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Selim BOUMERDAS
L’Amour et l’Eau Fraiche
« Etre Hippies » Ce n’est pas vivre que de rêves mais vivre en symbiose et en harmonie avec Dame Nature et ses semblables bêtes de Sommes. Faune et flore
Selim.BOUMERDAS
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Probabilité Moi je ne comprends pas, Je suis peut être idiot et borné à la fois Mais je crois que s'avouer vaincu n'est ni une honte ni une fatalité. Avoir les mains liées à la suite d'un échec, N'est nullement la faute à quelqu'un, C'est peut être le sort qui s'acharne sur moi, A chacun sa destinée, C'est les aléas de la vie, Sortilège ou marabout n'y pourront rien, Mais autant perdre une bataille qu'abdiquer, Gagner une guerre est plus censée, Il faut être comme un gladiateur, Savoir se relever et mourir pour un idéal, Assumer et se dire que toutes défaites est une bénédiction, Car elle vous arme pour l'avenir, Parce qu'à la fin, Il n y aura ni perdant ni gagnant mais deux brebis en dehors de l'enclos, Dont personne ne s'inquiète.
Selim.BOUMERDAS
Le libre Arbitre. Dieu est une entité au dessus de tous Croire ou ne pas croire est le problème de chacun de nous C'est le problème de tout être de se poser des questions Mais quand on est dans l'aisance on a tendance à oublier le créateur clément et Miséricordieux et par opposition quand on est dans la pauvreté et en disgrâce on Implore ce Dieu qu'on ignorait il n’y a pas si longtemps En prenant la position du fœtus Bien à l'abri dans le ventre de sa maman Maintenant pour finir je respecte le choix et l'avis de chacun de nous A chacun son Dieu mais quelques soit les circonstances Il a toujours un œil sur nous.
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L’instinct. Les rêves sont souvent le reflet de l’âme Beaux ou cauchemardesques C’est le refoulé qui refait surface Et immerge des profondeurs Le subconscient nous remet les horloges à l’heure C’est véritablement la face cachée de l’être humain Souvent prémonitoire d’un lendemain incertain Alors nous abdiquons et nous acceptons notre sort Les plus téméraires essayent de s’accrocher même à des chimères Les anéantis se laissent aller et capitulent Sans essayer de s’accrocher Tel un naufragé à un rocher ou à une bouée Se laissant emporter pat les courants des profondeurs Ainsi il est préférable de se fier à son instinct Toujours espérer pour ne pas tomber dans l’oubli Poursuivre ses objectifs Même si les portes se renferment dés que tu t’approches Qui par inadvertance ou par hasard Sont semés le long de ton chemin.
Selim.BOUMERDAS
La vie est un tel un manège. Un soupire qui vient des profondeurs C’est l’âme qui appelle au secours Quelqu’un qui aspire au bonheur Untel après tant de sacrifices Arrivant par hasard à une source Qui jaillissait de nulle part Pour s’étancher En essayant de s'humecter les lèvres Elle s’arrête de couler Et depuis elle est tarie Ce n’est pas une déception Mais c’est une suite d’échecs Amasser le long de son parcours Acculer au pied du mur Poings et mains liées Pour se rassurer Il admettra que c’est sa destinée Alors qu’il pouvait penser à prendre avec soi Une gourde pour sa traversée du désert Mais au fait, il comptait sur sa belle étoile Suivant son instinct Qui ne le trompait naguère Or cette fois il lui joua un tour Il a oublié les mirages Et le chant des sirènes Qui parsemait son chemin Il voguait dans ses rêves Et planer tel un aigle royale A la recherche de la rédemption L’ermite qu’il était Bien à l’abri dans son sanctuaire Un jour de faiblisse Il se laissa aller dans ses pensées humaines Submerger par un flot de sentiment de regrets Jamais connu de sa vie Oublions son sermon et reniant sa foi Obnubilé et envouté par les enchanteresses Il courra à la recherche des sirènes Il passa son temps à tourner en rond Ne sachant à quel saint se vouait Que des échos au loin Lassé, fatigué, éreinté il baissa les bras Et s’arrêta pour reprendre son souffle Il sursauta après avoir ouvert les yeux
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Qu’il avait fermé par lassitude Quel miracle ! Il vient de trouver le saint graal Il a découvert la voie du bonheur Mais fâcheusement ce n’était qu’une lueur Il a enfin compris que celle qu’il aimait Ne reviendrait plus Hélas elle ne pouvait l’attendre toute la vie Ni porter une ceinture de chasteté En attendant qu’il se manifeste Il ne comprenait pas pourquoi les gens Convoite l’inaccessible Rien ne sert d’aller aussi loin Pour chercher le bonheur Il est souvent juste à coté ou à l’intérieur de nous même Savoir attendre et prendre le train en marche Tout en restant honnête et sincère Tôt ou tard le vent tournera.
Selim.BOUMERDAS
Croire ou ne pas Croire.
Tout être normalement constitué Possédant un QI égal ou supérieur à la moyenne Mentalement sain Qui le sens de la critique aigu Arrive un moment dans sa vie de cultivé De se poser la question de l’existence d’une entité De par son savoir et sa culture Qu’il lui réclame une explication rationnelle Curiosité aidant Le doute s’installe dans l’évidence même de l’existence Innée ou acquise de l’existence d’un Dieu suprême Désormais il lui faut une solution Une suite logique qu’A+B = C Tout en sachant pertinemment Ce qu’on pense les livres saints Son cerveau rejette cette question de la Foi Le F(x) lui taraude l’esprit Ce qu’était logique devient du jour au lendemain illogique Tant qu’il n’a pas trouvé de réponses à ses interrogations Il croit plutôt à la matière et à l’antimatière Dont il maitrise les connaissances Oubliant que le temps des miracles remonte à l’ère du temps De ce fait il est pris dans le tourbillon De l’irrationnelle Alors que tout est clair dans la vie De chacun de nous Croire ou ne pas croire telle est la question existentielle Pour quelqu’un de sensé.
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Mon étoile s'est éteinte. Confus et désorienté tel un chien qui a perdu son odorat, Sans limites ni territoire J'ai perdu ma direction J’ai perdu ma religion Mon terrier Et mes femelles Je fus ignoré Rejeté Par toute l'émeute Confusion dans mes sentiments Envers mes semblables Je suis piégé. Vivons dans la tourmente quotidienne, Sans l'aide de quiconque Sans abris ni ou aller Pas d'échappatoire Pour sauver mon âme Errant dans les montagnes ou dans les steppes arides A la recherche d'une oasis Peut être providentielle En comptant sur le hasard D’un soir sans étoiles En regardant et levant les yeux vers le ciel noir Je ravale ma rancœur Avec regrets et remords D’avoir été rejeté par tout le monde Je dédaigne d'accepter mon sort Tel un proscrit j’erre de terre en terre Mon itinéraire reste incertain Et dépendant de quelqu’un. Atterrissant dans un territoire hostile J'y cours voir ailleurs Cherchant refuge auprès d'un cœur solitaire Avant de toucher le fond Nous construisons des châteaux de sable Nous ferons des projets Si elle accepte de moi Nous irons à l'aventure En prenant le premier train Sans se retourner De toute façon Nul n'est prophète dans son pays.
Selim.BOUMERDAS
L’étoile Filante. Moi j'ai là-haut entre terre et ciel Quelqu’un qui veille sur moi Dans cet univers. Parmi ces milliers d'étoiles C’est elle la plus scintillante. A chaque fois que je suis dans le désarroi Je lève les yeux et je pleure Pour les disparus sans un au revoir Ni bise ni bisou Ni enlacement ni étreinte Par un matin de septembre Et à chaque passage d’une étoile filante Ou une coccinelle qui se pose sur moi C'est un signe qui ne trompe pas Je suis persuadé qu’ils pensent à moi De là-haut Père, mère, frère, sœur, ami, cousin, cousine, neveu, nièce, voisin ou inconnu Mort ou disparus ce jour fatidique du 11 du mois Apaise ma souffrance mais n’efface en rien le mal qui me ronge Tel un vers dans une pomme Tel un vase en porcelaine cassé On n’a beau le recollé Il nous manquera toujours un bout Ils ont été fauchés, partis à jamais Sans distinction de l’âge. Notre vie continuera avec une partie en moins Mais je suis rêveur et je garde espoir en l’humanité Tant que le bien triomphe sur le mal Et qu’ils existent des gens comme vous et moi Je resterai optimiste.
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Ce n’est rien
Ce n'est qu’un petit chagrin
Qui s’en va et puis revient,
Comme tous les jours,
Un grain de sable,
Dans l’engrenage de la veille horloge,
Ça te fait de la peine,
De ne plus entendre le tintement,
De la balançoire ça fait grincer les rouages.
C'est tel un clown qui se tient sous la pluie
En plein rue.
Chagrin d'amour,
Pauvre bête tu n’auras pas du croquer la pomme, et partager cet amour.
Alors souffres et tais-toi,
Jusqu’à la prochaine fois,
T’es un homme ne l’oublie pas.
Selim.BOUMERDAS
Aux pessimistes.
Il ne faut jamais regarder derrière soi,
Sinon le passé, vous rattraperez,
Vous seriez enchaînés,
Au Cayenne condamnés,
À perpétuité le doute et l'incertitude,
Vous rongeront,
Tel un vers dans une belle pomme,
Pour éviter le supplice enduré,
Subit dans votre chair,
Par celui ou celle,
À qui vous aviez confié votre âme,
Avancez et nagez à contre courant,
Tel un saumon,
Faites le tri parmi vos amis,
N’en gardez qu'un seul,
Accrochez-vous à tout ce qui est beau,
Et laissez tomber les faux-culs et les cons.
