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Université d’Antananarivo
Faculté de Droit, d’Economie, de Gestion et de Sociologie
Département SOCIOLOGIE
Mémoire de licence
Présenté par : RAZANAMANITRA AvotraNarindra
Année d’étude : Troisième année (L3)
Encadreur pédagogique : Madame ANDRIANAIVO Victorine
Année universitaire : 2015-2016
L’Analphabétisme et L’Exclusion Sociale des Adultes cas du Fokontany
Avaratsena Soavinandriana (Manjaka)
L’ANALPHABETISME ET l’EXCLUSION
SOCIALE DES ADULTES DU FOKONTANY
AVARATSENA SOAVINANDRIANA
(MANJAKA)
REMERCIEMENTS
Notre sincère remerciement s’adresse premièrement à Dieu créateur qui nous a tout donné
surtout l’opportunité de réaliser ce présent mémoire de licence, et aussi à tous les
personnes qui nous ont aidées, notamment :
Nous remercions le Chef Fokontany : RASOAMIHAJAMANANA Angèle, et le vice-
président du Fokontany : RATOVOHERY Flavien Raymond ; qui nous a accueillis
aimablement et avec gentillesse
Nous remercions aussi le Chef quartier : Monsieur ANDRIANAINA RadoManantsoa,
avec son intension de ressemblé a un guide très important lors du jour de l’enquête sur
terrain
Nous remercions aussi le Responsable d’Alphabétisation CISCO Soavinandriana :
Monsieur RAKOTONDRASOA Mamy Nirina Jacquy et Madame
RALALAHARIMANANA Marie Charline, qui nous a informé et donner des documents
nécessaires a notre mémoire de licence.
Nous remercions le premier adjoint au maire de la commune urbaine de Soavinandriana :
Monsieur RAHERISON Lala André, qui nous a indiqué les plans de Soavinandriana
Nous remercions aussi l’Agent du Guichet Foncier de Soavinandriana : Monsieur
RNDRIAMBOLOLONA Justin J.qui nous a donné des divers documents concernant la
description du Fokontany et du quartier.
Nous remercions infiniment notre encadreur pédagogique : Madame ANDRIANAIVO
Victorine qui nous a guidée pour bien réaliser ce mémoire de licence et qui à consacrer ses
temps pour nous aider.
Nous remercions aussi notre famille qui nous a soutenus, avec ses aides financiers et
morales
Nous remercions aussi nos ami(e)s qui nous ont aidées dans tous les programmes que nous
avons établis durant le mémoire de licence
Nous tenons à remercier aussi les 50 personnes que nous avons interviewées.
SOMMAIRE
Remerciements
Sommaire
Introduction générale
1ere Partie : CADRE CONTEXTUEL, CONCEPTUEL ET METHODOLOGIQUE
Chapitre 1 : description du FOKONTANY avaratsena (manjaka)
Chapitre 2 : Repères théorico-conceptuel
Chapitre 3 : Méthodologie de la recherche
2emePatrie : TECHNIQUE ET TRAITEMENT DES RESULTATS DE L’ENQUETE
Chapitre 4 : déperdition scolaire ET FAIBLE NIVEAU D’INSTRUCTION
Chapitre 5 : les causes économiques etinfrastructurelles
CHAPITRE 6 : la résistance culturelle ET PROBLEMEPsychologique
3emePartie : PREPARATION DE LA RESOLUTION DE LA PROBLEMATIQUE
Chapitre 7: Analyse, bilan et discussion
CHAPITRE 8 : Suggestions
Chapitre 9 : recommandations
Conclusion générales
Bibliographie
Table des matières
Annexes
Résumé
LA LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 : Répartition de la population par le sexe et le quartier………………………16
Tableau 2 : Répartition des enfants qui ont abandonnés l’école selon l’âge et le niveau..19
Tableau 3 : Répartition de la population adulte selon le sexe ……………………………30
Tableau 4 : Répartition de la population selon le sexe et le niveau d’étude………...…....31
Tableau 5 : Repartions de la population selon le niveau d’étude………………………….32
Tableau 6 : Répartitions de la population selon le sexe et l’exclusion sociale..…………33
Tableau 7 : Répartition des personnes adultes enquêtés par sexe et par classe d’âge…...34
Tableau 8: Répartition des salaires que peuvent gagner les personnes enquêtées ………36
Tableau 9 :Répartition de la population selon leurs statuts et leurs secteurs d’activités...37
Tableau 10 : Répartition des enfants scolarisés et les non scolarisés selon leurs sexe…...38
Tableau 11 :Répartition de la population selon les causes de l’analphabétisme………..40
Tableau 12 :Répartition de la population selon la raison de l’exclusion sociale………...41
Tableau 13 :Rapport entre statuts et opinions pour le ré instruction dans un centre…….42
LISTE DES ABREVIATIONS
AECI : Agir ensemble Contre l’Illettrisme
ALFI-D : Alphabétisme Fonctionnelle Intensive pour le Développement
ANLCI : Agence Nationale de Lutte Contre l'Illettrisme
APDCN-M : Aide Public au Développement Coopération nippo_ malagasy
CESE :Conseil Economique Social et Environnemental
CRAN : Cours de Remise A Niveau
EPA : Education Préscolaire et de l’Alphabétisation
FJKM : Fiangonan’JesosyKiristyetoMadagasikara
GPLI : Groupe Permanent de lutte Contre l'Illettrisme
JIA : Journée Internationale de l’alphabétisation
MEN : Ministère de l’éducation National
OMD : Objectif des Millénaires pour le développement
UNESCO: United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization
~ 1 ~
INTRODUCTION GENERALE
GENERALITES
Après la déclaration officielle de l’indépendance de Madagascar, c'est-à-dire il y a 6
ans après ce phénomène,précisémenten1966 ; Le taux d’analphabétisme à Madagascar
s’est résister environ 54%, l’enseignement à Madagascar a été établi suivant une
pédagogie capitaliste et les effets de la révolution industrielle. Les malgaches qui n’ont
pas suivi les programmes d’instruction par les étrangers à cette époque ne sont pas
considérés comme des ignorants car les techniques d’information et d’apprentissage que
les étrangers essaient d’apporter ne sont que des méthodes pour savoir compté les chiffres
et d’apprendre le langage de communication avec eux. En partant de cette considération, le
phénomène d’exclusion sociale prend sa déviation vers une conséquence massive ou règne
l’inégalité des gens dans le cadre de leurs vies ou leurs classes sociales ou même leurs
niveaux d’instructions. Le concept d’exclusion sociale se manifeste suivant une grande
ligne d’une relation de cause à effets c'est-à-dire que les deux phénomènes se présente
comme une cause et conséquence et ils sont réversibles, de telle sorte qu’ils se manifestent
au de-là de l’ignorance et les problèmes causés par les pédagogies incontournables.
Actuellement, le terme qui est adopté pour désigner les personnes qui ont des
difficultés de lire et d’écrire est l’analphabétisme et qui peut engendrer une exclusion
sociale. Ce premier problème concerne une population adulte qui n’a pas eu la chance
d'aller à l'école, dont le niveau de lecture et d'écriture est très faible.Au niveau un, on
retrouve des adultes ayant de la difficulté à utiliser tout document écrit. Au niveau deux,
les personnes peuvent reconnaître certains mots dans un texte simple, mais éprouvent de la
difficulté à se servir de documents usuels. Ces personnes ne peuvent écrire. Au troisième
niveau, les personnes sont en mesure de lire et de comprendre des documents simples, mais
évitent les situations où elles doivent utiliser l’écrit. En effet, le taux d’analphabétisme à
Madagascar atteint jusqu'à 54% ce qui implique une déstabilisation entre l’enseignement
et le développement socio-économique.
L'alphabétisation est un motif de réjouissance pour l’humanité qui a accompli des
avancées spectaculaires en la matière, le monde compte en effet aujourd'hui près de 4
milliards d'alphabètes. Dans le cadre de l’évaluation nationale des OMD en 2012, le taux
d’alphabétisation a été estimé à 71,6% au niveau national. Entre 2005 et 2010, une
~ 2 ~
amélioration de 8,4 points de pourcentage du taux d’alphabétisation chez les femmes et de
8 points chez les hommes a été enregistrée.
A Madagascar, L’écart de la valeur maximale (93,6%) et de la valeur minimale
(35,1%) enregistrées respectivement dans les régions Analamanga et d’Androy démontre
le niveau élevé des disparités dans les 22 régions. Cinq régions sur les 22 ont en 2010 un
taux d’alphabétisation inférieur à 50%. Selon les partenaires financiers et techniques, ce
taux devrait être atteint au niveau national dans les années à venir à condition que les
partenaires continuent à apporter leur soutien.L'Organisation des Nations Unies pour
l'éducation, la science et la culture (UNESCO) contribue d’ores et déjà à ce secteur et c’est
d’ailleurs l’UNESCO qui a décrété la Journée internationale de l’alphabétisation. Depuis
40 ans maintenant comme tous les autres pays, Madagascar a célébré la Journée
internationale de l’alphabétisation (JIA) le 08 septembre. Pour cette année, la région
ITASY eut l’honneur d’accueillir la célébration à cause de la présence des associations et
des partenaires du Ministère de l’Education nationale (MEN) qui sont implantés dans la
zone. Les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD 2015) visaient à faire
chuter à 27,5% le taux d’analphabétisme à Madagascar.
L’Alphabétisation et l’enseignement des adultes à Madagascar dans les années70
s’est postulé suivant des plusieurs aspects de réalisations des projets d’apprentissage
d’alphabétisation: d’abord sur l’existence d’une action d’alphabétisation implique une
action bénévole de quelques instituteurs .pas encore de planification ; ensuite sur
l’insistances responsables et coordination implique dorénavant, commissariat général à
l’animation rural et au service civique qui déterminera aussi les autorités responsables sur
le plan régional : pas encore de coordination ; puis sur le financement ce qui implique que
jusqu’ici rarement indemnisation des instituteurs autorités provinciales ; s’ensuit sur la
coopération de l’opinion publique ce qui implique que : le gouvernement donnera une
grande impulsion à la campagne nationale d’alphabétisation prochainement lancée et
sollicitera la participation de toute la population (dans, « missionnaires de savoir » etc.,…)
A propos du personnel chargé de l’alphabétisation il se peut qu’il existe une faible
proportion de maitres primaires titulaires pas ou rarement rémunères ; pas d’éducateurs
ayant pour charge unique d’alphabétisation des adultes ; association future de non-
professionnels volontaires Portant sur la caractéristique pédagogique, il y a : pas de
limitation à la lecture ; à l’écriture et au calcul ; formation plus large envisagée ; sur les
~ 3 ~
méthodes, manuels, moyen audio visuels, il a : Pas de méthode spéciales .Pas de manuels
spéciaux pour le moment .Moyens audio visuel encore utilise.
Dans le district de Soavinandriana en 2013, au niveau d’une association chrétienne
d’ou le « sampana AFF fjkm » qui a pour but d’un enseignement pour les analphabètes
adultes dans l’enceinte du FJKM avec l’effectif de 13 adultes et au total 15 personnes
analphabètes ; d’après la statistique il se peut que les analphabètes qui sont enseignées sont
de sexe féminin et 2 personnes sont moins de 18 ans. Elles diminuent chaque mois lors de
l’enseignement, a la raison de cette diminution les jeunes femmes s’insiste a travaillée et
n’ont plus le temps de se mettre présente a l’école d’enseignement des analphabètes.
D’autre part il y a des femmes qui ont des charges c a d des enfants qui devrait leurs
occupée avant de les rendre à l’école chaque dimanches matin. Il existe aussi des cas où
les personnes enseignées ont des comportements compliqués c a d les analphabètes ont des
caractères suffisamment timides et complexes.
Actuellement à Madagascar, la célébration du 50éme
anniversaire de la journée
internationale de l’alphabétisation est faite le 8 septembre 2016 dans la région ITASY à
Miarinarivo parce que la région ITASY se mis un effort pour réduire le taux
d’analphabétisme dont le FokontanyAvaratsena n’est pas pris en compte. En 1966, le taux
d’analphabétisme touche environ 54% et aujourd’hui il se peut que 25% en reste grâce à
l’effort d’après les associations et les organisations non gouvernementales qui prend
comme objectif : la lutte contre l’analphabétisme des enfants et des adultes.
Tout d’abord, comment les systèmes d’exclusion et d’inégalité se manifestent-
ilsconcrètement et symboliquement dans la vie de tous les jours ? Chemin faisant, à
quellessortes de comportements de déférence et d’affronts les gens font-ils face, qui
seraientla marque de l’exclusion ? Ces types de comportements de déférence et d’affronts
varient-ils selon le contexte socio spatial ou s’agrègent-ils, et dans quelle mesure ?
Deuxièmement, quelles sont les conséquences du fait qu’on est l’objet ou la
victimede l’exclusion et de la stigmatisation ? Quelles différences, s’il y en a, cela fait-il
dans l’organisation de sa vie quotidienne, dans l’affectation de son temps et de ses
énergies,dans l’estime de soi et dans le sens qu’on a de soi ?
Troisièmement, comment les gens font-ils face aux affronts, aux insultes et
auxautres signes — subtils et moins subtils — de l’exclusion ? Comment composent-
ilsavec ces signes dans la vie quotidienne ? Quelles stratégies utilisent-ils
~ 4 ~
concrètementpour faire face à l’idée d’un affront potentiel et pour faire face à l’affront tel
qu’il sematérialise ?
Nous utiliserons souvent les termes d’inégalité et d’exclusion de manière
interchangeable lorsque nous aborderons ces questions. Chacun de ces concepts a été
définide diverses façons ; ces définitions mettent cependant l’accent sur des aspects très
semblables (mais non identiques) et elles suscitent des intérêts de recherche semblables.
Lesprocessus et les structures auxquels ces deux concepts renvoient mènent au fait queles
membres de certaines catégories sociales sont perçus comme ayant moins de valeurpour la
société, comme recevant moins de ressources matérielles et symboliques etcomme n’ayant
pas droit aux ressources qui permettent d’agir efficacement en société.Notre objectif est de
montrer que l’interactionnisme symbolique fournit une richessed’intuitions de même
qu’une perspective théorique cohérente pour comprendre lefonctionnement du soi devant
des processus sociaux et des interactions sociales produisant de l’inégalité et de
l’exclusion. Pour orienter les lecteurs intéressés, nous nousréférons à un large spectre de
recherches en interactionnisme symbolique qui traitentde ces processus d’exclusion et de
résistance. Nous donnons aussi plusieurs exemplesdes processus à l’œuvre, exemples tirés
surtout de nos propres recherches auprès dessans-abri et auprès d’autres marginaux ou
exclus.
