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L ’A R BR E D E S PLA I S I RS
U ne od e c o nt é e a u x d é l i ce s d e s c o r ps ….
p a r C IN D Y S NE ES SE NS ( p r i x d u Fes t iv a l I nt er cu l t u re l du C ont e d e Ch i ny 2 006 )
Contact : Cindy Sneessens +32 470 57 28 74 [email protected] www.cindy-sneessens.be
1. PRÉSENTATION DE LA CONTEUSE
CINDY SNEESSENS
Diablesse en voie de devenir grand-mère, les racines plongées dans le cœur palpitant de la vie et les
ailes déployées, elle est rieuse comme une cascade et gouailleuse comme une vielle sorcière. Nourrie
depuis sa plus tendre enfance au sein des forêts profondes de sa Belgique natale, elle aime à chanter au
fin fond des grottes, à conter dans des alcôves, et à murmurer sur des oreillers blonds de paille. Elle
parle avec les cerfs et dort avec les grands fauves. Jouant avec les pieds de l’aube, elle s’est taillé un che-
min dans le monde du conte comme un brin d’herbe écartant le béton d’un trottoir pour chercher le
soleil ! Bref, c’est une conteuse généreuse et naturelle, qui semble allaitée d’éternité contagieuse.
Prix du festival Interculturel du conte de Chiny 2006.
Membre de la Fédération de Conteurs Professionnels de Belgique.
www.cindy-sneessens.be
BIO
Née en Belgique en 1976, petite fille de brasseur, c’est adolescente qu’elle a entendu ses premières his-
toires, dans les bars. Comédienne, metteur en scène, médiatrice, guide-nature, d’expérience en expé-
rience, elle a cherché sa voie loin des écoles, de l’autorité et des dogmes. Un jour, c’était en 2001, elle
s’est entendue raconter une histoire. Par hasard... Et ce fut le coup de foudre ! Elle est devenue conteu-
se, persuadée pendant un an, d’être la seule au monde à faire ce métier. Amoureuse universelle des his-
toires, elle n’a cessé de créer, construire et transcrire ses liens avec le symbolisme du conte. Autodidac-
te à la base, elle décroche le prix du Festival Interculturel du Conte de Chiny en 2006 … Légèrement
apprivoisée, elle fini par se laisser guider par Henri Gougaud, qui l’a laissé venir, s’épanouir et devenir
cette fleur qui s’embellit de conte en conte. Entre 2008 et 2010, elle est partie « faire la route » à la ma-
nière des compagnons pour revenir enrichie de cette vie initiatique que seuls connaissent les gens du
voyage. Depuis 2011, elle est conteuse professionnelle et tourne dans le monde entier.
2. CV ARTISTIQUE
3. LE SPECTACLE
Une ode contée aux délices des corps… Les fantasmes d’une princesse face au pagne rebondi d’un esclave….
La cambrure d’une femme gémissante qui fait jaillir les premières sources du monde….
Des bâtons ardents, libres et sauvages en quête de grottes humides…
Des pétales de velours au parfum musqué qui s’entrouvrent pour accueillir des fruits charnus…
Tantôt drôle et légère, tantôt sensuelle et poétique ; entre récits, contes et facéties, la conteuse se promène dans
le palais des délices, des vices, des frissons et des désirs pour que frémissent les lèvres et les ventres. Et surtout,
pour qu’au retour chez vous, se délient les langues…
Contes érotiques à mettre dans toutes les oreilles gourmandes .....
Écriture et interprétation : CINDY SNEESSENS
Aide à l’écriture : THI-THU PHAM
Création lumières : MARTIN DELVAL
Scénographie : SARAH MAYSTADT
DÉTAILS PRATIQUE
Jauge : Nécessite une sonorisation à partir de 50 personnes (pour favoriser les murmures…)
Public : Ados et Adultes dès 16 ans.
Durée : 1h15
QUELQUES LIEUX L’AYANT PROGRAMMÉ
Le festival Epos à Vendôme
Les Estivales de la Médiathèque d’Agglomération de Cambrai
Le Centre Culturel de Ans
Le festival du conte de Saurat
Le théâtre Mercelis à Bruxelles
Les Scènes du Haut Escaut, Cambrai
Le festival du conte de Limoux
Le château des Grottes de Floreffe
La Maison du Conte de Jodoigne
Le festival du conte « Les Biensfaits » à Calais
Le festival du conte « Conteurs en Campagne »
Le festival de Baden en Bretagne
Le Centre Culturel des Roches à Rochefort
4. À PROPOS DES CONTES ÉROTIQUES
De plus en plus de conteurs et conteuses proposent des contes coquins et grivois. Ils sont certes drôles et licen-
cieux mais restent « anecdotiquement » érotiques (à peine parfois en sont-ils saupoudrés). C’est ce même mouve-
ment et cette même envie de faire rire qui m’ont poussée à créer la première version de « l’Arbre des Plaisirs »
en 2007.
Ensuite, quelques incursions, des images glissées, cachées au cœur des contes se faisaient plus sensuelles. Les re-
tours des femmes s’appuyant principalement sur ces dernières, cela m’a encouragé à oser davantage. Et j’y ai pris
du plaisir. Une interview réalisée par Benoit Feyt sur la Première RTBF en 2015 fut le déclencheur final. Depuis,
mes contes n’ont plus peur des sensations, ils voyagent au cœur de l’ivresse des corps.
