Upload
lyricis
View
523
Download
7
Tags:
Embed Size (px)
Citation preview
UNIVERSAL PICTURES présente
en association avec RELATIVITY MEDIAune production LARGER THAN LIFE
en association avec F� MESTORE ANIMATION
(THE TALE OF DESPEREAUX)
Un � lm de SAM FELL et ROB STEVENHAGEN
Avec les voix de
Ma� hew Broderick Robbie Coltrane Frances ConroyTony Hale Ciaran Hinds Dustin Ho� man
Richard Jenkins Kevin Kline Frank LangellaChristopher Lloyd William H. Macy Charles Shaughnessy
Stanley Tucci Tracey Ullman Emma Watsonet Sigourney Weaver
Et la voix de
André Dussollierdans la version française
Producteurs exécutifs : WILLIAM SARGENT, RYAN � VANAUGH DAVID LIPMAN, ROBIN BISSELL
Produit par GARY ROSS et ALLISON THOMASD’après le livre “� e Tale of Despereaux” de � TE DiCAMILLO
Sujet original de WILL McROBB & CHRIS VISCARDI Scénario de GARY ROSS
Réalisé par SAM FELL et ROB STEVENHAGEN
Sortie : 11 Février 2009Durée : 1h30
Photos disponibles sur www.image.net
PresseSylvie FORESTIER
[email protected]ée de Coralie BELPÊCHE
[email protected] : 01 40 69 66 56
DistributionUniversal Pictures International France21, rue François 1er
75008 ParisTel : 01 40 69 66 56
www.universalpictures.fr
2
... un royaume enchanté, peuplé de gens éternellement heureux,
dont le plus grand plaisir était de déguster chaque soir la soupe la plus
succulente du monde. Mais un tragique accident enleva un jour la Reine
à l’affection de ses sujets, laissant le Roi à jamais inconsolable. Sa fi lle,
la Princesse Petit Pois, se languissait, ainsi que le bon peuple, soudain
privé de soupe…
L ’espoir renaît lorsque vient au monde une petite souris aux très
grandes oreilles : Despereaux T illing. D’emblée, celui-ci se distingue
par sa bravoure et ses ambitions démesurées. Despereaux rêve grand,
très grand au regard de sa taille. Il se voit en chevalier, ferraillant
contre d’horribles dragons et sauvant de belles princesses en détresse.
Mais le monde des souris n’est pas porté sur le rêve. Notre héros n’a
pas sa place dans cette société craintive, soumise et conformiste. Banni,
il échoue dans le monde des rats, où la lumière ne pénètre jamais. Dans
cet univers fétide, cruel et malodorant, il fait la connaissance d’un autre
marginal : le rat Roscuro, gourmet sophistiqué et grand voyageur.
Le rat et la souris deviennent amis jusqu’au jour où Roscuro, re-
poussé par la fi lle du Roi, dont il recherchait l’amitié, se ligue avec la
servante Mig, qui rêve d’évincer Petit Pois.
Enlevée par ce couple malfaisant, la Princesse ne
peut compter que sur le courage du petit Despereaux.
Arrivera-t-il à la sauver et à rendre au Royaume son
éclat et sa joie de vivre ?
marginal : le rat Roscuro, gourmet sophistiqué et grand voyageur.
Le rat et la souris deviennent amis jusqu’au jour où Roscuro, re-
poussé par la fi lle du Roi, dont il recherchait l’amitié, se ligue avec la
servante Mig, qui rêve d’évincer Petit Pois.
Enlevée par ce couple malfaisant, la Princesse ne
peut compter que sur le courage du petit Despereaux.
Arrivera-t-il à la sauver et à rendre au Royaume son
éclat et sa joie de vivre ?
... un royaume enchanté, peuplé de gens éternellement heureux,
3
Cela se produit une fois par génération : un récit pour enfants s’impose dès sa sortie comme
un classique et devient le livre de chevet de millions de jeunes. C’est ce qui arriva en 2003 à Kate DiCamillo
avec «The Tale of Despereaux», la fabuleuse histoire d’une petite souris qui refuse de se laisser dicter son destin.
Mû par un idéalisme, une vaillance et un enthousiasme illimités, Despereaux Tilling échappe à sa société, rigide
et timorée et s’aventure dans le monde ténébreux des rats. Il y devient l’ami d’un rongeur banni, tombe
amoureux d’une princesse solitaire et redonnera son éclat au Royaume de Dor.
Le livre se hissa d’emblée en tête des ventes et fi gura… 96 semaines sur les
listes du New York Times. Vendu à près de 2 millions d’exemplaires en édition reliée
(et lu par environ 10 millions d’enfants), il a remporté de nombreux prix, dont la fameuse
Médaille Newbery de Publisher’s Weekly. Son édition de poche est aujourd’hui best-
seller n°1 depuis 42 semaines.
Le réalisateur, producteur et scénariste Gary Ross (cité quatre fois à l’Oscar) fut séduit par cette fable qui recoupe ses centres d’intérêt et son attachement à des héros hors normes : un quidam qui redonne sa dignité à la fonction présidentielle (PRÉSIDENT D’UN JOUR), un homme qui se retrouve en devenant enfant (BIG), un cheval blessé qui entre dans la légende (PUR-SANG, LA LÉGENDE DE SEABISCUIT). Lorsque sa femme, la productrice Allison Thomas (SEABISCUIT), attira son attention sur «Despereaux», Ross sentit que ce conte de fées moderne pouvait devenir un merveilleux fi lm d’animation numérique. L’humanité du propos, le rôle dévolu au pardon et au rachat, l’absence de «vrais» méchants furent autant d’éléments qui décidèrent Ross
et Thomas à respecter pleinement la tonalité, le message et la
richesse du livre de Kate DiCamillo.
Un classique instantané
Médaille Newbery de Publisher’s Weekly. Son édition de poche est aujourd’hui best-
seller n°1 depuis 42 semaines.
et Thomas à respecter pleinement
richesse du livre de Kate
Médaille Newbery de Publisher’s Weekly. Son édition de poche est aujourd’hui best-
seller n°1 depuis 42 semaines.
et Thomas à respecter pleinement la tonalité, le message et la
richesse du livre de Kate DiCamillo.
4
Kate DiCamillo avoue volontiers avoir écrit «Despereaux» en souvenir des livres qui bercèrent son enfance et qui continuent
de l’enchanter : «Un bon livre Jeunesse est magique à tout âge. Il ouvre à son auteur quantité de voies qu’ignore la
littérature adulte. J’ai voulu montrer dans cette histoire que nous sommes des êtres terriblement compliqués, partagés entre le bien et le mal, et solidaires les uns des autres.»
«Kate a su créer des liens intimes avec ses lecteurs», observe Gary Ross. «Allison et moi étions décidés à préserver cette relation en donnant la même importance au personnage du Narrateur.» (Sigourney Weaver dans la V.O., André Dussollier dans la V.F.)
«Les contes de fées ont une dimension morale», poursuit Ross. «Leurs personnages sont confrontés aux grands problèmes de la vie. Kate n’a pas eu peur de s’aventurer sur ce terrain délaissé par la culture pop. Nous avons voulu restituer pleinement à l’écran son grand livre illustré d’images enfantines inoubliables.»
Cette approche ambitieuse détermina le style visuel, le graphisme des personnages, les couleurs, les éclairages, le style d’animation et d’interprétation de ce fi lm budgété à 60 millions de dollars - le tiers ou la moitié d’une production animée d’un grand studio.
Les producteurs choisirent pour les postes clés : le réalisateur Sam Fell, le réalisateur, scénariste et animateur Rob Stevenhagen, le chef décorateur Evgeni Tomov, le directeur photo Brad Blackbourn et le studio d’effets visuels londonien Framestore Animation.
