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« Tome 5 »
Petit journal
de la maison d’accueil
et de retraite
de Précy sous Thil
JJaannvviieerr àà JJuuiinn
22002200
22001199
Photos prises avant le confinement
des six derniers mois
Rousselet Hélène le 19 Janvier
Renault Jean-Claude le 26 Janvier
Desserey Paulette le 28 Janvier
Louchard Madeleine le 30 Janvier
Canu Josette le 2 Février
Desserey Maxime le 2 Février
Martin Denise le 8 Février
Ragois Jean le 12 Février
Fèvre Simone le 13 Février
Freixas Rosario le 16 Février
Lamas Jeanne le 22 Février
Bourgeois Lucie le 19 Mars
Briffaut Antoinette le 20 Mars
Marichal Anne-Marie le 28 Mars
Lachaume Denise le 30 Avril
Raquin Jeanne le 12 Mai
Rance Odette le 16 Mai
Voye Henriette le 21 Mai
Robinet Micheline le 25 Mai
Portron Chantal le 25 Mai
Defaut André le 15 Juin
Belleville Geneviève le 18 Juin
Droulin Marcel le 20 Juin
Renon Christiane le 29 Juin
Lecogne Denise le 30 Juin
Mr Mouard Alain de Montlay en Auxois
Mme Prélat Denise de Thoste
Mme Fèvre Simone de Précy sous Thil
Mr Rivet Jean-Jacques de Montbard
Mme Rance Odette de Vic sous Thil
Mme Portron Chantal de Dijon et Chenault
Edith Baudot Agnès Merciol
Une pensée pour ceux qui nous ont quittés :
Mr Rance Pierre le 1er Janvier
Mr Bougenot Maurice le 8 Janvier
Mr Fonteny Fernand le 26 février
Mme Bourgeois Lucie le 26 Avril
Mme Rance Odette le 20 Juin
Tout notre soutien à leurs proches
Sans oublier tous ceux qui ont marqué leur passage dans l’établissement …
Point ne s'emplira le grenier, si chaud soleil brille en Janvier.
Février trop doux, promet printemps en courroux.
La neige au mois de Mars vaut du blé, mais fait un mois d'avril gelé.
La neige au mois de mars vaut du blé, mais fait un mois d'Avril gelé.
La gentille petite pluie de Mai, fait belle fleur et riche épi.
Abeilles de mai valent de l'or, en Juin, c'est chance encore.
Carnet rose : éclosion de 2 petits poussins dans notre poulailler
Le 1er Janvier : Bonne année
5 Janvier : Epiphanie (Galette des Rois)
2 Février : Chandeleur (crêpes)
Mardi gras (beignets)
5 Mars : Fête des grands-mères
9 Mars : début du confinement (limiter les animations - visites et sorties interdites)
23 Mars : confinement total en chambre
11 Mai : déconfinement progressif
Théâtre présenté par la troupe des enfants de St Didier le 18 Janvier
2ème spectacle de fin d’année offert par l’établissement et la mairie de Précy le 24 Janvier
2020 : chansons interprétées par Bertrand Mignard
Commission menus le 5 Février
Conseil de vie sociale le 12 Février 2020
Après-midi avec les enfants du centre de loisirs, l’occasion de partager les crêpes de la
Chandeleur le 19 Février
Repas à thème le 18 Mars : l’Alsace
Atelier mémoire chaque Lundi, groupe de parole
Activités diverses : atelier pâtisserie, jeux de groupe, loto, quizz, jeux de mots, jeux
musicaux …
Gym douce le Lundi après-midi et groupe équilibre le Mercredi matin
Activités manuelles : cœurs de la St Valentin
Sophrologie
Concert Brass Band (ensemble de cuivres) par l’école de musique de Semur en Auxois
Concert par le groupe Armon Song (saxo guitare accordéon) de Semur en Auxois
Rencontre avec l’Ehpad de Semur en Auxois pour un après-midi accordéon en
remerciements pour leurs invitations au loto depuis quelques années
Devinette du Tome 4 : Qu'est ce qui vous appartient mais que vous utilisez moins que
d'autres personnes ? votre prénom
Nouvelle devinette : J’augmente en permanence et ne diminue jamais. Qui suis-je ?
