«Je ne sais pas si ça se dit…» - Anna Rodriguez«Je ne sais pas si ça se dit…» Coline Froidevaux, danseuse, équilibriste et trapéziste Washington, diplômée de l’Académie

«Je ne sais pas si ça se dit…»

Coline Froidevaux, danseuse, équilibriste et trapéziste Washington, diplômée de l’Académie Fratellini en 2013.

Anna Rodríguez, chorégraphe, metteuse en scène, poursuit son travail à travers la transmission et la création chorégraphique notamment auprès des circassiens.

Juan Jurado, compositeur et chef d’orchestre diplômé du Conservatoire Supérieur del Liceu à Barcelone et directeur de l’orchestre JOCPE (Jeune Orchestre de Chambre de la Passió de Esparreguera).

[email protected] +33 684 73 51 44 / [email protected] +33 662 13 88 96

Je ne sais pas si ça se dit... Fiche signalétique de création

Equipe artistique :Conception et mise en scène : Anna RodriguezInterprétation et chorégraphie : Coline FroidevauxComposition et interprétation musicale : Juan Jurado Création Lumière : William LambertCréation Costume : Solenne CapmasRégie agrès : Gilles Davanture

Genre : tout public

Durée : 30’

Réseau de diffusion : théâtres, salles, hangars, galeries d’art et lieux contemporains liés à la performance et aux nouvelles formes artistiques

Production : Académie Fratellini / Saint-Denis (France), Mains d’œuvres / Saint-Ouen (France), Festival LOLA / Esparreguera (Catalogne), La Central del Circ (Barcelone)/ Espace Périphérique / Ville de Paris - Parc de la Villette (France)

Calendrier de travail :16-20 décembre 2013 : Académie Fratellini03-12 décembre 2014 : Mains d’œuvres, présentation publique d’étape de travail le 13 décembre 2014 23-28 février 2015 : résidences et présentations intermédiaires en Catalogne 01 mars : présentation publique orchestré par la JOCPE (Jeune Orchestre de Chambre de La Passió

d’Esparreguera) au Teatre de La Passió à Esparreguera-Barcelone02-06 mars : résidence à la Central del Circ / Barcelone 06-20 juillet 2015 : deuxième résidence et présentations intermédiaires en Catalogne. Création musicale,

composition et interprétation Juan Jurado10 juillet : représentation à Barcelone dans le cadre de Coincidencies / Terrats en Culture.

Accompagnement musical Muntsa Sitja, violoncelliste 09-20 de novembre : résidence à l’Espace Périphérique / Ville de Paris - Parc de la Villette. Suite de

création musicale, composition et interprétation Juan Jurado

Fiche technique et matériel trapèze Washington :Son : un pied et micro voix, un amplificateur microLumière : création en coursEspace : 6m de hauteur par 6m de largeur minimum à cause du ballantAccroches trapèze : 2 points d’accroche de 250kg minimum par pointTravail sans moteur à 1m du solColine Froidevaux fournit son matériel et ses accroches : trapèze Washington de 35kg, câbles, spencers, mousquetons et couliblocs.Prévoir un technicien pour aider au montage et démontage du Trapèze Washington : 2 services de 4h


Projet cirque, chorégraphie et musique (Paris/Barcelone)

Collaboration Coline Froidevaux, France; Anna Rodríguez, France; Juan Jurado, Catalogne

Anna et Coline se sont rencontrées à l’académie Fratellini. Pendant trois ans, elles ont partagé différentes créations. Des liens se sont tissés jusqu’à l’évidence de se retrouver pour confronter leurs singularités créatives dans l’élaboration de ce solo.

Une première courte résidence en décembre 2013, leur a permis d’en poser les premiers jalons. Depuis lors, elles continuent à évoluer et à faire grandir le solo en y intégrant le trapèze Washington.

Lors de la dernière étape de travail en février 2015, une nouvelle collaboration est née entre elles et le compositeur Juan Jurado, directeur de l’orchestre de chambre JOCPE, composé à cette occasion, de 10 musiciens : cordes, bois et piano.