Sam Fell :«En arrivant sur ce projet, j’ai eu le sentiment de découvrir
quelque chose de profondément nouveau, avec des personnages et une ambiance magiques - des qualités qui manquent cruellement à ce que nous voyons en ce moment sur les écrans. La dimension
psychologique est en outre beaucoup plus riche que dans le cinéma d’animation courant.»
Allison Thomas :«Sam a une riche expérience, qui
va de l’animation image par image aux longs-métrages numériques. Son associé, Rob, le complète idéalement par un sens très fort du récit. Evguéni, quant à lui, avait une idée claire du degré de sophistication visuelle auquel nous aspirions, et Brad était prêt pour écrire les programmes informatiques
qui émuleraient un tournage classique. Gary piloterait l’ensemble avec une approche très cinématographique de la mise en scène, du montage et de l’interprétation.»
La légende de Despereaux sur grand écran
5
Le style visuel :
l’esprit
des maîtres fl amands
Les producteurs souhaitaient donner à LA LÉGENDE DE DESPEREAUX la texture visuelle dense et organique des illustrations de contes de fées. Or l’image numérique est, par nature, aussi «lisse» et satinée que la peinture au pistolet – tout le contraire des qualités ici désirées.
L’équipe, unissant ses talents à ceux du chef décorateur Tomov, s’en alla chercher son inspiration du côté de Vermeer, Breughel et autres maîtres flamands. «Le monde de Dor pourrait sortir d’une toile médiévale», explique Tomov. «Jugeant que l’animation numérique pèche souvent par sa froideur clinique, nous voulions que l’image de LA LÉGENDE DE DESPEREAUX ait du cœur ; qu’elle ne soit pas seulement belle, mais émouvante ; qu’on puisse s’y immerger comme dans les illustrations d’antan. Nous avons choisi une palette subtile, qui s’accorde avec l’ensemble de nos options visuelles. Là encore, nous avons évité les teintes saturées d’origine clairement numérique.»
Le casting (v.o.)Matthew Broderick, qui avait déjà prêté sa voix à plusieurs
fi lms d’animation, dont LE ROI LION et BEE MOVIE, incarne Despereaux Tilling.
«Matthew a une capacité phénoménale d’exprimer la joie, l’optimisme, la curiosité, la noblesse, la faculté d’émerveillement qui sont la marque de notre héros» note Fell.
Et l’acteur d’ajouter : «J’étais ravi de jouer ce petit être courageux, obstiné et indifférent à l’opinion que les gens ont de lui. Lors de nos premiers entretiens, Gary m’avait utilement mis sur la voie en me décrivant Despereaux comme un jeune ado hypersensible, angoissé, passionné, affi chant des opinions tranchées sur le bien et le mal.»
Dustin Hoffman prête sa voix au brave Roscuro, un rat qui assiste Despereaux dans sa quête. Roscuro
est sans doute le personnage le plus complexe du livre, et celui qui éprouve les émotions les plus contrastées, de la joie à la douleur de se sentir rejeté, avant d’accéder fi nalement à la sérénité. «Cet incompris a le goût de l’aventure», commente Stevenhagen. «Il se verrait bien en pirate des 7 mers, alors que les gens ne voient
en lui qu’un banal rongeur. Triste !»La gracieuse Princesse Petit Pois a
la voix de la jeune actrice britannique Emma Watson, bien connue pour ses participations à la franchise HARRY POTTER. «La Princesse est une adolescente d’aujourd’hui, une fi lle moderne, bien éloignée de ses homologues féeriques, et tout sauf froide et distante. Seule dans ce vaste et triste château, avec pour compagnon un vieux père ronchon, elle n’aspire qu’à un peu de liberté.»
Comique virtuose et polymorphe, Tracey Ullman a inventé et imité des dizaines de personnages. Elle prête ici sa voix à Mig, modeste fi lle de ferme qui rêve de devenir princesse, comme sa maîtresse. Un rêve impossible qui la conduira à commettre une grave erreur.
Kevin Kline et Stanley Tucci interprètent respectivement le chef André et le génial cuisinier Boldo, deux personnages qu’ils eurent la chance de jouer côte à côte en studio et d’enrichir
de quantité de gags improvisés.
6
L’animationLA LÉGENDE DE DESPEREAUX s’appuie avant
tout sur ses personnages, leurs émotions et leurs relations. «Nous avons passé beaucoup de temps avec nos animateurs pour trouver un style relativement discret, mais assez parlant pour permettre au spectateur de comprendre ce qui se passe dans la tête de nos héros», explique Fell.
Les animateurs tirèrent le maximum de profi t du travail vocal des comédiens et se fi lmèrent aussi eux-mêmes durant la préparation des scènes pour disposer des références visuelles les plus appropriées aux situations.
«Pour rendre les personnages plus crédibles, nous avons marié en quelque sorte animation et prise de vue réelle», indique le superviseur de l’animation Gabriele Zuccelli. «L’interprétation vous donne à voir des personnages réels, confrontés à des situations réelles. Elle est subtile et plus retenue que celle de la plupart des fi lms d’animation, qui pèchent souvent par leurs excès. Nous avons banni les effets théâtraux, les pantomimes grimaçantes, les trucs et clichés accumulés au fi l des ans par les animateurs. Nous nous sommes focalisés sur l’essentiel, en privilégiant les regards et les expressions.»
Gary Ross :«Sam (Fell) est un directeur d’animation phénoménal qui a inventé
des détails, des touches subtiles et des nuances dont l’authenticité rivalise avec le cinéma traditionnel.»
Le storyboardL’animatique (montage des storyboards
parlants, sonorisés et mis en musique) est une étape clé dans la fabrication d’un dessin animé. Avant de dessiner le premier de ces
storyboards, Stevenhagen, Fell, Ross et le responsable layout Brad
Blackbourn eurent de nombreuses réunions en vue de dresser la liste détaillée des plans. Cette approche, héritée du cinéma traditionnel, aboutit à un inventaire minutieux
et détaillé de chaque plan, y compris les axes et focales envisagés. Cette charte fut ensuite remise
au service «Déroulement de l’histoire», supervisé par Stevenhagen. Elle assura l’unité thématique et artistique, la cohérence de cette histoire complexe où s’entrecroisent quatre lignes narratives distinctes :
Despereaux, Roscuro, Pea et Mig. Elle permit aussi de raccourcir de plusieurs mois la phase de développement,
économie appréciable pour un fi lm au budget serré.
«Pour rendre les personnages plus crédibles, nous avons marié en quelque sorte animation et prise de
, indique le superviseur de l’animation «L’interprétation vous donne à voir
des personnages réels, confrontés à des situations réelles. Elle est subtile et plus retenue que celle de la plupart des fi lms d’animation, qui pèchent souvent par leurs excès. Nous avons banni les effets théâtraux, les pantomimes grimaçantes, les trucs et clichés accumulés au fi l des ans par les animateurs. Nous nous sommes focalisés sur l’essentiel, en privilégiant les regards et
«Sam (Fell) est un directeur d’animation phénoménal qui a inventé des détails, des touches subtiles et des nuances dont l’authenticité
7
Le style narratifLe layout, supervisé par le directeur
photo Brad Blackbourn, fut conçu dans une optique «cinéma live» : «Nous y avons indiqué les emplacements de caméra, les focales, la profondeur de champ, les principales sources lumineuses, les marques
des personnages – le tout dans l’espace 3D d’une caméra virtuelle.»Cette approche originale dicta un style de
montage proche du cinéma traditionnel et augmenta de 30 à 40% le nombre de plans initialement prévu.
