux Càmmodes. nue C(Nieh«tta mier. MatalaS, TraVerala'.'OnillorS,' (tonunode, Tab'e, GLce; flhalses.

Et quantiié d’antres Objets.

10'/. ens®s-

■u .Comptant. . 937

t e H a rd i 9 Ju in 1 9 0 3 , drInM heures de relevé*,: ■

t u le ministère de M‘ BAnsnan, eouaisaalre-pitaear de l’errondisse-

ment.Odmgaatton eomSsalra :

Batierie de cnlshe, Table, hirit Chaises paiUe, nn Buffet, une granda Aracuire k linge, deux grands Lits, denx grands Itateûs, Orrilers, Ira.- ver-lns. Pendais dorée. '

Belle Table noyer à quatre ral­longes, pttit» Table.

Euviron 86 Draps, Couvertures de laine et cctoh, ffuentilé de Torchon , Servl»ttes etvieni Linge, Chanÿ- n Caleçons et Unge tt Gaide-Robe d’homise et de femme.

Ou'ils de jardin, Ctraé et Trépieds, Cocottés et Poêles en fbifte. Vaisselle, VerrÂie.

Efïaai

Etude do M Lion BABANGEB,eommissalra-prisenr.

de Tàrrondissèmte-- Senlls.

A S B I S I aI Sm e de l’Epée

(Fanbouig Saiiû-lisrtin),.

Ï E P I f M ù W V lf f i t' Pour rente do.dépirt te: <■“

.M,.IO.UJAUX,. . M o b i l i e r , Ù t e F t e ,* U nge,

'quantité d’antres Objets;

19 •/. en stw.

A n C oiiip tan t. , 936

ntriJa da M'IBABANOEB,dyhpnmiimifH-pfiStUr

de l’arroindisSeiitent-Senlls; (Oise).

A M C ^ M lîU È yÊ IQ füE près Senlls,

Dans une iépendaneè du Château slsé route d'EréiMionvilIe,

Bivntoit 1 5 ,0 0 0 k ilo g im m m n

ï d i i ïÉnd

Poêtlies. 'Atto®®» T]|.ynartiB«inya, Chataetr. Roues,. .^Giàotié R ôtie â.engre& ^te) Roneu d e d iv e r se s‘d im ensions

A engrenage, Zino,.jFers e t F errailles,

■ Aux iHUHlrnns p u b u q u s s '• • - n i PÂE xois .

t e : J r i i « i l ;jiiin 1903, d doue heures'^ rilcïb .'

Par le ministère dOLM* Baiiuian. commisHire^risent.dé l’amnllsse-

- i * latent, î -0 v—

vu. potnLqsnT.iBjros__

i. A U '.:..€ O iU K C ^ X :■I, ■ 'teitel'"

ABSonnissumn on smtis ntPABnîiinT n i L’otsn

CoBamnne de.M omtApilIoyi

DM

TRAVAUXd e to n te s n m taém ,

POUS LAd’iBiè lafijit i ’M e

et d’Bse liMe,

Le Dimanche quatorze Juin Md neuf .cent trois, d deue-heures et ‘demie de' T après-midi, il sera pro­cédé. par M. le Maire de laccmmnne de MontéoUloy, asiisté de denx Membres dn Consdi marieipal, en présence dn Becevénr mnnicipal et de ■; Talentin, architecte dé-la eem- mans.k'l’ad]ùdiott(nian rabais,snr souUisslons eachetées. -dea travanx cl-après Indiqués, suivant les devis dressés par M. Val«ntta,^’dsvant k la somm* 6® 83?668|fr?.|yA .

D é n i o l i t i o n ’SS^ . i » temsse et Maçon- -- •'

nerie................. 10.871. 08Charpente..;-.... 1-9W WConvertuce....... ItOKL WManniserie 4tTO 28

2 . ^ JSMarbrerieetFomis- -

M i t e . . . . . ............. -éO f MPkiinberte ...... ...... •" 165 65frelnture, . Vitrerie-•

■ et-Teature...... .1 .1 ^ 15Total 9 3 .1 # fr. 74

Etude dé M‘ PILLEBOUT,notaire ■ - k'Ctépy.

i SS B ë c t a r e s B ? A x « s

T R R R R• ■ ■ Bn une vcu'e .pièce.'