Début janvier, la joyeuse petite troupe des enfants de St Didier
nous ont généreusement présenté leur pièce de théâtre, sur le
thème de Guignol. Apprendre les rôles puis la mise en scène leur
a demandé quelques mois de préparation. C’est avec beaucoup
de plaisir que nous avons profité de cet après-midi récréatif.
Pour prolonger ce temps, nous avons partagé le goûter en toute
amitié.
Le 24 Janvier, nous avons reçu Bertrand Mignard, le ¨chouchou de ces dames¨
qui a su mettre une bonne ambiance. Au rythme de ses chansons variées,
chacun à sa façon a participé, reprenant en cœur les airs d’autrefois, ou
simplement en frappant des mains, encourageant les danseurs à virevolter.
Depuis début Février, nous participons à des séances « équilibre » pour un petit
groupe de 11 résidents animées par Marie-Line et Marie-Aimée. Elles nous
permettent de maitriser notre posture pour éviter les pertes d’équilibre. L’objectif
final est d’acquérir le réflexe de respirer tranquillement en cas de chute pour
dédramatiser cet incident, et d’apprendre une technique nous permettant de
nous relever.
Le Covid 19 ou Coronavirus, ce nouveau virus qui nous menace
et a perturbé notre rythme de vie pendant plusieurs semaines
Quel est notre regard sur le monde extérieur :
De notre place, bien à l’abri, on essaie de suivre ce qui se passe à l’extérieur pour mieux suivre le
rythme. Les images retransmises à la télé faisaient peur. Quand on les voyait dans les hôpitaux en
isolement dans leurs « scaphandriers », il nous était difficile d’imaginer de tels drames, on n’arrivait pas
à mesurer le danger. Etant bien protégés, on ne se sentait pas vraiment menacés.
Aucun de nous n’aurait pensé traverser une telle situation ! Ce qui est affolant, c’est de voir que cette
épidémie est mondiale et que des milliers de personnes sont décédées, ça rappelle les grandes
épidémies qui ont emporté de nombreuses personnes auparavant, comme la grippe espagnole.
Pourtant nombreux disaient « c’est une bonne grippe »
Les médias s’en sont donné à cœur joie, on a pu tout entendre ; beaucoup de choses ont été dites,
contredites puis réaffirmées, apportant beaucoup de doutes et de polémiques. Les réponses restent
tellement floues et différentes qu’il est difficile de se faire une idée claire. Certaines questions restent
dans les esprits :
➢ Dangerosité et mode de contamination ➢ En voyant la situation en Chine, les médecins et les membres du gouvernement ne pouvaient-ils pas
anticiper avant que cette épidémie ne prenne tant de place ? ➢ Pourquoi les chercheurs n’arrivent-ils pas à combattre ce virus ? Peut -on espérer trouver un vaccin
et sera-t-il vraiment efficace ? nous manquerons de recul pour connaître les effets indésirables. ➢ Y a-t-il eu des personnes contaminées dans la commune ?
Malgré le danger que peut représenter ce virus, quand on constate l’incivilité des gens qui ne veulent
pas respecter les consignes de protection, on voit vraiment que le monde a changé. Attestations de
sorties, interdictions de déplacements de plus de 100 km, nombreuses contraventions parfois même
abusives, tout cela nous fait penser aux laisser passer pendant la guerre, au couvre feu… on n’aurait
jamais pensé vivre une telle situation dans le monde d’aujourd’hui.
Ce qui nous a énormément touché, c’est la détresse des gens face aux
décès de leurs proches qu’ils n’ont pas pu accompagner dignement. Des
milliers de personnes sont décédées seules, en souffrance sans avoir le
plus petit soutien de leur famille. C’est une idée atroce. Il est inhumain de
voir les cercueils entassés dans des entrepôts ; les familles devaient payer
pour s’y recueillir rapidement, les enterrements se sont déroulés en
nombre restreint. C’est honteux de laisser partir un être cher de cette
façon.