«La chorégraphie, les évolutions des personnages entre les plans, les mouvements d’appareil, les passages d’un personnage à un autre dans des décors distincts demandèrent une vigilance particulière en matière de continuité», souligne Blackbourn. «Nous ne pouvions pas nous contenter de vérifi er quelques plans à la suite, nous devions penser «séquences» et contrôler à chaque fois de 100 à 150 plans. Plus nous fi gnolions les détails, plus la charge de travail s’alourdissait. Mais ces efforts se sont révélés extrêmement payants.»
Les réalisateurs cherchèrent aussi à immerger totalement le spectateur dans l’action : «Lorsque nous tournions un plan avec les souris, nous essayions de nous faire aussi petits qu’elles et de nous imaginer dans la peau d’un de ces rongeurs en train de fi lmer ses congénères avec une minuscule caméra», dit Blackbourn. «Nous espérons ainsi embarquer le spectateur dans ces univers, en passant du monde humain à ceux des souris et des rats, et en étant au plus près des personnages.»
Le style narratif
d’une caméra virtuelle.»Cette approche originale dicta un style de
montage proche du cinéma traditionnel et augmenta de 30 à 40% le nombre de plans initialement prévu.
fois de 100 à 150 plans. Plus nous fi gnolions les détails, plus la
La lumière est un thème majeur de LA LÉGENDE DE DESPEREAUX, «au point d’être la star de plusieurs séquences», nous dit le chef éclairagiste Ryan Michaels.
Au lieu d’éclairer artifi ciellement la totalité du cadre, comme il est de règle dans le dessin animé numérique, les producteurs optèrent pour des lumières naturelles émanant logiquement de sources identifi ables : fenêtres, lampes, etc. Les ombres sont tranchées, mais légèrement adoucies, et les personnages intégrés de façon organique à leur environnement. La répartition de la lumière varie considérablement en fonction du décor. Les extérieurs du royaume de Dor sont, dans un premier temps, inondés de soleil, et les intérieurs baignés par une lumière douce et diffuse. Le monde des rats affi che en revanche des couleurs très vives et des ombres profondes à la Bosch. L’ambiance lumineuse du monde des souris est quasi constante alors que celle du monde des rats, discontinue, engendre une certaine tension.
«La lumière est vivante, complexe, évolutive et nuancée – comme l’histoire, car aucun de nos personnages n’est entièrement blanc ou noir», conclut Tomov.
La lumière est un thème majeur de LA LÉGENDE DE
8
C’est le compositeur/arrangeur William Ross qui fut chargé de mettre en musique LA LÉGENDE DE DESPEREAUX. Celui-ci développa en collaboration avec son quasi homonyme Gary Ross une partition orchestrale exaltant le courage, la curiosité, la bravoure du jeune Despereaux et exprimant les émotions contrastées des créatures qu’il croise durant sa quête.
«Peu de gens sont capables aujourd’hui d’écrire une musique aussi riche», commente le réalisateur. «Bill a des dons exceptionnels. Il a apporté une contribution majeure à ce fi lm d’une grande complexité narrative.»
Orchestrateur de longue date, William Ross se fit un plaisir d’utiliser des instruments très divers : fl ûtes, luts, etc., qui lui permirent de créer «un environnement sonore haut en couleur.
La scène où le Roi de Dor célèbre la mémoire de sa Reine bien-aimée est un bon exemple d’utilisation d’un instrument d’époque. Originellement, le roi devait jouer de la guitare ou de la mandoline, s’abandonnant à sa mélancolie au point de ne pas entendre les appels de Despereaux. William Ross et l’équipe optèrent dans un second temps pour
le lut, qui est à la fois plus approprié à l’époque et à la tonalité mélancolique de cet épisode.
Pour renforcer le contraste entre le monde ténébreux et angoissant des rats et celui, très hospitalier des souris, Ross donna au premier une aura sonore «tribale» au moyen de tambours japonais Taiko et de djun djun africains. La harpe fut utilisée à plusieurs reprises de façon ingénieuse pour attirer l’attention du spectateur sur certaines actions
maléfi ques.
La musique
9
Créatures et décorsLe Royaume de Dor est un lieu magique, aussi scintillant
qu’un joyau, et célèbre à travers le monde pour la qualité de… ses soupes.
La Fête Annuelle de la Soupe est LE grand jour de l’année – celui où le Chef André dévoile sa dernière création.
«Avec ses vieilles rues pavées et ses places exiguës, Dor rappelle à la fois Bruxelles et certaines villes d’Italie et des
Balkans», explique Fell. «Nous avons pris un grand plaisir à le créer.»
Avant la mort tragique de sa souveraine, Dor était un pays lumineux et baigné de soleil. Depuis ce drame, son ciel s’est couvert d’épais nuages, et la grisaille est
omniprésente.
10
Son père, le timide Lester, qui voudrait voir Despereaux devenir une souris modèle – craintive, soumise, conformiste.
Sa mère, Antoinette,
aussi nerveuse et farouche
que Lester, et encore plus
conformiste.
La vieille souris aveugle Hovis, un des rares citoyens de Mouseworld à comprendre les aspirations de Despereaux.
Furlough, le frère de
Despereaux, un empoté qui
se targue de lui donner le bon exemple.
... et l’impérieux maire de Mouseworld, qui bannit Despereaux, le condamnant à une mort certaine… et lui
ouvre les portes d’une grande et merveilleuse aventure.
Le directeur de l’école, personnage tout aussi rébarbatif, qui craint que Despereaux ne donne de
mauvaises idées aux autres souris.
Le monde des souris (Mouseworld)
Mouseworld a poussé très loin le système D et l’art de la récup’ en adaptant les ustensiles humains à ses besoins : un couteau de cuisine fait offi ce de banc public, une saucière a été transformée en mare, une tasse de thé en puits, des tiroirs en immeubles, etc.
Qui habite donc cette ville ? Vous y rencontrerez d’abord Despereaux, la petite
souris aux grandes oreilles, improbable héros aux nobles idéaux.
Mais aussi :
La cuisine royale, jadis si animée, est devenue un lieu sans vie. Mais, si vous y regardez d’un peu plus près, vous remarquerez, dans un mur, un trou de souris donnant sur un
univers magique : Mouseworld…«Mouseworld est une société
industrieuse où tout est réglé comme du papier à musique», explique Stevenhagen. «Elle semble à première vue très accueillante, mais se révèle terriblement
contraignante. Le Conseil des Souris a édicté des
commandements stricts auxquels per-
sonne n’ose se dérober. L’individualisme est banni,
les initiatives personnelles mal vues. Despereaux est le seul à rejeter
ces contraintes, car il est trop curieux, trop avide de vivre pleinement sa vie.»
11
C’est dans les bas-fonds du château royal qu’échouent les rats bannis de Dor. Ce monde ténébreux, déliquescent et grouillant de vie est envahi de matériaux hétéroclites, sales, rouillés à demi décomposés, récupérés sur les décharges de
Botticelli, l’abominable leader de Ratworld, est un dictateur
qui hait la lumière du jour autant que le genre humain et sera un redoutable adversaire
pour le petit Despereaux.