:Tcrirbirs dé CBÉPT ét PErâaniX,- .^i,'.18aim :L 958ic-90).. A; VGndPG

sa L’iTunnl é iHmnnBhn 14 Ju in 1903, rdctiem srm tvTofr. .

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LE COURRIER DE L’OISE.SHà

Bndtd* ■ '«ERELLE, indiif w drrit, bidtritr i SenUs,

U , iw Eaia^Piam.

IM P O R T A N T E

V e n te M o b iliè reA BlItON.

ta domieitt «t tp iii le ddeès de HadtiM Tbàkant,

I iM D lM M iehe "7, I in n U 8 e t M a rd i • AoIb

t S 0 8 «d «ne kewe.

Par le ministère de M‘ Mérelle, bniesier.

DdSIGKATIOS SOUIAIBI :Salen.

On HODierde Salon, eemprenant : na Canapé, snatre Fantenils, danx Chaises reoontrertes develenrs renge, m antre Canapé e t ^ Pantentt aea- ]«n et Telonra ronge, nne Table à Jra aeajon, nne Table de aa'on beie noir Mioré, nn Babnt bois noir et mer- g n a i^ , nne petite C om o^ iooia x n marqueterie, quatre C ^ - aea bois doré et s(da, im Coffre 1 bois taoitserie. nne Glace de Teaise, denx craadés Glaces, nne belle Pendnle uonse doré et denx bellea Lampes, nne Gamitnre de ebtmtnée brosse imré, nn Lnstre, nn grand T a^ , dénz Tases Empire, tapis. Tues, IMennx. Denblea Bideanx, Ta- bleans, etc.

Salle 4 manger.Une belle Table à trois rallonges et

six Chaises campés noyer Teôi et noir, denx Fantenils, nne belle Pen­dule E ^ ire i colonnes, ime grande Siaetï im Baromètre genre anden, nne Care 1 iiqnenrs, Tanleanx, Yasea, Tapls,j:«ntnns,.CliBnéts. ete.

Bureau.m Barean aeajon, on petit Bureau

acajou, six Chaises, une Pendnle maibre et Flambeanx, nn Coffre-Fort (maison Ceblems), nne laace, enri* ron lOO Ycinmes divers, Knmiers, Prasae-Papiw, Tableanx, l a ^ , etc.

Argenterie.Danx Lonehes, nne Cuillère 1 rk-

godt, denx donzaines (büllères, denx densaines Fourchettes, denx don- naines et deini Cuillères 1 café, denx Gobelets, tme Timbale, une Cuillère i sucre, un Bond de serviette, le tout «nargent.

Une Théière, nne Cafetière, deux Pbicis è ancre; nn Service è décou­per, une demi-denxaine Couteaux, -nu Plateau, denx Rédmuds, le tout an métal blanc.

Cuieine,Un grand PeSle-Cnisinière, nn antre

petit, nue Tsble rende ebéae 1 trois

aeajoti.nne petite Table-Toilette, trois Chaises, nne Glace, nnePeidnle, i» Lit-Cage, boine literie. Edredon, T a^ , Tableaux, etc.

anquüme duanbre.Une Couchette noyer, une Table de

nnit, ime petite Tabie-Teiletté,61aee, nne (îbeminée pmasiaae, (Uiaises, bimne Literie, Edredon, etc.

linge.Grande quantité de Draps, Taies

d’eraQIm, Nappas, Serviettes, Tor- ehcns, Mouchoirs, Tabliers, Conver- tures, ete.

Cane.Une demi-pièce Tbi ronge, Tins

orcinaires et Vins fins en bonteilles, nn Pette-BonteOles.

Dteera.Une Toiture de malade, im Fantenil

reniant, nne Baignebre en zbie, nn Poêle bïenee. Malles, Valises, Bancs et Cbiises de jirdbi, un Jeu de Ton­neau, Lessivenses, Btssfaia, Paniers, Tréteaux, Baquets,. Tonneanx, Bon- teilles vides, Outib de jardinage, une bonne Toidecse à gazon. Etabli, Ou­tils divers, quantité de Bols à bifiler, etc., ete.