La génération de mes parents nous apprenaient, pour les chanceux, le sexe dans des livres de « botaniques humai-
nes », on ne parlait pas du plaisir des sens. La génération d’aujourd’hui enrichit bien souvent son savoir grâce aux
films pornographiques. N’est-ce pas le symptôme d’une misère absolue ? Les conséquences en sont graves : mé-
connaissance de son propre corps, méconnaissance du corps de l’autre, manque de poésie, manque de communi-
cation, manque de créativité etc.
Alors pourquoi écouter des contes érotiques ?
« Pour transgresser la loi du silence, briser les tabous, nourrir la fantasmagorie, la poésie et la sensualité. Pour
voyager ensemble dans un monde de sensations, de désirs et de plaisirs. Pour rire, pour rêver. Pour entendre
quelqu’un parler de ce que je n’ose peut-être même pas penser. Pour le plaisir d’être le réalisateur du film que je
crée en écoutant les histoires et pour en être le « voyeur » satisfait en même temps.
Pour entendre des mots se glisser dans mes peurs, pour ressentir des mots interdits se glisser dans mes pores,
pour les laisser s’étendre en moi, me traverser et puis vivre. Vivre dans mes mots à moi…. et me raconter ensuite
sur l’oreiller»
Voilà une des intentions essentielles de ce spectacle : délier les langues (sans jeux de mots !). Et, vous savez, quand
les langues se délient, une musique à faire danser les âmes se met à jouer. Or, quel plus beau paroxysme à la
sexualité que de parvenir à unir corps et âme dans une même danse, infinie … A la sortie du spectacle, les fem-
mes me remercient chaleureusement (et vont parfois jusqu’à me demander de raconter ces initiations à leurs fil-
les), les hommes sont généralement plus timides mais j’aime les voir serrer plus fort la taille de leur amoureuse
que quand ils sont arrivés. Et j’espère secrètement qu’ils penseront moins par la suite à leurs prouesses qu’à la ma-
gie des peaux qui s’effleurent. Ce que je mets dans ces contes, c’est l’essence même de l’art du conte : la délicates-
se, la suggestion, les émotions, l’ivresse des sens. Ce que je mets dans ces contes, c’est ce que je voudrais mettre
dans tous les draps des amants… Tout simplement. Et pourquoi les raconter ? Pour le plaisir de faire plaisir !!!
La suite ?
Je rêve d’aller raconter mes histoires aux ados, dans les écoles….
Mais ça ce n’est encore qu’un rêve….
A quand une communication libre autour du sexe ? Des désirs ? Des plaisirs ?
6. DOSSIER DE PRESSE
Emission sur la première RTBF au micro de Benoit Feyt
https://www.youtube.com/watch?v=uvbQbd9agGA&t=33s
Extrait vidéo
www.youtube.com/watch?v=jpaRAN8s_14&feature=youtu.be
5. TÉMOIGNAGES
Et comme toute bonne soirée a une fin, c’est à Cindy Sixièmesens, belge malgré elle, qu’il revient d’entrouvrir le lit pour grimper dans l’arbre des plaisirs, coquineries divines dignes du gastronome de haut niveau nous changeant fort heureusement pour un temps de frites et de bières catholiques … Une cure de jeunesse pour nos vieux os, l’imaginai-re passé par dessus l’épaule et le vent dans la joue. Sylvain Rivière
Merci Cindy pour cette envolée, mon seul regret est que mes filles n’aient pas pu entendre tes contes. Je rêve d’un jour où l’on contera ce genre d’histoire dans les écoles pour initier les jeunes filles aux secrets des corps, Isabelle H.
Après les papillons, voici les « Roubignons » nouveaux insectes qui batifolent en tous sens et en tout endroit. À une Cindy attachante et malicieuse, bisous et que ton métier de conteuse (ou plutôt ta passion) te donne toujours beau-coup de satisfaction. Peut-être au revoir? Colette Lagoutte (festival de Limoux)
Cette dame conte de façon excellemment spontanée avec des images et des histoires qui ne peuvent s’oublier et qui sont tellement vraies, elle m a apporté beaucoup « trop » d’émotions. Je me suis mise dans la peau de tous ses person-nages et c’est tellement vrai que la réalité vous rattrape dans votre cœur et dans votre esprit. Quelle prise de cons-cience avec un tel art de conter que nul ne peut être indifférent à l’expression et au ressentis de cette artiste. Encore MERCI de pouvoir me faire partager de tels moments où seuls les artistes et les rêveurs peuvent comprendre l’ex-pression particulière de ces contes. Adriana M.
hello Cindy....encore un immense merci pour cette magnifique et superbe soirée hier chez Florence.....vraiment "transporté" par ton talent de conteuse et les contes que tu nous as si joliment proposé hier soir avec justesse et déli-catesse.....tu rayonnes de ces contes, on les sent vivre en toi et à travers tes mots....et on ne demande qu'une cho-se....à quand le prochain voyage dans ce monde de l'imaginaire, de ces émotions que nous portons toutes et tous en nous.. et que tu nous fais si délicieusement découvrir ou redécouvrir avec un immense plaisir au travers toute ta maî-trise dans l'art du "raconté" et ce merveilleux partage d'un soir......;o))))))..... Vincent Momin