Un rat, pourtant, se distingue par ses aspirations à «plus de lumière». C’est
Roscuro, rongeur incompris qui se prend pour un humain. Jugé responsable de la
mort tragique de la reine, il a été banni dans cet égout puant et condamné à se nourrir d’infâmes déchets. Triste sort pour ce fi n
gourmet qui avait eu la chance de voyager dans le monde entier…
la ville. Ses maisons et bâtiments publics sont fabriqués à partir d’ossements humains. Pas très appétissant, mais les rats se soucient peu de propreté et ne craignent ni l’ombre ni l’humidité…
Le monde des rats (Ratworld)
12
13
Le château royal et ses hôtes
La Princesse Petit Pois mène
depuis la mort de la Reine une
vie solitaire. Tenue à distance
par un père inconsolable,
elle espère voir son peuple
sortir enfi n du marasme,
et trouvera en Despereaux
un ami et un héros débordant d’enthousiasme
et de gentillesse.
André est le cuisinier du roi, et le roi des cuisiniers, qui invente
chaque année une nouvelle soupe pour ses concitoyens. Le roi ayant mis un terme à cette charmante coutume, André
sombre dans la déprime. Son nouvel ami Despereaux lui
rendra-t-il l’espoir?
Boldo, l’exubérant
assistant d’André, est un génie qui aidera Despereaux dans
sa quête.
Gregory, le mystérieux geôlier
du château, a vécu une épreuve
tragique en renonçant à l’être
qui lui était le plus cher. Mais
tout est-il perdu?
Mig veut être princesse. Elle ne comprend pas que ce titre soit réservé aux jeunes fi lles de la famille royale, et croit naïvement réaliser son rêve en devenant la servante de Petit Pois.
14
La conclusion revient à Gary Ross : «Les meilleurs fi lms d’animation ont une dimension universelle qui leur permet de s’adresser à des gens d’âges et de conditions très divers. L’adulte y retrouve la part d’enfance qui est restée en lui ; l’enfance y appréhende l’adulte qu’il aimerait devenir – à l’instar de notre vaillante petite souris qui rêve d’être un chevalier, un gentleman et de se surpasser. Chacun de nous peut se retrouver dans une histoire aussi classique, qui touche et émeut autant les jeunes que les moins jeunes.»
15
ARTISTE INTERPRÈTE CINÉMA
Long métrage2009 UNE AFFAIRE D’ÉTAT Éric Valette
2008 MICMACS À TIRE-LARIGOT Jean-Pierre Jeunet
2007 AFFAIRE DE FAMILLE Claus Drexel
LEUR MORALE ET LA NÔTRE Florence Quentin
LE CRIME EST NOTRE AFFAIRE Pascal Thomas
MUSÉE HAUT, MUSÉE BAS Jean-Michel Ribes
2006 CORTEX Nicolas Boukhrief
LA VÉRITÉ OU PRESQUE Sam Karmann
CŒURS Alain Resnais
LE MAS DES ALOUETTES Paolo et Vittorio Taviani
MA PLACE AU SOLEIL Éric de Montalier
UN TICKET POUR L’ESPACE Éric Lartigau
2005 NE LE DIS À PERSONNE Guillaume Canet
2004 MON PETIT DOIGT M’A DIT Pascal Thomas
36, QUAI DES ORFÈVRES Olivier Marchal
LEMMING Dominik Moll
2003 UN LONG DIMANCHE DE FIANÇAILLES Jean-Pierre Jeunet
AGENTS SECRETS Frédéric Schoendoerffer
TAIS-TOI Francis Veber
2002 EFFROYABLES JARDINS Jean Becker
2001 TANGUY Étienne Chatiliez
2000 VIDOCQ Pitoff
UN CRIME AU PARADIS Jean Becker
LA CHAMBRE DES OFFICIERS François Dupeyron César du Meilleur second rôle pour André Dussollier
1999 SCÈNES DE CRIME Frédéric Schoendoerffer
AIE Sophie Fillieres LES ACTEURS Bertrand Blier 1998 LES ENFANTS DU MARAIS Jean Becker1997 ON CONNAIT LA CHANSON Alain Resnais Prix Louis Delluc Prix Méliès du Meilleur Film de l’Année 7 Césars dont celui du Meilleur Film et du Meilleur Acteur pour André Dussollier
1996 QUADRILLE Valérie Lemercier1995 LE ROMAN D’UN JEUNE HOMME PAUVRE Ettore Scola1994 LE COLONEL CHABERT Yves Angelo1993 LES MARMOTTES Élie Chouraqui1992 LA PETITE APOCALYPSE Costa Gavras1991 UN COEUR EN HIVER Claude Sautet Lion d’Argent, Lionceau d’Or du Meilleur Film, Prix de la critique Internationale, Ciak d’Or du Meilleur Scénario au Festival de Venise 1992 Grand Prix de l’Académie du Cinéma 1993 Prix Méliès du meilleur Film Français 1993 César 1993 du Meilleur Acteur dans un Second Rôle pour André Dussollier
1990 BORDER LINE Danièle Dubroux1988 MON AMI LE TRAÎTRE José Giovanni1987 FRÉQUENCE MEURTRE Elisabeth Rappeneau1986 MÉLO Alain Resnais Prix Grégory Chmara du Meilleur Acteur pour André Dussollier
1985 TROIS HOMMES ET UN COUFFIN Coline Serreau Prix de l’Académie Nationale du Cinéma César du Meilleur fi lm en 1986 César du Meilleur Scénario 1986 1984 L’AMOUR À MORT Alain Resnais1984 LES ENFANTS Marguerite Duras Mention Spéciale au Festival de Berlin 1985
1983 L’AMOUR PAR TERRE Jacques Rivette1982 LA VIE EST UN ROMAN Alain Resnais Prix Louis Lumière 1984
1981 LE BEAU MARIAGE Eric Rohmer
1979 EXTÉRIEUR NUIT Jacques Bral
1978 PERCEVAL LE GALLOIS Eric rohmer
1975 LE COUPLE TÉMOIN William Klein
1973 TOUTE UNE VIE Claude Lelouch
1972 UNE BELLE FILLE COMME MOI François Truffaut
Documentaire cinéma2007 LES ANIMAUX AMOUREUX Laurent Charbonnier
ARTISTE INTERPRÈTE THÉÂTRE
2005 LA CHÈVRE OU QUI EST SYLVIA de Edward Albee Adap. Jacques Fieschi Msc. Frédéric Belier-Garcia
2003 LES ATHLÈTES DANS LEUR TÊTE de Paul Fournel Msc. André Dussollier Théâtre du Rond-Point Reprise au Théâtre des Mathurins et à la Gaité Montparnasse(2003-2004) puis Tournée(2007)
2001 MONSTRES SACRÉS, SACRÉS MONSTRES Msc. André Dussollier Maison de la poésie Théâtre de la Gaité Montparnasse (2002-2003) Tournée (2004) Prix «Plaisir du Théâtre» pour André Dussollier
1995 SCÈNES DE LA VIE CONJUGALE de Ingmar Bergman1998 Adap. Jacques Fieschi Msc. Rita Russek et Stephan Meldegg Théâtre de la Madeleine
1989 LE CHEMIN SOLITAIRE de Arthur Schnitzler Msc. Luc Bondy Théâtre Renaud-Barrault Prix Dominique de la mise en scène
1988 LA MOUETTE de Anton Tchekhov Msc. André Konchalovsky Théâtre de l’Odéon
1985 LOVE de Murary Schisgal Msc. Michel Fagadau Théâtre de la Gaité Montparnasse
1983 TRAHISONS de Harold Pinter Msc. Raymond Gerome Théâtre Montparnasse
1981 FAISONS UN RÊVE de Sacha Guitry - Msc. Jacques Sereys Théâtre de l’Athénée
16