Elles ont construit ainsi trois versions : une avec le trapèze Washington et la musique enregistrée, une autre version, avec le trapèze Washington et musique en live, composée et jouée au piano par Juan Jurado et la dernière version, sans trapèze Washington. Conscientes que selon le type d’espace, le type de programmation, il ne sera pas possible de monter ce matériau, ni d’être accompagnées musicalement en directe, elles proposent ces trois versions, toutes aussi construites qu’exigeantes, où la dramaturgie et la qualité artistique ne changent pas, ou presque. Par ce procédé, elles souhaitent élargir le champ des possibles : se produire dans une plus grande diversité de configurations scéniques, des moyens de production appropriés, aller à la rencontre d’une plus grande diversité de publics.

Le soutien que nous avons trouvé jusqu’à ce jour, parmi nos partenaires artistiques et culturels, a permis de créer cette forme de solo. Nous avons encore besoin d’espace, de temps et des moyens qui nous permettront de finaliser la création musicale, de créer les éclairages et le costume définitif. Temps essentiel, pour continuer à explorer des nouvelles pistes dans le but d’atteindre les connexions et les cohérences entre le balancement de ce lourd agrès qu’est le Trapèze Washington et la dynamique et la lenteur des mouvements chorégraphiés, la finesse des matières musicales.


Proposition artistique

« Je ne sais pas si ça se dit... »

Solo chorégraphique pour une interprète de cirque voltigeuse et équilibriste sur trapèze Washington tissant une écriture dramaturgique entre des passages pleinement dansés et des temps forts et équilibrés.

«Une sculpture mobile se meut, lente et hésitante : une figure couverte par une grande bâche noire surgit dans l’espace scénique ouvrant une piste rare. Une figure féminine offerte, sincère mais aussi crue et animale, se tient seule dans l’espace. Par la binarité de sa présence, cette figure forte et sensible à la fois, nous donne à voir la multiplicité d’incarnations que porte un corps de femme entre équilibres et déséquilibres, cherchant ainsi à se tenir, devant se décider à se relâcher. Jeu rempli d’ambiguïtés, allant jusqu’au désir presque impatient d’être prête à tout, renversant le fil de la trame comme quelqu’un qui s’efforcerait à défier ses limites; un dialogue intérieur brut s’opère alors en elle, nous donnant à ressentir une infinie partie des forces et résistances qui sont en nous».


Processus de création

A travers l’écriture chorégraphique, chercher la maîtrise du mouvement sur le trapèze Washington et chercher la notion poétique d’un corps dans l’immobilité; la tranquillité, le lâcher prise ainsi que son contraire, la force de résistance et l’inertie provoqués par ce lourd agrès.

Creuser la sensation d’être en équilibre et ce qui crée le déséquilibre. De façon naturelle, nous vivons tous entre ces deux états. Tout bouge; la terre bouge, le trapèze bouge, nous respirons et notre colonne vertébrale nous tient debout parce qu’elle bouge par l’effet des forces agissant sur nous.

Evoluer autour du trapèze Washington et danser le transfert entre la tête, les mains, les pieds, toutes les parties du corps et des articulations et creux qui nous permettent de tenir en apesanteur sans effort apparent. Par le balancé, provoquer la différence des rythmes, trouver des nouveaux chemins et risques à répertorier entre les équilibres. Trouver le contrôle et la coordination juste pour ne pas se figer, être avec le trapèze, tout autour, au-dessus, se suspendre, puis, rester.

En ce qui concerne la musique, c’est un art abstrait mais l’image, la corporalité, la plastique et esthétique d’un corps en mouvement sont des matériaux artistiques certainement figuratifs qui peuvent paraître très renforcées si on y ajoute un travail sonore approprié. Par conséquent, le rôle de la musique est celui de donner la parole à une sculpture en mouvement constant. Nous avançons et puis, tout prend sens : une note qui résonne en nous, immatérielle, insondable, qui parfois heurte avec force et parfois se cache au fond. Cela montre, que nous ne savons pas comment le décrire, intrinsèque, innée, elle nous accompagne inaltérablement. C’est une partie de la création, que nous avons à l’esprit. Mais la question est : avec quelle texture? quels instruments?