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C’est la Faute aux autres. Par les temps qui court
Tout le monde se rejette la balle
Du coté du pays qui se prend pour le gendarme du monde
Ou du coté des suiveurs
Notamment la mondialisation globale
Envahissement par le bitume
Des terres jadis fertiles
Donnant plus de blé
Qu’un meilleur mois d’avril
Raclage des profondeurs des océans et des mers
Qui sont devenues dépotoirs de futs et conteneurs
Chimiques et radioactifs
Poubelle à ciel ouvert
Menaçant le faune
La flore et le corail
Avec l’appui et le silence de certaines ONG
Ceux qui siègent et qui se partagent la tarte
Ne laissant que des miettes aux pays en voie de développement ou sous développé
Selon la classification du FMI
Détenteurs d’armes à destruction massive
Avec l'aide des rois du pétrodollar
Qui croient gouverner le monde
Au nom du CAC 40
Alors qu’ils ne sont que des pantins
Dans les mains des marionnettistes
De ceux qui tirent les ficelles
Pour vendre leurs gadgets
Bombes et armes
Ils attisent le feu
Qu’ils ont allumé en versant de l'eau pour l’éteindre.
Selim.BOUMERDAS
Mon Dilemme. Le jour où je comprendrai les femmes
Je peux crier eurêka
J’aurais enfin compris la vie.
Parce qu’elle est d’une complexité
Tels les cheveux emmêlés
Une toile de mygale
Souvent d’une humeur massacrante ou joviale
Un jour le nirvana
L’ascension de l’Himalaya
Un autre jour les bas fonds
Tu connaitras
Les abimes tu toucheras.
C’est vrai qu’on ne peut imaginer
La vie sur terre sans ces belles créatures
Comparativement aux hommes
Qui ne sont pas des saints non plus
Mais entre les mains d’un bon forgeron
On peut les modeler.
Mais avec les femelles le meilleur moyen
Et le refuge sur une ile déserte
Parce qu’avec elles tout est suspect
Toujours des interrogations
Esprit dérangées
Pour chercher la moindre excuse
Pour exploser.
Ainsi j’espère que demain
Au paradis elles ne seront pas les mêmes
Dans ce cas je préfère l’enfer
Sera ma demeure.
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Drôle de Vie
Nous sommes tous à la quête du bonheur
A tel point qu’on s’accroche à des chimères
La présence d’une coccinelle est un porte bonheur
Toujours optimiste
Donnant un sens positif, un sens de non culpabilité
Une interprétation d'une fin heureuse
Et ce malgré qu’on ne soit
Ni en manque d’affection ni de sentiments
Des gens qui nous entourent
Drôle de vie
On détourne les yeux des gens qui nous sont si proches,
Des personnes qui nous aiment,
Qui peut être ne le dise pas
Mais ils sont toujours là
Pour vous soutenir, vous rendre le sourire
Appréciant le bonheur et vivant comme dans le paradis
Pour aller chercher l’inaccessible
Pour se compliquer la vie
Pigmenter le quotidien
Chercher des expériences inédites
Et braver l’interdit
Vivre dangereusement à la recherche de sensation fortes
Pour une montée d’adrénaline
Comme les papillons de nuit
Qui à force de chercher la lumière
Ils se brulent les ailes
« Pour avoir trop convoité, on laisse tout échapper ».
Selim.BOUMERDAS
Anniversaire.
Bizarrement comme l’être humain est plein de contraste
Plus on avance dans l’âge
En fêtant à grand pompe son anniversaire
Bête que nous sommes
C’est un an de plus parcouru dans le tracé de notre main
Sans être pessimiste mais juste réaliste
Encore une feuille qui tombe de notre arbre
Telle la saison des feuilles mortes
On a une envie folle de croquer la vie
On prend conscience du vrai sens de survivre
Plus on n’est expérimenté plus on fait les mêmes erreurs
Tel que le fait de tomber amoureux
Alors que les plaies n’ont pas encore cicatrisés
Tu portes la croix et ce malgré tes stigmates
Tu rompes, tu traines aux pieds de celle qui a volé ton cœur
S’est intronisé Reine de ton royaume
En s’emparant du trône
Sans livrer bataille
Et puis de gare en gare
De train en train
Tu n’arriveras jamais à destination
Son courage ni gare d’attache
Tu continueras à vivre sans oser
Descendre ni faire une halte
Parce que la veille horloge
Que son tic tac résonne dans ta tète
Seconde, minute, heure feront peut être ton malheur ou ton bonheur
Avec toujours cette lueur d’espoir
Qu’un jour enfin tu trouveras la paix
Tu descendras du train en marche
Dans un havre de paix
Sur une ile habitée que par les hippies
Et là tu pourras souffler tes bougies en toute quiétude
Sachant que demain c’est un autre jour
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Et il ne sera jamais pareil
Sauf peut être pour le soleil qui se lèvera à l’est et se couchera à l’ouest.
Selim.BOUMERDAS
La Maison ne fait pas de crédit. N'accordez plus de crédit. Malgré votre cuirasse et ton armure, N’accorde pas votre confiance, Ni ne donne de répit à vos ennemis, Surtout à ceux qui mettent votre cœur en miette, Entre parenthèses dans un enclos Docile telle une brebis. Gardes-toi des beaux parleurs, Des loups et des charognards, Ceux qui vous trahissent, Alors que vous avez le dos tourné, N'oublies surtout pas qu'ils ne changeront à jamais, Ils sont tels des caméléons. « Tu chasses le naturel il revient au galop » Ce ne sont en réalités que des saprophytes? Qui pour vous conquérir, Se muent tels des serpents Se cachent dans la peau d’un agneau. Pour mieux vous embobinez.
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Le Passé toujours au Présent. Ce que les gens feignent d'ignorer, Et qu'ils essaient coute que coute, Faisant semblant d'oublier, L’inoubliable, Ce que l'on ne peut effacer ou chasser d'un revers de main, Surtout ce passé qui nous suit comme notre ombre, Qu'on porte souvent au talon de nos souliers, Ils oublient qu'il fait parti de nous, vit en nous, En symbiose. Et tant de choses, Font qu'il remonte à la surface, Une chanson, Une joie, Un bonheur, Un vague à l'âme, Il reste notre vécu qu'on le veuille ou non, Et que nous avons été amenés à un moment ou un autre de notre vie, A jouer ou endosser tels des acteurs ou figurants, Ainsi vivons le présent comme si on mourait demain, Ou vivons tel des zombies dans une ville en décombre, Jusqu’au jour ou quelqu'un nous aidera à l'oublier.
Selim.BOUMERDAS
Vénus. Celui qui n’a jamais connu l’amour Ne saura jamais Ce que c’est le bonheur Par conséquent Il ne peut donner ni accepter les sentiments Dont il ignore la portée Et si un jour il doit le subir Il ne fera que des dégâts Il fera semblant d’avoir vécu ou connu par vanité Ce noble sentiment Dont il n a jamais goutté la sève Ce n’est pas sa faute Il a été moulé dans une armure Avec un cœur en glace Et un sang froid digne des tueurs de la mafia Se mut tel un serpent Impossible de le cerner Il s’adapter a à toutes les situations Tel un caméléon On est obligé de l’accepter Tel qu’il est Ce n’est qu’un orphelin au sens figuré
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Noblesse L’amour est un sentiment noble Envers la mère, Le père, Le frère, La sœur, La femme ou la compagne, A degré moindre, Il est le même. Il est partout, Tel le bonheur, Telle une abeille, Au service d'une reine, Libre comme l'air, Mais pas éphémère. Tout est amour La haine, La jalousie, Abomination, Eloignement Antipathie, Détestation, Fanatisme, Persécution, Rancune, Acharnement, Hostilité, Colère, Antagonisme, Fureur, Intolérance, La cruauté, Le regret, Le chagrin, Le remord. Il commence dans le ventre de la mère C’est le fruit d’une chimie complexe Entre deux êtres liés par amour, Quelques soit le lien de l'union Beauté, Gloire, Ou argent.
Selim.BOUMERDAS
Il reste le même. On a beau le refoulé, Tu chasses le naturel il revient au galop, Tôt ou tard il refera surface, Donc pourquoi s’acharner et s’obstiner, Et refuser l’évidence, Aimons-nous et pardonnons à ceux qui nous font du mal souvent gratuitement Ne dit on pas que : Celui qui creuse un trou pour autrui tombera le premier.
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Écouter son cœur ou sa raison. Flottant sur un nuage Volant comme Icare Les yeux mi-clos En position de coucher du soleil Emerveillé par la splendeur De la vue paranoïaque Des créatures de Dieu Voguant dans le ciel des rêves Dans une nacelle en osier N’entendant que des cantiques Entrecoupé par les cris des oiseaux rapaces Et d’un autre coté les échos des chants des sirènes Désorienté, Dérouté, Que choisir entre l’Enfer et l’Éden J’avais le bleu azur en dessous de moi Et des nuages aux normes d’une toile de Michel-Ange A la limite de la stratosphère Toute mauvaise pensée est absorbée par la mer Ou lestées telles des sacs de sables Pour rester tel un planeur En toute quiétude et béatitude Quand soudainement au loin un grondement assourdissant Telle une foudre m’est tombée dessus Je n’ai pas réalise que l’ouragan M’a déjà emporté dans un tourbillon Transpercé par l’éclair Vous réalisez que vous êtes atteint en plein cœur Comme une flèche empoisonnée vous êtes touché Qu’une amazone vous a lancé Dans la faiblesse de votre cuirasse Concluant que ça doit être ça le coup de foudre.