1980 L’AIDE MÉMOIRE de Jean-Claude Carriere Msc. Yves BUREAU Théâtre Saint-Georges1979 LA FRAÎCHEUR DE L’AUBE de Herb Garner 1980 Msc. Raymond Rouleau Théâtre de l’Athénée Prix Gérard Philipe pour André Dussollier
1977 TROIS LITS POUR HUIT de Alan Ayckbourn 1978 Msc. Pierre Mondy Théâtre Montparnasse Théâtre de la Madeleine1976 LE BAIN DE VAPEUR de Roland Dubillard 1977 Msc. Roland Dubillard et Philippe Cherisey Théâtre de l’atelier1974 PAR-DESSUS BORD de Michel Vinaver 1975 Msc. Roger Planchon Théâtre National Populaire1973 LE BOURGEOIS GENTILHOMME de Molière Msc. Jean-Louis Barrault Comédie Française1973 LA CRITIQUE DE L’ÉCOLE DES FEMMES Msc. Jean-Laurent Cochet Comédie Française1972 LA GRANDE MURAILLE de Max Fish Msc. Jean-Pierre Miquel Théâtre National de l’Odéon
ARTISTE INTERPRÈTE TÉLÉVISION
Série Télévisée2001 VÉRITÉ OBLIGE N.5 Réal. Claude Michel Rome 2000 VÉRITÉ OBLIGE N.4 Réal. Jacques Malaterre 1999 VÉRITÉ OBLIGE N.3 Réal. Claude Michel Rome 1998 VÉRITÉ OBLIGE N.2 Réal. Claude Michel Rome 1997 VÉRITÉ OBLIGE N.1 Réal. Claude Michel Rome 1994 CHIEN ET CHAT III Réal. Marc Simenon 1993 CHIEN ET CHAT II Réal. Marc Simenon 1991 CHIEN ET CHAT Réal. Philippe Galland 1988 PALACE Réal. Jean-Michel Ribes
Téléfi lm2007 LA MAISON DOMBAIS ET FILS Réal. Laurent Jaoui 2003 SUZIE BERTON Réal. Bernard Stora - FRANCE 32000 LA DETTE Réal. Fabrice Cazeneuve 1994 NOTRE HOMME Réal. Elisabeth Rappeneau 1989 LE PIÈGE Réal. Serge Moati Prix de la critique Internationale au festival de Monte Carlo 1990
1988 POUR UN OUI POUR UN NON Réal. Jacques Doillon 1985 MUSIC HALL Réal. Marcel Bluwal 7 d’Or du Meilleur Acteur pour André Dussollier
1984 L’AIDE MÉMOIRE Réal. Pierre Boutron 1983 AMPHITRYON 38 Réal. Claude Barma 1981 L’ÉPREUVE Réal. Claude Santelli Prix Albert Olivier1977 LE CAPITAINE ROSSEL Réal. Serge Moati UN OURS PAS COMME LES AUTRES Réal. Nina Companeez 1972 LE PLAISIR DE ROMPRE Réal. Jean-Marie Coldefy
Documentaire TV2008 KHEOPS Réal. Florence Tran - FRANCE 2
ARTISTE INTERPRÈTE (AUTRES)
2008 AUDIOGUIDE
CINÉMATHÈQUE
RENSEIGNEMENTS COMPLÉMENTAIRES• 1er Prix de Comédie Classique, Comédie moderne et Comédie étrangère au concours de sortie du Conservatoire. En 1972, il devient pensionnaire de la Comédie Française.
• Prix Gérard Philipe pour «La fraîcheur de l’aube» 1980
• 7 d’Or du meilleur acteur pour «Music-Hall» de Marcel Bluwal 1985
• César du Meilleur Second Rôle dans «Un cœur en hiver» de Claude Sautet 1993
• César du meilleur second rôle pour «La chambre des offi ciers» de François Dupeyron 2001
• César du Meilleur Acteur dans «On connaît la chanson» d’Alain Resnais 1998
17
18
sur : 1001 NIGHTS, LES RAZMOKETS, SPACE JAM, BALTO, FIEVEL AU FAR-WEST et QUI VEUT LA PEAU DE ROGER
RABBIT ?
KATE DiCAMILLOL’Auteur
Kate DiCamillo est née à Philadelphie, a passé sa jeunesse à Clermont (Floride) et vit à Minneapolis (Minnesota), où elle écrit cinq jours sur sept à raison de 2 pages/jour. C’est là qu’elle trouvera l’inspiration de son premier roman Jeunesse : le best-seller «Because of Winn-Dixie» (en France : «Le Chien qui souriait»), qui lui rapportera la prestigieuse Médaille Newbery et sera porté à l’écran.
En 2004, DiCamillo recevra pour la deuxième fois ce trophée pour «The Tale of Despereaux» («L’Étonnant Destin de Déchanté»), dont l’édition reliée aura quelque 10 millions de lecteurs. L’édition Poche fi gure depuis plus de 40 semaines au tableau des meilleures ventes US.
Diplômée d’anglais de l’Université de Floride, ses récits pour adultes ont paru dans The Greensboro Review, The Nebraska Review, Water-Stone et The Alaska Review. On lui doit aussi le roman Jeunesse «The Miraculous Journey of Edward Tulane» et six histoires pour lecteurs débutants consacrées à la charmante truie Mercy Matson.
GARY ROSSProducteur/Scénariste
Gary Ross a débuté comme coscénariste de la comédie BIG (interprétée par Tom Hanks), qui lui valut sa première citation à l’Oscar. Sa comédie politique PRÉSIDENT D’UN JOUR (avec Kevin Kline et Sigourney Weaver), d’inspiration Capraesque, lui rapporta sa deuxième nomination ainsi que le Paul Selvin Honorary Award de la Writers Guild.
En 1998, Ross passe à la mise en scène avec PLEASANTVILLE, une satire du puritanisme qui remporte un large succès critique. En 2003, il écrit et réalise PUR-SANG : LA LÉGENDE DE SEABISCUIT, avec dans les rôles principaux Tobey Maguire, Jeff Bridges et Chris Cooper. Le fi lm recevra 7 citations à l’Oscar (dont meilleur fi lm et meilleur scénario) et sera également nommé au Directors Guild Award, au Writers Guild Award et distingué par diverses associations de critiques.
Ross a écrit récemment deux fi lms dont il doit assurer la réalisation : THE FREE STATE OF JONES (tiré d’un épisode
SAM FELLRéalisateur/Sujet original
Après de brillantes études à l’École des Beaux-arts de l’Université de Nottingham, Sam Fell intègre en 1990 le programme MOMI de Channel 4, dédié à la formation de jeunes animateurs. Il réalise ainsi le court-métrage «The Big Cheese», produit pour Channel 4 par le studio londonien 3 Peach Animation. Au cours de cette période, il travaille aussi comme animateur freelance pour Aardman, 3 Peach, Redwing, Filmfair et la BBC. À l’occasion de son passage chez Aardman, il établit une solide relation de travail avec Peter Lord, qui en fait l’un des animateurs principaux du court-métrage «Wat’s Pig», cité à l’Oscar. Après avoir signé, en 1996, un contrat de réalisateur publicitaire chez Aardman, Fell continuera à réaliser des courts métrages et à développer divers projets associant animation numérique et animation en volume sur pâte à modeler.
À partir de 2001, il commence à développer divers projets, dont SOURIS CITY. Pris en charge par DreamWorks/Aardman, ce fi lm marquera ses débuts et ceux d’Aardman dans le long métrage d’animation numérique. Tourné aux studios DreamWorks Animation de Los Angeles de 2002 à 2006, SOURIS CITY obtiendra en 2007 deux citations au British Academy Award : meilleur long métrage animé et meilleur fi lm pour enfants.