COLINE FROIDEVAUX

Lorsque Anna Rodríguez m’a proposé de m’écrire un solo, j’ai senti que c’était le moment. Le bon moment pour moi, de m’affirmer comme artiste de cirque. Depuis toujours, ma formation a été axée sur l’expression par le corps à travers la danse, puis l’aérien, fortement combinée avec la notion d’équilibre(s), que ce soit dans ma pratique antérieure des portés en mains à mains que celle, plus actuelle, du trapèze Washington. Seule et libre dans l’espace, à travers les indications d’Anna, c’est tout naturellement que le mouvement dansé a repris ses

droits sur ma façon de bouger, de m’exprimer et de me questionner : comment ce corps qui a changé au fil des années renoue-t-il avec la danse? Comme une addiction au jeu, la mise à nu de mes peurs, de mes angoisses et doutes, mes folies s’expriment dans l’espace vide guidé par une sorte d’excitation; celle de ne pas savoir ce qui va se passer dans les deux prochaines minutes. Le risque…? Je dois me contrôler, m’apprivoiser pour ne pas me laisser happer par l’extérieur. Je me dois de rester tranquille. Seules mes pensées les plus profondes décident de la marche à suivre pour les minutes qui suivent. Tenir, être sur les mains, sur la tête; jouir de pouvoir faire ce que je veux, d’enfreindre les règles, les codes. Mon corps d’artiste se masculinise. Mais le fond de moi, pas. Je veille à garder l’intégralité de toutes les facettes de mon corps dans sa féminité. Le public m’observe et me découvre. Moi, j’ai besoin de me sentir, de faire ressentir et de dire. Est-ce que ça se dit? Je ne sais pas si ça se dit...


ANNA RODRÍGUEZ

Mon désir de collaboration avec Coline est né d’une intuition forte et immédiate qu’il nous fallait créer ensemble dès que possible. J’ai proposé la mise en route d’un projet de solo dansé à travers la symbiose de nos respectives pratiques artistiques : le cirque et la danse.

Par son métier, la piste a enseigné à Coline Froidevaux comment apprivoiser ses forces et ses résistances. A travers l’écriture chorégraphique, Coline oscille entre un corps exposé, contrôlé et

un état de présence libre, prête à extirper la rugueuse expression de ses pulsions les plus intimes. De mon côté, je guette ce qui lui échappe par-delà le contrôle de sa physicalitée. Je travaille sur l’origine de cette délicate tension, celle qui dévoile une intimité qui se hisse sur sa technique. Je cherche en elle l’abandon qui s’échapperait par-delà la maîtrise de ses mouvements dansés : se tenir debout sur les pieds, sur les mains ou sur la tête, ça change quoi en elle? Je me dois de créer et de me confronter à cette jeune artiste, à son corps hybride à la présence singulière, de l’accompagner dans un vrai moment de solo, où elle puisse s’immerger dans un monde fait d’histoires de vies, de bonheurs, des rêveries solitaires, d’utopies sans lendemain… le monde réel, son monde actuel.