Les manifestations quotidiennes ou l’expression de l’inégalité se concerne sur tout
les exclus dans les villes et dans le milieu rural. Les interactionnistes aident à comprendre
l’exclusion sociale en éclairant au niveaumicrosocial, au niveau de la vie quotidienne, les
manifestations et les contextes diversde l’inégalité et de l’exclusion. La recherche en
interactionnisme symbolique met au jourles manifestations omniprésentes et, en grande
partie, non reconnues, de l’inégalité etde l’exclusion dans une variété de formes et de
processus sociaux. Elle le fait en allantau-delà des manifestations — habituellement prises
en compte — de la stratificationde classe (et plus récemment, de l’inégalité de genre) et de
l’exclusion concomitante desegments de la population en termes économiques, en termes
de scolarisation etd’autres avantages matériels ; elle le fait en allant au-delà ou en
établissant des liensavec ces manifestations. Cette contribution est possible en raison de
l’attention que lesinteractionnistes accordent à l’action située et, par conséquent, à ce que
les gens font etvivent au cours de leurs contacts quotidiens ; elle est aussi possible en
raison de la sensibilité de la recherche ethnographique à ce genre de préoccupations.
~ 5 ~
Les inégalités de surface ne sont pas simplement des sous-produits intéressants du
pouvoiréconomique et social ; elles sont une dimension intrinsèque de sa structure même.
Lessystèmes de stratification créent des distinctions quant à la valeur sociale d’un
individu,distinctions qui sont communiquées, apprises et appliquées dans les processus
ordinairesd’interaction en face à face. Les membres des classes inférieures sont considérés
commeméritant moins d’attention dans leurs relations avec les membres des classes
supérieures ;ils sont ainsi soumis à des pertes subtiles mais systématiques en situation de
face à face. Ils’agit là d’un aspect de la hiérarchie de classe. Accorder de l’attention à ceux
qui sont définispar les classes supérieures comme « meilleurs » ou plus importants, repose
au cœur mêmedu pouvoir de classe.
Si leurs comportements, leur apparence, leurs manières et leurs émotions ne sont
pas« typés » ou s’ils sont trop semblables à ceux des hommes, elles courent le risque d’être
étiquetées «BallBuster»... Ce n’est que lorsque leurs comportements, leur apparence, leurs
manières et leurs émotions leur permettent d’être des non-personnes ou d’être invisibles,
que ce personnel para légal peut être perçu comme des professionnelles (2001, p.363).
L’attention, le temps d’attente et la reconnaissance du travail comme patterns
sociaux constituent un éventail de manifestations symboliques et interactionnelles
del’exclusion auxquelles les chercheurs en interactionnisme symbolique ont accordé leur
attention. Les manifestations interactionnelles de l’inégalité et de l’exclusion apparaissent
aussi dans une pléthore d’autres activités dans lesquelles on refuse un traitement
pleinement humain à certaines catégories de personnes et dans lesquelles ces personnes
sont l’objet d’intrusions et d’agressions, y compris regarder avec insistance, toucher,
interrompre, froncer les sourcils et traiter comme élément anonyme d’une foule. Vivre au
bas de l’échelle, ce n’est pas seulement être exclu en ce qui a trait aux revenus, à la
scolarisation et aux services médicaux, c’est aussi devoir supporter une série d’affronts
symboliques qui, souvent, n’arrivent pas isolément les uns des autres et qui portent atteinte
à la perception qu’on a de sa propre valeur et de son efficacité.
Dans une première approche, il est possible d'associer directement exclusion et
exploitation. Ainsi, les anarchistes2, les altermondialistes
3 et de manière générale l'extrême
gauche4, considèrent que l'exclusion sociale est produite par l'exploitation sociale. Une
~ 6 ~
partie d'entre eux condamne toutefois la différenciation sémantique qui est vue comme un
refus d'utiliser le langagemarxiste. Par exemple, selon Eric Hazan, « lorsqu'on parle d'exclu
il n'y a plus d'exploiteur5 ».
D'un autre côté, il faut s'interroger sur ce qu'implique l'utilisation du concept
d'exclusion. Si le terme d’ « exclusion » a été largement diffusé dans la littérature
scientifique et les media, en particulier après le rapport du père Joseph Wresinski au
Conseil Économique et Social « grande pauvreté et précarité économique et sociale » de
1987, la société ne saurait pour autant être envisagée comme divisée en deux : d'un côté les
« exclus » et, de l'autre, les « inclus ». La situation des exclus est multiple. Les concepts de
« déclassement », selon Pierre Bourdieu, ou de « disqualification sociale », selon Serge
Paugam ou encore de « désaffiliation » selon Robert Castel, montrent mieux comment de
plus en plus de personnes, qui se trouvent en situation de grande vulnérabilité sociale, en
finissent par se trouver « déclassées » ou « disqualifiées » en tant que membres de leurs
catégories initiales d'appartenance.
Par ailleurs, certains sociologues comme Simon Wuhl parlent d’un « risque
d’exclusion professionnelle » pour les travailleurs les moins qualifiés (chômage de longue
durée, grande précarité dans le travail), dans le sens d’une rupture dans le continuum des
relations au travail qui caractérisait jusqu’au début des années 1980 le système
d’intégration sociale en France. Ce risque s’expliquerait par la combinaison de deux
facteurs : la généralisation des technologies de l’information et de la communication, d’une
part, peu favorable à l’intégration professionnelle des travailleurs peu qualifiés ; pour la
France, s’ajoute le maintien d’un état d’esprit « fordiste », une rigidité dans les
organisations productives et dans le fonctionnement du marché du travail, qui incite à
sélectionner les mieux formés au détriment des moins qualifiés.
~ 7 ~
MOTIFS DU CHOIX DU THEME
Nous avons choisis le thème : « l’analphabétisme et l’exclusion sociale des adultes cas du
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka) » pour la raison que l’analphabétisme et
l’exclusion social demeure toujours des problèmes importants pour la population dans
cette localité.
MOTIFS DU CHOIX DU TERRAIN
Nous avons choisis comme terrain ou champs de travail : « le
FokontanyAvaratsenaSoavinandrianaAmbony(Manjaka) » puisqu’ayant vécu dans cette
localité, nous avons aperçus certains problèmes liés à l’analphabétisme et l’exclusion
sociale.
OBJECTIFS DE LA RECHERCHE
Notre principal objectif est de réaliser une enquête, en utilisant des questionnaires et d’un
guide d’entretien, de recueillir des données a fin de les classer et traiter en suivant les
différentes méthodes de traitements et de collectes de données a fin de justifier nos
hypothèses de recherche.
PROBLEMATIQUE
Dans une perspective de réalisation de notre recherche approfondie, nous pouvons assister
sur le principal centre de recherche à partir de la question suivante : Quelles sont les causes
de l’analphabétisme et l’exclusion sociale des adultes du
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka)?
HYPOTHESES
Pour essayé d’apporter des réponses provisoires a cette problématique nous proposons les
hypothèses de recherches suivantes. Ici, notre hypothèse repose sur deux grandes
classifications notamment :
L’Hypothèse généralese présente l’initiation de la base de notre recherche :
L’exclusion sociale est la cause de l’analphabétisme
L’analphabétisme est la cause de l’exclusion sociale
~ 8 ~
L’Hypothèse opérationnelle : par laquelle se présentent les caractéristiques qui
expliquentles deux principales hypothèses
Faible niveau d’instruction et l’abandon scolaire, problèmes d’accès à la
scolarisation, un système éducatif et pédagogie d’apprentissage compliqués
Insuffisance des infrastructures scolaires, manque de personnel enseignant,
problèmes financiers des parents, éloignement de l’école par rapport à la maison
Volonté lié à la culture traditionnelle, ainsi que les situations familiales difficiles, la
paresse face à des maladies et aux troubles mentaux
OBJECTIFS GLOBAL
L’objectifs global est d’effectué une observation sur les phénomènes d’analphabétisme et
l’exclusion des adultes qui a touché la vie des gens qui vivent dans
leFokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka) et de mener une enquête descriptives et
participatives à fin d’apporter des solutions convenables aux problèmes.
OBJECTIFS SPECIFIQUES
L’Objectif spécifiqueconsiste à connaitre l’augmentation du taux d’analphabétisme et
participer à la réduction du nombre d’analphabète dans le quartier (Manjaka) du
FokontanyAvaratsenaSoavinandrianaAmbony. L’objectif est aussi de chercher les causes
de l’analphabétisme et de l’exclusion sociale des adultes, suivis d’une analyse et d’une
discussion dans le but d’obtenir les impacts ou les conséquences de ces deux problèmes au
niveau de la société et de mettre en place les différentes solutions qui correspondent à ceux
des problèmes.
METHODES
Nous avons utilisées la méthode structuro-fonctionnalisme pour mettre notre étude dans
repère sociologique, l'ouvrage pendant longtemps, la sociologie des inégalités s'est
structurée autour des travaux bien connus de Pierre Bourdieu et Raymond Boudon dans les
années 1970 en sociologie de l'éducation.
Aujourd'hui, cette sociologie de l'éducation se veut plus microsociologique que
macrosociologique ; elle s'intéresse alors aux contextes locaux de l'enseignement pour
mettre en évidence des « effets établissement » et des « effets maître », ces derniers à
travers la prise en compte des pratiques pédagogiques des enseignants ; elle s'intéresse
~ 9 ~
aussi aux stratégies éducatives élaborées par les familles ou à l'inégalité des carrières
scolaires entre les sexes.
ECHANTILLONNAGES
Notre enquête a été réaliséesuivantuneméthode d’échantillonnage probabiliste auprès de 50
personnesadultes prédéfinies dans une liste de recensements dans le quartier de Manjaka,
dont l’âge requis et utile dans lasélection des personnes dans la liste s’implique sur les
personnes qui ont plus de 18 ans, dont la population mère est de 650. Or, nous avons
constatées que 72% de ces personnes enquêtées sont de sexe féminin et 28% sont de sexe
masculin.
QUESTIONNAIRES
Nous avons établi des plusieurs questions concernant les identités d’un chef de ménage
dans une famille, la vie quotidienne d’une famille, le nombre d’enfants scolarisés et celle
du déscolarisés, la raison de la déscolarisation, opinion sur l’analphabétisme et
l’exclusionsociale de la population. La formulation de ces questions a été faite dont
l’objectif est de piloter le thème dans un bon sens du travail. Nous avons utilisés un
entretien libre dans notre enquête, nous avons mis à la disposition l’effectif 50 personnes à
enquêter.
LIMITE DE LA RECHERCHE
La recherche a une limite parce que nous n’avons que 50 personnes a enquêtées ; durant
l’enquête sur terrain dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka) , nous avons
su aussi que quelque fois il y a des gens qui sont moins intéressés sur l’enquête et
d’ailleurs ils ont refusé de participer à une telle ou telle conversation ou bien d’être
interviewer, l’enquête a été réalisé dans une courte durée car nous n’avons qu’une semaine
de descente sur terrain.
ANNONCE DU PLAN
Pour démarrer notre recherche sur l’analphabétisme et l’exclusion sociale des adultes du
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka), nous assistons sur trois grandes parties ;
nous pouvons aborder premièrement le cadre contextuel et conceptuel et méthodologique,
deuxièmement technique et traitement des résultats de l’enquête, et troisièmement
l’approche prospective de la résolution de la problématique.
~ 10 ~
PREMIERE PARTIE
CADRE CONTEXTUEL, CONCEPTUEL ET
METHODOLOGIE
~ 11 ~
Chapitre 1 Description du
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana
(Manjaka)
INTRODUCTION PARTIELLE
Ce rapport de stage que nous avons fait a été réalisé dans le
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka), tous les programmes que nous avons
établi se concernent beaucoup sur les différentes aspects qui enrichissent notre lieu de
stage (terrain), l’assemblage des documents nécessaires qui ont été recueillis durant
l’enquête sur terrain facilite le soin complète de notre devoir.
1.1 Repérages dans le temps et dans l’espace
La présentation du terrain de notre stage se faite premièrement au niveau de la localisation
du Fokontany, et sur la position des quartiers qui l’entoure. Notons soigneusement que le
terrain de notre recherche possède des aspects qui déterminent la richesse aquatique et
atmosphérique de son espace environnementale.
1.1.1 LA LOCALISATION INTERREGIONALE
LeFokontanyAvaratsenaSoavinandriana est localisé suivant la structure de délimitation :
Le quartier Manjaka est situé dans le FokontanySoavinandrianaAmbony ; le
FokontanySoavinandrianaAmbony est situé dans le District de Soavinandriana ; le District
de Soavinandriana est situé dans la région ITASY ; et la région ITASY est localisée dans le
Provinces d’Antananarivo.
1.1.2 LA SURFACE
LeFokontanyAvaratsenaSoavinandriana possède une espace étendue de 2 km2, et ce
Fokontany est entouré par des Fokontany qui se situent sur les 4 dimensions de la
commune de Soavinandriana.
~ 12 ~
1.1. 3 LOCALISATION DU FOKONTANY SUR LES 4
DIMENSIONS
FokontanySoavinandrianaAmbony
Fokontany Fokontany
Ampitsaharana Fokotany s Antranoroa
FokontanyAmbatombositra
1.1.4 LES QUARTIERS
Le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana est composé de six quartiers ; dont nous
trouvons : Avaratsena centre, Ambalakisoa, Antsahamanitrasoa, Antsipirana,
Ambanin’caserne, Manjaka
1.1.5 LA DISTANCE
LeFokontanyse mis a distance d’Antananarivo à peu près 163km, La route nationale qui
passe par ce Fokontany est l’RN 43. Aujourd’hui, Soavinandriana n’est plus un lieu de
destination, mais c’est un lieu de passage car il y a une route qui dirige vers Faratsiho et
sorte à Antsirabe.
1.1.6 LE CLIMATS
La diversité et les changements climatiques dépendent des diverses saisons, et le plus
souvent ; le climat dans le Fokontany est le froid et humide et habituellement, la saison
pluvieuse est la plus abondante au début du mois de décembre au mois d’avril et dans ce 5
mois de pluie qu’il y a aussi le passage cyclonique. .
1.1.7 LA TEMPERATURES
La précipitation est très variée dans la saison de pluie, avec la température qui varie entre
15 à 27°C tandis qu’en hiver la température peut toucher jusqu’à 10° C. La variation de la
température se relie avec le relief de Soavinandriana et celui du FokontanyAvaratsena.
FokontanyAvarats
enaSoavinandrian
aAmbony
~ 13 ~
1.1.8 LE RELIEFS
Le paysage du Fokontany figurera sur une colline avec une altitude très régulière, c'est-à-
dire que le niveau du releif du Fokontany est presque plat en présence d’une grande plaine
qui justifie que le FokontanyAvaratsena est le centre du Commune urbaine de
Soavinandriana. En générale le relief du District de Soavinandrianase présente sous forme
d’un massif montagneux ce qui justifie aussi la géographie de l’haute terre centrale, il y a
aussi un lac qui s’appelle « Fanarivahona » qui se situe a l’ouest du quartier et du
Fokontany.
1.1.9 LES PRINCIPAUX SECTEURS D’ACTIVITES
LeFokontanyAvartsenaconstitue plusieurs activités comme : l’agriculture, l’élevage, le
commerces, le transport, (…) Mais l’activité la plus importante pour les villageoises est
l’agriculture et le commerce .Quant à la principale fonction des personnes qui habitent
dans le quartier Manjaka, c’est l’agriculture et le « Manapoakakatsaka »
1.1.10 VEGETATIONS
Les principales cultures existant dans ce Fokontanysont les cultures du riz, des légumes,
des fruits, (…) et les gens pratiquent aussi la culture sur brûlis pour faire adapter les
cultures à la saison convenable c'est-à-dire brulé les herbes secs pour cultivée la terre dans
la saison pluvieuses. La culture du riz est la principale activité des gens sur les champs.