ROB STEVENHAGENRéalisateur
Né à Voorburg (Pays-Bas), Rob Stevenhagen suit des études de dessin avant de travailler comme animateur superviseur et direction de l’animation pour Disney, Amblimation, DreamWorks et autres grands studios.
En 1995, il participe à la fondation de la société Stardust Pictures Ltd., basée à Londres, fournisseur de séquences «en externe» pour divers grands studios. En 2000, il s’établit à Berlin afi n d’y développer des projets personnels. En 2002, il est de retour à Londres, où il a travaillé, depuis, sur des longs métrages et des pubs. LA LÉGENDE DE DESPEREAUX est sa première réalisation.
Stevenhagen compte parmi ses fi lms antérieurs : WALLACE ET GROMIT : LE MYSTÈRE DU LAPIN-GAROU (artiste senior Storyboard) ; LION QUEEN (consultant animation) ; SINBAD : LA LÉGENDE DES 7 MERS (animateur) ; LA ROUTE D’ELDORADO (réalisateur de séquences et contribution au storyboard). Il a travaillé en tant qu’animateur
19
animée «Kablam!», ainsi que «The War Next Door» (pour USA) et «The Assistants» (pour The N). Ils ont également écrit des épisodes des séries «Ed» (NBC), Brutally Normal» (Warner), «The Naked Brothers» (Nickelodeon) et les pilotes «Speed of Life» (ABC) et Robertson’s Greatest Hits».
McRobb a travaillé en outre comme scénariste et conseiller littéraire sur les productions Nickelodeon «Doug» et «The Ren & Stimpy Show» et a créé, écrit et produit «Radio Free Roscoe» pour The N.
Viscardi a été producteur musical de la vidéo de REM «Shiny Happy People», produite par Warner Bros. Records.
WILLIAM SARGENTProducteur exécutif
William Sargent est cofondateur et PDG de Framestore qui s’est imposé comme l’un des plus grands studios d’animation et effets visuels du monde. Né à Dublin, élevé à Rio et dans son Irlande natale, Sargent a aussi dirigé la fameuse émission satirique «Spitting Image», ancêtre de nos «Guignols de l’Info», qui fut diffusée à la télévision britannique pendant 17 ans. Il présida la principale société de production de logiciels de jeux vidéo jusqu’à son rachat par Sony en 2005.
Créé il y a une vingtaine d’années, Framestore travaille avec de nombreux studios hollywoodiens et réseaux de télévision ainsi qu’avec la plupart des grandes agences de pub. Son équipe, forte de 700 membres, a remporté, entre autres prix, l’Oscar et le British Academy Award pour À LA CROISÉE DES MONDES – LA BOUSSOLE D’OR, ainsi que deux Oscars techniques, trois autres British Academy Awards et 13 Primetime Emmy Awards. Parmi ses plus récentes contributions : THE DARK KNIGHT, LE MONDE DE NARNIA CHAPITRE 2 – PRINCE CASPIAN, MAMMA MIA! et WANTED.
RYAN KAVANAUGHProducteur exécutif
Ryan Kavanaugh est associé principal du cabinet conseil/société de production Relativity Media, LLC codirigé par Lynwood Spinks, qui compte parmi ses clients Marvel, Atmosphere Entertainment MM et Exception Wild Bunch. Kavanaugh a monté récemment le package Gun Hill Road, LLC qui fi nance pour la première fois de leur histoire Sony Pictures Entertainment et Universal Pictures pour un programme de 22 fi lms.
de la Guerre de Sécession) et la comédie dramatique JOSH.Très impliqué dans l’action civique et caritative, il a présidé
la Los Angeles City Library et y a lancé des programme éducatifs en direction des jeunes «à risque», qui lui ont valu le Light of Learning Award 1999. Il a reçu en 2000 le Bill of Rights Award de l’ACLU (American Civil Liberties Union).
Ross est marié à la productrice Allison Thomas avec qui il a eu deux enfants.
ALLISON THOMASProductrice
Allison Thomas est associée de la société Larger Than Life, basée chez Universal Pictures. Productrice exécutive de PUR-SANG : LA LÉGENDE DE SEABISCUIT de Gary Ross, elle a coproduit pour celui-ci PLEASANTVILLE. LA LÉGENDE DE DESPEREAUX est la troisième collaboration du couple.
Avant de devenir productrice, Allison Thomas dirigea pendant plus de vingt ans des sociétés et fondations à but non lucratif œuvrant dans le secteur de la haute technologie, avec des clients comme NeXT Computer, Pixar et RealAudio.
Thomas a aussi mené une carrière politique très active auprès du Président Jimmy Carter, du Gouverneur Jerry Brown et du Sénateur Alan Cranston. Elle a siégé aux conseils d’administration du California Women’s Law Center, de Para Los Niños, de la Children’s Community School, de la Los Angeles Public Library Commission et de la Women’s Foundation of California.
Elle a reçu en 2006 l’Abby J. Liebman Pursuit of Justice Award du Women’s Law Center.
WILL McROBB & CHRIS VISCARDI
Sujet originalWill McRobb et Chris Viscardi écrivent pour le cinéma
et la télévision. Ils ont signé récemment ANGUS, THONGS AND PERFECT SNOGGING pour Paramount Pictures, ALVIN AND THE CHIPMUNKS pour 20th Century Fox, et travaillent actuellement sur BIG BRAVE BRIAN (pour CBS Films), DATING MR. HUGGLES (Fox) et MEASLE AND THE WRATHMONK (Warner Bros.)
McRobb et Viscardi ont créé, écrit et produit pour Nickelodeon «The Adventures of Pete & Pete» et l’émission
20
Real Adventures of Johnny Quest». Durant les cinq années précédentes, il avait occupé un poste de vice-président/producteur exécutif chez USAnimation, Inc., où il avait
produit des centaines de spots, de nombreux épisodes des séries «The Ren & Stimpy Show», «Beavis &
Butt-Head» et «Les Simpson», ainsi que divers projets multimédia interactifs et des clips animés.
David Lipman possède une solide expérience en matière d’infographie
3D pour avoir occupé un poste de producteur exécutif chez Optomystic et au Digital
Animation Laboratory. Titulaire d’une maîtrise de cinéma de l’Art Center College of Design de Pasadena, il a travaillé comme assistant réalisateur et
dirigé les deuxièmes équipes de plusieurs longs métrages «live» et est membre de
la Directors Guild of America et de la Writers Guild of America.
ROBIN BISSELLProducteur exécutif
Robin Bissell a débuté en 1998 comme producteur associé sur PLEASANTVILLE de Gary Ross et a exercé en 2003 les fonctions de producteur exécutif sur le succès international de Ross PUR-SANG, LA LÉGENDE DE SEABISCUIT. Il a produit en 2007 le fi lm indépendant JUST ADD WATER, réunissant Dylan Walsh, Jonah Hill et Danny DeVito.
Également musicien, formé aux Universités du Maryland et d’Oxford, il a composé et interprété des chansons pour divers fi lms, dont les trois titres précités et THE BIG LEBOWSKI.
EVGENI TOMOVChef décorateur
Evgeni Tomov a travaillé de 1999 à 2002 comme chef décorateur sur le dessin animé LES TRIPLETTES DE BELLEVILLE. Présenté en sélection offi cielle au Festival de Cannes, le fi lm a été cité à l’Oscar du meilleur dessin animé et primé dans de nombreux festivals.