Dans les hôpitaux accueillant les personnes contaminées, la situation était
dramatique : pas assez de place et de matériel. Des tentes médicales ont
été dressées pour multiplier les lits, comme en temps de guerre. Les
équipes soignantes ont beaucoup souffert, payant de leur personne physiquement et moralement,
sacrifiant leur vie de famille, leur santé et parfois leur vie. Certains ont préféré s’isoler en se logeant
ailleurs, afin de préserver leur famille et pendant des semaines, ont été séparés de leurs enfants, parfois
tous petits.
Au niveau professionnel, une grande majorité d’employés se sont retrouvés au chômage, entraînant des
difficultés au sein des familles d’ouvriers qui ont eu des pertes de salaire. Le télétravail à distance et le
temps partiel ont pû été aménagés pour certains emplois, mais la garde des enfants ne devait pas être
facilement compatible pour les parents.
Malheureusement, les répercutions professionnelles et financières sont énormes et risquent d’entraîner
de nombreuses faillites. Le chômage risque d’augmenter encore à l’avenir car certaines entreprises ne
pourront pas se relever d’un telle cessation d’activité ; l’économie mondiale est touchée. Petit à petit les
entreprises ont repris le travail, souvent à temps partiel, travaillant parfois à perte. Les matériaux
nécessaires ne sont pas livrés, ou avec retard car les fournisseurs sont étrangers.
Nous imaginons également les difficultés qu’ont pu ressentir les personnes confinées dans de petits
appartements de 20 m2 en ville comme dans des « cages à lapins », surtout avec des enfants. Dans les
campagnes, le confinement est vécu avec plus de facilités. Les gens peuvent profiter du jardin et ont de
l’espace pour s’aérer tandis que les citadins sont proches du béton.
Pour la scolarité des enfants, ce ne devait pas être facile non plus ; les parents ne sont pas toujours assez
disponibles et n’ont pas tous les facultés et capacités pour faire les devoirs à la maison. Certains ont pu
être en grande difficulté, tandis que certains n’ont pas dû se donner la peine de les faire travailler. Tout
ça se répercutera probablement sur l’année scolaire à venir, avec des lacunes pour de nombreux élèves.
Pour les étudiants, suivre les cours par ordinateur alors que des examens sont en vue n’a pas dû les
avantager ; les épreuves ont été annulées, ou se sont déroulées par ordinateur.
Au milieu de tout ça, ce qui est désolant et écoeurant, c’est de constater combien ce monde est
«pourri». Le pouvoir de l’argent et le profit ont plus d’importance, au détriment de la santé et de la vie
des personnes. Pourtant, il s’agissait de protéger la population entière en fournissant des gants, des
désinfectants mais ils n’ont pas prévu un tel besoin.
D’un autre côté, une grande solidarité s’est développée pour faire face aux difficultés mais cette
entraide n’a duré qu’un temps, chacun reprend ses habitudes et redevient égoïste. Les gens ne sont pas
sérieux, ils ne portent pas de masques, ne respectent pas le lavage des mains, les commerçants rendent
la monnaie mais ne mettent pas de gants. Il y a un vrai laisser aller qui peut être inquiétant et peut faire
appréhender un retour des contaminations.
Comment avons-nous vécu cette période de confinement ?
La direction a été réactive et a anticipé avant même que toutes les régions soient
confinées. Il a été raisonnable de ne pas attendre un premier cas pour prendre la
décision de nous protéger. Quand on voit la façon dont le virus a touché certains
établissements et entrainé un grand nombre de décès…. Mais avec le recul, il y a
eu une bonne organisation, ça a payé, le virus n’est pas entré parmi nous.