Mais la culture d’ « anandrano » est la spécialité des villageois de Soavinandriana ITASY
et celle du Fokontany.
1.1.11 L’ELEVAGES
L’existence des pâturages vertes et des grands fermes, facilitent l’élevage des bovins, des
volailles, il ya aussi de la pisciculture, de l’apiculture, l’aquaculture(…) le style d’élevage
traditionnel est toujours praticable dans ce Fokontany et surtout dans le quartier (Manjaka).
Comme c’est l’un des activités le plus importants des habitant deSoavinandriana ; les
paysans affrontent beaucoup les types d’activités traditionnelles et qui facilite leur vie à la
façon qu’ils laissent les troupeaux baladés n’ importe où. L’élevage dans ce Fokontany suit
aujourd’hui les techniques modernes pour améliorer le rendement des paysans ;c’est à dire
l’utilisation des vaccins et soins vétérinaires et l’utilisation des produit a graissant utilisé
pour les porcs et les « akoho- manatodilava ». Le marché àSoavinandriana se fait chaque
lundi pour toutes les ventes
~ 14 ~
1.1.12 LASITUATION COMPORTEMENTALE DE LA
POPULATION
Les personnes qui vivent dans le quartier ont des tendances a bien accueillir les étrangers
et les migrateurs, et surtout les touristes. Dans le FokontanyAvaratsena, les gens vivent
dans la solidarité et respecte précieusement le « Fihavanana malagasy », par exemple
lorsqu’il y a une personne qui est décédée dans le Fokontany, il y a des appels et des
réunions pour participer ou faire de l’ « adidy » et de soutenir les familles concerner et
joindre à l’hommage et au funérailles de cette personne .
1.1.13 LA SITUATION SECURITAIRE DU QUARTIER DU
FOKONTANY AVARATSENA ET CELLE DU QUARTIER MANJAKA
Dans ce quartier, la sécurité n’est pas vraiment soutenue malgré l’isolement et le calme
persiste des maisons et éloigné du centre ville par rapport aux autres quartiers présentés
dans le Fokontany. Les types de vols qui existent dans le Fokontany sont le petit braquage
de maison, les voleurs de rue, (…)
1.1.14 La carte topographiquede Soavinandriana
Source : documentation personnelle du 8 octobre 2016
Cette image aérienne représente l’assemblage des Fokontany dans le district de
SoavinandrianaITASY, dont cette carte implique que la superficie est plus vaste par
rapport au nombre des terres occupées par des maisons.
~ 15 ~
1.2 Organigramme du Fokontany La structure du Fokontany a été schématisée suivant une hiérarchie de haut vers le bas, et
sur cela que l’administration constitue évidement : une présidente, un vice-président, un
chef quartier et des autres agents du Fokontany. Nous pouvons aussi confirmer que le
Fokontany n’a pas de secrétaire et du bureau.
1.2.1 HIERARCHIE DU FOKONTANY AVEC LEURS NOMS
Présidente du Fokontany :
Madame RASOAMIHAJAMANANA Angèle
Vice-président du Fokontany :
Monsieur RATOVOHERY Flavien Raymond
Chef quartier :
Monsieur ANDRIANAINA RadoManantsoa
Andriamasom-pokonolona :
RAKOTONDRANOSIARISOA
Quartier mobile :
RAKOTOROLAND Philibert
Source : Selon l’enquête personnelle du 6 octobre 2016 dans le
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana
Notons bien que le Fokontany n’a pas de secrétaire et de bureau fixe, mais dans ceschéma,
nous pouvons constater que la structure administrative dans le Fokontanyse présente avec
cette hiérarchie du pouvoir. Notamment les membres du quartier mobile ne sont pas
présentés dans ce schéma.
~ 16 ~
1.3 Population La population du Fokontany et celle des différents quartiers est présenté sur le Tableau
suivant ; l’effectif est représenté selon les quartiers et le sexe.
Tableau 1 : Répartition de la population par sexe et par quartiers
Source : Statistique de la population du FokontanyAvaratsenaSoavinandriana, octobre
2016
Du point de vue démographique, La population du FokontanyAvaratsena aborde une
croissance sur les nouveaux nées, tandis que les décès réduit l’augmentation du taux de la
croissance démographique de la population sans tenir compte le phénomène de migration
(émigrée et immigrée).Ce tableau montre l’effectif total de la population N : 3034
personnes, sur ce tableau ; le nombre d’habitant dans le quartier (Manjaka) est de 590, ce
qui implique une croissance démographique moyenne avec un rapport de 1/5 de la
population total du FokontanyAvaratsena. Les personnes de sexe féminin est plus
important que celle de sexe masculin avec 283<307.
Sexe
Quartier
masculin
Féminin
totaux
Avaratsena centre
385
402
787
Ambalakisoa
97
100
197
Antsahamanitrasoa
113
191
304
Antsipirana
309
334
643
Ambanin’caserne
310
203
513
Manjaka
283
307
590
Totaux
1497
1537
3034
~ 17 ~
1.3.1 LA DENSITE MOYENNE DU FOKONTANY
AVARATSENA SOAVINANDRIANA
Nous pouvons voir la densité moyenne sur lerapport entre le nombre d’habitant et la
superficie :
Population totale
Densité moyenne : 100
Superficie totale
Densité moyenne : 10 habitants /Ha
Cette valeur signifie qu’il y a une faible croissance et moins occupation du terrain sur
l’étendue du Fokontany. Et cela implique que le nombre d’habitant du Fokontany est plus
petit que la superficie du terrain à demeurer.
1.4 Les Infrastructures du Fokontany
1.4.1 LES ECOLES
Le FokontanyAvaratsena possède un lycée publique LRA (Lycée Radimisoa Albert), une
lycée privée (Lycée Jean Paul II), un lycée privée FJKM
(Fiangonan’JesosyKristyetoMadagasikara), un EPP (Enseignement Préscolaire Public), un
Ecole privée « palais des enfants »Une Ecole privée «Collège Immaculé » ; CEG
Soavinandriana, école privée « la Destinée », « Soa-vie », « Pas à pas », « la
Destination »; un terrain de basket Ball sur le centre ville de Soavinandriana c'est-à-dire à
Avaratsena centre.
1.4.2 LES EGLISES
Le Fokontany aussi une Eglise catholique, une Eglise FJKM, FPVM, Apokalipsyil y en a
d’autres ; mais les autre se trouvent dans les autres Fokontany.
1.4.3 L’HOPITAL
Il y en a un CSB II dans le FokontanyAvaratsena ; ce qui est le seul dispensaire de
Soavinandriana mais notamment il y a un hôpital à SoavinandrianaAmbony et les
pharmacies sont un peu vieux dans cette ville.
~ 18 ~
1.4.4 LES BORNES FONTAINES
Le Fokontany possède 4 fontaines publiques et actuellement il n’en reste que 2 et cela
implique que la distribution des puits des personnes qui habitent dans le Fokontany se
caractérise par des pompes auprès des ménages ; c’est-à-dire que dans le Fokontany : les
quartiers qui possèdent une fontaine publiques sont : Avaratsena centre et Antranoroa.
1.4.5 LE SPORTS ET LOISIRS
Il à plusieurs divertissement et jeux dans leFokontanyAvaratsena, Il y a un centre de
lecture à Antranoroa, un Club Foot Ball: AVARATSENA CLUB,ZANDARMA CLUB,
club de basket Ball, club de pétanque, (…) Un club de Foot Ball.
1.4.6 LES RECONSTRUCTIONS ACHEVES
Le Fokontany a reconstruit le rond-point,il y a aussi une construction d’une banque au prés
du rond-point sur le centre ville et il y a aussi une reconstruction de la station TOTAL à
Avaratsena centre.
1.4.7 LES POSTES AVANCES
Il y a des Camps des Gendarmes dans le quartier (avaratrin’caserne), une ancienne prison,
il y a aussi un poste qui protège l’eau et foret a SoavinandrianaAmbony.
1.4.8 LA MAISON D’ALPHABETISATION
Une centra d’alphabetisation des enfants à Soavinandriana c'est-à-dire une école pour les
analphabètes dans la ville, ce centre est construit par les Japonais. Mais qui n’est plus
disponible maintenant car il s’est fermer a cause des raisons convenables au problème
d’investissement et de projet non réalisable.
~ 19 ~
1.4.8 L’ABANDON SCOLAIRE DE SOAVINANDRIANA
Tableau 2 : Répartition des enfants qui ont été scolarisés et viennent d’abandonnés
l’école selon l’âge et le niveau
Source : Statistique d’après le CISCO Soavinandriana, année scolaire 2014-2015
Ce tableau nous montre que le nombre des enfants de 7 a 11 ans qui abandonnent leurs
écoles a un niveau CP2 qui atteint la valeur jusqu’a 82 enne supposant pas le sexe sur le
tableau car le sexe est déjà concerner dans la valeur.. Nous pouvons voir sur ce tableau
que le niveau CP1 avec l’effectif de 103 ce qui implique une forte déscolarisation des
enfants à partir dans ce niveau ; tandis qu’en CM1 l’effectif peut atteindre à 63 ce
correspond a un faible abandon scolaire, ce qui nous mène à obtenir la moyenne de 83. Le
niveau CP2 avec l’effectif de 84 se rapproche de la moyenne d’ou : 83 ≤ 84.
Age
Niveau
] 0 ; 5[
] 5 ; 6[
] 7 ; 11[
] 12 ; 15[
] 16 ; 18[
TOTAUX
CP1
0
75
28
0
0
103
CP2
0
0
82
1
1
84
CE
0
0
54
21
0
75
CM1
0
0
14
48
1
63
TOTAUX
0
75
178
70
2
325
~ 20 ~
CONCLUSION PARTIELLE
LeFokontanyAvaratsenaSoavinandriana représente une source de production qui alimente
l’économie de la commune, c’est à dire que le Fokontany n’est pas tout a fait indépendant
de la ville sur le cadre socio-économique de Soavinandriana car chaque Fokontany
possèdent les registres des nombres de maison, des personnes, des professions, et les fiche
de résidences. Le quartier Manjaka a également ces représentations géographiques et le
FokontanyAvaratsena le délimite avec les autres quartiers.
~ 21 ~
Chapitre 2 repères théorico-conceptuelles
INTRODUCTION PARTIELLE
Dans ce deuxième temps, nous pouvons assister a l’élaboration des concepts de base c’est
à dire la conceptualisation de notre éléments de recherche : l’analphabétisme et l’exclusion
sociale. La conceptualisation veut dire précisément ; donner un sens auxtermes de
recherche ou donner une signification possible aux termes et mener des historiques. Et
cette conceptualisation consiste àpénétrer en profondeur dans l’explication et la réalisation
de l’observation de la problématique énoncer au par avant.
2.1 Conceptualisation
2.1.1 L’ANALPHABETISME
L'analphabétisme est l'incapacité complète à lire et à écrire, ou plutôt pour designer
des personnes qui n’ont jamais été scolarisées, le plus souvent par manque
d'apprentissage.
Étymologiquement l’analphabétisme vient du mot grec an, préfixe privatif, et
d’alphabet, composé du grec alpha, « a »et bêta, « b ».L'analphabétisme désigne l'état d'une
personne analphabète. Il se distingue de l'illettrisme qui est la situation de ceux à qui l'on a
appris à lire et à écrire, mais qui n'en maîtrisent pas l'usage.
Selon la définition contemporaine, l'analphabétisme est une faible capacité de
traitement de l'écrit qui nuit au bon fonctionnement en société, tant sur le plan personnel
que social et professionnel. Nous n’incluons donc plus dans cette définition seulement les
personnes qui ne savent ni lire, ni écrire encore moins calculer. Il faut distinguer
l'analphabétisme en pays industrialisé de celui que l'on retrouve dans les pays en voie de
développement.
2.1.2 L’EXCLUSION SOCIALE
L'exclusion sociale est la relégation ou marginalisation sociale d'individus, ne
correspondant pas ou plus au modèle dominant d'une société, incluant personnes âgées,
personnes sujettes à un handicap (physique ou mental) ou autres minorités. Elle n'est
~ 22 ~
généralement ni véritablement délibérée, ni socialement admise, mais constitue un
processus plus ou moins brutal de rupture parfois progressive des liens sociaux.
Ce terme a commencé à trouver un usage social courant dans les années 1980 dans les
sociétés postindustrielles. Alors que le phénomène de mise à l'écart se retrouve dans de très
nombreuses sociétés et remonte à des temps anciens, le phénomène actuel d'exclusion
sociale ne recouvre pas forcément, ni exactement, celui de la pauvreté. L'une des
expressions dominantes des sociétés occidentales est la participation active au marché du
travail. Nombre de chômeurs se sentent exclus socialement.
Le concept d’’exclusion sociale’ peut se définir, en général, selon deux grands
principes dépassant le caractère trop économique, voire monétaire du concept de pauvreté.
Le premier est une conception « institutionnaliste et juridique » « correspondant à la non-
réalisation des droits sociaux de base garantis par la loi ». Les politiques de lutte contre
l’exclusion sont entendues comme la création et l’extension des droits sociaux, « l’idée
d’une citoyenneté retrouvée ». C’est la définition retenue par l’Observatoire européen des
politiques nationales de lutte contre l’exclusion sociale. Une telle conception intensifie
l’exclusion pour les personnes qui demeurent en dehors des ayants droit. Comme second
principe, l’auteur reprend une définition de l’exclusion sociale de R. Castel. Elle part du
contexte d’évolution technologique et sociale comme source d’exclusion. L’exclusion
sociale est alors définie soit « comme une incapacité d’expression de la situation vécue
[…], c’est-à-dire une anomie sociale », soit comme engendrant « une culture de l’exclusion
[…], des modes de vie spécifiques dans des groupes sociaux considérés par la société
comme déviants, voire dangereux ».
Souvent, « l’exclusion sociale ne devient réelle, médiatique, que lorsqu’elle devient
une menace pour la société ». Une définition « scientifique » de l’exclusion sociale est peu
crédible « dans la mesure où […]elle révèle, sur une réalité sociale, les choix des groupes
sociaux qui emploient ce concept […]. La connaissance de l’exclusion sociale n’existe
qu’à travers les représentations dominantes. »
Un tel concept est donc imprécis et mouvant, et de nombreuses expressions sont
employées comme synonymes ou comme compléments : précarité, vulnérabilité,
marginalisation, discrimination sociale, ségrégation sociale, etc.Une autre difficulté de
définition du concept est « la perte des grands schémas de pensée sociale, d’explication
~ 23 ~
globale des sociétés et de leur évolution » (essentiellement marxisme)qui ne permet pas
d’explication globale et admise de l’exclusion.