Selim.BOUMERDAS
Jour fatidique. Si je savais que ce jour fatidique Ou je serai esclave A la merci d’un maitre impitoyable Je n’aurai pas du quitter mon lit ce matin là J’étais bien dans les bras de Morphée Rêvant en couleur Soudain sur mon chemin A la lueur d’un matin sans rosée M’a fait croiser celle que j’aime Qui pas plus tard que cette nuit J’ai encore rêvé d’elle Ainsi la cause de mes soucis Reste mes pieds qui m’ont conduit Sur ce chemin et là mes yeux ont croisé les siens J’ai dis bonjour Tout en hâtant le pas Elle répondit par un petit sourire Le cœur battant la chamade Je me suis retourné dans l’espoir Qu’elle se retourné à son tour Afin de garder cette belle image Figée dans le temps Mais hélas Elle a continué sa route Me laissant dans le doute J’ai maudit mes pieds qui m’on conduit sur ce trajet Pour être déçu et ravi d’avoir vu ma belle aimé Dont je vais rejoindre durant mon sommeil Et revivre le laps de temps où je l’ai enfin vu En attendant un miracle Ne dit on pas : « Que la Foi soulève les montagnes »
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L’ignorance. Que le présent soit conjugué au passé, Peut se composer, Mais le futur à l’imparfait, C’est faute grammaticale, Dans ce cas, Tout ce qui était acquis au composé, Sois accorder au passé simple, Parce que le passé antérieur ne sera jamais un futur antérieur Ni le plus que parfait ne sera conditionnel. Dans tous les modes l’amitié est passée au second degré, Dans tous les temps l’élan du cœur est rangé dans un placard, Un tableau, Ternie avec le temps qui passe, Tout est devenu calcul, Telle une fonction à une inconnue, Qui varie de plus l’infini à moins l’infini. Ainsi demain est loin, Ou tout est changé mais pas différent, Il y a une variante, L’être humain avec sa mentalité et sa vision, Myopie et strabisme, Font d’eux des hommes implacables, Qui un jour voit en couleur et un autre en noir et blanc, Bipolaire pour un oui ou un non Quoiqu'ils fassent, Ils finiront dans un tombeau.
Selim.BOUMERDAS
La passion. Les jours se suivent et ne se ressemblent pas Certes il y a le jour et la nuit Parfois durant la période diurne Nous passons par les quatre saisons Entre soleil, Pluie, Rosée, Brume, Brouillard, Froid de canard ou soleil d’enfer, Regard fatale, Rencontre improbable, Qui fera de vous Don Juan, Ou Roméo Finissant sa journée comme une épave, Ou sur un lit en duvet. Durant la période nocturne, Nous passons notre nuit, Tels des chauves-souris, Evitant les obstacles. Regardez la mère avec ses vagues qui viennent se cassées sur les rochés, Entrainées par une lame qui vient des profondeurs, Toutes les houles ne se ressemblent pas, La nuit la marée qui monte puis se retire majestueusement le matin, Sous l’influence de la lune. Voyez les saisons qui se succèdent et ne se ressemblent pas, Hiver terne et morose Printemps ou tout bourgeonne, La flore s'exhibe et la faune danse, Le chant du cygne Bitumé par l’abeille L’Eté ou tout explose de joie et de bonheur, L’automne ou tout se meurent pourtant la vie continue, Sous l’influence du Feu, de l’Eau et du vent, Continuant le cycle de la vie terrestre. S’agissant de l’Etre humain comment il ne devient pas fou, Surtout et durant le mois de Mai, Subissant tout cet ensemble de phénomènes, Tel un chainon pour compléter le cycle,
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Comme le plancton, Qui fera la joie des cétacées, Que même les filles d’Eve n’épargnent pas, Se prenant pour le nombril du monde, Parce qu’elle a pu entrainer notre ancêtre, Qui par amour à croquer la pomme, Ainsi elle savourera sa victoire jusqu'à l’éternité elle se prendra pour Néfertiti.
Selim.BOUMERDAS
Le cheval de Mer. L’être humain ou l’homo-sapiens Est bête et incrédule, Tels ces ancêtres de l’ère primaire, Comme à la création du monde terrestre, Apres la métamorphose et les mutations intervenues dans notre quotidien, Et surtout l’adaptation dans un univers hostile et sauvage, Apres toutes les avancés dans tous les domaines, Nous avons gardé dans un coin de notre cerveau Autrement au niveau du limbique, Ou sont stockés toutes les informations Qui guident nos mouvements et nos gestes au quotidien, Telles des bêtes de somme. Ce dernier prend souvent ses fantasmes pour de la réalité, Oubliant qu’on ne peut se lier du premier regard, Amnésique il oublie la défaite, Qui ne date que d’un jour, Il replonge la tête la première. Cependant ils ne sont pas des fous mais des optimistes convaincus, Ils voient tout en rose, Même s’ils ne restent que la tête qui dépasse du sable mouvant, Dont on les a poussés exprès ou maladroitement, Ça ne change rien à leur humeur, Quant ils sont heureux Tels des saumons ils remontent la rivière à la recherche de leur idéal, Ils sont capables de traversés un ruisseau en marchant sur l’eau, Ou marchaient sur des braises ardentes tels des fakirs sont se brûlés ni sentir la moindre douleur, Afin de trouver le bonheur, Vous savez : ils sont juste amoureux, Des passionnés, des rêveurs et des charmeurs, Jouissant d’une sensibilité à fleur de peau, Ils sont amoureux de leur ego, Narcissique a tel point qu’ils sont capables de briser le seul miroir qu’ils possèdent, Si l’image qu’il réfléchit n’est pas conforme à leur nombril. En réalité ils sont valeureux, avec des manières galantes, D’une noblesse des gentlemans du XVIII siècle
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Croire. A trop vouloir, Quoi qu’il nous coutera, A trop convoiter, Même l’inaccessible. Malgré l'éloignement et la séparation, Il faut y croire. Les rêves finiront par se réaliser, Et toutes les chaines se briseront, Les grands sorciers abdiqueront, Et les cieux exauceront, Nos vœux les plus sincères. Il suffit d’y croire, De toutes ses forces pour que les portes du ciel s’ouvriront, Et les Dieux disposeront.
Selim.BOUMERDAS
Ce petit Rien Qui cause trop souvent de chagrin, L’amour, Ce sentiment étrange, Fondamentalement parlant il est phénoménal Intriguant et inexplicable Ce petit rien, Ce petit lien, Qui a un attribut mais pas de substitut. Chaque personne est physiquement et mentalement différente L’une de l’autre au sens propre et au sens figuré du mot Nous avons été procrée dans une matrice Crée d’une chimique simple et complexe à la fois Qui lie deux personnes carrément étrangères Ou qui se connaissent superficiellement. « Sachant que les gouts et les couleurs, ne se discutent pas » A mon avis c’est une histoire de rapports physico-chimique D’emboitement entre les descendants D’Adam et Eve L’homme attiré par les formènes et l’odeur d’une femelle en chaleur Alors il entame sa danse nuptiale En délimitant son territoire Afin de trouver la jument qui réponde à ses attentes. Ou peut être on a été conçu pour un jour se rassembler Il doit exister une similitude Génétiquement parlant Pour se croiser quelques part et s’entendre sur quelques points Notamment pour concéder quelques lopins de nos limites En donnant du mou Afin de vivre heureux. Certes il existe et il existera des frictions Comme dans toutes liaisons Mais quand on aime on pardonne. Plusieurs formes d’amour sont dénombrées dont L’idolâtrie, L’amitié, La fraternité, La complaisance, L’affinité, La compassion, Le syndrome de Stockholm,
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Le syndrome d’Œdipe, Mais le seul est unique vrai amour reste celui de la mère. Le bonheur est partout presque à portée de main, Il suffit juste de bien scruter plus prés ou au plus loin, Tel un marin à la vigie, Du plus prés ou au plus loin, Sans vice ni artifice. Rester humble, Ni trop levé la tête ni la baisser non plus, Parce qu'il est plus facile de tomber que de se relever, Prendre la vie du bon coté. Etre optimiste, Avoir une bonne vision globale du monde, Dans lequel nous vivons, Tel un hippies, Et le reste suivra, Comme par enchantement. Il suffit d'y croire afin qu'il ne surprenne Et vous prenne par la main pour vous emmener au loin, De l'autre cote de l'arc en ciel ou sur une île déserte ou ne survive nulle âme, Que toi et ta bien-aimée. Pourquoi se priver des rêves, Alors que les miracles existent, Le hasard nous fait croiser des personnes dont nous ignorions l’existence, Qu’ils puissent exister, Mais un jour vous connaitriez le bonheur. Parce que Dieu est grand.
Selim.BOUMERDAS
L’ère nouvelle. Toute guerre est sale, Sauf celle qui est menée Pour une bonne cause telle qu’humanitaire ou révolutionnaire, Mais ni vainqueur ni vaincu Famine et infections seront le quotidien, Qui disséminent et prolifèrent. Des âmes perdues dans les décombres, Sous la déferlantes des bombes, Veuves et orphelins, Errent entre les ruines, Tels des zombies, A la recherche de quelques grains pour subsister, Les femmes vont devoir se retrousser les manches, Sachant que les hommes sont restés dans les tranchées, Morts ou enterrés vivants. Les femmes sont soumises, Afin d’épargner leurs enfants des envahisseurs et des charognards. Il n’en est pas question de compter sur ses alliés A moins de vendre son âme au diable, Ni les Sept assis autour de la table de l’ONU Nuls ne bougeront les doigts pour vous. Ainsi Ils faux se rendre à l’évidence, Et mettre notre destin entre la main de Dieu Le seul est unique juge sur cette terre, Qui nous a dicté aides toi et le ciel t’aidera Ainsi nous pourrons nous réjouir De retrouver notre dignité. Mais depuis quelques décennies Poings et mains liées Nous contribuant par notre silence Au massacre des ethnies et des peuplades. Le pire on a plus affaire aux guerres classiques de jadis Mais une nouvelle forme de guerre a jaillit Il y a quelques temps déjà C’est celle de l’eau Elle est stratégique et qui consiste à pomper Et à puiser ou contaminer les nappes phréatiques.
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Oubliant que l’eau à une mémoire Et en déviant le lit d’une rivière Il finit par retrouver son chemin.