Illustrateur, concepteur et chef décorateur de longs métrages, séries animées et courts métrages, Tomov a été formé à l’École des Beaux-Arts Nikolai Pavlovitch de Sofi a (Bulgarie), où il
Par le biais de son association avec Virtual Studios, Relativity fi nance chaque mois deux ou trois fi lms. C’est ainsi que Kavanaugh assurera le fi nancement et la production exécutive du fi lm CONQUISTADOR, dont Antonio Banderas tiendra la vedette sous la direction d’Andrucha Waddington, ainsi que de MORGAN’S SUMMIT (scénario et réalisation de Tom Schulman) et THE GREAT PRETENDER (avec Ewan McGregor). Kavanaugh a aussi organisé le fi nancement de deux fi lms adaptés du comic-book «Witchblade» ; assuré le fi nancement et la production exécutive de deux fi lms de la société Atmosphere Entertainment MM de Mark Canton : LE TERRITOIRE DES MORTS de George A. Romero et FULL OF IT ; exercé les fonctions de producteur exécutif sur GRIDIRON GANG, la comédie à succès QUAND CHUCK RENCONTRE LARRY, le thriller politique LE ROYAUME, le western 3 H 10 POUR YUMA, la satire politique de Mike Nichols LA GUERRE SELON CHARLIE WILSON et les fi lms d’action BRAQUAGE À L’ANGLAISE et COURSE À LA MORT; contribué à un accord de cofi nancement de 528 millions de dollars avec Warner Bros. Pictures ; à un accord de fi nancement de 525 millions pour Marvel Enterprises ; à un contrat d’acquisition, production et distribution de 120 millions d’euros avec Exception Wild Bunch.
DAVID LIPMANProducteur exécutif
David Lipman a rejoint en 2006 Framestore Animation en tant qu’associé et responsable de son nouveau département longs-métrages animés. Framestore, le plus grand studio d’effets visuels d’Europe, signe avec LA LÉGENDE DE DESPEREAUX sa première production.
Entré chez DreamWorks Animation en 1997, Lipman en codirigea le service production pendant quatre ans avant d’exercer les fonctions de coproducteur exécutif sur SHREK. Il a aussi produit SHREK 2 (qui devint le plus grand succès de l’histoire de l’animation) et produit et écrit le court métrage «Shrek 4-D», présenté au Parc à Thème des Studios Universal.
Avant de rallier DreamWorks, Lipman travailla comme producteur superviseur et chargé de production chez Hanna-Barbera, où il produisit 52 épisodes de 30 minutes de «The
21
Spheeris, le fi lm IMAX THE YOUNG BLACK STALLION. Il a adapté la musique original de John Williams pour HARRY POTTER ET LA CHAMBRE DES SECRETS et orchestré plus de 100 fi lms, dont BODYGUARD, LA MORT VOUS VA SI BIEN, LE PERE DE LA MARIÉE, L’ARME FATALE et L’ARME FATALE 3, UNE LUEUR DANS LA NUIT, 58 MINUTES POUR VIVRE, LA MORT VOUS VA SI BIEN, BLOWN AWAY et FORREST GUMP. On lui doit en outre les musiques additionnelles de TREMORS de Ron Underwood et ROBIN DES BOIS, PRINCE DES VOLEURS de Kevin Reynolds. Lauréat de l’Emmy pour la musique de l’épisode «Fields of Honey» des «Tiny Toon Adventures» de Steven Spielberg et la direction d’orchestre de la 79ème cérémonie des Oscars, il a été sélectionné au Prix Pulitzer pour «Truman Suite For Speaker and Orchestra», un hommage musical au Président Harry S. Truman.
Ross a également collaboré aux séries «MacGyver», «La Belle et la Bête» et «Matlock» et composé avec Lee Holdridge le thème musical des Jeux Olympiques de Calgary. Il a collaboré avec des artistes aussi divers que Barbra Streisand, Céline Dion, Andrea Bocelli, Josh Groban, Whitney Houston, Kenny G., Michael Jackson, David Foster, Quincy Jones, Babyface, Bette Midler et Jennifer Lopez
DEBRA ZANEDirectrice du casting
Née à Miami Beach (Floride), diplômée du Sarah Lawrence College de Bronxville (New York), Debra Zane rejoint après ses études l’atelier d’art dramatique de William Esper à New York avant de se fi xer à Los Angeles.
Engagée comme assistante du directeur de casting David Rubin, elle en devient l’associée et travaillera pendant sept ans à ses côtés. Cette fertile et heureuse collaboration s’achèvera sur des succès comme GET SHORTY et MEN IN BLACK.
Depuis qu’elle créa en 1996 sa propre agence de casting, Debra Zane a collaboré régulièrement avec Sam Mendes (AMERICAN BEAUTY, LES SENTIERS DE LA PERDITION, JARHEAD), Gary Ross (PLEASANTVILLE, PUR-SANG : LA LÉGENDE SEABISCUIT), Ridley Scott (LES ASSOCIÉS, KINGDOM OF HEAVEN), Steven Soderbergh (L’ANGLAIS, TRAFFIC, la franchise OCEAN) et Steven Spielberg (ARRÊTE-MOI SI TU PEUX, LE TERMINAL, LA GUERRE DES MONDES, INDIANA JONES ET LE ROYAUME DU CRÂNE DE CRISTAL).
Membre de la Casting Society of America, Debra Zane a obtenu 9 citations à leur Artios Award, qu’elle a décroché pour AMERICAN BEAUTY, TRAFFIC et DREAMGRILS. Elle a été nommée Casting Director of the Year en 2004 au Hollywood Film Festival.
acheva ses études en 1986. Diplômes en proche, il travailla d’abord comme illustrateur freelance et comme enseignant avant de se fi xer à Montréal, où il travailla pendant 14 ans comme illustrateur et directeur artistique pour diverses agences de pub locales. Durant cette période, où il eut notamment pour clients la Royal Bank, l’Orchestre Symphonique de Montréal et Lotto Québec, Tomov occupa aussi le poste d’assistant directeur artistique sur le court-métrage «The Old Lady and the Pigeons» (cité à l’Oscar) ; de peintre-décorateur sur la série TV «Fennec le Détective» ; de designer en chef à CINAR Animation, où il développa les séries TV pour enfants «Animal Crackers» et «Mona the Vampire».
Tomov a aussi travaillé comme directeur artistique sur les jeux vidéo «Fas Antiquitas» et «Circus Tycoon» ; comme chef décorateur Développement sur le fi lm d’animation numérique «Beaks» et sur «Barbacoa» ; comme designer environnement du long métrage d’animation THE ILLUSIONIST, pour Pathé Pictures International.
MARK SOLOMONChef monteur
Mark Solomon a contribué à plusieurs grands succès du cinéma d’animation, dont CHICKEN RUN, SHREK, GANG DE REQUINS et SPIRIT : L’ÉTALON DES PLAINES. Il a aussi monté des fi lms indépendants comme UNBEATABLE HAROLD et DATING GAMES PEOPLE PLAY.
Solomon a décrit le premier les défi s du montage numérique en animation, dans un chapitre du livre «Transitions : Voices on the Craft of Digital Editing». Il a produit et réalisé le documentaire «Himalayan HealthCare», consacré à une expédition médicale au Népal et produit la version américaine d’une biographie russe de Tolstoï.
Il est actuellement directeur intérimaire de la section montage de la London Film School.