L’exclusion est avant tout perçue comme une « marque profonde de
dysfonctionnement de la société, prenant une multiplicité de formes et qui se caractérise
par « un processus à la fois temporel (« qui est exclu aujourd’hui sera exclu demain »),
spatial et social (« qui est exclu est entouré d’exclus »)". « S’il existe un fort consensus
autour de quelques dimensions dominantes de l’exclusion sociale telles que l’absence de
ressources, l’exclusion du marché du travail, l’éducation et la formation professionnelle, le
logement, enfin la santé, ensuite, au-delà de ce cœur de l’exclusion, la variation des thèmes
de l’exclusion est très grande : ville, parole, réseau social, violence, délinquance, ethnies,
etc. C’est la raison pour laquelle il est préférable de parler et de réfléchir sur les exclusions
sociales, au pluriel ».
2.2 L’analphabétisme dans le contexte actuel
L'alphabétisation est un motif de réjouissance pour l’humanité qui a accompli des
avancées spectaculaires en la matière, le monde compte en effet aujourd'hui près de 4
milliards d'alphabètes. Dans le cadre de l’évaluation nationale des OMD en 2012, le taux
d’alphabétisation a été estimé à 71,6% au niveau national. Entre 2005 et 2010, une
amélioration de 8,4 points de pourcentage du taux d’alphabétisation chez les femmes et de
8 points chez les hommes a été enregistrée.
A Madagascar, L’écart de la valeur maximale (93,6%) et de la valeur minimale
(35,1%) enregistrées respectivement dans les régions Analamanga et d’Androy démontre
le niveau élevé des disparités dans les 22 régions. Cinq régions sur les 22 ont en 2010 un
taux d’alphabétisation inférieur à 50%. Selon les partenaires financiers et techniques, ce
taux devrait être atteint au niveau national dans les années à venir à condition que les
partenaires continuent à apporter leur soutien.
L'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture
(UNESCO) contribue d’ores et déjà à ce secteur et c’est d’ailleurs l’UNESCO qui a décrété
la Journée internationale de l’alphabétisation
Depuis 40 ans maintenant comme tous les autres pays, Madagascar a célébré la
Journée internationale de l’alphabétisation (JIA) le 08 septembre. Pour cette année, la
~ 24 ~
région ITASY eut l’honneur d’accueillir la célébration à cause de la présence des
associations et des partenaires du Ministère de l’Education nationale (MEN) qui sont
implantés dans la zone. Les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD 2015)
visaient à faire chuter à 27,5% le taux d’analphabétisme à Madagascar.
2.3 Historique de l’exclusion sociale
L’expression « exclusion sociale » trouve son origine dans l’ouvrage de René
Lenoir : « Les exclus », paru en 1974.Dans les années 1960-1970, ce concept n’existe pas,
seul le concept de « retrait social » est employé pour désigner une pauvreté
« unidimensionnelle », essentiellement économique, en voie de disparition du fait de la
croissance économique et des institutions de protection sociale.
A partir de 1975, les représentations mentales changent, l’existence des pauvres est
reconnue et ’découverte’ sous l’appellation de ’nouveaux pauvres’". Les concepts de
’pauvreté multidimensionnelle’ et d’’exclusion sociale’ apparaissent. Le concept de
pauvreté se définit principalement par la faiblesse des ressources économiques et, plus
largement, par les déficiences dans plusieurs domaines de sociabilité (revenu, emploi,
éducation, logement, etc.)très souvent liés.
L’expression « exclusion sociale » est pour ainsi dire consacrée dans le rapport du
Père Joseph Wresinski, fondateur d’ATD Quart Monde, intitulé «GRANDE PAUVRETÉ
et PRÉCARITÉ ÉCONOMIQUE et SOCIALE » présenté au Conseil Economique Social
et Environnemental (CESE) en 1987. Déjà, en mai 1984, un rapport du Comité
économique et social régional d’Ile-de-France est fait sur « le logement des personnes
exclues ou en voie d’exclusion sociale » mais le Père Wresinki élargit ce constat
d’exclusion à tous les aspects de la vie sociale et insiste sur l’absence de participation à la
vie sociale et citoyenne des plus pauvres.La pauvreté n’est donc pas uniquement matérielle
mais aussi et sans doute d’abord relationnelle puisqu’elle a attrait au lien social qui est
considéré comme altéré. En France, où le Produit Intérieur Brut est un des plus élevés de la
planète, le partage et la solidarité ne permettent pas de vaincre la grande pauvreté qui est
caractérisée par la précarité et un phénomène très répandu d’exclusion.
Il y a aussi un facteur d’isolement et d’exclusion sont aussi des concepts dire
statique dans les différentes sociétés partout dans le monde.Les facteurs d’exclusion à la
~ 25 ~
rue sont bien connus. Les personnes SDF accumulent des ruptures relationnelles qui les
conduisent à s’isoler et à rejoindre l’anonymat de l’espace public des grandes métropoles.
Les ruptures relationnelles peuvent concerner l’enfance quand les enfants ont été orphelins,
ont été placés ou ont eu à subir des violences. A l’âge adulte, ces ruptures concernent la vie
affective et l’activité professionnelle et peuvent être la conséquence de pathologies
mentales. Jean Furtos, psychiatre à Lyon, décrit le syndrome de l’auto-exclusion chez les
personnes en précarité à la rue qu’il rencontre en consultation. Les personnes concernées
ne sont plus en capacité de penser leur situation, fuient l’aide ou ne la supportent pas,
vivent une errance qui leur évite de s’attacher, n’éprouvent pas ou peu de sentiments, de
désirs, d’émotions. Ils sont comme pour ainsi dire « auto-anesthésiés ».
2.4 Le structuro fonctionnalisme et la sociologie de
l’éducation et l’inégalité social
Nous avons utilisé la méthode structuro-fonctionnalisme l'ouvrage pendant
longtemps qui se repose sur un postulat fondamentale que Robert King Merton
appelle : « le postulat fondamental de la » et Alfred Radcliffe Brown fonction d’un usage
sociale particulier c’est la contribution qu’il apporte à la vie considérée comme ensemble
du fonctionnement du système social »selon Claude Levi Strauss, ce courant de pensé reste
marqué par l’influence des théories organites. La sociologie des inégalités s'est structurée
autour des travaux bien connus de Pierre Bourdieu et Raymond Boudon dans les années
1970 en sociologie de l'éducation.
En sociologie de l'éducation se veut plus microsociologique que macrosociologique
; elle s'intéresse alors aux contextes locaux de l'enseignement pour mettre en évidence des
« effets établissement » et des « effets maître », ces derniers à travers la prise en compte
des pratiques pédagogiques des enseignants ; elle s'intéresse aussi aux stratégies éducatives
élaborées par les familles ou à l'inégalité des carrières scolaires entre les sexes
Sur l’inégalité sociale Alain Girard met le doigt sur les inégalités massives à
l’école. La démocratisation a lieu jusque dans les années 60 puis, ralentit, et stoppe. On
trouve des enfants d’origines défavorisées qui se retrouvent massivement dans des « voies
de garage ». Ils s’enfoncent dans l’échec scolaire et sortent sans formation à 16 ans
~ 26 ~
L’enfant intériorise cet échec scolaire (honte pour lui).Paradigme du positionnement
(sociologie), paradigme de l’expérience (psychologie).
« Le processus même d'alphabétisation donne le sentiment que naît un monde où
tous les groupes sociaux, tous les individus ont quelque chose en commun, au-delà des
différences de statut économique. On peut à la rigueur dire que l'alphabétisation "est" la
naissance de la démocratie en tant qu'égalité des conditions »
Emmanuel Todd - Après la démocratie
On met l’échec scolaire sur la « place publique ». Par l’évaluation les enfants
savent leur niveau entre eux (l’enfant étiqueté échec scolaire est amené à échoué et ceux
étiquetés réussite amenés à réussir).L’opinion publique découvre ce que l’on fait sur
l’école (problème d’égalité). Cela va troubler les enseignants et va mener à des débats dans
la société. Les enseignants vont se rendre compte que ce sont certaines classes qui ne
réussissent pas.
CONCLUSION PARTIELLE
En ce que nous avons vu sur les théories pratiques et les contextes actuels de
l’analphabétisme et l’exclusion sociale, nous pouvons énumérés les techniques et
méthodologies de recherche dans le chapitre suivant, c est à dire que notre recherche
s’alimente beaucoup sur des donnés quantitatifs que sur des données qualitatifs .Dans le
prochain chapitre nous pouvons trouver les résultats et les aspects important de notre
problème.
~ 27 ~
Chapitre 3 la méthodologie de la recherche
INTRODUCTION PARTIELLE
En ce qui concerne la méthodologie de la recherche ; il suffit simplement de mentionner
sur les technique de recueille des données les rubriques de réception qui va être récemment
très nécessairesa notre recherche c'est-à-dire que nous avons utilisées des outils durant
l’enquête pour mieux capter et recueillir les données.
3.1 Les matérielles utiliser
Nous avons utilisés un dictaphone a fin d’enregistrés les paroles des interviewés, nous
avons aussi utilisés un bloc note qui nous semble très utile pour notre enquête a fin de
garder les éléments important dans notre recherche.
3.2 Le type de documents
Nous avons recueillis des documents nécessaire comme : opinions des enquêtés, tableaux
représentant les éléments constitutifs, documentation.
3.3 Les types d’enquête
3.3.1 ENQUETE PRELIMINAIRE
Cette enquête est la première étape de notre recherche. Elle est nécessaire pour faire un
échantillonnage réduit des instruments (questionnaires et analyses préparatoire pour
effectué l’enquête)
3.3.4 OBSERVATION PASSIVE
Nous avons effectué aussi des observations passives a partir d’un point de stratégique ; la
vie de la population et sa caractéristique et nous avons eu des éléments nécessaires à notre
thème
3.3.5 INTERVIEW
Nous avons enquête directement nos enquêtes dans le
FokontanyAvaratsenaSoavinandrianaquatierManjaka, nous avons posé des questions pour
avoir des informations nécessaire.
~ 28 ~
CONCLUSION PARTIELLE
Notre enquête consiste notamment a réaliser un recherche sur le problème
d’analphabétisme et l’exclusion sociale ; malgré les techniques de recherche que nous
avons mis en main, il semble être utile la facilitation de la présentation des différentes
contexte et les conceptualisations du problèmes que nous avons vue en première parties de
notre recherche ; dans le cas ou notre étude a été basé respectivement sur les deux
problèmes de l’enseignement, précisément les deux problèmes sociaux , nous aimons
améliorer les contenues de notre rapport de stage sur le technique et préparation des
résultats obtenus après l’enquête.
~ 29 ~
DEUXIEME PARTIE
TECHNIQUE ET TRAITEMENT DES
RESULTATS DE NOTRE ENQUETE
~ 30 ~
Chapitre 4 Déperdition scolaire et
faible niveau d’instruction
4.1 Représentation de la population enquêtée
Les personnes que nous avons enquêtées est représenté dans le tableau suivant : c'est-à-dire
les 50 personnes
Tableau 3 : Répartition de la population adulte selon le sexe
Sexe
Effectif
Pourcentage(%)
Masculin
14
28
Féminin
36
72
TOTAL
50
100
Source : Selon l’enquête personnelle dans leFokontanyAvaratsenaSoavinandriana
(Manjaka), octobre 2016
D’après ce tableau, nous pouvons constater que l’effectif total de la population est
de 50, et l’effectif qui prend le maximum de valeur est le 36 et le minimum est le 14, ce qui
implique 72% de la population est de sexe féminin et 28% est de sexe masculin c’est a
dire que les femmes sont très nombreuses que les hommes. Nous pouvons voir ainsi que
2 /3 de la population est de sexe féminin et 1/3 est de sexe masculin. Nous pouvons
déterminer la moyenne notée m sur l’effectif totale de 50, et nous avons vue que m=
25 ; c'est-à-dire nous avons 25 personnes adultes en moyenne. Et la moyenne se trouve
entre 14<m<36. Avec 14< 25 <36 et nous pouvons constater que la valeur minimal 14
correspond a 28% et le maximum 36 correspond a 72 % et la moyenne 25 correspond a
50% de la population.
~ 31 ~
4.2 Le niveau d’instruction faible des adultes
Pour mieux connaitre l’existence d’un niveau d’instruction faible
duFokontanyAvaratsenaSoavinandriana, et pour plus de précisions ; nous pouvons adopter
le tableau suivant :
Tableau 4 : Répartition de la population selon le sexe et le niveau d’étude des adultes
sexe
Niveaux
Masculin
Féminin
TOTAUX
Supérieur
o
5
5
Secondaire
1
8
9
Primaire
7
9
16
Analphabètes
6
14
20
TOTAUX
14
36
50
Source : Selon l’enquête personnelle dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana
(Manjaka), octobre 2016
Ce tableau consiste à mettre en relation le niveau d’instruction faible et le sexe. Le
tableau nous montre que les personnes qui ont de sexe féminin tiennent une valeur
important de 14 et elles sont analphabètes tandis que le plus petit est le 0. . Précisons
d’après l’observation du tableau la moyenne pour les effectifs : si nous prenons la valeur le
plus important 14 et la valeur qui est faible 0 ; c'est-à-dire que 0 < m <14, prenons comme
formule (0+14)/2, m= 7.Nous pouvons voir sur le tableau ci-dessus que la valeur 8 et 9
mentionné sur le tableau se rapproche respectivement de la moyenne. La valeur 9 prend
l’aspect du niveau d’instruction faible très important : Féminin primaire. En générale les
analphabètes compte en total de 20 personnes et les personnes a faible niveau d’instruction
compte en total de 30 en ne considérant pas les exclus dans le quartier (Manjaka).
~ 32 ~
4.3 Le taux d’analphabétismeélevé des adultes
4.3.1 LE TABLEAU QUI REPRESENTE LE TAUX D’ANALPHABETISME
ELEVE
Le taux d’analphabétisme et le taux des autres niveaux d’instruction sont représentés sur le
tableau suivant :
Tableau 5 : Repartions de la population selon le niveau d’étude des adultes
Source :Selon l’enquête personnelle dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana
(Manjaka), octobre 2016.
Ce tableau nous montre que le taux d’analphabétisme atteint jusqu’à 40% tandis
que l’affaiblissement du niveau d’instruction atteint jusqu’à 60% en totale. Le tableau aussi
montre que les analphabètes sont les plus nombreux que le nombre de personnes à niveau
d’instruction faible. Le niveau Primaire sur le niveau d’instruction faible a un nombre de
personne très élevé par rapport aux autres niveaux d’instruction et qui est égale à 16. Nous
pouvons voir sur ce tableau qu’a peut près la moitié du nombre des adultes sont des
analphabètes.