Selim.BOUMERDAS
Un Jour. Si tu décides un jour d'avancer,
Et de prendre ton destin en main,
Repousser ou de plein gré,
A un tournant de ta vie,
Il faut le vouloir,
De tout ton cœur,
Et avoir la foi dont ce que l'en entreprend,
Sans hésitation ni regret,
Il faut avancer,
Comme à la guerre.
Avoir le courage d'aller de l'avant sans se retourner,
Comme bagage une valise en carton,
Pour tout laisser derrière soi,
Ne rien regretter et pleurer sur son sort,
Avancer la tête haute avec fierté et dignité,
Vers d'autres horizons sans se soucier des envieux et des jaloux,
Qui essayeront de vous en dissuader,
Rester soi-même et non pas tel que les gens veulent vous voir,
Fais le par respect pour toi même,
En respectant tes convictions,
Et suivre son instinct,
Sans rien quémander,
Ainsi le meilleur viendra à vous et votre destinée rampera à vos genoux.
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Le 911
Te souviens-tu d’un certain mois de septembre
Ou certaines fleurs fleurissent
Alors que la nature se prépare à accueillir l’hiver rude
Un jour de ce mois funeste et macabre
On croyait que ces jours étaient révolus
Ou on entendait les sirènes tonnaient pour se mettre à l’ abri
Bref la veille chacun s’attelait à sa tâche
Tout le monde baignait dans la quiétude ou la béatitude quotidienne
Certains on eu la chance en rentrant chez eux de passer une nuit romantique
Et se couchèrent dans les bras de Morphée sans rêver
Et d’autres vécurent leurs soirées dans une ambiance électrique
Mélodrame et scènes de ménage comme d’habitude
Rêvant en noir et blanc
Quelques uns ont découché et d’autres ont descendu des fioles de spirit
Pour noyer leurs chagrins
Sans se douter que demain c'est-à-dire le 11 du mois seraient leur fin
Sans dire je t’aime ni embrasser leurs bambins
Ni réconciliation ni pardon
Ile prendrons la direction de l’enfer
Alors qu’ils n’ont rien demandé
Ni à l’homme ni à Dieu
Ils périssent soufflés par l’effondrement
Ou ensevelis sous les décombres
Enterrés anonymement méconnaissables, inconnus
Sans oublier les sans abri qui squatter juste à coté
Ceux qui ont élus domicile au clair de lune
Déchiquetés, éparpillés tel des feuilles à l’automne
Désormais le chiffre 11 est maudit jusqu’à la fin des temps
De plus le cauchemar continuera pour longtemps pour les survivants
Les morts sont retournés vers le créateur et les chanceux porteront le deuil
Pour conclure gloire aux bénévoles et sauveteurs
Qui au péril de leur vie s’engagèrent au nom de l’humanitaire
Malgré les retombées et la poussière ils risquèrent leur vie pour leurs semblables.
Selim.BOUMERDAS
La Vie c’est la Vie La Vie n'est pas facile à vivre,
Ni un fleuve tranquille,
Ni le phare d'Alexandrie,
Qui vous guide pour éviter la dérive,
Ce n'est pas un rêve en rose mais une réalité amer,
Elle est souvent morose,
Monotone,
Psalmodique,
Grisâtre,
Insipide,
Dramatique,
Burlesque,
Pathétique
Mélancolique,
Hypocondriaque,
Pleurard,
Névrosé,
Funèbre et malheureux,
Vos sourires deviennent des rictus,
Tout devient noir,
Que même la mer n'absorbe pas,
Devenant paranoïaque,
Elle vous pousse au suicide,
Vos pensées et vos actes sont incontrôlables, démoniaques,
En plus de la méchanceté des gens,
Qui vous entoure,
En bref vous amis qui en vérité,
Ce ne sont que des saprophytes,
Des hypocrites,
Des sangsues,
Des connards et des faux-culs,
En général ceux qui vous font miroiter et croire que le gris est noir,
Qui vous promettent monts et merveilles,
Puis au réveil vous vous retrouver en plein désert,
37
Enchainés à vie, trainant un boulet durant le restant de votre vie,
Tel un condamné au Cayenne.
Selim.BOUMERDAS
Jouer avec le feu Le bonheur est éphémère
In ne tient qu’a un fil
Tissé telle une toile
Et le malin c’est celui qui saura le démêler
C’est comme le parcours du combattant
Beaucoup de sacrifice et d’abnégation
Envers l’être aimé
C’est une rose
Une fleur qui réclame de l’eau
Pour sa beauté et sa délicatesse
Afin qu’elle s’épanouisse dans une ambiance
Saine et sereine comme sous serre
Comme toute machine
Il suffit d’un petit grain
Pour qu’elle débloque et perd le nord
Certes elle vous pardonne souvent
Mais si un jour elle part
Elle ne reviendra plus
Alors il ne faut pas jouer avec le feu
Ni au plus malin avec les femelles
Retour d’âge ou la tête dans les nuages
Attention aux chants de sirènes
Et éviter de danser avec le diable qui vous fait monter au septième ciel
Tel un maniaque
Fait accompli il vous délaisse et vous rie au nez
Alors que vous viviez dans votre jardin secret
Heureux ou malheureux
C’est votre destinée
C’est l’histoire du papillon de nuit
Qui à trop vouloir s’approcher de la lumière
Il se brûle les ailes
Comme dit l’adage
« Un homme averti en vaut deux »
39
Le magicien. Quel ce mortel qui par des tours de magie
Filtre ou encens en cocktail
Nous donne par magie l’impression qu’il a la clé et la solution de nos problèmes
Cet être investit,
Doué de connaissance indéchiffrable
Et maitre dans l’art de l’illusion.
Selon beaucoup de croyances anciennes ou récentes
Et même dans les livres saints
Ces sorciers ont existé et ils existeront
Ils ont même occupé les premiers rangs sous certain régime
Tant qu’il y a aura des gens croyant.
Mais en définitif ils restent des prestidigitateurs
Et ne sauront jamais prédire l’avenir
Et ceux qui le crient haut et fort
N’utilise que les mathématiques
Les probabilités.
Tel que l’hypnose qui ne marche
Que sur certaine gent de la population
Ou des spectateurs
Elle agit sur les gens sensibles
Je n’insinue pas qu’ils soient naïfs ou faibles de caractère
Mais seulement qu’ils sont hautement réceptifs
Dépendant de leur état d’âme du moment.
J’en conclue que la magie est innée
En chacun de nous
Du moment qu’on arrive à faire avaler
Aux proches de nous des couleuvres vivantes
Allant jusqu’à leur faire croire que les éléphants roses peuvent voler…
Selim.BOUMERDAS
Y’a-t-il une Vie après la mort ? Je ne suis rien qu’un mortel
Qui aspire a une réincarnation
Après sa mort mais certains imbus du savoir universel
Qui sont atteints d’une forme d’une incapacité temporospatiale
Sont persuadés qu’ils sont immortels.
Sachant que nous sommes tous des moins que rien
Tellement solides et faibles à la fois
Souvent nous partons du sommeil au grand sommeil.
Je ne suis qu’une particule infinitésimale
De ce grand univers
Une créature de Dieu faisant parti d’un grand tout
Telles les bêtes, la faune ou la flore.
Un chainon pour boucler la grande chaine de la vie sur terre
Implique que n’importe qui de nous est utile pour la survie d’autrui
Dans ce bas monde composé essentiellement
De saprophytes et de charognards.
Certain de nous passe inaperçus notamment les refoulés
Ceux qui se font tout petit
Ceux qui se fondent dans la masse sans être vus
Ceux du monde parallèle
Et il y a d’autres plus osant
Défiant toutes les lois de la nature
Ceux là ne reculent devant rien
Leur seule et unique devise est d’avancé
Même sur les corps de leurs semblables
Pour atteindre leurs objectifs
Ecrasant toutes personnes qui se mettent à travers leurs chemins
Parce qu’ils croient que la mort n’est pas une fin…
41
La voie lactée Avons-nous la réponse à notre existence ?
Pourquoi nous avons été procréés ?
Si pour être mort à la fin
Peu importe l’heure de départ
Est-ce une mort cérébrale ou un coma si profond
Que les médecins de notre temps passent pour des ignorants
Apparemment tous les organes sont à l’arrêt mais au fond ils fonctionnent
Mais juste au ralentit imperceptible pour qu’on ressuscite plus tard ?
Comme en hibernation
Réincarnation ou mutation
Si réincarnation on aura ainsi les mêmes défauts et les mêmes qualités
Ou c’est l’âme qui s’en part et prend possession d’un autre corps ?
Est-ce qu’on va reconnaitre nos ennemis et nos amis
Peut être que oui peut être que non
Mais ils seront certainement différents mais pas changés
Mystère ; mystère de la vie terrestre
On s’est que l’âme retourne à son créateur
Et après un passage obligé nous retournons sur une planète
Je ne pense pas et j’en suis convaincu que ça ne sera pas cette terre
Au vu du pillage et l’autodestruction de l’homme par l’homme
N’épargnant ni faune ni flore
De ce fait notre destination sera ailleurs
Et ce que je souhaite de tout cœur que l’Homo-sapiens ne fera pas la même bêtise.
Selim.BOUMERDAS
A mon idole. Si l'on aime une personne Il ne faut pas que l'on soit juste persuadé Mais plutôt convaincu et y croire vraiment en cet amour Car on ne le vit qu'une seule fois Autant le vivre pleinement Et l'entretenir Il est si fragile qu'il suffit d'un souffle de vent Pour le voir se disperser Telles les feuilles à la saison de l’automne D'un petit grain Qui bloquera l’horloge du temps Et l'aventure tel un panache s’en volera Ainsi aimer Corps et âme l’élu de son cœur Partager avec lui les bons et les mauvais moments de la vie S’engager à ses cotés pour le meilleur et pour le pire Partageant avec lui un amour Fidèle et sincère En se sacrifiant et être patient Et ce quelques soit la distance et l’éloignement La proximité ne fait pas le bonheur Mais c'est l'amour qui unit C’est écrit Tel la rencontre de l'eau douce avec l'eau salée.