WILLIAM ROSSCompositeur
William Ross a notamment écrit les partitions de MON CHIEN SKIP et PIÈGE DE FEU de Jay Russell,
TIN CUP de Ron Shelton, MY FELLOW AMERICANS de Peter Segal, A SMILE LIKE
YOURS de Keith Samples, ALLO, MAMAN, ICI BÉBÉ d’Amy Heckerling, POUCELINA de Don Bluth, LES CHENAPANS de Penelope
William Ross a notamment écrit les partitions de MON CHIEN SKIP
YOURSICI BÉBÉde Don Bluth,
22
Despereaux
MATTHEW BRODERICK
Roscuro
DUSTIN HOFFMAN
La Princesse Petit Pois
EMMA WATSON
Miggery Sow
TRACEY ULLMAN
Andre
KEVIN KLINE
Lester
WILLIAM H. MACY
Boldo
STANLEY TUCCI
Botticelli
CIARAN HINDS
Gregory
ROBBIE COLTRANE
Furlough
TONY HALE
Antoinette
FRANCES CONROY
Le maire
FRANK LANGELLA
Le proviseur
RICHARD JENKINS
Hovis
CHRISTOPHER LLOYD
Pietro
CHARLES SHAUGHNESSY
La Récitante
SIGOURNEY WEAVER
La Reine
PATRICIA CULLEN
Ned/Smudge
SAM FELL
Louise
JANE KAREN
Le crieur public
BRONSON PINCHOT
Le prof
MCNALLY SAGAL
FRANK LANGELLA
RICHARD JENKINS
CHRISTOPHER LLOYD
CHARLES SHAUGHNESSY
SIGOURNEY WEAVER
PATRICIA CULLEN
SAM FELL
JANE KAREN
Le crieur public
BRONSON PINCHOT
MCNALLY SAGAL
23
Réalisateurs SAM FELL ROB STEVENHAGENProducteurs GARY ROSS ALLISON THOMASD’après le livre “The Tale of Despereaux” de KATE DiCAMILLOScénario GARY ROSSSujet original WILL McROBB & CHRIS VISCARDIProducteurs exécutifs WILLIAM SARGENT RYAN KAVANAUGH DAVID LIPMAN ROBIN BISSELLCoproducteur TRACY SHAWChef décorateur EVGENI TOMOVDirecteur artistique en chef OLIVIER ADAMSuperviseur animation GABRIELE ZUCCHELLISuperviseur effets visuels BARRY ARMOURDirecteur de la photographie BRAD BLACKBOURNChef monteur MARK SOLOMONMusique WILLIAM ROSSCasting DEBRA ZANE, CSA
DESIGNDesigners personnages NIKOLAY NEYKOV EVGENI TOMOV TIM WATTS NELSON YOKOTADessins originaux SYLVAIN CHOMET and EVGENI TOMOVDesigners environnements DAVID ALCARRIA DEREK CARTER MATTHIEU GOSSELIN PIERRE-HENRY LA PORTERIE HERVE LEBLAN ALFRED LLUPIA ESTEBAN MARTINSuperviseur Couleurs & Textures ALEXEI NECHYTAYLODesigners accessoires PEDRO BASCON AURORA JIMENEZ ROUJA KOLEVA
DÉROULEMENT DE L’HISTOIREDirecteur d’écriture ROB STEVENHAGENÉcriture ARSHAD BAIG CHRIS BUTLER GARY DUNN BRENDAN HOUGHTON LEN MORGANTI
DEAN ROBERTS SHARON SMITH DARREN VANDENBURG TIM WATTS GABRIELE ZUCCHELLI
MONTAGEMonteuse associée CLAIRE DODGSONRé-enregistrements CHRIS JENKINS FRANK A. MONTAÑOSound Design et Supervision LON BENDERSuperviseur dialogue et synchro CHRIS JARGO
ÉQUIPE ROYAUME-UNIDirecteur de production FREDERICK LISSAUProductrice associée CELIA BOYDELLRégisseur HELEN JONESSuperviseur préproduction BUGS HARTLEY
ÉQUIPE ÉTATS-UNISProducteurs associés PEIYU FOLEY CASEY CROWE JAMAL MCLEMORE FRAMESTORE ANIMATIONProducteur délégué TRIPP HUDSON
Direction technique personnagesSuperviseur NICO SCAPELSuperviseur technique MARK WILSONSuperviseur visages LAURIE BRUGGERSuperviseur costumes SYLVAIN DEGROTTEAssemblages EMMANUEL SEYNAEVEDirecteurs techniques personnages RICCARDO ALBIERO FELIX BALBAS YAKOV BAYTLER VALENTINA ERCOLANI MORGAN EVANS MATTHIEU GOUTTE DAVIDE LA SALA SEBASTIAN POTET SAGAR RATHOD WADE RYER NICO SANGHRAJKI DOROTA SIKORSKA IGOR STEFANOVIC DIEGO VIEZZOLIDirecteurs techniques vêtements EMANUEL DRUCKMAN RADFORD HURN JOHN MARTIN DANIEL WARDER LUCA ZAPPALADirecteurs techniques fi nalisation MATT BELL FARAZ HAMEED RICKY KNIGHT-TREMBATH
DONALD PAN TIM SCHNELLBECK ROMAIN SEGURADO PENN STEVENS ADAM THORNTON-DEWHIRST PAUL TIMPSON
Modélisation, Surfaces & TexturesSuperviseur modélisation BEN LAMBERTSuperviseur traitement des surfaces XAVIER BERNASCONISuperviseur textures REBECCA MELANDER
LayoutAdministratrice de production DANIELLE LEGOVICHLayout initial LAURENCE ANDREWS SOEREN BENDT GAVIN BOYLE JORGE DEL VALLE KRIS KAPP RAVINDER KUNDILayout fi nal CYRILLE CARON OLIVER CARROLL REBECCA COLES JAMES HARMER DEBBIE LANGFORD JUSTIN LONG HELENA MASAND EOIN MURPHY THOMAS PICKFORD JORGE PIMENTELDirecteur technique ANDY ROWAN-ROBINSON
AnimationAnimateurs principaux BART BOIROT RAHUL DABHOLKAR PHIL DALE PEPE DE LUCAS PETE DODD MATT EVERITT JEREMY LAZARE MICHAEL SCHLINGMANN TIM WATTSAdministratrice de production AMANDA DAVISONDirecteur technique DIEGO GARCIA HUERTA
ÉclairagesChef éclairagiste RYAN MICHEROSuperviseurs éclairages BERTRAND BRY-MARFAING DAVID FISH HOWARD FULLER DAVID HIRST NIKOLA MILOSEVIC PAUL OAKLEYSuperviseur compositions SEAN DANISCHEVSKY
Effets spéciauxSuperviseur DAN SMICZECKDirecteurs techniques en chef JACOB CLARK NOAH TAYLOR
Directeurs techniques effets ADRIAN BELL MICHAEL GAISER CLEAR MENSER JEAN-CLAUDE NOUCHYFoules JUSTIN ROTOLODirecteurs techniques foules JE-REN CHEN JAN NATARAJAN
MattesSuperviseur JASON HORLEYPeintres RON BOWMAN HYE YOUNG COH NATHAN HUGHES
POST-PRODUCTIONSuperviseur NANCY MACLEODSound Designer JON TITLE, MPSEMonteur effets sonores PAUL AULICINOMonteuses synchro ANNA MACKENZIE MICHELLE PAZERMixeur synchro DOC KANE NIGEL STONEBruiteurs JIMMY MORIANA JEFF WILHOIT DIANE MARSHALL
MUSIQUESuperviseur musical KATHY NELSONMonteur musique PETER MYLESOrchestrations CONRAD POPE WILLIAM ROSS JEROME LEROYEnregistrement et mixage ARMIN STEINERGénériques de début et de fi n PACIFIC TITLECréation générique BRUCE SCHLUTER
ALBUM DE LA BANDE ORIGINALE SUR
BACK LOT MUSIC et INTRADA
COPYRIGHT © 2008 UNIVERSAL STUDIOS
Tous droits réservés
Conception & Réalisation ÉDITIONS GILBERT SALACHAS - Paris - Tél : 01 42 03 18 96
24