Niveaux
Effectifs
Pourcentages(%)
Supérieur
5
10
Secondaire
9
18
Primaire
16
32
Analphabètes
20
40
TOTAUX
50
100
~ 33 ~
4.3.2 LA GRAPHIQUE QUI REPRESENTE LA HAUSSE DU TAUX
D’ANALPHABETISME
Le graphe dispose les différentes fréquences du taux de l’analphabétisme avec les niveaux
d’instruction dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandrianaQuartier Manjaka
Graphe 1 : Le taux d’analphabétisme élevé sur le niveau d’instruction
Source : Selon l’enquête personnelle dans le Fokontany
Legraphe ci-dessus représente les pourcentages des niveaux d’instruction, chaque
secteurreprésenteles différents niveauxd’instructions faibles. Nous pouvons voir sur ce
graphe que le taux d’analphabétisme atteint jusqu'à 40% ce qui implique un taux
d’analphabétismeélevé par rapport aux autresniveaux d’instructions. Dont le niveau
supérieur est le niveau d’instruction qui prend le minimum de pourcentage sur le graphe
avec la valeur de 10% qui signifie un effectif faible. Dont, nous pouvons en déduire la
moyenne mqui se situe entre le maximal de pourcentage 40% et le minimal de
pourcentage qui est de 10%, d’où la formule se présente comme : (40%+10%)/2 : 25%,
donc la moyenne de 25% appartient au niveau primaire si nous observons les secteurs dans
le tableau ci-dessus.
10 %
18%
32%
40%
TAUX D'ANALPHABETISME
Supérieur
Secondaire
Primaire
Analphabètes
NIVEAU
D'INSTRUCTION
~ 34 ~
4.4 Le taux d’exclusion sociale des adultes très élève
Il nous permet de déduire le rapport entre le nombre des personnes exclus dans le
Fokontany a partir des personnes que nous avons enquêté.
4.4.1 LE GRAPHIQUE QUI REPRESENTE LE TAUX D’EXCLUSION
SOCIALE TRES ELEVE
Tableau 6 : Répartition de la population selon le sexe et l’exclusion
Source:Selon l’enquête personnelle dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana
(Manjaka), octobre 2016.
Le tableau ci-dessus nous montre l’effectif de la population qui est exclus par
rapport au ce qui n’est pas exclus c'est-à-dire qu’en total y en a 34 personnes exclus dans le
quartier de Manjaka ce qui implique que le taux d’exclusion dans ce quartier est très élevé
par rapport aux taux d’analphabétisme et au taux du niveau d’instruction faible. Nous
pouvons aussi noter que 68 % de la population enquêtée sont exclus et 32% de cette
population ne sont pas exclus avec l’effectif de 16 personnes, le tableau montre aussi une
forte existence des personnes exclus sur la valeur de 15 qui prend la valeur maximal qui
correspond au féminin, exclus, avec niveau d’instruction faible et c’est ainsi aussi que se
Sexe
Niveau
Masculin
Féminin
TOTAUX
Exclus
Pas exclus
Exclus
Pas exclus
Niveau
d’instruction
faible
6
2
15
7
30
Analphabètes
3
3
10
4
20
TOTAUX
9
5
25
11
50
Pourcentage
(%)
18
10
50
22
100
~ 35 ~
présente dans le tableau ; l’effectif des personnes non exclus qui prend la valeur minimal
de 2 qui correspond au masculin, pas exclus, avec un niveau d’instruction faible.
4.4.2 LE GRAPHIQUE QUI REPRESENTE LA HAUSSE DU TAUX
D’ANALPHABETISME
Le graphe qui représente le taux d’exclusion sociale dans le
FokontanyAvaratsenaSoavinandrianaQuartier Manjaka
Graphe 2 : Le taux d’exclusion élevé selon le sexe
Source : Selon l’enquête personnelle dans le Fokontany
Le graphe ci-dessus représente les pourcentages des personnes et non exclus,chaque
bâtonnet représente l’effectif et le sexe. Nous pouvons voir sur ce graphe que le taux
d’exclusion atteint jusqu'à 68% ce qui implique un taux d’exclusion très élevé par rapport
aux taux de non exclus qui est de 32%. Dont l’effectif maximalprend la valeur de 34 et la
valeur qui prend le minimum de pourcentage sur le graphe est le 16 qui signifie un effectif
faible. Nous pouvons en déduire aussi la moyenne du pourcentage a partir de l’effectif
élevé dans le graphe c'est-à-dire en prenant en compte la variable effectif : d’où la valeur
et 32, notons m la moyenne, dont m se trouve entre 34 et 16 la formule de base se fait
32%
68%
0
5
10
15
20
25
30
35
40
EXCLUS PAS EXCLUS
TAUX D'EXCLUSION TRES ELEVE
5 - 11 - 32
9 - 25 - 68
Effectif
Feminin 34
Masculin
16
NOMBRE ET
POURCENTAGE
DES EXCLUS ET
PAS EXCLUS
~ 36 ~
comme : (34+16) /2 : 25 et qui correspond a une fréquence de 50%, c’est dire qu’en
moyenne le pourcentage de l’exclusion repose sur 50% .
4.5Les niveaux d’étude très faible des adultes qui sont
représentés sur une tranche d’âge
Tableau 7 : Répartitions des personnes adultes enquêtées par sexe et par classe d’âge
Source : Selon l’enquête personnelle dans le FokontanySoavinandrianaAvaratsena
(Manjaka), octobre 2016
Ce tableau nous montre la relation entre niveau d’instruction et classe d’âge. Nous
pouvons constater qu’il existe un effectif élevé qui est égale a 12 et qui appartiennent a un
niveau d’instruction faibles et qui se situe entre]18 ; 30[ans et l’effectifs le plus petit est le
0 qui appartient a un niveau d’instruction faible et qui se situe entre]70 ; 90[ans. Nous
pouvons déterminer la moyenne a partir de l’effectif le plus élevé et l’effectif le plus petit,
c'est-à-dire que le m se trouve entre les deux effectifs : 0<m <12. La moyenne qui est
égale a 6. C’est à dire 0< 6 <12 signifie que l’effectif qui touche ou qui rapproche de ce
ma une valeur stable au près des personnes enquêtées. Nous pouvons aussi insister que la
médiane de la moyenne 6, parce que cette valeur se trouve entre 5 et 11 dans le niveau
d’instruction ce qui implique une effectif cumulé. Nous constatons maintenant que la
médiane 46 ans qui situe entre]30 ; 50[.
Niveau
classe
d’âge
Analphabètes
Les niveaux
faibles
TOTAUX
] 18; 30[
7
12
19
] 30 ; 50[
6
10
16
] 50 ; 70[
2
8
10
] 70 ; 90[
5
0
5
TOTAUX
20
30
50
~ 37 ~
CONCLUSION PARTIELLE
Notre étude nous mène généralement a bien connaitre les causes de l’analphabétisme et
l’exclusion sociale, d’après ce que nous avons vue au par avant, nous pouvons constater
que le principale cause est l’abandon scolaire de ces adultes c'est-à-dire que ces adultes ont
décrochés de leurs écoles quand elles étaient encore en classe durant leur enfance. Dont,
nous allons insister prochainement sur le deuxième cause probable a notre problème
comme : les causes économiques et infrastructurelles.
~ 38 ~
Chapitre 5 les causes économiques et
infrastructurelles
5.1 Problèmes financiers
5.1.1TABLEAU QUI REPRESENTE LES SALAIRES DES PERSONNES QUI
TRAVAILLENT DANS LE QUARTIER
Les causes de l’analphabétisme chez les villageois se basent sur le manque d’argent :
Tableau 8 : Répartition des salaires que peuvent gagner les personnes adultes enquêtées
Salaire journalière
(en milliers d’Ariary)
Effectifs
Pourcentage(%)
[0-1[
8
17 ,39
[1-3[
20
43,47
[3-5[
14
30,43
[5-7[
3
6,54
[7-9[
1
2,17
TOTAUX
46
100
Source : selon l’enquête personnelle dans le
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana(Manjaka), octobre 2016
Nous constatons sur ce tableau que les nombres de personne qui gagnent entre [1-
3[en milliers d’Ariary est de 20, avec une fréquence de 43,47% et le nombre de personne
qui gagne entre [7-9[en milliers d’Ariary est égale a 1, avec une fréquence de 2,17% ;
maintenant que les adultes que nous avons enquêtés gagnent en moyenne de 2500 Ariary
en une journée ce qui implique une faible revenue des parents. Nous pouvons voir sur ce
~ 39 ~
tableau que la moyenne m se trouve entre la valeur le plus important et la valeur le plus
faible, c'est-à-dire : 1< m<20, avec m= (20+1)/ 2 alors m= 10,5 dont : 1< 10,5<20.
5.1.2 LE GRAPHIQUE QUI REPRESENTE LES SALAIRES JOURNALIERS
Le graphe qui représente les salaires quotidiens des personnes enquêtées dans le
FokontanyAvaratsenaSoavinandrianaquartier Manjaka
Graphe 3 : Le taux d’exclusion élevé selon le sexe
Source : Selon l’enquête personnelle dans le Fokontany
La courbe ci-dessus représente les salaires journaliers des personnes que nous avons
enquêtées, dont nous observons a partir de ce courbe que le sommet ou le pic de la courbe
se pointe jusqu'à l’effectif de 20 personnes ce qui implique un salaire qui se situe entre le
[1-3[, c'est-à-dire les personnes qui gagnent entre 1000 et 3000 Ar par jour. Donc si nous
déduisons la moyenne mavec la variable salaire, d’où m : (1+3)/2 : 2, Donc nous
pouvons affirmer qu’en moyenne la moyenne salariale est de 2000 Ar. Si nous observons
cette courbe, il ya une croissance du premier tranche de 8 à 20 et une diminution de 20
jusqu'à 1, et dont la valeur 1 est l’effectif minimal dans cette courbe.
0
5
10
15
20
25
[0-1[ [1-3[ [3-5[ [5-7[ [7-9[
SALAIRES JOURNALIERS
Total
Salaire en
(miliers d'
Ariary)
Effectif
~ 40 ~
5.2 Déséquilibre sur le secteur du travail (secteur
informel)
Tableau 9 : La répartition de la population selon leurs statuts et leurs secteurs d’activités
Source : selon l’enquête personnelle dans leFokontanyAvaratsenaSoavinandriana
(Manjaka), octobre 2016
Nous pouvons assister sur ce tableau qu’il existe un effectif élevé qui prend la
valeur de 12, qui correspond a des mères qui ont pour fonctions de ménagère. Nous
pouvons constater aussi que la valeur le plus petit est le 0 et les nombres de la valeur 0
compte 7, il existe aussi sur le tableau la valeur 1 qui touche le nombre de 4 et notamment
la valeur 5 et 6 compte 2. Ce qui nous implique une forte concentration de la valeur 0.
Tandis que la valeur 12 est supérieur a 0, c'est-à-dire 0< 12 et si nous admettons que la
moyenne se trouve entre l’intervalle de 0 a 12. Nous pouvons voir le résultat comme suit :
0< m<12, avec m= (12+0)/2 ; donc m=6. Nous voyons maintenant que la moyenne
ressemble à celle de la valeur 6 qui a été prescrite sur le tableau. On peut dire alors que la
Statuts
Secteurs
d’activités
Père
Mère
célibataire
TOTAUX
ménagère
0
12
0
12
Vendeur
1
4
0
5
Cultivateur
6
8
1
15
Domestique
0
6
0
6
Macon
5
0
1
6
Chômeurs
1
5
0
6
TOTAUX
13
35
2
50
~ 41 ~
moyenne m=6, et la valeur 6 sont proportionnels à une relation entre le statut et les
fonctions des adultes duFokontanyAvaratsenaSoavinandriana.
5.3 Le non scolarisation de l’enfant des adultes enquêtés
Tableau 10 :Répartition des enfants scolarisés et non scolarisés selon leur sexe
Enfants des
enquêtés
Sexe
Nombre d’enfants
scolarisés
Nombre d’enfants non
scolarisés
TOTAUX
Masculin
21
28
49
Féminin
30
65
95
TOTAUX
51
93
144
Source : selon l’enquête personnelle dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana, octobre
2016
Ce tableau représente la relation entre le variable sexe et les enfants scolarisés et
non scolarisés .Nous voyons sur ce tableau que les enfants de sexe féminin qui sont non
scolarisés prend la valeur maximal de 65 ce qui implique une faible croissance du niveau
d’instruction, le nombre d’enfant scolarisé pour les enfants masculin est de 21 qui
correspond a une valeur minimal et qui va qui impliqué une déstabilisation de l’instruction
du sexe masculin face au sexe féminin. Et nous pouvons annoncer qu’en total, il y en a 93
d’enfants non scolarisés et 51 enfants scolarisés, le nombre total des enfants atteint jusqu'à
144 personnes.
~ 42 ~
CONCLUSION PARTIELLE
Nous pouvons dire qu’à part les causes économiques et infrastructurels de
l’analphabétisme et de l’exclusion sociale, nous constatons que les adultes que nous avons
enquêtés ont d’ailleurs des filles et des fils qui n’aient pas a l’école pourtant ces adultes ont
des situations financières très réduites et très faible, dont les résultats que nous avons
obtenus après notre enquête ; nous facilite la recherche afin de trouvé la solution
convenable a notre problème. Mais nous allons en derniers temps insisté à pénétrer dans
les causes concernant la résistance culturelle et le problème psychologie dans le dernier
plan de notre recherche.
~ 43 ~
Chapitre 6 la résistance culturelle et
problème psychologique
6.1 Les problèmes personnels et familiaux
Tableau 11 : Répartition de la population selon les causes de l’abandon scolaire et de
l’analphabétisme
Source : selon l’enquête personnelle dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana
(Manjaka), octobre 2016
Ce tableau représente les causes de l’abandon scolaire et de l’analphabétisme et de
l’exclusion sociale dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana, il nous montre que la
Causes de l’abandon scolaire
Effectifs
Volonté de ne plus continué l’étude
(paresse, stresse)
8
La difficulté de la vie (demeure,
situation familiale, c'est-à-dire qu’une
exclusion dans la famille)
10
Les parents sont décédés
5
Les parents sont pauvres
14
Problème physiologique et Sanitaire
6
Affectation de l’enseignante
2
Les parents sont divorcés
4
Les parents ne les envoient pas à
l’école car ils pensent que ces fortunes
sont assez suffisantes pour mettre en
héritage àleurs descendants ou leurs
héritiers
1
TOTAUX
50
~ 44 ~
principale cause de l’abandon est le faite que les parents sont pauvres ; et le nombre de ces
personnes qui ont abandonné leur étude auparavant est égale à 12. Et tandis que le nombre
minimal de personne dans le tableau est de 1 et qui correspond ala coutume traditionnelle.
6.2 Les cause de l’exclusion sociale
Tableau 12 : Répartition de la population selon la raison de l’exclusion sociale et le sexe
Source : selon l’enquête personnelle dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana
(Manjaka), octobre 2016
sexe
causes de l’exclusion
masculin
féminin
TOTAUX
La personne pense qu’elle n’a pas de compétence si assez
efficace pour prendre des décisions et de participer a une
réunion inter quartier dans le Fokontany c’est à dire
qu’elle n’a pas de diplôme, analphabète, a un faible
niveau d’instruction, (…)
5
8
13
La personne est victime d’une humilité envers leur
proche car elle à un niveau de vie faible c’est à dire une
économie personnelle à faible revenu ou pauvre, elle
pense qu’elle n’est pas présentable avec de beau linge,
ces vêtement ne sont pas propres et qui sont déchirés,
(…)
3
2
5
La personne vit dans une famille très traditionnelle c’est
que cette famille respecte toujours un rite que les
« zandri-olona » ne doit pas parler avant le « zoki-olona »
alors la personne qui est le plus jeune âge se sente exclu
a part de cette interdiction.