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Le Maudit. Mon âme est prisonnière
Victime d’un sortilège
D’un marabout ou d’un sorcier vaudou
Poings et mains liés
Emprisonnée et jetée aux oubliettes,
Condamnées au Cayenne
Déserteur et proscrit pour avoir baissé les bras face à mon destin
Je fus jeté dans la cale d’un navire fantôme qui n’accostera à jamais
Qui apparait tel un mirage des abimes
Tel un oiseau aux beaux ramages
Un rossignol enfermé dans une cage dorée
Qui a perdu son instinct de chanter
Mais les gens malintentionnés, médisants et ignorants
Croient que j’ai perdu gout à la vie
Mais au fait, ils ne savent pas que je suis juste amoureux
Et cet amour pour l’instant est impossible
D’après des sages il faut atteindre le Karma pour jouir du nirvana imparfait
En attendant je me fais moine
Yoga, méditation et pierre fumante sous le Tipi ou dans la grotte tel un ermite
Jusqu'à ce que j’arrive à défaire le sort
Ou le baiser de celle que j’aime comme dans les contes de Fée
Afin de me rendre ma liberté.
Selim.BOUMERDAS
L'absence. Mourir!
N'est pas une fin
Pleurons et avec le temps nous arrivons à oublier
La douleur disparaît avec le temps mais le mal reste latent
Et la tristesse remonte à la surface
Ajoutant du sel sur la plaie et remuant le couteau
Puis elle s'est s'efface
Mais être vivant, nous apprenons à rester debout
Pas de nouvelles
Est plus douloureux que la mort en elle même
Sans réponses
Qui vont tourmenter ton esprit
Et jouer avec tos neurones
La tristesse et la mélancolie sont ton pain au quotidien
Comme untel
Qui a perdu la vue errant dans l'obscurité
À la recherche d'une lueur
Il se retrouve
Sans guide, comme un chien qui perdu son odorat
Il mourra alors tout seul
Avec l'espoir que la mort n'est pas une fin
Il aura plus de chance
Dans l'autre vie.
45
Ciel sans étoiles. Confus comme un chien qui a perdu son sens de l'odorat, Ses limites et son territoire J'ai perdu ma direction J’ai perdu ma religion Mon terrier Mes femelles Ignoré Rejeté Par toute l'émeute Confusion dans mes sentiments Envers mes semblables Je suis piégé Par une femme allumeuse Qui n’a pas de sentiments. Vivons dans la tourmente au quotidienne, Sans l'aide de quiconque Sans abris ni ou aller Pas d'échappatoire A cette envoutante et ensorceleuse. Pour sauver mon âme J’erre dans les montagnes ou dans la steppe aride A la recherche d'une oasis Pour éteindre le feu qui me consume Et torture mon âme En comptant sur le hasard ou la providence D’un soir sans étoiles En regardant et levant les yeux vers le ciel noir Je ravale ma rancœur Avec regrets et remords D’avoir été rejeté tel un doudou aux mains d’une allumeuse Je dédaigne d'accepter mon sort Mon itinéraire reste incertain Et dépend de la femelle qu’on croyait faible. Atterrissant dans un territoire hostile Cherchant refuge auprès d'un cœur solitaire Avant de toucher le fond Trouvant une âme charitable Nous ferons des projets Si elle accepte de moi Nous irons à l'aventure Tels des troubadours.
Selim.BOUMERDAS
L’espoir Qui ose m'apprendre la vie
Le passé reste et restera le passé
Avec son chagrin et ses regrets
Le présent est à vivre pleinement
Profitons de chaque moment
Comme une pomme croquant la vie à plein dent
Pour le futur ça c'est une autre histoire
Ça ne sert à rien à mon avis de se casser la tête pour un lendemain
Qui va arriver sûrement et doucement avec son lot
Qui ce dernier dépend souvent des facteurs d'aujourd'hui
Dont nul ne détient le secret ni peut vous prédire quoique se soit
Donc il ne nous reste que de prier pour se réveiller le jour suivant qui reste loin
En espérant que les projets et les plans esquissés
La veille ou durant la nuit se réaliseront
Pourquoi pas !
Tout en restant humble,
Rendant grâce à Dieu pour ce qui nous réserve
D’ailleurs à chacun sa destinée qui est tracée depuis sa naissance
Dans mon cas moi j’espère toujours en un lendemain meilleur
Juste garder-moi de mes amis, mes ennemis je m'en charge.
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Le Pessimisme. Pourquoi cette image négative ? Des personnes normalement constituées Qu’ils reflètent Une tragédie pour l’humanité Une tourmente infernale tel un tourbillon Pourquoi cet entêtement ? Qui nous mènent droit vers le mur Pourquoi les gens ont changés, mutés en zombie Pour se faire du mal par méchanceté gratuite Zizanie par-ci discorde par-là Ils sont devenus insociables, insensibles Cœur de pierre Dénués de tous les beaux sentiments Dont certains acquis génétiquement sont refoulés Trahison et médisances sont devenues monnaie courante Ils se sont détournés des livres saints Ils ont perdus les bonnes valeurs de jadis Pour l’histoire : Quand ils nous arrivaient de manger à midi On jeûnait le soir Mais pour cela la porte du voisin était grande ouverte Alors que chez-nous il n'y avait sur le feu qu’une marmite avec de l'eau qui bouillonne Et nous étions heureux A la lueur de la bougie on révisé et ce dés le crépuscule On peut dire maintenant avec le recul qu'on avait vécu la belle époque Et ce malgré la misère ou la rente minable du papa Que certaines personnes ne connaîtront jamais Fâcheusement beaucoup de choses ont changé Dont notamment la mentalité et le comportement L’égoïsme et l’indifférence nous ont aveuglés A tel point qu’on confond amis et ennemis Certaines personnes se disent qu'ils sont vos amis à vie Mais dés la première discorde ou incartade Fausse note ou prise de tête ils prennent leur envol Vous laissant dans le désarroi sur le quai sans le moindre regret Ils prennent le premier train Ne vous accordant aucunes chances de comprendre Comme une sentence elle est irrévocable quelques soient les arguments le couperet tombe Alors que nul n'est parfait nous sommes juste des êtres humains faibles et bornés Qui courons à notre ruine à cause de notre ignorance Oublions que nous sommes que simples motels
Selim.BOUMERDAS
Femme fatale, Femme charmeuse, femme trompeuse
Tel un scorpion ou mante religieuse
Elle a une mémoire de serpent femelle
Qu’elle ne fût mon malheur
Ce jour là où je l’ai rencontré
Ou nos regards se sont croisés sur chemin
Cette fille d’Eve
Ensorceleuse jouant de son charme
Elle m’envouta
Tel un dragon qui cracha le feu
A tel point que je sentais mon cœur battre la chamade
Alors par je ne sais par quel courage
Je l’ai accosté bravant ma timidité
J’ai pu avoir son numéro
Au premier abord, j’étais tout excité
Tel un adolescent à son premier rendez-vous
Parce que je n’en revenais pas
Moi le malchanceux
Portant la poisse depuis son adolescence
Je suis amoureux d’une sirène
Moi qui a passé sa triste vie à rêver d’un havre de paix
Que des amours platoniques
Mais cette fois, je crois que c’est la bonne
J’ai été comblé aux anges
Enfin je vais connaitre le bonheur
Et descendre le boulevard accroché a son bras
Mais je fus rattrapé par la réalité
Une fois dans sa toile cette mygale
M’en lia avec ses fils et se détourna de moi
Me laissant seul dans sa toile
J’avais tant de questions
A vouloir savoir le pourquoi du comment
Avant de toucher le fond
Pourquoi tout ça ?
49
N’est elle pas la moitié de l’homme ?
Et jamais un prédateur pour celui qui a croqué la pomme
"Il n'y a pas de rose sans épines"
Selim.BOUMERDAS
La vie n'est rien Ce n'est qu'un passage dans l'au delà Ce n'est qu'un recommencement Ce n'est qu'un passage du vécu à l'oubli Une réincarnation qui j’espère sera prospère C'est une autre vie Autant vivre au jour le jour avec toujours le sentiment que demain sera meilleur En pardonnant et donner du lest Comme ça On ne regrettera rien Sinon on passera le restant de sa vie A rassasier et broyer du noir Ton lot au quotidien Que regret et de chagrin Tu subiras Pour n'avoir pas su Par fierté ou égoïsme Demander pardon a son bien aimé.
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Complexité des Sentiments. Je demande pardon Mais pas d'excuses Pour quelque chose que je n'ai ni fais ni commis Et si c'est le cas Ce n'est que par maladresse Ton amour m’obsède Circule dans mes veines Et si j'agis ainsi ce n'est pas de ma faute Je suis possédé Mon âme est prisonnière De mon corps le coté gauche t'appartient Et l'autre est fou de toi Perdu dans ma tête Je livre une bataille et je vis un conflit Tel un schizophrène Avec mon autre moi Qui dit oui qui dit non Pourtant je te sens Tu es bien là incruster dans mon plexus solaire Vivons en symbiose Me dévore de l’intérieur Mon amour à moi Il est loin Il est là Il est comme le soleil Il est haut Il est bas La nuit telle la lune Bleutée ou noir des fois Telles les nuits sombres Des fois je ressens de l'amertume Perdu dans l’écume D'une mer déchaînée Dans le triangle des Bermudes Mais des qu'elle apparaît ou j'entends sa voix Tel le chant d'une sirène On m'enlève la camisole Tout mon être vibre et je tremble Le vieux volcan se réveille Enfin je suis heureux Si j'avais des ailes Je volerai sûrement pour la rejoindre et je me fondrai en elle Comme un fantôme
Selim.BOUMERDAS
Sans perturber son sommeil Je lui murmure à l'oreille que je l'aime Je l'embrasse sur le front Et je réponds le chemin du retour Tout en me disant que ce que Dieu a lié, l'homme ne peut défaire.