Et quantitl d’autree Otjete.

Au comptant. — Fraie ordinairee.

On pourra visiter dans la matinée des ùbis jonrs. ' . -

L’argenterie sera exposée, confor­mément è la ioi, les G,'7 et 8 Juin, de neuf heures à midi.

Ordre de la eenfe. — Dbnanebe, cuidné, literie, petit mobilier, linge; Limdi, gros mobilier, aigentene; Mardi, cave et divers.

En service de voitures sera erganiséies trois jours entre Sentis et Baron.Départ de la maison Ferséguérs a

midi et demi.

vrage, tme paire de bslles Balances et s m de Poids en cuivre, deux Fontaines k filtrer, un petit Buffet, nne petite Table, nne Armoire: de cuisbie, Centeanx de table, Mau Serviee de table porcelaine décorée, belle Verrerie, grande qnàntiié de

. Vaisselle cenrante, belle Batterie de / Cuisine enivre, émail et fer-blanc,

Billets, Seanx, Brocs, Anosolrs, Chandeliers, Lampes, etc.

Prmiire Cluanbre.Denx jolies Conebettes, nne belle

Armoire i Glace, nn Secrétaire, le tant en thuya et palissandre. Un Gué­ridon acajou, six Chaises, deux Fau­teuils, le tout bois noir garni gris. Une petite Commode-ToilMe,ane Ta­ble ue nuit et tme Tsble è ouvrage acajou, une belle Glace, tmé baüe Pendule bronze doré et beaux Flam­beaux, belle literie. Edredons, Tapis, Tentures, Tableaux, etc.

leuxihne Chambre.Une belle Couchstte acajou, une

balle Commode et une Table de nnit acajou, une Armob'e acajou musif, six Chaises rembonrrées, une Table- Tolieiti noyer, danx Glaces, nne Pen­dule et Candélabres, nne petite Eta-

fère, belle Literie, Edredon, Tapis, enmres, ete.

Troirnime Chambre.Une belle Couchette, unebelle Com­

mode et une Table de nuit, une Ta­ble è ouvrage, nne petite Ceffanse, le tout en acijau. Trois Chaises, une belle Glace, Pendule et Flambeanx, belle Literie, Edredon, Cbenêts, Ta- bleutz, Tapis, Tenture, etc.

Quatriime Chambre.Une Couchette et nne Table de nnit

A T I8X H IBS 6AHD]|8J E . E R S E A U , A Cemj. lar La.fMé-Alsis (Scme-ctrOise), nfanae lQi.:les Gardes qu’il tient è

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A D JiiD ic A M itis^ ;;^d< F Delsimay, notaln, le Mardi i Juin 4t03,.é deux heuree de re- leréc, dTme M ataon sise k Senlis, n e du Petit-Cbaklis, n '5.

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A r â m l iparlé^inistèrèl de M*. Délauaay, le Merat le Juin reog..d deiM hettrrs » tüteeée, d’un Matâiaial (it an terroir de Sahit- Léonard. ,

L’Etude da I t ’ D H B R B iB ,hnissisrkPont-Sabate-Maxenee, sera transférée Maison de M . C »n ln (en face le Café de l’Union), k comp­ter du EV dinin A 8 0 3 .

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■-<*.£. « T m e i l M»sis tnrroir da Vedwiie. .A.VMdrA par adjndicaiicft;volontaire,..le di^ manche 7 juin 4i03, d deux heuree du eoir, k-'Verberie. en l’étcdé et par le ministère de M* Mangin, no­taire k Verbeilé.

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Ethdeié M* LOMBtHS, notaire k Précy-sur-Olse.

ATWDMOÜAiôilRÎrt;.Mednom b o o i^ ê o iM , else kGouvlenx, rue dé Cmtntttiy.-'

■ >« .i(Etude de M* BALdZEAUX, notaire

k Chantilly.1 t n n n i par.adjudicatien velon-' A Vinilllll ttire, par'le ministère de M’Balézeaux, notafre, Je Biman- ehe 7 Juin 4903. A deux heures de reletée..i Lamorlaye. en la salle de la maiife, <7 g tiècea d e i e n ^p r é aLamer

rie, ’z jpiec ____e t befêr et une.Riiaiooit' k

«rléye, en la rue de la Cannerie.