Malgré tout, au départ, nous n’avons pas compris pourquoi on nous enfermait
de la sorte, nous l’avons vécu comme une privation de liberté. Pour
commencer, l’établissement a été fermé aux visites et tous les employés
devaient porter un masque. Puis rapidement, les risques de contagion nous ont
obligé à rester confinés dans nos chambres, nous empêchant de recevoir les
visites de notre famille, de nos amis… C’est difficile d’être privé des enfants et
des petits enfants, des siens, de ceux à qui l’on tient même s’ils ne font pas partie de la famille, comme
un voisin, un ami.
Plus le droit de nous rencontrer entre résidents, ou si peu au détour d’une sortie dans le jardin pour un
petit moment, mais toujours en respectant la bonne distance entre nous et
en portant un masque également. Tous nos repaires se sont envolés, plus de
repas en commun, plus d’animation, et les journées défilaient en laissant
beaucoup de regrets. Les sentiments s’émoussent avec l’âge et nous ne
ressentons pas toujours les choses comme les plus jeunes. Alors les
séparations sont vécues avec beaucoup de mal et le moral n’est rapidement plus au beau fixe. Les
angoisses sont multipliées et la tristesse nous envahit petit à petit.
L’établissement nous a aidé, nous a protégé, en mettant tout en place pour
contrôler les risques de contamination : visites interdites, confinement en
chambres, aucun intervenant extérieur, seul le personnel entrait dans
l’établissement, port du masque, désinfection des mains, prise de température…
mais c’est le personnel qui a eu le plus gros du travail pour mettre en œuvre ces consignes.
Quel que soit leur rôle, ils ont dû se montrer très vigilants, surtout qu’il leur fallait tout le temps
surveiller, faire attention à tout et à tout le monde, répéter de rester en
chambre, remettre le masque aux résidents qui ne le gardaient pas, mais
aussi rassurer. Ce confinement a entraîné de gros changements dans
l’organisation et n’a pas facilité leur travail, entraînant beaucoup de pas
supplémentaires mais ils se sont aidés les uns les autres. Leur façon de
travailler a dû changer car les horaires de travail ont été modifiés pour
limiter les entrées et sorties. Chacun a dû conjuguer sa vie familiale et la
vie professionnelle avec tous les risques que cette maladie pouvait entraîner.
Pour nous permettre d’avoir des nouvelles de nos proches, des communications par Skype ont été mises
en place. Quelle drôle d’affaire que de se voir au travers d’un écran ! Nous ne connaissions pas cette
technique qui permet de voir les personnes qui nous parlent ; tout évolue
si vite sans que nous ayons le temps d’apprivoiser tous ces changements.
Ce mode de communication nous a fait parfois ressentir encore plus nos
difficultés de compréhension et de vue, et le plus difficile est de ne pas
pouvoir les embrasser, c’est un vrai crêve cœur, on a besoin de serrer nos
enfants dans nos bras.
Pour égayer un peu nos journées de confinés et multiplier les contacts, le Lions-club de Semur en Auxois
a offert à l’établissement deux tablettes numériques.
Nous les remercions vivement !
Au mois de Mai, le virus étant moins virulant dans les régions,
nous avons progressivement regagné un peu de vie sociale en
partageant les repas, mais avec une organisation particulière afin
de ne pas être trop entassés dans la salle à manger : installation
de tables dans la salle de gym, seulement 3 personnes par table,
pas de pot d’eau disposé sur les tables ni de corbeille à pain.
Quand les visites ont pu être de nouveau autorisées à une seule personne, il était difficile de faire le
choix, alors que tous les membres de la famille sont aussi importants les uns que les autres.
Aujourd’hui encore dans l’établisssement, il reste des consignes à respecter avec le port du masque, la
désinfection du mobilier et des rampes.
Petit à petit, l’établissement a été réouvert aux visites des familles, mais qui restent régulées et
contrôlées ; cependant, les enfants n’ont pas le droit de venir nous rendre visite. Nous avons peur de ne
pas les voir changer, car quand ils sont petits, 6 mois, ça compte beaucoup, ils grandissent tellement
vite. Et ce sont des moments que l’on nous vole, dont on nous prive. Même si nous savons que c’est pour
notre bien, on préfèrerait avoir le choix de prendre le risque ou non. A quoi ca sert d’être encore de ce
monde si c’est pour ne voir personne et ne pas être entouré de ceux qu’on aime.