1
0
1
La personne a des traits négatifs ou des faiblesses
personnelles c’est adire qu’elle est handicapée,
« boboka », malade par des maladies
infectieuses, « aretina- mitaiza » (…)
3
7
10
La personne est aussi victime d’une exclusion volontié
parce qu’elle avait peur, complexée, timide de ce qu’elle
est alors elle ne participe pas a des réunions, et entre
rarement dans un bureau parfois jamais entrer. Ces
problèmes psychologiques sont aussi les facteurs de
l’analphabétisme
4
1
5
TOTAL
16 18 34
~ 45 ~
Ce tableau nous montre que l’effectif de 8 personnes qui sont de sexe féminina
pour cause de l’exclusion : humilité par rapport à leur niveau d’instruction et leur manque
de diplôme ou de compétence acquise, c'est-à-dire que cette valeur corresponde à une
hausse de l’intensité de l’effectif tandis que la valeur 0 correspond l’intensité minimale.
Donc en moyenne nous pouvons voir que la moyenne se situe entre la valeur 0 et la valeur
8 c'est-à-dire 0<m<8 ; avec m : (0+8)/2 : 4 , ce qui implique qu’en moyenne 4 personnes
dans les valeurs présentées sur le tableau sont exclus de leur sociétés.
6.2 Les avis et les opinions des enquêtés sur le ré
instruction d’adulte
Tableau 13 :Rapport entre statuts et opinions pour le ré instruction dans un centre
d’alphabétisation ou une campagne d’alphabétisation.
Opinions
Statuts
Acceptée
Refusée
TOTAUX
Père
8
5
13
Mère
26
9
35
Célibataire
1
1
2
TOTAUX
35
15
50
Source : selon l’enquête personnelle dans leFokontanyAvaratsenaSoavinandriana, octobre
2016
Ce tableau nous montre les mères qui acceptent le ré instruction et détient la valeur
de 26 ce qui implique que c’est le nombre le plus grand et nous voyons aussi les deux
célibataires, dont l’un a acceptée le ré instruction et l’autre a refusée et qui a la valeur de 1.
Nous pouvons voir aussi la moyenne avec les valeurs le plus important 26et celle du plus
faible 1, notons la moyenne en m = (26+1)/2 ; donc m= 13,5. Ce qui implique
respectivement une moyenne qui approche la moyenne de la population total qui est égale
~ 46 ~
a 50, c'est-à-dire la moyenne de 13,5 rapproche de la moyenne 9 qui correspondent à des
mères qui ont refusées le réinstruction.
CONCLUSION PARTIELLE
Pour conclure a tous ce que nous avons vue au par avant sur les résultats de notre enquête,
nous voulons adorablement mener des solutions qui sont aptes pour résoudre notre
problème qui sont devenus des problèmes sociaux dans le
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka), la réalité en ce recherche : c’est que
l’analphabétisme et l’exclusion sociale se présente toujours comme une barrière au
développement du Fokontany et c’est pour cela que nous allons entrer dans les résolutions
de la problèmes et les discussions et analyses.
~ 47 ~
TROISIEMEPARTIE
APPROCHE PROSPECTIVE DE LA
RESOLUTION DE LA PROBLEMATIQUE
~ 48 ~
Chapitre 7 : Analyse, bilan et discussion
INTRODUCTION PARTIELLE
Les 11 tableaux de notre de recherche montrent les résultats que nous avons reçus
pendants nos enquêtes dans le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka). Pendant la
période de notre enquête sur terrain environ 2 semaines, nous avons évoqués tous les
éléments très utiles dans notre recherche. L’enquête a été réalisée suivant les démarches à
méthode qualitative et quantitative, qui repose structurellement sur les méthodes
sociologiques et psychologiques et statistiques. Les observations effectuées sur les résultats
nous apportent des réflexions suffisamment récentes dans le but de faire une analyse
globale et spécifique.
7.1 Préparation d’une analyse globale
Le tableau 3 et 4 et 7renferme: les populations enquêtés et le niveau d’instruction faible
Le niveau d’instruction est faible parce que les adultes que nous avons enquêtées
n’atteignent pas le niveau supérieur de l’enseignement sauf 5 personnes qui a atteint le
3eme et le 2nde
. L’affaiblissement et déperdition scolaire : ce qui signifie une rupture sur
le l’éducation et un faible niveau d’étude et il adopte aussi le terme d’abandon scolaire, ce
qui implique des conséquences sur l’analphabétisme et le niveau d’instruction. Sachons
maintenant que les causes probables de l’analphabétisme constituent notamment des
problèmes sur la scolarisation, sur le niveau d’étude.
Le tableau 5 : le taux d’analphabétisme élevé
Le taux de l’analphabétisme est très élève parce que dans le quartier, certain de ces
adultes que nous avons enquêtées sont des analphabètes et nous pouvons dire que, les
analphabètes de ce quartier est plus nombreux que les personnes qui ont des niveaux
d’étude très faible. Nous estimons en 40% le taux d’analphabétisme du
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka). C’est à dire que le taux d’analphabétisme
des adultes du Fokontany varie entre 30 à 35%. Mais actuellement il atteint jusqu'à 40%
tandis que le taux du faible niveau d’instruction en totale atteint jusqu'à 60%.
~ 49 ~
Tableau 6 : le taux d’exclusion sociale très élevé
Le taux d’exclusion sociale dans ce Fokontany est très élevé avec la fréquence de 68% par
rapport au taux du non exclu qui détient 32% , et ce qui nous mène à affirmer que vis avis
les problèmes de l’analphabétisme des adultes du quartier Manjaka, il se peut aussi que ces
adultes affronteraient un grand problème social qui va leur subdivisé a une part de classe
sociale et qui va perturber la vie de ces gens c'est-à-dire que cette phénomène mettra une
grande distance entre les riches et les pauvres ; entre les éduqués et les non éduqués.
Le tableau 8 : problèmes financiers
Dans ce que nous apportons sur la cause de l’analphabétisme et l’exclusion sociale,
dont le problème est surtout concerné sur la manque d’argent des parents des personnes
que nous avons enquêtés.Ces adultes gagnent en moyenne de 2500 Ariary en une journée
ce qui implique une faible revenue des parents C'est-à-dire que leurs parents n’avaient pas
assez d’argent pour investir à l’étude de leurs enfants ou quand même de payer tous les
besoins essentiels a la vie quotidienne. Et ce problème a un rapport avec le manque
d’emploie qui favorise les utilités de leurs enfants.
Tableau 9 : Le déséquilibre sur le secteur du travail
Disons plutôt que les adultes que nous avons enquêtés n’ont pas de travaille très
fixe, mais les chefs de ménages travaille aux champs et cultives la terre, et se base aussi sur
l’élevage. Tandis que les mères de familles s’intéresses aux activités informels ; comme les
petit commerces et les marchandes de rue, elles sont aussi intéressés sur le travail de
domestique et les ménagères. Ca implique beaucoup parce que la vie en milieu rural
dépende du capital journalier. Les 2 problèmes de base se relie beaucoup au sous emplois
qui touche les adultes dans le Fokontany, pourtant le sans emplois c'est-à-dire le chômage
est aussi l’un des facteurs sur le problème d’analphabétisme et de l’exclusion sociale, dont
l’effectif des personnes enquêtées qui ne travaille pas dans le quartier touche le nombre de
6 personnes avec le pourcentage de12% ce qui signifie que le taux de chômage dans le
FokontanyAvaratsena est élevé par rapport aux autresFokontany.
Tableau 10 : Le non scolarisation de l’enfant des adultes enquêtées
Les enfants ne sont pas scolarisés parce que les parent a un problème d’argent, et
nous pensons que lorsque les enfants n’y aillent pas a l’école donc peut être que le niveau
~ 50 ~
d’instruction des parents est faibles, tandis que les problèmes concernant l’analphabétisme
et l’exclusion sociale met aussi un causes du problème de l’éducation des enfants.
Tableau 11:Les causes de l’analphabétisme
Notre étude se base respectivement sur la cause l’analphabétisme et l’exclusion
sociale. Les causes probables de notre étude se présente sur plusieurs aspects, disons :
politique, économique, psychologique. D’après ce qu’on a vue au par avant de notre étude
nous avions assisté sur des causes matérielles, causes financiers, problèmes au niveau du
travail, la situation familiale, mais d’après ce qu’on a vue sur ce tableau nous pouvons
constater que les chômeurs est le plus nombreux.
Tableau 12 : Les causes de l’exclusion sociale
Sur l’origine de l’exclusion sociale, l’idéepeut sortir de l’analphabétisme en tant que
principale cause de l’exclusion sociale. Ce qui va impliquer des nombreux aspects du
problème de l’exclusion que se sont affrontés par les gens qui vivent dans le
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana du quartier Manjaka. L’exclusion demeure comme
un problème irréparable dans le quartier et bloque l’épanouissement de la relation dans la
société et qui réduit le niveau de savoir vivre des gens et de leur comportement.
Tableau 13 : les avis et opinions des enquêtées
Durant l’enquête ; nous avons posé des questions qui puisse nous renseigner et
d’obtenir le base de notre étude c’est à dire, de trouvé les causes de l’analphabétisme et de
l’exclusion sociale. Lorsque notre enquête s’achève, nous étions censé de distinguer le s
opinions pour le ré instruction des adultes en deux catégorie deux réponses. Comme :
Acceptée et Refusée.Par ailleurs nous avons pu constater que 26 mères de famille
ontpuacceptées et 8 pères de famille d’être instruire à nouveau pour mieux ou facilité la
lecture et l’écriture.
~ 51 ~
7.2 Établissement d’un bilan
Portons d’abord les problèmes sur la scolarisation : Les parents possèdent des problèmes
comme : lorsque les enfants n’aille pas l’école, donc ils peuvent être analphabètes ou
illettrées et a leur tours, les enfants ne réussissent pas a l’école et peuvent être devenir des
analphabètes et exclus comme leur parents. Dont les adultes exclus dans le quartier vont
êtredéprimé et vont aussi devenir des bandits, des prostitués, des toxicomanes et a part
cela, ces adultes ne peuvent plus exercer leur devoir quotidienne pour la scolarisation des
enfants et le charge dans le ménage.
Portons ensuite le bilan sur le niveau d’étude : Les enfants qui sont scolarisés mais
qui ont abandonnés l’école plus précipitamment, et ces enfants ont un niveau d’instruction
faible et vont avoir des problèmes pour la recherche d’emploie dont les critères utiles sont
réquisition des diplômes et d’expérience et même d’un niveau d’étude suffisamment élevé
par la sélection des CV se fait à partir des excellentes motivations.
7.3 Lancement d’une discussion
7.3.1 L’ABANDON SCOLAIRE
Nous insistons sur les critiques et discussions sont parfaitement appropriées aux
personnes qui sont les victimes des problèmes de l’éducation à Madagascar. Les enfants
qui ne sont que des simples élèves vont subir des problèmes chez eux, d’où les enfants
vont quittés involontairement et plus précipitamment l’école, sans que les parents
prennentdes solutions convenables a la scolarisation de leurs enfants, c’est dire les parents
de ces enfant qui ont décrochés de l’école se contentent de rester les bras croisé parce
qu’ils pensent que ces enfants peut travailler en restant sans continuer leurs études. Par
contre face a la difficulté de la vie et le sous emploi dans la zone rurale et urbaine en
conséquent certains de ces enfants vont devenir des futurs chômeurs a part pour les
garçons : ils peuvent devenir des bandits ; pour les filles : elles peuvent devenir des
prostitués.
L’analphabétisme des adultes gênent l’éducation des enfants, c'est-à-dire une sorte
d’interrelation entre les problèmes de l’éducation des parents par rapport à l’apprentissage
des enfants. Des parents instruits connaissent la valeur de l’instruction ; ils tiennent à ce
que leurs enfants aillent à l’école. Ils peuvent parler du travail scolaire avec eux et avec
~ 52 ~
leurs maitres, ils savent soutenir l’intérêt des enfants et les aider à franchir les murs,
barrières difficiles. L’éducation des enfants et celle des adultes devraient se mecontente
d’une pédagogie référentielle a l’étranger et s’améliore en suivant l’enseignement moderne
mais que cette pédagogie facilite et renforce les connaissances des maitres et les élèves à
enseigner dans une maximum de culpabilité d’émetteur et de récepteur.
7.3.2 UN TROU SUR LA SOCIALISATION ET SUR
L’ENSEIGNEMENT ET SUR LA PEDAGOGIE D’APPRENTISSAGE
Le problème de la socialisation est l’un des facteurs qui entraine qui entraine
l’exclusion sociale à Madagascar ce qui s’explique : les enfants se sont influencés par la
mondialisation (les jeux vidéo, les internet, les réseaux sociaux,…). Pourtant, à l’absence
des divertissements ou centre de loisir donc lis vont gouter les drogues, les alcools, et vont
essayer de voler, de se transformer à des bandits, prostitués,…) a partir de cela ces enfants
vont être exclus. Il se peut aussi que les problèmes se concerne aussi la famille c'est-à-dire
il y a une manque de réunion familiale avec des petits discours a près le petit déjeuné la
nuit. Dont il n’y pas d’encouragement au niveau des grands parents et même au niveau de
la société.
Au niveau de l’enseignement, l’explication peut se commencer à partir de mauvais
apprentissage de l’enfant : c'est-à-dire en présence des profs ou maitre incompétent ou bien
mal formés,…). En abordant aussi un système éducatif incompréhensible et très libre
c’est à dire les enfants ne sait pas suivre les démarches du système. Il y a aussi une non-
obéissance et la non-qualification des disciplines et de règlement ; c'est-à-dire que ces
règlements ne sont pas précis par exemple les enfants vont être libres de faire des désordres
dans la classe et de faire n’importe quoi (gaffe, destruction,…). L’éducation a aussi un
aspect très essentiel pour mener une instruction favorable aux enfants d’autant qu’il existe
une pédagogie d’apprentissage non-reconnue et inacceptable entre le maitre et les enfants
c’est à dire une différentiation de la classe sociale des enfants ; d’où le maitre met a
l’avantage une grande différentiation entre les enfants de la classe supérieur face aux
enfants de la classe inferieur ce qui favorise l’inégalité sociale.
~ 53 ~
7.3.3 L’IMPORTANCE DE LA CULTURE
Nous assistons sur la résistance culturelle parce que, lors de la descente sur terrain dans le
Fokontany, nous avons constaté que les différentes causes de l’analphabétisme s’attribuent
récemment aux hypothèses que nous avons citées auparavant. En ce que nous nous
concernons, c’est la coutume depuis la génération, c’est à dire qu’on nous a dit pendant
l’enquête sur terrain que certains d’entre ces personnes ont abandonnées l’école par ce que
c’est cela la coutume de la famille d’une personne que nous avons enquête, disons
précisément que les parents de cet adultes ont peut être établies un testament : comme
quoi ; ses enfants ne doit pas étudier parce que tous ces fortunes sont suffisantes pour
partager et faire vivre a ces héritiers. Ca doit être aussi la raison que leurs parents ont dit
que ces enfants ne doivent pas aller a l’école car c’est le message par laquelle ils reçoivent
de leur arrière parents et après ils émettent à leur héritiers à leur tours.