Etude de M' BEAUCH4MPS, notaire k Pont-saintc-Maxencé.

p u n i f i ile nfinistère de M* Beandianips, no­taire, Je 'Dimanche 7 juin 4903, d troie heuree de Vaarée-mèdi, ' Flenriiiu, en la sade de la Mairie.

kEmr étVSBla b o n ra b le a k vcndrêpar adMicatlon pubUque,

parle ministère de M’ Beanchamps, notaire. Je Dimanche 34 Juin 4903, à troie heure de Fapris-midi, k Pentpoiit, en la sade de la Mairie.

e u i f r i s o N

Etude de ■ ' DELAUNAY, notaire k Senlis.

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BULLETIN COMMERCIALA l’occasion des fêtes de'la P eaatecô te ,

les affaires ont été suspendues k la Bourse de Commerce de Paris, dn samedi soir 80 mai, as Biereredi matin, 3 juin.

M arché a u x B estiau x .Halle» Centrale» de Pari»

du 30 mai.Cours offldels de viande.

Quantités vendues : 151.867.8cèul..ii>.. 43.628k. 1 Mouton. . . . 33.442k.Veau....... 66.490 iPoro.... . . . 19,403

Bœuf.1/4 dé darriàra. . . .......... lokUo 1 10 k 1 851/4 de devant.... . 50 . 70Aloyau............... o.aooo “ • 1 30 3 90

— .déhanché.. ......... — 1 30 3 10Trains.................

TSêU.. 90 3 ..

Extra................... .......... te kilo 1 60 1 801 >* qnallté............ ............ — 1 40 1 50r — ............ o.oo.ot ~~ 1 20 1 808* — ............ ......... ara • 1 104* - ............. .......... « . 76

1 20. 90 1 86Pans ot enissots... • 1 -•

1/4 do dovant....... ......... — . 80 1 20l/4dodorrièro....

Mouton.1 30 1 80

1” qualité............ .......... la kile 1 90 3 ..r - ............ 0 00*000 “ 1 50 1 703- - ....... . .......... — 1 20 1 404’ - ............ .......... •• . 60 1 10Gigots................. .......... ... 1 50 3 90Carrés parés....... .......... « 1 40 6 60Agnoau sans têto.. ........ . — 1 .. 3 ..kguoatiT do tait ni têto ni

3 10Irossuro....... * 0 0 0 0 * • — 1 40CSièvros............... ......... Mm > 30 > 60Pié-salé : ontiors. ......... « 1 80 3 20

— culottosPorc.

3 30 3 80

1” quaUté............ .........te kUè 1 40 1 463- — ............ . . . . . . — 1 39 1 363- — ............ .........— 1 .. 1 30Poitrino saléo..... ............... 1 10 1 30

— fraîche... ............. 1 .. 1 30Roins.................... .........— 1 .. 1 43KtaU.................... .........— 1 30 1 80Jambons............... .........■“ 1 10 1 60

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Prix du Pain dn 15 au 31 mai.

Blanc... 0,37 le k. BinUanc 0,34 —

Sans var.Id.Id.Id.Id.Id.

Sans var.Id.

Farine : les 100 kllog., 36 L 50.— Sans var.

B eaiiTai», 30 mai.Froment Thect. 1612 k 17 63, prix moyen 16 87;

dite les 100 kll. 2150 k 50 . . , p ^ moyen 22 50.Seigle Thect., 10 95 k 1168, prix moyen 1131;

dite les 100 kll. 16 .. k 16 .. , prixmoyen 15 50.Orge Thect., 10 40 k 11 05, prix moyen 10 72;

dite les 100 kll. 16 .. k 17 .. , prix moyen 16 50.Avoine ITiscL, 8 16 k 8 64, prlx~ moyen 8 40;