Mais à notre âge, on se résigne, on suit le protocole ; la vie fait qu’il faut avancer au jour le jour, sans
pouvoir nous projeter à travers cette vie qui n’a plus du tout le même sens, ni les mêmes repères que
nous avions autrefois, et en délaissant beaucoup de principes, sinon on est perdu. On subit, on gravite
tous ensemble autour de l’organisation de l’établissement, on s’adapte
autour de ce qui nous est permis et possible, et finissons par accepter
ce qui nous est refusé. On obéit aux exigences mais on se sent souvent
très infantilisés…C’est un peu comme si on se retrouvait en pension.
Tout est bousculé, instable, nous avons l’impression d’être dans un
autre monde, et nous avons bien peur que ça devienne encore pire dans les années à venir. Ça fait peur
pour les nouvelles générations, pour nos petits enfants car on ne sait vraiment pas de quoi demain sera
fait. On se sent démunis.
Heureusement, l’établissement est une petite structure et nous pouvons y trouver une petite ambiance
familiale. Elle est réputée pour être la plus humaine de la région. Et quand nous avons le bonheur d’être
entourés et soutenus par notre famille, le temps est un peu allégé par leurs visites. Mais quand nous
voyons toutes ces personnes seules, on mesure parfois la chance que l’on a.
Finalement, si on se situe aujourd’hui, même si nous avons traversé des moments difficiles, de doutes et
de contradiction, on ne se sentait pas vraiment menacés. Nous comprenons pleinement toutes les
interdictions que nous avons pu avoir, même si nous les avons parfois mal vécues. Et malgré qu’il
persiste ce sentiment d’insécurité et d’urgence à l’extérieur, nous nous sentons bien protégés par la
maison et nous remercions tous ceux qui participent au bon fonctionnement. On a eu cette chance de ne
pas croiser ce virus, nous n’avons eu aucune personne contaminée.
Une autre vie va commencer, il va falloir apprendre à vivre avec cette insécurité grandissant. Ce sera une
autre façon de vivre qui va demander de se réadapter une fois de plus, une nouvelle épreuve.
« Recueil de paroles des résidents »
Site internet : https://www.maisonderetraiteprecysousthil.com
Mot de passe wifi : marcp21invite-01
Bureau : du Lundi au Vendredi 8h30 / 16h30
Directrice : Sylvie Ménétrier Secrétaire : Agnès Merciol
Animation : Lundi, Mercredi et Vendredi Marie-Line
Psychologue : Mardi matin et Vendredi matin Céline Crémer
Gym douce :
Lundi après-midi tous les 15 jours Marie-Line et Marie-Aimée
Samedi matin et sur prescription Benoît Morin
Sophrologie : Vendredi après-midi tous les 15 jours Nathalys Amaré
Coiffure : Tous les 15 jours
Nathalie le Jeudi et Séverine le Mardi
Pédicure : une fois par mois
Mme Belilty-Roux et Mme Brochant
Kinésithérapeuthes :
Mr Morin - Mr Curé - Mme Deretz - Mme Gamain
Médecins généralistes :
Docteur Jannier Mercredi après-midi
Dr Chaussard Mardi matin et si besoin
Opticien mobile : si besoin
Office religieux : 10h le Jeudi matin au solarium
Réponse à la devinette de ce journal : l’âge
Sylvie Ménétrier J-Claude Chaussard Christelle Céline Agnès
Alexandre Marie-Aimée Valérie Edith Marie-Line Jessica
Anne Mélanie Julie Aurélia Magali Christelle
Marie-Laure Juliette Camille Martine Béatrice Murielle
Catherine Isabelle Valérie Linda Althéa Coralie
Isabelle Sandra Mélissa Alexia Hélène Léa Yasmina
Isabelle Anne-Marie Delphine Benjamin Sébastien Raphaële Eric