JUAN JURADO

Carme Paltor, directeure du Festival Lola, à Esparreguera (Catalogne), m’avait proposé de collaborer avec Anna et Coline lors de leur venue en résidence dans le cadre du festival. J’ai assisté à une première répétition et très vite, je suis rentré en empathie avec leur travail et l’extrême compénétration qu’il y avait entre elles deux. J’ai compris rapidement que ce projet pourrait m’apporter beaucoup, tant artistiquement que professionnellement. J’ai accepté tout de suite de faire partie de cette création, j’ai pensé que c’était un grand défi. J’aime me confronter à toutes les expressions

musicales possibles. Je pense que les différentes articulations artistiques sont finalement multiples façons d’exprimer un sentiment collectif. J’ai commencé à travailler sur les propositions musicales déjà établies par Anna et Coline : une sélection musicale de compositeurs des siècles XIXe et XXe repris, par l’orchestre de chambre JOCPE que je dirige. Les résultats sont satisfaisants mais nous croyons que l’art est et doit être, une discipline biologique. C’est pourquoi, j’irais plus loin, en composant entièrement pour le solo une œuvre musicale, en l’interprétant en direct sur piano acoustique et électro-acoustique.


ANNA RODRÍGUEZ Chorégraphe - Mise en scène.

Née en Catalogne, Anna Rodríguez se forme à l’Institut del Teatre de Barcelone. Boursière par la suite au sein de Mudra/ Maurice Béjart, elle prend résidence en France en 1981 et danse pour des compagnies telles que : Maguy Marin, Claude Brumachon, Mathilde Monnier, Karin Vyncke, Dominique Rebaud, Robert Seyfried, Tomeo Vergés, Samuel Mathieu, Philippe Combes, Jean Gaudin... Parallèlement elle suit des formations autour de l’improvisation et la danse contact et se forme notamment à la technique «Body Mind Centering» auprès de Vera Orlock. Anna Rodríguez évolue entre la danse et une théâtralité gestuelle qu’elle combine avec d’autres disciplines scéniques, en collaborant notament avec les comédiens et metteurs en scène : Jean-Luc Annaix, Françoise Coupat, Lionel Spycher, Claire Lasne, Olivier Lacut, Thissa d’Avila Bensalah, Paul-André Sagel, Stéphanie Loïk… ainsi qu’avec les musiciens compositeurs : Yves Robert, Antoine Hervé, Claude Tchamitchian, Jean Yves Gratius, Jean- Michel Susini…

Anna Rodríguez coécrit avec Eric Ténier un projet vidéo-danse primé par la Fondation Beaumarchais SACD.

Diplômée d’État en danse contemporaine, elle intervient dans divers centres de danse et de théâtre : CNDC et École Jo Bihtume à Angers, CND et Ménagerie de Verre à Paris, CNAC à Châlons en Champagne, CDPC à Poitiers ainsi qu’en Espagne : CAD à Sevilla, Koldo Mitxelena Kulturunea à San Sebastian, TDL / Tenerife Auditorio de Canarias… À partir de 2000, Anna Rodríguez crée à Mains d’Œuvres (Saint Ouen) l’atelier «La Danse de l’Acteur» un espace consacré au travail du mouvement pour les acteurs et circassiens professionnels.

Instigatrice du dispositif «Collective Illusion» performance-installation constitué d’un groupe de performers et de créateurs son et image. «On n’y voit rien», «Chut», «LLop[S]» sont des projets mis en chantier. En 2014 «On espère en vain une averse pour rafraîchir un peu l’atmosphère» performance collective pour appartement, dernière création dans le cadre Hors Lit / Montpellier.

Depuis septembre 2009, Anna Rodríguez intervient régulièrement à l’Académie Fratellini, Centre International des Arts du Spectacle. A travers les cours de danse, les ateliers de recherche et de création, elle y créé et met en piste notamment : le trio «Bestioles» avec Alexandre Fournier, Mathias Pilet et Malte Peter/ Festival Circa à Auch 2011, «C’est déjà commencé» Cirque de Noël 2011, «PEDRAS» création de fin d’études et 6e édition du Festival des Arts du Cirque, «A TABLE!» Apéro Cirque en octobre 2014.

Par ailleurs, Anna Rodríguez travaille auprès d’artistes et compagnies professionnelles telles que : Cie. Proyecto Precipicio/ Eleonora Giménez et Vanina Fandino 2014-2015, Les Objets Volants / Malte Peter 2014-2015, Cie Avis de Tempête / Louise Faure 2015-1016, Tatiana-Mosio Bongonga 2015-2016…


JUAN JURADO Compositeur - Chef d’orchestre.