dite les 100 kii. 17 .. k 18 .., prix moyen 17 60. Paille les 520 klL 25 k 30 . . , prixmoyen 27 50. Foin les 590 klL 30.. k 35 .., prix moyen 33 50. TrUleles520k. 25.. k30. moyen 27 50. Luzsmeles520k. 30.. k 36.. pr. ZMyen3950. Farines les 100 k. 35.. k . . ..p r . moyen.. ... Son les 100 kIL 12.. k 13 ..prix moyen 12 50. Remontage les 100 k. 15 .. k 16.. pr. m. 16 60. Pom.de terre l’hect. SfiOkOSO, pr.meyenO.,d le rm o n t, SO.maLBlé Ire qualité 23 ..,9 i2 2 50,Ss92 ..

IOO^Îd’ * ' * * ’ *’On cota ITiectelitre : Blé, Ire qualité 17 48,

2s 1710, 8e 16 79. Seigle, 9 71, Orge, 870, Avoine, 6 75.

Pam, le kilo. Ire qualité 36 c., 9e 31 c.Beurre, qualité moyenne, le fcOo 3 fr. 20.(Enta, le cenL 7 fr. 30.C o m p t in e , 30 mai.B'.éde23 . . k 34 95, Seigle, 16 .. k . . . . .

Orge k .. . . , Avoine, 16 .. k 17 .. , Fa­rines, 36 ,. k ........

C rép y , 30 mal.Marché peu garni; vente diffldle.

On cote l’hectolitre : Blé, Ire qualtté, 18 48,

34 c.; 9a 31 c. le Ule (Buis le cent 8 .

Se 17 86, 3e 16 60. Seigle Orge,Avoine, Ira qualité, 6 97,3e 6 23.

Pain, le kile, I r e ^ ^ té , 35 e., 3a 31 c.G ran d v ilU er» , 1” juin.Blé, Ire qualité, 3193, 2e 3138, MétaU, , .

Srigle,. . . . . Orge. 16 84, Avoine, Ire qualité,16 83,3e 15 77, anx 100kilos.

On cote l’hectolitre : Blé Ire qté 17 .. . 3e qté1650. Métell Seigle Orge 11 35.Avobie Ire qté 8 .. , 3e 7 60.

Pain le kile Ire Beurre 9 . . k l

. frM o n y , 30 mal.Blé, 24 .., Seigle, 16 .. , Orge, 16 60, Avoine,

17 ..,1e tomaux 100kilos.On cota Imectolitré : Blé, 18 .. , Seigle, 1150,

Orge, 1070, Avoine, 815.Pain, le kilo. Ire qualité, 36 c., 3e 33 c. Beurre, le kilo, Ire qualité 3 80, 3e 3 30, (Eufs,

le cent, 8 . , .P on^S adm te-M axence , 33 mai. Blé,^re qualité, 33 50, 3e 33 .. , 3e 93 60.lÛteil, Seigle, 16 50. Oige, ..

Avrine, Ire qualité, 16 50,3e 15 50, le tout aux 100 kilos.

Oh cote ThectoUtre: Blé, Ire qualité, 18 33,3el74S,3e 16ti. Métefi Seigle; 10 85,(hve, 8 . . . Avoioe, Ire qnallté, 835,3s 7 44.

Pain, le Ulo, 1rs quaUta, 35 c., 3e 30 c.Beurre, le kilo, ire (puilité, 3 80, 3e 360.

(Enta, U cent, 7 fr.

m a r c h é sde Dépariementé limitrophe.

A ninade (S.-lnf.), 30 mai.Blé, Ire qté 33 68,29 37,3105. MéteU .. ...

Seigle Orge 20 69. Avoine 18 89,2e, 17 78.On cote l’hemeUtre: Blé. Ire .. ,

9Ll?’..,Météff,. . . ) ; ,8 ^ e , . .? !7 ^ ;1 9 3 6 . Avoine, UejquaUta, 8 eO, j k i ..é - :

Pain; Irkuo, Ire qualité, 35 e., S I . ; "c.C b àteau -T islev ry (Atane), 39 mai.Blé 34 50 k 34 75. Seirie 18 u k Orge

.. . . k Avoinen~ 1650k 17 .. . Métâl30 .. k . . . . . Farines 33 kS4 . . , le (ont au 100 kilos.