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Coup de blues. En ce moment de bouleversement atmosphérique
En ce temps de chamboulement chimique et thermique
Je ne suis pas bien
Je suis mélancolique et la tristesse est mon lot quotidien
Pourtant j'ai toute ma tète
Je n'ai pas besoin de camisole
Ni antidépresseurs ni hallucinogènes
Mais je ne peux vous expliquer
Ce qui m'arrive
Car je me sens enfermé dans une bulle
Telle une chenille qui reste prisonnière dans son cocon
Qui ne verra jamais le jour et ne connaîtra jamais l'amour
Un poussin qui n'arrive pas à percer la coquille par manque d'ardeur
De peur de voir le nouveau monde dans lequel nous végétons
Je m’étouffe par manque d’oxygène
Tel un poisson hors de l'eau
Je barbote car je ne sais pas nager dans un verre
Je me débats mais rien à faire
Je broie du noir
Malgré que j’ai pied dans la mer
À cause du désespoir en l'humanité
Une tristesse qui me transperce et me transcende le cœur
Et toute mon âme qui fond comme un glaçon
Une bougie qui se meurt à petit feu
Un papillon qui se brûle les ailes
En prenant une vessie pour une lanterne.
Je n'en peux plus,
Je ne suis pas bien,
Je dis non à l'asile parce que je le vis sur terre
Mal-aimé au sein des désaxes que je croise à longueur de journée
Errant sans but sans ambitions ni avenir avec un lendemain incertain
La mort est préférable dans ce cas
Une injection létale et tout s'en va
Selim.BOUMERDAS
Tous mes en merdes
Mes chagrins
Mes regrets et mes ambitions
Pour une fois ce n'est pas aux femmes que j'en veux
Mais au monde dans lequel je vis.
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Le Chat retombe toujours sur ses pattes. L’innocence et la connaissance de nos limites
Nous empêchent de sombrer dans la folie
Qui nous guette pour prendre possession de notre âme
Ce n'est en définitif qu'une ligne imaginaire et infinitésimale
Qui nous sépare de la camisole.
Dans ce monde immonde
Ou toutes les bonnes valeurs ont été perdues
Dévasté et ravagé
Par la cupidité
L’avarice
Le profit et le gain facile.
Heureusement on est comme les chats qui retombent à chaque fois
Sur leurs pattes quelques soit la hauteur et la profondeur.
Ainsi l’être humain malgré ses déboires
Ses péripéties
Ses mélodrames
Il finit toujours par prendre conscience
De sa situation et des fois il pardonne.
Ainsi ma question est par quel miracle ?
Le bien et le mal arrivent à cohabiter
A l'intérieur de chacun de nous
A mois qu'on soit double face.
Moi je veux devenir amnésique
Même pour quelques temps
Afin de me débarrasser de mes démons
Qui surviennent la nuit alors que je suis éveillé
De vampires qui me suce la moelle jusqu’à l'os
Selim.BOUMERDAS
Et qui essaie de m'extirpe l'envie de vivre.
Ces démons qui me hantent toutes les nuits
Le jour ils m’accompagnent comme mon ombre
Tel une seconde nature
Sans me laisser ne le choix ni de répit pour reprendre
Mes forces et surtout le goût de vivre.
57
L’indifférence.
L’homme n’est pas condamné à vivre seul
Tel un loup
Mais il lui est difficile de trouver ses repaires
Dans ce monde sauvage
De vipères
De requins
D’intolérances
D’indifférences
Allant jusqu'à voir mourir quelqu’un sans réagir
Lui marchant sur la tète pour l’enfoncer
Et passer de l’autre coté pour sauver sa peau
Souvent pour traverser la rivière
Puis il lui demande gentiment pardon
Égoïstes et profiteurs
Narcissique et égocentrique
A tel point qu’il n’ose pas se regarder dans le miroir
De peur de voir sa propre image
De mangeurs d'homme tel une ogresse
Alors qu’il ne suffit de rien
Ni l’aumône ni l’obole
Pour rendre les gens heureux
Un sourire souvent suffit
Pour redonner espoir
Faisant comme les abeilles
Donnant la vie en butinant toutes les fleurs
Une longue amitié
Beaucoup d’amour
Même les animaux on retenu instinctivement la leçon
Et ça depuis la nuit des temps
Vivre en harmonie comme du temps de l’homme de Cro-Magnon
Celui qui cède et pardonne n’est pas faible
Selim.BOUMERDAS
Mais il est fort par sa sagesse
Il a une grandeur d'âme tel un l'océan
Et des sentiments incommensurables
Celui qui jouit des sentiments nobles
Envers ses semblables
Ne mourra pas seul tel Van Gogh
Observé les animaux et vous comprendrez la vie
Sinon tu finiras tel un l’éléphant sans défenses
Qu'un braconnier a coupé
Tel un trophée qu'il accrochera sur la cheminée
Ou le vendre pour une bouchée de pain
Alors quel sera la fin de ce Mammouth
Qui a perdu son itinéraire pour retrouver sans cimetière
Pour l’être humain l’indifférence est tel le loup
Elle te tue à petit coup de croc.
59
L’héritage empoisonné. Posons-nous la question
Nous les êtres intelligents
Qu’allons-nous léguer à nos enfants ?
Des mers sans poissons
Des roses sans senteurs
Des baleines et des requins exterminés.
Des gazelles et des fennecs chassés par les fortunés
Sultans par le pétrodollar
Pour le plaisir de tuer ils partent en safari.
Comme jadis les buffles d’Amérique que le Tsar de Russie a tiré comme des lapins.
Des terres qui ne seront plus fertiles à cause des pluies chimiques et l’utilisation à outrance
des pesticides.
Ils n’auront que des terres arides
Des plaines minées par leurs grands pères
Qui shred leurs petits enfants.
Des terrains plantés de Maïs Génétiquement Modifié.
Une eau contaminée d’arsenic
Les nappes phréatiques sont polluées par les produits chimiques et les sacs en plastiques.
L’effet de serre ou désormais n’existe aucunes saisons comme dans le temps.
Le réchauffement climatique avec toutes les conséquences
Disparition de la flore et de la faune.
Ma grande peur est le jour ou il n'y aura plus d’abeilles
Il n'y aura plus de vie sur terre.
En définitif aucune issue pour les fruits de nos entrailles
Ni éducation ni culture que des cybers et chiens robots
Comme compagne ils auront des hologrammes.
La chaine de la vie a été brisée et un chaînon manque pour faire la boucle.
En ce moment une réunion planétaire qui a pour thème
« Sauvons la planète »
Et comme le ridicule ne tue pas
Ils sont d’accord sur le principe que nous avons un pas dans le précipice et pour comble les
pays les plus pollueurs qui sont les premiers signataires d’une charte pour arrêter ou freiner
Selim.BOUMERDAS
leurs courses vers la ruine et la désolation de la notre terre
Arrêtons cette mascarade nous sommes désormais atteint d’un syndrome incurable aux
conséquences désastreuses.
La course à l’armement
Les essaies nucléaire
La technologie de pointe
L’avidité et l’argent facile
Drogues et Herbes dans les écoles.
Pour finir il est loin ce temps ou les terres brulées donnaient plus de blé qu’un meilleur avril.
Il est loin ce temps ou le poisson se péchait au bord de l’eau
On l’attraper avec des filets cousus mains
Il est loin le temps ou l’eau était si claire qu’on voyait sans reflet
Il est loin le temps où on offrait des oranges rien qu’en hiver
Même le ciel est de mauvaise humeur avec un soleil qui nous brule la peau
Et la lune bleuté qui a perdu de sa splendeur
Faisant dériver les bateaux
Parce que l’homo-sapiens l’a foulé de ses pieds
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L’Automne est monotone. L’Automne : Cette saison que les bêtes ne comprennent pas mais que la nature bénisse. Pour le mortel c’est une saison mélancolique qui envahit notre âme. Au vu du ciel gris et les feuilles mortes, j’ai compris que c’est l’automne. B.Slim39 Copyright 27/09/2016 L’automne : Mon premier : Le ciel est gris et les feuilles sont mortes Mon deuxième : Visages tristes et les mines grises Mon troisième : C’est une saison qui nous prépare à la rudesse de l’hiver. Mon tout est l’automne. L’automne : Les cigognes quittent les clochers et s’en vont à tire d’ailes chercher le soleil. Les gens ne sourient plus mais ils ont la chaleur dans le cœur malgré le temps maussade. Les champs sont labourés et la pomme de terre qui fleurit et se récolte au mois de Septembre L’automne : La valse à quatre temps Après les marais et l’euphorie de l’été Nous voilà confrontés au troisième temps « l’automne »
Selim.BOUMERDAS
La mort. Moi je l’a considère comme une délivrance Vous, dire que je n’ai pas peur Je suis un menteur Je l’a respecte et je m’incline Devant le passage de n'importe quel mort Je sais qu'il y a une réincarnation Et puis poussière tu redeviendras poussière. Une vie courte c'est dommage Abnégations, sacrifices et souffrances Avec en prime un départ précipité. Une vie longue remplie de bonnes actions Ce n'est que du bonheur Des bras de Morphée au grand sommeil Certes il y a eu des hauts et des bas durant ton passage sur terre Comme tout être humain. Quelle heureuse fin pour untel qui a su mener sa barque à bon port En assumant sa responsabilité Respect, Tolérance, Compassion jusqu'à la fin. Mais la mort reste un déchirement Une souffrance incommensurable Or il ne faut jamais culpabiliser ou regretter Le départ de quelqu'un de proche, ami ou ennemi Pour ne garder qu’une bonne image du défunt Il ne faut pas oublier qu’on est que des homo-sapiens Faibles et désarmés devant le tout puissant A chacun son sort. Reste le vide qui se comblera et la douleur s’estompera Et s’atténuera avec le temps Et ne restera que les souvenirs. En attendant à chacun son tour.