7.3.4 LES PROBLEMES INFRASTRUCTURELLES
Chaque fois que nous pensons de ce que ca signifie village, milieu rurale, (…) Les
facteurs de l’analphabétisme et l’exclusion sociale sont récemment les destructions des
écoles, les bancs, les tableaux,… Mais généralement l’éloignementde la maison des
enfants par rapport l’école qui se trouve à des kilomètres, et pourtant les enfants ne
peuvent pas circuler sur la longueur de marche chaque jour, or c’est la raison par laquelle
les enfants sont fatiguée en arrivant a l’école et tout de même d’aller a l’école et qui
facilite de l’existence de la paresse chez les enfants. Nous pouvons dire aussi que c’est a
cause des problèmes climatiques, c'est-à-dire le passage cyclonique que les enfants ne
peuvent pas y aller a l’école, par exemple : lorsque durant la saison pluvieuse, les routes
sont inondées, les barrages sont détruits, alors les enfants ne peuvent pas traversée les
routes qui sont devenu comme un fleuve. La raison de l’abandon est aussi le manque de
personnel enseignant c'est-à-dire que les éducateurs ne peuvent plus continuer à enseigner,
peut être que c’est a cause de la maladie, d’une baisse de salaire mensuel, de la relation
sociétale dans les villages, d’une affectation, de la distance du lieu d’habitation et le centre
d’enseignement.
~ 54 ~
CONCLUSION PARTIELLE
Nous aimons améliorer notre approfondissement de notre recherche à propos de
l’analphabétisme et du faible niveau d’instruction, en tenant compte les causes que nous
avons cité dans le centre du devoir. Mais maintenant pour mettre en place les différentes
systèmes de résolution de nos problèmes : nous allons voir en troisièmes temps la solution,
les suggestions et les recommandations pour bien approprié à notre étude et bien mené à un
sens réel de notre thème de recherche.
~ 55 ~
Chapitre 8 suggestions et analyse de
résultats
INTRODUCTION PARTIELLE
La recherche que nous avons effectuée adoptera la position de réparation théorique
de l’analphabétisme et précision de la solution que nous pourrions adopter l’analyse
spécifique que nous pourrions adopter mènerons a la concavité des projets de
développement c’est-à-dire l’explication que nous avons vécu auparavant, insiste beaucoup
sur la reformulation ou synthèses des résultats obtenus.
8.1 Les organes qui sont contre l’analphabétisme et
l’exclusion sociale
8.1.1 ACTION DE L’UNESCO
D’après ce que nous avons vu, la principale organisation qui établit la formalité sur
l’aspect éducationnel et la mise en valeur du niveau d’étude des personnes est l’UNESCO.
Nous insisterons à la conceptualisation de l’UNESCO, dont nous allons évoquer la
définition et l’explication que cette organisation apporte sur l’analphabétisme et le faible
niveau d’instruction. L’UNESCO défini l’analphabétisme, en 1958, comme une personne
analphabète est une "personne incapable de lire et d'écrire, en le comprenant, un exposé
bref et simple de faits en rapport avec la vie quotidienne". En 1962, l'Unesco fait de
l'alphabétisation un outil au service du développement économique en introduisant la
notion d'analphabétisme fonctionnel.
Pourtant une personne n'est plus fonctionnellement analphabète lorsqu'elle "a
acquis les connaissances et compétences indispensables à l'exercice de toutes les activités
où l'alphabétisation est nécessaire pour jouer efficacement un rôle dans son groupe et sa
communauté et dont les résultats atteints en lecture, en écriture et en arithmétique sont tels
qu'ils lui permettent de continuer à mettre ces aptitudes au service de son développement
propre et du développement de la communauté et de participer activement à la vie de son
pays."Le concept fut ensuite développé pour aboutir à la création en 1984 du GPLI groupe
permanent de lutte contre l'illettrisme puis en 2000 de l'ANLCI Agence nationale de lutte
~ 56 ~
contre l'illettrisme. Le mot fut redéfini en 2003 par l'ANLCI, puis « Agir ensemble contre
l’illettrisme » fut Grande cause nationale 2013.
8.1.2 ACTION DE L’AFI-D
C’est un projet Informel dont le but est d’enseigner les adultes en 48jours. Les personnes
cibles sont les : les individus qui a des problèmes familiale, les individus qui n’atteignent
pas son but ou le niveau d’instruction efficace dans leurs étude. Ce programme consistera à
l’accès du diplôme CEPE .L’existence de ce projet a été nous affirme à dire c’est à
Soavinandriana uniquement que le projet a été atteint à 94%, et cette estimation a été
évoqué a Soavinandriana l’année dernière. Et ce projet est agrée par l’Etat et Supérieur au
niveau national. Il y a aussi ASAMA, c’est un projet formel consiste a l’enseignement.
8.1.3 ACTION DUCRAN
C’est un projet sur l’éducation qui vise à ré instruire les orphelinats, et assiste au cantine et
éducationcomplémentaire des enfants qui sont sans abri
8.1.4 ACTION DE L’APDCN-M
Un site de Soavinandriana ou une école pour les analphabètes qui se trouve à
Soavinandriana (ville), construits par les équipes d’aides Japonais : Aide Public au
Développement Coopération Nippo-Malagasy (APDCN-M), inauguré le 09 novembre
2006. Et actuellement, cette école est fermée à causes des problèmes techniques et la salle
est devenue une salle d’exposition des productions, salle de karaoké, salle de fête. Il existe
2 sites d’alphabétisations : l’un a Ampefy et l’autre à Mangarivotra (Atalata)
8.1.5 ACTION DES AUTEURS CONTRE L’EXCLUSION
Les auteurs définissent trois grands types de politiques contre l’exclusion :
d’abord, les politiques par fonction : action sur le revenu, l’emploi, l’éducation, etc.
Ensuite, les politiques auprès de populations cibles : pauvres, personnes âgées, ménages
monoparentaux. Puis les politiques globales qui ont pour ambition « d’éviter les ruptures
temporelles, spatiales ou sociales » dues aux politiques sociales individualisées, telles la
rénovation de quartiers et l’urbanisme
~ 57 ~
CONCLUSION PARTIELLE
Vis avis la présence des ONG et des organes qui fixe l’objectifs sur l’analphabétisme et le
faible niveau d’instruction, nous intéresserons sur ce qu’ils peuvent apporter pour diminuer
les nombres d’analphabètes et diminuer le taux d’analphabétisme. Face à ces projets nous
aimons aussi insister sur la réduction du nombre des gens qui ont un niveau d’instruction
très faible avec les aides des certains organisation. Mais nous allons regarder sur l’étape
suivant : les recommandations, les visions, les solutions praticables, et vivante de notre
problèmes.
~ 58 ~
Chapitre 9 Recommandations
INTRODUCTION PARTIELLE
Dans cette dernière partie de notre recherche, nous assistons à une proposition des
solutions convenable aux problèmes, c’est-à-dire que nous ouvrons notre étude sur une
idée de la lutte contre l’analphabétisme et de l’exclusion. A partir de ce constat, nous
utiliserons nos sources d’appuipersonnel pour mieux apporter unerésolution qui vont
êtrenécessairement utiles à la recherche.
9.1 Considération
Comme des individus qui sont en retard au niveau de la société et sa penser est
inefficace, ils sont aussi considérés comme des individus difficile a convaincre. Les pays
envoie de développement ne peuvent se permettre de laisser leurs adultes illettrés croupi
dans l’ignorance devenant ce que certains pessimistes appellent «une génération perdue »
Comme l’écrivait récemment un éducateur : « c’est justement cette ‘’ génération perdue ‘’
qui fournit la main d’œuvre pour tout ce qui se fait actuellement. Elle paie les impôts,
entretient les routes, laboure la terre et consacre son argent à des achats qui stimulent le
commerce. C’est dans cette génération qui volent et qui constituent la foule de chômeurs
qu’on voit dans les grandes villes .On ne peut faire comme s’ils n’existaient pas »
9.2 Les solutions proposées
Pour adopter des solutions nécessaire a notre étude , il faut prendre en main la Lutte
contre l’utilisation des mineurs comme outils de travaille, regrouper 10 a15 individus pour
participé à une formation exceptionnelle, dans le but de les diviser de groupe a 2 ou 1 par 1
pour participer ou partir en mission ,dont l’objectif est de sensibiliser les gens à apprendre
à lire et écrire. Pour mener une sensibilisation parfaite, il faut aborder des systèmes
d’animation ou de précision pour attirer des gens dans les villages (enfants, jeunes, adultes,
vieilles,…). Pour mieux mobiliser les gens, il suffit de donner des « pourboire »dans le but
de les satisfaire
~ 59 ~
9.3 Solution à mettre en place pour lutter
contre l’analphabétismeet l’exclusion sociale
Les solutions pour lutté contre l’analphabétisme et le faible niveau d’instruction
sont : faire une Lobine au niveau du District, chercher des partenaires et firme qui sont des
encadreurs techniques, donner aux chefs Fokontany le rôle de sensibilisation, faire une
propagation des arrêter au niveau de la commune .Nous devons mettre a profit toute les
connaissances théoriques que les spécialistes peuvent nous donner : il nous faut mobiliser
toutes les connaissances pratiques que les campagnes d’alphabétisation ont déjà permis
d’accumuler dans certaines pays. Méthode semi globale ; chaque centre d’alphabétisation
possède un poste récepteur transistor, un tableau noir, des fiches d’alphabétisation, des
fournitures scolaires ; les centres régionaux ont un projecteur, un groupe électrogène et un
véhicule pour la projection itinérante des films, utilisation du cinéma et de radio (cours
radio diffuses tous les soirs pour l’apprentissage du français)
CONCLUSION PARTIELLE
Pour conclure, au longue de notre recherche, nous avons assisté à des plusieurs aspects qui
sont favorablement facteurs de l’analphabétisme et de l’exclusion sociale. Et c’est a partir
de cela que nous pouvons confirmer qu’en résumer : notre thème de recherche se base
récemment sur les problèmessociaux, ce qui implique une déstabilisation inter-sociétale et
surtout au niveau de la famille et de même sur la socialisation au niveau de la société et a
part, sur la pédagogie d’apprentissage a l’école. Dont les solutions proposées ci-dessus
dans les sous-titres se concernent beaucoup sur un nouveau ré-instruction des adultes dans
le FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka)
~ 60 ~
CONCLUSION GENERALES
Les gens qui partent loin de leur milieu d’origine, dans le but de concevoir une vie
meilleure ailleurs. Et disons cela que c’est le plus favorable cause de l’analphabétisme
parce que : les individus qui viennent de déplacer n’ont aucun compétence ni connaissance
de leur milieu de destination. Or, ils ne savent que de vivre loin de la misère, loin de la
famine et surtout loin de la pauvreté sans y penser les conséquences entrainer par la
distance et l’insécurité et surtout l’inconscience .Et sur cela que nous disons que lorsque le
village s’éloigne de plus en plus du ville ,les chantiers ou les écoles ou les infrastructures
vont aussi s’effondre et les enseignants n’ont pas l’opportunité de faire une déplacement
chaque jour de foyers vers le travail. Cette année, la célébration de la journée internationale
de l’alphabétisation a pour thème « Alphabétisation et société durables ». Elle a pour but
de mettre en évidence l’alphabétisation en tant que levier de développement socio-
économique. De ce fait, elle vise à sensibiliser les partenaires et les acteurs sur
l’importance du savoir lire, écrire et calculer dans le développement du pays.
Il existe un article qui est sorti et en publication dans les bibliothèques des grandes
villes de l’Afrique et cet article examine la situation et les causes de l'analphabétisme des
adultes en Afrique. Il démontre que les bibliothèques publiques traditionnelles ont été
impuissantes à éradiquer l'analphabétisme des adultes. En conséquence, il propose
l'installation de bibliothèques spécialisées à vocation d'alphabétisation des populations
adultes. Cet article insiste sur l'importance de fournir à de telles bibliothèques du matériel
pédagogique approprié qui soit facilement accessible aux populations fraîchement
alphabétisées des villages et communautés rurales. En raison de la mauvaise situation
économique dans les pays africains, cet article invite les organisations et institutions des
pays développés à fournir des fonds qui permettent d'installer de telles bibliothèques. le
Congrès mondial des ministres de l'éducation sur l'élimination de l'analphabétisme a mis en
avant le lien existant entre alphabétisme et développement, et proposé pour la première fois
le concept d'alphabétisme fonctionnel : « L'alphabétisation doit être considérée non comme
une fin en soi mais comme un moyen de préparer l’homme à un rôle social, civique et
économique qui va au-delà des limites de la forme rudimentaire de l'alphabétisation
consistant simplement à enseigner la lecture et l’écriture. »
~ 61 ~
D’où l’exclusion sociale, en privant un individu ou un groupe d'une reconnaissance,
nie son identité. Et, lorsque l'individu passe de l'état de fait au statut, alors, s'opère un
processus de stigmatisation. Elle peut concerner différents champs ou valeurs, comme la
famille, le mariage, le logement, la culture ou la scolarisation. Lorsque cette exclusion
concerne des groupes très fragilisés (économiquement), elle entretient leur stigmatisation.
Au sein de la société, l’exclusion résulte de plusieurs facteurs : l’isolement, le handicap, la
précarité. Dans la rue, la situation des personnes SDF relève surtout de l’exclusion sociale.
Ainsi, on considère couramment que les personnes SDF sont de « grands exclus ». La
grande pauvreté et précarité économique et sociale sur le concept de l’exclusion sociale
s’exprime souvent par des lignes de problèmes sociales.