E v ra n z (Eure), 30 mai.Blé 3350k Seigle 16 50k .. ... Orge

16 60 k Avoine 16 35 k 16 50, le tout anlOOkUos... -

Oi cote l’hectolitre : Blé'lre qtéJS 50, Se qté17 . . , 3e 15 50. Métell .. ... Seigle .. .. . Orge 13 50.A vcinelré^ 8 50,3e 8 , , .

Pain le kilo 32 e. 1/3.M o n td ld ie r (Sonriùe), 30 maL- BlélreqtéS350 k33 .. . 2e 29k 9360.Sdgic

16 60 k 16 . . . Orge 14 50 k 15 . . . Esoour|sa»

15 . . k 16 . , . Avoine 14 .. k 16 ., . Son 13 . . k 14 .. . Remoulage 14 ., k 15 ...

Beurre le demi-kilo 140 k 160. Sols le quar­teron 160 k 170.

N en fcb fite l (Saine-Iaférienre), 37 mal.Blé 3313k 33 75. Seigle .. . . k Orge

19 40 k 30 50. Avoine 15 .. k Ü .., le tout anx 100 kUos.

Pain Ire qté 40 c., 3e 33 c., 3e 37 c. le kile. (Eafi, 7 ,, k 8 ...lecent.

B O U R S E :- OiKirs des falênrs do 2 Juin 1803.

Fonds d’État français.3 '/, pwpémeL......................3 */. amortissabie..................

Valeurs françaises.Banque de France..................Crédit Foncier.......................Crédit Lyonnais ..........Société Générale..................Suez....................................

Chendns de fer français.Est : actions ...............Lyon — ............... .1 ^ - ..................................Mord — ...................Orléans — ............... .Ouest — ...................Est- obligations............... .Lyon — ..................lOdl — . . . . . . . . . . . .Nord — ....... .Orléans -r- ...................Ouest — . i . . . . . . . . . .

Ville de Paris. — Obligations.1866 4 V................. . . . . . .1869 S • / • . . . . . ..................1871 3 V............................1876 4 • / . . . . . ..................1876 4 % ...........................1898 3(Icédit Fonoisr — Obligations.Conununaies 1879.................Fonrières 1879.................... .Communales 1880.../. / .......Foncièras 1883.................. .

- 1886 ...,..,..........ROnéaid’ôr.'

De Beers.i...........................F è ip rà ... . . . . . . . ; . . .

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9171435119018481496900

450463454447.

556.441410660559417

4’76 603 600 - 4e7475

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97 9798 30

6901086624

3900

915 1489 1198 , 1875 1505 907 460 449 451 464 ,. 458 - 460

559 44'J 410 -

g î :417

.479503600447476

544544

108 46 1179

R ecettes utiles.Meplans aux fine» hepbe».

Dans nn plat à gratin, mettre du beurre, des fines herbes, pois les merlans. Ajouter dn sel, du poivre, de la muscade, de la cba- pelnre et de petits morceaux de beurre. Mouillez avec dn vin blanc; faire cuire avec fen dessus et dessous, les arroser pendant la cnisson, servir avec un jus de citron.

♦-------

Raisin» noirs et raisin» bleuies.Un horticulteur méridional affirme qu’on

peut obtenir des raisins blancs et des raisins neirssnrlemêmecep.

Voici son procédé: on prend deux sar­ments, l’nii’dtmnant dn raisin blanc, l’autre donnant du raisin noir. On écrase ensemble

les denx bouts, et, avant de les i terre,-on a soin dé les réunir parij re ligature.

Si l’opération est faite arec seiiJ rience réussit toujours, parait-il,(ti tat obtenu est assez curieux, p r " '” ceps qui portent k la fois des i et des raisins blancs et même dé| moiiie blaccs et moitié noirs, doatif té ne le cède en rien a ceux des naires.

Potage velouté.Mettre la quantité d’eau nécêsti

bonillir,, ajouter en la faisant to4 plnia une cuillerée de tapioca par iid laisser cuire quelques minutes. Aif \ de servir, mettre une liaison et r ’'- morceau de beurre fin.

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