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Le combat de la vie. On ne saura jamais de notre vivant Ce qu’il adviendra de cette vielle terre Qui chaque jour Livre bataille à ces charognards L’homo-sapiens qu’elle a accueille depuis la première ère S’acharnant sur cet éden N’épargnant ni faune ni flore Essais nucléaire Raclage des fonds marins à la recherche du poison Qui se fait rare Désertification et envahissement des terres fertiles Chasse et extermination de plusieurs races Sans oublier les guerres et l’utilisation des armes à destruction massives Pour comble de l’ironie ces derniers sont entre les mains de certaines personnes mégalomanes D’ailleurs ça me rappelle une certaine époque ou nous étions comme des rats Puis vint la fin et nous nous retrouvâmes telles des fourmis Je parle des guerres et de l’après guerre Sans oubli le supplice qu’on affligé a dame nature De toute façon le combat est voué à l’échec J’ai l’impression qu’on vit un retour au passé Les aiguilles de l’horloge tournent à l’envers Le passé nous rattrape et l’histoire est un eternel recommencement Tout au début la vie a commencé par un fratricide Puis la persécution, Les génocides, L’esclavage, La guerre de session, La guerre de cent ans, La guerre de l’opium Napoléon, Les ottomans, La première guerre mondiale La deuxième guerre mondiale Le tout couronné d’envahissement, pillage des richesses et sondage au plus profond A la recherche d’une eau non contaminée Et le perdant dans tout ça c’est notre veille terre Alors que nous sommes tous frères et sœurs nous sommes sensés aspirer à la paix eternel Vivons des fruits de la terre et apprivoisions nos congénères les bêtes Avec un partage des richesses entre humain Arrêtons de nous voiler la face le compte à rebours à commencer et la fin est proche Croyants ou athées Pratiquant ou impies Nous agissons tels les ignorants et continuons notre folle course vers l’anéantissement De cette vielle terre nourricière depuis des millénaires Alors que nous savons constamment que nous avons un pas dans le précipice Et que nous avançons en reculant L’issue du match est connue et a sens unique.
Selim.BOUMERDAS
Qui a vu sa mère pleurer un jour? La Maman est plus riche en enseignement que la plus prestigieuse des écoles
Pourtant elle n'a pas été à l'école
C'est le mat qui tient le chapiteau
Des qu'il s'en va le reste tombe en ruine, en décombres
Pour les restants, ils sont éparpillés
Comme les feuilles en automne
C'est elle qui soude la famille
Avec sa bonté et son grand cœur
Elle est là pour tout le monde
Elle ne vit que pour sa progéniture qu'elle défend bec et ongle
Prête à laisser tomber son mari pour ses petits
Alors rendons-lui hommage,
Les cadeaux elle n'en a pas besoin
Des bisous sur le front et des je t'aime feront son bonheur.
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EARTH Early in the beginning Adam et Eve Resprired et vivaient dans l’Eden Tight-lipid sans aucuns soucis Homo-sapiens que nous sommes, nous ne sommes pas dignes de ce legs OCTOBRE Oh mon bien aimé Comme tu es belle Ton sourire m’éblouit et m’ensorcelle Obligé de m’incliner et Baiser ta main de velours Réjouissons-nous ma dulcinée de ce moment Eternellement je serai ton esclave. PAIX Par cet appel A la terre entière Interpellant votre subconscient Xénophobes ou hippies pour un monde meilleur. POEME Prends-ta plume On n’a plus le temps Et trompe-la dans l’encrier Montres leur la voie de la sagesse Ensemble nous pourrons peut être réveillé des consciences.
Selim.BOUMERDAS
STOP J’en appelle à tous les mondialistes sur cette terre
De tout âge
Qu’ils se réveillent parce que notre veille étoile dérive
Et risque de finir tel l’Atlantide ou anéantit, réduite en poudre
Comme durant la disparition des dinosaures
Sachez mesdames, messieurs que la paix
C’est vous et moi ensemble
Main dans la main afin de préserver l’avenir de nos enfants
Au nom de la paix et pour la paix
Il faut que le verbe passe avant l’action
Parce que je trouve qu’on n’a assez parlé et écrit sur ce sujet
Depuis des décennies
Sans revenir sur les moyens utilisés par les pays ultra-industrialisés
Alors je crie haut et fort stop
A ce gâchis,
Stop aux massacres des peuples
Stop aux pillages des richesses des aborigènes
Qui sont finalement plus intelligent que nous
Stop au réchauffement climatique causé à tort
Stop à la pêche à outrance en remuant les fonds marins
Stop au béton qui envahit les terres fertiles de jadis
Stop à l’utilisation des pesticides
Qui se greffent aux nappes phréatiques
L’eau est la vie
Je donne ma main afin de vivre en paix avec moi-même
Tout en respectant mes semblables tels les hippies
Qui avaient un rêve, un idéal pour vivre en harmonie
Et pourquoi ne pas atteindre le nirvana sur cette veille terre tant nourricière
L’Armageddon arrive à grand pas
Ca ne sert à rien de se précipiter ni se bousculer
Nous avons déjà un pas dans le précipice
Je fais appel aux meneurs de ce bas monde
Qu’allons-nous léguer à générations futures ?
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Des pluies de boues,
Des champs infertiles,
Alors réveillez-nous de cette séance d’hypnose
Et débarrassons-nous de nos démons
Retroussons les manches et levons le poing
Pour dire non
Mais en définitif ce n’est peut être qu’un rêve
Mais comme je suis grand rêveur
J’y crois au miracle
J’y crois en l’humanité pour une paix durable et non eternel.
Selim.BOUMERDAS
Espoir Perdu. Je marche, je marche
La nuit et le jour
Les nuits sombres sans lune
Et les jours mi gris mi noir
J’erre dans le brouillard
Sans aucune lueur d’espoir
Nulle part
Le bout du tunnel
Mais j’avance comme même
Tel un aveugle qui n’a jamais connu la lumière
Mais moi j’étais à la recherche d’un sentiment légitimé
Que tout le monde a connu
Au moins une fois dans sa vie,
Le bonheur
J’étais telle une personne
Avide de jeunesse et narcissique
A la recherche du saint Graal
Mais dans l’abime et à certain passage
J’avais peur d’être planté par la main d’un ami
Jaillissant de nulle part
Une main de fer au gant de velours
Alors je me méfié et je perds espoir
Perdu, égaré
Je ne sais ou
Dans un labyrinthe
Ou personne ne peut me retrouver
Comme si je jouais à cache-cache avec moi même
Nulle personne pour m’aider et me guider pour sortir de cette galère
Je suis seul et je resterai seul
Rien qu’un écho au loin
Un refrain d’une veille chanson qui tourne en boucle dans ma tête
Noir c’est noir, il n y a plus d’espoir.
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Ma prophétie. J’ai fais un rêve ou plutôt j’ai rêvé Que la fin est arrivée On est au bout du tunnel Avec un seul et unique espoir La survie Que tous les hommes se donnent la main Avec un seul mot d’ordre Libérer la colombe. Revenant au rêve aux contours d’un cauchemar Je me suis vu ou plutôt projeté Tel un météorite dans le futur J’étais comme Icare fils de dédale Je survolais la terre entière, plané sur toutes les cités Oh quelle ne fut ma surprise Je réalise que je ne pouvais voler plus haut A cause des retombées radioactives et les poussières chimiques Qu’un crétin a par mégarde appuyer sur le mauvais bouton Bref mes yeux d’aigle perçant n’apercevaient que des ombres flous Tel des zombies courront dernière les rescapés et les hippies Errant dans les cités parce qu’ils ont raté le bus qui devait les prendre pour l’arche de Noé Quelle désolation que ruines et décombres de ce que jadis faisait la fierté de certaines Personnes faisant partie d’un club restreint des extravagants, mégalomanes Tel des enfants qui découvert une allumette ils finissent par devenir des pyromanes Avec la boite d’allumettes ils ont découvert leur vocation Et moi en raz mont je peinais a tirer des ailes Quand soudainement je tombé dans un ravi happé par une force inexplicable Sur ce je me réveille en sueur Le cœur battant la chamade Dans une position de fœtus dans le ventre de sa mère Après avoir bu une gorgée d’eau en vérifiant que c’était la bouteille de la veille Ensuite avant de tomber dans les bras de Morphée En attendant le passage du dernier train qui n’arrive que tous les 90 minutes Une question me taraudé l’esprit Toute simple et bête à la fois Pourquoi tout le monde ne ferai pas ce rêve Pour voir ce qu’il adviendra de nous dans une cinquante d’années De ce que sera notre terre au vu de la cadence ou vont les choses A tous les ingénus et les malins qui pensent avoir trouvé le moyen d’en échapper A l’hécatombe ils ont construit des Bunkers fortement implantés dans les profondeurs De la terre pour sauver leurs âmes torturées Tel l’arche de Noé mais ils ignorent que le centre de la terre est composé de magma en plein ébullition et que la fin c’est l’implosion de la terre toute entière Elle sera réduite en poussière Alors que notre destin et entre nos mains Et l’équation est simple Il faut juste qu’on arrête notre course effrénée Et que nous calmons notre ardeur Et mettons un frein à notre vanité et à notre cupidité Je m’adresse particulièrement aux leaders de ce bas monde
Selim.BOUMERDAS
Cette terre est la notre Qu’ils extirpent la bête qui a pris possession de leur âme De tout leurs corps Certes c’est un mal nécessaire afin de retrouver la paix intérieure Et aspirer à reconquérir cette vielle planète qui n’est autre que Dame nature.