Né à Barcelone, Juan Jurado a commencé ses études musicales à quatre ans. Il a étudie le piano, le saxophone soprano et le violoncelle plus tard. Diplômé l’année 2014, spécialité composition, avec la plus haute qualification et prix d’honneur du Conservatoire del Liceu de Barcelone. Par la suite, il a étudié à l’Académie Sibelius d’Helsinki (Finlande). Il a étudié et travaillé avec des compositeurs tels que Juhani Nuorvala, José Nieto, Willem Dragstra, Matthew Whittall, Tapio Tuomela, Risto Väisanen, Manel Ribera et Benet Casablancas. Il a créé plusieurs œuvres en Catalogne, Espagne, France et Finlande, parmi lesquelles se distinguent : L’olor de l’absència (2011), LI[K]IDO (2013), Poemes del silenci (2014), Las Meninas (2014), miniature pour quatuor à cordes créée dans le Musée Picasso de Barcelone, Stigma (2015), créée par l’Orquesta Sinfónica del Conservatori del Liceu menée par Manel Valdivieso, i Seven Words (2013) qui a été diffusé en direct sur la radio nationale de la Finlande (YLE Radio 1) lors d’un concert à l’emblématique église Temppeliaukio (Helsinki) en mars 2015.

Juan Jurado, combine son activité de compositeur avec la direction d’orchestre et de chorale. Il est directeur musical et l’un des fondateurs de la JOCPE (jeune orchestre de chambre de la Passió de Esparreguera-Barcelona). Ce nouvel orchestre a été fondé avec l’intention d’offrir un projet professionnel et exigeant destiné aux jeunes musiciens de toute la Catalogne avec le désir d’intégrer un orchestre créatif et de qualité. Il est également directeur musical de l’ensemble vocal MusicVox, fondé en 2007 avec un répertoire allant de la Renaissance à la musique pop de la fin du siècle dernier. En ce qui concerne son enseignement, il enseigne l’harmonie, l’analyse et l’histoire de la musique à Casp (Barcelone) depuis 2013.

COLINE FROIDEVAUX Artiste de Cirque - Danseuse.

Née à Besançon en Franche-Comté, Coline Froidevaux débute à l’âge de 4 ans à l’école du Cirque Plume. Elle apprend parallèlement la danse classique au conservatoire national de danse avec Flora Delcros puis la danse contemporaine avec Karine Noël, Annie Dubet, Marie-Hélène Bouju et Anna Rodríguez ainsi que de nombreux stages de danse variés (danse africaine, hip-hop, modern’jazz).

Après l’obtention de son baccalauréat, elle intègre deux écoles préparatoires de cirque à Lomme et à Montpellier pour poursuivre son cursus à l’ENACR (Ecole Nationale des Arts du Cirque de Rosny-sous-bois) en qualité de voltigeuse en main-à-main, puis à l’académie Fratellini, où elle clôturera ses années d’étude en trapéziste Washington.

Toutes ces années lui ont permis d’agrandir son bagage artistique dans diverses créations de cirque, de danse et de théâtre. Ces expériences lui ont donné l’opportunité de collaborer avec plusieurs metteurs en scène tels que Fabrice Champion (les Arts Sauts), Laurent Fréchuret (Cie L’incendie), Marc Proulx, Coline Serreau (réalisatrice) ou encore, Jérôme Thomas (Cie Jérôme Thomas, Cirque Lili).

Elle crée avec deux artistes sa propre compagnie qui se nomme Cie Freikopf puis elle croise la route de Circo Zoé, compagnie avec laquelle elle participe à la création du spectacle «Naufragata».

En 2015, elle se lance dans un solo mêlant le cirque et la danse mise en scène par Anna Rodríguez.