~ 62 ~
BIBLIOGRAPHIES
Ouvrages généraux
Alain GIRARD - Inégalité sociale
Alfred Radcliffe BROWN- La méthode structuro-fonctionnalisme
Claude Levi STRAUSS- La méthode structuro-fonctionnalisme
Emile DURKHEIM –Education et sociologie
Pierre BOURDIEU- Sociologie de l’éducation
Raymond BOUDON- Sociologie de l’inégalité
Robert King MERTON- La méthode structuro-fonctionnalisme
Ouvrage spécifiques
Emilie UZCATEGUI, L’obligation scolaire, Paris UNESCO, 1951
FrançoisRAJAOSON, (1985), l’enseignement supérieur et le devenir de la société
Malgaches, Tana FTM
Jean-Pierre LACHAUD, Marché Du Travail Et Exclusion Sociale Dans Les
Capitales D'Afrique Francophone : Quelques Éléments D'analyse, Revue Tiers
Monde, Vol. 36, No. 142,Armand Colin, Page 24
Jean RIMAUD, Au milieu des enfants et des adolescents, Paris, Aubier Ed. Montagne,
1952
Mary BURNET,la bataille de l’alphabet
Ranaivojaona RAZAFIMANANTSOA, Vol I et II, 1966
Document officielles
ALPHABETISME ET ENSEIGNEMENT DE LA XXVIIEME
CONFERENCE
INTERNATIONALE, Alphabétisation et enseignement des adultes, l’Instruction
publique, g. ,194 p, BIE- UNESCO, 1964
CISCO Soavinandriana
INSTAT Madagascar
UNESCO, Education pour tous, Paris 1990
UNESCO, conférence, l’éducation relative à l’environnement : les grandes
orientations de conférence de Tbilissi-Paris, 1997
Web graphie
http://www.jstor.org
Queme.net
Daccess-ods.un.org
Libertas-institut.com
www.lebret-irfed.org:
RESUME
En résumé, l’analphabétisme et l’exclusion sociale sont des problèmes qui flottent
dans les pays sous développer. Nous insistons sur les causes probables au niveau de
l’individu et au niveau de la société. Nous confirmons le parole d’un chercheur qui a
annoncer un commentaire suivant : « ce n’est pas un éducateur en bagage qu’on saura
forcement donner aux élève d’acquérir du savoir ». Enseigner ! ca demande un don et aussi
en perpétuelle évolution » ce qui nous porte vers une bonne instruction et une éducation qui
vise à enseigner les analphabètes et les personnes qui ont des niveaux d’instruction faible. Et
ces projets sur le système éducatif est destiné récemment a un développement durable,
prenons en compte le cas de Madagascar. Avoir une expression bien former, c’est que le faite
d’être pénétré dans le véritable changement social. Quand on s’intitule vraiment sur ce que
l’éducation affirme, nous avons toujours l’intention d’accéder à des programmes scolaires ce
qui varie sur chaque changement de régime a Madagascar. Nous disions toujours que d’être
une personne bien éduqué adopte toujours des avantages qui facilitent leurs vie quotidienne,
ils peuvent aussi avoir des avantages sur le travail, ils n’ont aucun soucis à propos de leur
statuts, ils ne sont pas exclus de leur société.
Enfin si nous voulons chercher le développement qui cache derrière la pauvreté, il suffit de
diminuer les enfants qui abandonnent leurs école, créer des emplois pour les jeunes qui ne
travaille pas, adopté les subventions de l’Etat, sensibilisé les gens à apprendre ou a
réapprendre à lire et à écrire, adopté des bons systèmes éducatifs par ce que tout ca c’est la
route qui mène vers un développement durable. Et a partir de cela que nous pouvons évoquer
le slogan comme :
Il n’est jamais trop tard pour apprendre !
TABLES DES MATIERES
INTRODUCTION GENERALE
Généralité……………………………………………………………….…………...1
Motif choix du thème……………………………………………………………......7
Motif choix du terrain …………………………………………….............................7
Objectifs de la recherche…………………………………………………………….7
Problématique…………………………………..…………………………………....7
Hypothèses……………………………………………………………………….….7
Objectifs global…………………………………………………………..………….8
Objectifs spécifique………………………………………………………….............8
Méthodes…………………………………………………………………...………..8
Echantillonnage…………………………………………………………..............….9
Questionnaire……………………………………………………………..………….9
Limite de la recherche ……………………………………………………………….9
Annonce du plan ……………………………………………………………..............9
Premier partie : cadrage contextuel, conceptuelle et
méthodologie…………………………………………………………………………10
Chapitre 1 : présentation du Fokontany………………………………………………..11
INTRODUCTION PARTIELLE………………………………………………………...11
1.1 Repérage dans le temps et dans l’espace………………………………….…............11
Localisation géographique………………………………………………..………..11
Surface ……………………………………………………………………………..11
Localisation du Fokontany sur les 4 dimensions ………………………...................12
Quartiers………………………………………………………………………...........12
Distance………………………………………………………………………………12
Climats………………………………………………………………………..............12
Température……………………………………………………………………..........12
Relief…………………………………………………………………………............13
Les principaux secteurs d’activités………………………………………… ……….13
Végétation………………………………………………………………………….....13
L’élevage………………………………………………………………………...…...13
La situation comportementale de la population………………………………...........14
La situation sécuritaire du Fokontany………………………………………………..14
Carte topologiqueSoavinandriana……………………………………......................14
1.2Organigramme de Fokontany………………………………………………………….15
Hiérarchie du Fokontany………………………………………………………….……….15
1.3La population…………………………………………………………………………....16
La densité moyenne du Fokontany…………………………………………………...17
1.4Infrastructure du Fokontany…………………………………………………………..17
Ecoles……………………………………………………………………..………..17
Eglises……………………………………………………………………………...17
Hôpital……………………………………………………………………………..17
Bornes fontaines ………………………………………………………………….18
Sports et loisir …………………………………………………………….……..18
Reconstructions Achevées…………………………………………….…………...18
Les postes avancées………………………………………………….…………...........18
Maison d’alphabétisation……………………………………………..………………….18
Abandon scolaire………………………………………………………………………..19
CONCLUSION PARTIELLE………………………………………………………...20
Chapitre 2 : repères théorico conceptuelles ……………………………………..….21
INTRODUCTION PARTIELLE…………………………………………………….….21
2.1Conceptualisation……………………………………………………....................21
L’analphabétisme………………………………………………………………..............21
L’exclusion sociale……………………………………………………………........21
2.2L’analphabétisme dans le contexte actuel…………………………………………....23
2.3Historique du niveau d’instruction…………………………………………………...24
2.4Structuro fonctionnalisme et la sociologie de l’éducation l’inégalité social……....25
CONCLUSION PARTIELLE…………………………….…………………….……..…26
Chapitre 3 : méthodologie de recherche………………………………………………....27
INTRODUCTION PARTIELLE………………………………………………………...27
3.1Les matérielles utilisés………………………………………………………………....27
3.2Les types de document…………………………………………………………..…….27
3. 3Les types d’enquête…………………………………………………………………...27
Enquête préliminaire………………………………………………………………………27
Observation passive………………………………………………………………...........27
Interview……………………………………………………………………………….…27
CONCLUSION PARTIELLE…………………………………………………………...28
Deuxième partie : technique et préparation de notre résultat de
l’enquête…………………………………………………………………………........29
Chapitre 4 : Déperdition scolaire et faible niveau d’instruction………………………..30
4.1Presentation de la population enquêtée ……………………………………………....30
4.2Niveau d’instruction faible des adultes……………………………….........................31
4.3Le taux d’analphabétisme élevé des adultes…………………………….………….....32
Le tableau qui represente le taux d’analphabetisme élevé…………………………..32
Le graphique qui represente la hausse du taux d’analphabetisme………………......33
4.4Le taux d’exclusion sociale des adultes très élevé……………...…………………......34
Le tableau qui represente le taux d’exclusion sociale …………………………….….....34
Le graphique qui represente la hausse du taux d’exclusion sociale ……………….......35
4.5 Les niveaux d’étude très faible des adultes représentés selon d’âge……………….36
CONCLUSION PARTIELLE…………………………………………….……………....37
Chapitre 5 : les causes économiques et infrastructurelles………………………….......38
5.1Problèmes financiers…………………………………………………………………...38
Tableau qui représente les salaires des personnes dans le quartier …………….....38
Le graphique qui représente les salaires journaliers………………………………..39
5.2 Déséquilibre sur le secteur de travail (secteur informel)…………………………...40
5.3Le non scolarisation de enfant des adultes enquêtées…………...…………………...41
CONCLUSION PARTIELLE…………………………………………………………….42
Chapitre 6 : la résistance culturelle et problèmes psychologique……………………....43
6.1 Les problèmes personnels et familiaux………………………………..………..43
6.2 Lescauses de l’exclusion sociale………………………………………..……………44
6.3 Les avis et les opinions des enquêtés sur le ré instruction d’adulte………………...45
CONCLUSION PARTIELLE…………………………………………………………….46
Troisième partie : approche prospective de la résolution de la
problématique………………………………………………………………………...47
Chapitre 7 : Analyse, bilan et discussion………………………………………………...48
INTRODUCTION PARTIELLE………………………………………………………...48
7.1Préparation d’une analyse globale…………………………………………….……...48
7.2Etablissement d’un bilan…………………………………………………….………...51
7.3Lancement d’une discussion……………………………………………..…………....38
L’abandon scolaire………………………………………………………………………..51
Un trou sur la socialisation et sur l’enseignement …………………………...…….52
Importance de la culture……………………………………………………………53
Les problèmes infrastructurelles…………………………………………………....53
CONCLUSION PARTIELLE ………………………………………………...………....54
Chapitre 8 : suggestion et analyse de résultats…………………………………...…..….55
INTRODUCTION PARTIELLE…………………………………………………………55
8.1 Les organes qui sont contre l’analphabétisme et l’exclusion sociale…………….....41
Action de l’UNESCO……………………………………………………….……....55
Action de l’AFI-D…………………………………………………………..……....56
Action du CRAN …………………………………………………………………...56
Action de l’APDCN-M ……………………………………………………………..56
Action des auteurs contre l’exclusion……………………………………………….56
CONCLUSION PARTIELLE……………………………………………………………..57
Chapitre 9 : Recommandations…………………………………………………………...58
INTRODUCTION PARTIELLE…………………………………………………………....58
Considération…………………………………………………………………...…...58
Les solutions proposées…………………………………………………………………..58
La solution contre l’analphabétisme et contre l’exclusion sociale…………………….…59
CONCLUSION PARTIELLE………………………………………………………………59
CONCLUSION GENERALES……………………………………………………….60
ANNEXES
Questionnaires
FICHE D’IDENTIFICATION ET LES CARACTERISTIQUES SOCIO-
DEMOGRAPHIQUE DE L’ENQUETEE
1) Comment vous appelez?
2) Quel âge avez-vous ?
3) Est-ce que vous êtes allé à école ?OUI NON
4) Si OUI, a quel niveau vous êtes décroché de l’école?
5) Pourquoi vous êtes décroché de l’école ?
6) Savez-vous lire et écrire ?OUI NON
7) Est-ce que vous travaillez ?OUI NON
8) Si OUI, quel est votre travaille ?
9) Combien vous gagnez par jour pour votre travaille ?
10) Avez-vous d’enfant ? OUI NON
11) Si OUI, combien ?
12) Quel âge ont-ils/elles?
13) Est-ce qu’ils/elles vont à l’école ?OUI NON
14) Si NON, dans quelle raison ils/elles ne vont pas à l’école ?
15) Est-ce que vous êtes marié(e) ?OUI NON
16) Si OUI, quelle est la situation de votre femme/marie ?
17) A votre avis, aimerez-vous apprendre à lire et à écrire s’il y a un centre d’alphabétisation des
adultes dans le quartier?
ACCEPTEE REFUSEE
18) Est-ce que vous participez volontairement au nettoyage dans le quartier ? OUI NON
19) Si NON, pourquoi ?
20) Est-ce que vous avez honte ou peur ou vous êtes timide lorsque vous entrez dans un bureau ?
OUI NON
21) Si OUI, pourquoi ?
22) Lorsqu’ il une réunion dans le quartier, est-ce que vous prenez la parole ? OUI NON
Si NON, pourquoi ?
23) Avez-vous déjà senti que vous êtes exclus dans votre société ou encore victime d’un
racisme ? OUI NON
Si OUI, expliquez-vous ?
UN ENTRETIEN LIBRE POUR LE PERSONNEL RESPONSABLE
24) Que pensez-vous de l’existence du phénomène d’analphabétisme et de l’exclusion
sociale à Soavinandriana?
25) Est-ce que le taux d’analphabétisme augmente t il a Soavinandriana ?
26) A votre avis, quelles sont les causes de l’analphabétisme et l’exclusion sociale à
Soavinandriana ?
27) Quelle solution proposez- vous pour réduire le taux d’analphabétisme des adultes ?
RESUME
En résume, l’analphabétisme et l’exclusion sociale sont des problèmes qui flottent
dans les pays sous développer. Nous insistons sur les causes probables au niveau de
l’individu et au niveau de la société. Nous confirmons le parole d’un chercheur qui a
annoncer un commentaire suivant : « ce n’est pas un éducateur en bagage qu’on saura
forcement donner aux élève d’acquérir du savoir ». Enseigner ! ca demande un don et aussi
en perpétuelle évolution » ce qui nous porte vers une bonne instruction et une éducation qui
vise à enseigner les analphabètes et les personnes qui ont des niveaux d’instruction faible. Et
ces projets sur le système éducatif est destiné récemment a un développement durable,
prenons en compte le cas de Madagascar. Avoir une expression bien former, c’est que le faite
d’être pénétré dans le véritable changement social. Quand on s’intitule vraiment sur ce que
l’éducation affirme, nous avons toujours l’intention d’accéder à des programmes scolaires ce
qui varie sur chaque changement de régime a Madagascar. Nous disions toujours que d’être
une personne bien éduqué adopte toujours des avantages qui facilitent leurs vie quotidienne,
ils peuvent aussi avoir des avantages sur le travail, ils n’ont aucun soucis à propos de leur
statuts, ils ne sont pas exclus de leur société.
Enfin si nous voulons chercher le développement qui cache derrière la pauvreté, il suffit de
diminuer les enfants qui abandonnent leurs école, créer des emplois pour les jeunes qui ne
travaille pas, adopté les subventions de l’Etat, sensibilisé les gens à apprendre ou a
réapprendre à lire et à écrire, adopté des bons systèmes éducatifs par ce que tout ca c’est la
route qui mène vers un développement durable. Et a partir de cela que nous pouvons évoquer
le slogan comme :
Il n’est jamais trop tard pour apprendre !
CV
Nom : RAZANAMANITRA
Prénom :AvotraNarindra
Adresse : Lot VS 5Bis E Antsahamamy
Document : Mémoire de Licence
Nature : Livre
Titre : « l’Analphabétisme et l’exclusion sociale des adultes, cas du
FokontanyAvaratsenaSoavinandriana (Manjaka) »
Champ de recherche :FokontanyAvaratsenaSoavinandriana(Manjaka)
Nombre de pages : 60 pages
Nombre de figures : 6
Texte de résumé : l’analphabétisme et l’exclusion sociale
Un objectif, l'alphabétisation pour tous
L'alphabétisation est un motif de réjouissance pour l’humanité qui a accompli des avancées
spectaculaires en la matière, le monde compte en effet aujourd'hui près de 4 milliards
d'alphabètes. Cependant, l’objectif de l’alphabétisation pour tous – enfants, jeunes et adultes
– n’a toujours pas été atteint, et reste une cible mouvante. La conjonction d’objectifs
ambitieux, d'efforts insuffisants menés en parallèle, de ressources et de stratégies inadéquates
et la sous-estimation permanente de l’ampleur et de la complexité de la tâche, expliquent
vraisemblablement cette situation. Une lutte contre l’exclusion dans le domaine de
l’éducation a fin de mettre en évidence une formation au adultes illettrés et exclus de
s’engager a nouveau pour mieux avancer dans le développement.
Mots clés : L’Illettrisme, Pauvreté, Développement, ré instruction, inégalité sociale,
Interactionnisme symbolique.
Encadreur pédagogique : Madame ANDRIANAIVO Victorine