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L’exponentielle. Quelle ironie du sort, L'homme va à sa ruine Sans prendre conscience que la fin est proche, A cette allure bientôt le bien abdiquera devant le mal On n’en a beau le combattre, Lui couper la tête, Ce mal gangrène le monde Tel un nénuphar Mais il plusieurs têtes Il est telle l’hydre, Ou la queue du lézard vous la coupée Et par magie elle repousse On voulait une paix universelle Un armistice entre tous les peuples, Parce qu’en définitive, il n’y a ni vainqueurs ni vaincus Mais que des civils exterminés, lâchés en pâture à l’envahisseur. Les généraux de l’armée proclament Qu’ils sont par conséquent les vainqueurs Mais la seule et unique raison est le pillage des richesses Pompage de l’eau, Exterminations de toutes formes de vie. Quelle honte quand des leaderships de ce monde poussent les gens à la haine Avec des slogans et des discours anti-racial, xénophobes etc. Pour ratisser large et se faire élire Ce ne sont que des fascistes. Quand le ridicule ne tue pas Ces messieurs, dames ne se sert que subterfuges, un jeu politique Mais ce qui m’inquiète, C’est les moutons qui suivent Pour eux c’est de l’argent content. Depuis quelques temps nous assistons à une monté progressive de la haine Notamment par le retour du Ku Klux Klan et des lieux interdits a certaines minorités de gens et il existe des bars-cafés tenus par des skinheads Portant des croix gammées comme un retour à un passé pas lointain. Discrimination, l’apartheid, race aryenne etc. Mais ou va l’humanité et au nom de quel Dieu ou de croyances A quel ordre du monde elle obéit Pourquoi ce beau gâchis, alors que nous tous frères et sœurs. La faute nous incombe tous autant que nous sommes Pour avoir semé cette graine ou avoir laissé une tomate pourri dans la cagette C’est la faute de l’école, qui a perdu sa ligne de conduite D’inculquer les bonnes valeurs, le civisme, les droits et les devoirs
Selim.BOUMERDAS
Heureusement qu’il existe encore quelques personnes bien attentionnés Qui agissent des fois au péril de leur vie par les mots ou par la plume Pour contrer ces gens-là. Je pense que nous avons encore une infime chance de nous rattraper En criant encore plus fort et plus haut afin que la paix soit érige en stèle Dans toutes les grandes métropoles pour leur coupé l’herbe sous les pieds Coupé encore et encore la nouvelle tête de l’hydre qui en compte sept
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Au Nom de la Rose. La confiance en perdition, Elle virevolte comme une feuille en automne, L’amour se fane, Telle une rose, Et la vie devient morose. L'amour sans réelle relation Et telle une bâtisse sans base ni fondations, A la moindre secousse, Elle tombe en ruine, Tel un château en sable. L’expérience nous a montré et démontré Que l’on ne peut être déçu que par les gens Qu’on aime et qu’on croit avoir aimé. Le temps est assassin, Et finit toujours par tuer l’amour, L’habitude tue l’amour, L’indifférence tue l’amour. Sauf si l'on fait des sacrifices, En pardonnant à la personne de ses rêves, L'amour est comme une fleur du paradis, Il faut l'arroser et l’’entretenir Parce qu'il est tellement délicat et sensible Qu'on risque de la briser. Et ainsi de jour en jour, Notre amour fleurira, Il s’épanouira, Si l’on aime quelqu’un On doit céder, Donner, toujours donner, Sans attendre en retour, Accepter son sort, Malgré les affres de tous les jours, Au nom de l’amour. Mais pour cela il faut avoir, Une bonne philosophie de la vie, Sinon vous finirez votre vie, Célibataire endurcie.
Selim.BOUMERDAS
Les diamants. Les larmes d’une femme sont si précieuses Telles des diamants Aussi chère que la plus belle des pierres Extraites des profondeurs de la terre Que si elles tombent sur une terre aride Elles feront fleurir le cactus Et donneront un meilleur blé qu’un mois d’avril Elles sont à l’état brut A chacune sa forme Façonnée par le supplice infligé Du tort subit par l’être aimé Grosses et chaudes pour la perte d’un être cher Moyennes et tièdes pour les voisins et les collatéraux Petites et glacées pour l’amant et le petit copain Sans oublier les larmes de crocodiles Sans quiproquo Sont les plus sincères Versées souvent pour vous retenir C’est le propre de la femme amoureuse Mais c’est toujours malheureux de voir une femme pleurer
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Acrostic (Yayati Madan G Gandhi) Y ‘aller dans l’art de l’écriture avec Agilité dans le sens philosophique Y’va avec son cœur Avec son âme Tant qu’il sera le garant Il y’a un espoir pour l’humanité Mondialement connu Avec sa plume et son encrier Dans le domaine de la lutte contre la déchéance Avec bec et ongles il se bat défendant Notre présence et notre prospérité inspirer souvent du Gange Généreux et modeste Avec tout le monde Ni prise de position pour quiconque Durant toute sa vie, il a été et il est Homme, honnête et humble Il a toujours défendu la veuve et l’orphelin.
Selim.BOUMERDAS
Pourquoi? Pourquoi la vie n'est pas simple, Elle ne te laisse jamais le choix, Elle t’imposera et s’immisceras, influenceras tes choix, Te pervertis malgré toi, Bon gré mal gré, tu accepteras. Ces décisions qu'un jour ou l'autre tu regretteras. Comment? Tout simplement les optimistes, Vous diront que c'est ta destiné. Ils vont vous philosopher sur l’au-delà, Les sceptiques vont vous clamer que quelque part, Tu le mérites, De toute façon c'est ton choix par bêtise, Ignorance ou manque d’expériences, Que tu assumeras durant toute ta vie. Quand? Quand tu étais jeune tout te paraissait surmontable, Tu pourrais même déplacer des montagnes, Faisant des projets que tu surement allais se concrétisés, Et des rêves qui allaient se réaliser. Mais hélas et hélas le destin en a décidé autrement, Il t’a devancé et a choisi pour toi, Une vie dont tu n’es pas le maître, Mais plutôt l’esclave. Rappelles-toi quand tu étais à la croisée des chemins, C’est là ou tu as perdu la partie, Malgré les atouts que tu avais dans ta manche, Tu n'as pas réussi à déjouer l'incontournable, En faisant confiance au premier venu, Tu seras marqué pour le restant de ta vie.
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Aujourd’hui c’est la journée du sourire. Souriez des que vous vous levez Pour vous-même et pour rendre hommage A dieu qui vous arrachez des bras de Morphée qui vous a rendu la vie. Dites Bonjour avec le sourire Souriez à votre femme, Souriez à vos parents, Souriez à vos enfants, Souriez à votre voisin, Souriez à l’étranger qui passe, Souriez au mendiant qui squatte en bas de chez vous ou au coin de la rue Ça ne coute rien au contraire Ça embellit le visage et vous rend jovial, C’est un phénomène qui se transmet Ainsi vous avez planté une graine que vous n’aurez pas la peine d’arroser. Je ne vous demande pas la lune mais juste un sourire Certaines personnes se le demandent souvent Mais ne savent pas l’exprimez Tellement qu’ils sont dans le désarroi Alors souriez parce que le sourire a un effet thérapeutique Et ainsi vous aurez peut être sauvé une vie ou une âme. Ce que je désire au nom de l’humanité Ce n’est pas juste une journée mais que ce soit tous les jours.
Selim.BOUMERDAS
La Paix de l'Ame. Si un jour, par hasard ou par coïncidence Si un jour par un concours de circonstance Vous êtes confrontés, par méchanceté ou vengeance À certaine personne, que vous avez croisé durant des circonstances Si l'on vous ignore, par négligence ou malchance Et si vous vous sentez abandonner ou fuit par tout le monde N’accordez pas d’importance Ce n'est pas que vous êtes lépreux ou pestiféré Mais juste incompris dans ce monde de fêlé Parce que les envieux et les jaloux existeront Repousseront tels de la mauvaise herbe Sans tergiverser dites vous que vous êtes au dessus de cette mêlée Que vous êtes dotés d'un Q.I, que les connards et les ingénues Qui excellent dans la culture de la zizanie ne vous comprennent pas N’ayez craintes Ils ne rivaliseront jamais avec vous même si la terre n'est pas ronde pour eux Et que le soleil se lève à l'ouest et se couche à l'est Ainsi si on veut la paix de son esprit Et restez zen, sans la pratique du yoga La sagesse nous suggère de tout larguer Et laisser tomber sans regret, untel ou quiconque qui nous apporte que tristesse Et par chance, ce ne sont que des détails Parsemer et semer par le destin sur ton chemin Droits ou rectilignes comme les lignes de la main Qui selon des croyances prédisent votre destiné Et agissent sur tes jugements Et influencent sur ton avenir Comme la lune sur les marais Pour finir laissant les crétins penser qu'ils ont raison Ils sont tellement imbus de leur personne Qu’ils oublient comme les chameaux qu’ils ont une bosse Et qu'un jour ils se retrouveront seuls Pas même d’échos Délaissés par tout le monde.
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Si tu rencontres l’amour Si un jour au détour de votre chemin
Par hasard vous découvriez
Ou vous pensez avoir trouvé où croiser le bonheur
Cet amour tant recherché
Eternel et éphémère
Accrochez-vous et ne lâchez pas prise
Faites l'impossible pour le garder et le retenir
Intronisez-le sur le trône de votre cœur
Telle une reine de prés
S’il le faut entretenez le et arrosez le
Tous les jours comme un plant délicat
Parce que vous n’en aurez pas une deuxième chance
Et sachez qu’il n'est pas nécessaire de dire tout le temps
"Je t'aime"
Parce qu'il existe des regards et des gestes qui parlent
Sans dire un mot
Souvent le silence est d'or.
Selim.BOUMERDAS