En 2016-2017 Coline Froidevaux intègrera la compagnie Nuua (Finlande) sur une nouvelle création et elle prendra part à la mise en place d’un collectif de 10 artistes-femmes acrobates (France)


WILLIAM LAMBERT Eclairagiste de Spectacle et autres évènementsNé à Dijon, William Lambert est Diplômé de l’école du Théâtre National de Strasbourg en 1994, depuis il travaille sur la lumière au théâtre avec différents metteurs en scène : C.Lasne Darcueil, L.Spycher, M.Dydim, A.Maratrat, F.Maris, V.Rouche, F.Coupat, N.Fleury, C.Marcadé, R.Sammut, P.Lambert, J.Maisonnave, M.Grobety, A.Doublet, C.Martin, JF.Alcoléa, D.Richard, S.Alik… Après plus d’une centaine de spectacles éclairés, parallèlement à son métier d’éclairagiste de théâtre, il s’intéresse depuis quelques années à la mise en valeur de l’architecture par la lumière. Il conçoit des Scénographie – Lumière: Lycée Pasteur / Festival d’Avignon, Le Logis du Rétail - Département des Deux-Sèvres, Théâtre Auditorium de Poitiers, Nuits Romanes en Poitou Charentes, Journées du Patrimoine… réalise des vidéos pour des spec-tacles de théâtre, danse et musique.

Parallèlement, il occupe le poste de régisseur général au Nouveau Théâtre de Montreuil, sous la direction de Mathieu Bauer.

SOLENNE CAPMAS Création CostumesSolenne Capmas est aujourd’hui une référence en matière de costumes de cirque. Passionnée et spéciali-sée, elle conçoit des pièces uniques parfaitement adaptés au mouvement du circassien. Plusieurs créations costumes sont à son actif : notamment à l’Académie Fratellini, au Cirko Vertigo ainsi que pour les com-pagnies : Zanzibar, Vost, Cubitus du Manchot, Rasposo, Les Colporteurs, Collectif de la bascule, La Faux populaire, Les Philébulistes ainsi que pour le dompteur Yann Gruss. En janvier 2012, elle reçoit le premier prix du costume au Festival Mondial du Cirque de Demain. En juin 2012, Pascal Jacob lui demande l’autori-sation d’exposer trois de ses robes au Centre National du Costume de Scène lors de l’exposition «En Piste, les plus beaux costumes de cirque».

GILLES DAVANTURE Directeur TechniqueDans la partie depuis 1983, il à participé aux grands chantiers en 1990 : La Villette, l’Arche de la Défense. 1992, directeur général pour l’ouverture de Base Sous-Marine à Bordeaux, régie générale pour la Grande Halle de la Villette/ Espace Chapiteaux. Stage de direction technique en 1999. Régie générale pour les festi-vals : Avignon, Accroche Cœur /Saint-Malo, Scène ouverte musique et danse. Directeur technique à Mains d’œuvres. Régisseur général à l’Académie Fratellini depuis 2015.


Contacts : Artiste de Cirque - Danseuse Coline Froidevaux, [email protected] +33 684 73 51 44

Chorégraphe - Mise en scène Anna Rodriguez, [email protected] +33 662 13 88 96 www.anna-rodriguez.com

Compositeur - Chef d’orchestre Juan Jurado, [email protected] +34 608 069 527

Accompagnement de projet (France) Axelle du Port de Pontcharra [email protected] +33 664 72 59 78

Accompagnement de projet (Catalogne) Carme Paltor Simon, [email protected] +34 618 313 899

Contact technique Gilles Davanture [email protected] +33 614 90 75 24

Association «Le Courant Passe» 11 rue Rivotte 25000 Besançon (France)

Tramateatre www.lolafestival.cat / [email protected] Francesc Macià 66, 08292 Esparreguera (Catalogne)

Documents

«Je ne sais pas si ça se dit…» - Anna Rodriguez«Je ne sais pas si ça se dit…» Coline Froidevaux, danseuse, équilibriste et trapéziste Washington, diplômée de l’Académie